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Pour l’amour de la reine.

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Message  Angeblack Mer 26 Aoû 2009 - 16:58

Il attendit que les gardes passes, le bruit de leurs pas sur le sol couvert de gravillon lui indiquait leur progression, ils seraient bientôt loin, ils allaient tournée dans cinq, quatre, trois, deux, un, zéro ! Ils avaient disparut à l’angle du bâtiment. Enfin ! Il allait pouvoir rentrer dans le château.
Le château de Versailles est l’un des lieux touristiques les mieux protégés de France, mais pas assez au goût de notre voleur Mickael Haite voleur connu dans trois pays et rechercher par interpole pour vol et revente frauduleuse d’œuvre d’art.
La peau noir c’est un jeune martiniquais de vingt-cinq ans, grand il fait un bon mètre quatre-vingt quinze, il est fier de sa haute taille et de son corps battit comme un David. Il jeté un coup d’œil à sa montre, il n’a que quinze minutes avant que les prochains gardes repasse, d’ici la il serait loin partie avec l’objet temps convoité.
Tel un félin il s’élance, quittant ainsi la sécurité des bosquets, monte les marches quatre à quatre et arrive devant la porte qui mène à la galerie des glaces. Un peu plus tôt dans la journée il était venu en simple visiteur ce promener dans le jardin, discrètement sans attirer l’attention d’aucune âme qui vive il avait avec tact ouvert l’une des portes qui permettait au public de passé des jardins à la demeure et collé un morceau de scotch sur le côté de la porte pour empêcher que la serrure se referme mais en donnant l’impression de l’avoir était.
Il n’a donc qu’à baiser la poigné et pénètre à l’intérieur de la galerie. La il baisse le bas sur son visage pour rendre difficile l’identification au cas où il serait filmé, mais il n’avait que peu de crainte de ce côté la, car il prenait soin de rester dans les angles morts.
L’objet de son intrusion n’est d’autre que le fameux collier de la reine Marie-Antoinette. Ce collier volée par la comtesse Jeanne Valois de la Motte qui avait usurpé l’identité de la reine de France, il avait était démanteler et vendu dans différents pays. Au fil des siècles des fidèles de la défunte reine avaient réussit à retrouvé chacune des pierres, donc la valeur total étaient de Deux mille huit cent quarante-deux carats et d’un prix pour l’époque de 1 600 000 livres.
Un bijou trop plaisant pour passée le reste de sa vie enfermes dans une vitrine, le collier avaient était restitué pour soit disant lavé l’honneur de la reine qui avait était innocente de l’affaire pour le vol de celui-ci. Pour Michael cela n’avait aucune importante, et le collier serait certainement plus utilise à lui qu’a une reine de France morte guillotiné depuis deux siècle.
Tel une ombre il traversa la galerie empruntant les passages secrets qu’une des guides lui avait montré après qu’il ce fut lancé dans une petite séance de charme. C’est ainsi qu’il arriva dans la chambre de Marie-Antoinette, le collier était exposé dans une vitrine au ventre de la pièce aux côtés d’une statue qui représentait l’une des dames de la cour vêtu comme une nymphe armé d’une épée.
Plongeant une main dans son sac, il sortit une paire de lunette qui lui permit de voir les rayons infrarouges. Il se servit ensuite de miroir qu’il utilisa pour détournée les lasers. Avec précaution il posa ses mais sur les vitres et la souleva avec précaution.
Il déposa doucement celui-ci sur le sol et porta son attention sur le collier. Jamais il n’avait vu une telle beauté.
Réalisé par Charles Boehmer et Paul Brasenge en 1770 pour Louis XV qu’il destiné à la Duchesse Du Barry, mais le prix et la mort du roi avait fait annuler le projet et le collier était resté sans nouveau propriétaire jusqu'à ce qu’il soit convoité par madame de La Motte.
Les doigts fébriles il souleva avec autant de délicatesse que s’il soulevait un œuf de caille il fit doucement glissé les pierres sur sa main. Un bruit sourd se fit soudain entendre, le voleur se figea, ses yeux s’écarquillèrent sous la surprise, l’homme s’écroula sur le sol sans comprendre ce qui venait de lui arriver, une flaque de sang se répandit autour de lui. La vie le quitta avant qu’il ne puisse sans rendre compte.

