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La cloque des souhaits

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Message  lu-k Dim 2 Aoû 2009 - 8:53

Quand les rues, pénibles sous les violons du soir, martèlent ma démarche de trop nombreuses années, c’est la ride maligne qui s’écorche dans un coin de la nuit. L’espérance est hurlée à tout pore de la peau ; l’espérance d’une lame, terne et grise comme les vieux jours, qui surviendrait au détour d’un nuage, pour transpercer le thorax et son cri d’abandon. Le mal est défendu et poursuit l’étoile défraîchie du bonheur de l’homme ; palpite doucement et au fil de l’errance la petite déroute de l’esprit qui ne veut pas la joie (il la trouve surannée, et tellement malveillante !). La groseille est bercée par le vent tiède : elle tangue doucement comme une proie perdue sur laquelle la mémoire a depuis longtemps abaissé les paupières.
Il y a un déluge respirant l’âpreté : c’est la pluie de ta paume sur ma peine timide.

La cloque des souhaits est une veine perdue. Une vésicule, une boursouflure tourmentée de vaines rivières glauques assises comme des feuilles sur les pierres toutes brunes et toutes rieuses ; c’est le courant de l’air et la chevelure venteuse aux courbes d’un regard, ce torrent de zéphyrs qui grince sans arrêt. Le vent souffle souvent, c’est vrai, dans les tapis de l’onde malhabile et sur le macadam.
La cloque des souhaits est une veine perdue. Une vésicule, une boursouflure attachée à la lampe de chevet, à l’ampoule qui a si froid et si mal, qui soupire et qui râle au détour de l'herbe rance, cette chevelure venteuse rythmée par à-coups au contact du soleil (il s’y accroche vivement, comme un désir).
Des voiles noirs, des hommes sans visage, des lèvres vertes : ainsi va l'errance capturée.
La cloque des souhaits, ou ne serait-ce que l'aube, accrochée à ton visage comme je le suis à la sordide pendule, ce battement incessant d'ombre de lumière, martèle la réalité d'une musique impalpable. Et, comme la pendule, j'oscille entre ombre et lumière, jours perdus accrochés à mon visage, l'aube accrochée au tien alors que je songe au coucher du soleil.

Les silences sont comme des scintillements.
La cloque des souhaits est une veine perdue, une vésicule, une boursouflure trop vaine sur la grande poche de l'impossible.
Le vent a des caresses que je ne connais plus ; l’océan et ses tempétueuses vagues tournoient ; les faucons hurlent des chants mauvais, aux douces allures de sang, amènes et viciés comme des cachots plein de neige, barreaux transpercés seulement par les cris d’amour. Le réceptacle sanglotant est un coucher glacé où les laits maternels sont froids et rudes, où les craintes de l'enfance reparaissent, et où le beau mal, refusé, se promène lassé pour laisser sa trace pénétrante qui obscurcit de remords tardifs l'âme timorée.
Les ténèbres tirent les talons par l’arrière, et la chaleur enveloppe le corps, devenu un livide roseau à la tige si tendre que la peur le ronge, le fait saliver des orteils à la racine du crâne, du Nord jusqu’au Sud, et les bras écartés font une croix corrompue, chavirée de l’Est jusqu’à l’Ouest ; les terres anciennes psamoldient les vieilles habitudes oubliées, recalées dans l’alcôve la plus profonde et la plus obscure, et palpitent, émettent de petits bruits secs et fréquents comme des promesses. A la tombée de la nuit, au moment où les ténèbres tirent les talons encore plus fort, les chiens glapissent, déchirant l’air aride et sinistre de leur mélancolie ; seulement alors, les feuilles des grands arbres se déploient en charognes, bruyantes par leur appel sur le sol qui boue, et les chiens, debout, immenses et hostiles, ombres excroissantes de la colline, se profilent sur la lune luisante, cette malade qui éclaire les plus affreux sépulcres.
Mais tout ça n’est rien, Hommes gentils, car quand les phalanges éparses de la nuit sans contours battent en retraite, il y a les yeux de l’enfant qui s’ouvrent et regardent dehors ; ses pupilles fragiles et toutes brunies de rêves se recouvrent de blessures malingres, esquisses en désordre de cauchemars où coagulent les sévices d’un monde à l’agonie ; la cohorte des songes se retire alors, comme la mer se retirerait du sable fin pour le laisser calleux, amer et jonché d’algues dégoûtantes, et laisse place à la cohorte violente des inquiétudes.


