Douleur [commentaires]
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Douleur [commentaires]
Ici, vous posterez les commentaires et remarques que vous voulez formuler sur mon roman, Douleur.
Dernière édition par Zahra le Dim 13 Oct 2013 - 15:07, édité 1 fois
Re: Douleur [commentaires]
Hello Zahra, voici ma bêta-lecture de ton texte, partie par partie. J'espère qu'elle t'aidera!
C'est ma seule remarque "précise" pour cette partie du texte.
Sinon, j'ai été lire ton questionnaire-auteur avant de me lancer dans ta bêtalecture, histoire de savoir ce que tu attendais. Tu mentionnes dedans que tu utilises beaucoup les virgules, et c'est vrai qu'on le remarque sur ce court passage : tu mets énormément d'incises et tu "haches" tes phrases. J'écris de la même manière alors ça ne me gêne pas le moins du monde, mais ceux qui ne sont pas des accro de le virgule te conseilleront sans doute d'en retirer une ou deux...
J'ai bien aimé ton texte, même si il me laisse au final un peu perplexe... À sa lecture, je ressens comme une impression d'attente, de passivité de la part de ton héroïne. Elle n'a pas d'amis, n'exprime pas grand-chose à part sa douleur au dos. On a assez peu de descriptions, à part deux ou trois faits éphémères (la blouse du médecin qui vole, le soleil qui se cache derrière les nuages...), ce qui rend finalement le récit très neutre et concourt à cette impression d'attente : pour le moment, l'héroïne ne s'investit pas et nous non plus. Pourtant on veut en savoir plus : on se doute bien que si on nous raconte tout ça, c'est pour nous emmener quelque part... Mais où?
C'est quelque chose qui ne me dérange pas mais qui pourra gêner certains lecteurs qui auront du mal à comprendre ce que tu veux leur dire et qui risquent de décrocher.
À part ça, il y a quelques fautes de grammaire ou de conjugaison, mais ça reste très anecdotique. Comme pour le prologue, c'est un texte "à virgules" mais tu sais ce que j'en pense! ^^
Finalement, je ne suis pas "accro" mais je suis intriguée, j'aimerais lire la suite!
1: Ton narrateur est l'héroïne, donc "dépassée" (mais je pense que c'est juste un oubli puisque tu n'as pas fais la faute sur "laissée tomber", qui est juste après.Zahra a écrit:C’est arrivé aujourd’hui. Il y avait un peu de soleil, parfois, quand il ne se cachait pas derrière les nuages galopants. C’est arrivé aujourd’hui, après un tour de terrain en courant, alors que le groupe m’avait depuis longtemps dépassé 1, laissée tomber. Ca s’est déchiré, là, dans mon dos, un grand trait de couteau, net, sans bavure, et ça a fait mal. Je crois que j’ai un peu serré les dents, ralenti, et tout en observant les autres du coin de l’œil, je me suis dirigée vers le prof. « C’est pas grave, tu arrêtes pour aujourd’hui et tu iras voir un ostéopathe, tu dois avoir quelque chose de coincé. » Et ce fut tout. Comme ça.
C'est ma seule remarque "précise" pour cette partie du texte.
Sinon, j'ai été lire ton questionnaire-auteur avant de me lancer dans ta bêtalecture, histoire de savoir ce que tu attendais. Tu mentionnes dedans que tu utilises beaucoup les virgules, et c'est vrai qu'on le remarque sur ce court passage : tu mets énormément d'incises et tu "haches" tes phrases. J'écris de la même manière alors ça ne me gêne pas le moins du monde, mais ceux qui ne sont pas des accro de le virgule te conseilleront sans doute d'en retirer une ou deux...
Zahra a écrit:1
Mis à jour le 09/09/2013 à 9h45
Et puis, je ne fis rien. J’attendis que cela On nous apprend à l'école que "ça" est inélégant, qu'il vaut mieux éviter de l'utiliser et le remplacer par "cela"... Ce n'est pas tout à fait vrai: il y a beaucoup d'auteurs classiques qui utilisent énormément "ça" et parfois, "cela" sonne un peu curieusement. C'est un peu le cas ici, il me semble. Je mettrais "ça" ou bien "la douleur".passe. Qui voulait-il que j’aille voir ? Je n’étais là que depuis un mois, même pas, je ne connaissais encore personne, Elle ne s'est pas fait un seul ami en un mois? Pourtant, ça va plutôt vite en milieu scolaire, généralement. alors un ostéopathe… jamais entendu parler de ce type de praticien, d’ailleurs. Du kiné, ça j’en avais mangé, mais là ce n’était pas une entorse, juste un trait qui me tirait. C’était pas médical, ça, d’ailleurs, un trait qui tirait. De toute façon, je n’avais pas le temps de penser à moi, de m’écouter un peu, les cours commençaient à donner naissance L'expression "donner naissance" me dérange un peu, dans ce contexte. à pas mal de travail qui occupait bien les heures d’études. Le matin, je me levais à six heures quarante-cinq pour aller petit déjeuner à la cantine un peu avant sept heures. Pour y parvenir et boire un jus d’orange coupé à l’eau, avaler trois bouchées de pains, nous devions descendre les deux étages qui nous séparaient du sol, remonter tout le lycée, sortir par une petite porte puis trotter à vive allure dans une grande monter"montée", jusqu’au centre de restauration : aller-retour nous en avions pour un bon kilomètre. Puis il fallait passer un coup de balai dans la chambre, aller vider les poubelles au bout du couloir, tirer les couvre-lits au dessus des lits faits. Au bout de quelques jours d’internat, nous avions développé une méthode afin de ne pas perdre trop de temps mais d’obtenir un résultat propre : nous tirions les couvertures et draps sans les mettre à leur place réglementaire, mais faisions en sorte que rien ne se voitprésent du subjonctif, donc "que rien ne se voie" une fois le couvre-lit tiré : cela nous accordait trois minutes de sommeil supplémentaires, ce qui n’était pas négligeable. Puis, la sonnerie retentissait à sept heures quarante-cinq et tous les lycéens se pressaient vers le hall, se rangeaient par classe pour l’appel. Souvent, le CPE passait dire un mot, mais sa voix ne portait pas jusqu’à nous et tout le monde se regardait l’air perdu. Le matin, quatre heures de cours se succédaient entrecoupées d’une pause d’un quart d’heure, même valse l’après-midi, mais le temps de pause atteignait seulement dix minutes. Entre ces deux blocs de travail, nous avions une heure pour aller manger, aller déguster la douce nourriture de la cantine. Au début ce fut peut-être la chose la plus dure à supporter, le manque de goût de ce que nous mangions, puis, nous apprîmes à nous débrouiller. Le soir annonçait encore deux études de plus d’une heure, puis, enfin, nous étions libérés à vingt-et une heure vingt, dormions à points fermés juste après vingt-deux heures.
Seul problème, en six jours, cela n’était pas passé. Les cours avaient continué, les devoirs afflué et mon dos me tirait. Le petit trait refaisait toujours vicieusement surface quand j’alignais quelques pas, doucement au début, puis de plus en plus fort. Aller à la cantine était très vite devenu difficile, le repas du matin avait été suppriméLe repas a-t-il été supprimé par l'administration ou bien a-t-elle décidé elle-même de s'en passer, pour soulager son mal de dos? Je pense que c'est la seconde solution, mais ta formulation n'est pas très claire., je faisais donc deux fois le trajet, priant pour qu’un miracle se produise et que le chemin soit moins long. Alors, tout en essayant de suivre les autres je serrais les dents et avançais en espérant que ça s’arrête. Mais, Pas de virgule juste après une conjonction de coordination (mais, où, et, donc, or, ni, car)le jeudi suivant survint vite et je dus me résoudre à aller à l’infirmerie. Cela me faisait un peu peur, c’est sûr, avec tout ce que les autres racontaient sur les médecins. Pour l’instant, et comme tous le monde, je n’y était "étais" allée qu’une fois pour la visite d’entrée : contrôle de la vision, de l’audition, test des urines, entretien avec un médecin, tout ça très rapide et très militairementC'est curieux, de mettre un adjectif suivi d'un adverbe... J'aurais mis deux adjectif ("très rapide et très militaire") ou deux adverbes ("très rapidement et militairement"). Très gênant, également : nous ne nous connaissions pas depuis deux jours qu’il fallait déjà que nous nous retrouvions déshabillées les unes devant les autres. J’y étais donc allée presque à reculons, le cœur un peu serré, d’autant plus que j’aurais dû avoir cours au lieu de me promener dans le centre. Au bureau de vie scolaire, on me donna une petite fiche expliquant que j’avais l’autorisation de voir un médecin, que je venais du Lycée, complétée de mon nom, prénom, classe ainsi que matricule. A "À" mon arrivée là bas, les infirmières me jetèrent un regard, marmonnèrent un bonjour et allèrent piocher le dossier «F569». Une fois les symptômes rapidement décrits et le dossier glissé dans le casier du médecin, le numéro F569 alla patienter en salle d’attente, avec ses grands yeux et sa bouille d’ange un peu perdu J'imagine que le but est d'introduire une description de ton héroïne, dont on ne sait finalement pas grand-chose à ce stade à part qu'elle est lycéenne. L'idée est bonne mais je trouve qu'ici ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe... De plus, je ne connais pas grand-monde qui se décrit soi-même comme ayant "une bouille d'ange" (mais c'est tout à fait personnel). Quelques minutes plus tard, un médecin et sa grande blouse blanche sortirent d’une pièce et se dirigèrent en volant presque vers le bureau des infirmières puis revinrent aussitôt en lisant un nom de famille. Un jeune homme plus vieux que moi se leva, les yeux fiévreux, le suivit en silence comme résigné. Quand ils partirent, je me demandai tout de suite s’ils étaient toujours comme ça une fois la porte du bureau fermée, une fois que leur drapé blanc s’est calmé et que les froufrous du tissu s’étaient tus. Ma gorge se serra un peu et je regardai autour de moi pour me détendre. Les sièges disposés le long du mur, en rang d’oignons, semblaient patienter comme chez n’importe quel médecin. Au milieu était évidemment posée une table basse recouverte des traditionnels magasines de la salle d’attente. Le médecin revint une dizaine de minutes plus tard, et c’est mon nom qu’il lut avant de me jeter un rapide coup d’œil en articulant un bonjour. Son bureau était grand, coincé dans un angle du bâtiment, grand et froid. A l’intérieur il y avait une autre pièce, la salle d’examen, délimitée par des murs qui ne montaient même pas jusqu’au faux plafond gris. Sur le moment, cela me fit un peu penser à deux poupées russes, cette salle emboitée "emboîtée" dans l’autre. Je souris, vaguement, mais en voyant la tête du médecin je ravisai."je me ravisai"
« Qu’est-ce que vous avez ? me demanda-t-elle, les yeux rivés sur mon dossier encore vierge et les sourcils froncés.
