IMPERIALDREAMER
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Xiaomi Mi Smart Camera 2K Standard Edition (design ...
Voir le deal
11.39 €

Commentaire "Les bourgeons de folies"

5 participants

Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  octet Mer 18 Avr 2012 - 23:23

Voilà ouvert mon lieu de sentence.
octet
octet
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Nombre de messages : 23
Votre talent : Écriture
Points : 4
Date d'inscription : 16/04/2012

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  ferdi Jeu 19 Avr 2012 - 14:27

Bonjour, Octet,
Pour faciliter les commentaires, il est préférable de présenter des fragments de 70 lignes environ.
Mes commentaires seront mis en capitales. Parfois, j’attirerai ton attention par un point d’interrogation. Je n’ai lu que le début de ton texte.


Chambre à coucher_Une journée d'été_Ciel noir, environ 12 verres.
Lieu,date et heure... Je ne vous parle pas du temps(VIRGULE ?) ils me l'ont volé.
L'atmosphère n'est pas terrestre, non, elle n'est pas malsaine et méprisante, ici personne ne vous regarde. Je dialogue avec mes idées, ce soir tout se passe bien, les peurs sont refoulées. Je vous présenterais bien quelques uns (TIRET) de mes amis, mais ce serait une bien longue histoire, ils se présenteront peut-être d'eux même (TIRET ET ACCORD). Tout cela est bien joyeux mais nous n'en sommeS pas là. Nous sommes (RÉPÉTITION) au début, ou à la fin, de toutes façons (TOUTE FAÇON) c'est pareil et vous le comprendrez bien assez tôt.

18 ans, j'espère les derniers.
Le monde moderne :(ESPACE)qu'est-ce que le monde moderne,( ?) les gens disent que c'est l'évolution, l'avancée de la technologie, le progrès, la civilisation. Ils voient en ce monde un moyen de s'amuser, de profiter de la vie. Gagner son argent pour acheter ce qui nous plaît, partir en voyage, entrer dans la vie
active et avoir sa place dans la société. D'autres personnes diront que c'est le chaos, la misère, le cauchemar, ou même un complot d'hommes riches qui manipulent tout. Moi, je vois le monde comme une maladie virale. La seule chose que nous avons tous en commun, c'est la vie, ou plutôt le fait de vivre. Il a été dit que l'homme est de nature, mauvais. Il se multiplie et se propage partout, et la Terre est
à bout d'anticorps. C'est un monde de faux principes basés sur de faux-semblants. Les gens n'ont pas de vrais sentiments, ils éprouvent ce qu'ils voient dans les films, ou du moins ils se convainquent de
ressentir de la sorte. Et l'évolution ne fait qu'agrandir le problème. Par exemple l'instauration de la philosophie à l'école, à première vue paraît bénéfique, mais en fin de compte ce n'est qu'une manière de
prédisposer les gens à penser, une façon de prédiriger notre manière de philosopher. (Un VRAI PHILOSOPHE SERAIT HORRIFIÉ PAR CETTE AFFIRMATION) Et surtout, ce que je trouve ahurissant, c'est qu'une majeure partie de ce monde « civilisé » aborde et prône pour principe
élémentaire, la Liberté. Alors qu'il est quasiment impossible aujourd'hui de s'exclure de la société par choix, c'est à dire de s'isoler en dehors de tout système. Car oui, tout, ou presque, appartient à quelqu'un. C'est ce que je pense ou du moins ce que je crois penser, même je dirais que parfois je me trompe et confonds ce qu'ils pensent avec ce que j'aurais éventuellement pensé...

Je ne sais plus trop quand tout ça a commencé. Certains disent que c'était déjà comme ça à l'origine, enfin ils disent beaucoup de choses. Je me rappelle d'une évolution, ou plutôt d'un avancement de ma vie, cherchant toujours à ne plus avoir honte de ce que j'étais. Malgré les efforts pour ne pas regretter mes actes présents que je considère comme majoritairement corrects, le futur en fera obligatoirement des rejets pour mon quotidien.(PEU CLAIR POUR MOI) Mais je n'arrive pas à me souvenir du reste, c'est très flou, et cette musique... Oui cette musique dont chaque note résonne comme une idée claire, je sais que vous l'entendez vous aussi. Elle m'emporte vers la légèreté, elle évite tout(ACCORD) les ennuies (TERMINAISON), elle me
libère. Je vois d'autres qui me remplace (ACCORD), m'aident à la tache (ACCENT) de vivre. Des murmures, des coups de mains, mais ils sont parfois bien têtus. Sans cesse entrain( OU EN TRAIN ?) de commenter mes dires, mes pensés(FÉMININ), je me demande lequel d'entre nous a raison. Ils aiment observer, ne vous étonnez pas, ils vous voient aussi. Et d'ailleurs ce sont leurs mots qui s'écrivent, et ils en rient que vous puissiez les lire. L'heure de la présentation est venue, il prit la parole, de sa voix rogue:
-Je ne vis que pour une seule chose : tomber de fatigue. Me lambinant d'abysses en fauteuils, ces choses m'intriguent. J'aimerais écrire certaines rimes des accords, à corps perdu, joue ( ?) mes remords. Griffonnés sur un bout de papier, ces quelques mots disaient: Bien absent, il me laissa ces
quelques folies Jouons aux dés jusqu'à ce que nos vies soient polies
Vivons de nos plus belles tumeurs Nous ne sommes éponymes qu'à nos heures.
-Je ne laisserai pas la poésie atteindre un si bas niveau, je n'accepte pas ceci.
Voilà que me idées ne sont plus d'accord, apparemment il y a un conflit entre eux. Mais tout se brouille, les réactions s'enchaînent _trou noir.
Ce début n’est pas très clair. En général, cela ne me gêne pas, c‘est un moyen de susciter l’intérêt du lecteur. Mais ici, pour moi, l’obscurité va trop loin, en particulier dans les dix dernières lignes.
La ponctuation est parfois discutable, en particulier ce tiret : _ que tu pourrais remplacer par le
le demi-cadratin ( Alt 0150) : – Je n’en dirai pas plus sur ce sujet qui est un de mes points faibles.
En utilisant la fonction Éditer, tu pourras corriger les sauts de ligne.
Ton écriture est agréable. Tu as ton style. Je sens que tu as quelque chose à exprimer. Mais, une amélioration du texte me semble nécessaire.
Mes remarques sont subjectives, il sera normal que tu exprimes tes désaccords.
ferdi
ferdi
Talent Expérimenté
Talent Expérimenté

