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Comme j'ai l'exacte impression de ne servir à rien...

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June
Elwyn de Lannien
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Message  Elwyn de Lannien Dim 17 Mai 2009 - 16:41

Je mets un texte comme ça, au pif, histoire de servir à quelque chose... Me sens nulle à force que tout le monde présente des jolis trucs ^^"

Bon, c'est pas du grand art. Certains appellent ça de l'écriture libre... Le tableau ? Une heure du matin, après m'être prise la tête avec une nouvelle quelconque : Ouverture d'une page word, ne plus penser à rien, et laisser faire.

I Know, c'est spécial, mais ça libère. Une précision : La vision du monde de ce personnage n'est pas la mienne !



Le temps passait, et il marchait. Il marchait, inconscient du temps et de l’espace même qui l’entourait. Il évoluait sans pensée ni raison, dans un monde qui lui échappait. Il ignorait ce qu’il avait fait, ce qu’il allait faire, mais peu lui importait. Une réalité absurde, rien de plus. Tous ici bas était absurde, il en avait connaissance.
Simplement, il avançait, sa pensée volait avec le vent d’automne mais il se sentait plein, entier pour la première fois, comme si ce seul état pouvait avoir la capacité de combler le vide. Le vide, le néant… ce qu’il avait toujours ressenti. Après tout, pourquoi en aurait-il été autrement ? Il n’avait rien eu à aimer, rien à regretter. Seulement une vie à observer, des existences à contempler. Jamais il n’avait eu à intervenir que quelque façon que c’eût été… Pourquoi l’aurait-il fait ? Il contemplait… contemplait leurs illusions, berçait leurs rêves. Eux ignoraient tout ; lui s’ignorait, et c’était fondamentalement différent. Il aimait, détestait… avec neutralité. Il combattait, parlait et défendait, par pure forme. Un monde d’apparences, alors à quoi bon. Il jouait, et tout en lui était absurde… Absurde comme le monde. Simplement cette pensée, omniprésente, solennelle, comme une prière ; pourquoi ? Il en était ainsi, selon l’enseignement des sages… Tout du moins eux le croyaient-ils, mais avaient-ils déjà connu la sagesse ? Lui l’avait contemplée, car lui avait réfléchi. Il avait réfléchi seul, mais n’avait communiqué. Le savoir, la communication, deux termes opposés. Il avait trouvé la vérité dans la quiétude de son esprit vide. Eux ne le pouvaient, car eux se complaisaient à enseigner le peu qu’ils avaient cru percevoir. Il suffisait d’attendre, d’attendre de son esprit seul, mais de ne rien attendre des autres. Les déceptions étaient bien trop nombreuses et, lui, son monde même l’avait déçu… Ou plutôt le monde qui n’était pas le sien, car il se savait venu d’une puissance supérieure. Comment eux, ils auraient pu l’égaler ? la différence était trop flagrante. Lui, il était un ange déchu. Eux, ils étaient des mortels qui contemplaient la beauté des étoiles. Dans les deux cas, ils étaient au sol, inertes, dans l’incapacité d’accéder au fondement de leurs âmes. Mais lui sa pensée subsistait. La sienne n’était pas, comme la leur, pervertie. Seulement lucide, lucide et close. Et il pensait ; seul. Et le savoir fusait comme s’il avait appartenu à chaque parcelle de l’Univers. Dans l’infini, tout se confondait et, les yeux clos, il percevait ce que les autres tentaient d’expliquer… de si loin, de tellement loin. Que vous ont-ils appris ? Que peuvent-ils prétendre savoir ? Savent-ils mieux que vous ? Lui, il sait, mais il se tait… et c’est fondamentalement différent.
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Message  June Dim 17 Mai 2009 - 18:36

o_o
J'aime beaucoup.
Ca ressemble assez à ce que je fais quand j'me vide la tête aussi, c'est marrant.
Sérieusement, j'aime beaucoup.
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Message  Elwyn de Lannien Lun 18 Mai 2009 - 17:46

Merki ! C'est simpa ^^

C'est pas de l'art... Juste l'expression de mon inconscient loufoque Razz
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Message  kirlim Lun 18 Mai 2009 - 19:31