Dans la frénésie abyssale des lampadaires mouillés d'urine, qui caressent doucement l'étreinte de l'obscurité, cette énorme obscurité qui boitte, blessée de mille tendresses, rallions la cloque des souhaits pour que s'allège la démarche, lourde de trop nombreuses années, pour que s'exile la ride maligne s'écorchant dans un coin de la nuit, et pour qu'enfin la groseille devienne immobile, bercée doucement par un silence qui ne peut se mouvoir, et que la mémoire (cette chère mémoire ! elle vous fait rire n'est-ce pas, avec ses coups portés comme l'ironie glisserait sur un visage vide !) s'échappe enfin de son berceau de vadrouilles ne s'accoudant à rien ! Ma peine éclaterait alors sur ta paume, chienne bergère pour les moutons naïfs, et rassurez-vous ! la cloque des souhaits grossira tellement que la grande poche de l'impossible crèvera d'eczéma, d'osmose avec le cocasse et pernicieux rapace du sommeil - et seulement alors, les voiles noirs, les hommes sans visage, les lèvres vertes prendront la splendeur du givre !
Peut-être que l'aube, encore réticente, s'accrochera à ton visage telle une ombre avide, et les jours confondus avec les nuits craquelées, la pendule immobile sous les scintillements des silences ; mais qu'importe ! A la grotte de l'oubli s'arrête l'oubli mort, un visage tout d'ambre et d'ombre et d'or et de pleurs grimaçant sous l'effort.
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Message  Elea Dim 2 Aoû 2009 - 15:38

Je n'ai lu que les deux premiers chapitres, et je n'ai aps repéré de petites fautes, donc là-dessus je pense, rien à redire.
Quant au texte en lui-même, j'avoue n'avoir pas accroché >.<
On voit tout de suite que tu as beaucoup de style. Je dirais même peut-être "trop" de style. Un écrit de qualité, certes, mais personnellement, je n'ai pas accroché, désolée =)

Enfin j'suis peut-être débile et du coup je comprend rien aussi xD
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Message  Pacô Lun 3 Aoû 2009 - 14:42

lu-k a écrit:Quand les rues, pénibles sous les violons du soir, martèlent ma démarche de trop nombreuses années, c’est la ride maligne qui s’écorche dans un coin de la nuit. L’espérance est hurlée à tout pore de la peau ; l’espérance d’une lame, terne et grise comme les vieux jours, qui surviendrait au détour d’un nuage, pour transpercer le thorax et son cri d’abandon. Le mal est défendu et poursuit l’étoile défraîchie du bonheur de l’homme ; palpite doucement et au fil de l’errance la petite déroute de l’esprit qui ne veut pas la joie (il la trouve surannée, et tellement malveillante !) (euh ... c'est moi où la phrase ne fait pas terminée ?). La groseille est bercée par le vent tiède : elle tangue doucement comme une proie perdue sur laquelle la mémoire a depuis longtemps abaissé les paupières.
Il y a un déluge respirant l’âpreté : c’est la pluie de ta paume sur ma peine timide.

La cloque des souhaits est une veine perdue (alors là j'ai pas du tout compris ce que tu voulais dire ô_O ... ah si peut être. Une veine perdue qui se gonfle de sang ?). Une vésicule, une boursouflure tourmentée de vaines rivières glauques assises (peut être manque t-il une ponctuation ?) comme des feuilles sur les pierres toutes brunes et toutes rieuses ; c’est le courant de l’air et la chevelure venteuse aux courbes d’un regard, ce torrent de zéphyrs qui grince sans arrêt. Le vent souffle souvent, c’est vrai, dans les tapis de l’onde malhabile et sur le macadam.
La cloque des souhaits est une veine perdue. Une vésicule, une boursouflure attachée à la lampe de chevet, à l’ampoule qui a si froid et si mal, qui soupire et qui râle au détour de l'herbe rance, cette chevelure venteuse rythmée par à-coups au contact du soleil (il s’y accroche vivement, comme un désir).
Des voiles noirs, des hommes sans visage, des lèvres vertes : ainsi va l'errance capturée.
La cloque des souhaits, ou ne serait-ce que l'aube, accrochée à ton visage comme je le suis à la sordide pendule, ce battement incessant d'ombre de lumière (oxymore sympa, encore mieux s'il n'y avait pas de de !), martèle la réalité d'une musique impalpable. Et, comme la pendule, j'oscille entre ombre et lumière (euh on se répète, surement volontairement, mais ça fait bizarre), jours perdus accrochés à mon visage, l'aube accrochée au tien alors que je songe au coucher du soleil.

