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Un sourire?

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Message  Séphiel Mer 20 Mai 2009 - 0:01

J'ai tennu a participer au forum un minimum avant de poster mon premier texte =3. Bref, je commence par ce premier jet. Si cela a un minimum de succès je publierais la suite dans les plus brefs délais. J'espère que vous apprécierez.

_________________________________

Introduction: Si vous possédiez la plus grande beauté, la plus grande intelligence la plus grande force. Si vous aviez tout ce que chacun cherche. Et si en plus de tout ça vous étiez immortelle? Que resterait-il a posséder, a conquérir? Se lancer dans une quête du pouvoir? Trouver l'amour? Non, la seul chose que l'on voudrais se serait trouver la quiétude de la mort...

_________________________________

- Un éclaire au chocolat s’il vous plait. Demanda poliment Hélène, au vendeur. Ce dernier lui remit la pâtisserie en tremblant légèrement.
- Voila, ça vous fera un euro cinquante. Il regarda Hélène dans les yeux avant de dire. C’est la maison qui offre. Cette fois ci la voie du vendeur était plus assurée, il faisait un sourire qui se voulait charmeur. Hélène lui rendit son sourire avant de s’en allé d’un pas gracieux et aérien.
-Ce n’est pas tout les jours qu’on peut voir de telles créatures. Dit le vendeur s’adressant à sont collègue.
-hmm…. Le second le parvins pas à répondre, il suivait encor du regard Hélène qui s’engageait à présent sur un passage pour piétons avec toujours autant de grâce.
- Vivement qu’elle revienne nous acheter quelques pâtisseries un jour, dit-il rêveur.

