IMPERIALDREAMER
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Libération

4 participants

Aller en bas

Libération Empty Libération

Message  Neverland Ven 24 Avr 2009 - 20:33

Un texte écrit il y a pas mal de temps déjà et qui change beaucoup de ce que j'écris habituellement! =)

*****


Assise dans le fauteuil de cuir contre le mur du salon, Eloïse remarqua à quel point la maison paraissait vide, froide, dénuée de sentiments. Si elle n'avait pas été aussi cartésienne elle aurait pensé que cet endroit qui lui avait semblé si chaleureux pendant toutes ces années la préparait à l'acte qu'elle allait accomplir. Ses mains tremblaient et son coeur semblait battre au rythme de l'imposante pendule qui se trouvait en face. Eloïse avait presque l'impression qu'elle l'observait, que ses aiguilles qui marquaient précisemment le temps qui s'écoulait allaient s'agrandir, se délier et la prendre à la gorge.
Il était presque dix-huit heures, il allait bientôt être temps... Observant un à un les meubles de la pièce, l'adolescente repensa à tous ces moments de joies passés avec son père avant qu'il ne parte, avant que sa mère ne le remplace par cet inconnu...
Soudain le bruit de la porte d'entrée se fît entendre. Jamais il n'avait été aussi long, si fort, si intense. Les mains d'Eloïse tremblaient de plus belle et son coeur à présent menaçait de s'arrêter brutalement.


Ne réfléchis pas, fais le...


Les pas lourds de l'inconnu que sa mère aimait retentirent au rythme des aiguilles dont le bruit résonnait étrangement. Soudain il apparut, son regard froid se posa sur l'adolescente qui cachait dans son dos ce qu'il ne devait pas voir. Il devait juste le sentir... uniquement le sentir...
Sans un mot, l'homme qu'elle haïssait lui tourna le dos.
Les aiguilles accelerèrent leur rythme, semblèrent hurler à travers la pièce dont les couleurs se mélangeaient et s'échappaient à travers les fenêtres pour laisser place à un gris glacial. Il était temps, elle ne pouvait plus reculer. Eloïse sortit de son dos le couteau qu'elle avait longtemps caché et en trois coups fît s'écrouler le monstre qu'elle avait rêvé de combattre...
La jeune fille recula et l'observa, incapable de pleurer, incapable de lâcher le couteau qu'elle tenait fermement dans sa main tremblante. Les aiguilles reprirent leur rythme habituel, les couleurs entrèrent discrètement dans la pièce afin de ne pas perturber l'adolescente.
Debout au-dessus du corps, elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. Ce ne fût qu'en se tournant légèrement qu'elle eut la surprise de voir sa mère défigurée par les bleus figée sur place. Puis d'une voix proche du murmure elle dit :


Je t'ai libérée Maman...
Neverland
Neverland
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Masculin Nombre de messages : 57
Age : 35
Localisation : Wasquehal, Nord
Emploi/loisirs : Ecriture, rêve, virées régulières au Pays Imaginaire...
Votre talent : Écriture
Points : 109
Date d'inscription : 21/04/2009

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  B. Sam 25 Avr 2009 - 12:54

Neverland a écrit:
*****


Assise dans le fauteuil de cuir contre le mur du salon, Eloïse remarqua à quel point la maison paraissait vide, froide, dénuée de sentiments. Si elle n'avait pas été aussi cartésienne, elle aurait pensé que cet endroit qui lui avait semblé si chaleureux pendant toutes ces années la préparait à l'acte qu'elle allait accomplir. Ses mains tremblaient et son coeur semblait battre au rythme de l'imposante pendule qui se trouvait en face. Eloïse avait presque l'impression qu'elle l'observait, que ses aiguilles qui marquaient précisément le temps qui s'écoulait allaient s'agrandir, se délier et la prendre à la gorge.
Il était presque dix-huit heures, il allait bientôt être temps... Observant un à un les meubles de la pièce, l'adolescente repensa à tous ces moments de joie passés avec son père avant qu'il ne parte, avant que sa mère ne le remplace par cet inconnu...
Soudain le bruit de la porte d'entrée se fit entendre. Jamais il n'avait été aussi long, si fort, si intense. Les mains d'Eloïse tremblaient de plus belle et son coeur à présent menaçait de s'arrêter brutalement.

Dans ce passage, beaucoup trop de "que", "qui", "qu'". Il faut tourner tes phrases autrement pour supprimer toutes ces conjonctions qui alourdissent ton texte. Une ou deux ça va, mais là il y en a trop.


Ne réfléchis pas, fais le...


Les pas lourds de l'inconnu que sa mère aimait retentirent au rythme des aiguilles dont le bruit résonnait étrangement. Soudain il apparut, son regard froid se posa sur l'adolescente qui cachait dans son dos ce qu'il ne devait pas voir. Il devait juste le sentir... uniquement le sentir...
Sans un mot, l'homme qu'elle haïssait lui tourna le dos. >>> explique mieux se passage: il se tient comment, que fait-il?
Les aiguilles accélérèrent leur rythme, semblèrent hurler >>> bof, un autre verbe serait mieux: leur tic-tac (ou autre que tic-tac) sourd résonnait bruyamment dans la pièce à travers la pièce dont les couleurs se mélangeaient et s'échappaient à travers les fenêtres pour laisser place à un gris glacial. Il était temps, elle ne pouvait plus reculer. Eloïse sortit de son dos le couteau qu'elle avait longtemps caché et en trois coups fît s'écrouler le monstre qu'elle avait rêvé de combattre... >>> phrase à modifier: c'est une ado et elle arrive à tuer si aisément un homme adulte? Comment s'y prend-elle? C'est trop facile écris comme ça.
La jeune fille recula et l'observa, incapable de pleurer, incapable de lâcher le couteau qu'elle tenait fermement dans sa main tremblante. Les aiguilles reprirent leur rythme habituel, les couleurs entrèrent discrètement dans la pièce afin de ne pas perturber l'adolescente. >>> je comprends l'idée, mais les couleurs ne perturbent pas. Trouve une autre tournure pour dire qu'elle revient à la réalité, comme si son esprit s'était mis en veilleuse au moment de commettre son crime.
Debout au-dessus du corps, elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. Ce ne fût qu'en se tournant légèrement qu'elle eut la surprise de voir sa mère figée sur place. Comme souvent depuis l'arrivée de l'inconnu, le visage de sa mère était couvert de bleus. Eloïse murmura : >>> je t'ai réécris ce passage, je pense que c'est mieux ainsi, à toi de voir Very Happy


Je t'ai libérée Maman...


Voilà, j'ai noté toutes mes critiques directement dans ton texte.
J'aime bien l'idée. Mis à part tous ces "que" trop nombreux pour un si petit texte, ton écriture est assez fluide.
Tu pourrais rendre le texte encore plus sombre en évoquant davantage les sentiments qui poussent la fille à tuer l'homme: la haine, la rancoeur, la colère...
J'espère que tu nous proposeras des nouvelles un peu plus longues Very Happy
avatar
B.
Talent Divin
Talent Divin

Féminin Nombre de messages : 4396
Votre talent : Écriture
Points : 4555
Date d'inscription : 23/02/2009

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  Neverland Sam 25 Avr 2009 - 14:46

Je suis tout à fait d'accord avec cette abondance de "que". Mais pas avec toutes les remarques. Je m'explique :

Le texte est volontairement court pour jouer sur le sous-entendu et créer un sentiment de malaise et d'incompréhension. Il me semble qu'approfondir la description de la mère à la fin ne va pas dans le sens de l'intention de départ, et n'est pas nécessaire. Pour preuve, tu as compris le sous-entendu !
Quant aux couleurs qui ne veulent pas perturber, il s'agit justement d'une métaphore qui va dans le sens de ce que tu expliques toi-même. Pas de retour automatique à la réalité, Eloïse est dans une bulle tout au long du texte, elle s'y enferme volontairement. Elle se détache de cette réalité avec cet inconnu.
C'est peut-être ça qu'il faudrait que je change, inclure un peu mieux cette idée de réclusion de la part de la protagoniste dans un monde à part.

Merci pour ce commentaire en tout cas ! Smile
Neverland
Neverland
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Masculin Nombre de messages : 57
Age : 35
Localisation : Wasquehal, Nord
Emploi/loisirs : Ecriture, rêve, virées régulières au Pays Imaginaire...
Votre talent : Écriture
Points : 109
Date d'inscription : 21/04/2009

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  B. Sam 25 Avr 2009 - 15:56

Neverland a écrit:
Il me semble qu'approfondir la description de la mère à la fin ne va pas dans le sens de l'intention de départ, et n'est pas nécessaire. Pour preuve, tu as compris le sous-entendu !
D'accord pour la mère, mais je parlais d'approfondir les sentiments de la fille: que ressent-elle plus précisément?

Quant aux couleurs qui ne veulent pas perturber, il s'agit justement d'une métaphore qui va dans le sens de ce que tu expliques toi-même. Pas de retour automatique à la réalité, Eloïse est dans une bulle tout au long du texte, elle s'y enferme volontairement. Elle se détache de cette réalité avec cet inconnu.
C'est peut-être ça qu'il faudrait que je change, inclure un peu mieux cette idée de réclusion de la part de la protagoniste dans un monde à part.
Oui, c'est exactement ce que j'avais compris pour les couleurs et il faut que tu modifies en effet pour obtenir le meilleur résultat.

Bonne continuation Very Happy
avatar
B.
Talent Divin
Talent Divin

Féminin Nombre de messages : 4396
Votre talent : Écriture
Points : 4555
Date d'inscription : 23/02/2009

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  kirlim Sam 25 Avr 2009 - 22:17

Neverland a écrit:Assise dans le fauteuil de cuir contre le mur du salon, Eloïse remarqua à quel point la maison paraissait vide, froide, dénuée de sentiments. Si elle n'avait pas été aussi cartésienne elle aurait pensé que cet endroit qui lui avait semblé si chaleureux pendant toutes ces années la préparait à l'acte qu'elle allait accomplir. Ses mains tremblaient et son cœur semblait battre au rythme de l'imposante pendule (un battement par seconde, un rythme de cœur à peine excité en somme...) qui se trouvait en face. Eloïse avait presque l'impression qu'elle l'observait, que ses aiguilles qui marquaient précisément le temps qui s'écoulait allaient s'agrandir, se délier et la prendre à la gorge.
Il était presque dix-huit heures, il allait bientôt être temps... Observant un à un les meubles de la pièce, l'adolescente repensa à tous ces moments de joie passés avec son père avant qu'il ne parte, avant que sa mère ne le remplace par cet inconnu...
Soudain le bruit de la porte d'entrée se fit (il me semble) entendre. Jamais il n'avait été aussi long, si fort, si intense. Les mains d'Eloïse tremblaient de plus belle et son cœur à présent menaçait de s'arrêter brutalement.

Apparemment, après avoir vu la correction de Barbara, elle t'a également fait remarquer le nombre quelque peu trop important de 'que' 'qui' 'qu' donc je te conseille, tout comme elle, de tourner tes phrases. =) (j'ai arrêté de les relever ensuite, barbara l'a fait et tu as compris je pense)

Ne réfléchis pas, fais le...


Les pas lourds de l'inconnu que sa mère aimait retentirent au rythme des aiguilles (tu as déjà utilisé cette expression précédemment, j'y vois même une répétition, malgré la distance) dont le bruit résonnait étrangement. Soudain il apparut, son regard froid se posa sur l'adolescente qui cachait dans son dos ce qu'il ne devait pas voir. Il devait juste le sentir... uniquement le sentir...
Sans un mot, l'homme qu'elle haïssait lui tourna le dos (se retourna).
Les aiguilles accélérèrent leur rythme (?), semblèrent hurler à travers la pièce dont les couleurs se mélangeaient et s'échappaient à travers les fenêtres pour laisser place à un gris glacial. Il était temps, elle ne pouvait plus reculer. Eloïse sortit de son dos le couteau qu'elle avait longtemps (une minute ?) caché et en trois coups fît s'écrouler le monstre qu'elle avait rêvé de combattre vaincre...
La jeune fille recula et l'observa, incapable de pleurer, incapable de lâcher le couteau qu'elle tenait fermement dans sa main tremblante. Les aiguilles reprirent leur rythme habituel (?), les couleurs entrèrent discrètement dans la pièce afin de ne pas perturber l'adolescente (?).
Debout au-dessus du corps, elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. Ce ne fût qu'en se tournant légèrement qu'elle eut la surprise de voir sa mère défigurée par les bleus (?) figée sur place. Puis d'une voix proche du murmure elle dit :


Je t'ai libérée Maman...

Raah, pas mal de phrases que je n'ai pas comprises.... ce qui n'est sûrement pas volontaire... Et je les ai signalée.
Il y a autre chose qui me dérange, c'est le scénario, il est... morbide au possible, mais dans un sens pas, intéressant à mon avis... Il y a du morbide qui apporte des morales... là, je ne vois vraiment que le morbide... Pas de leçon, ni d'intérêt si je peux dire les choses ainsi... Je ne sais pas comment m'exprimer, je ne vois pas l'intérêt de la nouvelle. Je sais, il n'en faut pas forcément mais bon.

Sinon, mis à part les quelques phrases à reformuler, le style est bon Smile
avatar
kirlim
Talent Divin
Talent Divin

Masculin Nombre de messages : 3190
Votre talent : Écriture
Points : 2761
Date d'inscription : 12/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  Neverland Sam 25 Avr 2009 - 23:12

Pour moi cette nouvelle est la mise en avant du ressenti d'un enfant dans une situation familiale comme celle là. Un enfant est prêt à tout pour protéger un parent, et n'ayant pas la même vision de la protection, les choses peuvent aller plus loin que chez un adulte.
Je souhaite apporter un nouveau point de vue sur ce sujet, prendre pour centre non plus la femme battue mais son enfant, dont la situation n'est pas à négliger.
Neverland
Neverland
Talent Hasardeux
Talent Hasardeux

Masculin Nombre de messages : 57
Age : 35
Localisation : Wasquehal, Nord
Emploi/loisirs : Ecriture, rêve, virées régulières au Pays Imaginaire...
Votre talent : Écriture
Points : 109
Date d'inscription : 21/04/2009

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  Pacô Dim 26 Avr 2009 - 11:53

Neverland a écrit:
*****

Assise dans le fauteuil de cuir contre le mur du salon, Eloïse remarqua à quel point la maison paraissait vide, froide, dénuée de sentiments. Si elle n'avait pas été aussi cartésienne, elle aurait pensé que cet endroit qui lui avait semblé si chaleureux pendant toutes ces années la préparait à l'acte qu'elle allait accomplir. Ses mains tremblaient et son cœur semblait battre au rythme de l'imposante pendule qui se trouvait en face. Eloïse avait presque l'impression (comment on a presque l'impression?) qu'elle l'observait, que ses aiguilles qui marquaient précisément le temps qui (pfiou, c'est la symphonie des qui que par ici ^^) s'écoulait allaient s'agrandir, se délier et la prendre à la gorge.
Il était presque dix-huit heures, il allait bientôt être temps... Observant un à un les meubles de la pièce, l'adolescente repensa à tous ces moments de joie passés avec son père avant qu'il ne parte, avant que sa mère ne le remplace par cet inconnu.
Soudain le bruit de la porte d'entrée se fît entendre (c'est assez maladroit le "se fit entendre". En gros, ça alourdit et ça perd la saveur de l'instant décrit).. Jamais il n'avait été aussi long, si fort, si intense. Les mains d'Eloïse tremblaient de plus belle et son cœur à présent menaçait de s'arrêter brutalement.


Ne réfléchis pas, fais-le...

Les pas lourds de l'inconnu que sa mère aimait retentirent au rythme des aiguilles dont le bruit résonnait étrangement (j'aime pas trop cette phrase. Déjà, tu as une répétition de la forme "retentir" et en plus, je vois mal des aiguilles résonner. Un tic à tac, ce n'est pas très résonnant...). Soudain il apparut, son regard froid se posa sur l'adolescente qui cachait dans son dos ce qu'il ne devait pas voir (normal, si elle le cache... la fin est redondant). Il devait juste le sentir... uniquement le sentir...
Sans un mot, l'homme qu'elle haïssait lui tourna le dos.
Les aiguilles accélérèrent leur rythme, semblèrent hurler à travers la pièce dont les couleurs se mélangeaient et s'échappaient à travers les fenêtres pour laisser place à un gris glacial. Il était temps, elle ne pouvait plus reculer. Eloïse sortit de son dos le couteau qu'elle avait longtemps caché (répétition => "dissimulé") et, en trois coups, fît s'écrouler (ouh, bof bof la tournure. "poignarda" ou alors, si tu veux garder ta façon de voir: "en trois coups, le monstre qu'elle avait rêvé de combattre s'écroula") le monstre qu'elle avait rêvé de combattre...
La jeune fille recula et l'observa, incapable de pleurer, incapable de lâcher le couteau qu'elle tenait fermement dans sa main tremblante. Les aiguilles reprirent leur rythme habituel, les couleurs entrèrent discrètement dans la pièce afin de ne pas perturber l'adolescente.
Debout au-dessus du corps, elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. Ce ne fût qu'en se tournant légèrement qu'elle eut la surprise de voir sa mère défigurée par les bleus, figée (on a l'impression que ce sont les bleus qui sont figés sur place) sur place. Puis d'une voix proche du murmure (étouffée) elle dit :


Je t'ai libérée Maman...

Pas trop mal, mais une histoire assez prévisible. En fait, dès le départ je tanguais entre le suicide et le meurtre. Puis dès que tu as mentionné l'inconnu de sa mère, j'a compris que ce serait le meurtre.

Il y a quelques tournures lourdes que tu peux éviter facilement: les "se faire + verbe" et "que le truc qui a machiné le bidule dont la chose ...".

Enfin, texte court aussi qui mériterait presque plus sa place dans les articles ^^'.
Pacô
Pacô
Admin à la retraite

Masculin Nombre de messages : 16006
Age : 31
Localisation : Clermont-Ferrand
Emploi/loisirs : Etudiant
Votre talent : Écriture
Points : 12756
Date d'inscription : 07/08/2007

http://imperialdream.fr

Revenir en haut Aller en bas

Libération Empty Re: Libération

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum