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Message  Lou Jeu 27 Mai 2010 - 16:32

Tadadaaa, c'est ici.
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Message  Laumie Jeu 27 Mai 2010 - 16:48

Lou a écrit: Trois minutes avant la fin du monde


Je suis en haut, dans ma chambre. J'entends vaguement le bourdonnement de la télé que mes parents regardent, mais j'écoute pas. Je lis un livre, calée de façon inconfortable entre deux étagères. Je me dis qu'il faudrait que je prenne un coussin, histoire d'être mieux installée. Je suis à moitié en train de me lever lorsque la voix de mon père me parvient.

— (Alt + 0151 Razz) Justine, viens voir.

Il y a de l'angoisse dans cette voix. Les mêmes intonations que lorsqu'on doit annoncer quelque chose de grave et d'irrémédiable comme un suicide, une mort, un drame. C'est suffisamment fort pour que je m'inquiète, alors je pose mon livre et je descends.
Toute ma famille est devant la télé. Ma mère, mon père, mes deux petits frères. Ils ne me regardent pas, ils ont les yeux rivés sur l'écran. Il est déjà tard, mais c'est les vacances et c'est une des rares fois où ils peuvent voir un film en famille, serrés tous ensemble sur notre étroit canapé.
Ils ont tous la même expression, mais j'arrive pas à la déchiffrer. Je m'avance pour voir ce qu'il y a de si intéressant. Je mets un moment à comprendre que c'est pas le film. C'est les informations, et elles annoncent la fin du monde.
Et j'y crois pas.
C'est un canular, forcément. Une incroyable blague, comme a fait cet animateur de radio avec les extra-terrestres il y a longtemps.
Ma mère zappe et sur toutes les chaines il y a la même information qui tourne en boucle. Toutes, même la chaine pour enfants, même le porno.
C'est quand même une sacré blague [Virg.] je pense. Parce que moi, j'y crois toujours pas. C'est comme un mauvais rêve qui ne voudrait pas s'arrêter. Personne ne peut croire que la fin du monde va se produire d'ici moins de vingt minutes.
Ils ne savent pas pourquoi, ils ne comprennent pas, ils sont désolés, désolés. Essayez de rejoindre vos familles, pas de panique.
Et puis les lumières se coupent, pas seulement chez nous, mais dans toute la ville, je peux le voir par la fenêtre ; on a toujours eu une jolie vue.
Dans le noir, j'ose enfin parler.

Ça se peut pas, je dis.

Puis ma voix se casse de façon ridicule. Dans les films, c'est pas comme ça. On a le temps avant. Il y a des explosions, des héros qui luttent bravement et qui s'en sortent.

C'est que des conneries.

Et personne me répond. Ils osent pas. Je répète c'est pas possible.
Faut que je sorte de cette pièce, de cette baraque. La fin du monde, ça doit se voir dans le ciel non ? Je vais dehors. Je suis pieds nus sur la neige glacée. Ça me fait du bien. Je respire un peu mieux. Y'a rien dehors, pas de bombe, pas de feu. En face de moi, je vois mes voisins qui sont sortis aussi. Je leur fais salut mais le cœur n'y est pas.
Mon père me rejoint sur le pallier. J'ose pas le regarder. Cette histoire m'a foutu un coup quand même.
Je lève les yeux au ciel, le même ciel depuis que je suis née. Il a pas changé, sauf qu'on voit mieux les étoiles vu qu'il y a plus de courant. On voit mieux la lune aussi.
La lune qui commence à disparaître, comme si un monstre venu des profondeurs de l'espace la déchiquetait à pleine dents. C'est pas un film, c'est la putain de réalité.
Et c'est là que je me rends compte que le monstre vient sur nous maintenant, qu'on est les prochains.

P'pa.

C'est rien qu'un gémissement qui sort de ma bouche. Je vois pas quoi dire de plus.
Je pense à l'humanité qui va être détruite, et c'est PAS POSSIBLE. Je sais pas si je pleure. J'ai pas le temps. Dans le ciel, les étoiles disparaissent. Je pense à ceux qui dorment et qui savent pas.
Demain n' existe même plus.
Mon cerveau cherche une solution, une putain de solution. Personne ne se révolte, y'a pas de cris et de fumée, d'explosion. Juste une putain de réalité. Je sais pas quoi faire.
Je marmonne des trucs, j'essaie de dire à mon père que je l'aime, que j'aime toute ma famille Que j'aime cette putain d'humanité.
Mon chat qui sait même pas qu'on va tous crever.

Et mes pieds qui sont dans la neige, si froids, si froids.

Y'a plus du tout d'étoiles maintenant. Y'a que le silence. Et puis un grand courant d'air.

Le bouquin que je lisais, c'était quoi le titre bordel.

Et le monde arrête de penser.

J'aime. C'est vraiment une fin du monde très différente des visions apocalyptiques de ces dernières années. A la rigueur, je préfère ça plutôt que ça pète de partout ^^

Bon après, y'a encore quelques fautes qui traînent, mais personne n'est parfait Razz
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Message  Itzpapalotl Jeu 27 Mai 2010 - 17:58

Je crois que Laumie a déjà traité toutes les fautes.
J'aime. L'émotion est bien rendue. Il y a à la fois une distance et une montée de l'angoisse. L'incrédulité domine, une petite pointe d'impuissance, et ce qui se produirait réellement : personne n'y croirait. C'est bien rendu.
D'habitude je n'aime pas trop ce genre d'écriture mais ça colle bien à ce que tu veux faire passer. Ca renforce le côté pris sur l'instant, réaliste.
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Message  Lou Ven 28 Mai 2010 - 3:45

Merci merci. J'ai corrigé ^^
Par contre, Laum', tu as rajouté des "ne" et des "n'" alors que la contraction était voulue. Je sais pas si parce que j'ai fais exprès ça passe...
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Message  Pacô Ven 28 Mai 2010 - 16:32

Encore des petites fautes qui traînent :

Ils nme regardent pas,
=> Ils ne me regardent pas

Mon père me rejoint sur le pallier.
=> mais pourquoi tout le monde met deux "L" à ce mot ? C'est à cause du verbe non ?

Et là je me rend compte que le monstre
=> rends

Bon.

Appréciation linguistique :

C'est un peu le style que je connais de toi. Mais là, il y a quelque chose qui me dérange sacrément : l'abondance de "c'est". Je veux bien croire que c'est une jeune rebelle (comme toi tongue ) mais... fischtre ! Un peu de règles tout de même. Tous ces "c'est", qui ne sont même pas accordés avec le pluriel pour changer un peu, on a tendance à saturer en les lisant tous à la suite.

Même chose pour toutes les négations bafouées. Une ou deux qui sautent, ça fait stylé. Toutes sans exception, c'est une exagération qui ne reflète pas du tout le côté "jeune n'en foutiste", mais plutôt "l'auteur s'emmerde pas".
Donc pas d'effet rendu, juste une appréciation négative.

Sinon, ça coule bien ; toutefois, évite les trop de répétitions. Varie les "putains" (même si c'est à al rigueur fait exprès : pense à varier les mots tendres Very Happy).
Et au mieux, ne fais apparaître les "putains" que lorsqu'elle prend la parole.

Appréciation du récit :

Oui et non, ce n'est pas une fin du monde commune. Certes, elle change du traditionnel. Mais je dirais plus qu'elle change de la production américaine (et de 2012 notamment).
Pour ce qui est de la brutalité, plusieurs ouvrages décrivent la fin du monde comme une annulation de la pensée.
Donc...

Ce qui m'a le plus étonné, c'est le caractère "soudain" de la nouvelle. Comment se fait-il que la fin du monde soit annoncée de but en blanc ? Pourquoi on n'a pas un brin d'information ? Genre : bah en fait, la Terre va se faire aspirer dans un trou noir. C'est sans douleur, mais c'est fini on peut rien faire.
Une explication de ce type, ça aurait été parfait Very Happy.

Mais là, j'ai l'impression qu'il manque une explication ; je suis sûr qu'on donnerait au moins nue raison, rien que pour que les gens croient à la nouvelle.
Pourquoi pas le président qui fait ses adieux à la nation ? Non ?

Je lance des idées.
Sinon, c'est quoi ce "gros monstre" ? Je me figure un trou noir, mais je ne sais pas si ça correspond.
A toi de me dire Smile.
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Message  kat Mar 1 Juin 2010 - 8:50

Je suis en haut, dans ma chambre. J'entends vaguement le bourdonnement de la télé que mes parents regardent, mais j'écoute pas. Je lis un livre, calée (j’inverserais : Inconfortablement calée entre deux étagères, je lis un livre) de façon inconfortable entre deux étagères. Je me dis qu'il faudrait que je prenne un coussin, histoire d'être mieux installée. Je suis à moitié en train (mouais à moitié en train de… c’est pas top) de me lever lorsque la voix de mon père me parvient.

- Justine, viens voir.

Il y a de l'angoisse dans cette voix. Les mêmes intonations que lorsqu'on doit annoncer quelque chose de grave et d'irrémédiable : un suicide, une mort, un drame. C'est suffisamment fort pour que je m'inquiète, alors je pose mon livre et je descends.
Toute ma famille est (réunie ?) devant la télé. Ma mère, mon père, mes deux petits frères. Ils nme(euh… il ne me) regardent pas, ils ont les yeux rivés sur l'écran. Il est déjà tard, mais c'est les vacances (c’est les vacances me semble très familier, la on a l’impression d’un langage enfantin) et c'est une des rares fois où ils peuvent voir (regarder ? visionner ?) un film en famille, serrés tous ensemble sur notre étroit canapé.
Ils ont tous la même expression, mais j'arrive (je ne parviens pas ?) pas à la déchiffrer. Je m'avance pour voir ce qu'il y a de si intéressant. Je mets un moment à comprendre que c'est (je dirais ce n’est) pas le film. C'est (ce sont) les informations, et elles annoncent la fin du monde.
Et j'y crois pas.
C'est un canular, forcément. Une incroyable blague, comme a fait cet animateur de radio avec les extra-terrestres il y a longtemps.
Ma mère zappe et sur toutes les chaines il y a la même information(et sur toutes les chaines, la même information tourne en boucle ?) qui tourne en boucle. Toutes, même la chaine pour enfants, même le porno.
C'est quand même une sacré blague, je pense. Parce que moi, j'y crois toujours pas. C'est comme un mauvais rêve qui ne voudrait pas s'arrêter. Personne ne peut croire que la fin du monde va se produire d'ici moins de vingt minutes.
Ils ne savent pas pourquoi, ils ne comprennent pas, ils sont désolés, désolés (qui ?).
Essayez de rejoindre vos familles, pas de panique.
Et puis les lumières se coupent, pas seulement chez nous, mais dans toute la ville, je peux le voir par la fenêtre ; on a toujours eu une jolie vue.
Dans le noir, j'ose enfin parler.

- Ça se peut pas, je dis.

Pis (quelle âge a ton héroïne ?) ma voix se casse de façon ridicule. Dans les films, c'est pas comme ça. On a le temps avant. Il y a des explosions, des héros qui luttent bravement et qui s'en sortent.

- C'est que des conneries.

Et personne me répond. Ils osent pas. Je répète c'est pas possible.
Faut que je sorte de cette pièce, de cette baraque. La fin du monde, ça doit se voir dans le ciel non ? Je vais dehors. Je suis pieds nus sur la neige glacée. Ça me fait du bien. Je respire un peu mieux. Y a rien dehors, pas de bombe, pas de feu. En face de moi, je vois mes voisins qui sont sortis aussi. Je leur fais salut (je leur adresse un signe de la main ?) mais le cœur n'y est pas.
Mon père me rejoint sur le pallier(palier). J'ose pas le regarder. Cette histoire m'a foutu un coup quand même.
Je lève les yeux au ciel, le même ciel depuis que je suis née. Il a pas changé, sauf qu'on voit mieux les étoiles vu qu'il y a plus de courant. On voit mieux la lune aussi.
La lune qui commence à disparaitre, comme si un monstre venu des profondeurs de l'espace la déchiquetait à pleine dents. C'est pas un film, c'est la putain de réalité.
Et là je me rend(rends) compte que le monstre vient sur nous maintenant, qu'on est les prochains.

-P'pa

C'est rien qu'un gémissement qui sort de ma bouche. Je vois pas quoi dire de plus.
Je pense à l'humanité qui va être détruite, et c'est PAS POSSIBLE. Je sais pas si je pleure. J'ai pas le temps. Dans le ciel, les étoiles disparaissent. Je pense à ceux qui dorment et qui savent pas.
Demain existe même plus.
Mon cerveau cherche une solution, une putain de solution. Personne se révolte, y a pas de cris et de fumée, d'explosions. Juste une putain de réalité. Je sais pas quoi faire.
Je marmonne des trucs, j'essaie de dire à mon père que je l'aime, que j'aime toute ma famille (point) Que j'aime cette putain d'humanité.
Mon chat qui sait même pas qu'on va tous crever.

Et mes pieds qui sont dans la neige, si froids, si froids.

Y a plus du tout d'étoiles maintenant. Y a que le silence. Et puis un grand courant d'air.

Le bouquin que je lisais, c'était quoi le titre bordel.

Et le monde arrête de penser.

Je suis partagée, je dirais qu'il y a deux choses qui ressortent de ton histoire.
La première d'un point de vue négatif, c'est ce mélange de façon de parler, tantôt la narratrice parle d'une façon un peu soutenue (enfin normal) et tantôt tu tombe dans l'exagération (pis ..., j'ai pas, c'est pas...). Alors du coup, on a du mal à cibler l'âge du personnage. Parfois elle donne le sentiment d'avoir dans les 18 ans et parfois plutôt dans les 14. C'est quelque chose de récurrent tout le long de l'histoire et cela a un peu gâché ma lecture.

La seconde chose d'un point de vue positif, c'est que ce texte me permet vraiment d'entrer dans le contexte, j'imagine le sentiment que Justine et les gens dans le monde peuvent ressentir. Je vois les étoiles s'éteindre une à une. Je sens la peur et l'incompréhension. Bref, ça déchire. Malgré ce que je t'ai reproché plus haut, tu as réussi à me faire entrer dans l'histoire et vivre la même chose que les perso. J'essaye de l'imaginer en tant que cauchemar et en effet, c'est très flippant.
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Message  Lou Mer 2 Juin 2010 - 18:50

Je maitrise pas tout à fait le langage comme ça. je vais faire comme a dit pacô, enlever les négations quand elle parle.

En tout cas merci ^^
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Message  POp' Ven 4 Juin 2010 - 19:05

Dingue Dong.

Je crois que toutes les fautes que j'ai pu relever ont été corrigées plus au dessus.

Alors alors>>
Pour la forme: Aux toutes premières lignes, j'ai eu un peu peur de ce que cela allait donné, à cause du language utilisé. Et puis, en fait non, plus les lignes défilent, plus on s'habitue, plus on entre dans la tête du personnage, plus on est avec lui... Tu instaure un véritable contraste tout au long du texte, par ton style imposant un rythme.

Pour le fond: Une toute autre manière d'aborder la fin du monde. Plus flippant que ce que "les autres" nous ont montrés, plus halletant même.
Lou a écrit:Et le monde arrête de penser.
J'adore. La phrase finale qui termine tout, qui ne laisse pas sous-entendre que de minables extraterrestres pourraient envahir la terre. Qui pose la fin. Comme un "c'est comme ça, on y peut rien, c'est fini, point barre à la ligne, pas de recommencement." C'est comme une cerise sur le gâteau, que tu as posée avant de nous le livrer, bien chauffé, aux saveurs à découvrir au fil de la mastication.
J'aime.
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Message  ShillaS Lun 7 Juin 2010 - 10:47

je rejoinds un peu ce que les autres ont dit, il est très facile de s'identifier au personnage. et j'ai aussi apprécié ce côté d'impuissance face à l'incompréhension totale et qui, d'une certaine façon, plonge tout le monde dans le déni

pour le négatif, j'ai eu aussi du mal, on dirait que le personnage est un peu schyzo, certaines phrases sont trop en décalage avec sa personnalité rebelle
soit elle s'exprime bien et dans ce cas, elle ne fait pas d'élision
soit elle s'exprime dans un langage moin soutenu et là, il faudrait des élisions à d'autre endroits (comme pour les "je" par exemple)


par contre, elle annonce qu'il reste 20minutes mais j'ai l'impression qu'entre ce moment est la fin de l'histoire, il ne reste pas autant de temps scratch
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Message  Lou Lun 7 Juin 2010 - 11:22

En fait, pour le niveau de langage, j'ai pas encore tout changé, donc ça bug un peu.

Et tu as raisons, il ne reste pas 20 minutes. Trois minutes en fait, d'où le titre. Le 20 minutes était un ordre de grandeur.

Et j'ai oublié de répondre à Pacô : le président, il va crever comme tous les autres, y a rien à faire. Alors un discours, en si peu de temps... Il a ni le temps ni l'envie. Je pense qu'il cherche à joindre sa femme, ou à se saouler ^^
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Message  Gwen Mar 15 Juin 2010 - 17:56

Je trouve que tu arrives à rendre un sentiment d'étouffement et d'impuissance face à cette fin du monde assez juste... Au final, on ne sait pas comment réagir, on n'est pas sûrs que ça soit vrai, mais on est quand même morts de peur. Ce qui est encore plus plaisant, c'est que tu touches sans tomber dans le pathos. On se mettrait presque à la place de l'héroïne, on voudrait retrouver le titre de ce bouquin, même si ça n'a aucune importance ^^
J'aime beaucoup la fin aussi, brève, mais quand même complète en quelque sorte.
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Message  Manon Mer 2 Fév 2011 - 21:47

Bon, on m'a dit que je pouvais remonter pour commenter avec un commentaire Very Happy J'espère que je ne fais pas de redites Smile


Je répète c'est pas possible.
Vu que c'est oral, soit mettre un que, soit deux petits points, non ? ^^'

Spoiler:

Bon, vu que c'est écrit en style oral, je ne sais pas bien quoi dire sur ce style ^^'
Peut-être un peu trop de "c'est" (15 plus un "c'était") ^^'

Sinon, sinon, le fond... Pour une rédaction à la première personne et un sujet aussi "lourd" (dans le sens grave), je trouve qu'il y a relativement peu d'introspection/sentiments (sans vouloir plonger dans le mélo à 2 balles ^^). Par contre, comme le dit mon voisin du dessus, la sensation d'étouffement est plutôt bien rendue et ça m'a beaucoup plu Surprised
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Message  Lou Mer 2 Fév 2011 - 22:03

ALors, j'ai enlevais pleins de "c'est" et même un putain. Effectivement, même moi j'ai vu qu'il y en avait beaucoup.

Merci pour le commentaire en tout cas.

J'ai bien pris tout en compte et j'ai fais les corrections.
Je sais bien pour les sentiments, mais je voulais donner un ptit côté pris sur le vif. Et en plus, je peux pas rajouter de trucs parce que sinon ça serait trop long.

Et merci a TOUS le monde pour les commentaires.
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Message  malaulau Jeu 3 Fév 2011 - 10:12

Perso je ne suis pas d'accord avec Pacô (tiens ^^), je trouve que le fait de ne pas savoir est encore plus flippant. C'est toujours ainsi, l'inconnu fait peur. King joue presque tout le temps avec ça d'ailleurs. C'est un pro de l'inconnu. S'il expliquait d'où viennent ces "monstres", ces textes seraient moins percutants.

Évidemment, c'est totalement illogique et irrationnel denepas savoir, c'est bien pour cela que l'on a tendance à penser à un rêve.
Il y a pas mal de maladresses qui ont été relevées je pense. Mais perso, je me suis laissée embarquer comme une gamine en dévorant les lignes. Donc l'émotion a fonctionné, en ce qui me concerne, et bizarrement je n'oublierai pas ce texte. Alors que de nombreux autres, mieux écrits sans doute techniquement, m'ont moins marquée. Donc merci à toi pour m'avoir embarquée ainsi.
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