Lyz Maddox
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Lyz Maddox
- Est-ce votre Premier roman ?
Oui et non. J'ai déjà écrit une dizaine de nouvelles dont cinq que j'aimerai faire publier. Celui que je viens d'achever hier est le premier vrai manuscrit que je peux nommer ainsi. J'ai été "publiée" dans un projet, sur un site, une petite nouvelle.
- Souhaitez-vous être publié ?
Oui. C'est ce à quoi j'aspire et même si ça peut paraitre grotesque, j'aimerais vraiment en faire mon métier. Donc oui oui et oui.
- Vous connaissez-vous des faiblesses en écriture sur lesquelles vous souhaitez que les correcteurs s’attardent ?
On attaque le sujet sensible. Autant dire que mes notions de français ne sont pas bien élevées. Je galère particulièrement avec les temps de conjugaison ( et dès qu'on me lira on s'en rendra compte ) et quelque fois l'orthographe, car mon logiciel d'écriture ne me fait pas la faveur de me corriger. Après j'ai un style à couper au couteau, mes phrases, soit très longue et poétiques, soit courtes à la limite de la narration de Rorschach, un Marvel si vous connaissez.
- Résumé du roman & thèmes abordés ?
Très simplement : du psychologique, très sombre, voire sanglant et dérangeant. Je suis interessée par toutes les névroses et syndrome que les hommes ont pu créer mais aussi par l'évolution de notre espèce, sujet dont je traite dans le roman que je commence maintenant.
- Quel lectorat visez-vous ?
Tout comme je suis bien incapable de définir si un film doit être interdit au moins de 12 ou 18ans, je vais répondre à ma façon : pour un public averti c'est certain. Pour ce qui est de l'âge, c'est selon les personnes je pense.
- Dans quel genre sévissez-vous et quels sont vos auteurs de références ?
Science Fiction, Roman réaliste sombre, drame, psychologique... quant à mes auteurs je cite les principaux en espérant ne pas passer à côté d'autre ( en essayant de les citer dans l'ordre ) : Poppy Z Brite, Stephen King, Graham, Anne Rice, Jac Barron, Chattam, Simmons, Werber, Denis Cooper et Virgine Despentes.
- Quelle est votre intention littéraire ?
C'est ma plus grande passion. J'écris tout le temps, je vis mes histoires et ça devrait résumé je pense.
Oui et non. J'ai déjà écrit une dizaine de nouvelles dont cinq que j'aimerai faire publier. Celui que je viens d'achever hier est le premier vrai manuscrit que je peux nommer ainsi. J'ai été "publiée" dans un projet, sur un site, une petite nouvelle.
- Souhaitez-vous être publié ?
Oui. C'est ce à quoi j'aspire et même si ça peut paraitre grotesque, j'aimerais vraiment en faire mon métier. Donc oui oui et oui.
- Vous connaissez-vous des faiblesses en écriture sur lesquelles vous souhaitez que les correcteurs s’attardent ?
On attaque le sujet sensible. Autant dire que mes notions de français ne sont pas bien élevées. Je galère particulièrement avec les temps de conjugaison ( et dès qu'on me lira on s'en rendra compte ) et quelque fois l'orthographe, car mon logiciel d'écriture ne me fait pas la faveur de me corriger. Après j'ai un style à couper au couteau, mes phrases, soit très longue et poétiques, soit courtes à la limite de la narration de Rorschach, un Marvel si vous connaissez.
- Résumé du roman & thèmes abordés ?
Très simplement : du psychologique, très sombre, voire sanglant et dérangeant. Je suis interessée par toutes les névroses et syndrome que les hommes ont pu créer mais aussi par l'évolution de notre espèce, sujet dont je traite dans le roman que je commence maintenant.
- Quel lectorat visez-vous ?
Tout comme je suis bien incapable de définir si un film doit être interdit au moins de 12 ou 18ans, je vais répondre à ma façon : pour un public averti c'est certain. Pour ce qui est de l'âge, c'est selon les personnes je pense.
- Dans quel genre sévissez-vous et quels sont vos auteurs de références ?
Science Fiction, Roman réaliste sombre, drame, psychologique... quant à mes auteurs je cite les principaux en espérant ne pas passer à côté d'autre ( en essayant de les citer dans l'ordre ) : Poppy Z Brite, Stephen King, Graham, Anne Rice, Jac Barron, Chattam, Simmons, Werber, Denis Cooper et Virgine Despentes.
