Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
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Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Voilà une idée dans ce dialogue
alors j'ai voulu mettre une réponse plus nette, mais concise, en même temps une phrase qui ferait peut-être se dresser certains cheveux (en rose) :
(comme vous pouvez le constater, la Princesse ne répond pas vraiment à la question)elle pousse la porte d’un appartement sans avoir de clef ...
« Vous êtes chez vous ?
— Non, pourquoi ? J’ai une heure à vous consacrer grâce à l’agilité de votre plume...
alors j'ai voulu mettre une réponse plus nette, mais concise, en même temps une phrase qui ferait peut-être se dresser certains cheveux (en rose) :
Qu'en pensez-vous ?elle pousse la porte d’un appartement sans avoir de clef ...
« Vous êtes chez vous ?
— Non, pourquoi ? Partout est mon monde sans jamais rien posséder. J’ai une heure à vous consacrer grâce à l’agilité de votre plume...
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Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Je ne comprends pas tout...
C'est une question à propos d'un texte que tu écris ?
Edit : vu le message de Pâco. Evidemment, vu que je ne suis pas l'avancée de ton roman, j'ai du mal à situer tout ça.
Déjà, il faudrait que tu nous donnes un peu plus d'infos autour de ce très bref échange, pour qu'on situe mieux la situation et qu'on puisse comprendre.
Ensuite, qui demande "Vous êtes chez vous ?" ? La personne qui pousse la porte sans avoir de clef ou quelqu'un d'autre ? Ce n'est pas clair.
Ensuite, dans tes deux principales qui posent problème, les différentes parties n'ont pas de rapport logique entre elles, et donc, elles ne sont pas compréhensibles.
"sans jamais rien posséder" se veut complément de "partout est mon monde", dans ta tournure, mais cela n'a pas de sens. C'est la princesse qui ne possède rien, si j'ai bien compris, pas "mon monde". La princesse est donc sujet de "sans jamais rien posséder". Or, dans ta phrase, c'est "mon monde" qui apparaît comme sujet. Est-ce que tu comprends ce que je veux dire ? Il faut que tu modifies ta tournure.
Même problème dans "j'ai une heure à vous consacrer grâce à l'agilité de votre plume".
"Grâce à" met en relation de cause à effet les deux parties de ta phrase, or, je ne saisis pas comment l'agilité de la plume de quelqu'un peut permettre à une autre personne de lui consacrer une heure. Ici non plus, ça n'a pas de sens pour moi. Ou alors, il me manque des clés pour comprendre ; clés que tu as peut-être données dans la narration autour de cet échange.
C'est une question à propos d'un texte que tu écris ?
Edit : vu le message de Pâco. Evidemment, vu que je ne suis pas l'avancée de ton roman, j'ai du mal à situer tout ça.
Déjà, il faudrait que tu nous donnes un peu plus d'infos autour de ce très bref échange, pour qu'on situe mieux la situation et qu'on puisse comprendre.
Ensuite, qui demande "Vous êtes chez vous ?" ? La personne qui pousse la porte sans avoir de clef ou quelqu'un d'autre ? Ce n'est pas clair.
Ensuite, dans tes deux principales qui posent problème, les différentes parties n'ont pas de rapport logique entre elles, et donc, elles ne sont pas compréhensibles.
"sans jamais rien posséder" se veut complément de "partout est mon monde", dans ta tournure, mais cela n'a pas de sens. C'est la princesse qui ne possède rien, si j'ai bien compris, pas "mon monde". La princesse est donc sujet de "sans jamais rien posséder". Or, dans ta phrase, c'est "mon monde" qui apparaît comme sujet. Est-ce que tu comprends ce que je veux dire ? Il faut que tu modifies ta tournure.
Même problème dans "j'ai une heure à vous consacrer grâce à l'agilité de votre plume".
"Grâce à" met en relation de cause à effet les deux parties de ta phrase, or, je ne saisis pas comment l'agilité de la plume de quelqu'un peut permettre à une autre personne de lui consacrer une heure. Ici non plus, ça n'a pas de sens pour moi. Ou alors, il me manque des clés pour comprendre ; clés que tu as peut-être données dans la narration autour de cet échange.
Dernière édition par Barbara le Dim 29 Jan 2012 - 17:46, édité 1 fois
B.- Talent Divin
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Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Je crois voir où se situe ce passage dans ton roman.
