ans avoir eu de commentaire
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IMPERIALDREAMER :: Ecrire et lire :: Romans :: Commentaires
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ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Voilà, je me suis lancé. En espérant ne pas m'être trompé. Merci d'avance pour vos commentaires et corrections.
Voilà, je me suis lancé. En espérant ne pas m'être trompé. Merci d'avance pour vos commentaires et corrections.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonsoir auteur008,
Comme promis, voici l'une de mes premières impressions concernant ton court extrait.
Je tiens à préciser au passage que j'adore ces courts extraits, car ils donnent plus envie de commenter en se disant qu'on pourra aller dans le détail .
Pour commencer, trois petites choses chipées à la volée :
J'ai beaucoup aimé cette entrée en matière !
La contextualisation du récit, avec une petite anecdote de la vie d'un misérable alcoolique me convient : c'est un début qui séduit le lecteur (selon moi).
Juste pour la forme, je comprends tout à fait ton attirance pour les propositions sans verbe conjugué ; histoire de donner du rythme et un peu de pep's à la narration. Mais parfois c'est un peu trop, notamment dans les descriptions des différents personnages... On s'en lasse vite, et on a de plus en plus l'impression de lire une légende en italique qu'un roman.
Cet avis pourra te paraître subjectif : je suis un amoureux des effets lyriques.
Cependant, j'aime la manière dont est amené le barman ; et je pense que tu as bien saisi le concept d'apporter de l'anecdote et du contenu pour familiariser le lecteur avec tes différents protagonistes. (ex : la bouteille de vin offerte aux immigrés)
Mon second reproche va à l'encontre des tournures parfois un poil trop clichées qui négligent le reste de la narration.
Exemple :
Sinon, ça fait un peu "bout de phrase pour la déco".
Sur le fond, l'histoire me plaît et m'intrigue ; je pense donc que le pari est pour l'instant tenu.
Juste un petit bémol : je trouve que la présentation du monde est un peu trop facile. Je pense que tu nous en diras un peu plus après, mais je n'aime pas vraiment ces mises en contexte rapide du type :
Donc mon petit conseil final, ce serait de soigner un peu plus l'annonce et la présentation de ce monde du futur. Nous l'amener de façon un poil plus attrayante et un poil plus atypique.
Mais dans l'ensemble, je trouve que ce roman commence bien ; une sorte de bonne amorce.
Tiens, et pour les questions sur la suite :
Bonne soirée à toi !
Comme promis, voici l'une de mes premières impressions concernant ton court extrait.
Je tiens à préciser au passage que j'adore ces courts extraits, car ils donnent plus envie de commenter en se disant qu'on pourra aller dans le détail .
Pour commencer, trois petites choses chipées à la volée :
=> maladroit : redondance de l'auxiliaire, et redondance du sens. On se doute que quand les unes s'en vont, les autres reviennent. C'est sûrement un effet de style, mais je l'ai plus perçu comme une petite lourdeur.Les vacances étaient terminées et la rentrée scolaire était revenue.
=> syntaxe erronée : je ne sais pas trop ce que tu voulais dire en faitDès qu'il put à l'âge de 20 ans d'entrer dans un débit de boisson, il dépendit de l'alcool.
=> pourquoi un point en plein milieu de la phrase ? Une virgule plutôt ?et quand il les rouvrit, il découvrit la tête du tenancier. hilare.
J'ai beaucoup aimé cette entrée en matière !
La contextualisation du récit, avec une petite anecdote de la vie d'un misérable alcoolique me convient : c'est un début qui séduit le lecteur (selon moi).
Juste pour la forme, je comprends tout à fait ton attirance pour les propositions sans verbe conjugué ; histoire de donner du rythme et un peu de pep's à la narration. Mais parfois c'est un peu trop, notamment dans les descriptions des différents personnages... On s'en lasse vite, et on a de plus en plus l'impression de lire une légende en italique qu'un roman.
Cet avis pourra te paraître subjectif : je suis un amoureux des effets lyriques.
Cependant, j'aime la manière dont est amené le barman ; et je pense que tu as bien saisi le concept d'apporter de l'anecdote et du contenu pour familiariser le lecteur avec tes différents protagonistes. (ex : la bouteille de vin offerte aux immigrés)
Mon second reproche va à l'encontre des tournures parfois un poil trop clichées qui négligent le reste de la narration.
Exemple :
On dirait un peu une description pour "meubler" l'histoire, pour ne pas avoir à passer tout de suite à l'action suivante. Pour moi, c'est un "trop" ou "pas assez" : soit tu n'en parles pas, soit tu nous en dis un peu plus sur ces images (pour donner des exemples d'actualité dans ce monde moderne, par exemple).regardant d'un œil distrait les images qui se profilaient sur l'écran de télévision.
Sinon, ça fait un peu "bout de phrase pour la déco".
Sur le fond, l'histoire me plaît et m'intrigue ; je pense donc que le pari est pour l'instant tenu.
Juste un petit bémol : je trouve que la présentation du monde est un peu trop facile. Je pense que tu nous en diras un peu plus après, mais je n'aime pas vraiment ces mises en contexte rapide du type :
C'est un peu comme un cheveu sur la soupe, ça sent le cliché à plein nez et ça donne une allure pas très originale "'un monde futuriste".Dans les années 2030, il y avait eu un début de conflit mondial. En fait, plutôt des émeutes dans chaque pays par le peuple qui en avait assez de vivre misérablement. Petit à petit, les dirigeants remplacés par des hommes plus sages détruisirent les armes nucléaires et chimiques. Les exploitations des forêts réduites et les énergies naturelles mieux utilisées.
Donc mon petit conseil final, ce serait de soigner un peu plus l'annonce et la présentation de ce monde du futur. Nous l'amener de façon un poil plus attrayante et un poil plus atypique.
Mais dans l'ensemble, je trouve que ce roman commence bien ; une sorte de bonne amorce.
Tiens, et pour les questions sur la suite :
- pourquoi les immigrés en bavent ?
- en quoi les HLM sont des camps de réfugiés ?
- pourquoi l'alcool est dans la ligne de mire et pas le cannabis ou d'autres drogues plus dures ?
Bonne soirée à toi !
Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci pour ton commentaire et ton aide. Je vais reposter l'extrait.
Merci pour ton commentaire et ton aide. Je vais reposter l'extrait.
- pourquoi les immigrés en bavent ? j'ai mis une explication dans le nouveau post
- en quoi les HLM sont des camps de réfugiés ? j'ai mis une explication dans le nouveau post
- pourquoi l'alcool est dans la ligne de mire et pas le cannabis ou d'autres drogues plus dures ? je parle de la drogue dans le nouveau post, mais l'alcool est le but du roman. Au début, je me suis fixé sur ce sujet, et n'ai pas pensé à la drogue, qui, est vrai, un sujet inquiétant.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
coucou auteur008, trop fatiguée pour te faire une bêta ce soir ; mais je t'en prépare une très vite
Kwelly- Talent Confirmé
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci d'avance.
Merci d'avance.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Coucou, ben voilà, comme promis.... une petite bêta !!!
L'extrait étant court (merci !!! c'est tellement plus agréable pour les bêtas, cela permet de se concentrer tout le long ) je ne sais pas encore quel est l'objet de ton roman, sans doute traiter de la dépendance ?
J'espère que tout cela pourra t'aider
L'extrait étant court (merci !!! c'est tellement plus agréable pour les bêtas, cela permet de se concentrer tout le long ) je ne sais pas encore quel est l'objet de ton roman, sans doute traiter de la dépendance ?