Masculin Nombre de messages : 229
Age : 86
Localisation : jura
Emploi/loisirs : Lecture- écriture- jardinage- photo
Votre talent : Aucun
Points : 222
Date d'inscription : 08/12/2010

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  Pacô Jeu 19 Avr 2012 - 17:26

Bonsoir Octet,

En espérant qu'il ne vous fasse pas perdre de temps.
Un texte ne fait jamais perdre du temps, dès l'instant où son auteur respecte les conditions d'entraide de la communauté.
Raison pour laquelle je me suis attelé à la bêta-lecture de ta première publication - la charte du forum ayant été respectée.

Je commence toujours par un gros relevé de toutes les fautes, maladresses etc. que je trouve dans le texte au cours de ma première lecture. Suivent ensuite deux commentaires : l'un sur la forme, et l'autre sur le fond.
Enjoy !

ils se présenteront peut-être d'eux même
=> eux-mêmes

Il a été dit que l'homme est de nature, mauvais.
=> s'il est "de" nature, "mauvais" doit être accordée au féminin "mauvaise". Par contre, s'il est "par" nature, il s'accorde avec le sujet, donc masculin "mauvais".

elle évite tout les ennuies,
=> ennuis

Je vois d'autres qui me remplace,
=> remplacent

m'aident à la tache de vivre.
=> "tâche" sinon, sans accent, c'est la tache qui incruste le tissu ^^

Sans cesse entrain de commenter mes dires,
=> "être en train de" sinon, c'est le fait d'être motivé et enjoué.

J'aimerais écrire certaines rimes des accords, à corps perdu, joue mes remords
=> je ne comprends pas avec quoi s'accorde le "joue mes remords"

Voilà que me idées ne sont plus d'accord,
=> mes idées

que l'école nous donne les armes pour affronter la société et entré dans la vie active.
=> entrer

Le second est, tout ces élèves qui en profitent pour montrer que ta vie à toi est complètement désastreuse.
=> tous ces élèves

juste pour que tu te sente mal,
=> sentes

Des accords, plus puissant que le rythme de mon muscle cardiaque.
=> "plus puissants"

il joue des notes qui n'ont pas de porté.
=> portée

laisses moi rire, tu n'es pas plus courageux que lui
=> "laisse-moi rire"

c'est toi qui bafouille quand elle nous regarde.
=> "c'est toi qui bafouilles"

une chose est sûreil faut l'effacer.
=> espace entre "sûre" et "il faut"

A l'image de l'arbre; j'ai décidé d'encrer mes peurs sur des feuilles
=> accent sur le "A"

elles sont restées tellement longtemps au fond de ma chaire
=> "chair" sinon c'est l'estrade du prêtre

je me tir une balle dans le pied en vous disanttout ça.
=> tire
=> espace manquant

la toute première fois où vous avez fumez,
=> fumé

de vôtre gorge jusque vos poumons
=> votre (sauf si l'accent est volontaire, mais je ne vois pas pourquoi...)
=> jusqu'à vos poumons

tout ces risques, il n'y a pas de règle,
=> tous ces risques

mais je besoin qu'elle existe
=> "j'ai besoin"

comme si tout mes organes s'évaillaient et s'élevaient contre moi
=> tous mes organes

et j'irai jusque dire qu'il y a définition des sentiments et de la vérité
=> jusqu'à

ils n'ont pas les même facultés, facilités, acuités.
=> mêmes

Certains naissent aveugle, d'autre sourd, et d'autre encore les deux en même temps.
=> il faut des "s" aux deux "autres"

En faite, j'ai tout remplacé par des chiffres.
=> "fait"

à vous livrer mon amertume à l'état brute
=> brut

surtout à quelle point elle me ronge
=> quel point

Ce sentir oppresser par cette violence qui nous hante.
=> "se sentir"

Par exemple par cette homme qui nous veut du mal,
=> cet homme

car on se sent torturer
=> torturé

et on a qu'une seule envie,
=> on n'a qu'une seule (négation)

Une démence san conséquence,
=> "sans"

Appréciation linguistique :

Je ne sais pas s'il y avait effectivement "12 verres" pour la rédaction de ce premier texte, mais il m'a tout l'air d'être un vrai petit tout premier jet Smile.
Je pense avoir éliminé les fautes les plus élémentaires et avoir ratissé l'ensemble des tournures incorrectes.
Cela dit, je serais bref pour cette première vision : ce qui ne va pas dans ta nouvelle, c'est la typographie.

