journal intime.

Jeudi 9 juillet 2009

Il fait tout noir. Je suis au milieu de mes semblables, et nous attendons tous.

Lumière ! Puis elle est là, elle nous regarde, un à un, chacun d’entre nous voudrais être le prochain, puis elle tend la main, est-ce moi qu’elle choisit ? Non. C’est mon voisin.

Noir.

Lumière. Elle l’a rejeté, elle vient en choisir un autre ! J’ai encore ma chance. Elle tend la main. Cette fois c’est moi qu’elle choisit. On est dans sa chambre, elle est belle, elle vient de prendre sa douche, elle est presque nue.

Elle m’emmène devant la glace, on se regarde un moment, on tourne ensemble puis elle s’assoie sur son lit. Je frôle et remonte le long de ses jambes, je les recouvre maintenant entièrement et embrasse ses hanches, je m’attache a elle, je suis heureux, on se regarde a nouveau dans la glace.

Elle fini de s’habiller et nous sortons. Je l’accompagne faire du shopping. Elle pourrait aller n’importe où que je l’accompagnerais ! Elle s’arrête dans un magasin. Nous sommes au milieu de mes semblables, forcément elle les regarde et ça m’énerve ! Mais je ne peux rien dire. Elle me délaisse un moment pour en essayer d’autre, j’ai peur qu’elle m’abandonne. Elle me nargue, elle s’exhibe devant tout le monde avec eux. Elle veut peut être me mettre à l’épreuve. Je ne sais pas.

Elle les rejette enfin, elle a l’air déçut, elle aurait sans doute voulut que j’intervienne. Comment aurais-je put ?

On continue notre petite balade ensemble. A midi elle prend un sandwich et on s’installe sur un banc, au milieu d’un parc juste en face d’un petit étang. Il y a quelques canards et un signe. On s’en approche tout doucement puis elle leur lance un bout de son sandwich. Les canards battent des ailes pour arriver plus vite sur le petit morceau de pain, se le dispute. Le signe utilise sa taille et son long coup pour le leur subtiliser. Dépités les canards s’éloignent, mais, a chacun d’eux elle leur lance un petit bout de pain qu’ils avalent tout rond de peur de devoir se le disputer a nouveau.

Au coure de la journée elle me refera encore quelques fois le coup de ce matin. Mais en fin d’après midi, c’est ensemble que nous nous dirigeons vers chez elle. A mon grand damne, elle en a tout de même choisit quelques uns qui nous suivent.

Après être rentré chez elle, elle les amène dans sa chambre, referme la porte puis nous allons manger.

Elle veut reprendre une douche. Nous allons dans sa chambre, passons à coté d’eux sans même les regarder, je les ignore majestueusement, je suis fière de moi ! Elle s’assoie sur son lit, je glisse de nouveau le long de ses jambes. Elle se déshabille puis je l’accompagne devant sa chambre. Elle me met dans un panier avec d’autre de mes semblables. Je les regarde d’un air de dire ; « moi j’ai passé une journée super avec elle, mieux que celle que vous avez passé en sa compagnie ! » il y en a même un qui n’a même pas fait une journée car il s’est salie. La honte…

Elle revient vers nous, nous prend tous, nous amène dans une petite pièce et nous met tous dans le lave linge, un lavage à 40° va nous faire le plus grand bien !

Journal d’un jean.

kapouhee a écrit:

Il fait tout noir. Je suis au milieu de mes semblables pas de virgule et nous attendons tous.

Lumière ! Puis elle est là, elle nous regarde, un à un, chacun d’entre nous voudrait être le prochain, puis elle tend la main, est-ce moi qu’elle choisit ? Non. C’est mon voisin.

Noir.

Lumière. Elle l’a rejeté, elle vient en choisir un autre ! J’ai encore ma chance. Elle tend la main. Cette fois c’est moi qu’elle choisit. On est dans sa chambre, elle est belle, elle vient de prendre sa douche, elle est presque nue.

Elle m’emmène devant la glace, on se regarde un moment, on tourne ensemble puis elle s’assoit sur son lit. Je frôle >>> tu frôles quoi? Précise et remonte le long de ses ici, il y a un espace en trop jambes, je les recouvre maintenant entièrement et embrasse ses hanches, je m’attache à elle, je suis heureux, on se regarde à nouveau dans la glace.

Elle finit de s’habiller et nous sortons. Je l’accompagne faire du shopping. Elle pourrait aller n’importe où, >>> "que" ici est maladroit et incorrect je l’accompagnerai ! Elle s’arrête dans un magasin. Nous sommes au milieu de mes semblables, forcément elle les regarde et ça m’énerve ! Mais je ne peux rien dire. Elle me délaisse un moment pour en essayer d’autres, j’ai peur qu’elle ne m’abandonne. Elle me nargue, elle s’exhibe devant tout le monde avec eux. Elle veut peut être me mettre à l’épreuve. Je ne sais pas.