Les silences sont comme des scintillements.
La cloque des souhaits est une veine perdue, une vésicule, une boursouflure trop vaine sur la grande poche de l'impossible.
Le vent a des caresses que je ne connais plus ; l’océan et ses tempétueuses vagues tournoient ; les faucons hurlent des chants mauvais, aux douces allures de sang, amènes et viciés comme des cachots plein de neige, barreaux transpercés seulement par les cris d’amour. Le réceptacle sanglotant est un coucher glacé où les laits maternels sont froids et rudes, où les craintes de l'enfance reparaissent, et où le beau mal, refusé, se promène lassé pour laisser sa trace pénétrante qui obscurcit de remords tardifs l'âme timorée.
Les ténèbres tirent les talons par l’arrière, et la chaleur enveloppe le corps, devenu un livide roseau à la tige si tendre que la peur le ronge, le fait saliver des orteils à la racine du crâne, du Nord jusqu’au Sud, et les bras écartés font une croix corrompue, chavirée de l’Est jusqu’à l’Ouest ; les terres anciennes psalmodient les vieilles habitudes oubliées, recalées dans l’alcôve la plus profonde et la plus obscure, et palpitent, émettent de petits bruits secs et fréquents comme des promesses. A la tombée de la nuit, au moment où les ténèbres tirent les talons encore plus fort, les chiens glapissent, déchirant l’air aride et sinistre de leur mélancolie ; seulement alors, les feuilles des grands arbres se déploient en charognes, bruyantes par leur appel sur le sol qui boue (boue ... du verbe bouillir en faisant un jeu de mot avec la boue ? Parce que si c'est ça, c'est "bout", ça casse un peu le truc j'avoue ... ^^), et les chiens, debout, immenses et hostiles, ombres excroissantes (tu es sur que ce mot existe ? excroissance oui, excroissante ... pas sûr à 100% là) de la colline, se profilent sur la lune luisante, cette malade qui éclaire les plus affreux sépulcres.
Mais tout ça n’est rien, Hommes gentils, car quand les phalanges éparses de la nuit sans contours battent en retraite, il y a les yeux de l’enfant qui s’ouvrent et regardent dehors ; ses pupilles fragiles et toutes brunies de rêves se recouvrent de blessures malingres, esquisses en désordre de cauchemars où coagulent les sévices d’un monde à l’agonie ; la cohorte des songes se retire alors, comme la mer se retirerait du sable fin pour le laisser calleux, amer et jonché d’algues dégoûtantes, et laisse place à la cohorte violente des inquiétudes.


Dans la frénésie abyssale des lampadaires mouillés d'urine, qui caressent doucement l'étreinte de l'obscurité, cette énorme obscurité (désirée cette répétition ?) qui boitte, blessée de mille tendresses, rallions la cloque des souhaits pour que s'allège la démarche, lourde de trop nombreuses années, pour que s'exile la ride maligne s'écorchant dans un coin de la nuit, et pour qu'enfin la groseille devienne immobile, bercée doucement par un silence qui ne peut se mouvoir, et que la mémoire (cette chère mémoire ! elle vous fait rire n'est-ce pas, avec ses coups portés comme l'ironie glisserait sur un visage vide !) s'échappe enfin de son berceau de vadrouilles ne s'accoudant à rien ! Ma peine éclaterait alors sur ta paume, chienne bergère pour les moutons naïfs, et rassurez-vous ! la cloque des souhaits grossira tellement que la grande poche de l'impossible crèvera d'eczéma (ce terme va à l'encontre de tout l'esthétique stylistique dont tu as fait preuve ^^), d'osmose avec le cocasse et pernicieux rapace du sommeil - et seulement alors, les voiles noirs, les hommes sans visage, les lèvres vertes prendront la splendeur du givre !
Peut-être que l'aube, encore réticente, s'accrochera à ton visage telle une ombre avide, et les jours confondus avec les nuits craquelées, la pendule immobile sous les scintillements des silences ; mais qu'importe ! A la grotte de l'oubli s'arrête l'oubli mort, un visage tout d'ambre et d'ombre et d'or et de pleurs grimaçant sous l'effort.