Et pourtant, elle n'est pas à négliger. La typographie est en elle-même un élément d’apparat essentiel à la lecture du texte. Elle serait un peu les notes de musique sur une partition. Elle indique les pauses, les moments de respiration, les exclamations, les interrogations, les suspensions... Elle est le chef d'orchestre de la lecture.
Et prenons cet exemple au hasard :
Par exemple, l'instauration de la philosophie à l'école, à première vue paraît, à première vue bénéfique, mais en fin de compte, ce n'est qu'une manière de prédisposer les gens à penser, une façon de prédiriger notre manière de philosopher.
Les virgules sont disposées de façon anarchique ; la respiration est mal contrôlée et par conséquent, l'information est déroutée. Ton message ne passe pas et provoque l'incompréhension, puis ensuite la lassitude. La typographie, tout comme l'orthographe, est une science de l'écriture dont il faut prendre soin. Elle créera la dynamique de ton récit ; elle est même encore plus fondamentale lorsqu'il s'agit d'expliquer une pensée, d'argumenter et de convaincre. C'est elle qui dirige ta prose.
Autre exemple :
Mais des raisons font que je ne peux, (pas) parler d'elle ; c'est interdit. Je vais encore disjontcer comme si tout mes organes s'évaillaient et s'élevaient contre moi. « Il en va de notre survie »
Elle coordonne ta façon d'écrire ET la façon de lire.
Là, c'est un peu la foire-fouille, et c'est au lecteur de trouver le bon ordre - s'il trouve le bon ordre. C'est un facteur de désintérêt, et c'est surtout inutile de lui imposer un tel désagrément de lecture.

Sinon, dans l'ensemble, tu as une manière assez "brouillon" de rendre compte de tes idées. Je ne dirais pas que c'est "mal" écrit, mais plutôt que ça manque de réflexion - à savoir que je ne parle que de la forme, et pas encore du contenu. Disons que certains termes de vocabulaires ne sont pas toujours des plus pertinents, ou qu'ils sont répétés de façon maladroite.
Mais je pense que déjà, la correction des fautes et l'agencement de la typographie rendrait un meilleur aspect à ce texte.

Appréciation du récit

Aspect que je voulais tout particulièrement abordé, notamment sur trois points.
En premier lieu, tu parles de la "Liberté" et surtout, de la philosophie à l'école. Tu précises même qu'elle donne l'illusion de donner matière à penser, mais qu'au contraire, elle nous formate à penser tous pareil.
Je ne suis pas vraiment d'accord.
La philosophie à l'école n'est pas de la vraie philosophie, du moins pas celle qui motive les auteurs à écrire des pamphlets ou des textes sociétaux. Celle de l'école n'a qu'un seul but : nous apprendre une méthodologie à adopter vis-à-vis d'un courant de pensée. Pas à apprendre à penser - un court-circuit qu'on aurait tendance à appliquer.
D'ailleurs, tout ce qu'on nous apprend, c'est à commenter : non pas à penser. Et de toute manière, ce serait très compliqué à noter. On ne peut pas juger d'une "bonne" ou "mauvaise" façon de penser.

Par extension, et ce sera sur le second point abordé, l'école n'est en soi pas un formatage de la République. C'est plutôt... une transformation sociale. Certes, certains gouvernements rêveraient de nous imposer une idéologie particulière, et parfois quelques bribes de ces idées s'efforcent à nous être inculqués - notamment tout ce qui a attrait à la religion - mais l'école d'aujourd'hui, bien qu'imparfaite, est un formidable atout d'insertion sociale dans la majeure partie des cas.
En fait, l'individu fait ce qu'il veut de l'école. Soit il y renonce, et la quitte à 16 ans, soit il y adhère et peut la suivre jusqu'à ses 30 ans (pour les plus longues études). Et on ne peut pas dire vraiment qu'elle nous formate : l'individu est inhérent à sa sociabilité. Les vieux ermites retirés dans une cabane au fin fond d'une montagne... sont peut être les exceptions qui confirment la règle que l'homme est un animal social. Et quoi d'autre que l'école pour faciliter la confrontation des individus dès leur plus jeune âge ? Pour les contraindre à briser les barrières qui les isolent ? Et pourquoi l'homme doit-il être social ? Parce que contrairement aux lions qui ont des griffes, aux taureaux qui ont des cornes, aux oiseaux qui ont des ailes etc. l'homme n'a qu'une seule arme : sa sociabilité, qui génère des tas et des tas de nouvelles "armes" pour survivre dans un état de nature. C'est par sa sociabilité qu'il peut construire son avenir ; par ailleurs, aucun homme n'est capable de TOUT maîtriser. S'il l'un aura une forte musculature, l'autre sera ingénieux et encore un autre sera commerçant. Chacun a besoin de l'autre pour parvenir à ses fins, sinon l'homme serait voué à s'éteindre.

