Une grande nouvelle à vous annoncer !
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Une grande nouvelle à vous annoncer !
Bonjour a tous,
J'ai la joie et le plaisir de vous annoncer officiellement la sortie pour septembre 2010 du premier tome de la série « Légende » Clio Kelly et l'éveil de la gardienne chez les éditions du petit caveau !
http://www.editionsdupetitcaveau.com/
J'ai le plaisir de vous annoncez la publication de la première partie de ma nouvelle "La corne de la licorne" auprés du magasine virtuel "le royaume des fées."
http://royaumedesfees.free.fr
J'espère que cette nouvelle vous plaira,
A bientôt
Angéle
J'ai la joie et le plaisir de vous annoncer officiellement la sortie pour septembre 2010 du premier tome de la série « Légende » Clio Kelly et l'éveil de la gardienne chez les éditions du petit caveau !
http://www.editionsdupetitcaveau.com/
J'ai le plaisir de vous annoncez la publication de la première partie de ma nouvelle "La corne de la licorne" auprés du magasine virtuel "le royaume des fées."
http://royaumedesfees.free.fr
J'espère que cette nouvelle vous plaira,
A bientôt
Angéle
Re: Une grande nouvelle à vous annoncer !
Félicitation
Dmn- Talent Divin
- Nombre de messages : 3436
Age : 33
Emploi/loisirs : il est un état où le temps n'est plus en soi.
Votre talent : Dessin
Points : 3489
Date d'inscription : 02/05/2009
Re: Une grande nouvelle à vous annoncer !
félicitations
Morganne- Talent Divin
- Nombre de messages : 3649
Age : 31
Localisation : perdue dans un océan blanc dans un monde entre deuc constellations.
Emploi/loisirs : théâtre, chant lecture équitation, écriture.
Votre talent : Écriture
Points : 3625
Date d'inscription : 14/02/2009
Re: Une grande nouvelle à vous annoncer !
Merci a eux surtout lol je suis heureuse d'avoir été choisi par les édition du petit caveau
Re: Une grande nouvelle à vous annoncer !
Oui Bien sur
"À l’autre bout de Paris, au bar café « le Mondial », une jeune femme portait une tasse de café à ses lèvres bien qu’elle n’aimât pas cette boisson. Elle n’avait pas eu le choix, le patron n’étant pas encore revenu avec les cours, le barman lui avait annoncé qu’il ne lui restait que du café. Résignée, elle accepta qu’on lui serve cette horreur qui, pourtant, était l’un des meilleurs du tout Paris.
Ajoutant un nuage de lait et deux sucres, elle s’était assise à l’une des tables du fond, un journal devant elle, sans se rendre compte des regards intéressés de certains clients.
Bien droite, ses cheveux châtain clair étaient tressés en une longue natte tombant au creux de ses reins ; son teint pâle avait gardé un petit quelque chose de soleil, prouvant qu’à la saison chaude sa peau devait être dorée. Sur son nez reposait une paire de lunettes qui ne masquait en rien la grandeur de ses yeux ainsi que leur couleur vert émeraude.
Ceux-ci allaient d’un bout à l’autre de l'article du journal. Elle portait un épais pull en coton bleu océan et un jean noir qui dessinait la finesse de sa taille, lui donnant un air de femme d’affaires.
En refermant son journal, Clio regarda sa montre qui indiquait 9h00. Son rendez-vous était en retard de trente minutes et la jeune femme commençait à perdre patience. Lorsqu’elle avait reçu cette lettre, deux semaines plus tôt, elle avait aussitôt pensé à une mauvaise plaisanterie mais, au fond d’elle, son sixième sens lui avait soufflé que cela n’en était pas une.
Le soir venu, elle avait découvert sur son répondeur une voix qu’elle ne connaissait que trop bien, une voix qui avait marqué sa mémoire au fer rouge, lui donnant l’impression de recevoir une décharge électrique. Sans savoir pourquoi, elle avait accepté ce rendez-vous, et ce d’autant plus facilement qu’il avait exigé que la rencontre se passe dans un endroit public, ce qui n’était pas le plus convenu pour son interlocuteur.
– Souhaitez-vous un autre café ?, interrogea le serveur en lui adressant un sourire.
Clio fut tentée de refuser mais la porte s’ouvrit et se referma, lui rappelant douloureusement l’air glacial du mois de janvier.
– Oui, je vous remercie, avec un peu de lait et deux sucres.
Le serveur s’éloigna et revint quelques minutes plus tard, déposant ledit café devant elle en murmurant dans un sourire timide un vague « offert par la maison ». Avant que Clio ait le temps de refuser, le jeune serveur s’était déjà éloigné et était retourné derrière le comptoir pour servir d’autres clients.
Avec un soupir de résignation, Clio posa de nouveau son regard sur la montre indiquant 9h10. N’espérant plus voir venir son interlocuteur, elle jeta un coup d’œil sur sa tasse encore pleine et but encore quelques gorgées en fronçant le nez.
Soudain, elle l’aperçut.
Son cœur fit un bond dans sa poitrine et, lorsque leurs regards se croisèrent, elle ne put retenir un frisson en constatant que ses yeux étaient toujours aussi glacials que dans son souvenir.
Voyant l’homme prendre place au côté de Clio, le serveur revint pour prendre la nouvelle commande, sans l’ombre d’un sourire et une lueur de déception dans les yeux.
– Un café noir.
L’homme se contenta de regarder Clio sans mot dire, laquelle ne brisa pas non plus le silence en dépit de la curiosité qui la dévorait. Elle attendit que le serveur dépose sa commande et reparte, tendit que Remus portait sa tasse à ses lèvres.
– Médiocre, les Français sont décidément incapables de faire un bon café. En revanche, ma chère, les Italiens vous en préparent de si délicieux qu’ils réveilleraient un mort si vous le déposiez sous leur nez.
– Je ne pense pas que vous m’ayez demandée de venir vous retrouver pour parler de café, dit Clio avec une pointe d’ironie. Me tromperais-je ?
– Ma douce amie, j’espérais apporter un sourire sur vos fines lèvres.
– Si vous souhaitez que cette conversation continue, je vous prie d’aller droit au but, Monsieur Abberline.
Il plongea ses yeux métalliques dans ceux de Clio, frémissants. Celle-ci remarqua une lueur d’agacement qui eut le don de l’irriter. Alors qu’elle s’apprêtait à se lever pour partir, constatant qu’elle perdait son temps, un gémissement s’échappa de sa bouche lorsque d’une main de fer Remus la fit se rasseoir.
– Asseyez-vous ! lui ordonna-t-il. Sachez que je mets ma vie en danger vous rencontrant !
– Alors, cessez ce jeu idiot et venez-en au fait ! répondit Clio avec exaspération et sans baisser les yeux.
– Quelle froideur ! Êtes-vous sûre d’être une femme ?
– Aussi sûre que vous devriez être en prison à l’heure qu’il est !
– C’est ce que l’on appelle « l’humour français » ! ricana Remus. Mais trêve de plaisanterie ! Si j’ai pris la peine de venir vous voir, c’est pour vous remettre ceci.
Libérant son poignet, il posa sur la table une grande enveloppe marron. Clio tendit une main pour la prendre mais la main de Remus se referma sur la sienne.
– Ne l’ouvrez pas ici !
– De quoi s’agit-il ?
– Votre prochain sujet, répondit Remus en adoucissant la voix. Si on venait à apprendre que je vous ai transmis ces documents, je serais un homme mort !
Il serra la main de Clio si fort que la jeune femme eut l’impression que ses phalanges allaient se briser l’une après l'autre. Tout en tentant de dégager sa main, la jeune femme lui lança un regard meurtrier mais il sembla n’en tenir aucun compte.
Clio observa Remus. Elle l’avait rencontré il y avait plusieurs mois - ou un an, elle ne s’en souvenait plus - à cette époque-là, elle travaillait avec Morgan sur une série de meurtres en Grèce, dans la ville d’Athènes. Remus y travaillait comme médecin légiste et, au cours de son enquête, Clio avait était enlevée par l’assassin... et avait découvert qu’il n’était autre que Remus...
– Pourquoi m’aidez-vous ?
L’observant, elle se sentit furieuse contre elle-même car elle devait bien s’avouer que cet homme était des plus agréables : grand, avec des yeux gris qui semblaient toujours sur leur garde, tel un animal traqué. Lorsqu’elle l’avait rencontré pour la première fois, ses cheveux étaient châtains mais, à présent, ils étaient parsemés de mèches grises, ce qui surprenait pour un homme aussi jeune.
Mais ce qui dérangeait le plus la jeune femme c’est qu’elle percevait quelque chose de familier dans ce visage, sans arriver à savoir quoi !
– Disons que je suis un ami.
Croyant s’étouffer en entendant ces paroles, Clio ce demanda s’il n’était pas devenu totalement fou ; elle ne voulait en rien être l’amie d’un homme qui avait tenté de la tuer ! Pourtant, quelque chose en lui la dérangeait et l’attirait dangereusement en même temps.
En se levant, il déposa quelques pièces sur la table et se dirigea vers la sortie. Clio fit de même et lui demanda :
– Mais qui vous dit que je veux d’un ami ?
Les clients se retournèrent tous vers elle et la regardèrent avec curiosité. Le barman lui-même continua d’essuyer le même verre tout en laissant son regard aller de Clio à Remus.
Ce dernier se retourna tout en adressant son plus beau sourire à Clio.
– Mais je n’ai pas dit que je serais le vôtre...
– Abberline !, s’exclama Clio, furieuse.
Revenant sur ses pas, Remus se planta devant Clio, plongea son regard dans le sien. Il ne prononça pas un mot, prit juste la main de la jeune femme et la porta à ses lèvres.
– Appelez-moi Remus, dit-il dans un souffle. Abberline n’est qu’un nom d’emprunt.
– Alors dites-moi votre vrai nom !
– Les enfants abandonnés n’ont aucun nom, Miss Kelly.
Remus la salua d’un signe de tête, il ouvrit la porte et disparut dans le tourbillon de neige qui enveloppait les rues de la capitale.
Clio poussa un soupir de résignation tout en passant sa veste, elle glissa l’enveloppe dans son sac, enfila ses gants pour protéger ses mains du froid et sortit du café, l’esprit embrumé par la discussion qu’elle venait d’avoir.
Montant dans un bus, elle décida de rentrer chez elle pour en parler avec la seule personne à qui elle pouvait se confier"
"À l’autre bout de Paris, au bar café « le Mondial », une jeune femme portait une tasse de café à ses lèvres bien qu’elle n’aimât pas cette boisson. Elle n’avait pas eu le choix, le patron n’étant pas encore revenu avec les cours, le barman lui avait annoncé qu’il ne lui restait que du café. Résignée, elle accepta qu’on lui serve cette horreur qui, pourtant, était l’un des meilleurs du tout Paris.
Ajoutant un nuage de lait et deux sucres, elle s’était assise à l’une des tables du fond, un journal devant elle, sans se rendre compte des regards intéressés de certains clients.
Bien droite, ses cheveux châtain clair étaient tressés en une longue natte tombant au creux de ses reins ; son teint pâle avait gardé un petit quelque chose de soleil, prouvant qu’à la saison chaude sa peau devait être dorée. Sur son nez reposait une paire de lunettes qui ne masquait en rien la grandeur de ses yeux ainsi que leur couleur vert émeraude.
Ceux-ci allaient d’un bout à l’autre de l'article du journal. Elle portait un épais pull en coton bleu océan et un jean noir qui dessinait la finesse de sa taille, lui donnant un air de femme d’affaires.
En refermant son journal, Clio regarda sa montre qui indiquait 9h00. Son rendez-vous était en retard de trente minutes et la jeune femme commençait à perdre patience. Lorsqu’elle avait reçu cette lettre, deux semaines plus tôt, elle avait aussitôt pensé à une mauvaise plaisanterie mais, au fond d’elle, son sixième sens lui avait soufflé que cela n’en était pas une.
Le soir venu, elle avait découvert sur son répondeur une voix qu’elle ne connaissait que trop bien, une voix qui avait marqué sa mémoire au fer rouge, lui donnant l’impression de recevoir une décharge électrique. Sans savoir pourquoi, elle avait accepté ce rendez-vous, et ce d’autant plus facilement qu’il avait exigé que la rencontre se passe dans un endroit public, ce qui n’était pas le plus convenu pour son interlocuteur.
– Souhaitez-vous un autre café ?, interrogea le serveur en lui adressant un sourire.
Clio fut tentée de refuser mais la porte s’ouvrit et se referma, lui rappelant douloureusement l’air glacial du mois de janvier.
– Oui, je vous remercie, avec un peu de lait et deux sucres.
Le serveur s’éloigna et revint quelques minutes plus tard, déposant ledit café devant elle en murmurant dans un sourire timide un vague « offert par la maison ». Avant que Clio ait le temps de refuser, le jeune serveur s’était déjà éloigné et était retourné derrière le comptoir pour servir d’autres clients.
Avec un soupir de résignation, Clio posa de nouveau son regard sur la montre indiquant 9h10. N’espérant plus voir venir son interlocuteur, elle jeta un coup d’œil sur sa tasse encore pleine et but encore quelques gorgées en fronçant le nez.
Soudain, elle l’aperçut.
Son cœur fit un bond dans sa poitrine et, lorsque leurs regards se croisèrent, elle ne put retenir un frisson en constatant que ses yeux étaient toujours aussi glacials que dans son souvenir.
Voyant l’homme prendre place au côté de Clio, le serveur revint pour prendre la nouvelle commande, sans l’ombre d’un sourire et une lueur de déception dans les yeux.
– Un café noir.
L’homme se contenta de regarder Clio sans mot dire, laquelle ne brisa pas non plus le silence en dépit de la curiosité qui la dévorait. Elle attendit que le serveur dépose sa commande et reparte, tendit que Remus portait sa tasse à ses lèvres.
– Médiocre, les Français sont décidément incapables de faire un bon café. En revanche, ma chère, les Italiens vous en préparent de si délicieux qu’ils réveilleraient un mort si vous le déposiez sous leur nez.
– Je ne pense pas que vous m’ayez demandée de venir vous retrouver pour parler de café, dit Clio avec une pointe d’ironie. Me tromperais-je ?
– Ma douce amie, j’espérais apporter un sourire sur vos fines lèvres.
– Si vous souhaitez que cette conversation continue, je vous prie d’aller droit au but, Monsieur Abberline.
Il plongea ses yeux métalliques dans ceux de Clio, frémissants. Celle-ci remarqua une lueur d’agacement qui eut le don de l’irriter. Alors qu’elle s’apprêtait à se lever pour partir, constatant qu’elle perdait son temps, un gémissement s’échappa de sa bouche lorsque d’une main de fer Remus la fit se rasseoir.
– Asseyez-vous ! lui ordonna-t-il. Sachez que je mets ma vie en danger vous rencontrant !
– Alors, cessez ce jeu idiot et venez-en au fait ! répondit Clio avec exaspération et sans baisser les yeux.
– Quelle froideur ! Êtes-vous sûre d’être une femme ?
– Aussi sûre que vous devriez être en prison à l’heure qu’il est !
– C’est ce que l’on appelle « l’humour français » ! ricana Remus. Mais trêve de plaisanterie ! Si j’ai pris la peine de venir vous voir, c’est pour vous remettre ceci.
Libérant son poignet, il posa sur la table une grande enveloppe marron. Clio tendit une main pour la prendre mais la main de Remus se referma sur la sienne.
– Ne l’ouvrez pas ici !
– De quoi s’agit-il ?
– Votre prochain sujet, répondit Remus en adoucissant la voix. Si on venait à apprendre que je vous ai transmis ces documents, je serais un homme mort !
Il serra la main de Clio si fort que la jeune femme eut l’impression que ses phalanges allaient se briser l’une après l'autre. Tout en tentant de dégager sa main, la jeune femme lui lança un regard meurtrier mais il sembla n’en tenir aucun compte.
Clio observa Remus. Elle l’avait rencontré il y avait plusieurs mois - ou un an, elle ne s’en souvenait plus - à cette époque-là, elle travaillait avec Morgan sur une série de meurtres en Grèce, dans la ville d’Athènes. Remus y travaillait comme médecin légiste et, au cours de son enquête, Clio avait était enlevée par l’assassin... et avait découvert qu’il n’était autre que Remus...
– Pourquoi m’aidez-vous ?
L’observant, elle se sentit furieuse contre elle-même car elle devait bien s’avouer que cet homme était des plus agréables : grand, avec des yeux gris qui semblaient toujours sur leur garde, tel un animal traqué. Lorsqu’elle l’avait rencontré pour la première fois, ses cheveux étaient châtains mais, à présent, ils étaient parsemés de mèches grises, ce qui surprenait pour un homme aussi jeune.
Mais ce qui dérangeait le plus la jeune femme c’est qu’elle percevait quelque chose de familier dans ce visage, sans arriver à savoir quoi !
– Disons que je suis un ami.
Croyant s’étouffer en entendant ces paroles, Clio ce demanda s’il n’était pas devenu totalement fou ; elle ne voulait en rien être l’amie d’un homme qui avait tenté de la tuer ! Pourtant, quelque chose en lui la dérangeait et l’attirait dangereusement en même temps.
En se levant, il déposa quelques pièces sur la table et se dirigea vers la sortie. Clio fit de même et lui demanda :
– Mais qui vous dit que je veux d’un ami ?
Les clients se retournèrent tous vers elle et la regardèrent avec curiosité. Le barman lui-même continua d’essuyer le même verre tout en laissant son regard aller de Clio à Remus.
Ce dernier se retourna tout en adressant son plus beau sourire à Clio.
– Mais je n’ai pas dit que je serais le vôtre...
– Abberline !, s’exclama Clio, furieuse.
Revenant sur ses pas, Remus se planta devant Clio, plongea son regard dans le sien. Il ne prononça pas un mot, prit juste la main de la jeune femme et la porta à ses lèvres.
– Appelez-moi Remus, dit-il dans un souffle. Abberline n’est qu’un nom d’emprunt.
– Alors dites-moi votre vrai nom !
– Les enfants abandonnés n’ont aucun nom, Miss Kelly.
Remus la salua d’un signe de tête, il ouvrit la porte et disparut dans le tourbillon de neige qui enveloppait les rues de la capitale.
Clio poussa un soupir de résignation tout en passant sa veste, elle glissa l’enveloppe dans son sac, enfila ses gants pour protéger ses mains du froid et sortit du café, l’esprit embrumé par la discussion qu’elle venait d’avoir.
Montant dans un bus, elle décida de rentrer chez elle pour en parler avec la seule personne à qui elle pouvait se confier"
Re: Une grande nouvelle à vous annoncer !
Pacô a écrit:Oh oh !
J'vais lire ça à tête reposée .
oui pareillement
Dmn- Talent Divin
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Age : 33
Emploi/loisirs : il est un état où le temps n'est plus en soi.
Votre talent : Dessin
Points : 3489
Date d'inscription : 02/05/2009
Re: Une grande nouvelle à vous annoncer !
Moi aussikaëd a écrit:Pacô a écrit:Oh oh !
J'vais lire ça à tête reposée .
oui pareillement
Félicitations!!!!!
B.- Talent Divin
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Date d'inscription : 23/02/2009
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