Commentaire : sorcière et mère
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Re: Commentaire : sorcière et mère
J'ai remplacé Margot la briseuse de cœurs par Margot les cœurs brisés, ça sonne mieux.
Je suis toujours sur la description de la mère, et j'essaie de voir pour le coup de la lueur, mais c'est chaud de l'insérer dans le texte.
Edit, j'ai remplacé les parenthèses par : Avec nostalgie ils repensaient au temps béni où un enfant venait leur rendre visite, emmenant avec lui ses camarades. Il est bien connu que tous les enfants possèdent la lueur particulière car ils sont encore les créateurs de leur propre monde. La pièce se remplissait alors de rires et de cris.
J'en suis pas satisfaite, mais j'ai pas mieux.
Je suis toujours sur la description de la mère, et j'essaie de voir pour le coup de la lueur, mais c'est chaud de l'insérer dans le texte.
Edit, j'ai remplacé les parenthèses par : Avec nostalgie ils repensaient au temps béni où un enfant venait leur rendre visite, emmenant avec lui ses camarades. Il est bien connu que tous les enfants possèdent la lueur particulière car ils sont encore les créateurs de leur propre monde. La pièce se remplissait alors de rires et de cris.
J'en suis pas satisfaite, mais j'ai pas mieux.
Lou- Shérif(ette)
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Re: Commentaire : sorcière et mère
C'est pas folichon mais ça se lit et c'est clair.Lou a écrit:Avec nostalgie ils repensaient au temps béni où un enfant venait leur rendre visite, emmenant avec lui ses camarades. Il est bien connu que tous les enfants possèdent la lueur particulière car ils sont encore les créateurs de leur propre monde. La pièce se remplissait alors de rires et de cris.
Sauf si tu trouves d'autres détails à ajouter, moi ça me plaît !
Re: Commentaire : sorcière et mère
Il faut gronder Lou si ce n'est pas bien de remonter ce topic
Petite remarque générale, y'a un peu trop de verbes ternes pour un si court passage ^^'
magasin-la : là
A l'intérieur : À (t'as plus qu'à copier/coller ) (idem A seize ans)
de son dos montrait : montraient (les épaules + la cicatrice)
entre autre : autres
P'tre des guillemets pour "la belle Margot" et "Margot les coeurs brisés", je dirai même "Margot-les-coeurs-brisés"
vendeuse d'antiquité : antiquité, et sans doute "?" au lieu de "."
chevauchés : chevauchées
magasin remplis : rempli
(objets bougons ? o_o')
Dommage que la fin du chapitre soit aussi vite expédiée, mais elle suffit pour intriguer
Je verrai bien plus de détails au niveau des objets
Petite remarque générale, y'a un peu trop de verbes ternes pour un si court passage ^^'
très perso, je préfère "à l'un de", je trouve ça plus fluide ^^'à un de ses amis
magasin-la : là
Allourdit un peu je trouve "mais une main inconnue avait gratté le dernier r", après, on arrive à faire le mot tout seuls ^^'mais une main inconnue avait gratté le r, et cela donnait à présent « Le pays étrange »
A l'intérieur : À (t'as plus qu'à copier/coller ) (idem A seize ans)
un magasin en particulière, non ? Alors que juste avant, tu parlais de magasins en général. Donc, quelque chose comme "Dans une [petite/machin] ville, l'une de ces mystérieuses boutiques s'appelait..." ?Ce magasin-là s'appelait
"avec lui" n'est pas nécessaire, c'est une redondance ^^emmenant avec lui ses camarades
de son dos montrait : montraient (les épaules + la cicatrice)
entre autre : autres
P'tre des guillemets pour "la belle Margot" et "Margot les coeurs brisés", je dirai même "Margot-les-coeurs-brisés"
vendeuse d'antiquité : antiquité, et sans doute "?" au lieu de "."
chevauchés : chevauchées
magasin remplis : rempli
(objets bougons ? o_o')
Dommage que la fin du chapitre soit aussi vite expédiée, mais elle suffit pour intriguer
Je verrai bien plus de détails au niveau des objets
Manon- Présidente du Jury 2012
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Re: Commentaire : sorcière et mère
Oh, c'est pas la fin, c'est un cliffanger à deux balles parce que j'arrive pas à faire la suite.
Sinon, remarques fort justes, et je vais faire la chasse aux verbes ternes.
Sinon, remarques fort justes, et je vais faire la chasse aux verbes ternes.
Lou- Shérif(ette)
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Re: Commentaire : sorcière et mère
Il existe dans chaque ville et dans chaque village un petit magasin perdu au milieu des ruelles. Son adresse n'est pas dans l'annuaire et les flâneurs passent devant sans l'apercevoir. Parfois, un homme s’arrête et le contemple, le regard animé d’un éclat particulier. Plus rarement encore, il y entre et n'en ressort que bien plus tard, les bras chargés de quelques trésors oubliés. Il en parlera peut-être à un de ses amis qui partira lui aussi à sa recherche, mais sans cette lueur particulière, le magasin lui restera invisible.
Ce magasin-l[strike]a[/strike]à s'appelait « Le pays étranger » mais une main inconnue avait gratté le r, et cela donnait à présent « Le pays étrange ». A l'intérieur, les objets attendaient leur propriétaire, et ils s'ennuyaient. Avec nostalgie ils repensaient au temps béni où un enfant venait leur rendre visite, emmenant avec lui ses camarades. Il est bien connu que tous les enfants possèdent la lueur particulière car ils sont encore les créateurs de leur propre monde. La pièce se remplissait alors de rires et de cris. Les objets gardaient dans leur cœur toutes les fois où ils avaient constitué un trésor de pirate, une rançon pour un dangereux gangster ou bien participé à d'autres histoires encore. (tu as mis deux exemples, puis une généralité "d'autres histoires encore". Pour conserver le rythme, utilise plustôt un troisième exemple de jeu d'enfants, comme la dinette, la marchande...) Ils étaient alors les héros d'un monde où tout était possible.
Mais l'enfant avait grandi et ses amis avec. Le chemin du magasin s'était évanoui dans les brumes de l'adolescence.
Derrière le comptoir, au milieu de toute cette magie, une petite femme attendait tranquillement. Elle aussi se désolait de l'absence des enfants. En particulier de son fils. A seize ans, il ne sautait plus de joie quand elle lui ramenait des dents de dragon ou un couteau ayant appartenu à un grand roi. Il ne jurait plus que par les jeux vidéo et avait oublié la force de l'imagination. Autrefois, elle était son idole, sa déesse et sa confidente. Maintenant, elle était l'ennemie et lui faisait honte devant ses copains. Bien sûr, elle s'y attendait, il était normal que le jeune garçon devienne un homme, mais elle aurait préféré qu'il restât à ses côtés plus longtemps.
Un chat sauta sur le comptoir et frotta sa petite tête triangulaire sur les mains de sa maîtresse. Il s'appelait Parallélogramme, un nom peu ordinaire pour un animal peu ordinaire. Il avait l'incroyable particularité de ressembler à un mélange de persan et de chat de gouttière. (être un mélange n'est pas une particularité en soi, surtout de deux races aussi communes. Si tu veux garder le "incroyable" je te suggère plutôt "il était un incroyable mélange") Certes, il possédait un museau plat, des poils longs et une queue élégante aux reflets mordorés ; mais sa démarche courtaude, ses épaules jetées en avant et la large cicatrice qui courrait le long de son dos montrait qu'il n'était pas un chat de salon. Il avait bien d'autres défauts, entre autre un miaulement particulièrement grinçant et une tendance à snober tous les êtres vivants, plantes comprises. Pour quelque raison obscure, il ne respectait que sa ma[strike]i[/strike]îtresse. Celle-ci sentit soudain la nostalgie l'envahir. Ne l'appelait-on pas autrefois la belle Margot ? Ou encore Margot les cœurs brisés ? Aujourd'hui, ses cheveux avaient perdu leurs flammes et grisonnaient sur les tempes. Ses formes avantageuses s'étaient peu à peu transformées en surpoids et sa vigueur s'était envolée. Oui, à quarante ans maintenant, elle se sentait bien vieille. Quoi de plus normal, avec un enfant à charge et un métier tranquille de vendeuse d'antiquité. (si tu commence ta phrase avec un "Quoi", selon toute logique, elle devrait se terminer par un point d'interrogation, non ?)
Voilà ce qui lui manquait : de l'action, des grandes chevauchés sauvages à la recherche de quelques mystères. (un peu familier, avec le "voilà" en début de phrase qui fait trop langue parlée. Tu pourrais par exemple plutôt mettre "de l'action, des grandes chevauchés sauvages à la recherche de quelques mystères" avant le verbe "manquer", ce serait plus correct.) Elle avait un besoin presque physique de partir de nouveau à l'aventure, son pays lui manquait. (il manque quelque chose entre "de nouveau à l'aventure" et "son payes lui manquait". Soit une coordination, soit un point, mais quelque chose)
Il faut toujours faire attention aux souhaits qu'on formule, en particulier dans un magasin remplis d'objets bougons. C'est la règle numéro 17 du code de sorcellerie.
Malheureusement pour elle, Margot Salamander l'avait oubliée.
Voilà voilà !
J'aime bien ton texte, l'idée de l’héroïne est originale (on ne voit pas souvent des mères comme héroïnes dans les livres fantastiques). Le chat aussi est sympathiquement décrit.
Enfin, j'ai hâte de lire la suite !
L- Talent Habitué
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Re: Commentaire : sorcière et mère
Remarques justes et pertinentes, merci de ton commentaire. Je vais corriger tout ça.
Lou- Shérif(ette)
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