Le désir suprême
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lika
MrSonge
Pacô
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Le désir suprême
Encore un style que Darwin va beaucoup aimer.
Alors il s'agit d'un texte rédigé spécialement pour Scribea en rapport avec ce tableau :
Il fallait donc incarner cet homme d'une façon cohérente. Libre était l'interprétation qu'on en faisait. Et il fallait placer ces cinq termes: plume, égocentrique, jambes, lunettes et sac.
Donc voilà ce que ça donne. Donnez-moi votre avis =).
Alors il s'agit d'un texte rédigé spécialement pour Scribea en rapport avec ce tableau :
Il fallait donc incarner cet homme d'une façon cohérente. Libre était l'interprétation qu'on en faisait. Et il fallait placer ces cinq termes: plume, égocentrique, jambes, lunettes et sac.
Donc voilà ce que ça donne. Donnez-moi votre avis =).
Le désir suprême.
« Il n’y a personne qui puisse arrêter l’impétuosité de tes désirs. » Je ne savais encore comment interpréter cette parole qui m’ébranla et interrompit la folle course de ma plume sur le carnet de recherches, durant l’une de mes nombreuses heures de travail dans mon laboratoire, depuis qu’elle était sortie, sans animosité ni même méprise, de la bouche de ma propre fille.
J’en conviens, j’étais homme voué au pouvoir et à ses multiples déclinaisons. Je puisais ma force dans la faiblesse des autres et j’imposais la volonté de mes ambitions. Je jouissais d’une énergie qui affirmait la prépondérance de ma vision idéologique sur cet univers morcelé. Rien ne me lassait davantage qu’un monde qui se complaisait dans une morosité exacerbée et qui se morfondait dans la liturgie d’une société immuable. Je chérissais le mouvement et encore plus l’inconstance, j’étais épris par la fougue du défi. Oui, mes désirs étaient le reflet de mon expression la plus profonde et couraient vers un dessein que les âmes candides peinaient à entrevoir. Je l’affirme, j’étais bigarré, transpercé d’un élan amoureux envers la beauté de la création humaine et je poursuivais une quête qui obnubilait mes pensées depuis ma plus tendre enfance et qui sollicitait toute l’ardeur de ma passion. J’estimais que toutes découverte et récompense se méritaient après un engagement et un investissement poussés à leur paroxysme. Je le constate, l’on me blasphémait en toute heure de la journée et l’on me traitait sans hésiter d’égocentrique. Mais à quoi bon se déranger pour des âmes perfides qui nous jalousaient secrètement ? A ceux qui maltraitaient mon aphorisme, je leur rétorquais qu’il était toujours plus louable de rêver d’un idéal que d’engraisser la laideur du monde par des paroles complices. Quoi qu’il en soit, je ne pouvais refuser à mon cœur l’ardente recherche qui excitait la moindre de ses parcelles et j’étais bien loin de me laisser envahir par la désuétude.
La violence de mes désirs n’était que le fruit d’un ardent sentiment de conquêtes. En ce monde j’ai essuyé mille échecs, mais tout comme Bonaparte, je restais fermement convaincu que l’esprit vaincra un jour où l’autre le sabre obscur de l’ignorance et de l’absurdité. Et s’il me fallait sacrifier l’ensemble de la vie pour savourer quelques secondes du savoir suprême, si je devais combattre avec toujours plus de véhémence les armées d’inepties, je me serais tenu droit, l’arme à la main et aurais repoussé les déferlantes vagues de la bêtise humaine. Alors oui, j’aurais mené le peuple de mes semblables à construire la magnificence à l’état pur, sans relâche. L’Homme ne sera jamais aussi grand qu’à genou devant le génie. Et nous aurions tiré ensemble, notre sac, nos bagages de culture afin d’édifier une société nouvelle et plus belle où transformations et métamorphoses de nos idées auraient été traditions.
Tels étaient mes principes. A présent, mes jambes épuisées tremblent, non pas d’une fièvre étrange qui parcourrait mon corps ni d’une vieillesse qui réclamerait promptement son âge mais d’une fascination jusqu’alors jamais éprouvée. Ma fille, cette tendre enfant qui ne partageait pourtant pas un dixième de mes connaissances, avait bien avant moi acquis le sens de l’observation de ses contemporains. Je crois bien que personne en ce monde n’aurait eu la verve nécessaire pour apaiser mon effroyable détermination à éduquer l’individu, contre son gré s’il le faut. Elle me conduisit alors par je ne sais quel procédé habile au sommet de cette haute montagne dont je ne puis me déraciner maintenant. Il ne me fallut point de lunettes pour admirer et saisir en plein vol la sagesse de l’univers. Pantois, j’embrasse du regard les prairies verdoyantes qui coulent sur les flancs acérés des monts environnants. La brume, au fur et à mesure du temps qui passe, forme une énorme marée de gaz et me pénètre comme si je ne faisais qu’un avec elle. Mué par une mystérieuse euphorie, je retire ma lourde blouse noire de savant qui, transportée par le souffle de la vie, s’envole à la rencontre des cimes enneigées. Une énergie diffuse s’empare de tout mon être. Je ferme les yeux. Le vent me glisse quelques mots dans les oreilles, mes cheveux aplatis par la sueur de l’escalade s’ébouriffe soudain et là, je le conçois, lui ce savoir tant recherché. Je m’affaisse sur ma canne et je tressaille encore plus tandis que le vent cesse. L’horizon m’attire mais je contiens la hargne qui me pousse à le rejoindre. Je hurle au vide, je trépigne, je m’emporte contre cette vérité tant convoitée qui m’horrifie désormais. Puis finalement, en un murmure, j’acquiesce. La brume se retire alors puis rejoint le vide du ciel et, telle une mer déchaînée, s’entrechoque avec les crêtes rocheuses. Elle me laisse apprécier ce secret partagé avec les plus prudents.
Je me trompais, moi érudit des sciences et des arts, car je capte la raison qui m’empêchait d’aboutir à mes efforts redoublés. Cependant que la houle du brouillard s’émancipe autour de moi, je ressens le lourd fardeau qui m’a été octroyé. Je le comprends mais je ne peux l’interpréter comme si j’avais perdu l’usage de la langue. Je baisse la tête et sombre dans une étrange léthargie méditative. Alors qu’autrefois, je cherchais à percer les mystères qui m’entouraient et à les restituer aux hommes comme s’ils étaient un dû, je subodore toute la réticence des êtres supérieurs qui régissent notre monde. Mes désirs d’apporter au monde la connaissance disparaissent peu à peu et un grand vide les remplace. Quelle sottise de croire l’homme capable d’ériger le monde à sa façon ! Voilà donc ce qui m’embarrassait dans cet univers et je constate à présent, tout comme l’affirmait Voltaire, que l’horloge du monde ne peut fonctionner sans horloger. Appartenant aux nombreux rouages du système, je suis moi aussi contraint de me soumettre à ses exigences d’artisan. L’Homme n’est pas fait pour palper l’ensemble du savoir avec parcimonie. C’est ici que se trouve la limite de l’impétuosité de mes désirs et ma fille a su me le faire comprendre sans avoir à m’accabler de maux ou de mots…
Re: Le désir suprême
Non de Friedrich. "Le Voyageur contemplant une mer de nuages.
Mais là, le nom de l'artiste n'a aucune importance. Par contre, c'est la lecture de la toile qui compte ... j'ai travaillé sur l'épanchement romantique.
Mais là, le nom de l'artiste n'a aucune importance. Par contre, c'est la lecture de la toile qui compte ... j'ai travaillé sur l'épanchement romantique.
Re: Le désir suprême
J'ai toujours confondu Friedrich avec Turner ! xD Ya pas de quoi pourtant.
Non, je comprend bien, mais c'était de la pure curiosité de ma part.
Non, je comprend bien, mais c'était de la pure curiosité de ma part.
Re: Le désir suprême
Ah bah non, y'a pas vraiment de quoi.Ils n'ont même pas la même nationalité .
EDIT: Je l'ai déplacé finalement aux "Nouvelles" .
EDIT: Je l'ai déplacé finalement aux "Nouvelles" .
Re: Le désir suprême
bon bah je t'ai déjà dit ce que j'en pensais^^
lika- Talent Hasardeux
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Re: Le désir suprême
Corrections:
Quels ont été les commentaires de ton texte sur Scribéa?
L'absence des "s" m'a fait tiquer là. Même si tu parles à la suite de "découverte" et de "récompense" il leur faut un "s" puisque tu parles de généralités.J’estimais que toutes découvertes et récompenses se méritaient après un engagement et un investissement poussés à leur paroxysme.
Cet accord, quand même, Pacô!!!Le vent me glisse quelques mots dans les oreilles, mes cheveux aplatis par la sueur de l’escalade s’ébouriffent soudain et là, je le conçois, lui ce savoir tant recherché.
J'aime beaucoup, beaucoup ton style, ce genre d'écriture riche et pompeuse, mais là, pour une fois, je rejoins Darwin. L'abondance de vocabulaire et de tournures pompeuses rend ce texte d'une lourdeur étouffante. Tu me diras, ça va bien avec le personnage, mais un peu de légèreté n'aurait pas fait de mal à ton texte. Cependant, ce genre de personne est tout à fait capable de réfléchir ainsi, avec autant d'emphase et donc ça correspond.Pacô a écrit:Encore un style que Darwin va beaucoup aimer.
Quels ont été les commentaires de ton texte sur Scribéa?
B.- Talent Divin
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Re: Le désir suprême
Sur Scribéa, il a plutôt la côte !
Hum ... cet effet pompeux (je dirais pas pompeux, mais approfondis) ça correspond parfaitement, pour moi, à un érudit des sciences. Un mec de ce genre qui dit:
« Wesch, wesch, j'ai trop envie, c'est trop kiffant, d'apprendre aux gens comment vivre. » (d'une manière exagérée of course x))
... ne va pas.
Même s'il parle d'une manière contemporaine, si je prends mon style de VVL... non ça ne correspond. Ce tableau favorise l'épanchement du moi, est l'incarnation du romantique et de l'esprit poétique de Lamartine.
Donc cet homme exprime le poids de sa sagesse à travers son discours quelque peu "alambiqué" ou "pompeux". Une sagesse qu'il croyait avoir par ailleurs, puisque la simplicité lui est instruit à la fin. C'est donc volontaire à moitié. Je voulais me tester au romantisme, au chateaubriand et co', et forcément, on tombe pas dans le genre de discours commun avec un style léger. Sinon, ce ne serait pas fort en sentiments XD.
Et pour les "toute", j'ai expliqué pourquoi . Mais pas ici en fait (je me tais). Le "toutes" se rapporte à découverte + récompense . Mais il n'y a qu'une découverte et qu'une récompense. Mais les deux font que toutes prend un s.
Pour l'accord, je l'avais déjà vu sur un autre forum. Il faudrait d'ailleurs que je pense à remettre la bonne version ici =/.
Hum ... cet effet pompeux (je dirais pas pompeux, mais approfondis) ça correspond parfaitement, pour moi, à un érudit des sciences. Un mec de ce genre qui dit:
« Wesch, wesch, j'ai trop envie, c'est trop kiffant, d'apprendre aux gens comment vivre. » (d'une manière exagérée of course x))
... ne va pas.
Même s'il parle d'une manière contemporaine, si je prends mon style de VVL... non ça ne correspond. Ce tableau favorise l'épanchement du moi, est l'incarnation du romantique et de l'esprit poétique de Lamartine.
Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente
N'éprouve devant eux ni charme ni transports ;
ou:
Quand là feuille des bois tombe dans la prairie,
Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !
Donc cet homme exprime le poids de sa sagesse à travers son discours quelque peu "alambiqué" ou "pompeux". Une sagesse qu'il croyait avoir par ailleurs, puisque la simplicité lui est instruit à la fin. C'est donc volontaire à moitié. Je voulais me tester au romantisme, au chateaubriand et co', et forcément, on tombe pas dans le genre de discours commun avec un style léger. Sinon, ce ne serait pas fort en sentiments XD.
Et pour les "toute", j'ai expliqué pourquoi . Mais pas ici en fait (je me tais). Le "toutes" se rapporte à découverte + récompense . Mais il n'y a qu'une découverte et qu'une récompense. Mais les deux font que toutes prend un s.
Pour l'accord, je l'avais déjà vu sur un autre forum. Il faudrait d'ailleurs que je pense à remettre la bonne version ici =/.
Re: Le désir suprême
Alors, comme je n'aime pas rester sur un désaccord à propos d'accords, et pour en avoir le coeur net, j'ai demandé un avis sur ta phrase dans le forum de correcteurs où je vais de temps en temps. voilà ce qu'il en est ressorti:
Voilà, qu'en penses-tu?
Après réflexion, j'ajoute que la phrase "chaque découverte et chaque récompense se méritaient" irait d'ailleurs tout aussi bien, voire même serait plus jolie.Je suis a priori d'accord avec l'auteur. Sans doute veut-il parler d'une quelconque découverte et d'une quelconque récompense, auquel cas le singulier s'impose.
Pour éviter ce "toutes" au pluriel suivi de deux substantifs au singulier, je proposerais plutôt la répétition de "toute" : "...toute découverte et toute récompense...".
Par ailleurs, "engagement" et "investissement" sont deux termes redondants, voire pléonastiques, si l'on parle bien d'investissement personnel (et non pas financier).
Voilà, qu'en penses-tu?
B.- Talent Divin
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Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Le désir suprême
Peut être pour le chaque ... j'vais y réfléchir.
Mais t'es d'accord alors pour ce discours emphatique ?
Mais t'es d'accord alors pour ce discours emphatique ?
Re: Le désir suprême
Oui, je trouve que ça correspond plutôt bien au personnage dans ce contexte.Pacô a écrit:
Mais t'es d'accord alors pour ce discours emphatique ?
Après, on aime ou on aime pas, mais tu es bien dans le sujet du tableau.
B.- Talent Divin
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Points : 4555
Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Le désir suprême
Oki, merci.
Oui, fallait le sujet du tableau. tout de suite j'ai pensé à un mec pompeux, las de la vie.
Après, j'aurais du alléger le style pour le dernier passage où il comprend.
Mais je me suis dit que, même si on comprend, c'est pas pour autant qu'on change. Alors vu que j'étais bien parti dedans, je suis resté dedans ^^'.
Oui, fallait le sujet du tableau. tout de suite j'ai pensé à un mec pompeux, las de la vie.
Après, j'aurais du alléger le style pour le dernier passage où il comprend.
Mais je me suis dit que, même si on comprend, c'est pas pour autant qu'on change. Alors vu que j'étais bien parti dedans, je suis resté dedans ^^'.
Re: Le désir suprême
Ya des gens qui reconnaissent les peintres comme ça ?! ^^
J'admire ce style. Ca te va bien, je trouve... Je préfère quand tu écris comme ça. Ca donne tout de suite l'impression que tu domines complètement ton sujet et ton personnage.
C'est génial, ça, quand on te donne un personnage et que tu n'as plus qu'à l'incarner... à le laisser écrire à ta place, le laisser t'emporter et dire ce qu'il veut. J'adore ça, c'est une drogue
Il y en a dans lesquels il est plus facile d'entrer que d'autres, mais celui là à l'air assez passionnant.
Tu as dû bien t'amuser en écrivant ça, pas vrai ? En tous cas, sublime, Pacô !
J'admire ce style. Ca te va bien, je trouve... Je préfère quand tu écris comme ça. Ca donne tout de suite l'impression que tu domines complètement ton sujet et ton personnage.
C'est génial, ça, quand on te donne un personnage et que tu n'as plus qu'à l'incarner... à le laisser écrire à ta place, le laisser t'emporter et dire ce qu'il veut. J'adore ça, c'est une drogue
Il y en a dans lesquels il est plus facile d'entrer que d'autres, mais celui là à l'air assez passionnant.
Tu as dû bien t'amuser en écrivant ça, pas vrai ? En tous cas, sublime, Pacô !
Elwyn de Lannien- Talent Génial
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Re: Le désir suprême
J'aime cette phrase ^^Pacô a écrit:je rétorquais qu’il était toujours plus louable de rêver d’un idéal que d’engraisser la laideur du monde par des paroles complices.
Très beau texte! On perçoit bien les sentiments de l'homme... Avis détaillé plus tard (si j'y pense). Je n'ai que survolé la nouvelle.
Je connaissais déjà le tableau, on l'a vu en allemand ><
Liven d'Eleissen- Talent Suprême
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Re: Le désir suprême
Ce style me va bien ? xD
Parce que je suis pompeux et tyrannique hein hein ?
Oui, j'avoue, j'ai aimé me faire une pause dans tous mes textes, et écrire sur ce guss. C'est ... une expérience sympa. Surtout que ça m'a permis (encore une fois) à m'exercer au romantique, et ça, c'était drôle *-*.
Oki Liven. J'espère que tu auras d'autres phrases fétiches ...
Parce que je suis pompeux et tyrannique hein hein ?
Oui, j'avoue, j'ai aimé me faire une pause dans tous mes textes, et écrire sur ce guss. C'est ... une expérience sympa. Surtout que ça m'a permis (encore une fois) à m'exercer au romantique, et ça, c'était drôle *-*.
Oki Liven. J'espère que tu auras d'autres phrases fétiches ...
Re: Le désir suprême
MrSonge a écrit:J'ai toujours confondu Friedrich avec Turner ! xD Ya pas de quoi pourtant.
Non, je comprend bien, mais c'était de la pure curiosité de ma part.
C'est simple, Turner c'est un aquarelliste de génie au style mouvementé,
- Spoiler:
voici du Friedrich
- Spoiler:
it's goood pacô
Dmn- Talent Divin
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Re: Le désir suprême
Ben même avec les 2 tableaux, je fais pas la différence entre les deux. Le premier aurait pas pu peintre le 2eme tableau ?? ^^
Oui, ok, je discute pas avec les artistes, je comprendrai pas !
Et oui, chef, j'aime ce style !
Oui, ok, je discute pas avec les artistes, je comprendrai pas !
Et oui, chef, j'aime ce style !
Elwyn de Lannien- Talent Génial
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Date d'inscription : 24/04/2009
Re: Le désir suprême
Non, ça se voit.
Le premier ... ça fait aquarelle justement, les traits sont flous, un peu brumeux.
Tandis que le second, c net.
Non, c'est pas ça ?
Thanks à vous .
Le premier ... ça fait aquarelle justement, les traits sont flous, un peu brumeux.
Tandis que le second, c net.
Non, c'est pas ça ?
Thanks à vous .
Re: Le désir suprême
De rien ! ^^
Les peintures, j'adore les regarder... Mais j'y connais rien de chez rien xD
Les peintures, j'adore les regarder... Mais j'y connais rien de chez rien xD
Elwyn de Lannien- Talent Génial
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Date d'inscription : 24/04/2009
Re: Le désir suprême
Pacô a écrit:Non, ça se voit.
Le premier ... ça fait aquarelle justement, les traits sont flous, un peu brumeux.
Tandis que le second, c net.
Non, c'est pas ça ?
Thanks à vous .
si si pacô simplement dit c'est ça !!!
(haaan turner je l'aiiime )
disons que turner était très avant gardiste et ces thèmes sont très contemporain.
Regarde Elwyn la slandeur de ces deux styles et comprends en leurs différences
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Dmn- Talent Divin
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Date d'inscription : 02/05/2009
Re: Le désir suprême
Je dirais que je préfère le premier style.
Mais bon, c'est incontestablement génial pour les deux ^^'.
Mais bon, c'est incontestablement génial pour les deux ^^'.
Re: Le désir suprême
Pacô a écrit:Je dirais que je préfère le premier style.
Mais bon, c'est incontestablement génial pour les deux ^^'.
Oui chacun ces choix mais Turner, ce qui fait sa tien du génie quand même.
Dmn- Talent Divin
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Emploi/loisirs : il est un état où le temps n'est plus en soi.
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