L'école serait en quelque sorte l'outil pour mélanger les individus, et que chacun d'eux trouve "chaussure" sa ou ses pairs, ou apprenne comment la ou les trouver.

Ce qui me fait rebondir sur ton troisième et dernier point :
Je tiens à dire, non, les hommes ne sont pas égaux.
Non, personne n'a tenu un tel propos. Les hommes ne sont pas égaux, mais la DDHC dit qu'ils "naissent de DROITS égaux". Cela sous-entend que la société donne à chacun les mêmes moyens de s'épanouir ; le concept en lui-même est louable. Les moyens - notamment l'école - seraient peut-être à revoir, notamment en France où l'intellect est peut être encore trop privilégié par rapport au manuel.
Mais il est important de garder en tête que la société apporte les mêmes chances à chacun : le droit à l'éducation, le droit aux allocations etc. Le fait d'être aveugle, sourd ou muet relève de la nature, et la société ne peut rien et ne doit rien faire pour contredire ce qu'édicte la nature.
En conséquence, il est difficile de dire à un homme s'il peut oui ou non se retrancher de cette société... puisqu'il n'est pas question de dire que celle-ci l'enferme en son sein - comme une mère trop possessive - mais peut-être plus que l'individu est en lui même dépendant de la société. Sans elle, il s'éteint, il se meurt et se retrouve confronté aux réalités de la nature qui le réduisent à la faiblesse la plus extrême.

Tu peux t'affranchir de la société et ce n'est pas la société qui l'en empêchera... mais ce sont plutôt les individus qui s'en empêchent eux-mêmes, volontairement ou non.
C'était pour terminer sur la notion de "Liberté" qui est effectivement très subjective, puisque tout dépend de la définition même de la liberté, et de la vision que nous en aurions.

Voilà tout ce que je pouvais dire sur le contenu de ton texte.
Une question néanmoins me taraude : en fait, au lieu d'être une nouvelle ce serait plutôt une très grande réflexion... presque comme un "essai" ?
Ou alors, est-ce que ce récit se raccroche à quelque chose d'autre de plus... scénarisé ?

Bon courage pour les corrections, et je suis ouvert au débat sur le contenu de ton texte et notamment les pensées proposées. Wink
Pacô
Pacô
Admin à la retraite

Masculin Nombre de messages : 16006
Age : 31
Localisation : Clermont-Ferrand
Emploi/loisirs : Etudiant
Votre talent : Écriture
Points : 12756
Date d'inscription : 07/08/2007

http://imperialdream.fr

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  octet Jeu 19 Avr 2012 - 23:53

Bonsoir et surtout merci à vous.
Je m'occuperai des corrections plus tard car je n'ai pas beaucoup de temps en ces temps ci.
Je tiens tout de même à vous répondre, au moins en parti.
En ce qui concerne mon texte et sa nature, je dirai que ce n'est pas vraiment une nouvelle car je n'en vois pas la fin. Elle correspondrait peut plus à l'essai, mais pas vraiment.
C'est un gros brouillon en quelque sorte, je parle de la forme qui est vraiment inclure dans ce texte.
Merci Pacô qui me sera d'une très grande aide pour cela. Vous l'avez remarqué, je suis un novice en la matière, il est même très étrange qu'une personne comme moi écrive. Je m'explique, je n'ai jaimais été passioné par la littérature, de la matière (orthographe, grammaire) à la lecture. Je ne lis pas vraiment, même pas du tout, c'est sûrement un tort.
Ensuite par rapport à ce qui a été évoqué du texte ; quand je parle de philosophie, j'entends philo à l'école.
Je ne parle absolument pas de la philosophie général. J'exprime ici justement l'absence de cette dernière à l'école, qui est je trouve plus ressemblante à une critique littéraire et non à une manière de penser par soi même.
Pour la liberté, je ne pense pas qu'on puisse encore croire qu'il existe encore un choix entre, entrer dans la société ou non. Ceux qui n'y entrent pas sont voués à l'exil et à l'echec.
Par exemple les indiens vivants dans les profondeures de l'amazonie sont dérangés, tout ceux qui vivaient en contré moins reculées se sont fait rattraper par la société. (ex: leur territoire est exploité).
Pour finir et pour éclairicir un peu les choses sur le fond de mon texte, je vais préciser qu'il s'agit d'un texte sur un jeune homme, paranoïaque et possédant plusieurs personnalités. Une sorte de schizophrene remettant sans cesse en cause ce qui se passe autour de lui. Le but de ce texte est d'ammener au questionnement, parfois des affirmations accamblantes apparaissent, ou même d'autres complétement discutables. Tout ça pour chercher un point de vue, car plusieurs sont exposés. Une sorte de recherche de la vérité, une lutte contre la paranoïa et la folie.
octet
octet
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Nombre de messages : 23
Votre talent : Écriture
Points : 4
Date d'inscription : 16/04/2012