- point de vue général:
D'une façon générale, tu dois te montrer vigilent sur les répétitions directes, ou même d'idée. Tu alourdis ton texte, donc un petit coup de balais me semble nécessaire
Donc, je ne peux parler du sujet puisque pas encore défini ; on voit juste un type qui se lamente sur sa vie de buveur, un thème qui est sans époque, donc qui peut être riche à traiter, enfin dis-moi si je me trompe. Par contre je trouve que tu insistes beaucoup dès les premières lignes et tout au long de l'extrait sur la noirceur de la vie de ton héros, je trouve que ça fait trop, tu vas chercher l'émotion de ton lecteur sans lui laisser le temps et l'espace de trouver la sienne.
Bon pour le reste, en route pour la bêta.
- bêta:
[size=13.3333]François traînait dans les rues ce jour-là, seul, désœuvré. Le ciel bas, en ce mois de septembre rendait encore plus difficile la fin des vacances. Il travaillait comme plongeur dans un lycée et la rentrée scolaire arrivait à grands pas. Les vacances étaient terminées et la rentrée scolaire était revenue. (ici, tu fais une répétition directe, en plus tu parles déjà à deux reprises de « la fin des vacances et de la rentrée scolaire)[/size]
[size=13.3333]En ce jour[/size][size=13.3333] (cela se ressemble beaucoup) de Septembre 2050, François, la quarantaine, (fais attention au répétition, on a compris dès la première ligne qu’on était au mois de septembre, que c’était la fin des vacances et que c’était la rentrée scolaire ; tu alourdis ton texte par ce genre de répétition)[/size]
[size=13.3333]marchait dans les rues vides de Paris[/size][size=13.3333], (répétition) quand il aperçut un bistrot ouvert. Il y entra, s’installa et commanda une bouteille de vin et un verre.[/size]
[size=13.3333]Installé dans un coin du bar, il regardait la télévision.[/size]
[size=13.3333]Un grand écran plat avait remplacé le vieux modèle au-dessus du bar. Pour écouter, il y avait un casque pour ne pas gêner les voisins. Ainsi, ceux qui voulaient regarder la télé n’indisposaient pas les autres personnes qui recherchaient un semblant de calme. (on l’avait compris avec le casque pour préserver l’intimité de chacun) François ne risquait pas d’ennuyer son entourage, vu qu’il était pratiquement seul, à part quelques immigrés. (alors j’ai du mal à comprendre cette phrase ; elle n’est pas claire du tout. Il est seul en y entrant et en s’installant devant la télé ; donc le pratiquement n’est pas bon ; le fait qu’il y ait des gens autour de lui (immigré) forme son entourage, pas un groupe auquel il appartiendrait)[/size]
[size=13.3333]Depuis les vingt ans de François, pas grand chose ne changea.(ici emploie un temps du passé ; avait changé) À part quelques améliorations dans tous les domaines. (si c’est dans tous les domaines, c’est quand même pas mal, non ? [/size][size=13.3333]J[/size][size=13.3333])[/size][size=13.3333]Les voitures roulaient au gaz ou à l'énergie nucléaire, le pétrole ne servait plus qu'à l'alimentation et aux produits cosmétiques.[/size]
[size=13.3333]Dans les années 2030, il y avait eu un début de conflit mondial. En fait, plutôt des émeutes dans chaque pays (dans tous les pays ? ou quelques pays ?)par (le par me gêne terriblement, tu peux simplement mettre une virgule) le peuple qui (en mettant une virgule tu te débarrasses du « qui ») en avait assez de vivre misérablement. Petit à petit, les dirigeants remplacés par des hommes plus sages détruisirent les armes nucléaires et chimiques. Les exploitations des forêts réduites et les énergies naturelles (furent) mieux utilisées.[/size]
[size=13.3333] [/size]
[size=13.3333](Alors tout ce passage est hors contexte, il est une explication que tu donnes à ton lecteur mais qui n’est pas dans le déroulement de l’histoire, donc, ça sort de la lecture ; Je pense qu’il est tout à fait intéressant de connaître ce qui s’est passé durant ses années, mais tu devrais l’intégrer à ton histoire ; peut être utiliser le fait qu’il regarde la télévision ? Un reportage qui retrace les années 30 ?)[/size]
[size=13.3333] [/size]
[size=13.3333] [/size]
[size=13.3333]Il restait cependant un fléau qui persistait et avilissait les hommes : l'alcool. François en était le triste exemple. Dès qu'il put à l'âge de 20 (fait attention à écrire les chiffres en lettres, excepté les date 2050 ok, mais vingt ans) ans d' (en trop) entrer dans un débit de boisson, il dépendit de l'alcool. (ce n’est pas le fait qu’il entre dans un débit de boisson qui le rend dépendant, mais l’absorbions d’alcool)[/size]
[size=13.3333]Durant toute cette période, qu'était-il devenu ? Rien ! Il gaspilla sa jeunesse. (Perso je pense que c’est inutile, le « rien » le laisse sous-entendre ; si tu veux quand même le mettre, alors évite le « il », même si c’est un constat intérieur)[/size]
[size=13.3333]À présent,[/size][size=13.3333] (tu viens de dire que c’est une longue descente aux enfers, donc, pourquoi à présent ? il me semble que le constat s’étend à sa vie en générale depuis qu’il vit l’addiction) sa vie ne ressemblait à rien. (répétition) Il le pensait en buvant son premier verre de vin de la journée, regardant d'un œil distrait les images qui se profilaient sur l'écran de télévision.[/size]
[size=13.3333]Le patron du bar, un costaud aux cheveux noirs, frisés et drus. Le visage marqué par les (des)cicatrices, l’œil sombre. Quant à l’autre, il l’avait perdu au cours d'une bagarre avec les forces de l'ordre. Une allure de catcheur[/size]
[size=13.3333](je pense que cela devrait suivre « costaud» ; en fait tu pars d’un aspect général « un grand costaud…. ; puis tu va dans le détails « des cicatrices… l’œil borgne » ; et vient enfin « l’allure de catcheur » qui renvoie à l’aspect général) [/size][size=13.3333]De temps en temps, il offrait à la clientèle d'immigrés, une bouteille en grommelant dans sa barbe :[/size]
[size=13.3333]- Ils en bavent assez comme ça.[/size]
[size=13.3333]François, en les examinant, pensait qu’il ne valait pas mieux qu’eux, qu’un jour il finirait comme eux. (en quoi ? Tu n’es pas assez claire là) Le cafard le reprit de plus belle et il commanda une autre bouteille de vin.[/size]
[size=13.3333]À cet effet, sur chaque table était disposé un appareil avec des touches. Il composa un code qui figurait sur une tablette fixée sur la table.[/size]
[size=13.3333]Sous le comptoir, sur un écran que seul le patron pouvait voir, venait s’inscrire la demande. Le patron du bar, en amenant la bouteille, dit à François sur un ton qui se voulait poli :[/size]
[size=13.3333]- C’est la dernière, après je ferme.[/size]
[size=13.3333]Devant la carrure de l’homme, on ne pouvait que dire oui. Quand il lui tourna le dos, François ne put s’empêcher d’admirer les dorsaux du colosse qui roulaient sous sa chemise.[/size]
[size=13.3333]Ses yeux bientôt clignèrent. Il se trouvait dans un état semi-éveillé. Quand soudain, il fut brusquement tiré de son état comateux, par un bruit (éclat ?) de voix et de verre cassé. Il redressa la tête et vit le patron en train de tabasser un étranger. Celui-ci criait, pleurait et du sang coulait de son arcade ouverte. François se leva d’un bond et se dirigea vers les deux hommes pour les séparer, sans penser au danger.[/size]
[size=13.3333]- Toi, l’alcoolique, tire-toi ! ça vaudra mieux pour toi.[/size]
[size=13.3333]Comme il voulait repousser François, celui-ci lui attrapa le bras pour le faire voltiger à travers la salle du café. Son vol plané se termina sur le panneau où Superman était en train de lever les bras en signe de triomphe, alors que s’inscrivait le mot fin. Puis il sortit sous l’œil ahuri du patron et les applaudissements des consommateurs. À peine dehors, il fut tiré par l'épaule. Il se retourna et découvrit le patron du bar, l'air encore plus menaçant, lui faire face. Il voulut recommencer son exploit , mais à ce moment, un verre d'eau vint l'interrompre dans son geste. Il ferma les yeux sous l'effet de surprise et quand il les rouvrit, il découvrit la tête du tenancier. hilare. Il mit quelques temps à comprendre qu'il avait rêvé et que le patron du bar lui avait jeté ce verre d'eau à la figure, n'arrivant pas à le réveiller. Il lui dit d'un ton goguenard :[/size]
[size=13.3333]- Alors mon bonhomme on fait dodo. Allez oust, on ferme.[/size]
[size=13.3333]François se leva péniblement, paya ses consommations et sortit en titubant sous l’œil moqueur du tenancier. Il se dirigea vers une H.L.M. Eh oui, même ça ne lui avait pas été épargné. Il vivait dans cet endroit avec les réfugiés.[/size]
J'espère que tout cela pourra t'aider
Kwelly- Talent Confirmé
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci pour ton aide. Peux-tu m'expliquer les symboles de correction. En vert; souligné; etc...