*******

Qu’avait il bien put se passée ? se demanda le commissaire Eric Ticna.
Au petit matin on l’avait sortit de son lit et demander de venir de toute urgence au château de Versailles. Une sueur froide coulait le long de son dos quand il raccrocha, comme chacun dans Paris il savait que l’on exposait depuis deux jours le fameux collier de la discorde, le collier de la Reine Marie Antoinette. Aillant participé à son transfert il avait put admirer la beauté du bijou mais également comprit sa dangerosité. Ce que Jeanne Valois de la Motte avait dérobé, pourrait très bien attirer la convoitise des hommes ou des femmes du XXI siècle.
Une fois sur place, son adjoint l’attendait avec un de ses jus de chaussettes qu’on osait appeler café et qui malgré le goût infecte était la drogue de tout bon policier. Ses sourcils avaient presque disparu sous sa frange quand il avait vu le cadavre au pied du fameux collier.
-Bon sang JC ! s’exclama-t-il. Que ce qui c’est passée ici ?
-On est payé pour le savoir patron. C’est l’un des gardiens qui la trouver.
-Est-ce qu’on sait les causes de la mort ? demanda Eric en portant sa tasse à ses lèvres.
-Il a était embroché comme un poulet sans mauvais jeu de mot, ajouta-t-il sous le regard sombre de son supérieur. D’après le doc il s’agirait d’une épée.
-Et est ce qu’on aurait retrouvé l’arme du crime ?
-Bien justement c’est ça le problème, on la mais il est impossible que se soit cette épée.
-Et pourquoi donc ?
Il se poussa et lui montra la statue qui se trouvait prés du cadavre, il s’agissait d’une très belle femme, avec une épée à la main, une épée couverte de sang.
-Comme l’arme a été sculpté, on ne peu pas la retirer, on ne sait pas comment l’assassin s’y est prit mais il lui a belle et bien passée l’épée au travers du corps.
La chambre de la reine fut interdit au public pour la journée ce qui permet au commissaire et à ses hommes de travaillés sans être déranger. Le soir était tombé quand les hommes quittèrent la pièce, seule Eric et son adjoint restèrent encore.
-Vous devriez rentrer chez vous patron, on ne pourra plus rien tiré.
-Rentrez-chez vous je souhaite encore rester un moment.
Il entendit la porte se refermé. Avec élégance il se redressa et arpenta de nouveau la pièce. Il se tourna alors vers le collier, pourquoi avoir tué un voleur et laisser son butin sur place ?
Sans qu’il ne sache pourquoi un frisson l’envahie, il était à la fois terrifier et fasciné par cet objet. Est-ce qu’il était lourd ? Avec douceur il souleva le socle et prit le collier dans ses mains. Sa valeur était l’équivalent de son poids. Les pierres étaient chaudes contre sa peau.
Soudain la température chuta dans la chambre, Eric ne dit la vie qu’à sa longue expérience de policier. Il évita le coup d’épée en se jetant sur le sol. Sous ses yeux, il vit la statue prendre vie.
-Bon sang mais qui êtes vous ?
-Je suis l’ombre de la reine, et je vais vous punir pour votre cupidité. Ses pierres ont étaient récupérer par les chevaliers du poignard en hommage à notre reine.
-Je ne suis pas un voleur !
-Seule la reine peut toucher ce bijoux, mon devoir et de veilliez sur lui jusqu'à ce qu’il soit rendu à la reine.
-Marie-Antoinette est morte depuis deux siècles.
Mais la statue ne sembla pas l’entendre, elle regarda tout autour d’elle et appelait doucement « ma reine, ma reine » c’est alors qu’il déclara.
-Je sais ou elle est.
Elle tourna son visage de glace vers lui.
-Conduisait moi ! ordonna-t-elle.
Elle s’empara du collier est le suivit, Eric ce demanda ce qui lui était passée par la tête, mais il conduisit la femme jusqu’à Saint-Denis, une fois à l’intérieur il la conduisit jusqu’au mausolée de Marie-Antoinette. Des larmes coulèrent le long des joues de marbre, elle se tourna vers Eric et murmura :
-Merci
Elle s’avança jusqu’à la statue de la reine et avec une force qui effraya le commissaire souleva la pierre et déposa le collier sur les restes de la souveraine.
-Attendez ! Dite moi votre nom.
-Je suis l’amie de la reine.
Puis elle disparu, pourquoi ne lui avait elle pas donner son nom ? Est-ce qu’il n’avait pas rêvé ce qui venait de ce passé ? D’une démarche peu assurez il quitta Saint Denis et alla trouver le refuge de son appartement. Mais au lieu de se couché il alla se planté devant son ordinateur et tapa les mots suivant.
« Amie de la reine Marie-Antoinette »
Il cliqua sur la galerie des images et la il la vit, un sourire s’étira sur ses lèvres. Sous son portrait était écrit :
« Morte torturé le 3 septembre 1792 par amour de sa reine. »

