L'histoire sans fin...

L'admin le plus fabuleux du monde écrivait sur son ordinateur lorsqu'un bruit étrange vint lui frémir aux oreilles : tu n'es pas le plus fabuleux des admins car il y a peut être meilleur que twa ailleurs, néanmoins, l'histoire ne parle pas d'autres fabuleux admins, mais bien d'un bruit qui le surprit derrière une porte pendant que son chat entraît, il s'était inquiété pour rien. Il se retourna alors comme un gros geek devant son écran, et le chat retroussa ses babines pleines de bave afin de lui montrer des crocs aussi luisant que son front l'était de sueur et il le regarda avec gourmandise. C'était le plus gros Wiskas qu'il avait jamais vu !
Le chat mis alors son museau dedans pour l'essuyer sur la jambe de l'admin qui, tellement énervé par sa fausse peur et par le liquide gluant qui coulait le long de sa jambe, lui explosa alors son clavier sans fil sur le crâne.
Le chat sortit ses griffes et s'accrocha à la souris qui pendait juste à côté du bras du plus fabuleux des admins afin de jouer avec, car il est de notoriété publique que les chats aiment les souris. Cependant, la souris s'anima, faisant bondir le chat de trois mètres. Ses yeux s'agrandirent lorsque le câble de la souris décida qu'il n'avait qu'un seul chat à fouetter : lui.
Durant ce temps le clavier, profitant du peu d'attention qu'on lui accordait, entreprit de taper sa lettre de démission, parce que, ça commençait à bien faire, non mais sans blague. C'est alors que l'admin attrapa sa solide pantoufle et fouetta durement, en tyran digne de ce nom, la souris qui avait permis, durant le laps de temps qu'elle s'était octroyée pour effrayer le chat, au clavier de se défiler. Mais alors l'écran choisit cet instant pour se mettre sur la trajectoire de la pantouffle que l'admin avait fini par lancer ce qui provoqua la chute d'une potiche sans valeur qu'il tenait de sa redoutable grand-mère. Celle-là même qui revenait la veille d'un intrépide voyage au centre de l'amazonie dans le but de trouver une statue maya à accrocher au dessus de sa cheminée, en dessous de son trophée de chasse favori -une vache avec ses cornes-et qui décida de rendre visite à son petit-fils le jour-même. Alors
que ce dernier s'acharnait contre la misérable souris informatique qui couinait à fendre l'âme, la sonnette de la porte d'entrée retentit dans son logis. Il suspendit donc son geste et, tandis que la souris en profitait pour aller se réfugier derrière l'écran, il accourut ouvrir et découvrit la fameuse petite vieille, aussi ridée et maigrelette que d'habitude. Celle-ci lui demanda alors s'il n'avait du pain à lui donner, la boulangerie étant fermée à cette heure là. Il lui sourit puis secoua tranquillement son clavier d'où tombèrent trois morceaux de pain blanc sec qu'il ramassa rapidement et tendit à sa grand-mère qui ne lui demanda pas pourquoi il cachait des morceaux de pain dans son clavier puisque elle même dissimulait des yaourts dans sa malette de pocker. En même temps, il était difficile de déterminer si le plus étrange était qu'elle en possède une ou qu'elle y cache des yaourts. Mais elle tenait cette malette de...

L'admin le plus fabuleux du monde écrivait sur son ordinateur lorsqu'un bruit étrange vint lui frémir aux oreilles : tu n'es pas le plus fabuleux des admins car il y a peut être meilleur que twa ailleurs, néanmoins, l'histoire ne parle pas d'autres fabuleux admins, mais bien d'un bruit qui le surprit derrière une porte pendant que son chat entraît, il s'était inquiété pour rien. Il se retourna alors comme un gros geek devant son écran, et le chat retroussa ses babines pleines de bave afin de lui montrer des crocs aussi luisant que son front l'était de sueur et il le regarda avec gourmandise. C'était le plus gros Wiskas qu'il avait jamais vu !
Le chat mis alors son museau dedans pour l'essuyer sur la jambe de l'admin qui, tellement énervé par sa fausse peur et par le liquide gluant qui coulait le long de sa jambe, lui explosa alors son clavier sans fil sur le crâne.
Le chat sortit ses griffes et s'accrocha à la souris qui pendait juste à côté du bras du plus fabuleux des admins afin de jouer avec, car il est de notoriété publique que les chats aiment les souris. Cependant, la souris s'anima, faisant bondir le chat de trois mètres. Ses yeux s'agrandirent lorsque le câble de la souris décida qu'il n'avait qu'un seul chat à fouetter : lui.
Durant ce temps le clavier, profitant du peu d'attention qu'on lui accordait, entreprit de taper sa lettre de démission, parce que, ça commençait à bien faire, non mais sans blague. C'est alors que l'admin attrapa sa solide pantoufle et fouetta durement, en tyran digne de ce nom, la souris qui avait permis, durant le laps de temps qu'elle s'était octroyée pour effrayer le chat, au clavier de se défiler. Mais alors l'écran choisit cet instant pour se mettre sur la trajectoire de la pantouffle que l'admin avait fini par lancer ce qui provoqua la chute d'une potiche sans valeur qu'il tenait de sa redoutable grand-mère. Celle-là même qui revenait la veille d'un intrépide voyage au centre de l'amazonie dans le but de trouver une statue maya à accrocher au dessus de sa cheminée, en dessous de son trophée de chasse favori -une vache avec ses cornes-et qui décida de rendre visite à son petit-fils le jour-même. Alors
que ce dernier s'acharnait contre la misérable souris informatique qui couinait à fendre l'âme, la sonnette de la porte d'entrée retentit dans son logis. Il suspendit donc son geste et, tandis que la souris en profitait pour aller se réfugier derrière l'écran, il accourut ouvrir et découvrit la fameuse petite vieille, aussi ridée et maigrelette que d'habitude. Celle-ci lui demanda alors s'il n'avait du pain à lui donner, la boulangerie étant fermée à cette heure là. Il lui sourit puis secoua tranquillement son clavier d'où tombèrent trois morceaux de pain blanc sec qu'il ramassa rapidement et tendit à sa grand-mère qui ne lui demanda pas pourquoi il cachait des morceaux de pain dans son clavier puisque elle même dissimulait des yaourts dans sa malette de pocker. En même temps, il était difficile de déterminer si le plus étrange était qu'elle en possède une ou qu'elle y cache des yaourts. Mais elle tenait cette malette de son oncle, décédé prématurément après avoir trop longtemps joué à l'équilibriste les soirs de pleine lune. La grand mère se saisit rapidement des morceaux de pain blanc que lui tendait son petit fils et se dirigea d'un pas assuré vers...

le frigo pour faire une réserve de yaourt bien frais. C'est alors que le chat qui c'était attaquer à la souris précédemment, prit la grand mère à parti. Il bondit toute griffe dehors en direction du visage de la petite vielle. Cette dernière aussi rapide que l'éclaire, fourra sa main dans son cabas pour en ressortir...

Cette dernière aussi rapide que l'éclair, fourra sa main dans son cabas pour en ressortir une brique qui s'anima, se dotant de dents très pointus, et sauta au sol en poussant des "gnark gnark" en direction du félidé. Puis...

