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Message  tite nath Mer 17 Mar 2010 - 22:10

Merci petitebrise je vais voir pour arranger ça ^^
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Message  tite nath Ven 19 Mar 2010 - 17:04

j'ai posté un nouveau jet en essayant de suivre toutes les consignes que vous m'avez donné. J'espère que vous trouverez ça plus fluide pale
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Message  Pacô Ven 19 Mar 2010 - 23:51

Bon je précise dès le départ que mon commentaire risque d'être un peu rosse.
Mais c'est bien dans l'optique de te faire progresser, et nullement pour t'enfoncer.
Ne le prends donc pas mal (c'est tout ce que j'ai à dire pour ma défense).

Ma soirée d'anniversaire avait été magnifique et tout s'était déroulé à merveille malgré un début mouvementé.
=> bouh... un début qui sent déjà le monde merveilleux bisounours à plein nez. Un monde manichéen aussi... Je ne sais pas si commencer sur une note aussi innocente est judicieux.

J'attendais mon père devant le restaurant où nous avions tous dîner mais les lumières s'éteignirent.
=> où nous avions tous dîné
=> pourquoi un mais ? il y a pas tellement un fait contradictoire ici...

en enroulant mon talons dans ma longue robe rouge, la déchirant jusqu’aux fesses en m’étalant sur le carrelage, c’était la meilleur fête que j’avais organisé.
=> enroulant mon talon ? (sans "s" talon) C'est-à-dire ?
=> m'étalant sur... pas beau.
=> que j'avais organisée (c'est la fête qui est organisée)
=> à reformuler.

Marion c’était empressée de m’aider à me relever
=> s'était

Ils étaient tous partit maintenant.

=> partis

Je commençai à être mal alèse et me sentais complètement isolée du reste du monde.
=> mal à l'aise
=> mauvaise cohérence : pourquoi commençai est au passé simple alors que "sentais" est à l'imparfait ?

J’avais été les voir chacun leur tour pour les inciter à danser ensemble, J’adorais faire ce genre de chose.
=> attention à la majuscule en plein milieu

Le lampadaire près de moi grésillait et menaçait de s’éteindre d’un moment à l’autre
=> ça ne fait pas déjà tout noir ? Tu l'as dit plus haut.

La température baissa encore d’un cran.
=> ouïlle... c'est quoi un cran de température ?

Combien de temps allai-je devoir patienter dans cette atmosphère inquiétante?
=> allais-je

Des bruits de pas résonnèrent sur ma droite, révélant une petite dame brune.
=> que des pas révèlent la taille d'une personne, pourquoi pas. Mais la teinte des cheveux, là je dis : elle est trop forte la fille ^_^.
=> petit problème, ce ne sont pas les pas qui révèlent, mais plutôt le fait que ses pas proviennent d'une petite brune...

Elle marchait dans ma direction d’un pas déterminé
=> répétition de "pas"

Elle dégaina un Katana de son long manteau beige et se plaça à califourchon sur moi, prenant soin de m’emprisonner les bras de ses jambes.

=> comment fait-elle ? Ou serait-ce plutôt de ses genous ?

Même si j’avais essayé de me débattre, ça n’aurait pas été possible.
=> elle peut toujours se débattre, si. Par contre, s'en sortir, c'est pas dit.

Elle s’apprêtait à enfoncer son sabre dans ma poitrine pendant que Je plissai les yeux redoutant la douleur que j’allais ressentir
=> 'tention à la majuscule.
=> attention aux structures "aller verbe", "apprêter V"... etc.

Alors que je croyais ma dernière heure arrivée, une main sortit de nulle part agrippa l’épaule de mon assaillante et la projeta sur la route, non loin de moi. J’eus à peine le temps de la voir mais il y avait un symbole dessus, une sorte de cicatrice en forme de spirale.

=> ma dernière heure venue (c'est plus esthétique)
=> une main sortie de nulle part
=> "j'eus à peine le temps de LA voir"... qui est ce là ? La route ? Beh non, pourtant, c'est ce que dit ta phrase. Mauvais placement des pronoms.

Ensuite il arracha le sabre d’un coup sec et serra les dents pour ne pas crier, lâchant tout de même un grognement.
=>... le mec il est mort là hein...

Il se mit à genoux près de son corps et leva la main droite
=> près du corps de qui ? Tu vois, ça fait belle lurette que la femme n'est plus sujet d'une phrase ; du coup, le "son corps" se rapporte au corps de l'homme.

