Tu me dégoûtes

Dans cette pièce, tu m'as forcé à te suivre.
Elle était déjà là. Elle t'attendait.
Dans cette pièce, tu nous as enfermés tous les trois.
Je ne te comprends pas. Elle non plus ne comprends (Ouh ><) pas ton jeu.
Mais, elle y a pris goût. Salope. Pourtant, tu ne la regardes pas.
Tes yeux sont fixés sur moi tandis que cette garce, à cheval sur toi, balance son corps. Sa voix perce mes oreilles.
Je ne supporte pas qu'elle puisse prendre du plaisir par toi.
Tu me dégoûtes mais je ne parviens pas à détourner mon regard.

Et [Pas de virg.] je m'imagine à sa place, te donnant du plaisir, te faisant perdre contrôle.
Te prendre avec tellement de passion que tu finirais par me supplier de continuer, de ne jamais arrêter.
Je veux te voir suer sous mon poids, que tu manques d'air, que tu en crèves.
Oui, je souhaite ta mort ici-même.
Tu me dégoûtes. Je te méprise.
Ta voix commence à s'élever. Je voudrais devenir sourd, je suis pétrifié et mes mains ne veulent pas épargner mes oreilles.
Je pleure. Tu aimes ça.
Mais.. (3 points ou 1 seul mais pas 2) c'est mon nom que tu cries. Tu me dégoûtes.

Suiteka a écrit:

Tu me dégoûtes

Je te hais.
Je ne te comprends pas.
Tu ne t'acceptes pas. Tu ne m'acceptes pas. Pourquoi?
Tu ne me comprends pas.

-

Moi, je sais qui tu es réellement.
Mais personne ne me croirait si je le disais.
Pour eux, les gens comme nous ne sont que des rats vivant dans la saleté, des âmes perverses et répugnantes.
Tu dis faire partie d'eux, tu es comme moi.
Tu dis que j'ai changé alors que je ne me suis jamais caché.
Tu dis que tu ne me reconnais plus, je me suis juste révélé tel que je suis.
Tu dis que toi et moi c'est contre nature.
Tu dis que ce serait anormal et que je suis un être écœurant,
Que je devrais me faire soigner, voire même que je ne mérite pas de vivre.

En vérité, je sais bien que tu meures d'envie de me toucher, de me sentir contre ta peau.
Je t'observe me dévisager, me déshabiller intégralement du regard alors que tes mains parcourent son corps.
Tu me dégoûtes.
Tu disais que ces salopes te dégoûtaient et tu offres ton corps à l'une d'entre elles.
Finalement, c'est toi la salope.

Tu nies et dénigres ta propre nature et tu vas à l'encontre de celle-ci.
Chaque jour et chaque soir.
Je sais que tu penses à moi dans ses bras.
Je sais aussi que tu te délectes de ma souffrance.
Tu me dégoûtes et pourtant je continue de regarder.

Dans cette pièce, tu m'as forcé à te suivre.
Elle était déjà là. Elle t'attendait.
Dans cette pièce, tu nous as enfermés tous les trois.
Je ne te comprends pas. Elle non plus ne comprend pas ton jeu.
Mais, elle y a pris goût. Salope. Pourtant, tu ne la regardes pas.
Tes yeux sont fixés sur moi tandis que cette garce, à cheval sur toi, balance son corps. Sa voix perce mes oreilles.
Je ne supporte pas qu'elle puisse prendre du plaisir par toi.
Tu me dégoûtes mais je ne parviens pas à détourner mon regard.

Et, je m'imagine à sa place, te donnant du plaisir, te faisant perdre contrôle.
Te prendre avec tellement de passion que tu finirais par me supplier de continuer, de ne jamais arrêter.
Je veux te voir suer sous mon poids, que tu manques d'air, que tu en crèves.
Oui, je souhaite ta mort ici-même.
Tu me dégoûtes. Je te méprise.
Ta voix commence à s'élever. Je voudrais devenir sourd, je suis pétrifié et mes mains ne veulent pas épargner mes oreilles.
Je pleure. Tu aimes ça.
Mais... c'est mon nom que tu cries. Tu me dégoûtes.


Je t'aime.

Suiteka a écrit:

Tu me dégoûtes

Je te hais.
Je ne te comprends pas.
Tu ne t'acceptes pas. Tu ne m'acceptes pas. Pourquoi?
Tu ne me comprends pas.



Moi, je sais qui tu es réellement.
Mais personne ne me croirait si je le disais.
Pour eux, les gens comme nous ne sont que des rats vivant dans la saleté, des âmes perverses et répugnantes.
Tu dis faire partie d'eux, tu es comme moi.
Tu dis que j'ai changé alors que je ne me suis jamais caché.
Tu dis que tu ne me reconnais plus, je me suis juste révélé tel que je suis.
Tu dis que toi et moi c'est contre nature.
Tu dis que ce serait anormal et que je suis un être écœurant,
Que je devrais me faire soigner, voire même (joli pléonasme. Choisis un des deux) que je ne mérite pas de vivre.

En vérité, je sais bien que tu meures d'envie de me toucher, de me sentir contre ta peau.
Je t'observe me dévisager, me déshabiller intégralement du regard alors que tes mains parcourent son corps.
Tu me dégoûtes.
Tu disais que ces salopes te répugnaient et tu offres ton corps à l'une d'entre elles.
Finalement, c'est toi la salope.

Tu nies et dénigres ta propre nature et tu vas à l'encontre de celle-ci.
Chaque jour et chaque soir.
Je sais que tu penses à moi dans ses bras.
Je sais aussi que tu te délectes de ma souffrance.
Tu me dégoûtes et pourtant je continue de regarder.

Dans cette pièce, tu m'as forcé à te suivre.
Elle était déjà là. Elle t'attendait.
Dans cette pièce, tu nous as enfermés tous les trois.
Je ne te comprends pas. Elle non plus ne comprend pas ton jeu.
Mais, elle y a pris goût. Salope. Pourtant, tu ne la regardes pas.
Tes yeux sont fixés sur moi tandis que cette garce, à cheval sur toi, balance son corps. Sa voix perce mes oreilles.
Je ne supporte pas qu'elle puisse prendre du plaisir par toi.
Tu me dégoûtes mais je ne parviens pas à détourner mon regard.

Et je m'imagine à sa place, te donnant du plaisir, te faisant perdre contrôle.
Te prendre avec tellement de passion que tu finirais par me supplier de continuer, de ne jamais arrêter.
Je veux te voir suer sous mon poids, que tu manques d'air, que tu en crèves.
Oui, je souhaite ta mort ici-même.
Tu me dégoûtes. Je te méprise.
Ta voix commence à s'élever. Je voudrais devenir sourd, je suis pétrifié et mes mains ne veulent pas épargner mes oreilles.
Je pleure. Tu aimes ça.
Mais... c'est mon nom que tu cries. Tu me dégoûtes.


Je t'aime.