Doutes

Titre provisoire d'une nouvelle que je risque de bidouiller plusieurs fois, la retravailler et tout et tout. C'est ce qui fait office de brouillon de début là!
Les deux premières parties, sur 4 je penses.

Renouveau. Il fallait tout reprendre depuis le début; oublier le passé, les anciens murs, la fenêtre à travers laquelle il avait regardé pendant des heures, le canapé tout doux, le lit, son lit rien qu'à lui et depuis toujours. Ici c'était déjà meublé, ça avait vécu, il n'inaugurerait absolument rien si ce n'est quelque petits objets achetés rapidement. L'appartement est petit mais suffisant pour lui, ça lui fait penser à un nid d'oiseau, le lit à baldaquin et tout le reste ayant l'air agréable. C'est étrange de penser ça d'un appartement dans lequel on a jamais vécu, mais il le pense et finit par poser ses valises au milieu de cette chambre qui fait aussi office de salon. Il s'enfonce un peu dans le matelas, l'air sans bon, un fond de parfum disparu depuis longtemps, mais qui reste malgré tout, fruité et enivrant. Le soleil perce entre les volets cassés ça et là, un rayon filtre sur sa main, il le regarde un long moment, sentant ses paupière s'alourdirent et il s'alonge. Alors que son corps se love contre les draps et l'édredon, son esprit va se blotir dans les bras de Morphée.
Une lumière blanche et une caresse sur la joue, une jeune fille aux cheveux dorés se penche sur lui et rigole doucement, d'un petit rire cristalin.
Il se réveilla avant que le rêve ne se finnisse. La chambre était baigné dans la pénombre, entre le violet, le bleu et le rose, il avait dormi plusieurs heures, d'un sommeil lourd et pesant. Il se leva et alla boire un thé chaud, découvrant petit à petit les pièces avec qui il allait partager ses journées.Bien que tout lui soit étranger dans cet appartement, à l'extérieur il connaissait. Ville de son enfance il pouvait harpenter les rues sans peur de se perdre. Ce qu'il fit dès le thé avalé; il descendit dans la vieille ville, marchant sur les pavés irréguliers, passant devant les vitrines éclairées et multicolores. Il était bien ici.

Chacunes de ses nuits étaient prises d'assault par cette jeune fille, il la rêvait sans se lasser. Le réveil affichait deux heures trente-cinq du matin quand il ouvrit les yeux, il faisait nuit, seule la pâle lueur d'un lampadaire voisin faisait filtrer une lumière tamisée à l'intérieur de sa chambre. Il se leva doucement, bu au goulot d'une bouteille de soda abandonnée là dans la soirée, et redressa lentement la tête; il entendait quelque chose. Un bruit répétitif, plus au moins lent, un souffle continu. Il s'arreta de boire et écouta, les yeux fermés, comme si l'absence d'images lui permetrait une meilleure distinction. Le bruit accélèrait, comme s'il était dérangé d'avoir été repéré. Plus vite, encore plus vite et il rouvrit les yeux d'un coup: une respiration. Quelq'un respirait dans sa chambre, et à en croire le son, ça venait de derière lui, juste là, presque contre son dos. Il prit lui même une respiration saccadée par la curiosité de petits souffles irréguliers et tourna lentement la tête. Le souffle se faisait de plus en plus réel à mesure qu'il s'en approchait visuelement. En une fraction de seconde il se retrouva tourné à cent quatre vingt degrés, et vit. Un sourire, un nez fin soupoudré de petites tâches de rousseurs visible malgré l'obscurité ambiante. Et des yeux verts, magnifique et brillant, c'était la jeune fille qu'il voyait en rêve, là sur son lit, à lui sourire comme q'il était normal qu'elle se promène dans son appartement à une heure aussi avancée. Il ne sursauta pas mais fronça les sourcil d'incompréhension d'abord, et d'étonnement ensuite. Elle baissa la tête le visage toujours souriant, au moment même où il choisit de tourna violement la tête vers la porte, pour vérifier dans un un doute naissant si la porte avait été forcée ou s'il avait simplement oublié de la fermer la veille. La porte ne présentait aucuns signes d'efraction, elle était fermée, à clefs même. Il se retourna alors rapidement vers elle afin d'élucider son propre mystère.

