Lost in Translation
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Lost in Translation
Dit le poème, dont je ne me souviens plus du nom.
Hum, voilà un film que je considère comme succulent.
Bob Harris est un acteur, et sa vie ne décolle plus autant qu'à son apogée. Le pauvre vieux est alors appelé à tourner une publicité pour un whisky Japonais, le Santory, dans la tentaculaire et inconnue ville de Tokyo. Ne sachant pas parler un mot Nippon et traitant pas mal de monde avec sarcasme, Bob frise l'aigreur totale et la dépression dans l'hôtel qui lui sert de refuge. Cependant, il n'est pas l'unique personne subissant les mauvais traitements de la vie, puisque Charlotte s'ennuie également dans sa room, ayant accompagné son photographe de mari, des moins intentionné si je puis dire.
C'est donc dans le bar de cet hôtel que, par le jeu du regard et de la curiosité, Charlotte offrira un verre à Bob.
Clash.
Lost in Translation m'a allègrement surpris, de par le fait qu'il était passé quasi-inaperçu dans notre région, mais aussi parce qu'il traite joyeusement d'un thème fort dans un cadre original : l'amitié. Les différentes nuits que Bob et Charlotte passent ensemble dans les multiples clubs tokyotes se savourent avec plaisir. Voir cette amitié improbable entre deux paumés séparés par plusieurs Printemps se resserrer au cour d'une heure quarante est encore plus délicieux. Fonctionnant comme une émission touristique, Coppola filme la vie Japonaise avec un génial réalisme, cadrant à chaud tous les lieux fréquentés par les deux protagonistes. Et cette ville sera le théâtre d'une relation close soulevant les problèmes de l'existence, du parcourt de la vie, de l'amour, de la difficulté de s'exprimer dans un pays aux antipodes de la culture linguistique Occidentale.
Encore un film de nuit.
C'est plaisant, c'est reposant et drôle. Bill Murray et Scarlett Johansson dans toute la finesse de l'art. Est-ce de l'amour ?
Lost in Translation, Sofia Coppola, 2003
Hum, voilà un film que je considère comme succulent.
Bob Harris est un acteur, et sa vie ne décolle plus autant qu'à son apogée. Le pauvre vieux est alors appelé à tourner une publicité pour un whisky Japonais, le Santory, dans la tentaculaire et inconnue ville de Tokyo. Ne sachant pas parler un mot Nippon et traitant pas mal de monde avec sarcasme, Bob frise l'aigreur totale et la dépression dans l'hôtel qui lui sert de refuge. Cependant, il n'est pas l'unique personne subissant les mauvais traitements de la vie, puisque Charlotte s'ennuie également dans sa room, ayant accompagné son photographe de mari, des moins intentionné si je puis dire.
C'est donc dans le bar de cet hôtel que, par le jeu du regard et de la curiosité, Charlotte offrira un verre à Bob.
Clash.
Lost in Translation m'a allègrement surpris, de par le fait qu'il était passé quasi-inaperçu dans notre région, mais aussi parce qu'il traite joyeusement d'un thème fort dans un cadre original : l'amitié. Les différentes nuits que Bob et Charlotte passent ensemble dans les multiples clubs tokyotes se savourent avec plaisir. Voir cette amitié improbable entre deux paumés séparés par plusieurs Printemps se resserrer au cour d'une heure quarante est encore plus délicieux. Fonctionnant comme une émission touristique, Coppola filme la vie Japonaise avec un génial réalisme, cadrant à chaud tous les lieux fréquentés par les deux protagonistes. Et cette ville sera le théâtre d'une relation close soulevant les problèmes de l'existence, du parcourt de la vie, de l'amour, de la difficulté de s'exprimer dans un pays aux antipodes de la culture linguistique Occidentale.
Encore un film de nuit.
C'est plaisant, c'est reposant et drôle. Bill Murray et Scarlett Johansson dans toute la finesse de l'art. Est-ce de l'amour ?
Lost in Translation, Sofia Coppola, 2003
Cogale-Vesperale- Talent Habitué
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