Elwyn de Lannien a écrit:Le temps passait, et il marchait. Il marchait, inconscient du temps et de l’espace même qui l’entourait. Il évoluait sans pensée ni raison, dans un monde qui lui échappait. Il ignorait ce qu’il avait fait, ce qu’il allait faire, mais peu lui importait. Une réalité absurde, rien de plus. Tout ici bas était absurde, il en avait connaissance (conscience ? je trouve ton mot pas très bien choisi...).
Simplement, il avançait, sa pensée volait avec le vent d’automne mais il se sentait plein, entier pour la première fois, comme si ce seul état pouvait avoir la capacité de combler le vide. Le vide, le néant… ce qu’il avait toujours ressenti. Après tout, pourquoi en aurait-il été autrement ? Il n’avait rien eu à aimer, rien à regretter. Seulement une vie à observer, des existences à contempler. Jamais il n’avait eu à intervenir que quelque façon que c’eût été… Pourquoi l’aurait-il fait ? Il contemplait… contemplait leurs illusions, berçait leurs rêves. Eux ignoraient tout ; lui s’ignorait, et c’était fondamentalement différent. Il aimait, détestait… avec neutralité. Il combattait, parlait et défendait, par pure forme. Un monde d’apparences, alors à quoi bon. Il jouait, et tout en lui était absurde… Absurde comme le monde. Simplement cette pensée, omniprésente, solennelle, comme une prière ; pourquoi ? Il en était ainsi, selon l’enseignement des sages… Tout du moins (Ou du moins) eux le croyaient-ils (huh ?), mais avaient-ils déjà connu la sagesse ? Lui l’avait contemplée, car lui avait réfléchi. Il avait réfléchi seul, mais n’avait communiqué. Le savoir, la communication, deux termes opposés. Il avait trouvé la vérité dans la quiétude de son esprit vide. Eux ne le pouvaient, car eux se complaisaient à enseigner le peu qu’ils avaient cru percevoir. Il suffisait d’attendre, d’attendre de son esprit seul, mais de ne rien attendre des autres. Les déceptions étaient bien trop nombreuses et, lui, son monde même l’avait déçu… Ou plutôt le monde qui n’était pas le sien, car il se savait venu d’une puissance supérieure. Comment eux, ils auraient pu l’égaler ? la différence était trop flagrante. Lui, il était un ange déchu. Eux, ils étaient des mortels qui contemplaient la beauté des étoiles. Dans les deux cas, ils étaient au sol, inertes, dans l’incapacité d’accéder au fondement de leurs âmes. Mais lui sa pensée subsistait. La sienne n’était pas, comme la leur, pervertie. Seulement lucide, lucide et close. Et il pensait ; seul. Et le savoir fusait comme s’il avait appartenu à chaque parcelle de l’Univers. Dans l’infini, tout se confondait et, les yeux clos, il percevait ce que les autres tentaient d’expliquer… de si loin, de tellement loin. Que vous ont-ils appris ? Que peuvent-ils prétendre savoir ? Savent-ils mieux que vous ? Lui, il sait, mais il se tait… et c’est fondamentalement différent.

"Lui il sait, il a découvert le chemi de la sagesse. Cette sagesse ignorée de ses semblables, mais pourtant atteinte par tant d'esprits rebelles, cette sagesse qui le força à se rendre au trombinoscope afin de dévoiler la véritable fleur de ses meaux" \o/
Ceci est un article de propagande, particulièrement dédié à Elwyn. Merci de bien vouloir passer votre chemin si vous ne vous reconnaissez pas en ce nom.

Alors, sinon ^^ J'adore ton texte, il est bien intéressant, et je pense qu'on peut même réfléchir dessus. J'ai particulièrement apprécié le retour de la phrase à la toute fin. Et sinon, pas grand chose à dire ! D'autres textes ?
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Message  Pacô Jeu 21 Mai 2009 - 10:12

Elwyn de Lannien a écrit:
Le temps passait, et il marchait. Il marchait, inconscient du temps et de l’espace même qui l’entourait (le temps inconscient de lui-même donc? Ou d'un autre personnage? Parce que le "il" reprend le sujet "temps"...). Il évoluait sans pensée ni raison, dans un monde qui lui échappait. Il ignorait ce qu’il avait fait, ce qu’il allait faire, mais peu lui importait. Une réalité absurde, rien de plus. Tous ici bas étaient absurdes, il en avait connaissance.
Simplement, il avançait, sa pensée volait avec le vent d’automne mais il se sentait plein, entier pour la première fois, comme si ce seul état pouvait avoir la capacité de combler le vide. Le vide, le néant… ce qu’il avait toujours ressenti. Après tout, pourquoi en aurait-il été autrement ? Il n’avait rien eu à aimer, rien à regretter. Seulement une vie à observer, des existences à contempler. Jamais il n’avait eu à intervenir que quelque façon que c’eût été… (euh... traduction? ou "de quelque façon que c'eût été" ?) Pourquoi l’aurait-il fait ? Il contemplait… contemplait leurs illusions, berçait leurs rêves. Eux ignoraient tout ; lui s’ignorait, et c’était fondamentalement différent. Il aimait, détestait… avec neutralité. Il combattait, parlait et défendait, par pure forme. Un monde d’apparences, alors à quoi bon. Il jouait, et tout en lui était absurde ("illogique" pour éviter une répétition)… Absurde ("Illogique" ici aussi donc) comme le monde. Simplement cette pensée, omniprésente, solennelle, comme une prière ; pourquoi ? Il en était ainsi, selon l’enseignement des sages… Tout du moins eux le croyaient-ils, mais avaient-ils déjà connu la sagesse ? Lui l’avait contemplée, car lui avait réfléchi. Il avait réfléchi seul, mais n’avait communiqué. Le savoir, la communication, deux termes opposés. Il avait trouvé la vérité dans la quiétude de son esprit vide. Eux ne le pouvaient, car eux se complaisaient à enseigner le peu qu’ils avaient cru percevoir. Il suffisait d’attendre, d’attendre de son esprit seul, mais de ne rien attendre des autres. Les déceptions étaient bien trop nombreuses et, lui, son monde même l’avait déçu… Ou plutôt le monde qui n’était pas le sien, car il se savait venu d’une puissance supérieure. Comment eux, ils auraient pu l’égaler ? (moi aussi parler bien la France ... "Comment auraient-ils pu l'égaler?") La différence était trop flagrante. Lui, il était un ange déchu. Eux, ils étaient des mortels qui contemplaient la beauté des étoiles. Dans les deux cas, ils étaient au sol, inertes, dans l’incapacité d’accéder au fondement de leurs âmes. Mais lui sa pensée subsistait. La sienne n’était pas, comme la leur, pervertie. Seulement lucide, lucide et close. Et il pensait ; seul. Et le savoir fusait comme s’il avait appartenu à chaque parcelle de l’Univers. Dans l’infini, tout se confondait et, les yeux clos, il percevait ce que les autres tentaient d’expliquer… de si loin, de tellement loin. Que vous ont-ils appris ? Que peuvent-ils prétendre savoir ? Savent-ils mieux que vous ? Lui, il sait, mais il se tait… et c’est fondamentalement différent.

Encore une nouvelle qui s'apparente davantage à une réflexion qu'à une nouvelle (à un texte divers).
Néanmoins, sa force n'en est pas moins amoindrie et j'ai beaucoup apprécié la fin (la dernière phrase même).

Mais je critiquerai tout de même la forme. Tu perds un peu le lecteur dans le début et le ton est vraiment solennel (trop solennel?) ce qui finalement, me rebute un peu.
Je pense que tu peux le réécrire d'une manière plus simple et plus approfondie. D'une manière plus accessible en somme. Pour lui donner déjà réellement l'apparence d'une nouvelle et moins d'une réflexion. Ce peut être à creuser si tu en as le courage ...
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Message  B. Jeu 21 Mai 2009 - 14:32

Elwyn de Lannien a écrit:

Le temps passait, et il marchait. Il marchait, inconscient du temps et de l’espace même qui l’entourait. Il évoluait sans pensée ni raison, dans un monde qui lui échappait. Il ignorait ce qu’il avait fait, ce qu’il allait faire, mais peu lui importait. Une réalité absurde, rien de plus. Tout ici bas était absurde, il en avait connaissance >>> conscience.
Bon, tu as déjà reçu deux corrections, mais je rajoute la mienne car j'ai des choses à commenter en plus. Dans ce premier passage, tu dis qu'il évolue sans pensée ni raison. Malheureusement, cela est en contradiction avec la fin de ton texte car tu dis ensuite que sa pensée est lucide et que lui, il sait. = incohérence à corriger.
Mais lui sa pensée subsistait. La sienne n’était pas, comme la leur, pervertie. Seulement lucide, lucide
Et le savoir fusait comme s’il avait appartenu à chaque parcelle de l’Univers.

Simplement, il avançait, sa pensée volait avec le vent d’automne mais il se sentait plein, entier pour la première fois, comme si ce seul état pouvait avoir la capacité de combler le vide. Le vide, le néant… Ce qu’il avait toujours ressenti. Après tout, pourquoi en aurait-il été autrement ? Il n’avait rien eu à aimer, rien à regretter. Seulement une vie à observer, des existences à contempler.
Phrase en noir: il ne contemple pas qu'une vie, mais plusieurs = à corriger.

Jamais il n’avait eu à intervenir que quelque façon que c’eût été
>>> de quelque façon que ce fut.

Pourquoi l’aurait-il fait ? Il contemplait… Contemplait leurs illusions, berçait leurs rêves. Eux ignoraient tout ; lui s’ignorait, et c’était fondamentalement différent.
Explique un peu mieux l'idée que tu veux faire passer dans "lui s'ignorait". S'il a la connaissance infuse de l'univers, quelle partie de lui ingore-t-il? Sa personnalité? Son intérêt personnel? Il les met de côté pour servir les humains?

Il aimait, détestait… Avec neutralité.
Cette phrase ne va pas. Les verbes "aimer" et "détester" sont sûrement quelques uns des verbes les moins neutres du dictionnaire. Dis plutôt qu'il ne peut éprouver aucun sentiment, aucune sensation, il est dépourvu du moindre ressenti, son coeur est neutre, par exemple...

Il combattait, parlait et défendait, par pure forme. Un monde d’apparences, alors à quoi bon. Il jouait, et tout en lui était absurde… Absurde comme le monde. Simplement cette pensée, omniprésente, solennelle, comme une prière ; pourquoi ? Il en était ainsi, selon l’enseignement des sages… Tout du moins eux le croyaient-ils, mais avaient-ils déjà connu la sagesse ? Lui l’avait contemplée, car lui avait réfléchi. Il avait réfléchi seul, mais n’avait communiqué.
Les sages? >>> De qui parles-tu?
Passage en noir: à préciser. "Il avait réfléchi seul, mais il n'avait fait part à personne de ses conclusions", ou un truc du genre.

Le savoir, la communication, deux termes opposés. Il avait trouvé la vérité dans la quiétude de son esprit vide. Eux ne le pouvaient pas car >>> rajoute "pas" et supprime la virgule eux se complaisaient à enseigner le peu qu’ils avaient cru percevoir. Il suffisait d’attendre, d’attendre de son esprit seul, mais de ne rien attendre des autres.
Phrase en noir: trop de "de" alourdit ta phrase. A formuler autrement.

Les déceptions étaient bien trop nombreuses et lui, >>> supprimes la virgule entre "et" et "lui" son monde même l’avait déçu… Ou plutôt le monde qui n’était pas le sien, car il se savait venu d’une puissance supérieure.
"puissance supérieure" >>> maladroit à mon sens. Plutôt "d'un monde supérieur", "d'un niveau d'existence supérieur"

Comment auraient-ils pu l’égaler ? la différence était trop flagrante. Lui, il était un ange déchu. Eux, ils étaient des mortels qui contemplaient la beauté des étoiles. Dans les deux cas, ils étaient au sol, inertes, dans l’incapacité d’accéder au fondement de leurs âmes. Mais lui sa pensée subsistait. La sienne n’était pas, comme la leur, pervertie.
Tu vois tous les verbes "être" en vert? A éviter absolument. Trouves des verbes synonymes qui enrichiront ton textes en faisant passer la bonne idée.

Seulement lucide, lucide et close. Et il pensait ; seul. Et le savoir fusait comme s’il avait appartenu à chaque parcelle de l’Univers. Dans l’infini, tout se confondait et, les yeux clos, il percevait ce que les autres tentaient d’expliquer… De si loin, de tellement loin. Que vous ont-ils appris ? Que peuvent-ils prétendre savoir ? Savent-ils mieux que vous ? Lui, il sait, mais il se tait… et c’est fondamentalement différent.
Passage en noir: ici tu passes au présent et tu t'adresses directement au lecteur. Ca fait bizarre, c'est un double changement de la narration que je ne trouve pas très heureux ici. A modifier.

Avis général:
Le titre est maladroit. Le "Comme" dedans n'est pas heureux. Trouve un mot qui ferait passer l'idée de ne servir à rien, le vide que l'on ressent quand on se sent inutile.
Quelques passages maladroits qui m'ont gênée et qui freinent les idées que tu veux faire passer. J'aime beaucoup l'idée du savoir qui lui parvient de façon innée, sa perception des connaissances de l'univers. Tu as là matière à développer un texte encore plus profond. Bonne idée de base.

Voilà, Elwynn, j'espère que mes corrections te serviront Very Happy
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Message  Dmn Jeu 21 Mai 2009 - 14:46

Je ne m'essayerai même pas à la correction désolé je suis inutile dans ce domaine.Je voulais juste te dire que
c'est un excellent exercice que de ce vider l'inconscient ( je fait pareil mais à la place d'écrire ben je dessine Surprised )
Continu c'est chouette ( et en plus ce genre de texte méditatif, pensif, doit t'inspirer et te donner des idées pour d'autre texte. non ?)
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