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Les Contes Cruels

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Message  Lyz Maddox Ven 13 Mar 2009 - 18:34

Petite explication avant tout: vous connaissez tous les jolis films de disney, très édulcorés et mignons, ou simplement les contes que vous avez lu plus jeune
Eh bien voilà, j'écris ces contes, mais de façon plus "adulte" ou plus trash en fait. Le romantisme est vite brisé et je me base uniquement sur la légende et l'entoure de mon imagination. C'est assez spécial mais je vous force pas à les lire lol! J'en ai écrit 2 pour le moment ( sur 5 de prévus) mais je les mets petit à petit pour pas vous gaver d'entrée! voilà voilà!

Le premier est celui de la Petite Sirène, je l'ai découpé en deux chapitres de trois parties, voici le chap 1


Les océans sont plus mystérieux et sombres qu'on ne l'imagine. Il n'y a pas que de belles plantes colorées, de banc de poissons exotiques se mélengeant aux rayons solaires qui se refletent dans les vagues. D'autres êtres dénués d'âme hantent certains fonds marins. L'envoûtement, l'enchantement que l'on peut ressentir face a de tels créatures désarme. Ils forcent a perdre notion du temps, du reste, de la vie mais surtout de la mort. Mi poissons mi femmes, dotées des plus beaux attributs de chaque espéce, elles harpentent les eaux glacées des océans les plus profonds. Nombreuses sont les legendes écrites sur ces mystérieuse créatures, leurs voix envouteraient tant et si bien que des centaines d'hommes se seraient noyées, aurait été dévorés vivants juste pour les belles vibrations d'une sirène.
Très différent, moins mystérieux mais tout aussi complexe et attirant. Remplit d'une substance que l'on ne peut attraper, l'air. Le monde d'en haut, celui juste au dessus de l'eau, là où ils vivent. Les humains. Etres sans pitié, assassins sans scrupules mais si faibles devant de simples choses. Ils tuent la vie qui vient de l'eau, ils la dévorent. Elle le sait, elle les as vu faire, les harpons, les fourches. Mais la tentation de passer cette infime limite, ce passage quasi minuscule entre l'eau et l'air, est si forte, obsendante, qu'il devient presque inévitable de l'accepter. Et puis combien avant elle ont passé la tête hors de l'eau, à leurs risques et périls? Si ces légendes existes c'est qu'elle n'est pas la seule à être attirée par ce monde barbare mais tellement mystérieux à ses yeux, regorgeant de choses qu'elle ne peut imaginer. Elle entend comme une plainte dans son esprit, une voix qui la pousse à y aller. Elle n'est plus une enfant a présent et son corps s'est épanouit de la plus belle façon qu'il soit.


Il fait sombre dehors, un voile épais de brouillard flotte sur l'eau, comme pour créer une deuxième surface, deuxième porte a passer pour regader, pour apercevoir un homme.
Mais ce brouillard est opportun, il la cachera, il la dissimulera de leurs yeux a eux, leurs yeux si terribles qui pourraient s'attarder sur ses longs cheveux couleurs sang et croiser son regard de la même couleur que le fond de l'océan. Du bruit, un bateau, grand, fait tout de bois, de voile, de filets, et d'hommes. Elle ondule entre les eaux, se rapprochant toujours plus prés, toujours trop près de ce danger (imminent) et dès ce moment plus aucunes histoires qu'elle a entendu ne lui parait vrai. Il est là, droit et solide, beau et souriant. Des cheveux bruns un corps d'athlète, scrutant l'horizon sans jamais détourner le regard. Et en elle c'est l'électrochoc, la secousse, elle se sent plus faible mais aussi plus forte à la fois, chaque cellules de son corps ne demande qu'à être contre celui de cet homme. De cet humain. Ses propres mains effleurent la coque du gigantesque bateau, s'accrochant comme pour ne pas couler, comme s'il allait disparaitre. Elle ne regarde plus ailleurs, plus rien d'autre n'a d'importance et cet envoûtement naturel qu'on donne volontier aux sirènes semble faire son effet. Comme si quelque chose l'y poussait, le jeune homme quitte des yeux son horizon si précieux pour les porter plus bas, a la surface. Le brouillard est à couper au couteau mais il plisse les yeux jusqu'à distinguer une ombre, puis une silouhette. Et enfin c'est une femme qu'il apperçoit. L'idée ne le choque pas, les mythes et légendes auxquels ils ne croit pas n'ont plus d'importance, il la regarde. Leurs regards se croisent, leurs coeur respectif accélere.


Elle murmure, sans vraiment le vouloir ni même sans rendre compte elle murmure une mélopée si douce à l'oreille que le jeune capitaine en oublie quelques minutes le reste du monde et de ce qui l'entoure. Ses yeux sont rivés sur elle, il l'écoute, se sent partir mais la raison est une chose forte chez lui, ses yeux clignent, il reprend ses esprit avec une rapidité fulgurante et recule brusquement, sortant du chant de vision de la sirène qui prend conscience du danger qui plane au dessus de sa tête. Des cris d'hommes raisonnent, des ordres mais ils ne parlent pas sa langues et ses cris ne lui inspirent que de la peur. Elle plonge, essayant de nager rapidement afin de rejoindre les profondeurs où nul homme ne pourrait la trouver même avec la meilleure volonté du monde.
Mais quelque chose vient se heurter violemment contre son épaule et avant même qu'elle ne puisse regarder de quoi il s'agit, elle ressent les filets se refermer autours de son corps.
Un moment de néant, plus un bruit. Le passage de l'eau à l'air lui a été douloureux et ses esprits mettent quelques minutes avant de revenir. Elle a du mal à respirer, l'air envahi ses poumons peu habitués, et autours d'elle, un bruit sourd. Ses yeux se lèvent lentement et c'est tout autour d'elle. Des hommes, tous différents mais identiques a ses yeux, ils parlent fort, rient et sourient en la voyant, elle a peur, un sentiment plus fort que jamais inonde son corps qui est secoué de légers tremblements, elle veut partir, plonger dans l'eau. Elle cède a la panique et tente de rejoindre les rebords de ce bateau, tirant sur ses bras et bougeant la queue comme pour nager mais de solides mains se ressèrent comme des etaux sur ses poignets, ses épaules et sa queue. C'est trop pour elle et sa voix cristalline raisonne dans un hurlement, entre la peur et la panique. Mais les légendes sur la cruauté des hommes ne sont pas sans fondements, sa peur leur fait plaisir et c'est à plusieurs qu'il l'attrape et l'ammène a l'interieur du bateau là où elle ne pourra pas sortir ni plonger. Il est là, fier de ce qu'il vient de pêcher. Il déboutonne sa chemise ne la lachant pas du regard, les autres font de même en continuant de la tenir fermement. Elle sait ce qu'il va se passer, elle sait qu'elle n'aurait jamais dû emerger et sent monter en elle une colère, un désir de vengeance qui augmente chaque fois qu'un nouvel homme se sert d'elle, la touche et lui retire sa pureté. Tandis qu'un d'eux est sur elle, son regard croise celui de cet homme qu'elle a cru aimer, elle le reverrai, elle se le jure, s'ils ne la tuent pas après ça, elle le reverra.


( jai revu certains membre d'un autre forum que je fréquente vous connaissez peut être ^^)


Dernière édition par Lyz le Ven 13 Mar 2009 - 20:51, édité 1 fois
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Message  Morganne Ven 13 Mar 2009 - 20:15

j'aime beaucoup, par contre je ne comprend pas très bien ce qui lui arrive;que peuvent lui faire les hommes, puisque elle est à moitié poisson? j'ai vu quelques fautes d'orthographe, notment "Flôte" qui s'écrit en realité "flotte"... sinon, le début est prometteur, j'attends la suite!
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Message  Lyz Maddox Ven 13 Mar 2009 - 20:56

J'ai réparé ma stupide faute désolé j'ai rompu avec l'orthographe il y a des siècles de ça!

Hum justement ça m'avait intrigué quand j'étais plus jeune et si l'on en croit ce que j'ai lu les sirères pourraient tout à faire l'amour, grâce a une fente dissimulée sous leurs écailles ( mais bon je vois pas des sirères tous les jours donc ça reste a prouver hin x) )
Donc voilà pour te répondre, je posterais la suite un peu plutard, se presser ne sert pas à grand chose, mais elle arrivera Wink
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Message  Pacô Ven 13 Mar 2009 - 23:33

Lyz a écrit:
Les océans sont plus mystérieux et (plus) sombres qu'on ne l'imagine. Il n'y a pas que de belles plantes colorées, de banc de poissons exotiques se mélengeant aux rayons solaires qui se refletent dans les vagues. D'autres êtres dénués d'âme hantent certains fonds marins. L'envoûtement, l'enchantement que l'on peut ressentir face à de telles créatures désarmées. Ils forcent à perdre notion du temps, du reste, de la vie mais surtout de la mort. Mi-poissons mi-femmes, dotées des plus beaux attributs de chaque espèce, elles arpentent les eaux glacées des océans les plus profonds. Nombreuses sont les legendes écrites sur ces mystérieuse créatures, leurs voix envouteraient tant et si bien que des centaines d'hommes se seraient noyées, auraient été dévorées vivants juste pour les belles vibrations d'une sirène.
Très différent, moins mystérieux mais tout aussi complexe et attirant. Rempli d'une substance que l'on ne peut attraper, l'air (j'avoue ne pas comprendre de quoi tu parles... il faut accorder au pluriel si tu parles des hommes). Le monde d'en haut, celui juste au dessus de l'eau, là où ils vivent. Les humains. Etres sans pitié, assassins sans scrupule mais si faibles devant de simples choses. Ils tuent la vie qui vient de l'eau, ils la dévorent. Elle le sait, elle les a vus faire, les harpons, les fourches (? des fourches pour pêcher?). Mais la tentation de passer cette infime limite, ce passage quasi minuscule entre l'eau et l'air, est si forte, obdante, qu'il devient presque inévitable de l'accepter. Et puis combien avant elle ont passé la tête hors de l'eau, à leurs risques et périls? Si ces légendes existent, c'est qu'elle n'est pas la seule à être attirée par ce monde barbare mais tellement mystérieux (répétition: secret etc..) à ses yeux, regorgeant de choses (à éviter le "choses" => définir) qu'elle ne peut imaginer. Elle entend comme une plainte dans son esprit, une voix qui la pousse à y aller. Elle n'est plus une enfant à présent et son corps s'est épanoui de la plus belle façon qu'il soit.


Il fait sombre dehors, un voile épais de brouillard flotte sur l'eau, comme pour créer une deuxième surface, deuxième porte à passer pour regader, pour apercevoir un homme.
Mais ce brouillard est opportun, il la cachera, il la dissimulera de leurs yeux à eux, leurs yeux si terribles qui pourraient s'attarder sur ses longs cheveux couleur sang (vermeille, c'est le nom exacte ^^) et croiser son regard de la même couleur (répétition => utilise vermeille plus haut) que le fond de l'océan. Du bruit, un bateau, grand, fait tout de bois, de voile, de filets, et d'hommes. Elle ondule entre les eaux, se rapprochant toujours plus près, toujours trop près de ce danger - imminent - et dès ce moment plus aucune histoire qu'elle a entendue ne lui parait vraie. Il est là, droit et solide, beau et souriant. Des cheveux bruns un corps d'athlète, scrutant l'horizon sans jamais détourner le regard. Et en elle c'est l'électrochoc (très bof comme expression. ça casse le rythme, l'énonciation etc... "coup de foudre" à la rigueur et encore... à supprimer), la secousse, elle se sent plus faible mais aussi plus forte à la fois, chaque cellule de son corps ne demande qu'à être contre celui de cet homme. De cet humain. Ses propres mains effleurent la coque du gigantesque bateau, s'accrochant comme pour ne pas couler, comme s'il allait disparaitre. Elle ne regarde plus ailleurs, plus rien d'autre n'a d'importance et cet envoûtement naturel qu'on donne volontier aux sirènes semble faire son effet. Comme si quelque chose l'y poussait, le jeune homme quitte des yeux son horizon si précieux pour les porter plus bas, à la surface. Le brouillard est à couper au couteau mais il plisse les yeux jusqu'à distinguer une ombre, puis une silhouette. Et enfin c'est une femme qu'il apperçoit. L'idée ne le choque pas, les mythes et légendes auxquels il ne croit pas n'ont plus d'importance, il la regarde. Leurs regards se croisent, leurs coeurs (respectif) (pas besoin de préciser, le "leur" sert à ça) s'accélerent.


Elle murmure, sans vraiment le vouloir ni même sans rendre compte, elle murmure une mélopée si douce à l'oreille que le jeune capitaine en oublie quelques minutes le reste du monde et de ce qui l'entoure. Ses yeux sont rivés sur elle, il l'écoute, se sent partir mais la raison est une chose forte chez lui, ses yeux clignent, il reprend ses esprit avec une rapidité fulgurante et recule brusquement, sortant du chant de vision de la sirène qui prend conscience du danger qui plane au dessus de sa tête. Des cris d'hommes raisonnent, des ordres mais ils ne parlent pas sa langue et ses cris ne lui inspirent que de la peur. Elle plonge, essayant de nager rapidement afin de rejoindre les profondeurs où nul homme ne pourrait la trouver même avec la meilleure volonté du monde.
Mais quelque chose vient se heurter violemment contre son épaule et avant même qu'elle ne puisse regarder de quoi il s'agit, elle ressent les filets se refermer autours de son corps.
Un moment de néant, plus un bruit. Le passage de l'eau à l'air lui a été douloureux et ses esprits mettent quelques minutes avant de revenir. Elle a du mal à respirer, l'air envahit ses poumons peu habitués, et autours d'elle, un bruit sourd. Ses yeux se lèvent (oulah ! Pourquoi du présent tout à coup? => "levèrent") lentement et c'est tout autours (et béh ! que de répétitions ^^) d'elle. Des hommes, tous différents mais identiques à ses yeux, ils parlent fort, rient et sourient en la voyant, elle a peur, un sentiment plus fort que jamais inonde son corps qui est secoué de légers tremblements, elle veut partir, plonger dans l'eau. Elle cède à la panique et tente de rejoindre les rebords de ce bateau, tirant sur ses bras et bougeant la queue comme pour nager mais de solides mains se ressèrent comme des étaux sur ses poignets, ses épaules et sa queue. C'est trop pour elle et sa voix cristalline raisonne dans un hurlement, entre la peur et la panique. Mais les légendes sur la cruauté des hommes ne sont pas sans fondement, sa peur leur fait plaisir et c'est à plusieurs qu'ils l'attrapent et l'amènent à l'interieur du bateau là où elle ne pourra pas sortir ni plonger. Il est là, fier de ce qu'il vient de pêcher. Il déboutonne sa chemise ne la lachant pas du regard, les autres font de même en continuant de la tenir fermement. Elle sait ce qu'il va se passer, elle sait qu'elle n'aurait jamais dû emerger et sent monter en elle une colère, un désir de vengeance qui augmente chaque fois qu'un nouvel homme se sert d'elle, la touche et lui retire sa pureté. Tandis qu'un d'eux est sur elle, son regard croise celui de cet homme qu'elle a cru aimer, elle le reverrait, elle se le jure, s'ils ne la tuent pas après ça, elle le reverra.

Pas mal d'erreurs. Et des phrases parfois lourdes et dures à suivre.
Hum, au fait, tu connais les règles du coin? On critique, on papotte on donne son avis, mais il ne faut pas prendre ça pour un avis méchant (etc...) mais bien évidemment pour s'améliorer Wink.
Rouge: Il faut changer
Bleu: Il est conseillé de changer ^^

Nous avns droit à la petite sirène revisitée par Litz... Je ne demande qu'à voir la suite Laughing. Attention à ne pas trop passer trop vite sur les évènnements toutefois et à bien penser de décrire suffisamment pour que le lecteur ne se perde pas.

Voyons voir la suite Smile.
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Message  Lyz Maddox Sam 14 Mar 2009 - 8:00

Merci pour la correction et nan ne t'inquiète pas je sais que toute critique est bonne à prendre Wink
Oui je sais que c'est une toute petite partie par une autre toute petite partie mais je n'aime pas trop écrire de longs textes, peur peut être d'ennuyer le pauvre lecteur x)
Et puis c'est une nouvelle, si je réécris les contes dans leur intégralité .. wouh!!
Mais je prends note! je vais corriger tout ce bricabrack que j'ai fais, surment dans la soirée quand je serais à nouveau ici ! Razz
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Message  Ruth Mer 18 Mar 2009 - 21:39

L'idée était sympa, mais curieusement je n'accroche pas du tout. Le style a quelque chose de "plat", c'est de la pure "description", j'ai du mal à sentir le "récit". Ton utilisation d'une scène de viol me paraît aussi peu judicieuse dans le cas d'une sirène, fente sous les écailles ou pas, les humains ne sont pas forcément à même de le savoir... Il manque quelque chose à cet écrit, une certaine flamme qui le rendrait vivant. Vraiment dommage, parce que ton idée de base était excellente (elle me fait un peu penser au manga Ludwig Revolution)...
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Message  Lyz Maddox Jeu 19 Mar 2009 - 9:19

J'ai lu les Ludwig mais j'avais déjà commencer a écrire ce genre de nouvelle avant.
J'ai du mal à mettre du .. "piquant" on va dire, peut être le temps d'écriture ou la façon très distante de le raconter?
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Message  Morganne Dim 5 Avr 2009 - 10:01

oui, peut etre devrais tu essayer de te rapprocher de ton recit, de sorte que ta maniere de racconter sois moins distente, cela permettra peut etre au lecteur de s'immerger un peu plus dans le recit. Peut etre drvrais tu aussi nous ouvrir un peu plus a la psychologie des personnages, de sorte qu'on eprouve qulque chose pour eux, antipathie ou attachement selon les personnages. Cela rendrait peut etre les evenements plus poignants. mais comme Ruth, je trouve la scene de viol peu judicieuse dans ce contexte de sirenes... ou alors ils faut que tu explique, et alors la bon courage!
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