" Mais comment as tu fait pour entr... "

Elle n'était plus là, l'endroit où il l'avait vu assise ne présentait pas de plis sur le draps. Il regarda à nouveau le réveil qui brillait de sa lueur rougeatre, un trois heure du matin presque agressif. Tout se temps s'était écoulé? Il se sentit soudain envahi par une fatigue immense, réclamant à son corps de dormir. Il tenta de résister mais ne finit par s'endormir avant même de commencer cette bataille déjà perdue.
Le jour était levé depuis plusieurs heures quand il rouvrit les yeux. Machinalement il se prépara un café en scrutant l'appartement, l'air rêveur. Un ami devait venir le chercher dans peu de temps et il bu aussi vite qu'il le pouvait jusqu'à ce qu'il entende un autre bruit dans la pièce. C'était léger et sourd, cette fois ci il ne mit pas longtemps a trouvé; c'était de petits pas, qui arrivaient vers lui depuis la salle de bain. Ce coup là il sursauta, la jeune fille blonde courra jusqu'à la porte et sortit de l'appartement. Il avait laché sa tasse qui vint s'exploser contre le carelage glacé avant de déverser le café brulant sur ce dernier. Il emboita son pas en lui hurlant d'attendre. De l'attendre lui. Comment entrait elle? Peut être était ce une amie des anciens locataires et possaidait un double des clefs. Mais pourquoi venir le voir lui ? Ces questions lui brulèrent l'esprit alors qu'il arrivait à la porte. Il l'ouvrit dans la précipitation. Son ami était là, surprit car il n'avait pas eu le temps de tambouriner et qu'on lui avait tout de même ouvert.

" Ah tu es là! Tu l'as vu? Par où est- elle allée?"

" Elle? Mais enfin je suis devant ta porte depuis deux minutes, je cherchais un double que j'ai oublié. Personne n'est sortit de chez toi.. "

Je corrige demain mais je ne t'oublie pas !

Lyz a écrit:
Renouveau. Il fallait tout reprendre depuis le début; oublier le passé, les anciens murs, la fenêtre à travers laquelle il avait regardé pendant des heures, le canapé tout doux, le lit, son lit rien qu'à lui et depuis toujours. Ici c'était déjà meublé, ça avait vécu, il n'inaugurerait absolument rien si ce n'est quelques petits objets achetés rapidement ("à la volée" "précipitamment"). L'appartement est petit mais suffisant pour lui, ça lui fait penser à un nid d'oiseau, le lit à baldaquin et tout le reste ayant l'air agréable. C'est étrange de penser ça d'un appartement dans lequel on a jamais vécu, mais il le pense et finit par poser ses valises au milieu de cette chambre qui fait aussi office de salon. Il s'enfonce un peu dans le matelas, l'air sans bon, un fond de parfum disparu depuis longtemps, mais qui reste malgré tout, fruité et enivrant. Le soleil perce entre les volets cassés ça et là, un rayon filtre ("se pose") sur sa main, il le regarde un long moment, sentant ses paupière s'alourdirent et il s'allonge. Alors que son corps se love contre les draps et l'édredon, son esprit va se blottir dans les bras de Morphée.
Une lumière blanche et une caresse sur la joue, une jeune fille aux cheveux dorés se penche sur lui et rigole doucement, d'un petit rire cristallin.
Il se réveilla avant que le rêve ne se finisse (termine. A bas les "finir" !!). La chambre était baignée dans la pénombre, entre le violet, le bleu et le rose, il avait dormi plusieurs heures, d'un sommeil lourd et pesant. Il se leva et alla boire un thé chaud, découvrant petit à petit les pièces avec qui il allait partager ses journées.Bien que tout lui soit étranger dans cet appartement, à l'extérieur il connaissait. Ville de son enfance il pouvait arpenter les rues sans peur de se perdre. Ce qu'il fit dès le thé avalé; il descendit dans la vieille ville, marchant sur les pavés irréguliers, passant devant les vitrines éclairées et multicolores. Il était bien ici.