Excuse ma naïveté dans ce domaine. En attendant ta réponse, je vais regarder les grandes lignes. Merci.
Merci pour ton aide. Peux-tu m'expliquer les symboles de correction. En vert; souligné; etc...
Excuse ma naïveté dans ce domaine. En attendant ta réponse, je vais regarder les grandes lignes. Merci.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
coucou auteur, en fait en vert ce sont les répétitions et j'ai souligné les mots ou phrases auxquelles j'apportais un commentaire. Prend connaissance de tout ça et n'hésite pas à me dire si tu as des questions
Kwelly- Talent Confirmé
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Re: ans avoir eu de commentaire
D'accord. Merci.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Lorsque j'ai corrigé un extrait, comment dois-je opérer ?
Mettre à la suite ou supprimer les précédents extraits. Car je me suis aperçu que la correction de kwelly était faite sur le premier post, alors que je l'avais corrigé.
Lorsque j'ai corrigé un extrait, comment dois-je opérer ?
Mettre à la suite ou supprimer les précédents extraits. Car je me suis aperçu que la correction de kwelly était faite sur le premier post, alors que je l'avais corrigé.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Et bien tu peux le mettre ici en réponse, de cette façon ceux qui te suivent sauront que tu as posté ; garde ton fil premier (celui où tu as mis ton premier extrait) pour poster des suites si tu le désires, n'efface pas ce que tu as déjà mis, mais clique sur réponse et pose ton deuxième extrait. Je suis désolée d'avoir travaillé sur ton premier extrait , je te propose d'adapter mes commentaires aux corrections que tu avais déjà faites ?
Kwelly- Talent Confirmé
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci pour ton aide. Là, je remets la correction du premier extrait.
En ce jour de Septembre 2050, François, la quarantaine,
marchait dans les rues vides de Paris, seul, désœuvré. Le ciel bas, rendait encore plus difficile la fin des vacances. Il travaillait comme plongeur dans un lycée et la rentrée scolaire arrivait à grands pas.
Dans sa divagation, il aperçut un bistrot ouvert. Il y entra, s’installa et commanda une bouteille de vin et un verre.
Installé dans un coin du bar, il regardait la télévision.
Un grand écran plat avait remplacé le vieux modèle au-dessus du bar. Pour écouter, il y avait un casque pour ne pas gêner les voisins. Dans l'établissement, quelques immigrés. buvaient en silence.
Depuis les vingt ans de François, pas grand chose n'avait changé. À part quelques améliorations. Les voitures roulaient au gaz ou à l'énergie nucléaire, le pétrole ne servait plus qu'à l'alimentation et aux produits cosmétiques.
Dans les années 2030, il y avait eu un début de conflit mondial. En fait, plutôt des émeutes dans quelques pays, le peuple en avait assez de vivre misérablement. Une nouvelle sorte de drogue envahit les quartiers pauvres des villes, créant encore plus de violences et de crimes. Certaines personnes subirent une métamorphose à cause de cette cochonnerie. Elle eut pour effet de rendre ceux déjà disposés au mal, d'accentuer cette cruauté qui sommeillait en eux. Ce fut l'étincelle qui déclencha des guérillas, suivi ensuite d’émeutes et de la guerre. Lorsque le monde semblait au bord du gouffre, quelques hommes de bonne volonté remirent l'ordre et la justice en place. Petit à petit, des hommes plus sages firent détruire les armes nucléaires et chimiques. Les exploitations des forêts réduites et les énergies naturelles furent mieux utilisées.
Tout cela, François, se le remémorait devant l'écran qui justement, repassait un document sur l'époque 2030. Un commentateur expliquait comment le monde avait changé à cause du chômage grandissant. Après des documents imagés, il passa aux résultats occasionnés par ces faits : émeutes dans les capitales les plus importantes, envoi des troupes françaises pour tenter de secourir les pays les plus démunis en armes. Puis l'animateur proposa de voir des images de soldats étrangers venus secourir la France. Sur l'écran vint s'afficher des hommes de nationalité différents posant devant la caméra, sourire aux dents. Après une page de publicité, que François mit à profit pour boire un verre, arriva la seconde partie du documentaire. On y voyait les nouvelles techniques et les modernités apportées après l'abolition de la guerre. Là aussi, des personnages illustres qui avaient ramené l'ordre sur la planète, posaient dans un geste fier. Tout cela agaça François qui préféra regarder un film et pour cela, il se mit en quête d'en chercher un sur la tablette numérique.
Cependant un fléau persistait et avilissait les hommes : la drogue et l'alcool. Alors tout fut mis en place pour éradiquer ce fléau : la drogue. Un pacte fut signé et chaque pays brûla ces récoltes qui pouvaient produire ce poison. Les savants découvrirent un cachet miracle pour remplacer toutes les sensations de plaisir que donnait ces stupéfiants et l'on vit peu à peu, les modes de vie changer latéralement. Mais il restait encore un mal, sournois, inguérissable : l'alcool.
François en était le triste exemple. Dès qu'il put à l'âge de vingt ans ans entrer dans un débit de boisson, il se prit de goût pour l'alcool. et de ce fait, devint alcoolique.
Durant toute cette période, qu'était-il devenu ? Rien !
Il le pensait en buvant son énième verre de vin de la journée, regardant d'un œil distrait les images qui se profilaient sur l'écran de télévision. Toujours les mêmes : feuilletons désuets, reportages de bourrage de crane, films des années quatre-vingt. Les films récents étaient à présent, remplacés par des acteurs virtuels et des effets spéciaux très réalistes.
Le patron du bar, un costaud à l'allure de catcheur, aux cheveux noirs, frisés et drus. Le visage marqué par des cicatrices, l’œil sombre. Quant à l’autre, il l’avait perdu au cours d'une bagarre avec les forces de l'ordre.
De temps en temps, il offrait à la clientèle d'immigrés, une bouteille en grommelant dans sa barbe :
- Ils en bavent assez comme ça.
