La citadelle
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La citadelle
L'histoire d'un pré-adolescent confronté à quelques difficultés.
Merci d'avance pour vos commentaires.
Pour revenir au texte, c'est ici : https://imperialdreamer.1fr1.net/nouvelles-f120/la-citadelle-des-maudits-t2786.htm#70932
J'ai préféré changer le titre (la citadelle des maudits) par "la Citadelle"
Merci d'avance pour vos commentaires.
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J'ai préféré changer le titre (la citadelle des maudits) par "la Citadelle"
Dernière édition par Démon des Airs le Ven 23 Juil 2010 - 13:19, édité 1 fois
Démon des Airs- Talent Habitué
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Re: La citadelle
Je viens de lire le début de ta nouvelle.
En quelle année cela se passe ? de nos jours ?
Comme ce n'est pas fini je ne soulèverai que des détails sans grande importance.
Voilà des détails seulement.
En quelle année cela se passe ? de nos jours ?
Comme ce n'est pas fini je ne soulèverai que des détails sans grande importance.
Pas de majuscule après les points de suspension.Un pas, puis un autre, encore un... Tête baissée sous le vent d’hiver auvergnat,
Je ne sais pas si c'est très joli cette courte phrase ? Peut-être pourrais-tu les fusionner ?Mes orteils se recroquevillaient sous la morsure du froid. Je m’arrêtai, grimaçant.
T'as oublié un point de suspension et même détail que plus haut pour la majuscule.Mon souffle court se condensait en vapeur aussitôt emportée.. Je levais les yeux.
Et ? Que voit-il à travers sa vue brouillé de larme glacée ?A (À => alt+0192) travers ma vue brouillée de larmes glacées.
noyés sous un/le ciel plombé.
C'est peut-être une figure de style la répétition, non ? Si c'est pas intentionnel attends d'autre avis pour voir ce que les autres en pense...Ou plutôt pour entendre. Pour entendre le silence que brouillait le crissement de mes pas.
Même chose qu'au-dessus.Dans ma tête vide, aussi. Sur mes vêtements, aussi.
Pareil.Puis la micheline vide, aux parois suintantes et aux vitres opaques. Puis enfin cette petite gare triste,
"J'avais beau être, " Non ? Le récit est au passé pourquoi revenir au présent ?J’ai beau être,
je te propose un truc. Au lieu de dire que ce commerce vend de tout pourquoi ne pas dire qu'il est le seul en ville ? Style c'est le lieu de rencontre privilégié des gens, un espèce de point de chute où l'on trouve tout et n'importe quoi ?Il s’arrêta sur la place du village devant le café-tabac-épicerie-bazar-boulangerie.
Voilà des détails seulement.
domingo- Talent Génial
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Re: La citadelle
Merci de t'être lancé, Domingo. Super !
Quelques fautes, en effet et peut-être un copier-collé qui a foiré. Je regarderai.
Je te répondrai un peu plus tard sur le contenu au besoin.
A ++
Quelques fautes, en effet et peut-être un copier-collé qui a foiré. Je regarderai.
Je te répondrai un peu plus tard sur le contenu au besoin.
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Démon des Airs- Talent Habitué
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Re: La citadelle
ATTENTION !
Je t'ai peut-être induit en erreur concernant les majuscules après les points de suspension !
Visiblement les majuscules sont à proscrire quand on continue à décrire la même chose MAIS elles sont indispensables quand on passe à une nouvelle idée/description ( merci Lou^^)
Dans le doute, attends les comm' d'un correcteur chevronné
voilà pour l'erratum. ^^
Je t'ai peut-être induit en erreur concernant les majuscules après les points de suspension !
Visiblement les majuscules sont à proscrire quand on continue à décrire la même chose MAIS elles sont indispensables quand on passe à une nouvelle idée/description ( merci Lou^^)
Dans le doute, attends les comm' d'un correcteur chevronné
voilà pour l'erratum. ^^
domingo- Talent Génial
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Re: La citadelle
Merci à Lou également. Je l'ignorais.
Bon, je vais rajouter un autre bout, parce là, c'est un peu light.
Bon, je vais rajouter un autre bout, parce là, c'est un peu light.
Démon des Airs- Talent Habitué
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Re: La citadelle
1er extrait
=> pourquoi deux points ?
=> j'ai pas très bien saisi le sens de "à travers ma vue brouillée de larmes glacées". Comment ça "à travers ma vue" ? o_O
Je ne commenterais pas encore trop puisqu'il ne s'agit que d'un début (de nouvelle en plus).
Le style m'est toutefois un peu trop commun dans le sens où je ne le trouve pas assez original.
Là tout de suite, je te conseille de lire une autre auteur présente sur ce forum (plus très présente malheureusement...) qui écrit aussi un peu de la même manière :
https://imperialdreamer.1fr1.net/nouvelles-f120/mauvaise-foi-t1839.htm
Ce que j'approuve plus ou moins dans ce type de narration, c'est le caractère général que vous avez tous. Ces phrases hachées, ces phrases qui n'ont pas de verbes, ces phrases qui renvoient toutes le même reflet. On dirait qu'elles suggèrent toutes de la pitié. Mais une pitié romancée, une pitié un peu bateau.
Voilà mon ressenti.
Pour ce qui est de l'histoire, tu suscites bien la curiosité sur cette fameuse citadelle. Qu'elle est-elle ? Pourquoi est-elle si peu appréciée par les habitants locaux ? Qu'est-ce qu'un gamin de 14 piges va-t-il y faire ?
Et comme domingo : à quelle époque ça se passe ? Y'a trente-quarante ans ? Ou de nos jours ?
Et enfin, un dernier qui m'a fait tiquer : quand tu parles de collines auvergnates, j'espère que tu ne penses pas aux volcans... ?
(dit le chauvin froissé )
=> le "encore un" me fait maladroit, comme un cheveu sur la soupe. Je sais s'il faut changer la disposition : "Un pas, un autre, puis encore un..." ou s'il faut abréger à : "Un pas, puis un autre..." ou s'il faut encore trouver une autre formule. "Un pas, un second, puis un troisième/puis encore un..." (suggestion)Un pas, puis un autre, encore un...
=> je ne veux pas faire mon physicien de base, mais il me semble que la condensation, c'est plutôt l'inverse. Ou en fin du moins, le passage d'une vapeur à état solide...Mon souffle court se condensait en vapeur aussitôt emportée..
=> pourquoi deux points ?
=> pourquoi séparer ces deux morceaux de phrase par un point ? Pourquoi ne pas les raccorder ?Je levais les yeux. A travers ma vue brouillée de larmes glacées.
=> j'ai pas très bien saisi le sens de "à travers ma vue brouillée de larmes glacées". Comment ça "à travers ma vue" ? o_O
=> manque pas un mot ?noyés sous ciel plombé.
=> répétition de "brouiller"
Pour entendre le silence que brouillait le crissement de mes pas.
=> pourquoi ce double "aussi" ?Dans ma tête vide, aussi. Sur mes vêtements, aussi.
=> tu es sûr que ce sont les parois qui suintent ?aux parois suintantes
=> un point au lieu de la virgule.Puis enfin cette petite gare triste, Un bout de monde.
Je ne commenterais pas encore trop puisqu'il ne s'agit que d'un début (de nouvelle en plus).
Le style m'est toutefois un peu trop commun dans le sens où je ne le trouve pas assez original.
Là tout de suite, je te conseille de lire une autre auteur présente sur ce forum (plus très présente malheureusement...) qui écrit aussi un peu de la même manière :
https://imperialdreamer.1fr1.net/nouvelles-f120/mauvaise-foi-t1839.htm
Ce que j'approuve plus ou moins dans ce type de narration, c'est le caractère général que vous avez tous. Ces phrases hachées, ces phrases qui n'ont pas de verbes, ces phrases qui renvoient toutes le même reflet. On dirait qu'elles suggèrent toutes de la pitié. Mais une pitié romancée, une pitié un peu bateau.
Voilà mon ressenti.
Pour ce qui est de l'histoire, tu suscites bien la curiosité sur cette fameuse citadelle. Qu'elle est-elle ? Pourquoi est-elle si peu appréciée par les habitants locaux ? Qu'est-ce qu'un gamin de 14 piges va-t-il y faire ?
Et comme domingo : à quelle époque ça se passe ? Y'a trente-quarante ans ? Ou de nos jours ?
Et enfin, un dernier qui m'a fait tiquer : quand tu parles de collines auvergnates, j'espère que tu ne penses pas aux volcans... ?
(dit le chauvin froissé )
Re: La citadelle
Mais non, voyons : il s'agit des monts déserts !Pacô a écrit:Et enfin, un dernier qui m'a fait tiquer : quand tu parles de collines auvergnates, j'espère que tu ne penses pas aux volcans... ?
Bon bon, ça vas... je
Nérouje- Talent Génial
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Re: La citadelle
Merci Pacô,
Idem pour les parois de la micheline, sauf que la paroi étant froide, elle "capture" l'humidité (condensation), qui s'accumule et suinte (point de saturation).
Pour la vue brouillée, je m'interroge. La vue est brouillée par... quelque chose, mais je trouve qu'il était plus beau de dire que "la vue est brouillée de larmes". S'il y a un/une spécialiste pour lever le doute, merci.
Je garde. Je trouve que cela exprime la répétition obstinée de ce geste et sa pénibilité. La lourdeur, aussi, c'est voulu.Un pas, puis un autre, encore un...
Bah, là je suis désolé : L'hiver, tu a déjà vu de la vapeur sortir de la bouche de quelqu'un, je suppose (surtout en Auvergne ). Eh ben c'est de la condensation (air chaud et humide de la respiration condensée par le froid puis, revenant plus ou moins vite à la température ambiante, puis disparaissant. Bon, là on sort de littérature, mais c'est bien d'en parler.Mon souffle court se condensait en vapeur aussitôt emportée..
Idem pour les parois de la micheline, sauf que la paroi étant froide, elle "capture" l'humidité (condensation), qui s'accumule et suinte (point de saturation).
La séparation est corrigée.=> pourquoi séparer ces deux morceaux de phrase par un point ? Pourquoi ne pas les raccorder ?
=> j'ai pas très bien saisi le sens de "à travers ma vue brouillée de larmes glacées". Comment ça "à travers ma vue" ? o_O
Pour la vue brouillée, je m'interroge. La vue est brouillée par... quelque chose, mais je trouve qu'il était plus beau de dire que "la vue est brouillée de larmes". S'il y a un/une spécialiste pour lever le doute, merci.
Va pour "troubler"Pour entendre le silence que brouillait le crissement de mes pas.
Ouaip! C'est vrai. Et pourtant, j'ai envie d'accentuer ce côté lourding du moment. Ce sont des bouts de pensées qu'il se dit tout en marchant, interrompues par de longs moments, comme pour s'occuper l'esprit. Donc j'ai envie de laisser.Dans ma tête vide, aussi. Sur mes vêtements, aussi.
C'est vrai que très souvent ce style de phrases hachées me lasse un peu car il est trop utilisé inutilement. Et pourtant dans ce cas précis, je ne vois pas d'autre façon de créer l'ambiance triste, lugubre avec cette continuité dans le temps et le vide intérieur du personnage. Mais je suis à l'écoute de toute suggestion.Ce que j'approuve plus ou moins dans ce type de narration, c'est le caractère général que vous avez tous. Ces phrases hachées, ces phrases qui n'ont pas de verbes, ces phrases qui renvoient toutes le même reflet. On dirait qu'elles suggèrent toutes de la pitié. Mais une pitié romancée, une pitié un peu bateau.
Je ne suis pas sûr que ça ait une importance. Cela dit, on devrait pouvoir le deviner dans la nouvelle, un peu plus loin.Et comme domingo : à quelle époque ça se passe ? Y'a trente-quarante ans ? Ou de nos jours ?
Bien sûr que non, Pacô ! Il y a de vrais et beaux volcans, en Auvergne. Et bien sûr qu'ils ne ressemblent pas à des collines, allons ! Où es-tu allé chercher ça ?Et enfin, un dernier qui m'a fait tiquer : quand tu parles de collines auvergnates, j'espère que tu ne penses pas aux volcans... ?
Démon des Airs- Talent Habitué
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Re: La citadelle
Ton personnage est un pied noir ?
Raa... je t'en veux de n'avoir pas mis la suite ! T'as cassé mon groove !^^
Rien de particulier à dire sur cette deuxième partie à part que je la trouve plus agréable à lire que la première.
Voilà !
Raa... je t'en veux de n'avoir pas mis la suite ! T'as cassé mon groove !^^
Rien de particulier à dire sur cette deuxième partie à part que je la trouve plus agréable à lire que la première.
Voilà !
domingo- Talent Génial
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Re: La citadelle
Ah ah ! Bon allez, Domingo. Pour ton groove, j'en mets encore un bout. Mais c'est du premier jet même pas relu. Alors là je commence à craindre.
Démon des Airs- Talent Habitué
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Re: La citadelle
Salut à toi camarade ! Bien, c'est mon premier commentaire alors je me lance !
=> Le "crissant" me dérange... On sait lors de la lecture que le mot "crissant" se rapporte aux chaussures, néanmoins cela peut amener à une confusion avec le "je". Peut-être pourrais-tu trouver quelque chose comme "s'enfoncer bruyantes dans la neige". Pour ma part j'ai le sentiment que ça passerait mieux.
=> Comme les deux personnes ayant précédemment commentées ce passage "À travers ma vue" semble ne pas coller. Je vois parfaitement ce que tu veux dire. Que penses-tu d'une formulation un peu du style "Il observait, au travers des larmes glacées qui lui brouillait la vue" ou quelque chose du genre ?
=> La répétition est-elle volontaire ?
=> Ce passage me plait de par son enchainement et ses sonorités ! Il y a comme un rythme la dedans quoique, pour jouer encore plus avec les sonorités : "Cris aigus angoissants aussitôt engloutis par le vent". Mais j'aime, alors ne prends pas en compte ce que je viens d'écrire, c'est mon envie de faire des rîmes qui ressort.
=> Étrange comparaison...
=> ne dit-on pas "la gitane de maïs", ou bien les deux se disent ? J'ai comme un doute...
Voici pour ce qui est des citations de la première partie l'ami !
Du reste, et je ferais plus tard le commentaire des deux autres parties, une chose me turlupine. Je trouve que l'intrigue s'agence assez mal... Il faudrait rendre la citadelle encore plus intrigante par quelques allusions théologiques ou formulations étranges car là, et c'est mon ressenti personnel, je trouve qu'il manque un petit brin de ce piment si cher aux nouvelles. Peut-être est-ce dû à la lenteur volontaire du texte (parbleu, c'est l'hiver sous la neige ! ) .
Ensuite, un petit détail : à quel moment de la journée nous trouvons-nous ? C'est pour moi un élément essentiel pour que je puisse aisément me représenter la scène et, à moins que si tard mes yeux ne m'aient fait défaut, qui est hélas absent ici.
Cordialement,
Adriadem.
je regardais mes chaussures noires s’enfoncer en crissant dans la neige gelée du bas-côté
=> Le "crissant" me dérange... On sait lors de la lecture que le mot "crissant" se rapporte aux chaussures, néanmoins cela peut amener à une confusion avec le "je". Peut-être pourrais-tu trouver quelque chose comme "s'enfoncer bruyantes dans la neige". Pour ma part j'ai le sentiment que ça passerait mieux.
A travers ma vue brouillée de larmes glacées
=> Comme les deux personnes ayant précédemment commentées ce passage "À travers ma vue" semble ne pas coller. Je vois parfaitement ce que tu veux dire. Que penses-tu d'une formulation un peu du style "Il observait, au travers des larmes glacées qui lui brouillait la vue" ou quelque chose du genre ?
A travers ma vue brouillée de larmes glacées
Pour entendre le silence que brouillait le crissement de mes pas
=> La répétition est-elle volontaire ?
cris aigus angoissants aussitôt engloutis par la brume
=> Ce passage me plait de par son enchainement et ses sonorités ! Il y a comme un rythme la dedans quoique, pour jouer encore plus avec les sonorités : "Cris aigus angoissants aussitôt engloutis par le vent". Mais j'aime, alors ne prends pas en compte ce que je viens d'écrire, c'est mon envie de faire des rîmes qui ressort.
il me ramasserait comme on ramasserait un chat mouillé et tremblant
=> Étrange comparaison...
la gitane maïs coincée sur la lippe
=> ne dit-on pas "la gitane de maïs", ou bien les deux se disent ? J'ai comme un doute...
Voici pour ce qui est des citations de la première partie l'ami !
Du reste, et je ferais plus tard le commentaire des deux autres parties, une chose me turlupine. Je trouve que l'intrigue s'agence assez mal... Il faudrait rendre la citadelle encore plus intrigante par quelques allusions théologiques ou formulations étranges car là, et c'est mon ressenti personnel, je trouve qu'il manque un petit brin de ce piment si cher aux nouvelles. Peut-être est-ce dû à la lenteur volontaire du texte (parbleu, c'est l'hiver sous la neige ! ) .
Ensuite, un petit détail : à quel moment de la journée nous trouvons-nous ? C'est pour moi un élément essentiel pour que je puisse aisément me représenter la scène et, à moins que si tard mes yeux ne m'aient fait défaut, qui est hélas absent ici.
Cordialement,
Adriadem.
Adriadem- Talent Hasardeux
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Re: La citadelle
Je suis d'accord avec lui, et voilà ce qu'il ne collait pas !Adriadem a écrit:
=> Comme les deux personnes ayant précédemment commentées ce passage "À travers ma vue" semble ne pas coller. Je vois parfaitement ce que tu veux dire. Que penses-tu d'une formulation un peu du style "Il observait, au travers des larmes glacées qui lui brouillait la vue" ou quelque chose du genre ?
Ce n'est pas à travers la vue mais des larmes .
Bien vu domingo, maintenant que tu le dis, je pense aussi à un pied noir. Ou à un harki peut-être... ?
Mais en Auvergne ?
(et non, je n'ai pas encore lu la suite ^^).
Re: La citadelle
Merci pour ce commentaire, camarade.
Voici les réponses :
=> Le "crissant" me dérange...
Je garde le "crissant".
La bonne, c'est qu'on la trouve cent cinquante mille fois (et pas seulement écrite par des moindres), et la deuxième, c'est qu'on la trouve cent cinquante mille fois. Moi qui pensait avoir écrit quelque chose d'original
Donc, tant pis, je garde.
=> ne dit-on pas "la gitane de maïs", ou bien les deux se disent ? J'ai comme un doute...
Non, non. On dit "gitane maïs" (je sais, on n'en voit plus beaucoup, je ne sais même pas si ça se fait encore) laquelle a été immortalisée par Gainsbourg.
Voici pour ce qui est des citations de la première partie l'ami !
Du reste, et je ferais plus tard le commentaire des deux autres parties, une chose me turlupine. Je trouve que l'intrigue s'agence assez mal... Il faudrait rendre la citadelle encore plus intrigante par quelques allusions théologiques ou formulations étranges car là, et c'est mon ressenti personnel, je trouve qu'il manque un petit brin de ce piment si cher aux nouvelles. Peut-être est-ce dû à la lenteur volontaire du texte (parbleu, c'est l'hiver sous la neige ! ) .
Je suis tout à fait d'accord avec toi. Du reste, je prévois de réécrire la dernière moitié très différemment plus tard. Il y a quelque chose qui ne colle pas mais je ne sais pas encore vraiment quoi. J'aimerais bien avoir un avis sur l'ensemble (structure, rythme, etc...) Pour ça, je vais la mettre en totalité aujourd'hui en ligne puisque je viens de la finir.
Ensuite, un petit détail : à quel moment de la journée nous trouvons-nous ? C'est pour moi un élément essentiel pour que je puisse aisément me représenter la scène et, à moins que si tard mes yeux ne m'aient fait défaut, qui est hélas absent ici.
En fait, nous nous trouvons au petit matin à l'arrivée du train. Donc le trajet du gars se fait le matin, jusqu'à l'arrivée à la citadelle. Pour le flash-back, je n'ai pas précisé le moment car je pense que ça n'a pas beaucoup d'importance.
Adriadem.[/quote]
Donc merci encore. Je mets la fin (actuelle). Je n'ai aucune idée de ce qu'elle donne car je n'ai aucun recul.
Voici les réponses :
je regardais mes chaussures noires s’enfoncer en crissant dans la neige gelée du bas-côté
=> Le "crissant" me dérange...
Je garde le "crissant".
Bon, alors là, vos commentaires me posaient problème car j'aime beaucoup cette phrase. Je suis donc aller voir sur google si on trouvait quelque chose à ce sujet. Et là, deux nouvelles (un comble) ; une bonne et une mauvaise :A travers ma vue brouillée de larmes glacées
La bonne, c'est qu'on la trouve cent cinquante mille fois (et pas seulement écrite par des moindres), et la deuxième, c'est qu'on la trouve cent cinquante mille fois. Moi qui pensait avoir écrit quelque chose d'original
Donc, tant pis, je garde.
Ah non, pas du tout. C'est une grosse bourde à corriger.A travers ma vue brouillée de larmes glacées
Pour entendre le silence que brouillait le crissement de mes pas
=> La répétition est-elle volontaire ?
Merci. Je garde.cris aigus angoissants aussitôt engloutis par la brume
=> Ce passage me plait de par son enchainement et ses sonorités ! Il y a comme un rythme la dedans quoique, pour jouer encore plus avec les sonorités : "Cris aigus angoissants aussitôt engloutis par le vent". Mais j'aime, alors ne prends pas en compte ce que je viens d'écrire, c'est mon envie de faire des rîmes qui ressort.
la gitane maïs coincée sur la lippe
=> ne dit-on pas "la gitane de maïs", ou bien les deux se disent ? J'ai comme un doute...
Non, non. On dit "gitane maïs" (je sais, on n'en voit plus beaucoup, je ne sais même pas si ça se fait encore) laquelle a été immortalisée par Gainsbourg.
Voici pour ce qui est des citations de la première partie l'ami !
Du reste, et je ferais plus tard le commentaire des deux autres parties, une chose me turlupine. Je trouve que l'intrigue s'agence assez mal... Il faudrait rendre la citadelle encore plus intrigante par quelques allusions théologiques ou formulations étranges car là, et c'est mon ressenti personnel, je trouve qu'il manque un petit brin de ce piment si cher aux nouvelles. Peut-être est-ce dû à la lenteur volontaire du texte (parbleu, c'est l'hiver sous la neige ! ) .
Je suis tout à fait d'accord avec toi. Du reste, je prévois de réécrire la dernière moitié très différemment plus tard. Il y a quelque chose qui ne colle pas mais je ne sais pas encore vraiment quoi. J'aimerais bien avoir un avis sur l'ensemble (structure, rythme, etc...) Pour ça, je vais la mettre en totalité aujourd'hui en ligne puisque je viens de la finir.
Ensuite, un petit détail : à quel moment de la journée nous trouvons-nous ? C'est pour moi un élément essentiel pour que je puisse aisément me représenter la scène et, à moins que si tard mes yeux ne m'aient fait défaut, qui est hélas absent ici.
En fait, nous nous trouvons au petit matin à l'arrivée du train. Donc le trajet du gars se fait le matin, jusqu'à l'arrivée à la citadelle. Pour le flash-back, je n'ai pas précisé le moment car je pense que ça n'a pas beaucoup d'importance.
Adriadem.[/quote]
Donc merci encore. Je mets la fin (actuelle). Je n'ai aucune idée de ce qu'elle donne car je n'ai aucun recul.
Démon des Airs- Talent Habitué
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Re: La citadelle
Démon des Airs a écrit:Bon, alors là, vos commentaires me posaient problème car j'aime beaucoup cette phrase. Je suis donc aller voir sur google si on trouvait quelque chose à ce sujet. Et là, deux nouvelles (un comble) ; une bonne et une mauvaise :A travers ma vue brouillée de larmes glacées
La bonne, c'est qu'on la trouve cent cinquante mille fois (et pas seulement écrite par des moindres), et la deuxième, c'est qu'on la trouve cent cinquante mille fois. Moi qui pensait avoir écrit quelque chose d'original
Donc, tant pis, je garde.
Pourtant, si l'on se réfère à notre ami google, qui n'est certes pas une référence, on obtient ça pour "à travers ma vue" :
http://www.google.fr/search?q=a+travers+ma+vue&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozillaofficial&client=firefox-a
Et ça pour "à travers mes larmes" :
http://www.google.fr/search?q=a+travers+mes+larmes&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozillaofficial&client=firefox-a
Je ne vois pas le 150 mille fois o_O !
Re: La citadelle
Ah là là ! C'est vous qui avez raison ! J'ai tapé "ma vue brouillée de larmes". C'est tout faux.
Le problème c'est le "à travers". Mais oui, mais c'est bien sûr ! J'avais la vue brouillée... sur mon texte...
Je vais corriger ça sur le champ.
Merci
Le problème c'est le "à travers". Mais oui, mais c'est bien sûr ! J'avais la vue brouillée... sur mon texte...
Je vais corriger ça sur le champ.
Merci
Démon des Airs- Talent Habitué
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