Chacune de ses nuits étaient prises d'assaut par cette jeune fille, il la rêvait sans se lasser. Le réveil affichait deux heures trente-cinq du matin quand (lorsqu'il) il ouvrit les yeux. Il faisait nuit, seule la pâle lueur d'un lampadaire voisin faisait filtrer une lumière tamisée à l'intérieur de sa chambre (évite le passif s'il n'est pas nécessaire. Retourne le sujet/complément de cette phrase). Il se leva doucement, but au goulot d'une bouteille de soda abandonnée là dans la soirée, et redressa lentement la tête; il entendait quelque chose. Un bruit répétitif, plus au moins lent, un souffle continu. Il s'arrêta de boire (évite la répétition. "il s'arrêta entre deux gorgées") et écouta, les yeux fermés, comme si l'absence d'images lui permettait une meilleure distinction. Le bruit accélérait, comme s'il (deux fois de suite un "comme si". Pas bien ! Tourne ta phrase autrement pour enlever l'un des deux) était dérangé d'avoir été repéré. Plus vite, encore plus vite et il rouvrit les yeux d'un coup: une respiration. Quelqu'un respirait dans sa chambre, et à en croire le son (very bof), ça venait de derrière lui, juste là, presque contre son dos. Il prit lui même une respiration saccadée par la curiosité de petits souffles irréguliers et tourna lentement la tête. Le souffle se faisait de plus en plus réel à mesure qu'il s'en approchait visuellement. En une fraction de seconde il se retrouva tourné à cent quatre vingt degrés, et vit. Un sourire, un nez fin saupoudré de petites tâches de rousseurs visibles malgré l'obscurité ambiante. Et des yeux verts, magnifiques et brillants, c'était la jeune fille qu'il voyait en rêve, là sur son lit, à lui sourire comme s'il (arrête avec ces "comme si") était normal qu'elle se promène dans son appartement à une heure aussi avancée. Il ne sursauta pas mais fronça les sourcils d'incompréhension d'abord, et d'étonnement ensuite (je dirais plutôt l'inverse, mais après je dis ça, je dis rien). Elle baissa la tête le visage toujours souriant, au moment même où il choisit de tourner violemment la tête vers la porte, pour vérifier dans un un doute naissant si la porte avait été forcée ou s'il avait simplement oublié de la fermer la veille. La porte ne présentait aucun signe d'effraction, elle était fermée, à clef(s) même. Il se retourna alors rapidement vers elle afin d'élucider son propre mystère. (attention à la forte concentration de "il" et de "elle" dans ce passage)

" Mais comment as-tu fait pour entr... " (il la tutoie direct?)

Elle n'était plus là, l'endroit où il l'avait vu assise ne présentait pas de plis sur le drap. Il regarda à nouveau le réveil qui brillait de sa lueur rougeâtre, un trois heure du matin presque agressif. Tout ce temps s'était écoulé? Il se sentit soudain envahi par une fatigue immense, réclamant à son corps de dormir. Il tenta de résister mais ne finit par s'endormir avant même de commencer cette bataille déjà perdue.(à revoir complètement. Très maladroit comme phrase, voire même incorrecte)
Le jour était levé depuis plusieurs heures quand il rouvrit les yeux. Machinalement il se prépara un café en scrutant l'appartement, l'air rêveur. Un ami devait venir le chercher dans peu de temps et il but aussi vite qu'il (le) pouvait jusqu'à ce qu'il entende un autre bruit dans la pièce. C'était léger et sourd, cette fois-ci, il ne mit pas longtemps à trouver; c'étaient de petits pas, qui arrivaient vers lui depuis la salle de bain. Ce coup là (à éviter. Familier) il sursauta, la jeune fille blonde courut (attention!) jusqu'à la porte et sortit de l'appartement. Il avait lâché sa tasse qui vint s'exploser (existe pas de façon pronominale, bien qu'utilisé par le langage populaire. Très familier et incorrect. Deux bonnes raisons pour changer ^^) contre le carrelage glacé avant de déverser le café brulant sur ce dernier. Il emboita son pas en lui hurlant d'attendre. De l'attendre lui. Comment entrait elle? Peut être était-ce une amie des anciens locataires et possédait un double des clefs. Mais pourquoi venir le voir lui ? Ces questions lui brulèrent l'esprit (elles brûlent davantage les lèvres que l'esprit) alors qu'il arrivait à la porte. Il l'ouvrit dans la précipitation. Son ami était là, surpris car il n'avait pas eu le temps de tambouriner et qu'on lui avait tout de même ouvert (inutile).

" Ah tu es là! Tu l'as vue? Par où est- elle allée?"

" Elle? Mais enfin je suis devant ta porte depuis deux minutes, je cherchais un double que j'ai oublié. Personne n'est sorti de chez toi.. "

Attention aux fautes ! Je pense qu'il y en a beaucoup que tu peux éviter, facilement.
Attention aussi aux tournures maladroites et incorrectes qui alourdissent fortement ton texte. Fais bien la différence entre langage parler et langage du récit. Beaucoup d'expressions que l'on utilise couramment sont très laides pour l'écrit.

D'un point de vue histoire, ça m'a l'air assez intrigant. Qui est cete fille? Peut être rajouterais-je un soupçon d'angoisse, parce que je n'ai pas encore trop éprouvé d'inquiétude. Alors qu'un tel phénomène pourrait en ébranler plus d'un.

Sinon, question comme ça, laisse tu planer le doute vers la fin sur une tournure fantastique? Pourquoi ne proposerais-tu aps cette nouvelle pour le recueil d'ImperialDream?
Je te laisse y réfléchir pendant la semaine, mais vas visiter la partie "élaboration du recueil" chez les écrivains .