- J’ai un trait qui me tire, là, dans le dos, lui répondis-je en essayant vaguement de lui désigner la zone fautive. Quand je marche, ça me fait mal, j’ai fait du sport, j’ai couru.
- Depuis quand ?
- Je me suis fait mal la semaine dernière, le prof a dit que ça allait passer et ça n’est pas passé. »
Elle grogna un peu et rapidement dit : « Je vous laisse passer à côté et vous déshabiller. »
J’ai toujours trouvé ça étrange, cette expression, « Je vous laisse faire ». Même si elle se cache derrière une prétendue liberté, car elle nous laisse faire quelque chose, c’est un ordre bien réel et appuyé. Donc, je « passais "passai" (passé simple, pas imparfait. Il s'agit d'une action ponctuelle et rapide.) à côté » pour me déshabiller, me mettre en sous-vêtements. Le sol était froid une fois mes chaussures enlevées, la peau de mon ventre frissonna au contact de l’air glacé. Et, presque nue face à la table d’examen, j’attendais l'imparfait ici me dérange, le passé simple aurait été plus adapté ("j'attendis") que le médecin termine avec ses dossiers, que je puisse, enfin, remettre l’uniforme. Quand elle est arriva, son regard me parcouru en vitesse et je vis presque dans ses yeux l’estimation de mon poids, de ma taille, de ce que j’avais et ce que je n’avais pas. Elle me fit monter sur la table, vérifia mes réflexes, ma souplesse, celle de mon dos, appuya sur quelques points puis retourna à ses dossiers en me disant de me rhabiller. C’était fini. C’est ce jour là que j’ai pour la première fois entendu parler de contractures, le jour où je repartis de l’infirmerie avec une dispense de sport de d’une semaine, du doliprane et un décontractant musculaire.
J'ai bien aimé ton texte, même si il me laisse au final un peu perplexe... À sa lecture, je ressens comme une impression d'attente, de passivité de la part de ton héroïne. Elle n'a pas d'amis, n'exprime pas grand-chose à part sa douleur au dos. On a assez peu de descriptions, à part deux ou trois faits éphémères (la blouse du médecin qui vole, le soleil qui se cache derrière les nuages...), ce qui rend finalement le récit très neutre et concourt à cette impression d'attente : pour le moment, l'héroïne ne s'investit pas et nous non plus. Pourtant on veut en savoir plus : on se doute bien que si on nous raconte tout ça, c'est pour nous emmener quelque part... Mais où?
C'est quelque chose qui ne me dérange pas mais qui pourra gêner certains lecteurs qui auront du mal à comprendre ce que tu veux leur dire et qui risquent de décrocher.
À part ça, il y a quelques fautes de grammaire ou de conjugaison, mais ça reste très anecdotique. Comme pour le prologue, c'est un texte "à virgules" mais tu sais ce que j'en pense! ^^
Finalement, je ne suis pas "accro" mais je suis intriguée, j'aimerais lire la suite!
Re: Douleur [commentaires]
J'ai posté la suite si jamais tu veux regarder, sinon je reprend ton commentaire point par point ce soir.
Merci beaucoup !
Edit : j'ai enregistré le brouillon de ma réponse, là je suis crevée. Bonne nuit !
Merci beaucoup !
Edit : j'ai enregistré le brouillon de ma réponse, là je suis crevée. Bonne nuit !
Re: Douleur [commentaires]
Bonjour !
J'ai lu le prologue et les deux premiers extraits.
D'ailleurs tu as bien fait de les présenter ainsi ; ça motive la lecture sur écran.
Je commence toujours par un relevé de toutes les petites imperfections relevées au cours de ma lecture - mais je n'ai pas pris la peine de détailler le prologue des autres extraits.
En premier lieu, ma critique vient sur la présentation globale du texte : aère-le !
Ce n'est pas qu'une question de facilité de lecture, mais aussi une meilleure disposition des idées. Chaque situation doit être détachée d'une autre pour être plus compréhensible et mieux retenue par ton public. La segmentation en paragraphes se révèle souvent salutaire dans la diffusion d'un message, qu'il soit dans une idée ou simplement dans une contextualisation descriptive. Le risque du bout-à-bout des phrases est la confusion et la perte de données moins significatives au profit des données essentielles. Or, si les données essentielles sont là pour comprendre de façon globale ton récit, les données moins significatives entraînent l'identification et la complicité, voire la démarcation.
Pour que toutes les données soient comprises par le lecteur, il faut les exposer dans le texte. Cette exposition passe par l'aération en paragraphes.
L'autre critique intervient sur l'absence parfois cruelle de précision qui nous fait douter de l'identification du récit.
La précision est ce qui donne une identité et une crédibilité à ton texte. C'est aussi ce qui le contextualise vis-à-vis des situations similaires : ce n'est pas l'histoire de Jeanine ni de Jean-Paul mais celle de Zahra.
Je prends quelques exemples sous la main :
Des dizaines d'interprétations peuvent découler d'un adverbe générique. La langue française est suffisamment riche pour être exploitée dans son ensemble : utilise-la .
La portée d'un texte doit pouvoir traverser les époques. Or, parler des "traditionnels magasines de la salle d'attente" sera-t-il toujours aussi vrai dans 50 ans ? Ou est-ce qu'on trouve le même type de magasines au Canada ou chez les ressortissants français en Chine ?
L'objectif alors est encore une fois de préciser ton texte, pour prouver que ton histoire tient toute seule d'elle-même. Par exemple, tu peux présenter cette même description de la façon suivante :
PS : j'ai jugé le "évidemment" assez peu utile à la narration.
Pour conclure sur la forme en elle-même, je dirais que le récit est bien mené dans son ensemble, mais qu'il manque de cette petite chose : l'identification. Que ce soient par l'utilisation de termes génériques (tu aimes beaucoup le verbe parcourir et pouvoir par exemple), des précisions encore trop timides ou la présentation condensée du roman.
Pour ma part, ce serait sur ça que je commencerais à travailler.
Pour le fond, la douleur de la jeune héroïne intrigue.
Mais tout comme Nochelove, je trouve qu'elle est très passive dans le déroulement de son histoire : elle préfère nous confier sa lecture d'un magasine militaire que son impression réelle du traitement qu'elle subit. Et tout comme Nochelove, je suis assez surpris du peu d’interactions qu'elle a avec ses camarades de pension.
D'ailleurs, cette pension me fait un peu frissonner : moi-même ancien pensionnaire pendant mes trois années de lycée... j'en garde d'assez bons souvenirs. A quelle époque se joue cette fiction ? (ça peut jouer ça)
Du moins, l'impression que je ressens en lisant sa vie est assez maussade, voire un peu déprimante, et ne reflète pas tout à fait ce que j'ai vécu. Mais si c'est ton intention, c'est plutôt réussi.
Je voulais aussi marquer une petite note sur la cohérence des descriptions. Pour en revenir aux magasines, à sa première visite tu écris :
L'autre détail qui m'a fait sourciller est celui-ci dans le troisième extrait :
Enfin, pour terminer, j'ai envie de donner mes perspectives d'évolution de l'histoire. En fait, j'imagine la jeune fille comme quelqu'un d'assez peu sociable, acharnée du boulot et peut-être étrangère à la France, sous fond de discrimination sociale, vu comment le médecin semble si peu s'intéresser à elle.
Mais à dire vrai, je ne sais pas encore si cette douleur est un élément dominant du futur roman, ou si ce n'est qu'un prétexte pour amener cette réflexion sur sa condition sociale.
Affaire à suivre.
Dans l'attente de prochaines publications, bonnes corrections. Et je reste ouvert à toute contestation ou discussions sur un point précis .
J'ai lu le prologue et les deux premiers extraits.
D'ailleurs tu as bien fait de les présenter ainsi ; ça motive la lecture sur écran.
Je commence toujours par un relevé de toutes les petites imperfections relevées au cours de ma lecture - mais je n'ai pas pris la peine de détailler le prologue des autres extraits.
- Spoiler:
=> un peu maladroitun grand trait de couteau,
=> poings plutôt non ?dormions à points fermés
=> affluaientles devoirs afflué
=> accent sur le "À"A l’intérieur il y avait une autre pièce,
=> parcourutson regard me parcouru en vitesse
=> mot "de" en tropavec une dispense de sport de d’une semaine
=> en théorie, dans le bon respect de la typographie, un nom de marque comporte une majusculedu doliprane
=> je n'eusJe n’eu pas eu le temps de m’attarder sur ce sujet
=> se retrouverpeut-être était-ce que se retrouvée enfermée dans un bureau à la pointe de l’Hexagone
=> changéLe médecin n’avait pas changée,
=> au fondson sourire enfoui au fon d’elle
=> je puset je pu me rhabiller
=> n'est-ce pas plutôt de l'iXprim ? ^^Je vous ai passée sous iXprime, maintenant
En premier lieu, ma critique vient sur la présentation globale du texte : aère-le !
Ce n'est pas qu'une question de facilité de lecture, mais aussi une meilleure disposition des idées. Chaque situation doit être détachée d'une autre pour être plus compréhensible et mieux retenue par ton public. La segmentation en paragraphes se révèle souvent salutaire dans la diffusion d'un message, qu'il soit dans une idée ou simplement dans une contextualisation descriptive. Le risque du bout-à-bout des phrases est la confusion et la perte de données moins significatives au profit des données essentielles. Or, si les données essentielles sont là pour comprendre de façon globale ton récit, les données moins significatives entraînent l'identification et la complicité, voire la démarcation.
Pour que toutes les données soient comprises par le lecteur, il faut les exposer dans le texte. Cette exposition passe par l'aération en paragraphes.
L'autre critique intervient sur l'absence parfois cruelle de précision qui nous fait douter de l'identification du récit.
La précision est ce qui donne une identité et une crédibilité à ton texte. C'est aussi ce qui le contextualise vis-à-vis des situations similaires : ce n'est pas l'histoire de Jeanine ni de Jean-Paul mais celle de Zahra.
Je prends quelques exemples sous la main :
Qu'est-ce que sourire "vaguement" ? Sourire en faisant des vagues ? Sourire sans sourire ? Sourire un peu mais pas trop ? Sourire que du côté droit et pas du côté gauche ? L'inverse ? Sourire dans l'abstrait ?Je souris, vaguement
Des dizaines d'interprétations peuvent découler d'un adverbe générique. La langue française est suffisamment riche pour être exploitée dans son ensemble : utilise-la .
Cet exemple peut s'appuyer sur un même raisonnement.Au milieu était évidemment posée une table basse recouverte des traditionnels magasines de la salle d’attente.
La portée d'un texte doit pouvoir traverser les époques. Or, parler des "traditionnels magasines de la salle d'attente" sera-t-il toujours aussi vrai dans 50 ans ? Ou est-ce qu'on trouve le même type de magasines au Canada ou chez les ressortissants français en Chine ?
L'objectif alors est encore une fois de préciser ton texte, pour prouver que ton histoire tient toute seule d'elle-même. Par exemple, tu peux présenter cette même description de la façon suivante :
Je laisse la suggestion en suspend pour le moment.Au milieu était posée une table basse recouverte des magazines Paris Match, Gala et Public, traditionnels supports people d'une salle d’attente.
PS : j'ai jugé le "évidemment" assez peu utile à la narration.
Pour conclure sur la forme en elle-même, je dirais que le récit est bien mené dans son ensemble, mais qu'il manque de cette petite chose : l'identification. Que ce soient par l'utilisation de termes génériques (tu aimes beaucoup le verbe parcourir et pouvoir par exemple), des précisions encore trop timides ou la présentation condensée du roman.
Pour ma part, ce serait sur ça que je commencerais à travailler.
Pour le fond, la douleur de la jeune héroïne intrigue.
Mais tout comme Nochelove, je trouve qu'elle est très passive dans le déroulement de son histoire : elle préfère nous confier sa lecture d'un magasine militaire que son impression réelle du traitement qu'elle subit. Et tout comme Nochelove, je suis assez surpris du peu d’interactions qu'elle a avec ses camarades de pension.
D'ailleurs, cette pension me fait un peu frissonner : moi-même ancien pensionnaire pendant mes trois années de lycée... j'en garde d'assez bons souvenirs. A quelle époque se joue cette fiction ? (ça peut jouer ça)
Du moins, l'impression que je ressens en lisant sa vie est assez maussade, voire un peu déprimante, et ne reflète pas tout à fait ce que j'ai vécu. Mais si c'est ton intention, c'est plutôt réussi.
Je voulais aussi marquer une petite note sur la cohérence des descriptions. Pour en revenir aux magasines, à sa première visite tu écris :
Puis à sa seconde visite :Au milieu était évidemment posée une table basse recouverte des traditionnels magasines de la salle d’attente.
Du coup, cette seconde information paraît moins "évidente" que la première description, et surtout moins "traditionnel". Même dans les salles d'attente de campagne ou de quartiers huppés, on retrouve des magasines très people.Sur la table basse étaient éparpillés les mêmes journaux, militaires et chrétiens, pas le genre de ceux qu’on voyait dans les salles d’attente des généralistes de banlieues
L'autre détail qui m'a fait sourciller est celui-ci dans le troisième extrait :
Pourtant, la semaine dernière (c'est-à-dire dans le second extrait), tu n'as fait nulle mention du froid ressenti dans ses pieds. Créer des liens logiques et des rappels entre les situations est une formidable idée pour donner de la profondeur, de l'identité et de la contextualisation à ton récit. Mais il faut veiller à ce que ces liens logiques correspondent vraiment entre eux .Contrairement à la semaine dernière, je gardai mes chaussettes pour avoir moins froid,
Enfin, pour terminer, j'ai envie de donner mes perspectives d'évolution de l'histoire. En fait, j'imagine la jeune fille comme quelqu'un d'assez peu sociable, acharnée du boulot et peut-être étrangère à la France, sous fond de discrimination sociale, vu comment le médecin semble si peu s'intéresser à elle.
Mais à dire vrai, je ne sais pas encore si cette douleur est un élément dominant du futur roman, ou si ce n'est qu'un prétexte pour amener cette réflexion sur sa condition sociale.
Affaire à suivre.
Dans l'attente de prochaines publications, bonnes corrections. Et je reste ouvert à toute contestation ou discussions sur un point précis .
Re: Douleur [commentaires]
Coucou Zahra
Je te donnerai ma bêta-lecture courant la semaine prochaine
Je te donnerai ma bêta-lecture courant la semaine prochaine
nayladream- Talent Expérimenté
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Re: Douleur [commentaires]
Merci ! J'ai déjà du boulot, ne t'inquiètes pas, je suis en plein retravail suite aux commentaires que j'ai reçu.nayladream a écrit:Coucou Zahra
Je te donnerai ma bêta-lecture courant la semaine prochaine
Re: Douleur [commentaires]
Nochelove a écrit:On nous apprend à l'école que "ça" est inélégant, qu'il vaut mieux éviter de l'utiliser et le remplacer par "cela"... Ce n'est pas tout à fait vrai: il y a beaucoup d'auteurs classiques qui utilisent énormément "ça" et parfois, "cela" sonne un peu curieusement. C'est un peu le cas ici, il me semble. Je mettrais "ça" ou bien "la douleur".passe.Zahra a écrit: J’attendis que cela
J'ai essayé, relu plusieurs fois, remplacé puis remis à nouveau. Pour moi, ça ne passe pas.
Non, dans le sens elle ne connaît aucun médecin, ses connaissances se limitent au Lycée. M'en vais préciser ça.Nochelove a écrit:Elle ne s'est pas fait un seul ami en un mois? Pourtant, ça va plutôt vite en milieu scolaire, généralement.Zahra a écrit:Qui voulait-il que j’aille voir ? Je n’étais là que depuis un mois, même pas, je ne connaissais encore personne,
Zahra a écrit:les cours commençaient à donner naissance L'expression "donner naissance" me dérange un peu, dans ce contexte. à pas mal de travail qui occupait bien les heures d’études.
Ah, je note, c'est mis en italique dans le fichier.
Voui, tu penses bien, je vais modifier.Zahra a écrit:Aller à la cantine était très vite devenu difficile, le repas du matin avait été suppriméNochelove a écrit:Le repas a-t-il été supprimé par l'administration ou bien a-t-elle décidé elle-même de s'en passer, pour soulager son mal de dos? Je pense que c'est la seconde solution, mais ta formulation n'est pas très claire.
Oui, pas faux. Toute façon je pense que tout ce passage va passer à la casserole.Nochelove a écrit:la visite d’entrée : contrôle de la vision, de l’audition, test des urines, entretien avec un médecin, tout ça très rapide et très militairementC'est curieux, de mettre un adjectif suivi d'un adverbe... J'aurais mis deux adjectif ("très rapide et très militaire") ou deux adverbes ("très rapidement et militairement")
Ça, j'y tiens. Je verrai s'il y a d'autres commentaires sur ce point mais je ne tiens pas à le changer.Nochelove a écrit:le numéro F569 alla patienter en salle d’attente, avec ses grands yeux et sa bouille d’ange un peu perdu J'imagine que le but est d'introduire une description de ton héroïne, dont on ne sait finalement pas grand-chose à ce stade à part qu'elle est lycéenne. L'idée est bonne mais je trouve qu'ici ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe... De plus, je ne connais pas grand-monde qui se décrit soi-même comme ayant "une bouille d'ange" (mais c'est tout à fait personnel).
Merci pour ton commentaire, je vais retravailler tout ça !
Re: Douleur [commentaires]
Bon bin alors, je suppose que t'a besoin de commentaire
nayladream- Talent Expérimenté
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Re: Douleur [commentaires]
Au fait, comment s'est passée l'intégration des commentaires que je t'avais faits le 23 avril ? (date du mariage pour tous )
Il serait intéressant de voir tes retours, même si ce n'est que par la réactualisation de ton fil de textes. Comprendre aussi ce qui t'a aidée ou au contraire un peu perturbée dans les diverses analyses reçues.
Par exemple, je pensais à ce souci de l'aération du texte, pour donner de la "vitalité" au récit. Et éviter la confusion du lecteur...
Bref, quand tu seras toute bronzée et reposée, fais nous un petit signe des évolutions !
Il serait intéressant de voir tes retours, même si ce n'est que par la réactualisation de ton fil de textes. Comprendre aussi ce qui t'a aidée ou au contraire un peu perturbée dans les diverses analyses reçues.
Par exemple, je pensais à ce souci de l'aération du texte, pour donner de la "vitalité" au récit. Et éviter la confusion du lecteur...
Bref, quand tu seras toute bronzée et reposée, fais nous un petit signe des évolutions !
Re: Douleur [commentaires]
Coucou Pacô, coucou tout le monde, voici un signe o/
J'ai bien intégré vos commentaires à mon texte, qui est en gros travaux. Je ne posterai plus que des extraits ici, pour avoir votre avis sur l'extrait en lui même. Pas l'histoire, car elle est toute simple et je la connais bien.
Désolée pour mon absence sans donner de nouvelles, j'ai eu des problèmes de santé pas cools.
Voilà, à bientôt et merci pour l'attention que vous avec accordé à mon travail, et que, j'espère, vous lui accorderez encore.
Zahra
J'ai bien intégré vos commentaires à mon texte, qui est en gros travaux. Je ne posterai plus que des extraits ici, pour avoir votre avis sur l'extrait en lui même. Pas l'histoire, car elle est toute simple et je la connais bien.
Désolée pour mon absence sans donner de nouvelles, j'ai eu des problèmes de santé pas cools.
Voilà, à bientôt et merci pour l'attention que vous avec accordé à mon travail, et que, j'espère, vous lui accorderez encore.
Zahra
Re: Douleur [commentaires]
J'espère que tes problèmes de santé sont à présent de mauvais souvenir et que tu vas pouvoir passer à autre chose
Et bien je t'ai préparé une petite bêta de ton extrait. j'espère avoir pu t'aider
Général :
Et bien je t'ai préparé une petite bêta de ton extrait. j'espère avoir pu t'aider
- ton extrait:
Extrait 1 - Un morceau de violon
« Vas-y, le vent,(outre le fait que les virgules cassent le rythme et la fluidité de ta phrase, il me semble que nommer « le vent » enlève du naturel à ce dialogue « intérieur » puisque sans répondant, cela fait un peu théâtrale et enlève de la force aux propos tenus) hurle tout ce que tu peux, tout ce que tu veux, personne (négation, ne) t’écoute (ici c’est un peu trouble, même si tu n’as pas envie d’écouter le vent, et ben ta pas forcément le choix) . Pourquoi est-ce que tu fais tout ce bruit ? Non, ne me (le) dis pas, de toute façon, je m’en fous. En fait, ça m’est parfaitement égal, ça ne m’affecte pas. » J’essayais de ne pas accorder d’attention au vacarme extérieur (le terme est trop fort, à moins de parler de volet qui claque, de tôle qui bouge, pour moi vacarme s’affilie à des bruits violents, pas aux plaintes du vent) , , aux sifflements plaintifs qui s’insinuaient partout dans l’internat. (pense à aérer ton texte, il a besoin de respirer)
Il fallait que je joue, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas arraché quelques notes à mon violon. « Vas-y, époumone-toi, un jour t’auras plus de souffle et tu te calmeras. (je ne sais si tu parles de l’accalmie qui suit un jour venteux ou de quelque chose de définitif ?) » marmonnai-je intérieurement à destination du vent. (est-ce important de le souligner ? Tu t’adressais déjà à lui et je t’ai suivi dans cette direction) Je retournai dans la chambre, montai sur mon lit pour attraper la boîte de mon violon puis revins pour le poser sur le bureau. Il fallait que je joue,(répétition) même le vent me hurlait de le faire. « Ta gueule ! Ça va, hein ! Je joue si je veux, maintenant tu la fermes ! (fermes-la) » J’étais énervée, à bout de nerfs et ce cri m’avait échappé. (en fait elle n’a cessé de lui parler et se sans ménagement, si tu veux entrer la notion du haussement de la voix, alors c’est mal amené)
Les hurlements se turent, j’ouvris l’étui et me fâchai encore plus en caressant les cordes. Il s’était complètement désaccordé, trois clés avaient lâché et les fils de fer (pour moi, fil de fer ne correspond pas à une corde d’un instrument) pendouillaient misérablement, comme si ce n’était pas de leur faute, (je n’ai pas compris ce que tu as voulu dire) qu'ils se disaient innocents. Retenant une injure, j’allumai mon accordeur et attrapai mon violon : il allait voir qui commandait. (qui ? Le violon ?) L’instrument de bois calé sur mon genou gauche, le bras’ gauche (répétition) l enlaçant, je commençai à tourner la clé de la corde de mi. Le son se faisait de plus en plus aigu, la corde se tendait de plus en plus, (répétition) tout comme mon corps qui appréhendait une possible rupture. (je connais cette sensation…) Puis j’atteignis le son parfait, un mi pur et cristallin qui m’arracha un sourire de satisfaction.
C’est là que je fis l’erreur de lâcher la cheville, la croyant solidement tenue. Elle tourna rapidement et détendit la corde : tout était à refaire. Le violon faillit m’échapper, je me retins de le balancer sur le carrelage pour passer ma colère. (J’ai du mal à comprendre, en fait, elle aime son instrument, elle en caresse les cordes, elle ressent se besoin de jouer, or, ce nouveau comportement implique une haine et ferait de l’envie de jouer une obligation) Qu’est-ce qu’il foutait à pas vouloir se régler ? J’étais déjà suffisamment à cran comme ça, il n’avait pas besoin d’en rajouter une couche ! Ma main entoura le bois creux (en fait je ne connais rien du violon, moi c’était plutôt guitare, donc, lorsque je lis bois creux, cela n’éveille aucune partie de l’instrument pour moi) de l’instrument et mes doigts se refermèrent : il me semblait avoir une flamme rouge au creux de la paume, une flammèche fragile, capricieuse. (je ne comprends pas ce que tu as voulu dire) J’aurais pu l’éteindre, fendre le bois, le fissurer ou le réduire en charpie. J’aurais pu jeter ce bout de bois vernis par la fenêtre, ne plus jamais en entendre parler, m’en débarrasser une bonne fois pour toute. Mais j’y tenais, même si je m’énervais parce qu’il ne répondait pas immédiatement à toutes mes attentes, je l’aimais et il était impossible de m’en séparer.
Une nouvelle fois, j’allais essayer de l’accorder. Bien sûr, (pourquoi bien sûr ?) j’hésitai à aller chercher une craie dans les salles de classe pour rendre les clés en bois moins glissantes, mais (le mais n’apporte aucune contradiction, même suggérée) je n’étais pas habillée, il m’aurait fallu descendre deux étages et tout était sûrement fermé. Je calai mon violon face à moi, comme pour avoir une discussion avec lui. Après avoir longuement et fermement inspiré, j’empoignai la clé de la corde de mi. Celle qui posait le plus problème. Tout en pinçant la corde pour jauger le son, je la tendais en tournant sa clé. À chaque craquement j’avais un mouvement de recul instinctif, me rappelant ces nombreuses fois où le fil métallique avait cassé sans crier gare, me giflant le visage.
J’avais atteint la bonne note. Le mi sonnait encore et encore à mes oreilles, cristallin, provoquant. Il me narguait, semblait me dire que je n'arriverais jamais à le maintenir. Alors je repoussai la clé dans la chevillère (chevillier) de toutes mes forces, je crus même fendre le bois. Puis, je lâchai en fermant les yeux et en serrant les dents, espérant de tout mon cœur que le bois se laisserait faire. Aucun bruit. Mes paupières se soulevèrent et je décidai de relâcher la pression que ma main exerçait toujours.
Rien ne bougea. Je ne voulais pas me réjouir trop vite, tout pouvait encore changer, il suffisait d’un frottement d’archet pour que le mécanisme saute à nouveau. Mais il n’avait pas intérêt.
.
- général:
Alors d’une façon générale je ne comprends pas très bien ce oscillement incessant entre amour et haine au sujet de l’instrument. Le personnage est plein de colère et de violence et dans ce court extrait, on ne la comprend pas puisqu’on en ignore la raison.
Il faut aérer le texte.
Des répétitions évitables et même voulues si tel est le cas, elles n’apportent rien au texte.
Kwelly- Talent Confirmé
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Re: Douleur [commentaires]
Depuis l'an passé, de l'eau a un peu coulé sous les ponts. Soit !
J'espère d'ailleurs que tes problèmes de santé se sont améliorés et que tu une Zahra toute guérie.
Mais qu'en est-il de l'intégration de ces commentaires ?
Je n'ai pas lu les nouvelles moutures, et je m'en excuse sincèrement.
Cependant, comment a évolué ton écriture depuis ? Quels seraient les problèmes que tu rencontres sur ce roman et si oui, comment pourrait-on t'aider ?
Dans l'espoir de te retrouver parmi nous, bonne soirée .
J'espère d'ailleurs que tes problèmes de santé se sont améliorés et que tu une Zahra toute guérie.
Mais qu'en est-il de l'intégration de ces commentaires ?
Je n'ai pas lu les nouvelles moutures, et je m'en excuse sincèrement.
Cependant, comment a évolué ton écriture depuis ? Quels seraient les problèmes que tu rencontres sur ce roman et si oui, comment pourrait-on t'aider ?
Dans l'espoir de te retrouver parmi nous, bonne soirée .
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