Souviens-toi...

Jaina a écrit:Il est là, juste en face de moi. Et pourtant je ne fais
rien. Je reste là, debout devant lui, devant celui que je viens de retrouver.
Celui que j’ai traqué sans relâche des années durant. Ma prise se raffermit sur
mon arme, mais le geste ne se concrétise pas. Mon esprit hurle de viser sa
poitrine et de vider le chargeur, balle après balle, une balle pour chaque
année de vide, chaque année d’absence, de manque.


Je peux lire la peur qui émane du tas recroquevillé dans un
coin de la pièce. Il gémit. Je m’assois contre l’un des murs. Cette sensation
de fraîcheur m’apaise un peu, mais je sens toujours cette rage bouillonner à l’intérieur
de moi. Seule flamme qui habite encore mon être. Ma tête glisse entre mes
mains. Je sens le canon glacé sur mon front.


Je l’observe
analysant chacun de ses traits, non sans un certain dégoût. Je fixe l’homme qui
m’a enlevé ma raison d’être, mon âme. Derrière la porte, j’entends les jurons
face aux vaines tentatives d'ouverture. La porte est blindée.


Je me lève, décidé. Je le regarde une dernière fois, puis
décharge mon arme. L’écho des détonations m’assourdit mais je garde le
décompte. « Clic, clic », plus de balles… dommage. Je jette rageusement
mon arme, qui rebondit violemment contre le mur avant de glisser sur le sol et
s’arrêter de l’autre côté de la pièce.





L’agent 13 fait un signe de tête et se bouche les oreilles.
Il compte mentalement jusqu’à trois, se préparant à l’explosion. Il sent le souffle chaud provoqué par la
déflagration lui fouetter le visage. Il rajuste ses lunettes noires et se
dirige vers l’ouverture libérée. L’écran, mélange de fumée et de poussière, se
dissipe peu à peu. Il est là, dans un coin, toujours en vie, mais dans quel
état… Il fait pitié à voir. Sept impacts se démarquent sur le mur, à quelques
centimètres au-dessus de sa tête. Aucune trace de son agresseur. Les secours
arrivent et s’affairent autour de lui.


Alors qu’il va rebrousser chemin, un détail attire son
attention. Il se baisse et retire une photo de la couche de poussière et de
gravats qui parsèment [ce sont les gravats ou la couche qui parsèment le sol? Si c'est la deuxième, c'est parsème]le sol. Une jeune femme y pose, resplendissante. Deux mots
écrits en travers : Souviens-toi…

[ce sont les gravats ou la couche qui parsèment le sol? Si c'est la deuxième, c'est parsème]

Jaina a écrit:Il est là, juste en face de moi. Et pourtant je ne fais rien. Je reste là, debout devant lui, devant celui que je viens de retrouver. Celui que j’ai traqué sans relâche dès années durant. Ma prise se raffermit sur mon arme, mais le geste ne se concrétise pas. Mon esprit hurle de viser sa poitrine et de vider le chargeur, balle après balle, une balle pour chaque année de vide, chaque année d’absence, de manque.

Je peux lire la peur qui émane du tas recroquevillé dans un coin de la pièce. Il gémit. Je m’assois contre l’un des murs. Cette sensation de fraîcheur m’apaise un peu, mais je sens toujours cette rage bouillonner à l’intérieur de moi ("intérieurement" parce que sinon ça fait genre égocentrique ou ej sais pas quoi ^^). Seule flamme qui habite encore mon être. Ma tête glisse entre mes mains. Je sens le canon glacé sur mon front.

Je l’observe analysant chacun de ses traits, non sans un certain dégoût. Je fixe l’homme qui m’a enlevé ma raison d’être, mon âme. Derrière la porte, j’entends les jurons face aux vaines tentatives de l’ouvrir.(= phrase incorrecte... A reformuler, elle ne veut rien dire) La porte est blindée.

Je me lève, décidé. Je le regarde une dernière fois, puis décharge mon arme. L’écho des détonations m’assourdit mais je garde le décompte. « Clic, clic », plus de balles… dommage. Je jette rageusement mon arme, qui rebondit violemment contre le mur avant de glisser sur le sol et s’arrêter de l’autre côté de la pièce.

L’agent 13 fit un signe de tête et se boucha les oreilles. Il compte mentalement jusqu’à trois, se préparant à l’explosion. (oulah, problème de temps... présent ou passé?) Il sent le souffle chaud provoqué par la déflagration lui fouetter le visage. Il rajuste ses lunettes noires et se dirige vers l’ouverture libérée. L’écran (?), mélange de fumée(s) et de poussière(s), se dissipe peu à peu. Il est là, dans un coin, toujours en vie, mais dans quel état… Il fait pitié à voir. Sept impacts se démarquent sur le mur, à quelques centimètres au-dessus de sa tête. Aucune trace de son agresseur. Les secours arrivent et s’affairent autour de lui.

Alors qu’il va rebrousser chemin, un détail attire son attention. Il se baisse et retire une photo de la couche de poussière (un peu répétitif non?) et de gravats qui parsèment le sol. Une jeune femme y pose, resplendissante. Deux mots écrits en travers : Souviens-toi…

Kirlim a écrit:haan, je le vois mal, j'ai hate de voir comment tu vas nous tourner toussa
allez, allez, allez ¤__¤