Alors, je te le dis tout de suite. J'ai énormément de mal à te suivre.
Mais je vais te faire part de ce que j'ai compris.
Est-ce l'histoire d'un homme au soir de sa vie qui déambule dans les rues froides de l'hiver en pensant à un amour perdu ? Et en faisant ici une extrapolation sur la condition humaine et ses vices ?

Je te dis, j'ai eu du mal à suivre. Voilà qui ne m'étonnerait pas que tu sois fadas d'un gars comme Proust. Tu as une narration très emphatique, il faut l'avouer, peut être un peu trop pour le lecteur lambda. Peut être faudrait-il alléger ce style, le rendre plus accessible au commun des mortels pour qu'il n'y ait pas que toi seul qui puisse comprendre le message que tu as voulu faire passer ...

Mais par contre, les images sont très très belles, notamment celle du sable maculé après le passage de la mer.
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Message  lu-k Lun 3 Aoû 2009 - 20:45

Excusez-moi, mais toutes les coquilles que vous avez repérées n'en sont pas vraiment. Ainsi, toutes les répétitions ou contrastes (par exemple avec l'utilisation du mot "eczéma") sur lequel vous vous questionniez sont volontaires (mis à part pour "psalmodient", une véritable scorie).
Oh, et puisque c'est une prose poétique, ne vous inquiétez pas de votre impression à savoir si elle est juste ou fausse, étant donné que, par les images, un tas d'interprétations relativement différentes sont possibles. La vôtre paraît trop générale ("conditions humaines" ou "vices", c'est quand même un petit peu trop vague) mais n'en reste pas fausse néanmoins ; elle pourrait convenir en étant plus précise.
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Message  Elea Lun 3 Aoû 2009 - 20:52

Moi j'abandonne. Désolée, mais je comprends jamais rien à ce que tu dis Neutral
(Autant dans te stextes que quand tu nous dis quelque chose.)
Mais c'est pas contre toi hein >.<
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Message  kirlim Lun 3 Aoû 2009 - 21:20

Je suis comme Eleazare pour le coup (pour une fois que je ne suis pas différent de tous ^^).

Je n'ai lu que le début, et n'ai pas suivi. J'ai le sentiment de lire de jolies phrases les unes à la suite des autres et qui ne s'assemblent pas entre elles. Je ne parviens pas à saisir le sens ou même le message en réalité.

Dsolé donc \o/
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Message  Pacô Lun 3 Aoû 2009 - 21:49

Voui, mais après faut savoir aussi retravailler son texte.
Peut être que la répétition d'ombre et de lumière est voulue, mais je vois aussi qu'elle fait assez laide puisqu'elle ne respecte aucun rythme.
Ton texte est très beau stylistiquement parlant, mais comme dit kirlim, les phrases mises bout à bout me font l'impression de ne rien vouloir signifier.
Comme de supers belles couleurs et de supers beaux contrastes, jeux de clair obscurs et de dégradés pour une image qui ne représente pas grand chose concrètement.

Le travail là, ce serait d'ouvrir un minimum l'accessibilité à la compréhension du texte.
J'ai essayé de chercher un sens après plusieurs lectures, peut être ai-je trouvé qqchose de très large, mais c'est la seule interprétation que j'ai pu en faire aussi u__u".
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Message  Akira Mar 4 Aoû 2009 - 18:30

En faîtes, je crois comprendre ce qui ne va pas à ton texte. Si tu prenais phrase par phrase, se serait jolie, mais là, on ne comprends pas grand chose. On a du mal à suivre, on finit par abandonner au bout du second paragraphe. Tu as du style, mais en réalité, ta nouvelle est... lourde, ce style est trop lourd. Tu nous sors une ribambelle de phrases soutenus qui font mal aux yeux et à l'esprit. Tu as un talent, ça, c'est clair, mais peut-être devrais-tu faire parfois dans la simplicité...
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