J’allai m’approcher d’eux pour vérifier si mon sauveur était toujours vivant mais je n‘en avais pas le courage.
=> j'allais
=> ta phrase me laisse un arrière gout de "elle est inutile".

je me repassai la scène inlassablement dans la tête.
=> avec inlassablement, imparfait obligatoire : "je me repassais"

Appréciation linguistique :


Il y a beaucoup de choses à revoir. A commencer par l'orthographe qui laisse franchement à désirer.
Dans un premier temps, il est nécessaire que tu te relises rigoureusement en étudiant chaque accord, chaque mot.
Le "mal alèse" était énorme. Tu as enclenché la correction automatique de ton traitement de texte ? Ce genre de faute, il devrait te la souligner.

Très gros problèmes au niveau du vocabulaire. Tu emploies toujours les mêmes termes pour parler de choses différentes. D'où peut-être ce style un peu enfantin que les autres te reprochent.
Pourtant, chaque situation à son vocabulaire adapté, sinon, la situation est faussée et on a l'impression que y'a pas tellement de différences. Dommage, parce que ça retire indéniablement de la qualité au texte.

Ensuite, tu es dans la phase : je bourre de participes présents et d'adverbes en -ement.
Du genre :
Je me relevai péniblement, des larmes brûlantes ruisselant sur mes joues
fraîches.
Péniblement... out.
ruisselant, c'est à reformuler.
Bref ça peut donner ceci :
"Tremblante, je me relevai ; de chaudes larmes ruisselaient sur mes joues fraîches."
A ce propos, l'antithèse est désirée ? Ou pur hasard ?
Le tremblante induit qu'elle ne le fait pas avec facilité. Le participe présent à été transformé en verbe conjugué. C'est le point virgule qui permet tout ça. Pense à ça.

Concernant maintenant la fluidité du texte, c'est aussi à revoir (décidément, je suis désolé). On accroche pas mal (dans le sens on bute pas mal) sur les phrases. Il y a une répétition abusive de structures : des phrases qui commencent par "Je" et qui sont suivies d'un verbe puis d'un complément. Rien de plus tueur que la banalité des phrases dans un texte. Puise l'originalité de la syntaxe pour abreuver ton lecteur.

Il y aurait d'autres choses à reprocher, je pense, mais si tu commences par réécrire ce prologue en suivant mes conseils, ça sera une belle progression. Donc retiens bien qu'il faut te relire sérieusement (réviser tes conjugaisons s'il le faut), arranger les maladresses de ton texte en donnant des tournures plus originales.
Et comme le dit Lou, pense à ne pas donner trois fois la même information dans deux phrases consécutives. Sinon, c'est effectivement très lourd.

Appréciation du récit :

Très louche comme récit puisque plusieurs incohérences.
Et beaucoup d'évènements tirés par les cheveux.

Du genre : on ne sait rien, on nage dans du rien et on termine avec pas grand chose de plus.

On ne connaît pas la psychologie de ton personnage. Et elle subit déjà un traumatisme psychologique. Traumatisme qu'on ne peut pas vraiment suivre puisqu'on ne connaît pas encore le personnage pour être réellement touché.

Bon déjà, ça, ça m'a un peu dérouté.

Mais le truc vraiment incohérent selon moi, c'est qu'il n'y ait aucune parole échangée, que le sauveur la sauve sans qu'elle tente d'aller le voir, et, le comble du comble, que le père ramasse sa fille sans voir les deux cadavres sur le trottoir et qui a le culot de demander : ça va ma chérie ?

Entre nous, je te conseille de réécrire une bonne partie de ce prologue. De revoir les scènes et la formulation.
Je suis désolé d'être aussi direct... ça aurait été plus tôt dans la soirée, j'aurais usé de tournures plus diplomatiques.
J'espère juste que tu ne prendras rien de mal et il ne faut surtout pas te décourager.
N'hésite pas non plus à me demander des infos complémentaires et comment procéder pour faire ce que je te conseille.

Bonne nuit Wink.
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Message  tite nath Sam 20 Mar 2010 - 9:33

tant qu'on me dit pourquoi, ça ne me vexe pas ^^
pour le "mal à l'aise" je savais plus comment l'écrire et word m'a proposé la version que tu as vu, mdr (j'ai honte maintenant)
pour la conjugaison je suis un peu nulle et depuis quelques temps je vais sur un site pour éviter les fautes, j'ai déjà progressé mais c'est pas encore ça.

ensuite j'ai essayé d'enlever "femme" et "main" parce qu'il y avait trop de répétition Rolling Eyes
Sinon l'homme est résistant ce n'est pas un humain c'est ce qui explique qu'il soit encore debout après sa grosse blessure.

Très gros problèmes au niveau du vocabulaire. Tu emploies toujours les mêmes termes pour parler de choses différentes. D'où peut-être ce style un peu enfantin que les autres te reprochent.
tu pourrais me donner un exemple pour que je me rende mieux compte?

"Tremblante, je me relevai ; de chaudes larmes ruisselaient sur mes joues fraîches."
A ce propos, l'antithèse est désirée ? Ou pur hasard ?
oui l'antithèse est désirée ^^

Même si j’avais essayé de me débattre, ça n’aurait pas été possible.


=> elle peut toujours se débattre, si. Par contre, s'en sortir, c'est pas dit.
en fait elle est pétrifiée donc elle ne se débat pas mais elle se dit que de toute façon elle aurait pas pu le faire.

On ne connaît pas la psychologie de ton personnage. Et elle subit déjà un traumatisme psychologique. Traumatisme qu'on ne peut pas vraiment suivre puisqu'on ne connaît pas encore le personnage pour être réellement touché.
Que me conseilles-tu de faire alors? parce que cette scène est très importante et tout sera expliqué à un moment de l'histoire.

Mais le truc vraiment incohérent selon moi, c'est qu'il n'y ait aucune parole échangée, que le sauveur la sauve sans qu'elle tente d'aller le voir, et, le comble du comble, que le père ramasse sa fille sans voir les deux cadavres sur le trottoir et qui a le culot de demander : ça va ma chérie ?
Bon c'est peut être mal expliqué mais elle marche dans la direction opposé pendant un moment, donc elle s'éloigne pas mal. Et le père fais demi tour quand il l'a récupère, donc il ne voit rien.

Merci d'avoir prit le temps de me corriger Wink
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Message  Pacô Sam 20 Mar 2010 - 11:13

tite nath a écrit:pour le "mal à l'aise" je savais plus comment l'écrire et word m'a proposé la version que tu as vu, mdr (j'ai honte maintenant)
Ah oui effectivement, il y a l'orthographe pour l'alèse en tant que dessus de matelas.
Au temps pour moi ^_^.

tite nath a écrit:
pour la conjugaison je suis un peu nulle et depuis quelques temps je vais sur un site pour éviter les fautes, j'ai déjà progressé mais c'est pas encore ça.
Rien ne vaut un bon Bescherelle !

tite nath a écrit:
ensuite j'ai essayé d'enlever "femme" et "main" parce qu'il y avait trop de répétition Rolling Eyes
Les répétitions sont surtout visibles dans les verbes que tu emploies à foison d'où ma remarque :
tite nath a écrit:
Très gros problèmes au niveau du vocabulaire. Tu emploies toujours les mêmes termes pour parler de choses différentes. D'où peut-être ce style un peu enfantin que les autres te reprochent.
tu pourrais me donner un exemple pour que je me rende mieux compte?
Tu utilises des verbes bateau, passe partout, qui certes fonctionnent à chaque fois mais qui finalement ne donnent pas beaucoup de crédit au texte.
En tête de liste, le verbe "aller" que tu emploies à toutes les sauces dès qu'il y a un futur proche. Exemple :
Avec le verbe aller :


  • Combien de temps allai-je devoir patienter dans cette atmosphère inquiétante?
  • Je plissai les yeux redoutant la douleur que j’allais ressentir.
  • J’allai m’approcher d’eux pour vérifier si mon sauveur était toujours vivant mais je n‘en avais pas le courage.
  • et que j’allais bientôt me réveiller.

Avec les verbes de la forme "lever" (et ses dérivés)


  • Marion c’était empressée de m’aider à me relever et m’avait accompagné aux toilettes
  • et leva ses bras pour prendre de l’élan
  • La femme se releva d’un bond
  • et leva la main droite pour lui trancher la tête
  • Je me relevai péniblement,


Avec le verbe faire :


  • Et même si j’avais fait une entrée fracassante
  • faisant osciller des ombres au loin.
  • J’adorais faire ce genre de chose.

Et j'en passe ^_^.
Donc là, ce n'est plus une question de chercher des synonymes. C'est une question de reformulation afin de dégager le texte, de le rendre plus attractif et plus riche en nouveaux termes, en nouvelle manière de construire ses phrases. Une autre façon de dire "relever" sans avoir à dire : "elle se relève" ou "elle se redresse".
Tu peux par exemple plus détailler sur des éléments qui conduisent au fait qu'elle se relève :
"elle s'appuya sur ses mains et fit un bond pour se remettre sur ses pieds"
(bon c'est pas la meilleure des propositions, mais c'est pour te donner une idée).

tite nath a écrit:
Sinon l'homme est résistant ce n'est pas un humain c'est ce qui explique
qu'il soit encore debout après sa grosse blessure.
Ah oui mais ça nous l'ignorons. Donc soit tu précises qu'il n'est pas humain (ce qui serait maladroit pour le suspens de ton texte) soit tu exploites le filon de ce truc pas normal et tu fais dire à ton héroïne : "mais comment se fait-il qu'il soit encore en vie ?"
Mais il est clair qu'il ne faut pas passer à côté et faire genre c'est normal.

tite nath a écrit:
en fait elle est pétrifiée donc elle ne se débat pas mais elle se dit que de toute façon elle aurait pas pu le faire.
Je ne remets pas en question ça.
Mais plutôt la phrase qui est un non-sens : tu peux toujours te débattre. Ce qui peut s'avérer impossible, par contre, c'est le fait qu'elle puisse sortir de l'emprise de la femme.

tite nath a écrit:
Que me conseilles-tu de faire alors? parce que cette scène est très importante et tout sera expliqué à un moment de l'histoire.
C'est pas facile de conseiller sans marquer de son empreinte d'auteur ici. Le mieux, c'est de faire connaître ton personnage à ton lecteur. Quitte, par exemple, à lui faire vivre un moment de la soirée d'anniversaire.
Le souci majeur, c'est qu'on ne connait rien de ton héroïne : ni ses forces, ni ses faiblesses. Ni ce qui lui fait peur, ni son courage, ni... rien en fait.
Et plus que tout, nous ne sommes pas attachés à elle donc, en quelque sorte, le lecteur n'est pas touché par le fait qu'elle se fasse agresser dans la rue.

Après tu as plusieurs méthodes pour parvenir à tes fins, mais elles nécessitent pas mal de compétences littéraires. Soit tu choisis délibérément de ne pas encore nous la présenter, mais il faut user d'une narration fluide, belle, forte en émotion qui fait assimiler le lecteur au personnage, comme si c'était lui-même qui était agressé.
Mais c'est compliqué ^_^.

Soit tu nous fais découvrir le personnage un peu avant, le temps d'un instant où l'on peut la découvrir de manière plus approfondie.
C'est déjà plus envisageable. Le risque, c'est que ça endorme l'appétit du lecteur au départ.

Soit tu nous la joues au mortal combat, avec une action poussée, vive mais bien agencée qui ne parte pas dans un gros délire de Taken. C'est jouable, mais faut savoir manier la narration.

A toi de voir donc... Mais encore une fois, ça, c'est à l'écrivain de procéder. Pas au correcteur. Puisque là, on rentre dans le domaine de ton imaginaire et je ne suis pas supposé influer dessus. Juste te donner quelques impulsions ^_^.

tite nath a écrit:
Bon c'est peut être mal expliqué mais elle marche dans la direction opposé pendant un moment, donc elle s'éloigne pas mal. Et le père fais demi tour quand il l'a récupère, donc il ne voit rien.
Effectivement, c'était peut-être mal expliqué ^^.
Parce que j'ai surtout compris que :
La petite dame brune marche rapidement jusqu'à elle. Elle la chope, la plaque au sol, lui monte dessus et prépare son arme pour la tuer.
Au moment fatidique, un sauveur (dont on ne sait rien, même pas à quoi il ressemble mis à part sa main (mais pas ses habits, son apparence, sa silhouette... choses intéressantes à préciser)) écarte la meurtrière de sa victime et commence un gros combat entre eux qui se solde par la mort de la dame et une blessure du sauveur
Ce que je te reproche, c'est quand même que tu passes de la scène "combat" et "blessure du sauveur" à "papa vient chercher l'héroïne" sur le trottoir alors qu'elle vient de manquer son assassinat".
Du genre comme ça :
L’homme s’affala juste à côté de mon attaquante. Je me relevai péniblement, des larmes brûlantes ruisselant sur mes joues fraîches. J’allai m’approcher d’eux pour vérifier si mon sauveur était toujours vivant mais je n‘en avais pas le courage. Je m’éloignai dans la direction opposée. Tremblante comme une feuille, je me repassai la scène inlassablement dans la tête. Tout s’était passé si vite, je n’y comprenais rien. Qui étaient ces gens ? Et pourquoi cette femme me voulait-elle du mal ? Il fallait que je me calme, je n’avais pas l’intention de parler de cette bagarre à qui que ce soit. Je pris plusieurs grandes inspirations, me disant que j’étais dans un cauchemar et que j’allais bientôt me réveiller. Mes larmes commençaient à sécher quand mon père se gara juste devant moi.
Montre moi où, entre les deux passages soulignés, il est mentionné que la fille change d'endroit ?
Parce que comme je le comprends, elle se pose des questions sur le lieu du crime, elle pleure sur le lieu du crime et son père vient la chercher sur le lieu du crime.
Donc là, c'est ridicule : il est obligé de voir la scène. Ou alors, il faut que tu fasses courir la fille je ne sais où et que son père la retrouve plus loin. Mais là, c'est totalement absurde.
De plus, pourquoi la fille décide de ne pas en parler à son père ? C'est une décision injustifiée et personne ne comprendra pourquoi. Au contraire, dans une situation pareille, tu as plus qu'intérêt de le dire à ton père, ne serait-ce que pour prévenir les autorités, pour se faire consoler... et puis, elle n'a rien en tort, elle ne sait même pas pourquoi elle se fait agresser... bref, elle n'a rien à se reprocher. Alors pourquoi ne rien dire ?

Et enfin, je t'ai relevé un exemple flagrant de ce que te reprochait Lou :
La peur me nouait l’estomac
j’étais tellement pétrifiée qu’aucun son ne sortit de ma bouche
Je me redressai, surprise et terrifiée à la fois,
Puis j'observai la scène le souffle court et le cœur battant.
paralysée devant ce spectacle abominable.
Tremblante comme une feuille
Je t'ai relevé dans le second paragraphe, toutes les allusions à la peur que tu dissémines partout dans ton texte.
Et ça donne un fort sentiment de redondance, de répétition, de rébarbatif... et d'ennui donc.
Puisqu'on a l'impression que tu te répètes constamment.

En espérant t'avoir été utile...
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Message  tite nath Sam 20 Mar 2010 - 14:39

Merci tu m'aide beaucoup Paco ^^
Je vais travailler tout ça pour essayer de faire un truc "potable" lol.
en venant sur ce forum je cherchais une technique d'écriture parce que les idées c'est pas ça qui manquent, c'est plutôt la façon de les écrire. Rolling Eyes


L’homme s’affala juste à côté de mon attaquante. Je me relevai péniblement, des larmes brûlantes ruisselant sur mes joues fraîches. J’allai m’approcher d’eux pour vérifier si mon sauveur était toujours vivant mais je n‘en avais pas le courage. Je m’éloignai dans la direction opposée. Tremblante comme une feuille, je me repassai la scène inlassablement dans la tête. Tout s’était passé si vite, je n’y comprenais rien. Qui étaient ces gens ? Et pourquoi cette femme me voulait-elle du mal ? Il fallait que je me calme, je n’avais pas l’intention de parler de cette bagarre à qui que ce soit. Je pris plusieurs grandes inspirations, me disant que j’étais dans un cauchemar et que j’allais bientôt me réveiller. Mes larmes commençaient à sécher quand mon père se gara juste devant moi.

Montre moi où, entre les deux passages soulignés, il est mentionné que la fille change d'endroit ?
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Message  Pacô Sam 20 Mar 2010 - 14:49

Ah ouais, mais "je m'éloignai dans la direction opposée", ça ne veut pas du tout dire qu'elle change d'endroit. Juste qu'elle s'éloigne (truc logique quand tu as un corps décapité).
C'est plus que de l'éloignement, ce serait plus de la fuite alors Smile.
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Message  tite nath Dim 21 Mar 2010 - 14:03

bon j'ai presque tout recommencé, est-ce que c'est mieux? Rolling Eyes
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Message  kat Dim 21 Mar 2010 - 16:48

Ma soirée d'anniversaire s'était déroulée à la perfection malgré un début mouvementé. Effectivement vous apprendrez vite que je suis d’une nature très maladroite et lorsque j’ai fais(fait) mon entrée dans cette grande salle où mes amis m’attendaient, j’ai malencontreusement accroché le bas de ma longue robe rouge avec mon talon gauche ce qui l’a déchirée sur toute sa longueur. Le problème c’est que je m’en suis rendu compte une fois ma joue collée contre le carrelage frais et que tout le monde avait vu ma culotte(mes dessous) lors de ma chute. Bien sûr une copine (une amie) s’était empressée de me relever et de m’entrainer aux toilettes pour dissimuler l’immense fente, qui coupait quasiment l’arrière de ma jupe en deux, avec des épingles à nourrisse(nourrice) qu’elle avait toujours sur elle. Par contre les autres (qui ? Les autres, c’est comme « on » ça veut pas dire grand-chose, à la limite dire les autres convives) n’avaient pas pu retenir leurs éclats de rire. La fête touchait à sa fin et le dernier invité monta dans la voiture de ses parents, juste en face de moi, et me fit un signe en guise d’au revoir (et m’adressa en signe de la main pour me saluer). J'attendais devant le restaurant dont les lumières s'éteignirent et me retrouvai seule sous le faible éclairage de la ruelle où mon père devait me récupérer. Un frisson me parcouru l’échine lorsque je regardai autour de moi, tout était calme et désert. Une bourrasque de vent glacial s’engouffra dans mon cou et me cingla (comment fait-il pour cingler un visage alors qu’il vient de s’engouffrer dans un cou ? d’ailleurs comment une bourrasque peut elle s’engouffrer dans un cou ? phrase à reformuler) le visage, faisant osciller des ombres au loin. Un bruit métallique retentit sur ma gauche ce qui me fit sursauter, sûrement un chat qui fouillait les poubelles, pensai-je pour me rassurer. La fatigue me submergeait peu à peu mais malgré cela je restais attentive aux moindres mouvements. Le lampadaire près de moi grésillait et menaçait de s’éteindre d’un moment à l’autre. La température baissa encore de quelques degrés alors je me frottais les bras pour me réchauffer tout en scrutant les alentours. Des bruits de pas résonnèrent sur ma droite, je m’orientai dans leur direction et aperçu une petite silhouette se détacher sous la faible lumière. Je ne sais pas pourquoi mais cela me réconforta de voir que je n’étais pas totalement seule. Elle marchait dans ma direction d’un pas déterminé et rapide mais lorsqu’elle arriva à ma hauteur, elle me poussa violemment. Je me retrouvai allongée sur le trottoir glacé, les yeux écarquillés et l’observai. À ce moment là(moment-là) son visage était remplit (pas sûre qu’il faille un t à rempli) de haine mais en temps normal ça devait être une jolie femme. Des cheveux brins(bruns) encadraient son visage et virevoltaient (s’ils virevoltent, comment font il pour encadrer le visage en même temps ?) sous le vent pendant qu’elle dégainait un Katana de son long manteau beige. Je n’eus pas le temps de réagir quand elle se plaça à califourchon sur moi et m’emprisonna les bras de ses genoux. Elle me foudroya de ses yeux couleur d’encre puis empoigna son arme et la leva (brandit) au dessus(au-dessus) de sa tête pour prendre de l’élan.

— Tu vas mourir et je vais prendre ta place (point)
— De quoi vous parlez ? Vous êtes complètement folle !

Ma voix était montée dans les aigües à cause de la peur. Je gigotai(verbe très familier) pour me dégager mais il n’y avait rien à faire, elle était trop forte. Une boule se forma dans ma gorge et j’étais tellement pétrifiée qu’aucun son ne sortit de ma bouche quand je voulus crier. Le sabre se rapprocha dangereusement de ma poitrine ce qui me provoqua un frisson d’effrois(d’effroi). Je me crispai (virgule)redoutant la douleur que je ressentirais au contact de la lame et la dévisageai (tu dévisages la lame ou la femme ? ce n’est pas clair), impuissante, priant pour qu’elle s’arrête avant le moment fatidique. Alors que je croyais ma dernière heure venue, une main sortit de nulle part agrippa l’épaule de mon assaillante et la projeta sur la route (il projette l’épaule de la dame ? ou bien la dame), non loin de moi. J’eus à peine le temps de la voir mais sur le dos de cette main il y avait un symbole, une sorte de cicatrice en forme de spirale (pour quelqu’un qui a à peine le temps de voir, elle est plutôt précise comme description). Je me redressai, terrifiée, et rampai à quatre pattes pour m’écarter le plus possible. Cet homme ne me porta aucune attention, pas même un regard (tu te répète, s’il ne te prète pas la moindre attention, il ne portera donc aucun regard sur toi enfin l’heroine), il était concentré sur cette femme, comme s’il l’a traquait depuis des mois. Je contemplai la scène, le souffle court et le cœur battant, incapable de détourner les yeux. La brune se releva d’un bond et chargea mon sauveur mais celui-ci esquiva l’attaque de justesse. Il lui envoya un grand coup de pieds(pied) dans le ventre ce qui la déséquilibra mais ne l’empêcha pas d’enfoncer la pointe de son Katana dans le flanc de son ennemi qui poussa un cri de douleur. Je retenais ma respiration, paralysée devant ce spectacle abominable et me demandai comment il faisait pour tenir encore sur ses pieds. Ce genre de blessure aurait tuée n’importe quelle personne sur le champ. Il lui agrippa le poignet de la main gauche pour l’inciter à relâcher son arme. Mon attaquante s’agenouilla face à lui et le fusilla du regard tout en grimaçant sous la souffrance de cette poigne de fer. Une fois son adversaire neutralisée(neutralisé), il enroula ses doigts autour du manche et arracha le sabre d’un coup sec, serrant les dents pour ne pas crier, en vain puisqu’un grondement sourd retentit dans la ruelle redevenue silencieuse. Puis il l’assomma de son poing libre et elle s’effondra enfin sur le sol. Malgré tout ça, il paraissait calme et maître de ses émotions comme s’il avait fait cela toute sa vie. Il observa le corps affalé sur le sol avec un sourire satisfait puis il se concentra pour s’approcher de la femme. Un seule pas les séparait mais il ne réussi(réussit) qu’a(à) se trainer jusqu'à elle et en le voyant vaciller de droite à gauche je cru qu’il allait s’écrouler. Il plaquait son bras droit contre lui ce qui cachait en partie l’énorme tâche sombre qui maculait sont(son) pull gris d’où s’échappaient(à quoi se réfère le verbe ? au pull ? dans ce cas c'est au singulier que tu dois le mettre) de grosses goutes(gouttes) (si le pull est maculé, ça m’étonnerais que ce soit des gouttes de sang, c’est plus que ça) de sang. Il se mit à genoux(il s’agenouilla) près de mon assaillante et lui trancha la tête d’un geste rapide et précis. Celle-ci roula sur le trottoir tandis que je réprimai un hurlement et sentis la nausée me submerger (une nausée ne submerge pas, on peut être envahi d’une sensation nauséeuse à la rigueur). L’homme s’écroula juste à côté de la dépouille décapité(décapitée). Tremblante, je me relevais ; des larmes brûlantes (pourquoi brûlantes ?) ruisselaient sur mes joues fraîches. J’étais traumatisée mais je ne pouvais pas laisser mon sauveur sans savoir s’il était encore en vie, je devais lui porter secours, après tout il s’était presque sacrifié pour moi. J’avançais, hésitante, puis me penchai et tâtai sa carotide du bout des doigts. Sa mâchoire était carrée, ses cheveux noirs et sa peau mat, malheureusement son cœur ne battait plus (mélanger la description et d’un coup passer au cœur qui ne bat plus… je ne suis pas certaine). Je pataugeai dans une marre(mare) de sang quand deux fars(fait attention aux fautes quand même ! des phares) m’aveuglèrent puis mon père sortit à toute vitesse de sa voiture pour se précipiter sur (vers) moi et m’agrippa les épaules. Son regard ainsi que ses traits tirés trahissaient sa panique.
— Que c’est(s’est)-il passé Melinda ? ça va, tu n’as rien ?

Attention aux fautes d'orthographe, il y en a certaines qui sont vraiment très imposantes (des fars : des phares)
Beaucoup de problèmes au niveau des temps.

Sincèrement, j'ai beaucoup de mal à suivre le cours des choses, bien que je vois ce que tu racontes. Tu restes encore très évasive sur la soirée d'anniversaire.
Je préfèrerais presque la précédente version mais il faut retravailler celle-ci encore.
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kat
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