__________________

Hélène marchait tranquillement en direction du parc de la ville, elle était en quête d’un endroit ou s’assoir. Situé peu loin devant elle. Le vent s’engouffrant dans sa longue veste noire et faisant virevolté ses cheveux noir d’une longueur peut commune, ils lui arrivaient jusqu’aux genoux. Elle aimait bien ressentir les courants d’airs frais du soir. Cela la mettait toujours de bonne humeur. Elle remarqua un banc inoccupé, s’assit délicatement sur le banc. Le ciel était vraiment magnifique ce soir la, on pouvait y voir un nombre incalculable d’étoiles. Elle porta son éclaire au chocolat à sa bouche, dégustant lentement. Hélène avait un visage fin d’une beauté extrême. Ses yeux, son nez, ses lèvres, chaque détail de son visage était d’une beauté exceptionnelle.
Elle repensa à tout ce qu’elle avait vécu jusqu’à maintenant. Un sourire se dessina sur son visage…
Elle avait fini sa pâtisserie. Voulant encor profité quelques minutes du vent, Hélène pencha la tête en arrière, se perdant dans le ciel immense.
Elle resta ainsi près de deux heures entières perdu dans ses pensés. A chaque fois que Minerva observait le ciel, elle était subjuguée par tant de beauté. La place était a présent quasiment déserte. Elle sourit avec ironie en se disant qu’elle allait faire un peu plus attention la prochaine fois et elle s’en alla. Sur le chemin du retour Minerva perçu une voie féminine. C’était presque imperceptible, mais Héléna la tristesse, la résignation et la consternation. Elle avait toujours eu une ouïe particulièrement fine et elle était particulièrement sensible aux émotions. Héléna décida d’aller voir par elle-même à qui appartenait cette voie. Apres quelques minutes de marche elle arrivait sur les lieux. Elle constata la scène. A l’intérieur d’une impasse, une dizaine d’homme était autour d’une femme, ses cheveux blond tombaient délicatement sur son visage plein de contusion multiple, ses lèvres étaient si fine et si rouge, trop rouge, du a son sang qui coulait tranquillement sur visage Un des hommes avait les mains sur sa poitrine tandis qu’un autre commença a enlever son jean avec férocité. La jeune femme protesta vivement, du mieux qu’elle pu. Héléna regarda la scène le regard insensible, apparemment personne ne l’avait remarqué. Maintenant un homme lui tenait les bras en arrière tandis que celui qui avait les mains sur sa poitrine le vola un baisé. La femme fit une mine dégouté avant de refermé violement ses dent sur la langue de son agresseur. Il hurla de douleur la bouche en sang, les autre la regardait ébahi en murmurant « chef … », elle recracha le morceau de langue avec un air de dégout. Sur le coup Héléna souris. ‘Cette petite a du cran’ pensa-t-elle. Les hurlements cessèrent enfin.
-Tu… TU FAS PAYEEEER !!! Il n’arrivait plus a prononcer correctement les mots.
Les autres dégénérés s’étaient écartés d’elle. Le chef avait sorti un énorme couteau de sa veste.
- Tu le payas de ta fie ! Mais je ye te laisserais pas mourir fi fafilement ! Tu foufrira, encor et encor...
Il commença a la rouer de coups. Mais la jeune femme ne broncha point. Elle croisa enfin le regard d’Hélène mais elle n’appela pas à l’aide. Elle regarda Hélène dans les yeux puis souris. Hélène n’avais jamais vu un sourire aussi triste chez quelqu’un, elle n’avait jamais vu un sourire aussi beau…
-UN INSTANT ! Cria Hélène en se montrant aux hommes. Profitant de leurs surprises elle continua :
- Si vous voulez rester en vie encor un peu je vous conseil de relâcher cette femme, dit-elle d’un ton glacial et presque impérial.
La surprise passé, l’un hurla : « Attrapez celle la aussi ! »
-Pff..
Un homme fonça littéralement sur elle avec l’intention de la mettre au sol. Hélène avec une vitesse fulgurante lui porta un coup de coude au nez. Très vite elle prit la tête de l’homme encor sonné, et la fit descendre droit vers son genou. L’impact fut d’une rare violence. L’homme tomba d’abor a genoux le visage en sang complètement défoncé. Puis il s’effondra au sol, évanoui.
- Je ne vous le redirais pas une troisième fois. Si vous voulez rester en vie… relâchez cette femme immédiatement. Le ton était glacial, elle fixait leur chef l’aire imperturbable... Cette fois ci tous les sbires couraient vers elle armé de battes en fer et autres couteaux de combat.
-Pfff…
Elle évita avec brio chaque attaque qui lui était porté et riposta quasi instantanément. Il ne restait à présent plus que 2 sbires encore conscients. La peur se lisait sur leurs visages. Ils sortirent tout les deux des armes a feu et commencèrent à tiré sur Hélène. Celle-ci alla le plus rapidement qu’elle pu pour esquiver les balles vers le mur, elle fit quelques pas sur le mur digne des plus grand hommes araignée et s’élança. Elle leurs porta un splendide coup de pied céleste. Les deux sbires s’effondraient. BANG !! Une balle transperça l’abdomen d’Hélène. Elle se retourna et vis le canon de l’arme du chef encor fumante. Hélène tomba a genoux tandis que le chef explosa d’un rire dément. Il lâcha Hélène qui tomba violement sur le sol
- Je Fais te faire regretter tout fa !
Il lui porta un coup de pied au visage mais Hélène l’attrapa en plein mouvement et commençant a le tordre douloureusement. Le chef hurla de douleur.
-Tu ne m’auras pas avec une misérable balle.
Elle se releva en souriant, Elle leva le pied du chef, et écrasa avec son coude son genou. CRAC ! Il s’effondra de douleur. Elle se mit derrière lui et lui porta un coup de pied d’une violence inouï, au autre « CRAC ».
-Même si il se réveil un jour, il ne pourra plus jamais rien faire. Dit-elle impassible.
Elle alla vers la blonde littéralement couverte de bleu. Elle regardait avec admiration Hélène qui approchait d’elle d’un pas gracieux, presque irréelle. ‘ Cette femme…elle es magnifique’ pensa la blonde sur le coup. Hélène se baissa et pris la blonde dans ses bras et lui demanda doucement : Ton nom ?
- Alex. Parvint-elle à répondre doucement.
-Tout va bien maintenant Alex, dit-elle d’un ton rassurant.
Quelques larmes commencèrent à perler sous les yeux d’Alex. Hélène les essuya. Alex sourit doucement, avant de s’évanouir dans les bras protecteur d’Hélène.
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Message  kirlim Mer 20 Mai 2009 - 11:52

Séphiel a écrit:
Si vous possédiez la plus grande beauté, la plus grande intelligence la plus grande force. Si vous aviez tout ce que chacun cherche (ce que tous cherchent... ce que tout le monde cherche... à reformuler). Et si en plus de tout ça vous étiez immortelle? Que resterait-il à posséder, à conquérir? Se lancer dans une quête du pouvoir? Trouver l'amour? Non, la seul chose que l'on voudrait, ce serait trouver la quiétude de la mort...

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- Un éclair au chocolat s’il vous plait. Demanda poliment Hélène, au vendeur. Ce dernier lui remit la pâtisserie en tremblant légèrement.
- Voila, ça vous fera un euro cinquante. Il regarda Hélène dans les yeux avant de dire. C’est la maison qui offre. Cette fois ci la voix du vendeur était plus assurée, il faisait un sourire qui se voulait charmeur. Hélène lui rendit son sourire avant de s’en aller d’un pas gracieux et aérien.
-Ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir de telles créatures. Dit le vendeur s’adressant à son collègue.
-Hmm…. Le second ne parvint pas à répondre, il suivait encore Hélène du regard Hélène qui s’engageait à présent sur un passage pour piétons avec toujours autant de grâce.
- Vivement qu’elle revienne nous acheter quelques pâtisseries un jour, dit-il rêveur.

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Hélène marchait tranquillement en direction du parc de la ville, elle était en quête d’un endroit où s’asseoir. Situé peu loin devant elle. Le vent s’engouffrant dans sa longue veste noire et faisant virevolter ses cheveux noirs d’une longueur peu commune : ils lui arrivaient jusqu’aux genoux. Elle aimait bien ressentir les courants d’airs frais du soir. Cela la mettait toujours de bonne humeur. Elle remarqua un banc inoccupé, s’assit délicatement sur le banc (et s'y installa délicatement). Le ciel était vraiment magnifique ce soir là, on pouvait y voir un nombre incalculable d’étoiles. Elle porta son éclair au chocolat à sa bouche, dégustant lentement. Hélène avait un visage fin d’une beauté extrême. Ses yeux, son nez, ses lèvres, chaque détail de son visage était d’une beauté exceptionnelle.
Elle repensa à tout ce qu’elle avait vécu jusqu’à maintenant. Un sourire se dessina sur son visage…
Elle avait fini sa pâtisserie. Voulant encore profiter quelques minutes du vent, Hélène pencha la tête en arrière, se perdant dans le ciel immense.
Elle resta ainsi près de deux heures entières, perdue dans ses pensés. A chaque fois que Minerva observait le ciel, elle était subjuguée par tant de beauté. La place était à présent quasiment déserte. Elle sourit avec ironie en se disant qu’elle allait faire un peu plus attention la prochaine fois et elle s’en alla. Sur le chemin du retour Minerva perçu une voix féminine. C’était presque imperceptible, mais Héléna la tristesse, la résignation et la consternation (heein ?). Elle avait toujours eu une ouïe particulièrement fine et elle était particulièrement sensible aux émotions. Héléna (elle s'appelle Hélène !) décida d’aller voir par elle-même à qui appartenait cette voix. Après quelques minutes de marche elle arrivait sur les lieux et constata la scène. A l’intérieur d’une impasse, une dizaine d’hommes étaient autour d’une femme, ses cheveux blonds tombaient délicatement sur son visage plein de contusions multiples, ses lèvres étaient si fines et si rouges, trop rouges, dûe à son sang qui coulait tranquillement sur visage Un des hommes avait les mains sur sa poitrine tandis qu’un autre commençait a enlever son jean avec férocité. La jeune femme protesta vivement, du mieux qu’elle pu. Héléna regarda la scène le regard insensible, apparemment personne ne l’avait remarquée. Maintenant un homme lui tenait les bras en arrière tandis que celui qui avait les mains sur sa poitrine lui vola un baiser. La femme fit une mine dégouté avant de refermer violemment ses dents sur la langue de son agresseur. Il hurla de douleur la bouche en sang, les autres la regardaient, ébahis en murmurant « chef … », elle recracha le morceau de langue avec un air de dégout. Sur le coup Héléna sourit. ‘Cette petite a du cran’ pensa-t-elle. Les hurlements cessèrent enfin.
-Tu… TU FAS PAYEEEER !!! Il n’arrivait plus a prononcer correctement les mots. (se couper la langue est entraîne de trop grosses pertes de sang... Là, il est déjà mort le mec...)
Les autres dégénérés s’étaient écartés d’elle. Le chef avait sorti un énorme couteau de sa veste.
- Tu le payas de ta fie ! Mais je ye te laisserais pas mourir fi fafilement ! Tu foufriras, encore et encore...
Il commença a la rouer de coups. Mais la jeune femme ne broncha point. Elle croisa enfin le regard d’Hélène mais elle n’appela pas à l’aide. Elle regarda Hélène dans les yeux puis sourit. Hélène n’avait jamais vu un sourire aussi triste chez quelqu’un, elle n’avait jamais vu un sourire aussi beau…
-UN INSTANT ! Cria Hélène en se montrant aux hommes. Profitant de leur surprise elle continua :
- Si vous voulez rester en vie encore un peu je vous conseille de relâcher cette femme, dit-elle d’un ton glacial et presque impérial.
La surprise passé, l’un hurla : « Attrapez celle-la aussi ! »
-Pff..
Un homme fonça littéralement sur elle avec l’intention de la mettre au sol. Hélène avec une vitesse fulgurante lui porta un coup de coude au nez. Très vite elle prit la tête de l’homme encore sonné, et la fit descendre droit vers son genou. L’impact fut d’une rare violence. L’homme tomba d’abord a genoux le visage en sang complètement défoncé. Puis il s’effondra au sol, évanoui.
- Je ne vous le redirais pas une troisième fois. Si vous voulez rester en vie… relâchez cette femme immédiatement. Le ton était glacial, elle fixait leur chef l’aire imperturbable... Cette fois ci tous les sbires couraient vers elle armé de battes en fer et autres couteaux de combat.
-Pfff…
Elle évita avec brio chaque attaque qui lui était portée et riposta quasi instantanément. Il ne restait à présent plus que 2 sbires encore conscients. La peur se lisait sur leurs visages. Ils sortirent tout les deux des armes a feu et commencèrent à tirer sur Hélène. Celle-ci alla le plus rapidement qu’elle pu (bof...) pour esquiver les balles vers le mur, elle fit quelques pas sur le mur digne des plus grands hommes araignée et s’élança. Elle leurs porta un splendide coup de pied céleste. Les deux sbires s’effondraient. BANG !! Une balle transperça l’abdomen d’Hélène. Elle se retourna et vit le canon de l’arme du chef encore fumante. Hélène tomba a genoux tandis que le chef explosa d’un rire dément. Il lâcha Hélène qui tomba violemment sur le sol
- Je Fais te faire regretter tout fa !
Il lui porta un coup de pied au visage mais Hélène l’attrapa en plein mouvement et commençant a le tordre douloureusement. Le chef hurla de douleur.
-Tu ne m’auras pas avec une misérable balle.
Elle se releva en souriant, Elle leva le pied du chef, et écrasa avec son coude son genou. CRAC ! Il s’effondra de douleur. Elle se mit derrière lui et lui porta un coup de pied d’une violence inouïe, aux autres « CRAC ».
-Même s'il se réveille un jour, il ne pourra plus jamais rien faire. Dit-elle impassible.
Elle alla vers la blonde littéralement couverte de bleus. Elle regardait avec admiration Hélène qui approchait d’elle d’un pas gracieux, presque irréel. ‘ Cette femme…elle est magnifique’ pensa la blonde sur le coup. Hélène se baissa et prit la blonde dans ses bras et lui demanda doucement : Ton nom ?
- Alex. Parvint-elle à répondre doucement.
-Tout va bien maintenant Alex, dit-elle d’un ton rassurant.
Quelques larmes commencèrent à perler sous les yeux d’Alex. Hélène les essuya. Alex sourit doucement, avant de s’évanouir dans les bras protecteurs d’Hélène.


Beaucoup de fautes comme tu peux le voir mais c'est réglable ça Smile.
Ce qui m'a le plus intrigué, je dois t'avouer que c'est le passage de la beauté d'Hélène (Héléna ?) au viol d'Alex, c'est très très bizarre.
Aussi, l'éclair au chocolat, supposons qu'elle l'ai acheté juste avant la fermeture de la boulangerie, soit huit heures (et encore, normalement, il y en a plus là...) et supposons de même que nous sommes en hiver, en ce cas, oui, il y a déjà des étoiles dans le ciel, mais sinon... c'est trop bizarre, disons qu'on a l'impression d'être le matin puis ensuite d'être super tard.
Je pense que ton texte gagnerait énormément à être retravaillé et approfondit. Nous sommes là sur ID pour t'aider à le faire, donc si tu as besoin d'aide, tu nous le dit. Mais aussi, relis-toi, et à voix haute de préférence, tu verras que pas mal de tes phrases sonnent bizarrement.
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Message  Séphiel Mer 20 Mai 2009 - 13:39

Déjà merci pour cette lecture attentive.
Concernant mes fautes... je ne me suis pas relu et je suis naturellement nul en orthographe... J'arrangerais ça ^^"...

Âpres moi ce qui est de la cohérence. Hélène va prendre sa pâtisseries vers 20h. Je précise dans le texte qu'elle vois les étoiles et qu'il fait frais et pour bien signifié la nuit. Âpres le temps qu'elle met pour trouver l'endroit ou se posé, plus au temps qu'elle prend pour manger, et le GROS temps qu'elle prend à rêvasser il est aux alentour de 23h. Et à 23h a ma connaissance, les parc ne sont pas ultra fréquenté. Je me relirais quand même pour vérifié >.<...

Mon passage sur la beauté d'Hélène pendant l'agression d'Alex? Je ne vois pas de quoi tu parles. Pour moi les seuls passage parlant de la beauté d'Hélène sont au tout début ou elle laisse pantois les salariés de la pâtisserie. Et aussi lorsque je la décrit quand elle s'assit sur le banc. Mais précise, ta pensé, je t'expliquerais mieux ^^.

Une chose s'impose... un "retravaillage" de mon texte :3.
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Message  kirlim Mer 20 Mai 2009 - 15:35

Je voulais dire que tu commences par décrire la beauté d'Hélène, et que, par la suite, il y a le viol, et la beauté précédemment décrite est mise de côté alors qu'au contraire, tu la décrivais comme étant vraiment une divinité, ce qu'elle est surtout d'ailleurs, vue ton introduction Smile
Et je pense que le contraste est trop important, tu devrais peut-être prolonger un peu plus à mon avis.

Et pour le retravaillage, oui, je pense aussi Wink Parce qu'il y a des idées, et pas des mauvaises Smile
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Message  Pacô Mer 20 Mai 2009 - 16:02

Séphiel a écrit:
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Introduction: Si vous possédiez la plus grande beauté, la plus grande intelligence et la plus grande force (rupture de construction... normale?). Si vous aviez tout ce que chacun cherche. Et si en plus de tout ça vous étiez immortelle (tu parles qu'à une seule fille? Sinon => "immortels")? Que resterait-il à posséder, à conquérir? Se lancer dans une quête du pouvoir? Trouver l'amour? Non, la seule chose que l'on voudrait ce serait trouver la quiétude de la mort...

_________________________________

« Un éclair au chocolat s’il vous plait, demanda poliment Hélène [pas de virgule] au vendeur.»
Ce dernier lui remit la pâtisserie en tremblant légèrement (structure lourde. Je te conseille un "Ce dernier, parcouru par un léger tremblement, lui remit la pâtisserie") .
« Voila, ça vous fera un euro cinquante. Il regarda Hélène dans les yeux avant de dire. (deux choix s'offrent à toi. Soit tu mets la phrase de narration entre parenthèses soit tu fermes les guillemets et tu passes à la ligne puis tu les rouvre pour la suite. Là, sinon, on a l'impression qu'il dit qu'il regarda Hélène) C’est la maison qui offre.»
Cette fois-ci la voix du vendeur était plus assurée, il faisait (verbe faible. => "arborait" "présentait" etc...) un sourire qui se voulait charmeur. Hélène lui rendit son sourire (afin d'éviter la répétition: "le lui rendit") avant de s’en aller d’un pas gracieux et aérien.
« Ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir de telles créatures, dit le vendeur en s’adressant (si tu peux trouver une formulation qui évite cette structure...) à son collègue.
-Hmm…. »
Le second ne parvint pas à répondre ("... pas à répondre tout de suite" vu qu'il répond quand même après) , il suivait encore du regard Hélène qui s’engageait à présent sur un passage pour piétons avec toujours autant de grâce.
« Vivement qu’elle revienne nous acheter quelques pâtisseries un jour », dit-il rêveur.
__________________

Hélène marchait tranquillement en direction du parc de la ville, elle était en quête d’un endroit ou s’assoir. Situé peu loin devant elle (il faut raccroché cette proposition à une phrase... là, elle n'est raccrochée à rien et ne reprend rien. => " ... en direction du parc, situé peu loin devant elle, ..."). Le vent s’engouffrait dans sa longue veste noire et faisait virevolter ses cheveux noirs (répétition) d’une longueur peu commune : ils lui arrivaient jusqu’aux genoux. Elle aimait bien ressentir les courants d’air frais du soir. Cela la mettait toujours de bonne humeur. Elle remarqua un banc inoccupé, s’assit délicatement sur le banc (répétition ... comment tu t'assois délicatement? Razz "... inoccupé et s'y assit avec souplesse"). Le ciel était vraiment magnifique ce soir là, on pouvait y voir un nombre incalculable d’étoiles. Elle porta l'éclair au chocolat à sa bouche (j'ai évité l'accumulation de possessifs qui rendent la phrase lourde, voire incorrecte), dégustant lentement (tu pourrais jouer sur les saveurs. "dégustant lentement" ne donne aucune idée au lecteur de ce que tu veux dire. C'est trop abstrait et il faut rechercher à justifier cette dégustation... Tu vois le truc? Genre: "... à sa bouche, savourant le chocolat moelleux sur le plat de sa langue et la pâte sucrée contre son palais." Là c'est de la totale impro, mais j'espère que tu vois ce que je veux dire) . Hélène avait un visage fin d’une beauté extrême (pareil pour ici. "une beauté extrême", voilà qui est très subjectif ! La beauté, c'est bien connu, est perçue de manière différente et donc il est difficile au lecteur de l'imaginer d'une manière concrète. Un personnage peut dire qu'elle est belle, le narrateur, externe à l'histoire, ou alors, après la description physique, en évitant toutefois la redondance). Ses yeux, son nez, ses lèvres, chaque détail de son visage étaient d’une beauté exceptionnelle. (même chose)
Elle repensa à tout ce qu’elle avait vécu jusqu’à maintenant. Un sourire se dessina sur son visage (répétition: sur sa bouche)
Elle avait fini sa pâtisserie. Voulant (verbe pas assez approfondi: "Désirant") encore profiter quelques minutes du vent, Hélène pencha la tête en arrière, se perdant (P.présent à bannir Twisted Evil ! "... arrière, le regard perdu dans le ciel immense.") dans le ciel immense.
Elle resta ainsi près de deux heures entières perdue (répétition. "accrochée aux fils de ses pensées" avec une petite métaphore en prime Smile .) dans ses pensés. A chaque fois que Minerva observait le ciel, elle était subjuguée par tant de beauté (quelle beauté?... et pense au champ lexical de la beauté afin d'éviter des répétitions contraignantes...). La place était à présent quasiment déserte. Elle sourit avec ironie, se disant qu’elle allait faire un peu plus attention la prochaine fois, et elle s’en alla. Sur le chemin du retour Minerva perçut une voie féminine. C’était presque imperceptible, mais Hélène la tristesse, la résignation et la consternation (manque qqchose non? tongue ). Elle avait toujours eu une ouïe particulièrement fine et elle était particulièrement sensible aux émotions. Hélène décida d’aller voir par elle-même à qui appartenait cette voix (mal dit). Après quelques minutes de marche, elle arrivait (ou "elle arriva" mais l'imaprfait passe) sur les lieux. Elle constata la scène. (constater une scène... est déjà en soi une phrase peu correcte, mais... est-elle bien utile cette fameuse phrase?) Dans une impasse, une dizaine d’hommes était autour d’une femme, ses cheveux blonds tombaient délicatement sur son visage plein de contusions multiples ("boursouflés", un mot pour désigenr tout ça ... ces temps-ci, il faut privilégier l'économie ^^), ses lèvres étaient si fines et si rouges, trop rouges, du (ce "du" reprend quoi? "ceci du" à la rigueur) à son sang qui coulait tranquillement (je ne suis pas sûr que tu veuilles donner un effet absurde à ton texte. "sang qui coulait abondamment") sur son visage(menton). Un des hommes avait les mains sur sa poitrine tandis qu’un autre commençait à enlever son jean avec férocité. La jeune femme protesta vivement, du mieux qu’elle put. Hélène regarda la scène le regard insensible (tout à l'heure, n'était-elle pas justement trop sensible?), apparemment personne ne l’avait remarquée. Maintenant un homme lui tenait les bras en arrière tandis que celui qui avait les mains sur sa poitrine lui vola un baiser. La femme fit une mine dégoutée avant de refermer violemment ses dents sur la langue de son agresseur (oulah, à revoir ton baiser ! Un baiser, ce n'est pas rouler une pelle, sauf si on parle de manière vulgaire Wink ). Il hurla de douleur la bouche en sang, les autres la regardaient ébahis en murmurant « chef … », elle recracha le morceau de langue avec un air de dégoût. Sur le coup (moyen l'expression) Hélène sourit. "Cette petite a du cran" pensa-t-elle. Les hurlements cessèrent enfin.
«'hou… 'HOU FAS PAYEEEER !!!» (ça me rappelle un exercice du dialogue ça. Pense qu'il a langue coupée... il parle en conséquence, mais il ne s'agit pas d'enlever ou rajouter des sonorités au hasard ! Proscris les sons "t" "d" "n" "l" etc... enfin tout ce qui fait toucher le boutde la langue ... Tu peux à la rigueur mettre des "h" à la place des "t".)
Il n’arrivait plus à prononcer correctement les mots. Les autres dégénérés s’étaient écartés d’elle. Le chef avait sorti un énorme couteau de sa veste.
- 'hou le payeras de 'ha fie ! Mais je ye 'he 'haisserais pas mourir fi fafi'ement ! 'hu foufriras, encore et encore...
Il commença à la rouer de coups. Mais la jeune femme ne broncha pas (pourquoi mettre de l'ancien français? Very Happy ). Elle croisa enfin le regard d’Hélène mais elle n’appela pas à l’aide. Elle regarda Hélène (répétition => "elle la fixa") dans les yeux puis sourit. Hélène n’avait jamais vu un sourire aussi triste chez quelqu’un, elle n’avait jamais vu un sourire aussi beau…
« Un instant ! » (inutile de mettre en majuscule. Ton verbe est suffisant pour montrer l'impact de la voix. Et c'est bien dans la narration et non dans l'apparence que cela doit se voir Wink) cria Hélène en se montrant aux hommes. Profitant de leur surprise elle continua (poursuivit) :
« Si vous voulez rester en vie encore un peu je vous conseille de relâcher cette femme, dit-elle d’un ton glacial et presque impérieux (impérial, c'est un adjectif en rapport avec la qualité du rang d'un Empire. Pas une manière !).
La surprise passée, l’un hurla : « Attrapez celle la aussi ! »
-Pff.. (je ne crois pas que ce soit réellement utile)
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Message  Pacô Mer 20 Mai 2009 - 16:03

Un homme fonça littéralement sur elle avec l’intention de la mettre au sol. Hélène avec une vitesse fulgurante ("dextérité" pour remplacer tout le groupe en italique ! Encore de l'économie et un gain de fluidité !) lui porta un coup de coude au nez. Très vite (surtout que tu réutilises "vite" ici, donc je t'épargne une répétition) elle prit la tête de l’homme encore sonné, et la fit descendre droit vers son genou. L’impact fut d’une rare violence (qu'est-ce qu'une rare violence? enfin, surtout pour un impact?). L’homme tomba d’abord à genoux le visage en sang complètement défoncé (très familier ! "la visage fracturé et en sang" sans le complètement). Puis il s’effondra au sol, évanoui.
« Je ne vous le redirais pas une troisième fois. Si vous voulez rester en vie… relâchez cette femme immédiatement.»
Le ton était toujours (il faut rajouter cette adverbe, sinon, on a l'impression que c'est une nouveauté, alors que ce n'est pas le cas) glacial, elle fixait leur chef, l’air imperturbable... Cette fois-ci, tous les sbires couraient vers elle, armés de battes en fer et autres couteaux de combat.
-Pfff… (non, vraiment... je ne vois pas l'utilité du pff)
Elle évita avec brio chaque attaque qui lui était portée et riposta quasi instantanément. Il ne restait à présent plus que deux sbires (sbire, c'est quand même un terme très évolué, dans une hiérarchie d'une haute organisation. Là je verrais plus un "complice" ou un "homme de main"...) encore conscients. La peur se lisait sur leurs visages. Ils sortirent tous les deux des armes à feu et commencèrent à tirer sur Hélène. Celle-ci alla le plus rapidement qu’elle put pour esquiver les balles ("celle-ci esquiva les balles le plus rapidement possible et escalada, avec les pieds, le mur dans son dos afin de se propulser en arrière, comme un acrobate, vers les deux hommes" tu vois, quelque chose du genre, en beaucoup plus fluide. Attention, homme-araignée, c'est spiderman, et c'est du plagiat !) vers le mur, elle fit quelques pas sur le mur digne des plus grand hommes-araignée et s’élança. Elle leur (leur en pronom est invariable) porta un splendide coup de pied céleste (céleste???). Les deux sbires s’effondrèrent. BANG !! Une balle transperça l’abdomen d’Hélène. Elle se retourna et vit le canon de l’arme du chef encore fumant (c'est le canon qui fume non? bien que aujourd'hui, les canons ne fument plus). Hélène tomba à genoux tandis que le chef explosa d’un rire dément. Il lâcha Hélène qui tomba violemment sur le sol
« Je Fais "he faire regre'her 'ouh' 'ha ! »
Il lui porta un coup de pied ("il la frappa du pied") au visage mais Hélène l’attrapa en plein mouvement et commençant a le tordre ("et le lui tordit") douloureusement. Le chef hurla de douleur (répétition. Douleur et douloureusement ... =/).
« Tu ne m’auras pas avec une misérable balle.»
Elle se releva en souriant, elle leva le pied ("redressa le pied du chef") du chef, et écrasa avec son coude son genou. CRAC ! Il s’effondra de douleur (répétition triple !). Elle se mit derrière lui et lui porta un coup de pied (attention, cette structure réapparaît trois fois dans un si court passage !) d’une violence inouïe (je pense qu'un attentat dans des tours à Manhattan fut pire comme violence... ce n'est donc pas une violence so inouïe que ça...), au autre « CRAC » (??).
-Même s'il se réveil un jour, il ne pourra plus jamais rien faire. », dit-elle impassible.
Elle alla vers la blonde littéralement couverte de bleus. Elle regardait avec admiration Hélène qui approchait d’elle d’un pas gracieux, presque irréelle. " Cette femme…elle est magnifique" pensa la blonde sur le coup. Hélène se baissa et prit la blonde dans ses bras et lui demanda doucement :
« Ton nom ?
- Alex. Parvint-elle à répondre doucement (le doucement, ça annule l'effet qu'elle a du mal à répondre ! Ce doit être une voix fébrile d'où ma proposition: "... à répondre, fébrile.".
-Tout va bien maintenant Alex », dit-elle d’un ton rassurant.
Quelques larmes commencèrent à perler sous les yeux d’Alex. Hélène les essuya. Alex sourit doucement, avant de s’évanouir dans les bras protecteurs d’Hélène.

Beaucoup de rouge (=essentiel) et de bleu (=secondaire).
Ne le prends surtout pas pour une méprise, si je le barbouille, c'est pour ton bien.
Alors effectivement oui, ton texte mérite un sérieux travail. Beaucoup, beaucoup de fautes à corriger (mais ça encore, c'est faisable).
Non, ce qui m'inquiète plus ce sont les structures rébarbatives que tu utilises avec abus. "porter un coup" par exemple. Une abondance d'adverbe qui ampoule ton texte, au point de le rendre très compliqué à accrocher.

Ensuite, d'un point de vue cohérence de la narration, il y aussi quelques problèmes. Le combat fait "cliché" (nuances de matrix mélangées à du spiderman) et la scène initiale est le coup classique de la victime agressée par des méchants messieurs. Je ne critique pas sur ce point, cela te permet d'avancer le fait qu'Hélène (ou Héléna ! Il faut d'ailleurs penser à te décider sur son nom ^^. Pour la correction, j'ai opté pour Hélène xD) est une "femme fatale". Mais attention à ne pas basculer dans du "déjà vu" ou dans un univers très (trop) influencé.

Pense à définir la notion de sa beauté. La beauté n'est pas universelle et est définie de manière différente par chacun d'entre nous. Une femme belle pour toi n'est pas forcément belle pour ton voisin. Il faut donc la caractériser par une description (nez fin, yeux en forme de noisette, peau rosie, visage jovial etc...) et le corps tant qu'on y est: mince, des formes généreuses, une chevelure soyeuse et abondante ... tous des critères à bien définir donc. Je te conseille donc d'utiliser pour ça un tableau où tu mets toutes ces indications avant de commencer l'écriture.

Je t'ai fait donc pas mal de commentaires pour que tu saisisses bien tout ce qu'il faudrait changer. Bien sûr, ce ne sont que des avis, et libre à toi de les prendre ou non.
Toutefois, sur ID, nous ne sommes pas là pour t'affirmer que ton texte est magnifique, excellent et qu'il n'y a rien à changer. Même le plus magnifique des textes aura quelques défauts qu'il faudra souligner... Donc, ne t'arrête pas sur une critique peu positive pour continuer d'écrire. Au contraire, on est là pour te faire progresser et donner à ta plume une aisance de grand écrivain Wink .
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Message  Invité Mer 20 Mai 2009 - 16:04

Pacô tu devrais devenir prof.

T'es peu inquiet de la violence du rouge au milieu d'un texte, aucune considération pour nos yeux Laughing

Prof je vous dis... Rolling Eyes
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Message  Pacô Mer 20 Mai 2009 - 16:30

Attends que je passe au tien Twisted Evil .
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Message  Invité Mer 20 Mai 2009 - 16:38

Pacô a écrit:Attends que je passe au tien Twisted Evil .

Et merde Laughing
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Un sourire? Empty Re: Un sourire?

Message  Séphiel Mer 20 Mai 2009 - 17:34

hum hum... tout déja : naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD(nan mais ho lol XD... autant de correction XD) .... hum hum... u_u Ce sont les premier mots qui me sont venu en lisant tes nombreuses corrections =3. Je m'y reprendrais a deux fois désormais avant de poster un texte peu travaillé xD....
Sinon je suis très content d'avoir été si critiqué, ça fait du bien. Mais je ne peux pas tout laisser passé quand même >.>!

Bon, je ne vais pas débattre avec toi sur mes choix de structures... J'estime que c'est personnelle et en plus... la plupart de mes structures douteuses découle de mon manque de soin. Je ferais de mon mieux pour arranger tout ça.
Après pour le nom de mon héroïne... J'hésite entre Les deux XD... J'ai opté récemment pour Hélène. (je n'avais mémé pas remarqué que j'avais mis deux prénoms différents >.>)

En ce qui concerne la description de mon personnage, je m'y suis mal pris. Mon flou descriptif est un choix. Le fait de décrire quelqu'un comme étant doté "d'une beauté admirable" est quelque chose que j'aime beaucoup. Il permet a chaque lecteur de voir mon héroïne comme elle est, une beauté exceptionnelle. Je distillerais quelques bribes de son physique tout au long du roman tout de mémé.

Après pour mon combat >.>"! A part le fait qu'elle saute sur un mur je refuse le rapprochement avec matrix. Pour spydey >.>", c'est juste un peu d'humour. J'estime que spiderman est comme superman. Une icône plus qu'autre chose. Lis le autrement, tu percevras peut-être l'humour caché dans cette phrase. M'enfin, si j'ai besoin d'expliquer l'humour c'est que c'est raté >.>".
Le combat n'est qu'un prétexte a sa rencontre avec Alex. Il me permet aussi de faire comprendre au lecteur qu'Hélène est une femme très forte.

Pour finir en effet, j'ai écrit le texte assez vite, mais je me suis exclusivement concentrer sur l'histoire dont vous n'avez qu'une infime bribe ici. Je le retravaillerais sérieusement avant d'écrire la suite =3!
(Mais merci pour l'atomisation de mon texte, ça m'a fait plaisir ^^)
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Message  Pacô Mer 20 Mai 2009 - 18:53

Séphiel a écrit:
(Mais merci pour l'atomisation de mon texte, ça m'a fait plaisir ^^)
C'est donc avec joie que je te fais plaisir Smile.

Non, mais c'est surtout pour que tu revoies un peu tout ça avec un avis extérieur.
Personnellement, j'ai toujours du mal à voir ce qui ne va pas dans mes textes quand j'y ai passé plus de quatre heures dessus.
Pacô
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