Bon à rien
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Re: Bon à rien
- Spoiler:
- Bonsoir,
Malgré les périodes de fête, la Tyrannie applique ses textes sacrés à la lettre. Aussi, tu ne peux recevoir de commentaires sur ton écrit tant que tu n'auras pas vérifié les conditions suivantes :- signature des textes sacrés
- présentation des patriotes dans la rubrique Identification
Une communauté de bêta-lecteur sous-entend aussi une valeur d'échanges entre les lecteurs et les auteurs ; tu devras donc lire autant que tu seras lu.
Promis, lorsque tu seras présenté, je te souhaiterais la bienvenue .
Bonne journée sur les fora d'IDEY. - signature des textes sacrés
Re: Bon à rien
Mon avis : l’idée est intéressante, au début on seSynchronize a écrit:
Mon grand-père était un homme politique français adepte des phrases chocs et des positions radicales. Il possédait une
certaine influence en son temps. Par là, je voulais dire, non pas qu'il était vieux, mais je me référençais à se
période en tant que président de son parti nationaliste.
Outre la politique, c'était un géniteur aimant, qui m'envoyait autant d'amour que je lui en donnais. Il m'offrait ce que je désirais et jusqu'à l'âge de dix ans, je passais tous mes week-ends chez lui. Ce n'étaient que d'excellents souvenirs.
Ma mère, quant à elle, pris la place de son père quand vint le moment de la retraite. Elle me disait toujours, jusqu'aux
élections présidentielles de 2012, entre le dîner et le coucher «Tu verras manque , François, on va bientôt parler de nous.»
Commentaires sur ta présentation : il est préférable de marquer un début de paroles par une ponctuation car de toute façon en lecture on fait une pause. Ensuite les « » français sont : « suivi d’une espace et » précédé d’une espace
Puis vint sa défaite. Elle fit une fabuleuse et longue dépression qui me fit obtenir certaines responsabilités très tôt. J'étais
le patriarche, j'avais pris la place de mon père, celle-ci qui inélégant et maladroit n'avait jamais été occupée.
Cependant, je tenais à raconter comment j'ai dû porter ce nom si connoté.
Lors de mes années d'école élémentaire, mes camarades de classe ne prenaient aucune distance avec moi. Au contraire même, je gagnais des élections. Les gens pouvaient dire ce qu'ils voulaient, mais en élisant un délégué, on élisait
répétition la personne la plus populaire. J'étais donc populaire.
Ce qui faisait rire, paradoxalement, c'était mon nom. plutôt : ? Le Pain. A À en littérature, il faut accentuer les majuscules la cantine, tout le monde me donnait l'aliment qui portait mon patronyme manque , ce qui pouvait expliquer mon léger embonpoint. Mon grand-père disait avec des mimiques remarquables «La gourmandise est un vilain défaut», , avant le » il fit son rire monstre et ajouta «Je rigole François, allez va vite manger la forêt noire sur la table». . avant le » De temps à autre, il me faisait aussi un tour de magie avec son œil de verre.
Plus tard, au collège, la politique il faut n’ intéressait qu'une minorité majeure ça veut dire ? d'élèves. Seuls les professeurs bloquaient sur ma généalogie. Ma rentrée de cinquième se passa comme tel :pour les dialogues : je crois que tu as mis une * (ce
- Bon, je suis Mme. Léger et je vais faire l'appel pour voir si c'est bien vous. Si j'écorche vos noms, corrigez-moi.
Kerviel ?- Oui !
- Le Bon ?
- Présente !
- Le... Le... Je ne vois pas très bien, j'ai oublié mes lentilles ce matin. Le Pai ?
- Le Pain, Madame, François Le Pain !
- Ah, ah. Tu es le fils de... ? Ah non, pardon, je... Excuse-moi. Madoff ?
peut être un effet d’affichage…), il faut commencer par « ou — (tiret
cadratin alt0151) ou – (tiret semi-cadratin alt0150), pour la suite
les deux derniers et si tu as commencé par « , il fau clore le dialogue
par ». Et aussi ne pas laisser les décalages générés par les traitements
de textes : un élément d’un dialogue se comporte comme les autres
paragraphes, sauf qu’il commence par un de ces deux cadratins suivis d’un
espace et d’une majuscule
J'étais habitué à ce genre d'incidents le s ne s’impose pas, mais le plus embarrassant était bel et bien la rencontre
parents-professeurs. Je n'avais pas mon père, ce qui expliquait le déplacement de ma chère mère pour cette réunion.
