Max
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Max
Cogale-Vesperale Sam 3 Jan 2009 - 22:00
Une surprise qu'est cet inconnu du grand et petit écran. Trouvé par hasard, un film à voir !
Nous sommes en 1918, les Allemands se sont pris une déculotté majeure et le pays est en ruine. A Munich, un Juif trentenaire ayant combattu du côté Allemand, ce qui lui a valu un bras en moins, réouvre une galerie d'art et protège les productions de tous les artistes qu'il juge comme potentiel, autour de lui se trouve la famille et l'argent. Cet homme, c'est Max Rothman. Un jour il rencontrera un artiste étrange, qui a également lutté durant la Grande Guerre, un type blafard, qui a tout perdu, voulant devenir peintre et adorant le futurisme, mais à l'aura dérangeante. Doué pour les discours, il suscite l'admiration de ses caporaux antisémites. Vous l'aurez compris, il s'agit d'Adolf Hitler.
Un principe génial que de créer une rencontre amicale entre deux personnes que tout opposera.
Ce film m'a plu, car il retranscrit très bien une époque sombre de l'Allemagne, l'entre-deux guerre, la montée au pouvoir des extrêmes et tout particulièrement du National-Socialisme. Sous-jacent à ce cadre, le personnage d'Adolf Hitler très bien joué par Noah Taylor, montré sous son jeune visage. Arrogant, paranoïaque, mais pourtant si passionné dans la peinture, on peut facilement s'attacher à lui, à croire en lui ! Mais on sait ce qu'il est, et lui-même sait qu'entre la Politique et la Peinture, il y aura un choix à faire. Comme milieu nous trouvons donc John Cusask, qui poussera toujours son protégé à continuer et peut-être inverser cette noire destinée.
Le film est aussi une démonstration de la puissance de l'art brut, du Futurisme, auquel Hitler croit fanatiquement, en rejetant toute forme abstraite de la peinture. L'avenir, c'est cela ? Pour l'Autrichien excité, il n'y avait aucun doute.
La folie emportera tout cependant, emportera tout dans la folie avec les conséquences que l'on sait.
Max, Menno Meyjes, 2003
Nous sommes en 1918, les Allemands se sont pris une déculotté majeure et le pays est en ruine. A Munich, un Juif trentenaire ayant combattu du côté Allemand, ce qui lui a valu un bras en moins, réouvre une galerie d'art et protège les productions de tous les artistes qu'il juge comme potentiel, autour de lui se trouve la famille et l'argent. Cet homme, c'est Max Rothman. Un jour il rencontrera un artiste étrange, qui a également lutté durant la Grande Guerre, un type blafard, qui a tout perdu, voulant devenir peintre et adorant le futurisme, mais à l'aura dérangeante. Doué pour les discours, il suscite l'admiration de ses caporaux antisémites. Vous l'aurez compris, il s'agit d'Adolf Hitler.
Un principe génial que de créer une rencontre amicale entre deux personnes que tout opposera.
Ce film m'a plu, car il retranscrit très bien une époque sombre de l'Allemagne, l'entre-deux guerre, la montée au pouvoir des extrêmes et tout particulièrement du National-Socialisme. Sous-jacent à ce cadre, le personnage d'Adolf Hitler très bien joué par Noah Taylor, montré sous son jeune visage. Arrogant, paranoïaque, mais pourtant si passionné dans la peinture, on peut facilement s'attacher à lui, à croire en lui ! Mais on sait ce qu'il est, et lui-même sait qu'entre la Politique et la Peinture, il y aura un choix à faire. Comme milieu nous trouvons donc John Cusask, qui poussera toujours son protégé à continuer et peut-être inverser cette noire destinée.
Le film est aussi une démonstration de la puissance de l'art brut, du Futurisme, auquel Hitler croit fanatiquement, en rejetant toute forme abstraite de la peinture. L'avenir, c'est cela ? Pour l'Autrichien excité, il n'y avait aucun doute.
La folie emportera tout cependant, emportera tout dans la folie avec les conséquences que l'on sait.
Max, Menno Meyjes, 2003
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Re: Max
Pacô Sam 10 Jan 2009 - 13:21
Dommage que la BA soit en anglais ^^'.
Mais je trouve ça super intéressant de voir ce que ça pourrait donner. Il faut que je pense à le visionner tiens =D.
Mais je trouve ça super intéressant de voir ce que ça pourrait donner. Il faut que je pense à le visionner tiens =D.
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