(Si c'est bien Tristan qui dit "Vous êtes chez vous ?", j'ai tout bon)
Déjà, je trouve étrange la première phrase "sans avoir de clef". En fait, il n'y a aucune logique avec l'action : une clef ne sert pas à pousser une porte, mais à l'ouvrir. Il y a donc une petite incohérence, ou plutôt, une légère maladresse de formulation.
A noter qu'il faudrait peut-être préciser que la porte s'entrouvre tranquillement, parce qu'elle n'est pas crochetée - parce que même une porte verrouillée a souvent besoin d'un actionnement de poignée pour s'ouvrir...
Ensuite, pour la phrase en rose :
Je pense que tu n'as pas la bonne portée avec sa phrase. Un "Je suis partout chez moi" serait plus pertinent, plutôt que de parler de "mon monde", non ?
(Si c'est bien Tristan qui dit "Vous êtes chez vous ?", j'ai tout bon)
Déjà, je trouve étrange la première phrase "sans avoir de clef". En fait, il n'y a aucune logique avec l'action : une clef ne sert pas à pousser une porte, mais à l'ouvrir. Il y a donc une petite incohérence, ou plutôt, une légère maladresse de formulation.
A noter qu'il faudrait peut-être préciser que la porte s'entrouvre tranquillement, parce qu'elle n'est pas crochetée - parce que même une porte verrouillée a souvent besoin d'un actionnement de poignée pour s'ouvrir...
Ensuite, pour la phrase en rose :
Cette déclaration est tout de même très floue et très... imprécise. Je pourrais dire la même chose, au détail près que "partout est mon monde mais je ne possède que quelques petites choses."Partout est mon monde sans jamais rien posséder.
Je pense que tu n'as pas la bonne portée avec sa phrase. Un "Je suis partout chez moi" serait plus pertinent, plutôt que de parler de "mon monde", non ?
Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Merci de vos réponses... Alors j'explicite un peu pour Barbara : la Princesse Odile a presque kidnappé un jeune homme au saut de son lit
pour l'emmener à un examen auquel il devait aller. En plus elle le fait tricher abominablement en lui soufflant toutes les réponses par transmission de pensée et lui fait même ajouter une tartine sur sa copie
pour expliquer un peu aux hommes la vraie nature de l'univers. Et tout ça vite fait pour qu'il sorte avec une heure d'avance... d'où le faux compliment sur l'agilité de sa plume...
Mon sujet est donc la phrase en rose...
Odile est entrée dans la chambre du jeune homme endormi par une voie "mystérieuse", elle a ouvert la voiture du garçon et fait démarrer le moteur à distance... Là il prête attention plus à ce qui se passe
(j'avais pas tout mis l'extrait Donc voici l'extrait original
ouvert les verrous et le loquet... Il en conclut donc que c'est chez
elle, mais cela semble aussi déserté (les draps sur le mobilier)... d'où sa question.
Le fait qu'elle passe à un autre sujet sans répondre autrement par "non, pourquoi ?"... un peu dommage... D'où mon ajout qui fait un peu référence à "Dieu est partout", mais mes Princesses sont des modestes, elle ne veulent pas apparaître comme des déesses, ne veulent pas de culte à leur toute puissance d'où la précision de ne rien posséder...
En même temps je vais réfléchir pour donner un ton solennel à "mon monde" (du genre des phrases qu'on trouve dans différentes religions sur Dieu, les dieux...) et une seconde partie qui ramène à cette modestie... un peu dire "je suis tout et rien à la fois"... ce dialogue intervient alors qu'elle n'a pas encore fait sa présentation des Princesses de la Terre, mais qu'on a pu constater que ce n'est pas une femme "habituelle"...
Bien sûr, si ma phrase est "osée" pour une langue académique, cela ne me gêne pas ☺
En tout cas, j'ai retenu, dans sa forme, cette phrase est bancale et mal comprise ! Donc à moi d'améliorer !
pour l'emmener à un examen auquel il devait aller. En plus elle le fait tricher abominablement en lui soufflant toutes les réponses par transmission de pensée et lui fait même ajouter une tartine sur sa copie
pour expliquer un peu aux hommes la vraie nature de l'univers. Et tout ça vite fait pour qu'il sorte avec une heure d'avance... d'où le faux compliment sur l'agilité de sa plume...
Mon sujet est donc la phrase en rose...
Odile est entrée dans la chambre du jeune homme endormi par une voie "mystérieuse", elle a ouvert la voiture du garçon et fait démarrer le moteur à distance... Là il prête attention plus à ce qui se passe
(j'avais pas tout mis l'extrait Donc voici l'extrait original
Sylvain s'étonne donc, mais là il a remarqué qu'Odile sans y toucher aOdile m’attend à la sortie et m’emmène à pied vers un petit immeuble situé près du métro Jussieu. Nous montons au second. De nouveau, elle m’étonne : elle pousse la porte d’un appartement sans avoir de clef ; par contre cette fois, dans la seconde précédant l’action, j’ai entendu clairement le mécanisme de trois verrous. Elle se dirige vers le compteur électrique et allume les lumières. Le petit appartement est inhabité, les volets sont fermés, des draps recouvrent le mobilier. Elle se dirige droit vers la chambre.
ouvert les verrous et le loquet... Il en conclut donc que c'est chez
elle, mais cela semble aussi déserté (les draps sur le mobilier)... d'où sa question.
Le fait qu'elle passe à un autre sujet sans répondre autrement par "non, pourquoi ?"... un peu dommage... D'où mon ajout qui fait un peu référence à "Dieu est partout", mais mes Princesses sont des modestes, elle ne veulent pas apparaître comme des déesses, ne veulent pas de culte à leur toute puissance d'où la précision de ne rien posséder...
En même temps je vais réfléchir pour donner un ton solennel à "mon monde" (du genre des phrases qu'on trouve dans différentes religions sur Dieu, les dieux...) et une seconde partie qui ramène à cette modestie... un peu dire "je suis tout et rien à la fois"... ce dialogue intervient alors qu'elle n'a pas encore fait sa présentation des Princesses de la Terre, mais qu'on a pu constater que ce n'est pas une femme "habituelle"...
Bien sûr, si ma phrase est "osée" pour une langue académique, cela ne me gêne pas ☺
En tout cas, j'ai retenu, dans sa forme, cette phrase est bancale et mal comprise ! Donc à moi d'améliorer !
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Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Re-merci à nouveau, je crois que je vais faire une chanson et en parler sur
https://imperialdreamer.1fr1.net/t3692-poemes-de-la-sentinelle-des-mortes
Voici où j'en arrive :
Odile est entrée dans la chambre du jeune homme endormi par une voie "mystérieuse", elle a ouvert la voiture du garçon et fait démarrer le moteur à distance... Là il prête attention plus à ce qui se passe
https://imperialdreamer.1fr1.net/t3692-poemes-de-la-sentinelle-des-mortes
Voici où j'en arrive :
Odile est entrée dans la chambre du jeune homme endormi par une voie "mystérieuse", elle a ouvert la voiture du garçon et fait démarrer le moteur à distance... Là il prête attention plus à ce qui se passe
qui deviendraitOdile m’attend à la sortie et m’emmène à pied vers un petit immeuble situé près du métro Jussieu. Nous montons au second. De nouveau, elle m’étonne : elle pousse la porte d’un appartement sans avoir de clef ; par contre cette fois, dans la seconde précédant l’action, j’ai entendu clairement le mécanisme de trois verrous. Elle se dirige vers le compteur électrique et allume les lumières. Le petit appartement est inhabité, les volets sont fermés, des draps recouvrent le mobilier. Elle se dirige droit vers la chambre.
« Vous êtes chez vous ?
— Non, pourquoi ? J’ai une heure à vous consacrer grâce à l’agilité de votre plume...
Odile m’attend à la sortie et m’emmène à pied vers un petit immeuble situé près du métro Jussieu. Nous montons au second. De nouveau, elle m’étonne : elle pousse la porte d’un appartement sans avoir de clef ; par contre cette fois, dans la seconde précédant l’action, j’ai entendu clairement le mécanisme de trois verrous. Elle se dirige vers le compteur électrique et allume les lumières. Le petit appartement est inhabité, les volets sont fermés, des draps recouvrent le mobilier. Elle se dirige droit vers la chambre.
« Vous êtes chez vous ?
— Non, pourquoi ? »
Elle me regarde, espiègle, et chantonne.
« Partout est ma maison
Ailleurs la déraison
Partout est mon cher monde
Sinon chère est ma fronde
Partout est ma demeure
Ou hélas je me meurs ( / Où hélas je ne meure / Où débordent mes mœurs )
Partout est mon domaine
Par là où je t’emmène. »
Elle rit.
« J’ai une heure à vous consacrer grâce à l’agilité de votre plume...
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Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Et encore une question qui me taraude (je laisse mijoter ma chanson)...
Voilà, ayant repris mon premier jet (quoique certains chapitres soient très travaillés en bêta-lecture), je reprends l'écriture en débutant le chapitre 11. Dans ce chapitre je "mets à l'abri" mes deux dauphins, Mylène et Sylvain, dans la caverne aménagée à l'intention d'un des personnages du tome 1.
Tout cela pour expliciter le pouvoir des dauphins. Qui sont les dauphins, c'est défini ici :
Ces personnalités ont trois points communs : ils mènent les hommes, sont altruistes et (sauf pour la dernière citée heureusement) se sont sacrifiés.
Je compte donc essayer d'expliquer un peu leur "pouvoir"... Et notamment sur l'humain coincé depuis le premier tome dans cette cache.
Donc je pensais cette phrase, faite pour ne pas faire tiquer un lecteur pressé (ça me change ☺ ), mais plus complexe qu'elle ne paraît si on la lit bien :
Quelqu'un a-t-il un avis ? est-ce incompréhensible, maladroit ou "pourquoi pas" ?
Voilà, ayant repris mon premier jet (quoique certains chapitres soient très travaillés en bêta-lecture), je reprends l'écriture en débutant le chapitre 11. Dans ce chapitre je "mets à l'abri" mes deux dauphins, Mylène et Sylvain, dans la caverne aménagée à l'intention d'un des personnages du tome 1.
Tout cela pour expliciter le pouvoir des dauphins. Qui sont les dauphins, c'est défini ici :
Parmi les dauphins je cite ailleurs aussi jean Moulin, Spartacus, Jeanne d'Arc, Aung San Suu Kyi...
« De temps en temps, quand votre société va mal, nous avons besoin de certains d’entre vous, de ceux qui nous font vous aimer, car dévoués aux autres, aux miséreux, aux faibles. Alors nous en faisons des dauphins qui vont, à un moment ou à un autre, se sacrifier dans ce but, leur abnégation permettra alors à une partie de l’humanité de repartir dans la bonne direction. Même s’il faut en passer par la violence parfois, tant pis ! Tout à l’heure, je dirai ton destin. Mais tu es un de ces humains, tu te sacrifieras comme Jésus, Gandhi ou quelques autres avant toi, tu es un dauphin ! »
Ces personnalités ont trois points communs : ils mènent les hommes, sont altruistes et (sauf pour la dernière citée heureusement) se sont sacrifiés.
Je compte donc essayer d'expliquer un peu leur "pouvoir"... Et notamment sur l'humain coincé depuis le premier tome dans cette cache.
Donc je pensais cette phrase, faite pour ne pas faire tiquer un lecteur pressé (ça me change ☺ ), mais plus complexe qu'elle ne paraît si on la lit bien :
Lue rapidement on comprend que la sérénité fait naître l'espoir et refouler le pessimisme... mais en réalité ce sont trois phrases inversées au même niveau (d'où le ; et le l' d'espoir) et "source l'espoir" est donc le verbe rare sourcer avec pour sujet l'espoir...Soudain, une sensation inconnue me submerge : en moi, malgré la gravité des évènements, s’insinue une sérénité ; source l’espoir ; refoule mon pessimisme.
Quelqu'un a-t-il un avis ? est-ce incompréhensible, maladroit ou "pourquoi pas" ?
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Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Et pourquoi ne pas tenter "ressource l'espoir" ?
Je dirais que ça aura tendance à ne pas faire arrêter le lecteur sur la rareté du verbe "sourcer" ; parce que déjà qu'il est presque inusité... le lire en inversant le sujet et le verbe... ça risque de compliquer effectivement la compréhension.
Je dirais que ça aura tendance à ne pas faire arrêter le lecteur sur la rareté du verbe "sourcer" ; parce que déjà qu'il est presque inusité... le lire en inversant le sujet et le verbe... ça risque de compliquer effectivement la compréhension.
Re: Osons ! Mais qu'en pense l'académie des bêta-lecteurs ?
Merci... je réfléchis, ressource conviendrait aussi bien sûr, mais j'aime toujours un peu choquer, heurter, donc à revoir quand ce chapitre sera clos et en bêta, je pense, en tout cas merci !
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