François, en les examinant, pensait qu’il ne valait pas mieux qu’eux, qu’un jour il finirait comme eux. Eux, n'étaient pas là pour leur plaisir. Ils avaient quitté leur pays à l'époque du marasme et n'en était plus repartit, ayant sombré dans la médiocrité et l'alcool.
Le cafard le reprit de plus belle et il commanda une autre bouteille de vin.
À cet effet, sur chaque table était disposé un appareil avec des touches. Il composa un code qui figurait sur une tablette.
Sous le comptoir, sur un écran que seul le patron pouvait voir, venait s’inscrire la demande. Le propriétaire du bar, en amenant la bouteille, dit à François sur un ton qui se voulait poli :
- C’est la dernière, après je ferme.
Devant la carrure de l’homme, on ne pouvait que dire oui. Quand il lui tourna le dos, François ne put s’empêcher d’admirer les dorsaux du colosse qui roulaient sous sa chemise.
Ses yeux bientôt clignèrent. Il se trouvait dans un état semi-éveillé. Quand soudain, il fut brusquement tiré de son état comateux, par un éclat de voix et de verre cassé. Il redressa la tête et vit le tenancier en train de tabasser un étranger. Celui-ci criait, pleurait et du sang coulait de son arcade ouverte. François se leva d’un bond et se dirigea vers les deux hommes pour les séparer, sans penser au danger.
- Toi, l’alcoolique, tire-toi ! ça vaudra mieux pour toi.
Comme il voulait repousser François, celui-ci lui attrapa le bras pour le faire voltiger à travers la salle du café. Son vol plané se termina sur le panneau où Superman était en train de lever les bras en signe de triomphe, alors que s’inscrivait le mot fin. Puis il sortit sous l’œil ahuri du gérant et les applaudissements des consommateurs. À peine dehors, il fut tiré par l'épaule. Il se retourna et découvrit le colosse, l'air encore plus menaçant, lui faire face. Il voulut recommencer son exploit , mais à ce moment, un verre d'eau vint l'interrompre dans son geste. Il ferma les yeux sous l'effet de surprise et quand il les rouvrit, il découvrit la tête du tenancier, hilare. Il mit quelques temps à comprendre qu'il avait rêvé et que le patron du bar lui avait jeté ce verre d'eau à la figure, n'arrivant pas à le réveiller. Il lui dit d'un ton goguenard :
- Alors mon bonhomme on fait dodo. Allez oust, on ferme.
François se leva péniblement, paya ses consommations et sortit en titubant sous l’œil moqueur de l'homme. Il se dirigea vers une H.L.M. Eh oui, même ça ne lui avait pas été épargné. Il vivait dans cet endroit avec les réfugiés. Ces H.L.M ne servaient plus qu'au cas sociaux et chômeurs.
Merci pour ton aide. Là, je remets la correction du premier extrait.
En ce jour de Septembre 2050, François, la quarantaine,
marchait dans les rues vides de Paris, seul, désœuvré. Le ciel bas, rendait encore plus difficile la fin des vacances. Il travaillait comme plongeur dans un lycée et la rentrée scolaire arrivait à grands pas.
Dans sa divagation, il aperçut un bistrot ouvert. Il y entra, s’installa et commanda une bouteille de vin et un verre.
Installé dans un coin du bar, il regardait la télévision.
Un grand écran plat avait remplacé le vieux modèle au-dessus du bar. Pour écouter, il y avait un casque pour ne pas gêner les voisins. Dans l'établissement, quelques immigrés. buvaient en silence.
Depuis les vingt ans de François, pas grand chose n'avait changé. À part quelques améliorations. Les voitures roulaient au gaz ou à l'énergie nucléaire, le pétrole ne servait plus qu'à l'alimentation et aux produits cosmétiques.
Dans les années 2030, il y avait eu un début de conflit mondial. En fait, plutôt des émeutes dans quelques pays, le peuple en avait assez de vivre misérablement. Une nouvelle sorte de drogue envahit les quartiers pauvres des villes, créant encore plus de violences et de crimes. Certaines personnes subirent une métamorphose à cause de cette cochonnerie. Elle eut pour effet de rendre ceux déjà disposés au mal, d'accentuer cette cruauté qui sommeillait en eux. Ce fut l'étincelle qui déclencha des guérillas, suivi ensuite d’émeutes et de la guerre. Lorsque le monde semblait au bord du gouffre, quelques hommes de bonne volonté remirent l'ordre et la justice en place. Petit à petit, des hommes plus sages firent détruire les armes nucléaires et chimiques. Les exploitations des forêts réduites et les énergies naturelles furent mieux utilisées.
Tout cela, François, se le remémorait devant l'écran qui justement, repassait un document sur l'époque 2030. Un commentateur expliquait comment le monde avait changé à cause du chômage grandissant. Après des documents imagés, il passa aux résultats occasionnés par ces faits : émeutes dans les capitales les plus importantes, envoi des troupes françaises pour tenter de secourir les pays les plus démunis en armes. Puis l'animateur proposa de voir des images de soldats étrangers venus secourir la France. Sur l'écran vint s'afficher des hommes de nationalité différents posant devant la caméra, sourire aux dents. Après une page de publicité, que François mit à profit pour boire un verre, arriva la seconde partie du documentaire. On y voyait les nouvelles techniques et les modernités apportées après l'abolition de la guerre. Là aussi, des personnages illustres qui avaient ramené l'ordre sur la planète, posaient dans un geste fier. Tout cela agaça François qui préféra regarder un film et pour cela, il se mit en quête d'en chercher un sur la tablette numérique.
Cependant un fléau persistait et avilissait les hommes : la drogue et l'alcool. Alors tout fut mis en place pour éradiquer ce fléau : la drogue. Un pacte fut signé et chaque pays brûla ces récoltes qui pouvaient produire ce poison. Les savants découvrirent un cachet miracle pour remplacer toutes les sensations de plaisir que donnait ces stupéfiants et l'on vit peu à peu, les modes de vie changer latéralement. Mais il restait encore un mal, sournois, inguérissable : l'alcool.
François en était le triste exemple. Dès qu'il put à l'âge de vingt ans ans entrer dans un débit de boisson, il se prit de goût pour l'alcool. et de ce fait, devint alcoolique.
Durant toute cette période, qu'était-il devenu ? Rien !
Il le pensait en buvant son énième verre de vin de la journée, regardant d'un œil distrait les images qui se profilaient sur l'écran de télévision. Toujours les mêmes : feuilletons désuets, reportages de bourrage de crane, films des années quatre-vingt. Les films récents étaient à présent, remplacés par des acteurs virtuels et des effets spéciaux très réalistes.
Le patron du bar, un costaud à l'allure de catcheur, aux cheveux noirs, frisés et drus. Le visage marqué par des cicatrices, l’œil sombre. Quant à l’autre, il l’avait perdu au cours d'une bagarre avec les forces de l'ordre.
De temps en temps, il offrait à la clientèle d'immigrés, une bouteille en grommelant dans sa barbe :
- Ils en bavent assez comme ça.
François, en les examinant, pensait qu’il ne valait pas mieux qu’eux, qu’un jour il finirait comme eux. Eux, n'étaient pas là pour leur plaisir. Ils avaient quitté leur pays à l'époque du marasme et n'en était plus repartit, ayant sombré dans la médiocrité et l'alcool.
Le cafard le reprit de plus belle et il commanda une autre bouteille de vin.
À cet effet, sur chaque table était disposé un appareil avec des touches. Il composa un code qui figurait sur une tablette.
Sous le comptoir, sur un écran que seul le patron pouvait voir, venait s’inscrire la demande. Le propriétaire du bar, en amenant la bouteille, dit à François sur un ton qui se voulait poli :
- C’est la dernière, après je ferme.
Devant la carrure de l’homme, on ne pouvait que dire oui. Quand il lui tourna le dos, François ne put s’empêcher d’admirer les dorsaux du colosse qui roulaient sous sa chemise.
Ses yeux bientôt clignèrent. Il se trouvait dans un état semi-éveillé. Quand soudain, il fut brusquement tiré de son état comateux, par un éclat de voix et de verre cassé. Il redressa la tête et vit le tenancier en train de tabasser un étranger. Celui-ci criait, pleurait et du sang coulait de son arcade ouverte. François se leva d’un bond et se dirigea vers les deux hommes pour les séparer, sans penser au danger.
- Toi, l’alcoolique, tire-toi ! ça vaudra mieux pour toi.
Comme il voulait repousser François, celui-ci lui attrapa le bras pour le faire voltiger à travers la salle du café. Son vol plané se termina sur le panneau où Superman était en train de lever les bras en signe de triomphe, alors que s’inscrivait le mot fin. Puis il sortit sous l’œil ahuri du gérant et les applaudissements des consommateurs. À peine dehors, il fut tiré par l'épaule. Il se retourna et découvrit le colosse, l'air encore plus menaçant, lui faire face. Il voulut recommencer son exploit , mais à ce moment, un verre d'eau vint l'interrompre dans son geste. Il ferma les yeux sous l'effet de surprise et quand il les rouvrit, il découvrit la tête du tenancier, hilare. Il mit quelques temps à comprendre qu'il avait rêvé et que le patron du bar lui avait jeté ce verre d'eau à la figure, n'arrivant pas à le réveiller. Il lui dit d'un ton goguenard :
- Alors mon bonhomme on fait dodo. Allez oust, on ferme.
François se leva péniblement, paya ses consommations et sortit en titubant sous l’œil moqueur de l'homme. Il se dirigea vers une H.L.M. Eh oui, même ça ne lui avait pas été épargné. Il vivait dans cet endroit avec les réfugiés. Ces H.L.M ne servaient plus qu'au cas sociaux et chômeurs.
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Re: ans avoir eu de commentaire
Je te félicite pour cette correction tout est beaucoup plus clair et plus fluide aussi ; est-ce que tu continue de ton côté à corriger ton roman ?
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci de ton commentaire. Oui bien sûr, je suis obligé de le restructurer. J'ai posté la suite dans romans.
Merci de ton commentaire. Oui bien sûr, je suis obligé de le restructurer. J'ai posté la suite dans romans.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Hello, je t'ai fait une bêta sur ton dernier extrait. Bah j'avoue que je n'ai pas compris du tout ce retour en arrière, pour moi cela n'apporte rien à l'histoire que tu as commencée, c'est comme deux choses complètement différente et je n'ai pas accroché du tout
On est passé d'une ambiance sombre un peu glauque à un bond dans le temps où tout ce qui est dit et bien ne sort vraiment pas de l'ordinaire... Du déjà vu qui surprenant
I
On est passé d'une ambiance sombre un peu glauque à un bond dans le temps où tout ce qui est dit et bien ne sort vraiment pas de l'ordinaire... Du déjà vu qui surprenant
I
- bêta:
l leva les yeux sur (vers) le ciel noir (il fait nuit ?) qui (se confondait avec la couleur du bâtiment) (l’un étant plus vaste que l’autre, je dirai l’inverse, la couleur du bâtiment ce confond avec le ciel) . Dire que celui-ci était si propre, si beau avant la guerre. Il n’était encore qu’un enfant à cette époque. (attention, il manque une transition, tu sautes du coq à l’âne) Puis (beaucoup de puis qui se suivent, ce n’est pas très esthétique, je te les ai mis en vert pour que cela te donne une idée du nombre) il se mit à regarder (ce n’est pas très joli, pourquoi se mit… il regarda est plus simple et plus agréable à l’oreille comme à la lecture) une fenêtre aux rideaux sales où se détachait le visage malingre d’une vieille femme. C’est là qu’il habitait, il y a bien longtemps, avec ses parents, ses sœurs.
C’était (évite les être, avoir, sembler… ici, il n’est pas du tout nécessaire, tu peux fort bien mettre ta phrase sans ; les meilleures années….) les meilleures années qu’il ait connues….
Son père, occupait le (un, sinon précise de quel théâtre) poste d'accessoiriste dans un théâtre, tandis que sa mère travaillait dans une usine de vêtements. Le premier enfant à venir, fut François. Puis vint une fille. (originale, tu nommes le garçon mais pas la fille)
Au début, la voisine, nounou de son état, s'occupa de François, puis après quand François fut plus grand, (lourd) il aida la nounou ce qui limita les frais de garde. (là je ne comprends pas ce qu’il faisait… il travaillait avec elle ? ce n’est pas claire du tout et peu logique ; on voit mal une nounou se faire seconder par un enfant qu’elle garde…)
Puis sa mère fut de nouveau enceinte. Cette fois, elle accoucha de jumelles à la surprise générale. Ce fut l’occasion d’un arrosage mémorable et aussi de la première cuite de François. La vie continua tranquille, jusqu’au jour où les enfants grandissants, il fallait penser à l’argent que la mère ne toucherait plus. En effet, elle cessa de travailler après la naissance des jumelles.
(Tout ce passage est raconté et on ne comprend pas où tu veux en venir ; un retour en arrière qui n’apporte rien à l’histoire. As-tu une raison, une idée précise pour écrire ce passage ?)
À cette époque, l'apprentissage reprit avec des normes plus justes. Trois années chez un professionnel sérieux et l'apprenti rémunéré. (un peu succinct et mis là pour éclairer le lecteur)
Alors, ils mirent François en apprentissage chez un charcutier.
Quand il débarqua la première fois dans l'atelier de charcuterie à quatre heures du matin, il comprit que ce n'était pas sa voie. L'odeur de la cochonnaille, la vision des abats et le sang sur le tablier du patron, lui amenèrent la nausée dès le premier jour. (répétition d’idée ; si il débarque pour la première fois, on suppose que c’est aussi son premier jour)
Malgré ses efforts, il n'arriva pas à s'adapter. Ses parents à contre cœur durent rompre le contrat .
Il passa les trois années avant sa majorité à traîner de contrat en contrat d'apprentissage. Ainsi, il essaya les métiers de cuisinier, boulanger et même de mécanicien. À chaque fois, ce fut la même ritournelle : il n'aimait pas.
C'est ainsi qu'il arriva à vingt ans sans diplôme.
Il n'eut pas droit au chômage et vivota de petits boulots.
Il arriva à un stade où les jeunes de son âge s’amusaient, sortaient dans les bals, flirtaient avec les filles et faisaient du sport. Lui, ne faisait rien de tout ça et en plus, il n’avait pas de travail fixe.
Un jour, qu’il n’avait plus d’argent et plus de travail, (répétition) il décida d’aller voir ses parents (ce qui suppose qu’il avait pris un appartement ? Comment ? S’il n’avait ni argent, ni travail ?). Au moins il (ne) mangerait et (ne) dormirait pas tout seul comme d’habitude. Après, il verrait bien.