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  Pacô Ven 20 Avr 2012 - 14:04

octet a écrit:Ensuite par rapport à ce qui a été évoqué du texte ; quand je parle de philosophie, j'entends philo à l'école.
Je ne parle absolument pas de la philosophie général. J'exprime ici justement l'absence de cette dernière à l'école, qui est je trouve plus ressemblante à une critique littéraire et non à une manière de penser par soi même.
Eh bien justement, c'est ce que je te disais.
Heureusement que l'école ne se contente que de nous inculquer la critique philosophique, mais non l'art de penser. Parce qu'indubitablement, dès qu'une institution prendrait en charge la responsabilité d'apprendre à penser, il y aurait un formatage et du bourrage de crâne. Ce n'est pas le rôle d'un Etat démocratique que d'apprendre à ses individus qui le composent "comment penser". Il ne peut que lui montrer les méthodes à adopter pour analyser un texte et le comprendre ; l'interprétation doit rester du domaine de la sphère privée et non être instrumentalisée par la sphère publique.
Seuls les états totalitaires se permettent d'inculquer à leurs enfants "comment penser".

octet a écrit:Pour la liberté, je ne pense pas qu'on puisse encore croire qu'il existe encore un choix entre, entrer dans la société ou non. Ceux qui n'y entrent pas sont voués à l'exil et à l'echec.
Par exemple les indiens vivants dans les profondeures de l'amazonie sont dérangés, tout ceux qui vivaient en contré moins reculées se sont fait rattraper par la société. (ex: leur territoire est exploité).
Peut-être... mais le choix reste présent. Certes, si tu choisis de t'en exclure, tu risques l'échec... mais ça restera ton choix de te vouer à l'échec.
Et si justement la société est naturellement choisie par les individus, c'est parce que la forme sociale est la seule à même d'apporter le plus d'avantages à l'individu. Il est de l'intérêt individuel à adhérer et contribuer à la société, disait Rousseau.

octet a écrit:Pour finir et pour éclairicir un peu les choses sur le fond de mon texte, je vais préciser qu'il s'agit d'un texte sur un jeune homme, paranoïaque et possédant plusieurs personnalités. Une sorte de schizophrene remettant sans cesse en cause ce qui se passe autour de lui. Le but de ce texte est d'ammener au questionnement, parfois des affirmations accamblantes apparaissent, ou même d'autres complétement discutables. Tout ça pour chercher un point de vue, car plusieurs sont exposés. Une sorte de recherche de la vérité, une lutte contre la paranoïa et la folie.
Oui, donc, ce serait plus un essai qu'une nouvelle.
Je rappelle à titre informatique que le genre de la nouvelle se définit par une unité de lieu, de temps et d'action. Autrement dit, une seule scène, dans un lieu unique dans un horaire clairement délimité.
Sinon, il s'agit d'un simple texte... mais pas vraiment d'une nouvelle Wink.
Pacô
Pacô
Admin à la retraite

Masculin Nombre de messages : 16006
Age : 31
Localisation : Clermont-Ferrand
Emploi/loisirs : Etudiant
Votre talent : Écriture
Points : 12756
Date d'inscription : 07/08/2007

http://imperialdream.fr

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  Jaellia Lun 23 Avr 2012 - 0:15

Bonjour!

Avant de débuter, je voudrais préciser que diminuer la valeur de ton texte, ou considérer que sa lecture est une perte de temps, n'est en aucun cas une bonne idée pour encourager le lecteur ; car si l'auteur même pense que son texte est mauvais, comment pourrait-on l'apprécier ? Ça démontre selon moi un manque de confiance en soi, mais bref, je n'élaborerai pas plus ce point. Essaie simplement de ne plus te sous-estimer à l'avenir, et présente tes textes avec fierté. Wink

Par contre, il y a effectivement un nombre important d'erreur dans ton texte, au point où je me suis demandé si tu t'étais relu. Je ne suis pas moi-même une experte en la matière, et je suis sûre que Pacô et Ferdi ont déniché la grande majorité de tes fautes ; penses à éditer, c'est toujours plus agréable pour les lecteurs suivants.

Je cherchais un mot pour décrire ta nouvelle (qui est somme toute bien spéciale) et je la trouve disons... anarchique ? Ta narration, un personnage principal énigmatique, des dialogues en apparence pondus au hasard dans ton histoire (et Dieu seul sait qui parle!), nulle trame ou énigme en vue ; ces divers aspects forment plutôt un texte qui dénonce les mauvais côtés de notre société, où j'ai l'impression que tu évacues une frustration accumulée depuis longtemps.

Mais tes idées ne sont pas claires, tu sautes souvent du coq à l'âne sans approfondir assez chacun de tes points. Peut-être devrais-tu délaisser le format « nouvelle », où tu te transposes dans un personnage, pour énoncer clairement ton opinion. Ça serait probablement plus facile à suivre, et agréable à lire, car personnellement je cherchais le problème, l'intrigue qui guiderait ton histoire (alors qu'il n'y en a sûrement pas). Sauf si c'était la dernière déclaration de ton histoire, c'est-à-dire « j'ai peur des gens » ; dans ce cas, tu pourrais peut-être y faire allusion plus tôt, pour accrocher le lecteur, et nous permettre de comprendre si c'est une histoire ou un texte d'opinion.