Les enseignants étaient gênés, brefs et plus que jamais compréhensifs. Les parents étaient abasourdis, ils dénonçaient un manque d'éthique, mis à part quelques rares sympathisants frontistes qui réclamaient des autographes.
Le lycée fut la période la plus éprouvante. J'avais sans cesse le le de est inutile et prête à confusion droit à des remarques et une certaine réputation était faite. J'étais toujours populaire, mais probablement plus de la même façon. Les blagues sur mon nom ne faisaient plus rire, j'étais devenu maigre et la virgule avant et n’est pas obligatoire, même pas conseillée sauf quand et lie deux parties de phrases distinctes, comme ici mon grand-père décéda. Ma mère qui allait mieux, pleurait toutes les nuits et son comportement était contradictoire. Elle ne voulait en aucun cas m'afficher sur la scène médiatico-politique, c'était une promesse mutuelle que nous nous étions faite. Puis,
elle devint victime de changements d'humeur, d'états soudains qui m'obligeaient, par exemple, à me faire venir à ses meetings. Grâce à moi, elle gagna deux points dans les sondages en 2019.
Elle devenait totalement folle dans sa vie privée.
Quand je devins majeur, j'obtins le droit de vote. Le peu d'amis que je préservais , à enlever pouvaient voter pour le candidat de leur choix. Ce n'était pas mon cas. Ce fut dans une révolte existentielle que je décidai de voter pour le candidat totalement opposé à ma mère. Ce fut dans une colère sans limite qu'elle me vira de chez elle et de sa vie.
Entretiens d'embauches refusés, défaites sentimentales permanentes, j'essuyais incessamment les échecs de ma vie, je vivais avec l'argent qu'on me donna lors des interviews que j'accordais.
Ma vie était totalement inintéressante, c'est donc dans cette logique que je jouais à la roulette russe dans la dernière émission de télé réalité d'une chaîne câblée. Je gagnais des sous, je me faisais une nouvelle popularité, mais c'est
à ma mort, le 13 février 2042, que je devins véritablement célèbre.
D'une dimension lointaine, à côté de nul part, celle où il faisait sombre tous les jours et que mes camarades appelaient
l'Enfer, j'appris que j'étais le héros qui libéra la France de la menace nationaliste.
demande si c’est du lard ou du cochon, de quel côté balance le texte, on ne sait trop. Une manière certes intéressante, en partie justifiée par le sujet, mais cela peut rebuter à cause du côté très sérieux de l’écriture, de l’apparition d’une certaine dérision vers la fin.
Le texte souffre aussi, bien qu’il soit bien écrit, d’une certaine maladresse qui va rebuter les lecteurs. D’abord le parti-pris de relater tout à l’imparfait, puis de passer au passé simple et là que d’erreurs : tu mélanges l’imparfait et ce passé simple sans respecter les règles qui veulent que le ponctuel s’écrive au passé simple et ce qui dure se mette à l’imparfait.
Ensuite il souffre de platitude : j’entends par là l’abus d’utilisation de verbes ternes (être, avoir, faire… je les ai simplement soulignés…)… ils sont trop nombreux, d’où l’aspect répétitif, se mélangent à être et avoir utilisés dans les conjugaisons d’autres verbes ou sont fourre-tout comme faire. Il faut en limiter l’usage en tant que verbes autant que possible.
Les fautes sont soulignées de rouge ou pour la ponctuation d'orange.
Je suis persuadée que ce texte remis à plat pour la conjugaison, enrichi d’un second degré dans sa première partie basculant ensuite sur la dérision et un humour subtil dans la seconde partie (l’actuelle et surtout la future), serait vraiment original et digne d’intérêt. J'aime aussi beaucoup le nom des élèves de la classe.
Mais bien sûr, c’est un avis personnel qui n’engage que moi, tu le retiens ou non.
Et comme il te faut bêta-lire, ici plusieurs écrivent des textes assez politiques... par exemple Gavroche... et moi aussi (ma nouvelle "le quai")
MémoireDuTemps- Admin
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Re: Bon à rien
Et voici mon premier commentaire !
Appréciation générale :
Le principal reproche que je pourrais faire au texte, c'est son vocabulaire pas toujours très adapté au contexte, ou parfois légèrement emphatique. Par exemple :
Le vocabulaire doit s'insérer dans la lecture comme si tout à coup, tu étais réellement plongé dans cette histoire, oubliant les feuilles de papier devant tes yeux.
En fait, dans l'ensemble, je dirais qu'il y a un contraste entre des mots disgracieux qui s'unissent à un discours volontairement solennel, voire impérieux. Ce serait à retravailler.
Sur le fond même du récit, le clin d'oeil au parti frontiste est intéressant... mais peut-être un tantinet intrusif dans leur vie privée. Enfin, j'entends par là que, si j'étais Marine Lepen, je n'aimerais pas tellement qu'on écrive sur le futur de mon enfant ; ni qu'on me prédise une dépression. Il faudrait peut-être prendre plus de recul, plus de parallèle, plus de métaphore... parce que là, "l'attaque" ne fait pas très subtile .
Ceci dit, pourquoi pas. Un petit souci néanmoins dans la cohérence : on ne comprend pas tellement pourquoi la mort du gosse à un jeu télévisé sauverait la france du nationalisme - et là, même chose, attention à ne pas t'attirer une critique trop facile parce que ton attaque est trop facile. "Sauver la France du FN", c'est tout sauf très subtil comme joute littéraire. C'est franc-jeu... et ce n'est peut-être pas très utile pour ceux qui voudraient s'opposer au FN.
Bref voilà mon avis ; à toi de prendre ce qu'il te plaira.
=> "sa" périodemais je me référençais à se période en tant que président de son parti nationaliste.
=> maladroit "se référencer"
=> "parent" plutôt que "géniteur". Géniteur signifie que c'est lui qui l'a conçu, or c'est faux puisque c'est son grand-père. Et "géniteur aimant" ça ne renvoie pas l'idée d'un réel amour de grand-père.Outre la politique, c'était un géniteur aimant, qui m'envoyait autant d'amour que je lui en donnais.
=> "prit" (accord)Ma mère, quant à elle, pris la place de son père quand vint le moment de la retraite.
=> retire le "ci" : "celle qui n'avait jamais été occupée".j'avais pris la place de mon père, celle-ci qui n'avait jamais été occupée.
=> accent sur le AA la cantine, tout le monde me donnait l'aliment qui portait mon patronyme
=> "n'intéressait qu'une" : tu as oublié la négation "ne...que"la politique intéressait qu'une minorité majeure d'élèves.
=> par contre ta phrase ne donne pas l'effet de contradiction : entre le fait qu'elle aille mieux et le fait que son comportement soit contradictoire.Ma mère qui allait mieux, pleurait toutes les nuits et son comportement était contradictoire.
=> le verbe "virer" n'est pas dans le même registre de langue que les autres verbes jusqu'alors lus. Maladresse qui fait contraste.Ce fut dans une colère sans limite qu'elle me vira de chez elle et de sa vie
=> nulle part (féminin)à côté de nul part,
Appréciation générale :
Le principal reproche que je pourrais faire au texte, c'est son vocabulaire pas toujours très adapté au contexte, ou parfois légèrement emphatique. Par exemple :
Pourquoi ne pas user tout simplement de "référer" voire alléger cette phrase par :mais je me référençais à se période en tant que président de son parti nationaliste.
Après, je dénature peut-être le fond de ta pensée : à toi de l'arranger au mieux .Non pas qu'il soit vieux, mais que son combat politique datait d'une autre époque.
En quoi une dépression est fabuleuse ? Quel sens veux-tu donner à cet adjectif ? S'il s'agit d'une image, quelle en est la raison ? Le fond poétique ?Elle fit une fabuleuse et longue dépression
Il est étrange de parler "d'aliment" pour le pain ; cette forme n'est pas naturelle. Immédiatement, on se souvient qu'on lit un texte rédigé ; et non une prose coulante.A la cantine, tout le monde me donnait l'aliment qui portait mon patronyme
Le vocabulaire doit s'insérer dans la lecture comme si tout à coup, tu étais réellement plongé dans cette histoire, oubliant les feuilles de papier devant tes yeux.
En fait, dans l'ensemble, je dirais qu'il y a un contraste entre des mots disgracieux qui s'unissent à un discours volontairement solennel, voire impérieux. Ce serait à retravailler.
Sur le fond même du récit, le clin d'oeil au parti frontiste est intéressant... mais peut-être un tantinet intrusif dans leur vie privée. Enfin, j'entends par là que, si j'étais Marine Lepen, je n'aimerais pas tellement qu'on écrive sur le futur de mon enfant ; ni qu'on me prédise une dépression. Il faudrait peut-être prendre plus de recul, plus de parallèle, plus de métaphore... parce que là, "l'attaque" ne fait pas très subtile .
Ceci dit, pourquoi pas. Un petit souci néanmoins dans la cohérence : on ne comprend pas tellement pourquoi la mort du gosse à un jeu télévisé sauverait la france du nationalisme - et là, même chose, attention à ne pas t'attirer une critique trop facile parce que ton attaque est trop facile. "Sauver la France du FN", c'est tout sauf très subtil comme joute littéraire. C'est franc-jeu... et ce n'est peut-être pas très utile pour ceux qui voudraient s'opposer au FN.
Bref voilà mon avis ; à toi de prendre ce qu'il te plaira.
Re: Bon à rien
Merci beaucoup pour vos remarques totalement assidues. Je me sens ridicule face à vous, ahah.
En écrivant cette nouvelle, j'ai trouvé intéressante l'idée de décrire ce que pouvait être la vie d'un "enfant de", de surcroît dans le milieu politique. Cependant, c'est une histoire totalement fictive, ce qui m'a inciter à "m'incruster" dans cette famille.
La critique politique en est, par contre, totalement personnelle. Dans une époque où les accusations sont directes, je me suis permis d'en faire de même.
J'espère que cette réponse conviendra. Après les corrections, faut-il reprendre le texte et le modifier sur le forum ?
En écrivant cette nouvelle, j'ai trouvé intéressante l'idée de décrire ce que pouvait être la vie d'un "enfant de", de surcroît dans le milieu politique. Cependant, c'est une histoire totalement fictive, ce qui m'a inciter à "m'incruster" dans cette famille.
La critique politique en est, par contre, totalement personnelle. Dans une époque où les accusations sont directes, je me suis permis d'en faire de même.
J'espère que cette réponse conviendra. Après les corrections, faut-il reprendre le texte et le modifier sur le forum ?
Re: Bon à rien
Synchronize a écrit:Merci beaucoup pour vos remarques totalement assidues. Je me sens ridicule face à vous, ahah.
En écrivant cette nouvelle, j'ai trouvé intéressante l'idée de décrire ce que pouvait être la vie d'un "enfant de", de surcroît dans le milieu politique. Cependant, c'est une histoire totalement fictive, ce qui m'a inciter à "m'incruster" dans cette famille.
La critique politique en est, par contre, totalement personnelle. Dans une époque où les accusations sont directes, je me suis permis d'en faire de même.
J'espère que cette réponse conviendra. Après les corrections, faut-il reprendre le texte et le modifier sur le forum ?
Non, ne prends surtout pas ces remarques pour autre chose que ce qu'elles sont : nous donnons notre avis sur un texte, mais pas sur l'auteur... Nous sommes tous passés par là : on pense avoir écrit un "petit bijou" et les premiers bêta-lecteurs voient dans le texte des petits détails qui nous apparaissent alors comme agrandis à la loupe ou plus encore. Tu verras en parcourant les commentaires d'autres textes que la plupart sont ainsi disséqués, analysés, les premières fois on a son ego un peu écorché, on se croit nullissime. Et puis on revient sur ce qu'on a écrit, on s'aperçoit que oui on peut, on sait mieux faire, mais on ne l'a pas vu, parce que l'auteur a toujours un défaut. Il ne sait pas lire ses propres textes, il peut le relire plusieurs fois, il ne verra pas les quelques fautes résiduelles, les erreurs de temps des verbes, la phrase lourde, mal écrite, incompréhensible, le propos qui n'apparaît pas clair ou le défaut répétitif dont il n'est pas conscient. Pour ton texte, tu t'aperçois que Pacô et moi, si nous remarquons identiquement les mêmes fautes (rares)... ce qui est normal... divergeons par contre sur ce qui ne nous a pas plu sur l'ensemble. Dans mon cas, c'est l'utilisation exagérée de verbes ternes, pour Pacô c'est autre chose.
Réfléchis, relis ton texte, essaie non plus d'être l'auteur, mais un lecteur. Certaines remarque te paraîtront entièrement justifiées, d'autres moins ou pas du tout. Essaie par exemple de remplacer le verbe faire par un autre plus précis, plus parlant, englobant les compléments que tu y rajoutes. Tu verras, la phrase va trouver une précision qu'elle n'avait pas, parfois une vraie force même.
Depuis un an que je bêta-lis et que je suis bêta-lue, j'ai constaté que mes premiers jets me satisfont bien plus, que j'ai décelé certains de mes défauts récurrents que j'évite maintenant dès ma première écriture (le "mais" ou le "pour" utilisés abusivement ou trop souvent pour mon cas).
Pour le côté "technique" tu peux soit remplacer ton texte en précisant "version 2" ou mettre en spoiler ta première version et en clair ta nouvelle version et regarde aussi la ligne de commande à droite avec un petit et un grand A... "mode d'édition" : pour commenter, en rose c'est pratique mais pour coller un texte venant d'ailleurs clique dessus pour être en mode "fermer les balises" sinon l'éditeur génère des sauts de ligne intempestifs quand le texte vient de Word ou Open Office.
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Re: Bon à rien
Voilà, je l'ai édité. Il me semble que c'est un peu mieux et le texte a l'air d'autant plus fluide. J'espère que ce n'est pas qu'un sentiment personnel.
Bon à rien V2
Une première remarque : les sauts de ligne sont gênants. Tu peux les corriger avec la fonction ‘éditer’
« Il possédait une certaine influence en son temps. Par là,
je voulais dire, non pas qu'il était vieux, mais que son combat
politique datait d'une autre époque. »
J’écrirais : je veux dire.
Pourquoi relier une certaine influence politique à un combat politique d’un autre temps ?
« Elle tomba dans une fabuleuse et longue dépression …» L’adjectif fabuleuse me semble mal utilisé.
« J'étais le patriarche, » Patriarche sous-entend l’idée d’être père de famille.
« …une minorité majeure d'élèves.» Cette expression me semble contradictoire.
« et une certaine réputation était encrée. » Encrée ou ancrée ?
« je vivais avec l'argent qu'on me donna lors des interviews que j'accordais.»
Donnait me semble préférable.
« Ma rentrée de cinquième se passa comme tel :…» Je remplacerais ‘comme tel’ par ‘ainsi’
« celle où les ténèbres étaient présents » présentes
Le sujet choisi est intéressant, mais tu aurais pu creuser davantage certaines idées, comme
la réaction du narrateur aux thèses de sa mère et de son grand-père,la divergence d’opinions entre la mère et le fils.
« Il possédait une certaine influence en son temps. Par là,
je voulais dire, non pas qu'il était vieux, mais que son combat
politique datait d'une autre époque. »
J’écrirais : je veux dire.
Pourquoi relier une certaine influence politique à un combat politique d’un autre temps ?
« Elle tomba dans une fabuleuse et longue dépression …» L’adjectif fabuleuse me semble mal utilisé.
« J'étais le patriarche, » Patriarche sous-entend l’idée d’être père de famille.
« …une minorité majeure d'élèves.» Cette expression me semble contradictoire.
« et une certaine réputation était encrée. » Encrée ou ancrée ?
« je vivais avec l'argent qu'on me donna lors des interviews que j'accordais.»
Donnait me semble préférable.
« Ma rentrée de cinquième se passa comme tel :…» Je remplacerais ‘comme tel’ par ‘ainsi’
« celle où les ténèbres étaient présents » présentes
Le sujet choisi est intéressant, mais tu aurais pu creuser davantage certaines idées, comme
la réaction du narrateur aux thèses de sa mère et de son grand-père,la divergence d’opinions entre la mère et le fils.
ferdi- Talent Expérimenté
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Re: Bon à rien
Pour ma part, j'ai juste réorganisé ton texte.
Je te convie à lire une note de service déposée il y a peu concernant le copier/coller des textes sur le forum :
Note de service du 27 novembre 2011
Aussi, j'ai remis en ordre ton texte, il est beaucoup plus agréable à lire.
Et je l'ai mise en forme justifiée ; histoire de rendre quelque chose d'assez bien foutu.
L'administration est très gentille ces derniers temps .
Je te convie à lire une note de service déposée il y a peu concernant le copier/coller des textes sur le forum :
Note de service du 27 novembre 2011
Aussi, j'ai remis en ordre ton texte, il est beaucoup plus agréable à lire.
Et je l'ai mise en forme justifiée ; histoire de rendre quelque chose d'assez bien foutu.
L'administration est très gentille ces derniers temps .
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