Quand il arriva devant la porte, son cœur se mit à battre un peu plus fort. C’est vrai que ses parents, il ne les voyait presque plus. Cela faisait quelques mois, qu’il n’était pas venu dire un petit bonjour. Il frappa et attendit le cœur battant. (répétition)Au bout de quelques minutes la porte s’ouvrit sur un petit minois et il reconnut l’une des jumelles. (en effet, il a du partir bien longtemps s’il reconnaît sa sœur, cela suppose qu’elle a terriblement changé) Sans l’embrasser, elle retourna à l’intérieur en s’écriant :
- C’est François, c’est François !
Alors un remue-ménage incroyable se produisit et sa sœur, Rosine apparut. Les jumelles lui firent la fête. (généralement ce sont les chiens qui font la fête) Il les repoussa doucement et s’adressa à Rosine :
- Papa et maman sont là ?
Rosine baissa la tête et lui fit signe d’entrer. Il pénétra dans l’appartement légèrement anxieux et tout de même content de les revoir. La première chose qu’il vit, ce fut sa mère. Elle était debout devant la fenêtre de la salle à manger, semblant épier quelque chose. Il chercha du regard la présence de son père et ne rencontra que le vide. Alors il se dirigea vers sa mère pour lui dire bonjour.
Elle sursauta quand il parla et quand elle se retourna vers lui, il vit qu’elle avait les yeux gonflés comme si elle avait pleuré. Décontenancé, il balbutia :
- Qu’est-ce qu’il y a maman ?
Elle répondit avec de la colère dans la voix :
- Ah te voilà toi ! Tu t’es décidé de venir nous voir. T’es encore sans travail, je suppose. On te voie que quand tu n’as plus rien et que tu n’es pas soûl.
Il reçut toutes ces critiques comme une gifle. Il ne reconnaissait pas sa mère. D’habitude si douce(,) si réservée. Que lui était-il arrivée ? Il baissa la tête et tenta de parler d’autre chose : (la suite prouve que non, il ne parle pas d’autre chose)
- Tu as raison maman, mais il ne faut pas te mettre dans cet état. Je ne veux pas vous ennuyer avec mes problèmes, mais ça n’empêche pas que j’ai besoin de vous voir parfois.
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci infiniment pour ta correction. C'est super ! Je fais un retour en arrière dans le but de faire comprendre la cause du déclin de François et sa vie avant avec sa famille. Je mets le texte modifié dans roman. Merci pour tout.
Merci infiniment pour ta correction. C'est super ! Je fais un retour en arrière dans le but de faire comprendre la cause du déclin de François et sa vie avant avec sa famille. Je mets le texte modifié dans roman. Merci pour tout.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Alors Auteur008, est-ce que tu avances dans tes corrections ? Où en es-tu ??
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
J'ai posté un nouvel extrait et je n'ai pas eu de visite.
J'ai posté un nouvel extrait et je n'ai pas eu de visite.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Ah bon ? Je n'ai pas vu tu as posté à la suite ?? Il n'y avait pas le fanion sur ton sujet en tout cas... bizarre... Mais n'empêche, où en es-tu ?
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Que veux-tu dire par fanion ?
C'est un roman qui est fini et je le poste au fur et à mesure des commentaires, voire, des corrections.
Que veux-tu dire par fanion ?
C'est un roman qui est fini et je le poste au fur et à mesure des commentaires, voire, des corrections.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Et bien mets en un autre ??
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Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Ah bon ! Sans avoir eu de commentaire ?
Bon, ben je m'exécute.
Ah bon ! Sans avoir eu de commentaire ?
Bon, ben je m'exécute.
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Hello !
J'ai lu le premier extrait que tu as mis sur le forum.
Globalement, et bon point, l'histoire m'intéresse : je m'interroge sur François, qui il est, ce qu'il fait là. Le décor est planté, l'ambiance explicite, le contexte aussi, les images sont présentes. On sent que tu as des idées, que tu arrives à les positionner mais pas à les exploiter correctement. Pour moi, ton principal problème vient du style du roman, très décousu, difficile à suivre (phrases sans verbes, ponctuation anarchique, langage tantôt courant tantôt familier, manque de structure dans la narration...).
Pour un roman, ce n'est pas suffisant, pas assez fluide pour être agréable à la lecture.
Bref, je pense que tu as l'idée, que tu la tiens, mais que tu manques d'habitude ou de technique, pour l'exploiter correctement. Ce serait pas mal, à mon avis, de travailler sur ce point.
Une question cependant : pourquoi les extraits sont-ils en double sur le forum de lecture ? J'ai pris la 2è version (je pense qu'il s'agit de la dernière). Mieux vaut supprimer le post qui n'est plus à jour pour éviter d'égarer le lecteur à commenter une version qui n'est plus la bonne... (tu peux éditer (=modifier) ou supprimer tes posts avec les boutons qui apparaissent en haut à droite de chaque post).
Contrairement à mon habitude, je n'irai pas dans le détail , car ton problème est global et se situe tout au long du texte. Si j'allais dans le détail, je devrais reprendre quasiment chaque paragraphe pour expliquer ce qui ne me convient pas, et non seulement je n'ai pas 4h pour ça, mais en plus je ne veux pas te décourager.
J'ignore si tu envisages d'être publié (par voie officielle ou non), mais si c'est le cas, je te conseille très fortement de revoir la manière dont tu écris. C'est le problème principal de ton roman qui le rend trop "amateur" à mes yeux (attention, ce n'est pas une insulte, il y a des romans amateurs qui sont très bons, mais là on sent le manque d'expérience en écriture).
Je vais essayer d'être claire, et si jamais ce n'est pas le cas, n'hésite pas à m'interroger (ou à me contredire si tu penses que je divague). Je rappelle que ce n'est que mon avis et qu'il est donc personnel et subjectif. Sache également que je ne souhaite pas te décourager : j'ai aimé l'histoire que j'ai lue, même si ce n'est qu'un court extrait, et je n'y ai pas décelé de problème de fond pour l'instant.
Le problème, c'est sa forme, qui ne la met pas en valeur.
Pour reprendre en quelques points mon impression finale :
Points positifs :
- l’orthographe
- l’histoire, qui sonne un peu post-apocalyptique (j'aiiime)
- l’atmosphère bien rendue
Points négatifs :
- manque de structure dans la narration
- gros problème de concordance des temps
- ponctuation anarchique, syntaxe un peu aléatoire
Moralité, le fond est intéressant, mais la forme à travailler, travailler, et travailler encore.
Bienvenue dans le monde de l'écriture !
Je suis à ta disposition pour toutes questions ou remarques...
J'ai lu le premier extrait que tu as mis sur le forum.
Globalement, et bon point, l'histoire m'intéresse : je m'interroge sur François, qui il est, ce qu'il fait là. Le décor est planté, l'ambiance explicite, le contexte aussi, les images sont présentes. On sent que tu as des idées, que tu arrives à les positionner mais pas à les exploiter correctement. Pour moi, ton principal problème vient du style du roman, très décousu, difficile à suivre (phrases sans verbes, ponctuation anarchique, langage tantôt courant tantôt familier, manque de structure dans la narration...).
Pour un roman, ce n'est pas suffisant, pas assez fluide pour être agréable à la lecture.
Bref, je pense que tu as l'idée, que tu la tiens, mais que tu manques d'habitude ou de technique, pour l'exploiter correctement. Ce serait pas mal, à mon avis, de travailler sur ce point.
Une question cependant : pourquoi les extraits sont-ils en double sur le forum de lecture ? J'ai pris la 2è version (je pense qu'il s'agit de la dernière). Mieux vaut supprimer le post qui n'est plus à jour pour éviter d'égarer le lecteur à commenter une version qui n'est plus la bonne... (tu peux éditer (=modifier) ou supprimer tes posts avec les boutons qui apparaissent en haut à droite de chaque post).
Contrairement à mon habitude, je n'irai pas dans le détail , car ton problème est global et se situe tout au long du texte. Si j'allais dans le détail, je devrais reprendre quasiment chaque paragraphe pour expliquer ce qui ne me convient pas, et non seulement je n'ai pas 4h pour ça, mais en plus je ne veux pas te décourager.
J'ignore si tu envisages d'être publié (par voie officielle ou non), mais si c'est le cas, je te conseille très fortement de revoir la manière dont tu écris. C'est le problème principal de ton roman qui le rend trop "amateur" à mes yeux (attention, ce n'est pas une insulte, il y a des romans amateurs qui sont très bons, mais là on sent le manque d'expérience en écriture).
Je vais essayer d'être claire, et si jamais ce n'est pas le cas, n'hésite pas à m'interroger (ou à me contredire si tu penses que je divague). Je rappelle que ce n'est que mon avis et qu'il est donc personnel et subjectif. Sache également que je ne souhaite pas te décourager : j'ai aimé l'histoire que j'ai lue, même si ce n'est qu'un court extrait, et je n'y ai pas décelé de problème de fond pour l'instant.
Le problème, c'est sa forme, qui ne la met pas en valeur.
- Spoiler:
- Tout d'abord, c'est rigolo, car j'ai un peu retrouvé dans ton récit les mauvais penchants de mes débuts en écriture : sortir l'histoire de ma tête, peu importe à quel prix. Or, il y a toujours un décalage entre l'histoire qu'on imagine et celle qu'on écrit. Il est très difficile de mettre en scène l'ambiance, d'intégrer les éléments nécessaires à la compréhension et de poursuivre l'intrigue de manière à la rendre agréable à la lecture.
C'est ici ce qu'il manque.
Tu lances des éléments dont on saisit l'importance, mais qui sont mal intégrés au récit. Par exemple, l'ouverture du roman :François traînait dans les rues (ce jour-là), seul, désœuvré. Le ciel bas, en ce mois de septembre rendait encore plus difficile la fin des vacances. Il travaillait comme plongeur dans un lycée et la rentrée scolaire arrivait à grands pas, Les vacances étant terminées.
Voilà un exemple flagrant du principal problème qui se retrouve jusqu’au bout de l’extrait : on sent que tu as l’idée (tu installes une ambiance lourde, terne, triste), mais ça ne marche pas.
D’abord, cet extrait mériterait d’être fluidifié. Je pense que tu peux te permettre, ici, des phrases plus longues : tu installes l’ambiance. Réserve les phrases courtes pour de l’action, du rythme, plus d’intensité ou de suspense.
Premier problème : tu répètes 2x en 3 phrases le même thème : la fin des vacances (en gras). Avec une nuance de contradiction puisque si « la rentrée scolaire arrive à grands pas » (souligné), c’est que les vacances ne sont pas encore terminées.
L’autre problème : tu balances trop d’informations sans justifier leur intégration au texte. C’est pour moi d’ailleurs un problème récurrent dans les textes amateurs : on a parfois l’impression que les auteurs ont tellement envie d'utiliser leurs fiches personnages qu'ils mettent un max d'infos dès le départ pour être tranquilles avec ça… alors que c’est tellement plus agréable quand les informations sur l’apparence, le métier, le caractère du personnage surgissent aux moments adéquats, lorsqu’elles sont sollicitées par le contexte et l’histoire ! La lecture en est fluidifiée car le lecteur garde le fil.
Ici, son travail est un élément important dont je comprends l’intérêt, bien que je le considère mal intégré : être plongeur dans un lycée, c’est un travail honnête mais pas une source de gloire, et ça ajoute au sentiment un peu minable ou misérable qui se dégage du personnage.
Il aurait été intéressant, ici, de parler plutôt de ce qu’il ressent à l’idée de reprendre bientôt le travail, peut-être même de faire un parallèle avec ce ciel bas, lourd, et qui apparemment n’est pas le seul à élément à peser sur lui.
Je m’attarde beaucoup sur ce passage, en tant qu'exemple. Je souhaitais juste que tu suives mon raisonnement (après, tu adhères ou pas, c’est ton choix).En ce jour de Septembre 2050, François, la quarantaine, marchait dans les rues vides de Paris, quand il aperçut un bistrot ouvert. Il y entra, s’installa et commanda une bouteille de vin et un verre. Installé dans un coin du bar, il regardait la télévision.
Au deuxième paragraphe, tu reprends l'idée de solitude évoquée dans la première phrase. Or, c'est au même moment que tu dois, selon moi, exploiter cette idée. Les rues vides, il marche seul (sans témoiiin sans persoooonne aheum, pardon )... on a les éléments, mais y'a rien à faire, ça s'emboîte pas bien.
Il aurait été mieux de préciser l'année et le lieu dès le départ, ou de l'intégrer plus tard, lorsque le lecteur aurait eu besoin de le savoir. Dire qu'il a quarante ans... pour moi ça devrait se situer au même niveau que sa profession. C'est bien de dresser le portrait du personnage, mais il faut quand même le faire de manière structurée.
Et c'est ce qui manque à ton récit : de la structure et un fil directeur. En 2 paragraphes, tu nous places, dans l'ordre : le héros (François), le lieu (traîne dans les rues), le temps (mois de septembre/fin des vacances), tu reviens au héros (plongeur), puis au temps (fin des vacances encore), encore au temps (2050), au héros (la quarantaine) et enfin au lieu (Paris, bistrot).
Ce n'est qu'un exemple de ce qui se passe tout au long de l'extrait : les informations n'arrivent pas de manière cohérente au lecteur, certaines manquent (je pense notamment au passage du rêve, très difficile à suivre car les sujets sont mal identifiés), et d'autres par contre arrivent en surplus (attention aux répétitions et aux détails non pertinents), et malheureusement toujours dans le désordre ou dans une forme "brouillon" qui laisse penser que tu t'es empressé de poser sur papier (ou sur écran) l'idée tant qu'elle était là.
De ce fait, si l'histoire m'intrigue et tape dans un genre que j'apprécie, la forme ne me permet pas de m'y immerger.
Pour reprendre en quelques points mon impression finale :
Points positifs :
- l’orthographe
- l’histoire, qui sonne un peu post-apocalyptique (j'aiiime)
- l’atmosphère bien rendue
Points négatifs :
- manque de structure dans la narration
- gros problème de concordance des temps
- ponctuation anarchique, syntaxe un peu aléatoire
Moralité, le fond est intéressant, mais la forme à travailler, travailler, et travailler encore.
Bienvenue dans le monde de l'écriture !
Je suis à ta disposition pour toutes questions ou remarques...
Re: ans avoir eu de commentaire
Bonjour,
Merci pour ton commentaire.
Le premier extrait étant commenté, je l'avais corrigé et remis l'extrait corrigé.
Je ne sais pas si je vais arriver à finir ce roman, car c'est la énième fois qu'il est "critiqué".
Mais avec vos aides, je vais y arriver. ( je l'aurai, je l'aurai )
Merci pour ton commentaire.
Le premier extrait étant commenté, je l'avais corrigé et remis l'extrait corrigé.
Je ne sais pas si je vais arriver à finir ce roman, car c'est la énième fois qu'il est "critiqué".
Mais avec vos aides, je vais y arriver. ( je l'aurai, je l'aurai )
auteur008- Talent Hasardeux
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Re: ans avoir eu de commentaire
Et voici ma bêta !!
J'espère que cela pourra t'aider !! ;)
J'espère que cela pourra t'aider !! ;)
- bêta:
auteur008 le Ven 6 Juin 2014 - 14:58
Puis ne voulant pas entamer une discussion sur ce sujet, il tenta de donner le change en demandant : (ici, c’est superflue, on comprend très bien que la question qui suit est la sienne)
- Papa n’est pas là ?
Elle le foudroya du regard.
- Parlons-en de ton père ! Il est comme toi. Un jour là, un autre, ailleurs. Lui aussi, la famille il ne sait pas ce que c’est…
Elle ne put continuer, des sanglots l’en empêchant.
À ce moment, François ne sut que dire et c’est sa sœur qui vint à sa rescousse : (tu ne mets pas assez en scène, tu racontes et du coup il manque du mouvement, du réalisme dans ta phrase ; prend le temps de travailler sur tes scènes, tes personnages)
- Il vaudrait mieux que tu partes.
Il la regarda comme si elle venait d’une autre planète. (expression maladroite) Malgré son jeune age, (âge) elle paraissait plus âgée, (répétition) plus mûre.(préfère « mature » pour un humain… en fait tu peux faire sauter « paraissait plus âgée » et te contenter de parler d’une maturité supérieure à celle de François) Il voulut parler, savoir ce qui se passait, mais (attention avec le mais, il apporte une notion de contradiction qui n’est pas présente ici, ce qui surprend) elle répondit à sa question muette, tout en baissant les yeux :
- Ce n’est plus tout à fait comme avant, ici.
Ce fut leur dernière entrevue et François sortit sans toujours savoir (lourd… essaie d’alléger un maximum tes phrases… ignorer convient parfaitement) ce qui se passait. Il se retrouva dans la rue avec ses problèmes et cette nouvelle déception.
Il continua de vivre ainsi de petits boulots et de galères, jusqu’à ce qu’il entre à l’éducation nationale.
(Il manque une transition là, un petit développement, non ?)
Au bout de dix ans, il décida de renouer avec sa famille.
Le cœur et le moral gonflé à bloc, il se dirigea de nouveau vers l’immeuble de ses parents. Arrivé sur les lieux, il gravit les escaliers avec un peu d’appréhension. Il frappa en hésitant et ne recevant aucune réponse, ouvrit la porte.
Celle-ci n’étant pas fermée à clé, il put pénétrer dans l’appartement. (En fait, tu viens de dire qu’il avait ouvert la porte… donc, on ce doute de tout ça…) Le spectacle qui se présenta à lui, le cloua sur place.
Tout d’abord, une odeur indéfinissable de moisi, d’humidité. Il entra directement dans la salle à manger où régnait un désordre indescriptible. Les volets tirés où (les volets tirés ne sont pas le lieu, pourtant écrite comme cela, ta phrase le suggère) l’on ne distinguait qu’à peine les objets et meubles qui occupaient la pièce. Quand ses yeux se furent habitués à la pénombre et son odorat à l’odeur qui y régnait, (Euh, peut être qu’il aurait pu ouvrir les fenêtres, et remontés les stores non ? C’est ce que je ferai, moi en tout cas) il aperçut une vieille femme assise au milieu de la pièce. (cela vient trop tard, soit il fait carrément sombre, style on y voit plus rien et on ne distingue pas les objets (qui sont généralement petits) du tout, soit il aperçoit au moins une silhouette sombre se découper.. donc, la chronologie me semble mauvaise et casse la crédibilité de la phrase) Les coudes sur la table, parmi des bouteilles vides et diverses autres choses.
La vieille dame avait l’air de regarder un personnage imaginaire, les doigts crispés sur un verre à moitié plein. D’une maigreur extrême, les yeux globuleux, la mâchoire sans dents, les cheveux raides et blancs. Elle était vêtue d’un peignoir usé et crasseux. François ne reconnut pas cette femme et ouvrit les volets pour aérer la pièce et y voir plus clair. (ouah, cela vient trop tard à mon avis) Un jet de lumière pénétra dans la pièce, tel un bolide et fit clignoter les yeux de la vieille femme.
François, alors, (superflue) s'approcha d’elle, la scruta du regard, cherchant à reconnaître quelque chose d’humain dans cette loque. Un doute s’installa en lui. Ce serait-il trompé d’étage ? D’appartement ? Mais non, il ne s’était pas trompé, il reconnaissait bien les lieux. Alors ils avaient déménagés, ce ne pouvait être que ça. Il allait repartir en s’excusant auprès de cette malheureuse, quand il croisa le regard aviné de cette pauvre femme cherchant lui aussi à reconnaître cet étranger.
François, le premier cria : (mal dit)
- Maman !
(En fait, on s’en doutait depuis le début, donc pas de surprise, mais ce n’est pas là l’important, je pense que même dix ans plus tard, même vingt ans plus tard, même pocharde, j’aurais reconnu ma mère.. donc pour moi, c’est très, trop romancé et peu crédible)
À ce cri, la pocharde tressaillit, comme si une petite flamme au fond de son cœur, lui avait rappelé qu’elle était vivante. Elle se mit à bredouiller des mots inintelligibles, puis finit son verre. Les larmes aux yeux, François la prit par les épaules tout en lui parlant à l’oreille, d’une voix forte. (sois-tu parles d’une voix forte, parce que peur, douleur, chagrin, colère.. sois tu parles à l’oreille de quelqu’un et murmure pour réconforter, pour menacer.. mais parler à l’oreille de quelqu’un sous-entends un « ton » bas)
- Maman ! C’est moi François ton fils. Tu ne me reconnais pas ?
La vieille femme fit un effort pour regarder de nouveau cet intrus qui se disait être son fils. (répétition) Ses sourcils se tordirent dans tous les sens, (bizarre comme image, en fait je ne m’imagine pas du tout la scène) en signe de réflexion. Puis tout à coup, elle eu l’air de sortir de sa torpeur en (et s’écria) s’écriant presque joyeuse, métamorphosé(e) devant les yeux ébahis de François. (on s’en doute, ceci est superflue, il lui parle, il est penché sur elle, donc à moins qu’elle ne retourne, elle s’éveille devant ses yeux, ébahis ou non)
- François, François mon petit gars. Comme je suis contente de te voir. Ça fait longtemps que t’es pas venu. T’as changé tu sais. T’as grandi et grossi on dirait…
Elle n’en finissait plus de parler, alors François fut obligé de l’interrompre en criant (décidément, il parle fort, crie, je ne m’imagine pas une mère qui retrouve son enfant hurler les mots qu’elle vient de dire… De plus, son état physique me semble loin de correspondre à quelqu’un qui hurle sa joie !) plus fort qu’elle.
- Mais qu’est-ce qui est (lourd, qu’est-il…)arrivé ? Où sont mes sœurs ? Et papa, pourquoi n’est-il pas encore rentré ?
Alors la vieille dame retomba dans son mutisme et se resservit un autre verre. (là il manque une transition) François était parti inspecter les autres pièces. Les chambres étaient toutes vides sauf une, celle de ses parents, (il manque quelque chose ici aussi) contenait un lit au matelas éventré sans draps, juste une couverture qui traînait lamentablement dessus. Ensuite, une table et une chaise. C’est tout. Quand à la cuisine, un désastre. De la vaisselle qui n’avait pas vu de savon depuis belle lurette, traînait dans l’évier.
Des bestioles couraient ça et là. Cela devait être des cafards. Une petite table dans cette cuisine et sur celle-ci, une assiette pleine de détritus attendait qu’on l’enlève. François revint dans la salle à manger, cette fois la rage au cœur. Il hurla de désespoir et de honte.
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