En général, malgré le manque de clarté et les fautes grammaticales, j'aime bien ton style et ta façon de percevoir les choses. Je suis d'accord avec toi sur plusieurs point, dont l'impossibilité d'être marginal, et le modèle préconçu « d'une vie heureuse » que la société nous impose, comme si le bonheur était pour tous représenté par la même chose et accessible uniquement à ceux qui ont de l'argent et des possessions matérielles.

Un passage en particulier m'a fait sourire : « Le temps est bien étrange car il avance tout le temps sans se fatiguer. » J'aime beaucoup. ^^

Bonne écriture!
Jaellia
Jaellia
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Féminin Nombre de messages : 94
Age : 28
Localisation : Québec
Emploi/loisirs : Étudiante
Votre talent : Dessin
Points : 28
Date d'inscription : 15/12/2011

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  octet Lun 23 Avr 2012 - 23:58

Pacô a écrit:
Eh bien justement, c'est ce que je te disais.
Heureusement que l'école ne se contente que de nous inculquer la critique philosophique, mais non l'art de penser. Parce qu'indubitablement, dès qu'une institution prendrait en charge la responsabilité d'apprendre à penser, il y aurait un formatage et du bourrage de crâne. Ce n'est pas le rôle d'un Etat démocratique que d'apprendre à ses individus qui le composent "comment penser". Il ne peut que lui montrer les méthodes à adopter pour analyser un texte et le comprendre ; l'interprétation doit rester du domaine de la sphère privée et non être instrumentalisée par la sphère publique.
Seuls les états totalitaires se permettent d'inculquer à leurs enfants "comment penser".
Pourquoi? Je ne vois pas en quoi le bourrage de crâne est systematique, le seul risque serait une perte de repère de l'individu, une méfiance et remise en question constante de la véracité des choses.

Peut-être... mais le choix reste présent. Certes, si tu choisis de t'en exclure, tu risques l'échec... mais ça restera ton choix de te vouer à l'échec.
Et si justement la société est naturellement choisie par les individus, c'est parce que la forme sociale est la seule à même d'apporter le plus d'avantages à l'individu. Il est de l'intérêt individuel à adhérer et contribuer à la société, disait Rousseau.
Ajourd'hui, je discutais avec un ami sur le sujet et il m'a dit, " je veux être un animal et le monde me l'interdit". Il a ensuite ajouté "il me dit que les animaux vivent en cage désormais et que j'ai déjà la mienne". Ceci est très équivoque à mon sens. Sans parler de marginalisation, vivre des ruisseaux et de la chasse n'est pas un choix possible.

Merci jaelia pour ta lecture.
Effectivement la relecture n'est pas fort et je suis vraiment désolé pour toutes ces erreures que j'aurai pu éviter pour la plupart.
En ce qui concerne le fait que je n'aime pas mon texte, il ne s'agit pas de fausse modéstie, mais simplement de lucidité. Je sais que mon texte n'est pas génial du tout, techniquement je n'ai pas les outils pour le rendre potable. C'est pourquoi je profite du savoir de ces généreux utilisateurs du forum pour l'améliorer.
Il n'est pas du tout terminé, c'est un texte qui se cherche encore, sa vrai nature est le brouillon.
octet
octet
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Nombre de messages : 23
Votre talent : Écriture
Points : 4
Date d'inscription : 16/04/2012

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  MémoireDuTemps Mar 24 Avr 2012 - 10:29

Bon, à vrai dire, je suis assez déçue du début, il y a pas mal de fautes dont
certaines sont soulignées par un traitement de texte... mais autre chose me
gêne vraiment, une platitude totale, non par le discours lui-même mais par
l'utilisation d'un vocabulaire répétitif, plat au niveau des verbes (la force
d'un texte vient souvent d'un vocabulaire riche, varié... quand j'écris j'ai
toujours ouvert sur le web un dictionnaire des synonymes comme par exemple
http://www.crisco.unicaen.fr/des/synonymes/tout que je consulte très souvent
quitte à faire plusieurs clics pour trouver le mot adapté et je m'en sers dès
l'écriture du premier jet)... et comme c'est plat, cela donne une idée de
pensées brouillonnes qui ne s'affirment pas et donc ne convainquent pas. J'ai
abandonné ma lecture au cinquième du texte, trop c'est trop... je suis
persuadée que tu peux faire bien mieux en premier jet en essayant de faire un
plan : ce que tu constates, ce que tu veux démontrer, dans quel sens ira ta
conclusion. Après détailler un peu pour éviter des redites (au niveau pensées
par exemple)... ce n'est pas un roman mais plutôt un essai, donc tu dois
intéresser plus que passionner, assembler des idées soit qui parlent à tes
lecteurs ou au contraire surprennent ton lectorat.

bleu mes commentaires
[b]rouge les fautes
en orange les [i]répétitions

en jaune ponctuation ou typo
[/i]
octet a écrit:

Bonsoir.
C'est
le premier texte que je poste ici, il est encore sous forme assez
brouillon et n'est pas fini. Je m'excuse d'avance pour la médiocrité de
ce dernier et de l'orthographe. En espérant qu'il ne vous fasse pas
perdre de temps.
nous adorons lire et… critiquer, mais tu n’as pas à t’excuser (sauf si ton texte était bourré de fautes faciles à corriger, bien entendu)… par contre n’oublie pas de bêta-lire aussi…
-Chambre à coucher_Une journée d'été_Ciel noir, environ 12 verres. Bizarre d’utiliser ce tiret qui sert surtout en informatique mais guère en littérature
Lieu, une espace après une , date et heure... Je ne vous parle pas du temps une , ils me l'ont volé.
L'atmosphère n'est pas terrestre, non, elle n'est pas malsaine et méprisante, il faudraitmieux ; : ou … ici personne ne vous regarde. Je dialogue avec mes idées, ce soir tout se passe bien, les peurs sont refoulées. Je vous présenterais bien quelques uns de mes amis, mais ce serait une
bien longue histoire, ils se présenteront répétition peut-être d'eux même. Tout cela est bien joyeux mais nous
n'en somme pas là. Nous sommes au début, ou à la fin, de toutes façons c'est répétition pareil et vous le comprendrez bien assez tôt. ne
pas utiliser trop souvent les verbes être ou avoir pour deux raisons
:cela accentue le côté répétition puisqu’ils servent aux temps composés
et que souvent un verbe plus parlant améliore la qualité d’un texte
plutôt qu’un verbe fourre-tout ou dit faible aussi


18 ans, les nombres s’écrivent en lettres la plupart du temps en littérature j'espère les derniers.
Le monde moderne : en typographie espace insécable_:_espace qu'est-ce que le monde moderne, les gens disent que c'est l'évolution, l'avancée de la technologie, le progrès, la civilisation. Ils voient en ce monde un moyen de s'amuser, de profiter de la vie. Gagner son argent pour acheter ce qui nous plaît, partir en voyage, entrer dans la vie active et avoir sa place dans la société. D'autres personnes diront que c'est répétition le chaos, la misère, le cauchemar, ou même un complot d'hommes riches qui manipulent tout. Moi, je vois répétition le monde comme une maladie virale. La seule chose que nous avons répétition tous en commun, c'est répétition la vie répétition, ou plutôt le fait de vivre. Il a été dit répétition que l'homme est répétition de nature, mauvais faute si écrit ainsi . Il se multiplie et se propage partout, et la Terre est à bout d'anticorps. C'est répétition un monde
répétition de faux principes basés sur de faux-semblants. Les gens n'ont répétition pas de vrais sentiments, ils éprouvent ce qu'ils voient répétition
dans les films, ou du moins ils se convainquent de ressentir de la
sorte. Et l'évolution ne fait qu'agrandir le problème. Par exemple
l'instauration de la philosophie à l'école, à première vue il faudrait une , paraît bénéfique, mais en fin de compte ce n'est répétition qu'une manière de prédisposer les gens à penser, une façon de prédiriger ce mot n’existe pas notre manière de philosopher. Et surtout, ce que je trouve ahurissant, c'est répétition
qu'une majeure partie de ce monde « civilisé » aborde et prône pour
principe élémentaire, la Liberté. Alors qu'il est quasiment impossible
aujourd'hui de s'exclure de la société par choix, c'est c'est répétition à dire de s'isoler en dehors de tout système. Car oui, tout, ou presque, appartient à quelqu'un. C'est ce que je pense ou du moins ce que je crois
penser, même je dirais que parfois je me trompe et confonds ce qu'ils pensent avec ce que j'aurais éventuellement pensé répétition...
A suivre ???
MémoireDuTemps
MémoireDuTemps
Admin

Féminin Nombre de messages : 1517
Age : 53
Localisation : À l'est, là où les lérots vont boire
Emploi/loisirs : lérotte numérique
Votre talent : Écriture
Points : 867
Date d'inscription : 12/02/2011

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  Pacô Mar 24 Avr 2012 - 11:23

octet a écrit:
Pourquoi? Je ne vois pas en quoi le bourrage de crâne est systematique, le seul risque serait une perte de repère de l'individu, une méfiance et remise en question constante de la véracité des choses.
Parce que les seuls états qui ont tenté d'inculquer des valeurs, c'est-à-dire une manière de penser, sont les états totalitaires. Il est très probable que des individus plus curieux que d'autres sauront peut-être filtrer l'information que leur dispensera l'Education Nationale ; ceci dit, ce ne sera pas systématique.
Les simples cours d'Histoire nous montrent déjà à quel point l'Etat peut s'ingérer dans notre conception de la société et ainsi façonner notre pensée. Je pense notamment aux cours dispensés sur la guerre froide et une légère tendance des manuels scolaires à insinuer que le capitalisme est plus sain que le communisme ; outre les américains et les soviétiques. Les élèves les moins prudents - c'est-à-dire une grande majorité - ont tendance à avoir une vision arrêtée de cette époque en cochant la case "méchant" pour les communistes. Alors que le communisme est à nuancer car il ne sous-entend pas forcément "une politique stalinienne".