L'admin le plus fabuleux du monde écrivait sur son ordinateur lorsqu'un bruit étrange vint lui frémir aux oreilles : tu n'es pas le plus fabuleux des admins car il y a peut être meilleur que twa ailleurs, néanmoins, l'histoire ne parle pas d'autres fabuleux admins, mais bien d'un bruit qui le surprit derrière une porte pendant que son chat entraît, il s'était inquiété pour rien. Il se retourna alors comme un gros geek devant son écran, et le chat retroussa ses babines pleines de bave afin de lui montrer des crocs aussi luisant que son front l'était de sueur et il le regarda avec gourmandise. C'était le plus gros Wiskas qu'il avait jamais vu !
Le chat mis alors son museau dedans pour l'essuyer sur la jambe de l'admin qui, tellement énervé par sa fausse peur et par le liquide gluant qui coulait le long de sa jambe, lui explosa alors son clavier sans fil sur le crâne.
Le chat sortit ses griffes et s'accrocha à la souris qui pendait juste à côté du bras du plus fabuleux des admins afin de jouer avec, car il est de notoriété publique que les chats aiment les souris. Cependant, la souris s'anima, faisant bondir le chat de trois mètres. Ses yeux s'agrandirent lorsque le câble de la souris décida qu'il n'avait qu'un seul chat à fouetter : lui.
Durant ce temps le clavier, profitant du peu d'attention qu'on lui accordait, entreprit de taper sa lettre de démission, parce que, ça commençait à bien faire, non mais sans blague. C'est alors que l'admin attrapa sa solide pantoufle et fouetta durement, en tyran digne de ce nom, la souris qui avait permis, durant le laps de temps qu'elle s'était octroyée pour effrayer le chat, au clavier de se défiler. Mais alors l'écran choisit cet instant pour se mettre sur la trajectoire de la pantouffle que l'admin avait fini par lancer ce qui provoqua la chute d'une potiche sans valeur qu'il tenait de sa redoutable grand-mère. Celle-là même qui revenait la veille d'un intrépide voyage au centre de l'amazonie dans le but de trouver une statue maya à accrocher au dessus de sa cheminée, en dessous de son trophée de chasse favori -une vache avec ses cornes-et qui décida de rendre visite à son petit-fils le jour-même. Alors
que ce dernier s'acharnait contre la misérable souris informatique qui couinait à fendre l'âme, la sonnette de la porte d'entrée retentit dans son logis. Il suspendit donc son geste et, tandis que la souris en profitait pour aller se réfugier derrière l'écran, il accourut ouvrir et découvrit la fameuse petite vieille, aussi ridée et maigrelette que d'habitude. Celle-ci lui demanda alors s'il n'avait du pain à lui donner, la boulangerie étant fermée à cette heure là. Il lui sourit puis secoua tranquillement son clavier d'où tombèrent trois morceaux de pain blanc sec qu'il ramassa rapidement et tendit à sa grand-mère qui ne lui demanda pas pourquoi il cachait des morceaux de pain dans son clavier puisque elle même dissimulait des yaourts dans sa malette de pocker. En même temps, il était difficile de déterminer si le plus étrange était qu'elle en possède une ou qu'elle y cache des yaourts. Mais elle tenait cette malette de son oncle, décédé prématurément après avoir trop longtemps joué à l'équilibriste les soirs de pleine lune. La grand mère se saisit rapidement des morceaux de pain blanc que lui tendait son petit fils et se dirigea d'un pas assuré vers le frigo pour faire une réserve de yaourt bien frais. C'est alors que le chat qui c'était attaquer à la souris précédemment, prit la grand mère à parti. Il bondit toute griffe dehors en direction du visage de la petite vielle. Cette dernière aussi rapide que l'éclaire, fourra sa main dans son cabas pour en ressortir une brique qui s'anima, se dotant de dents très pointus, et sauta au sol en poussant des "gnark gnark" en direction du félidé. Puis le chat, qui avait hérité du don de mère grand, issu d'une lointaine lignée alliant feu le grand père lors d'une reproduction avec un félin à neuf lunes, bondit et tendit à la brique un coup de patte qui aurait en aurait mis chaos plus d'un. Toutefois...

toutefois la brique ne fut pas mise chaos. Elle se releva de sa chute et ouvrit grand sa bouche doter de deux longues rangés de dents aiguisées comme des lame de rasoir. Elle fit face au matou récalcitrant et le croqua d'une seule bouchée...

Elle fit face au matou récalcitrant et le croqua d'une seule bouchée mais alors la souris rappliqua, accompagnée d'un tire-bouchon ailé, qui entreprit de creuser dans la brique affolée afin de récupérer le chat. Et là...

L'admin le plus fabuleux du monde écrivait sur son ordinateur lorsqu'un bruit étrange vint lui frémir aux oreilles : tu n'es pas le plus fabuleux des admins car il y a peut être meilleur que twa ailleurs, néanmoins, l'histoire ne parle pas d'autres fabuleux admins, mais bien d'un bruit qui le surprit derrière une porte pendant que son chat entraît, il s'était inquiété pour rien. Il se retourna alors comme un gros geek devant son écran, et le chat retroussa ses babines pleines de bave afin de lui montrer des crocs aussi luisant que son front l'était de sueur et il le regarda avec gourmandise. C'était le plus gros Wiskas qu'il avait jamais vu !
Le chat mis alors son museau dedans pour l'essuyer sur la jambe de l'admin qui, tellement énervé par sa fausse peur et par le liquide gluant qui coulait le long de sa jambe, lui explosa alors son clavier sans fil sur le crâne.
Le chat sortit ses griffes et s'accrocha à la souris qui pendait juste à côté du bras du plus fabuleux des admins afin de jouer avec, car il est de notoriété publique que les chats aiment les souris. Cependant, la souris s'anima, faisant bondir le chat de trois mètres. Ses yeux s'agrandirent lorsque le câble de la souris décida qu'il n'avait qu'un seul chat à fouetter : lui.
Durant ce temps le clavier, profitant du peu d'attention qu'on lui accordait, entreprit de taper sa lettre de démission, parce que, ça commençait à bien faire, non mais sans blague. C'est alors que l'admin attrapa sa solide pantoufle et fouetta durement, en tyran digne de ce nom, la souris qui avait permis, durant le laps de temps qu'elle s'était octroyée pour effrayer le chat, au clavier de se défiler. Mais alors l'écran choisit cet instant pour se mettre sur la trajectoire de la pantouffle que l'admin avait fini par lancer ce qui provoqua la chute d'une potiche sans valeur qu'il tenait de sa redoutable grand-mère. Celle-là même qui revenait la veille d'un intrépide voyage au centre de l'amazonie dans le but de trouver une statue maya à accrocher au dessus de sa cheminée, en dessous de son trophée de chasse favori -une vache avec ses cornes-et qui décida de rendre visite à son petit-fils le jour-même. Alors
que ce dernier s'acharnait contre la misérable souris informatique qui couinait à fendre l'âme, la sonnette de la porte d'entrée retentit dans son logis. Il suspendit donc son geste et, tandis que la souris en profitait pour aller se réfugier derrière l'écran, il accourut ouvrir et découvrit la fameuse petite vieille, aussi ridée et maigrelette que d'habitude. Celle-ci lui demanda alors s'il n'avait du pain à lui donner, la boulangerie étant fermée à cette heure là. Il lui sourit puis secoua tranquillement son clavier d'où tombèrent trois morceaux de pain blanc sec qu'il ramassa rapidement et tendit à sa grand-mère qui ne lui demanda pas pourquoi il cachait des morceaux de pain dans son clavier puisque elle même dissimulait des yaourts dans sa malette de pocker. En même temps, il était difficile de déterminer si le plus étrange était qu'elle en possède une ou qu'elle y cache des yaourts. Mais elle tenait cette malette de son oncle, décédé prématurément après avoir trop longtemps joué à l'équilibriste les soirs de pleine lune. La grand mère se saisit rapidement des morceaux de pain blanc que lui tendait son petit fils et se dirigea d'un pas assuré vers le frigo pour faire une réserve de yaourt bien frais. C'est alors que le chat qui c'était attaquer à la souris précédemment, prit la grand mère à parti. Il bondit toute griffe dehors en direction du visage de la petite vielle. Cette dernière aussi rapide que l'éclaire, fourra sa main dans son cabas pour en ressortir une brique qui s'anima, se dotant de dents très pointus, et sauta au sol en poussant des "gnark gnark" en direction du félidé. Puis le chat, qui avait hérité du don de mère grand, issu d'une lointaine lignée alliant feu le grand père lors d'une reproduction avec un félin à neuf lunes, bondit et tendit à la brique un coup de patte qui aurait en aurait mis chaos plus d'un. Toutefois la brique ne fut pas mise chaos. Elle se releva de sa chute et ouvrit grand sa bouche doter de deux longues rangés de dents aiguisées comme des lame de rasoir. Elle fit face au matou récalcitrant et le croqua d'une seule bouchée. Mais alors la souris rappliqua, accompagnée d'un tire-bouchon ailé, qui entreprit de creuser dans la brique affolée afin de récupérer le chat.
Et là la grand-mère, qui avait encore des réflexes d'enfer, attrapa le tire-bouchon au vol, se disant qu'elle avait justement besoin d'un neuf, car...

Alors que ce dernier s'acharnait contre la misérable souris informatique qui couinait à fendre l'âme, la sonnette de la porte d'entrée retentit dans son logis. Il suspendit donc son geste et, tandis que la souris en profitait pour aller se réfugier derrière l'écran, il accourut ouvrir et découvrit la fameuse petite vieille, aussi ridée et maigrelette que d'habitude. Celle-ci lui demanda alors s'il n'avait du pain à lui donner, la boulangerie étant fermée à cette heure là. Il lui sourit puis secoua tranquillement son clavier d'où tombèrent trois morceaux de pain blanc sec qu'il ramassa rapidement et tendit à sa grand-mère qui ne lui demanda pas pourquoi il cachait des morceaux de pain dans son clavier puisque elle même dissimulait des yaourts dans sa malette de pocker. En même temps, il était difficile de déterminer si le plus étrange était qu'elle en possède une ou qu'elle y cache des yaourts. Mais elle tenait cette malette de son oncle, décédé prématurément après avoir trop longtemps joué à l'équilibriste les soirs de pleine lune. La grand mère se saisit rapidement des morceaux de pain blanc que lui tendait son petit fils et se dirigea d'un pas assuré vers le frigo pour faire une réserve de yaourt bien frais. C'est alors que le chat qui c'était attaquer à la souris précédemment, prit la grand mère à parti. Il bondit toute griffe dehors en direction du visage de la petite vielle. Cette dernière aussi rapide que l'éclaire, fourra sa main dans son cabas pour en ressortir une brique qui s'anima, se dotant de dents très pointus, et sauta au sol en poussant des "gnark gnark" en direction du félidé. Puis le chat, qui avait hérité du don de mère grand, issu d'une lointaine lignée alliant feu le grand père lors d'une reproduction avec un félin à neuf lunes, bondit et tendit à la brique un coup de patte qui aurait en aurait mis chaos plus d'un. Toutefois la brique ne fut pas mise chaos. Elle se releva de sa chute et ouvrit grand sa bouche doter de deux longues rangés de dents aiguisées comme des lame de rasoir. Elle fit face au matou récalcitrant et le croqua d'une seule bouchée. Mais alors la souris rappliqua, accompagnée d'un tire-bouchon ailé, qui entreprit de creuser dans la brique affolée afin de récupérer le chat.
Et là la grand-mère, qui avait encore des réflexes d'enfer, attrapa le tire-bouchon au vol, se disant qu'elle avait justement besoin d'un neuf, car il lui glissa des mains, trop poisseux, depuis le temps qu'il était inutilisé. Mais ayant plus d'un tour dans son sac, elle accourut vers un tiroir...

Et là la grand-mère, qui avait encore des réflexes d'enfer, attrapa le tire-bouchon au vol, se disant qu'elle avait justement besoin d'un neuf, car il lui glissa des mains, trop poisseux, depuis le temps qu'il était inutilisé. Mais ayant plus d'un tour dans son sac, elle accourut vers un tiroir... en sortit deux maniques qu'elle enfila, et leste comme une panthère, elle sauta sur le tire-bouchon en réalisant un superbe plaquage. Pendant ce temps...

Et là la grand-mère, qui avait encore des réflexes d'enfer, attrapa le tire-bouchon au vol, se disant qu'elle avait justement besoin d'un neuf, car il lui glissa des mains, trop poisseux, depuis le temps qu'il était inutilisé. Mais ayant plus d'un tour dans son sac, elle accourut vers un tiroir... en sortit deux maniques qu'elle enfila, et leste comme une panthère, elle sauta sur le tire-bouchon en réalisant un superbe plaquage. Pendant ce temps, la brique fut prise de nausées et régurgita le matou qu'elle venait pourtant précédemment de croquer. Un peu perdu, le chat se décida à prendre sa revanche. Toutefois...

Pacô a écrit:Et là la grand-mère, qui avait encore des réflexes d'enfer, attrapa le tire-bouchon au vol, se disant qu'elle avait justement besoin d'un neuf, car il lui glissa des mains, trop poisseux, depuis le temps qu'il était inutilisé. Mais ayant plus d'un tour dans son sac, elle accourut vers un tiroir... en sortit deux maniques qu'elle enfila, et leste comme une panthère, elle sauta sur le tire-bouchon en réalisant un superbe plaquage. Pendant ce temps, la brique fut prise de nausées et régurgita le matou qu'elle venait pourtant précédemment de croquer. Un peu perdu, le chat se décida à prendre sa revanche. Toutefois...

Et là la grand-mère, qui avait encore des réflexes d'enfer, attrapa le tire-bouchon au vol, se disant qu'elle avait justement besoin d'un neuf, car il lui glissa des mains, trop poisseux, depuis le temps qu'il était inutilisé. Mais ayant plus d'un tour dans son sac, elle accourut vers un tiroir... en sortit deux maniques qu'elle enfila, et leste comme une panthère, elle sauta sur le tire-bouchon en réalisant un superbe plaquage. Pendant ce temps, la brique fut prise de nausées et régurgita le matou qu'elle venait pourtant précédemment de croquer. Un peu perdu, le chat se décida à prendre sa revanche. Toutefois...miaous le gentil petit matou se souvint de son passé trouble dans une chambre froide, en effet il avait atterri ici par péché de gourmandise, se retrouvant bloqué dans ce frigo géant.Comment allé t'il se tiré de ce mauvais pas?