Fin
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Message  Laumie Mer 26 Aoû 2009 - 18:03

Je vais te paraître dure mais autant y'aller à la franche :
- Ton texte est truffé de fautes de tous genres : Participes passés mal orthographiés, phrases trop longues et qui veulent rien dire, des verbes conjugués n'importe comment, bref, tu nous donnes pas envie de le lire.
- Tu commences ton texte au passé et d'un seul coup, tu passes au Présent pour repasser plus bas au passé. Faut choisir, tu peux pas mélanger les 2 dans un récit.

Je sais pas si tu t'es relu/e avant de poster ton texte, mais un conseil, repasse derrière avec Word ou un dico, et reposte la quand y'aura moins de fautes.
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Message  Angeblack Mer 26 Aoû 2009 - 18:45

M**** j'ai mis la version non corrigée! je vais voir ou j'ai rangé ça et modifirais
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Message  Laumie Mer 26 Aoû 2009 - 18:56

Oki fais signe ^^
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Message  Lou Mer 26 Aoû 2009 - 23:23

Il y a pas mal de répétitions de même mots aussi...
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Message  Liven d'Eleissen Jeu 27 Aoû 2009 - 8:46

Je redirais vite fait les mêmes choses que les autres. Des phrases assez mal rythmées, qui partent un peu dans tous les sens: tu exprimes parfois deux ou trois idées différentes dans la même. Il faudrait que tu fasses davantage de phrases même si elles sont plus courtes. Je dirais surtout que c'est un texte qui manque de rigueur.

Au niveau du fond, quelques remarques sur le château de Versailles. J'imagine que tu n'y es jamais allée? La chambre de la reine ne permettrait pas l'exposition du collier. Elle est déjà beaucoup trop chargée en elle-même. La beauté de la chambre et celle du collier s'annulerait mutuellement, on perdrait à la fois l'une et l'autre. De plus, d'un simple niveau pratique, elle comporte déjà le lit, des commodes etc. Un collier n'aurait rien à y faire.
Aussi à un moment, tu parles de saint-Denis, comme si c'était juste à côté du château. Ce n'est pas absolument pas le cas. La basilique des rois de France est située au nord-est de Paris, pas à l'Ouest comme Versailles. Ou alors, il faut que tu rajoutes une phrase ou deux pour dire qu'il prend sa voiture et encore, il lui faudrait plus d'une heure, je pense, pour contourner toute la région parisienne.

car il prenait soin de rester dans les angles morts.
Là aussi, ça m'a gêné. Ils sont bien utiles, ces angles morts dans les récits d'aventure mais ils sont très petits, en réalité. Les caméras sont faites pour balayer un maximum et il y en a a rarement une seule. Les angles morts se situent normalement juste sous les caméras. Donc pas très utiles pour un voleur. Il se fera forcément filmé. Et je ne connais pas le système de surveillance du château mais j'imagine qu'il y a bien un ou deux vigiles de l'autre côté des caméras qui remarqueraient aussitôt l'intrusion...
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Message  kirlim Sam 29 Aoû 2009 - 21:41

J'attends la version corrigée pour jeter un œil donc ? Smile
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Message  Laumie Sam 29 Aoû 2009 - 23:03

J'crois qu'il vaut mieux oui ^^
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Message  La Baguette Dim 30 Aoû 2009 - 7:52

Ce qui me gêne le plus, c'est quand même la toute fin de la nouvelle. Je pense que si on tape " amie de la reine Marie-Antoinette " sur Google, on pourra passer de nombreuses heures devant son écran avant de retrouver une personne précise...
Et puis il faut pas oublier le contexte historique aussi. Cette femme a-t-elle vraiment existé ? Quel était son nom ?
Enfin à mon avis il faudrait retravailler la fin...
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Message  Pacô Mar 1 Sep 2009 - 8:46

Angeblack a écrit:Il attendit que les gardes passent, le bruit de leurs pas sur le sol couvert de gravillon lui indiquait leur (répétition) progression, ils seraient bientôt loin, ils allaient tourner dans cinq, quatre, trois, deux, un, zéro ! (euh oui mais tourner où ? comment ?) Ils avaient disparu à l’angle du bâtiment. Enfin ! Il allait pouvoir rentrer dans le château.
Le château de Versailles est l’un des lieux touristiques les mieux protégés de France, mais pas assez au goût de notre voleur Mickael Haite voleur connu dans trois pays et recherché par Interpole pour vol (sans dec', un voleur recherché pour vol ^^) et revente frauduleuse d’œuvres d’art.
La peau noire c’est un jeune martiniquais de vingt-cinq ans, grand il fait un bon mètre quatre-vingt quinze, il est fier de sa haute taille et de son corps batti comme un David(david ?)(bizarre ce passage ô_O). Il jeta (ou jetait ?) un coup d’œil à sa montre, il n’avait (oh pourquoi du présent tout à coup ?) que quinze minutes avant que les prochains gardes ne repassent, d’ici là il serait loin parti avec l’objet tant convoité.
Tel un félin il s’élance, quittant ainsi la sécurité des bosquets, monte les marches quatre à quatre et arrive devant la porte qui mène à la galerie des glaces. Un peu plus tôt dans la journée il était venu en simple visiteur se promener dans le jardin, discrètement sans attirer l’attention d’aucune âme qui vive (oulah, tu t'embrouilles dans les expressions. sans attirer l'attention d'aucune âme, tout simplement. Aucune âme qui vive ça veut dire que y'a personne, que c'est désert) il avait avec tact ouvert l’une des portes qui permettait au public de passer des jardins à la demeure et collé un morceau de scotch sur le côté de la porte pour empêcher que la serrure ne se refermât mais en donnant l’impression de l’avoir été (ouah, c'est super maladroit !! + très peu judicieux d'insérer ce passage explicatif en plein milieu de l'action !).
Il n’a donc qu’à baisser la poignée et pénétrer à l’intérieur de la galerie. Là il baisse (répétition) le bas sur son visage pour rendre difficile l’identification au cas où il serait filmé, mais il n’avait que peu de crainte de ce côté là, car il prenait soin de rester dans les angles morts. (oui donc c'est tout à fait inutile ce qu'il fait et c'est pas digne d'un pro ?)
L’objet de son intrusion n’est d’autre que le fameux collier de la reine Marie-Antoinette. Ce collier volé par la comtesse Jeanne Valois de la Motte qui avait usurpé l’identité de la reine de France, il avait été démantelé (démantelé ? Le collier ? euh regarde la définition de démanteler ^^) et vendu dans différents pays. Au fil des siècles des fidèles de la défunte reine avaient réussi à retrouver chacune des pierres, donc la valeur totale était de Deux mille huit cent quarante-deux carats et d’un prix pour l’époque de 1 600 000 livres.
Un bijou trop plaisant pour passer le reste de sa vie enfermé dans une vitrine, le collier avait été restitué pour soit disant lavé l’honneur de la reine qui avait était innocente de l’affaire pour le vol de celui-ci. (la pauvre, je crois bien qu'elle s'en foutait bien à cetet époque. Il me semble que la révolution lui a peu plus prise la tête même Laughing ) Pour Michael cela n’avait aucune importante, et le collier serait certainement plus utile à lui qu’à une reine de France morte guillotinée depuis deux siècles.
Telle une ombre (répétition de structure de début de paragraphe) il traversa la galerie empruntant les passages secrets qu’une des guides lui avait montré après qu’il se fut lancé dans une petite séance de charme. C’est ainsi qu’il arriva dans la chambre de Marie-Antoinette, le collier était exposé dans une vitrine au ventre de la pièce aux côtés d’une statue qui représentait l’une des dames de la cour vêtue comme une nymphe armée d’une épée.
Plongeant une main dans son sac, il sortit une paire de lunette qui lui permit de voir les rayons infrarouges (genre ^^). Il se servit ensuite de miroir qu’il utilisa pour détourner les lasers. Avec précaution il posa ses mains sur les vitres et la souleva avec précaution. (trouve moi le problème ^^)
Il déposa (répétition) doucement celui-ci sur le sol et porta son attention sur le collier. Jamais il n’avait vu une telle beauté.
Réalisé par Charles Boehmer et Paul Brasenge en 1770 pour Louis XV qu’il destinait à la Duchesse Du Barry, mais le prix et la mort du roi avaient fait annuler le projet et le collier était resté sans nouveau propriétaire jusqu'à ce qu’il soit convoité par madame de La Motte.
Les doigts fébriles il souleva avec autant de délicatesse que s’il soulevait un œuf de caille (c'est sûr, c'est si délicat un oeuf de caille ^^) il fit doucement glisser les pierres sur sa main. Un bruit sourd se fit soudain entendre, le voleur se figea, ses yeux s’écarquillèrent sous la surprise, l’homme s’écroula sur le sol sans comprendre ce qui venait de lui arriver, une flaque de sang se répandit autour de lui. La vie le quitta avant qu’il ne puisse sans rendre compte.

*******

Qu’avait il bien pu se passer ? se demanda le commissaire Eric Ticna.
Au petit matin on l’avait sorti de son lit et demandé de venir de toute urgence au château de Versailles. Une sueur froide coulait le long de son dos quand il raccrocha, comme chacun dans Paris il savait que l’on exposait depuis deux jours le fameux collier de la discorde, le collier de la Reine Marie Antoinette. Ayant (mon dieu comme tu me l'as écorché ô_O) participé à son transfert il avait pu admirer la beauté du bijou mais également compris sa dangerosité. Ce que Jeanne Valois de la Motte avait dérobé, pourrait très bien attirer la convoitise des hommes ou des femmes du XXIème siècle.
Une fois sur place, son adjoint l’attendait avec l'un de ses jus de chaussettes qu’on osait appeler café et qui malgré le goût infecte était la drogue de tout bon policier. Ses sourcils avaient presque disparu sous sa frange quand il avait vu le cadavre au pied du fameux collier.
-Bon sang JC ! s’exclama-t-il. Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ?
-On est payé pour le savoir patron. C’est l’un des gardiens qui l'a trouvé.
-Est-ce qu’on sait les causes de la mort ? demanda Eric en portant sa tasse à ses lèvres.
-Il a été embroché comme un poulet sans mauvais jeu de mot, ajouta-t-il sous le regard sombre de son supérieur. D’après le doc il s’agirait d’une épée.
-Et est ce qu’on aurait retrouvé l’arme du crime ?
-Bien justement c’est ça le problème, on la mais il est impossible que se soit cette épée.
-Et pourquoi donc ?
Il se poussa et lui montra la statue qui se trouvait prés du cadavre, il s’agissait d’une très belle femme, avec une épée à la main, une épée couverte de sang.
-Comme l’arme a été sculpté, on ne peut pas la retirer, on ne sait pas comment l’assassin s’y est pris mais il lui a bel et bien passé l’épée au travers du corps. (au pire ... il le pousse dessus, ça marche aussi)
La chambre de la reine fut interdite au public pour la journée ce qui permit au commissaire et à ses hommes de travailler sans être dérangés. Le soir était tombé quand les hommes quittèrent la pièce, seuls Eric et son adjoint restèrent encore.
-Vous devriez rentrer chez vous patron, on ne pourra plus rien en tirer.
-Rentrez [as de trait d'union] chez vous je souhaite encore rester un moment.
Il entendit la porte se refermer. Avec élégance il se redressa et arpenta de nouveau la pièce. Il se tourna alors vers le collier, pourquoi avoir tué un voleur et laisser son butin sur place ?
Sans qu’il ne sache pourquoi un frisson l’envahit, il était à la fois terrifié et fasciné par cet objet. Est-ce qu’il était lourd ? Avec douceur il souleva le socle et prit le collier dans ses mains. Sa valeur était l’équivalent de son poids. (il pèse 1 600 000 kilos ? XD) Les pierres étaient chaudes contre sa peau.
Soudain la température chuta dans la chambre, Eric ne dut la vie qu’à sa longue expérience de policier. Il évita le coup d’épée en se jetant sur le sol. Sous ses yeux, il vit la statue prendre vie.
-Bon sang mais qui êtes vous ?
-Je suis l’ombre de la reine, et je vais vous punir pour votre cupidité. Ses pierres ont été récupérées par les chevaliers du poignard en hommage à notre reine.
-Je ne suis pas un voleur !
-Seule la reine peut toucher ce bijoux, mon devoir et de veilliez sur lui jusqu'à ce qu’il soit rendu à la reine.
-Marie-Antoinette est morte depuis deux siècles.
Mais la statue ne sembla pas l’entendre, elle regarda tout autour d’elle et appelait doucement « ma reine, ma reine » c’est alors qu’il déclara.
-Je sais ou elle est.
Elle tourna son visage de glace vers lui.
-Conduisez-moi ! ordonna-t-elle.
Elle s’empara du collier et le suivit. Eric se demanda ce qui lui était passé par la tête, mais il conduisit la femme jusqu’à Saint-Denis, une fois à l’intérieur il la conduisit jusqu’au mausolée de Marie-Antoinette. Des larmes coulèrent le long des joues de marbre, elle se tourna vers Eric et murmura :
-Merci
Elle s’avança jusqu’à la statue de la reine et avec une force qui effraya le commissaire souleva la pierre et déposa le collier sur les restes de la souveraine.
-Attendez ! Dites-moi votre nom.
-Je suis l’amie de la reine.
Puis elle disparut, pourquoi ne lui avait-elle pas donner son nom ? Est-ce qu’il n’avait pas rêvé ce qui venait de se passer (de se produire, tu répètes trop trop trop ce verbe) ? D’une démarche peu assurée il quitta Saint Denis et alla trouver le refuge de son appartement. Mais au lieu de se coucher il alla se planter devant son ordinateur et tapa les mots suivant.
« Amie de la reine Marie-Antoinette »
Il cliqua sur la galerie des images et la il la vit, un sourire s’étira sur ses lèvres. Sous son portrait était écrit :
« Morte torturée le 3 septembre 1792 par amour de sa reine. »
Fin (je déteste ce mot "fin" parce que généralement, quand le texte est terminé, c'est la fin u__u").

Boooon ...
Tu as un énorme souci de narration, en plus d'un gigantesque souci d'orthographe. Je sais pas si j'ai réussi à tout te corriger ... u__u".
Malheureusement ça, y'a que toi qui peut te corriger en apprenant par coeur les règles de conjugaison (on peut plus faire grand chose quand tu conjugues: "il a était" =/).

Pour l'histoire, elle est un peu ... bancale. Lesurnaturel est là ... mais pas assez mystifié. Pas assez troublant pour que vraiment on le prenne au sérieux. et ça, ça m'a dérangé. Surtout que je ne vois pas le rapport entre le collier, son vol et l'amie torturée (surotut que en plus, l'amie de la reine, je pense qu'elle n'en avait pas qu'une).

Tout ça fait que j'ai très moyennement apprécié. Pourquoi pas ... mais faut vraiment tout retravailler Wink.
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Message  kirlim Mar 1 Sep 2009 - 10:37

Angeblack a écrit:M**** j'ai mis la version non corrigée! je vais voir ou j'ai rangé ça et modifirais

Ce n'était pas la bonne version, pacô. Rolling Eyes
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Message  Pacô Sam 5 Sep 2009 - 9:03

Bah ça m'aura toujours fait penser à autre chose qu'à la rentrée ce jour là Razz.
J'espère que la version corrigée est très éloignée de cette version là au moins =/.
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Message  Angeblack Ven 11 Sep 2009 - 8:14

Je te remerci paco Smile et désolée de t'avoir donnée la mauvaise version -_- je ne retrouve pas la version corrigé donc je retravail sur le texte et vous la déposerais Smile
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Message  Angeblack Dim 20 Sep 2009 - 16:45

Voici la nouvelle a peu prés corrigé donc j'espère qu'elle vous plaira mieut que la précédente version

Pour l’amour de la reine.

Il attendit que les gardes passent. Sur le sol couvert de gravillons, le bruit de leurs pas lui indiquait leur progression : bientôt, ils seraient loin, et ils allaient tourner dans cinq, quatre, trois, deux, un, zéro ! Ils avaient disparu à l’angle du bâtiment. Enfin ! Il va pouvoir entrer dans le château.
Le Château de Versailles est l’un des lieux touristiques les mieux protégés de France, mais pas assez au goût de notre voleur Mickael Haite, voleur connu dans trois pays, et recherché par Interpol pour vols et reventes frauduleuses d’œuvres d’art.
C’était un jeune Martiniquais de vingt-cinq ans, faisant un bon mètre quatre-vingt quinze. Il était fier de sa haute taille et de son corps, ressemblant à une statue de David. Il jeta un coup d’œil à sa montre, et s’aperçut qu’il ne lui restait que quinze minutes avant que les prochains gardes ne passent ! D’ici là, il serait parti avec l’objet tant convoité !
Quittant ainsi la sécurité des bosquets, il s’élança, tel un félin, afin de gravir les marches quatre à quatre, et d’arriver devant la porte menant à la « Galerie des Glaces ». Un peu plus tôt dans la journée, il était venu, en simple visiteur, se promener dans le jardin ; discrètement, sans attirer l’attention d’aucune âme qui vive, il avait fort habilement ouvert l’une des portes permettant au public de passer des jardins à la demeure, et il en avait profité pour coller un morceau de scotch sur le côté de la porte, pour empêcher à la serrure de se refermer, tout en donnant l’impression de l’avoir été.
Il n’eut donc qu’à baisser la poignée, et à pénétrer à l’intérieur de la « Galerie ». Puis, pour ne point être reconnu par le biais du système de surveillance, il baissa son visage, même s’il n’avait que peu de crainte de ce côté-là, attendu qu’il prenait toujours soin de rester dans les angles morts.
L’objet de son intrusion n’était autre que le fameux collier de la Reine Marie-Antoinette. Volé par la Comtesse Jeanne Valois de la Motte qui avait usurpé l’identité de la Reine de France, ce collier avait été desserti, afin que les pièces puissent être vendues dans différents pays. Au fil des siècles, des Fidèles de la défunte Reine avaient réussi à retrouver les pierres : chacune d’elles faisait Deux mille huit cent quarante-deux carats, et, à l’époque, leur valeur atteignait 1 600 000 livres.
Il s’agissait d’un bijou trop « extraordinaire » pour passer le reste de sa vie enfermé dans une triste vitrine !! Le collier avait été restitué, pour soi-disant, laver l’honneur de la Reine, ayant ainsi pu être innocentée de l’affaire concernant ce vol. Pour Michael, tout cela n’avait aucune importance ! Ce collier lui serait certainement plus utile qu’à une Reine de France, morte guillotinée depuis deux siècles.
Telle une ombre, il traversa la « Galerie », en empruntant les passages secrets qu’une des guides lui avait montrés après qu’il lui se soit livré à une petite séance de charme. C’est ainsi qu’il arriva dans la chambre de Marie-Antoinette : le collier était exposé dans une vitrine située au centre de la pièce, aux côtés d’une statue qui représentait l’une des dames de la cour, vêtue comme une nymphe armée d’une épée.
Plongeant une main dans son sac, il sortit une paire de lunettes qui lui permit de voir les rayons infrarouges. Il se servit ensuite de miroirs afin de détourner les lasers. Avec précaution, il posa ses mains sur la vitrine, et la souleva très lentement.
Fort silencieusement, il la déposa sur le sol, puis reporta toute son attention sur le collier. Jamais il n’avait vu une telle beauté !
Il avait été créé par Charles Boehmer et Paul Brasenge en 1770 pour Louis XV, que ce dernier destinait à la Duchesse Du Barry. Toutefois, le prix et la mort du roi avaient fait annuler le projet, et le collier était resté sans nouveau propriétaire, avant d’être convoité par Madame de La Motte.
Les doigts fébriles, il le souleva avec autant de délicatesse que s’il soulevait un « œuf de caille », et fit doucement glisser les pierres dans sa main. Un bruit sourd se fit soudain entendre ! Le voleur se figea, et ses yeux s’écarquillèrent sous la surprise : sans qu’il ait le temps de comprendre ce qui se passait, un homme vint s’écrouler devant lui, une large flaque de sang se répandit aussitôt ! La vie le quitta avant qu’il ne puisse sans rendre compte.




********
Qu’avait-il donc bien pu se passer ? se demanda le Commissaire Éric Ticna.


Au petit matin, on l’avait sorti de son lit, et demander de venir de toute urgence au Château de Versailles. Quand il raccrocha, il s’aperçut que des gouttes de sueur coulaient tout le long de son dos. Comme chacun dans Paris, il savait que, depuis deux jours, on exposait le fameux collier de la discorde : le collier de la Reine Marie Antoinette. Ayant participé à son transfert, il avait pu admirer la splendeur du bijou mais, en fin limier qu’il était, il avait aussitôt envisagé sa dangerosité ! Ce que Jeanne Valois de la Motte avait dérobé, pourrait très bien attirer la convoitise des hommes ou des femmes du XXIe siècle !!
Une fois sur place, son adjoint l’attendait avec un de ces « jus de chaussettes » qu’on osait appeler du « café », et qui, malgré son goût infect, était la drogue de tout bon policier. Ses sourcils avaient presque disparu sous sa frange quand il avait vu le cadavre au pied du fameux collier.
-Bon sang JC ! s’exclama-t-il. Que s’est-il passé ici ?
-On est payé pour le savoir Patron ! C’est l’un des gardiens qui l’a trouvé.
-Est-ce qu’on connaît les causes de la mort ? demanda Éric en portant sa tasse à ses lèvres.
-Il a été embroché comme un poulet, sans mauvais jeu de mots !! ajouta-t-il sous le regard sombre de son supérieur. D’après le doc, il s’agirait d’une épée !
-Et est-ce qu’on a retrouvé l’arme du crime ?
-Ben justement c’est ça le problème ! On l’a, mais il est impossible que ce soit cette épée !!
-Et pourquoi donc ?
Il se poussa et désigna la statue qui se trouvait près du cadavre. Il s’agissait d’une très belle femme, avec une épée à la main : une épée couverte de sang.
-Comme l’arme a été sculptée, il est impossible de la retirer ! Donc, on ignore comment l’assassin s’y est pris, mais il lui a bel et bien passé l’épée au travers du corps.
La chambre de la Reine fut interdite au public pendant toute la journée, ce qui permit au commissaire et à ses hommes de travailler sans être dérangés. Le soir était tombé, quand ils quittèrent tous la pièce, et seul Éric et son adjoint restèrent encore.
-Vous devriez rentrer chez vous Patron. On ne pourra plus rien tirer de ce lieu !
-Rentrez chez vous ! Je souhaite rester encore un moment.
Il entendit la porte se refermer. Avec élégance, il se redressa et arpenta de nouveau la pièce. Il se tourna alors vers le collier : pourquoi avoir tué un voleur et laisser son butin sur place ?
Sans qu’il ne sache pourquoi un frisson l’envahit ! Il était à la fois terrifié et fasciné par cet objet ! Est-ce qu’il était lourd ? Avec douceur, il souleva le socle et prit le collier dans ses mains. Sa valeur était l’équivalent de son poids. Les pierres étaient chaudes contre sa peau.
Soudain, la température se mit à chuter dans la chambre, et Éric n’eut la vie sauve que grâce à sa longue expérience de policier ! Il évita le coup d’épée en se jetant sur le sol. Sous ses yeux, il vit la statue prendre vie.
-Bon sang ! Mais qui êtes-vous ?
-Je suis l’ombre de la Reine, et je vais vous punir pour votre cupidité ! Ces pierres ont été récupérées par les « Chevaliers du Poignard » en hommage à Notre Reine.
-Je ne suis pas un voleur !
-Seule la Reine peut toucher ce bijou. Mon devoir est de veiller sur lui jusqu'à ce qu’il lui soit rendu !!
-Marie-Antoinette est morte depuis deux siècles ! répondit-il totalement abasourdi.
Toutefois, la statue ne parut pas l’entendre. Elle regarda tout autour d’elle, et se mit à murmurer : « Ma Reine ! Ma Reine ! ». C’est alors qu’Éric lui dit :
-Je sais où elle se trouve !
Elle tourna son visage de glace vers lui.
-Veuillez me conduire jusqu’à elle ! ordonna-t-elle.
Elle s’empara du collier et le suivit. Éric se demanda ce qui lui était passé par la tête, mais il conduisit la femme jusqu’à Saint-Denis. Une fois à l’intérieur, il la mena vers le Mausolée de Marie-Antoinette. Des larmes coulèrent le long de ses joues de marbre. Puis, elle se tourna vers Éric et susurra :
-Merci
Elle s’avança jusqu’à la statue de la Reine et, avec une force qui effraya le commissaire, souleva la pierre afin de déposer le collier sur les Restes de Sa Souveraine.
-Attendez ! Dites-moi au moins votre nom !
-Je suis l’amie de la Reine !
Sans ajouter un seul mot, elle disparut. Pourquoi ne lui avait-elle pas donné son nom ? Est-ce qu’il n’avait pas rêvé tout ce qui venait de se passer ? D’une démarche peu assurée, il quitta Saint-Denis et alla trouver refuge dans son appartement. Cependant, au lieu de se coucher, il alla se planter devant son ordinateur et tapa les mots suivants :
« Amie de la Reine Marie-Antoinette »
Il cliqua sur la galerie des images, et là, il la vit ! Un sourire s’étira sur ses lèvres. Sous son portrait était écrit :
« Morte torturée le 3 septembre 1792, par amour de Sa Reine. »

Fin
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