- Quelle est votre intention littéraire ?
C'est ma plus grande passion. J'écris tout le temps, je vis mes histoires et ça devrait résumé je pense.
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
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Re: Lyz Maddox
Donc c'est un manuscrit romanesque, si j'ai bien compris, et non pas les 5 nouvelles dont tu parles juste avant ? (je suis un peu lent...)Celui que je viens d'achever hier est le premier vrai manuscrit que je peux nommer ainsi.
Utopique, pas toujours, mais grotesque, surement pas. Quoiqu'il soit quand même bon de garder à l'esprit que la plupart des écrivains se libèrent d'une profession une fois un certain succès assuré, mais rare sont ceux qui débutent dans l'écriture libre de toute contrainte matérielle.C'est ce à quoi j'aspire et même si ça peut paraitre grotesque, j'aimerais vraiment en faire mon métier.
Sans vouloir faire mon rabat-joie, dans la société actuelle, le sanglant n'est pas très dérangeant, hein. ^^Très simplement : du psychologique, très sombre, voire sanglant et dérangeant.
Ceci dit, blague à part, excepté ces thèmes fort passionnants et prometteurs, mais assez vagues, tu as une idée plus claire de la trame de ce futur roman ?
Re: Lyz Maddox
Tu dis que Werber est un de tes auteurs de référence. Qu'est-ce qui t'attire dans son style ??
Laumie- Talent Divin
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Re: Lyz Maddox
Comme le dit MrSonge, il n'est pas risible de vouloir faire de l'écriture un métier. Toutefois, je conseille plus un métier d'écrivain public ou correcteurs... car par la voie de la simple prose publiée, rares sont ceux qui arrivent à payer un loyer avec =/.
La plupart ont une profession à côté qui permettent de vivre et d'avoir toute la patience nécessaire à la rédaction de l'ouvrage.
(écrire sous le stress de la faim, ce n'est pas le mieux. Et ne dit-on pas que l'Art se nourrit de l'opulence ? )
(je t'attends MrSonge)
Et même chose : peux-tu nous en dire plus sur la trame de fond du manuscrit achevé ? Car c'est très vague, et cette définition pourrait être attribuée à n'importe quel texte de la même atmosphère .
Un petit texte d'accroche éventuellement ?
La plupart ont une profession à côté qui permettent de vivre et d'avoir toute la patience nécessaire à la rédaction de l'ouvrage.
(écrire sous le stress de la faim, ce n'est pas le mieux. Et ne dit-on pas que l'Art se nourrit de l'opulence ? )
(je t'attends MrSonge)
Et même chose : peux-tu nous en dire plus sur la trame de fond du manuscrit achevé ? Car c'est très vague, et cette définition pourrait être attribuée à n'importe quel texte de la même atmosphère .
Un petit texte d'accroche éventuellement ?
Re: Lyz Maddox
Tu sais que Balzac te tuerais pour moins que ça ? Sans parler de Bloy qui, lui, non seulement t'assassinerait, mais prendrait soit de t'éreinter dans un article auparavant, puis de te vouer aux flammes de l'Enfer.(écrire sous le stress de la faim, ce n'est pas le mieux. Et ne dit-on pas que l'Art se nourrit de l'opulence ?)
En revanche Wilde t'offrirais sans doute un bouquet de lys. De profond lys.
Re: Lyz Maddox
MrSonge a écrit:Peut-être l'absence flagrante de celui-ci ?
Roh on sait que tu l'aimes pas mais laisse répondre Lyz
Laumie- Talent Divin
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Date d'inscription : 22/05/2009
Re: Lyz Maddox
L'Art ne s'est néanmoins jamais aussi bien exprimé qu'en période de faste où le gouvernement en place pensait à autre chose qu'à résoudre une crise identitaire, une guerre ou une famine .
Re: Lyz Maddox
Le dix-neuvième siècle est perclu de guerres, de révolutions, de misère. Le XXème siècle, on en parle même pas. Le XVIIIème siècle était relativement faste, mais la misère était partout, les disettes courantes et les guerres quasiment le lot quotidien des populations. Sans parler du règne de Louis XIV, qui n'était que guerres et crevage de faim. À mon humble avis, ça ne tient pas debout, cette théorie.L'Art ne s'est néanmoins jamais aussi bien exprimé qu'en période de faste où le gouvernement en place pensait à autre chose qu'à résoudre une crise identitaire, une guerre ou une famine.
Et puis de toutes manières, quel rapport entre l'art et le gouvernement ?
C'est pas qu'j'l'aime pas. J'le méprise, c'est différent.Roh on sait que tu l'aimes pas mais laisse répondre Lyz
Re: Lyz Maddox
Oulà, je m'absente pour la soirée et je ne sais déjà plus où répondre ! Je vais tenter de faire dans l'ordre que j'ai gardé en tête.
Pour Werber, il n'a effectivement pas de style flagrant, ce n'est pas pour ça que je le lis, je m'en rends tout de même compte. Mais j'aime les idées de fond la plupart du temps et pense qu'on pourrait vraiment en tirer quelque chose. Mon imagination fait le reste ^^
Pour le roman. Oui, il s'agit de celui que je viens d'achever et non des petites nouvelles que j'écris lorsque j'ai besoin de lâcher un peu le roman justement. Si je peux le décrire un peu plus il s'agit en fait du croisement de vie entre trois personnes. Chacun souffrant d'un problème psychologique dû à un évènement relié plus ou moins aux autres personnes. On les voit évoluer et je tente d'expliquer, de comprendre et d'illustrer à travers ce roman les complexité psychologique dont les hommes peuvent atteint.
Je ne sais pas vraiment si c'est beaucoup plus clair, dites moi
Pour Werber, il n'a effectivement pas de style flagrant, ce n'est pas pour ça que je le lis, je m'en rends tout de même compte. Mais j'aime les idées de fond la plupart du temps et pense qu'on pourrait vraiment en tirer quelque chose. Mon imagination fait le reste ^^
Pour le roman. Oui, il s'agit de celui que je viens d'achever et non des petites nouvelles que j'écris lorsque j'ai besoin de lâcher un peu le roman justement. Si je peux le décrire un peu plus il s'agit en fait du croisement de vie entre trois personnes. Chacun souffrant d'un problème psychologique dû à un évènement relié plus ou moins aux autres personnes. On les voit évoluer et je tente d'expliquer, de comprendre et d'illustrer à travers ce roman les complexité psychologique dont les hommes peuvent atteint.
Je ne sais pas vraiment si c'est beaucoup plus clair, dites moi
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
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Points : 65
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Lyz Maddox
Oh, bien sûr que l'on pourrait en tirer quelque chose. Un manuel de ce qu'il ne faut pas faire quand on est écrivain, par exemple.Mais j'aime les idées de fond la plupart du temps et pense qu'on pourrait vraiment en tirer quelque chose
...
...
Bon, ok. J'arrête. xD
Et par simple curiosité, c'est quel genre de personnes ? Enfin je veux dire, est-ce qu'il s'agit d'un plombier, d'un adolescent en prépa véto et d'une caissière chez Casino, ou d'un banquier, d'une féministe célèbre et d'un curé de campagne ? Juste pour avoir une idée des problèmes psychologiques qu'ils pourraient rencontrer, parce que j'avoue que cette trame, encore assez vague (^^) m'intéresse de plus en plus.Si je peux le décrire un peu plus il s'agit en fait du croisement de vie entre trois personnes.
Re: Lyz Maddox
Le style est même absent chez Werber .
Les idées de fond... ouais, mais les idées de fond sont reprises par d'autres, notamment les fourmis.
En fait, ce sont mêmes des écrits de Hésiode et d'Aristote qui ont été très vite fascinés par l'organisation des fourmis.
Tu as Horace qui compliment la sagesse et l'intelligence des fourmis.
Tu as Pline l'ancien, dans la vie des animaux, qui consacre un chapitre entier aux fourmis.
Par la suite, c'est Plutharque qui s'amuse à personnifier une colonie de fourmis, avec un brin de poésie grecque.
Pour citer Jean Giraudoux :
Et cette mise en forme passe par le style.
Comment se prétendre auteur d'un écrit littéraire si l'on revendique l'absence de style ?
Les idées de fond... ouais, mais les idées de fond sont reprises par d'autres, notamment les fourmis.
En fait, ce sont mêmes des écrits de Hésiode et d'Aristote qui ont été très vite fascinés par l'organisation des fourmis.
Tu as Horace qui compliment la sagesse et l'intelligence des fourmis.
Tu as Pline l'ancien, dans la vie des animaux, qui consacre un chapitre entier aux fourmis.
Par la suite, c'est Plutharque qui s'amuse à personnifier une colonie de fourmis, avec un brin de poésie grecque.
Pour citer Jean Giraudoux :
Le fond de Weber n'est pas si exceptionnel que cela ; il est, comme pour tout auteur, emprunté à une autre époque, à une autre plume, qui l'a surement elle-aussi emprunté à quelqu'un d'autres. Les idées ne sont en elles-mêmes pas en possession de l'auteur - ce pourquoi la législation ne protège jamais vraiment les idées - par contre la mise en forme de ces idées, comme Voltaire a pu le faire pour les Lumières - alors qu'il n'était très certainement pas le seul à penser ainsi - fait de l'auteur quelqu'un d'unique en son genre, car la littérature n'est qu'une histoire de mise en forme, de valorisation de l'idée.Le plagiat est la base de toutes les littératures, excepté de la première, qui d'ailleurs est inconnue.
Et cette mise en forme passe par le style.
Comment se prétendre auteur d'un écrit littéraire si l'on revendique l'absence de style ?
Re: Lyz Maddox
C'est sûr que vu comme ça et avec les arguments avancés je ne peux pas le défendre ! Cependant je n'ai pas lu l'intégralité de ses livres, ayant juste eu un petit coup de coeur pour "Le papillion des étoiles" l'espace d'une nuit. Mais en toute sincérité je ne suis pas une fan de la première heure donc pas d'emballement lol.
S'il y en avait un qui avait critiqué Brite, Chattam ou King j'avoue que j'aurais défendu mes écrivains mais là, je vous laisse ne pas aimer, puis que je comprends.
Et comme conclusion je dirais : Qui n'a jamais été passionné ne serait-ce que 5min par les fourmis ?
Pour mes personnages, non, ils bossent pas pour Casino, désolé. Pourtant ça aurait pimenté l'histoire! héhé.
Le premier est un garçon de 2O ans, à la base étudiant médecine et pour finir infimier spécialisé dans un centre psychiatrique. On le suit jusqu'à ses 27 ans.
Ensuite on a un patient, que l'on suit de ses 6 ans à ses 29 ou 30 ans.
Et pour finir un adolescent, la victime qui était juste au collège.
S'il y en avait un qui avait critiqué Brite, Chattam ou King j'avoue que j'aurais défendu mes écrivains mais là, je vous laisse ne pas aimer, puis que je comprends.
Et comme conclusion je dirais : Qui n'a jamais été passionné ne serait-ce que 5min par les fourmis ?
Pour mes personnages, non, ils bossent pas pour Casino, désolé. Pourtant ça aurait pimenté l'histoire! héhé.
Le premier est un garçon de 2O ans, à la base étudiant médecine et pour finir infimier spécialisé dans un centre psychiatrique. On le suit jusqu'à ses 27 ans.
Ensuite on a un patient, que l'on suit de ses 6 ans à ses 29 ou 30 ans.
Et pour finir un adolescent, la victime qui était juste au collège.
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Lyz Maddox
Moi.Et comme conclusion je dirais : Qui n'a jamais été passionné ne serait-ce que 5min par les fourmis ?
Ah, parce qu'il y a une victime ? Donc il y a crime, donc il y a criminel.Et pour finir un adolescent, la victime qui était juste au collège.
C'est quiiiiiii ? 8D
Re: Lyz Maddox
Qui a dit qu'il fallait un forcément un crime pour qu'il y ai victime ? Héhé.
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Lyz Maddox
Bah pour qu'il y ait victime, il faut qu'il y ait "préjudice"... et un préjudice est considéré comme un crime non ?
Re: Lyz Maddox
Elle n'a pas tort en fait, il peut y avoir des victimes d'accident, de catastrophe naturelle, etc...
Mais c'est plus marrant quand il y a crime.
Mais c'est plus marrant quand il y a crime.
Re: Lyz Maddox
Disons qu'il y a préjudice non-intentionnel mais que la victime y réagit d'une façon très différente de ce que l'on attend d'elle.
Donc oui, il y a préjudice mais pas crime. La victime ne se considère pas comme tel, et l'agresseur ne se croit pas agresseur ne se croit pas en tort non plus.
Donc oui, il y a préjudice mais pas crime. La victime ne se considère pas comme tel, et l'agresseur ne se croit pas agresseur ne se croit pas en tort non plus.
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
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