Ce serait donc encore pire si l'Etat devait nous apprendre à penser. Il serait obligé de nous donner de la matière... et comment nous donner de la matière sans prendre parti d'un courant d'idées plus qu'autres ?
Voilà pourquoi l'état aurait pour obligation de ne pas s'aventurer sur ce chemin là.

octet a écrit:Ajourd'hui, je discutais avec un ami sur le sujet et il m'a dit, " je veux être un animal et le monde me l'interdit". Il a ensuite ajouté "il me dit que les animaux vivent en cage désormais et que j'ai déjà la mienne". Ceci est très équivoque à mon sens. Sans parler de marginalisation, vivre des ruisseaux et de la chasse n'est pas un choix possible.
Ou c'est plutôt que ton ami n'a pas beaucoup de volonté. Malheureusement, vu les dernières estimations sans précision du nombre de SDF en France, il reste tout à fait possible de s'exclure de la société.
Pacô
Pacô
Admin à la retraite

Masculin Nombre de messages : 16006
Age : 31
Localisation : Clermont-Ferrand
Emploi/loisirs : Etudiant
Votre talent : Écriture
Points : 12756
Date d'inscription : 07/08/2007

http://imperialdream.fr

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  octet Lun 30 Avr 2012 - 23:02

Pacô a écrit:
Parce que les seuls états qui ont tenté d'inculquer des valeurs, c'est-à-dire une manière de penser, sont les états totalitaires. Il est très probable que des individus plus curieux que d'autres sauront peut-être filtrer l'information que leur dispensera l'Education Nationale ; ceci dit, ce ne sera pas systématique.
Les simples cours d'Histoire nous montrent déjà à quel point l'Etat peut s'ingérer dans notre conception de la société et ainsi façonner notre pensée. Je pense notamment aux cours dispensés sur la guerre froide et une légère tendance des manuels scolaires à insinuer que le capitalisme est plus sain que le communisme ; outre les américains et les soviétiques. Les élèves les moins prudents - c'est-à-dire une grande majorité - ont tendance à avoir une vision arrêtée de cette époque en cochant la case "méchant" pour les communistes. Alors que le communisme est à nuancer car il ne sous-entend pas forcément "une politique stalinienne". Justement non, les états ont seulement tenté d'inculquer une forme de penser et non pas de penser par soi même. Je prends exemple des dictatures de l'Allemagne nazie et du communisme en urss. En Allemangne les jeunesses hitlériennes formataient les gens selon un seul modèle, en urss la seule idée recevable était le communisme avec rejet de tout autre manière de penser. Je ne pense donc pas que ça convienne. Ce que j'entends en disant que l'intauration de la philosophie à l'école "formate" les élèves, c'est qu'il est prétendu ( par mon professeur et bien d'autres) que la philosophie developpe l'esprit critique et la façon de penser. Alors qu'il s'agit seulement d'analyse de texte selon des méthodes et surtout selon les auteurs. Ce qui pousse à croire que les auteurs se dirigent vers la "vérité" et qu'ils est préférable d'en prendre exemple.

Effectivement ceci rejoint directement ce que je veux exprimer. Le programme est conçu de telle manière qu'il est dirigé par un avis et non par des faits. Ex: Guerre de pearl harbor, selon que la version soit américaine ou japonaise, les points de vue diverges tellement que l'on croirait à deux histoires différentes.

Ce serait donc encore pire si l'Etat devait nous apprendre à penser. Il serait obligé de nous donner de la matière... et comment nous donner de la matière sans prendre parti d'un courant d'idées plus qu'autres ?
Voilà pourquoi l'état aurait pour obligation de ne pas s'aventurer sur ce chemin là.


Pacô a écrit:Ou c'est plutôt que ton ami n'a pas beaucoup de volonté. Malheureusement, vu les dernières estimations sans précision du nombre de SDF en France, il reste tout à fait possible de s'exclure de la société. Il s'agit de ton avis, tu n'as pas le droit d'en juger.
Le nombre de SDF ne dépend pas vraiment de cette volonté, puis un SDf ne souhaite pas en général l'être.
Je vais te donner un exemple : demain je décide d'aller en montagne, vivre dans une forêt en France. J'habiterais dans une cabane, je vivrais de ruisseau et de la chasse. Mais ceci n'est pas possible pour les raisons suivantes : je n'aurai pas le droit de construire une cabane sur un territoire et en faire mon domicile, je ne serai pas autorisé à chasser, sans permis de chasse ett en dehors des période de chasse.
octet
octet
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Nombre de messages : 23
Votre talent : Écriture
Points : 4
Date d'inscription : 16/04/2012

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  octet Lun 30 Avr 2012 - 23:08

Bonsoir et merci à MémoireDuTemps d'avoir répondu.
Je suis désolé en ce qui concerne les fautes, je croyais avoir donné une version contenant un minimum de fautes. J'ai du me tromper de version.
Pour revenir à ce que je disais, j'en suis à l'étape brouillon. Les tournures de phrases, les mots, la forme du texte changeront surement.
Je suis désolé mais moi je suis incapable de faire mieux pour un premier jet, désolé que ça te semble si mauvais que ça.
Pour finir " une suite ?" as tu seulement lu la fin de ce texte?
octet
octet
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Nombre de messages : 23
Votre talent : Écriture
Points : 4
Date d'inscription : 16/04/2012

Revenir en haut Aller en bas

Commentaire "Les bourgeons de folies" Empty Re: Commentaire "Les bourgeons de folies"

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum