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Message  Hily Mar 27 Oct 2009 - 20:22

[Un vieil écrit qui vient d'être ressuscité ... ]






Les nuits où la Lune est entière ne sont jamais des nuits comme les autres. Le claire de lune donne la sensation que le soleil a oublié de s'éteindre et qu'il s'est fondu dans la Lune pour lui donner cet éclat blanc qui fait que la nuit devient semblable au jour. On pourrait vivre les nuits au clair de lune.
___________________

Sur la petite île d'Atlantis, si quelqu'un avait eu l'idée de rester éveillé pendant ces quelques heures de clarté lunaire, il aurait pu voir se détachant du ciel bleu nuit, une forme blanchâtre passer dans les airs. Si cette même personne avait regardé attentivement, elle aurait pu voir que cette forme n'était autre qu'un oiseau et que cet oiseau tenait serré dans ses serres un paquet ressemblant à une enveloppe. L'oiseau serrait tellement fort l'enveloppe qu'il y laissait des marques de serres. On aurait dit qu'il avait compris l'importance de cette lettre et qu'il ne la perdrait pour rien au monde.
Si notre veilleur de nuit avait veillé, il aurait aussi remarqué que cet oiseau blanc,survola l'île et alla se poser dans la plus haute tour du pigeonnier du Lycée de l'île.




Les doux rayons du soleil filtraient à travers les franges de fils qui servaient de rideau. Dans la pièce qu'ils inondaient de lumière, dormait plus ou moins une belle demoiselle. Celle-ci était engloutie sous une énorme couette blanche. Quand les rayons vinrent caresser son doux visage d'enfant, la jeune fille poussa une sorte de gémissement grâce auquel on pouvait savoir qu'elle était encore quelque part dans les bras de Morphée. D'un coup sec elle envoya valser sa couette et sauta hors de son lit. Les cheveux en bataille et les yeux encore pleins de sommeil, la jeune fille se dirigea vers sa chaise ou attendait quelques vêtements. Elle prit le temps de s'étirer avant de rentrer dans son pantalon et de mettre son sweat-shirt à capuche.

Lorsqu'elle eut fini de s'habiller, elle s'approcha de la fenêtre de sa chambre et l'ouvrit complètement. L'air glacé du matin lui sauta à la figure et elle en sourit. Elle resta comme à son habitude quelques instants à la fenêtre. Cette prise d'air matinale, lui mit du rose aux joues et fit devenir légèrement rouge, son petit nez. Après avoir tâter de la température extérieure très fraiche pour la saison, la demoiselle se dirigea vers son armoire, fouilla dedans quelques instants et en sortit une grande écharpe de tissus beige et des gants en laine. Elle les enfila et avança vers la sortie de sa chambre sans prendre le temps de faire son lit et de fermer sa fenêtre.

Elle sortit dans le couloir, en tirant sa porte derrière elle. Elle s'arrêta un instant écoutant le silence qui régnait dans les couloirs du dortoir. La demoiselle regarda l'heure à sa montre : 5 h 25. Pour certains elle pouvait paraitre matinale, mais cela faisait plusieurs heures qu'elle était éveillée et sans savoir pourquoi, elle n'avait pas pu se rendormir. Elle prit donc le chemin de la sortie de la maison du Dieu des vents en marchant sur la pointe des pieds. C'est le sourire aux lèvres qu'elle poussa la lourde porte de sa maison et se précipita dehors.

Le sol était gelé et ses pas faisaient craquer l'herbe. Bientôt on pourrait suivre son chemin à la trace. La demoiselle regarda le ciel qui était encore à moité noir. Elle sourit à la Lune et au Soleil comme si ils étaient de vieux amis. Le froid passait à travers ses vêtements et lui glaçait la peau. Elle se dépêcha d'arriver jusqu'à la volière.

Quand elle arriva devant le bâtiment, la jeune fille ouvrit la porte de bois en tirant sur l'anneau de fer qui se trouvait à mi-hauteur de la porte. Elle referma derrière elle et monta les escaliers pour aller à l'étage le plus haut. L'irlandaise aimait se retrouver là haut; On dominait toute l'île de ce point culminant. Elle aimait aussi le silence qui régnait au moment du soleil levant, c'est pourquoi elle venait toujours chercher ses lettres le matin de très bonne heure quand personne n'était encore levé. Elle monta les marches quatre à quatre, le fait d'aller par le matin froid avait fini de la réveiller et elle était maintenant impatiente de lire la lettre qui l'attendait là-haut.

Depuis qu'elle était à Atlantis, la jeune fille avait entretenu une liaison postale avec son meilleur ami Sean. Aujourd'hui sa lettre devait arriver par l'intermédiaire d'un oiseau postal. La jeune fille était friande des lettres de son ami. C'est elles qui l'avaient fait tenir quand elle avait eu le mal du pays. C'est lui qui l'avait aidé à accepter la séparation avec son île natale. C'est grâce à lui que la demoiselle était restée sur l'île, qu'elle avait repris goût à la vie et qu'elle était de nouveau souriante. C'est grâce à lui que Niamh était tout simplement elle.

La jeune fille franchit les dernières marches et arriva enfin au dernier étage. Elle s'arrêta, le souffle court et le sourire aux lèvres. Son coeur battait, non seulement parce qu'elle venait de faire un effort dans le froid glacial mais aussi car elle savait que la lettre était là. l'oiseau qu'ils utilisaient habituellement était posé sur un perchoir et il tenait dans ses serres la lettre. La jeune fille prit quelques graines dans un sachet mit à disposition et s'approcha de l'oiseau. Elle lui parla comme si il pouvait la comprendre.

" Petit z'wazoo, viens, je ne vais pas te manger, tiens regarde, j'ai des petites graines pour toi mon cœur. "

L'oiseau se laissa approcher facilement et la jeune fille put récupérer son bien. Elle resta un instant à caresser l'oiseau puis celui-ci poussa un petit cri, comme pour lui rappeler qu'il n'était pas une peluche. La demoiselle lui sourit et le regarda un instant à faire son fier avant de reporter son attention sur la lettre.

La première chose qu'elle remarqua,fut que l'enveloppe n'était pas la même que les précédentes. Elle n'y fit pas vraiment attention, mais quand elle vit que l'écriture avec laquelle était inscrite l'adresse n'était pas celle de Sean mais celle de sa mère, la jeune fille sentit une boule se former dans le creux de son ventre. Pourquoi sa mère lui écrivait-elle? Normalement c'était Sean qui faisait passer les informations. La jeune fille retourna l'enveloppe et arracha le cachet qui la tenait fermée. Dans sa précipitation, l'enveloppe lui échappa des mains et l'irlandaise pesta. Quand elle se pencha pour la récupérer, elle fit tomber par terre deux lettres. Un lettre était écrite sur le papier à lettre de Sean et l'autre lettre était accroché à cette dernière par un scotch. La jeune fille se pencha en fronçant les sourcils. Elle prit les lettres et les porta à ses yeux. Elle détacha la première lettre et l'ouvrit.


Niamh,



Je ne sais comment t'annoncer ce qui va suivre, car peu importe la façon dont je l'énoncerai, cette nouvelle te fera du mal. J'espérai ne jamais à avoir t'écrire ceci, mais te tenir dans l'ignorance est bien plus abominable. Je voudrais que tu saches, ma petite fille adorée, que je serais toujours là pour toi,. Je sais que tu vas avoir besoin de réconfort, enfin non, réconfort est un euphémisme, mais je ne sais quel mot mettre à la place. Alors sois forte mon enfant, ne fais pas n'importe quoi avec ta vie car elle est précieuse.

Niamh, ce qui va suivre est très dur. Je suis désolée de devoir t'apprendre ça par une petite lettre insignifiante et j'en ai honte. Niv', Sean est mort emporté par une maladie orpheline. Il est tombé malade juste après ton départ pour Atlantis, il s'est battu pendant 7 mois, mais la maladie l'a emporté il y a deux jours. Quand tu recevra cette lettre, ses cendres auront déjà été dispersées en mer cela sa volonté.
Niamh je t'en supplie ne fais pas de bêtises, il n'aurait pas voulut que tu gâches ta vie. Je sais qu'il était tout pour toi et que le vide qu'il laissera sera immense et que tu pourras peut-être jamais le combler. Te dire que ce n'est rien et que tout s'arrangera n'est qu'un mensonge, mais avant de partir, Sean t'a adressé la lettre qui se trouve dans l'enveloppe, ses dernières pensées furent certainement pour toi ma douce.
Je t'embrasse,

Ta maman
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Message  Hily Mar 27 Oct 2009 - 20:23

La jeune fille lâcha la feuille et s'appuya contre le mur. La pièce tournait autour d'elle et ses yeux étaient maintenant remplis de larmes. Sean, était mort. Elle ne pouvait pas le croire, pas lui. Pas son meilleure ami. La jeune fille s'adossa au mur et pleura dans ses mains. Pourquoi ,ne lui avait-il rien dit ? Elle serai rentrée en Irlande, elle aurait pu le voir au moins une dernière fois. Elle n'avait même pas été là quand il avait fallu disperser ses cendres, elle ne l'avait pas accompagné jusqu'au bout et maintenant c'était un vide qu'il y avait. La jeune fille n'arrivait pas à réaliser qu'elle ne sentirait plus jamais son corps serrer le sien, qu'elle le verrai plus jamais se tenir droit devant elle et lui lancer un regard de défi, qu'elle ne pourrait plus jamais entendre son rire d'enfant. Qu'elle ne pourrait plus jamais lui parler. Sean n'était plus de ce monde, il l'avait laissé seule, sans la prévenir. L'irlandaise tomba au sol, elle se recroquevilla sur elle même et pleura à chaudes larmes. Trop de questions venaient dans sa tête et le chagrin ne lui permettait pas de réfléchir. Elle n'avait même pas envie de réfléchir. Sean n'était plus là et rien ne comptait plus maintenant pour elle.

La jeune fille resta ainsi dans le froid de la volière, couchée sur le sol. Elle était gelée par le froid mais se relever lui demandait un effort qu'elle ne pouvait fournir à moins qu'elle ne voulait pas le fournir. Sa lumière à elle venait de s'éteindre à tout jamais, alors pourquoi devrait-elle continuer à avancer dans le noir ? Pourquoi lui ? Une vague de larmes la reprit de plus belle, ses yeux étaient devenus verts fluos, et ses joues rouges des lares qui se déversaient en un flot ininterrompu. En l'espace de quelques secondes elle avait tout perdu. Elle pouvait rester des heures allongée sur le sol froid de la volière. A quoi bon se relever maintenant ?

Dans un éclair de lucidité la jeune femme se souvint de la lettre de Sean, elle se traina jusqu'à celle-ci qui était tombée sur le sol en même temps que la précédente lettre de sa mère. Elle tendit sa main tremblante et saisit le papier qui était la dernière trace de Sean. Elle n'eut pas la force de se relever et se coucha d'avantage sur le sol, repliée sur elle même pour lire la dernière lettre de son ami.


Lyli,



J'ai trop attendu pour t'écrire cette lettre. J'ai repoussé l'inéluctable échéance qui se profilait à l'horizon. Le temps passe toujours trop vite et maintenant je sais que ce que je suis entrain d'écrire sera la dernière trace que je vais laisser sur Terre. Cette lettre est pour toi ma Lyli, car c'est vers toi qu'iront mes toutes dernières pensées. Tenir le crayon m'épuise et je ne sais si j'aurai le temps de consigner dans cette lettre tout ce que j'ai à te dire. J'aimerai pouvoir te dire le passé et le futur, mais celui-ci tu devras le faire sans moi. J'aimerai connaître nos conversations pour que je t'écrive ici mes répliques. Mais j'aimerai n'est qu'une envie à mettre au conditionnel du irréalisable.

Ce que je vais te dire Lyli ne dois pas te faire pleurer, Tu es mon ange et les anges ne pleurent pas. Savoir que ton si joli visage sera brouillé de larmes me fait culpabiliser et me rend encore plus mala de que ce que je suis déjà. Je n'ai pas envie de mourir, mais je ne me battrai pas quand la mort viendra tout à l'heure se pencher au dessus de moi. Je lui sourirait certainement, il faut savoir être agréable avec tout le monde, non ?

Je voulais te dire que la vie vaut la peine d'être vécut, et j'aimerai que tu me fasses une faveur ma Lyli, je voudrais que ta vie, tu la vive comme pour deux. Je voudrais que tu restes toi, que tu dévores la vie à pleines dents comme tu l'as toujours fais. Tu n'es Lyli que si tu es cet éclair de vie qui a traversé mon existence pour l'illuminer à tout jamais. Tu as été cet élair, cette joie de vivre pour moi. Si j'ai tenu aussi longtemps face à cette maladie qui finalement l'emportera dans quelques heures c'est que je pensais toujours à toi. Tes lettres étaient ma bouffée d'air beaucoup efficace que tous ces médicaments que j'avalais à longueur de temps.Je te demande de vivre cette vie avec la force de deux personnes, je te demande de la vivre pour moi, jusqu'au bout.

Lyli, tu ne dois pas succomber à mes écrits. La vie du côté là où je pars est plus terne et les fruits ont perdu leurs saveurs. Les couleurs ne sont plus que des teintes de gris et la plus douces des mélodies n'est qu'une suite de notes semblables à des plaintes. Sentir les rayons du soleil sur ma peau me manque déjà et ne plus voir ton visage se tendre vers moi est la plus horrible des tortures.
Dire que je pars sans regrets n'est qu'un mensonge de plus que l'on dit sur la mort. Des regrets j'en ai pleins la tête, mais celui qui me fait le plus mal est de te laisser toute seule, presque sans défenses. J'aurai tellement voulu être toujours là pour toi ma Lyli. Je voudrais pouvoir te consoler et de dire encore combien tu es extraordinaire mais je dois admettre la vérité, cela ne se reproduira plus à un autre moment que celui-ci, alors juste encore une fois. Tu es une personne extraordinaire Lyli, saches le et ne l'oublie jamais.

Le crayon me glisse des mains et mon esprit n'est plus très clair. La seule source de lumière dans mon esprit est ton image. Lorsque mon regard glissera dans le vide, c'est vers toi qu'iront mes dernières pensées ma Lyli, car tu es la personne qui compta le plus pour moi. J'emporte avec moi notre complicité et nos chamailleries, nos rires et nos pleurs, nos retrouvailles et notre dernière séparation. Quelque part je t'emporte avec moi, car tu es en moi pour toujours. Je me sens coupable d'enterrer la Lyli qui est en moi. J'aimerai lui dire de sortir de mon cœur et de prendre son envol, mais il n'y a rien à faire. Elle est là comme si elle était un élément de ma construction. Sourde à mes injonctions elle siège dans mon cœur comme une Reine.

Ma vie à moi s'arrête pour de bon, mais pas la tienne. Vie la puisque tu en as la possibilité, vie la puisque je te le demande. Ne fais jamais attention aux remarques des autres ma Lyli, jamais rien ne pourra t'empêcher d'aller là où tu le souhaites. Il n'y a pas d'autre maître de ton destin que toi même. Je te laisse seule encore une fois, mais tu as toujours tout voulu faire seule, alors vie ta vie sans moi car je ne suis pas à la hauteur pour t'accompagner plus loin que cette marche. La force me manque pour écrire les lignes suivantes qui de toute façon ne viennent pas à mon esprit.

Je t'aime Lyli, comme un frère, comme l'ombre que je serai désormais à tes côtés. Je t'aime et je veillerai sur toi de là haut. Je te laisse un vide à combler, une nouvelle histoire à écrire. Une page vierge et des souvenirs. Je te laisse ma vie et ma mort.
Sean qui t'aime pour toujours.



PS: Je ne t'ai jamais tant aimé qu'à cette minute où l'ombre se penche vers moi. Mon dernier regard est pour ce cahier où sont écrites pour toujours ces quelques lignes qui te sont destinées. Je le regarde avant de mourir. Je vois ton image et je te souris avant de fermer mes yeux à tout jamais.



La jeune fille ferma les yeux et les larmes passèrent à travers; Elle hurla le nom de son ami et l'écho lui répondit ce même prénom. Elle était seule dans le froid glacial de cette matinée. Elle venait de perdre la personne la plus chère à ses yeux et il laissait dans son cœur un vide si immense qu'on aurait pu le croire capable de s'arrêter pour de bon. Elle resta repliée sur elle même et pria pour que le Ciel vienne la chercher. Maintenant qu'elle était seule, son prochain espoir était de retrouver Sean, de l'autre côté ...
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Message  Elea Mar 27 Oct 2009 - 21:00

Bon, je vais essayer de faire quelque chose de bien construit, bien que je sois pas mal fatiguée là x_X

Alors... J'ai été beaucoup touchée par la lettre de Sean, mais je ne comprends pas pourquoi ce dernier l'appelle Lily ? Un surnom ou une erreur de ta part ? Ensuite, cette lettre me parait plus appropriée pour exprimer des sentiments amoureux plutôt qu'une amitié très forte. C'est voulu cette ambigüité ou tu n'as pas bien maitrisé ?

Il y a pas mal de maladresses dans tes tournures, et aussi pas mal de petites fautes qui peuvent gêner la lecture. Relis-toi et fais bien attention. Le passage est trop long là pour que je te fasse une correction détaillée, désolée.

Après... Ton récit a une bonne base je pense, mais tu ne l'exploites pas à fond, et tu laisses le lecteur avec pas mal de questions. Où se trouve Niamh ? Qu'est-ce donc que ce lycée de l'Atlantis ? De quoi a été atteint Sean ? ...

En fait, ça serait préférable que tu postes des passages plus courts pour qu'on puisse bien se concentrer dessus et les corriger comme il faut.

Mais sinon, malgré le négatif qui ressort pas mal de mon message, y a tout de même un gros quelque chose derrière ton texte. Tu as un style plutôt agréable, et tu dis certaines choses avec une douceur et une délicatesse que les mots eux-mêmes sont beaux. Alors applique-toi bien à travailler des petits passages plutôt qu'un gros, tu seras plus attentive à certaines maladresses que tu pourrais aisément éviter. =)

N'hésite pas à me demander plus de détails sur certains points de mon message, ou autre. =)
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Message  MrSonge Mar 27 Oct 2009 - 21:11



Les nuits où la Lune est entière ne sont jamais des nuits comme les autres. Le claire de lune donne la sensation que le soleil a oublié de s'éteindre et qu'il s'est fondu dans la Lune pour lui donner cet éclat blanc qui fait que la nuit devient semblable au jour. On pourrait vivre les nuits au clair de lune. (attention aux répétitions "nuit" et "lune")
___________________

Sur la petite île d'Atlantis, si quelqu'un avait eu l'idée de rester éveillé pendant ces quelques heures de clarté lunaire, il aurait pu voir, se détachant du ciel bleu nuit, une forme blanchâtre passer dans les airs. Si cette même personne avait regardé attentivement, elle aurait pu voir que cette forme n'était autre qu'un oiseau et que cet oiseau tenait serré dans ses serres un paquet ressemblant à une enveloppe. L'oiseau serrait tellement fort l'enveloppe qu'il y laissait des marques de serres. On aurait dit qu'il avait compris l'importance de cette lettre et qu'il ne la perdrait pour rien au monde.
Si notre veilleur de nuit avait veillé, il aurait aussi remarqué que cet oiseau blanc,survolait l'île et allait se poser dans la plus haute tour du pigeonnier du Lycée de l'île.




Les doux rayons du soleil filtraient à travers les franges de fils qui servaient de rideau. Dans la pièce qu'ils inondaient de lumière, dormait plus ou moins (pas très joli, comme tournure...)une belle demoiselle. Celle-ci était engloutie sous une énorme couette blanche. Quand les rayons vinrent caresser son doux visage d'enfant, la jeune fille poussa une sorte de gémissement grâce auquel on pouvait savoir qu'elle était encore quelque part dans les bras de Morphée (bof : "grâce auquel" n'est pas approprié, et le "quelque part dans" non plus, les bras, même ceux de Morphée ne sont pas un lieu dans lequel on s'égare...^^). D'un coup sec, elle envoya valser sa couette et sauta hors de son lit. Les cheveux en bataille et les yeux encore pleins de sommeil, la jeune fille se dirigea vers sa chaise ou attendait quelques vêtements. Elle prit le temps de s'étirer avant de rentrer dans son pantalon et de mettre son sweat-shirt à capuche.

Au début, pas mal de répétitions que tu pourrais facilement corriger. Sur la fin quelques tournures un peu maladroites, mais rien de grave. ^^
Pour le reste et dans l'ensemble, je n'ai pas grand chose à ajouter à l'avis d'Eleazare. Je reviendrais pour la suite demain, je pense...
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Message  Pacô Mar 27 Oct 2009 - 23:51

Hily a écrit:
Les nuits où la Lune est entière ne sont jamais des nuits comme les autres. Le clair de lune donne la sensation que le soleil a oublié de s'éteindre et qu'il s'est fondu dans la Lune (triple répétition => tu peux essayer de voir avec le croissant ou le suggérer afin d'éviter sa mention) pour lui donner cet éclat blanc qui fait que la nuit devient semblable au jour. On pourrait vivre les nuits au clair de lune.
___________________

Sur la petite île d'Atlantis, si quelqu'un avait eu l'idée de rester éveillé pendant ces quelques heures de clarté lunaire, il aurait pu voir se détachant du ciel bleu nuit, une forme blanchâtre passer dans les airs. Si cette même personne avait regardé attentivement, elle aurait pu voir que cette forme n'était autre qu'un oiseau et que cet oiseau tenait serré dans ses serres un paquet ressemblant à une enveloppe. L'oiseau serrait tellement fort l'enveloppe qu'il y laissait des marques de serres ("les marques de ses pattes" non ?). On aurait dit qu'il avait compris l'importance de cette lettre et qu'il ne la perdrait pour rien au monde.
Si notre veilleur de nuit avait veillé, il aurait aussi remarqué que cet oiseau blanc, [espace] survola l'île et alla se poser dans la plus haute tour du pigeonnier du Lycée de l'île.

Finalement, je suis un peu trop crevé pour poursuivre.
Un style qui, d'emblée, me paraît assez intéressant. Ta manière de narrer m'intrigue: je veux voir comment tu t'en sors.

Je corrige la suite demain No horizon Icon_biggrin.
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