Elle les rejette enfin, elle a l’air déçu, elle aurait sans doute voulu que j’intervienne. Comment aurai-je pu ?

On continue >>> Nous poursuivons notre petite balade ensemble. A midi elle prend un sandwich et on s’installe sur un banc, au milieu d’un parc juste en face d’un petit étang. Il y a quelques canards et un cygne. On s’en approche tout doucement puis elle leur lance un bout de son sandwich. Les canards battent des ailes pour arriver plus vite sur le petit morceau de pain, se le disputent. Le cygne utilise sa taille et son long cou pour le leur subtiliser la nourriture. Dépités les canards s’éloignent, mais, à chacun d’eux elle leur lance un petit bout de pain qu’ils avalent tout rond de peur de devoir se le disputer à nouveau. >>> cette phrase est très moche. Remplace: "... mais elle lance à chacun d'eux encore un peu de pain qu'ils avalent aussitôt de peur de ne pas pouvoir en profiter". "Se disputer quelque chose" est très maladroit, pour ne pas dire carrément incorrect en langage écrit. C'est très naïf, tu peux le garder pour un dialogue entre des enfants, ou un récit conté par un enfant, par exemple.

Au cours de la journée elle me refera encore quelques fois le coup de ce matin. Mais en fin d’après midi, c’est ensemble que nous nous dirigeons vers chez elle >>> maladroit: "que nous nous dirigeons vers sa maison/son appartement". A mon grand damne, elle en a tout de même choisi quelques uns qui nous suivent.

Après être rentrée chez elle, elle les emmène >>> ou "elle les conduit" dans sa chambre, referme la porte >>> précise qu'elle referme la porte d'une armoire, ou bien écris qu'elle les range dans un coin parce qu'ici, c'est pas très clair puis nous allons manger.

Elle veut reprendre une douche. Nous allons dans sa chambre, passons à coté d’eux sans même les regarder, je les ignore majestueusement, je suis fier de moi ! Elle s’assoit sur son lit, je glisse de nouveau le long de ses jambes. Elle se déshabille puis je l’accompagne devant sa chambre >>> ??? Ils ne sont pas déjà DANS la chambre? C'est un peu embrouillé tout ça, avec tous ces emplois de "dans sa chambre"! . Elle me met >>> maladroit: "elle me jette" dans un panier avec d'autre plusieurs de mes semblables. Je les regarde d’un air de dire >>> en les narguant : « moi j’ai passé une superbe journée super avec elle, mieux que celle que vous avez passé en sa compagnie ! » Il y en a même un qui n’a même pas fait une journée car il s’est sali. La honte…

Elle revient vers nous, nous prend tous, nous amène dans une petite pièce et nous met tous dans le lave linge, un lavage à 40° va nous faire le plus grand bien !

Journal d’un jean.

kapouhee a écrit:
sinon voilou! ha si oui le titre ===>> journal intime.

Journal intime.

Jeudi 9 juillet 2009

Il fait tout noir. Je suis au milieu de mes copains, bien que nous soyons tous en compétition. Nous attendons tous.

Lumière ! Puis elle est là, elle nous regarde, un à un, chacun d’entre nous voudrait être le prochain, puis elle tend la main, est-ce moi qu’elle choisit ? Non. C’est mon voisin.

Noir.

Lumière. Elle l’a rejeté, elle vient vers nous! J’ai encore ma chance. Elle tend la main. Cette fois c’est moi qu’elle choisit. On est dans sa chambre, elle est belle, elle vient de prendre sa douche, elle est presque nue.

Elle m’emmène devant la glace, nous nous regardons un moment, nous tournons ensemble puis elle s’assoit sur son lit. Je frôle ses jambes tout en les parcourant de haut en bas, je les recouvre maintenant entièrement et embrasse ses hanches, je m’attache à elle, je suis heureux, nous nous regardons à nouveau dans la glace. Elle semble satisfaite.

Elle finit de s’habiller et nous sortons. Je l’accompagne faire du shopping. Elle pourrait aller n’importe où, je l’accompagnerai ! Elle s’arrête. Nous sommes au milieu de plus beau que moi, plus attirant, forcément elle les regarde et ça m’énerve ! Mais je ne peux rien dire. Elle me délaisse un moment pour aller les voir, elle les touches, tourne autour, j’ai peur qu’elle ne m’abandonne. Elle me nargue, elle s’exhibe devant tout le monde avec eux. Elle veut peut être me mettre à l’épreuve. Je ne sais pas.

Elle les rejette enfin, elle a l’air déçu, elle aurait sans doute voulu que j’intervienne. Comment aurai-je pu ?

Nous poursuivons notre petite balade ensemble. A midi elle prend un sandwich et nous nous installons sur un banc, au milieu d’un parc juste en face d’un petit étang. Il y a quelques canards et un cygne. Nous nous en approchons tout doucement puis elle leur lance un bout de son sandwich. Les canards battent des ailes pour arriver plus vite sur le petit morceau de pain, se le disputent. Le signe utilise son long cou pour subtiliser la nourriture. Dépités les canards s’éloignent, mais elle envoie à chacun d’eux un nouveau morceau de pain qu’ils s’empressent d’avaler de peur de ne pouvoir en profiter.

Au cours de la journée elle me refera encore quelques fois le coup de ce matin. Mais en fin d’après midi, c’est ensemble que nous nous dirigeons vers son appartement. A mon grand damne, elle en a tout de même choisi quelques uns qui nous suivent.

Après être rentrée, elle les emmène dans sa chambre, les laisses là puis nous allons manger.

Elle veut reprendre une douche. Nous passons à coté d’eux sans même les regarder, je les ignore majestueusement, je suis fier de moi ! Elle s’assoit sur son lit, je glisse de nouveau le long de ses jambes, elle se déshabille puis je l’accompagne sur le pallier de sa chambre. Elle me met dans un panier avec d’autre de mes semblables. Je les regarde d’un air de dire ; « moi j’ai passé une superbe journée avec elle, mieux que celle que vous avez passé en sa compagnie ! » Il y en a un qui n’a même pas fait une journée car il s’est sali. La honte…

Le souvenir de ces essayages de fringues me reste encore en travers de la gorge mais je le repousse. Elle revient vers nous, nous prend tous, nous amène dans une petite pièce et nous met tous dans le lave linge, un lavage à 40° va nous faire le plus grand bien !

Journal d’un jean.

Journal intime.

Jeudi 9 juillet 2009

Il fait tout noir. Je suis au milieu de mes copains, bien que nous soyons tous en compétition. Nous attendons tous.

Lumière ! Puis elle est là, elle nous regarde, un à un, chacun d’entre nous voudrait être le prochain, puis elle tend la main, est-ce moi qu’elle choisit ? Non. C’est mon voisin.

Noir.

Lumière. Elle l’a rejeté, elle revient vers nous! J’ai encore ma chance. Elle tend la main. Cette fois c’est moi qu’elle choisit. On est dans sa chambre, elle est belle, elle vient de prendre sa douche, elle est presque nue.

Elle m’emmène devant la glace, nous nous regardons un moment, nous tournons ensemble puis elle s’assoit sur son lit. Je frôle ses jambes tout en les parcourant de haut en bas, je les recouvre maintenant entièrement et embrasse ses hanches, je m’attache à elle, je suis heureux, nous nous regardons à nouveau dans la glace. Elle semble satisfaite.

Elle finit de s’habiller et nous sortons. Je l’accompagne faire du shopping. Elle pourrait aller n’importe où, je l’accompagnerai ! Elle s’arrête. Nous sommes au milieu de plus beaux que moi, plus attirants, forcément elle les regarde et ça m’énerve ! Mais je ne peux rien dire. Elle me délaisse un moment pour aller les voir, elle les touche, tourne autour, j’ai peur qu’elle ne m’abandonne. Elle me nargue, elle s’exhibe devant tout le monde avec eux. Elle veut peut être me mettre à l’épreuve. Je ne sais pas.

Elle les rejette enfin, elle a l’air déçu, elle aurait sans doute voulu que j’intervienne. Comment aurai-je pu ?

Nous poursuivons notre petite balade ensemble. A midi elle prend un sandwich et nous nous installons sur un banc, au milieu d’un parc juste en face d’un petit étang. Il y a quelques canards et un cygne. Nous nous en approchons tout doucement puis elle leur lance un bout de son sandwich >>> en-cas? Pour éviter la répétition. Les canards battent des ailes pour arriver plus vite sur le petit morceau de pain, se le disputent. Le cygne utilise son long cou pour subtiliser la nourriture. Dépités les canards s’éloignent, mais elle envoie à chacun d’eux un nouveau morceau de pain qu’ils s’empressent d’avaler de peur de ne pouvoir en profiter.

Au cours de la journée elle me refera encore quelques fois le coup de ce matin. Mais en fin d’après midi, c’est ensemble que nous nous dirigeons vers son appartement. A mon grand damne, elle en a tout de même choisi quelques uns qui nous suivent.

Après être rentrée, elle les emmène dans sa chambre, les laisse là puis nous allons manger.

Elle veut reprendre une douche. Nous passons à coté d’eux sans même les regarder, je les ignore majestueusement, je suis fier de moi ! Elle s’assoit sur son lit, je glisse de nouveau le long de ses jambes, elle se déshabille puis je l’accompagne sur le pallier de sa chambre. Elle me met dans un panier avec d’autres >>> "quelques uns" irait mieux je pense de mes semblables. Je les regarde d’un air de dire ; « moi j’ai passé une superbe journée avec elle, mieux que celle que vous avez passé en sa compagnie ! » Il y en a un qui n’a même pas fait une journée car il s’est sali. La honte…

Le souvenir de ces essayages de fringues me reste encore en travers de la gorge mais je le repousse >>> "je préfère l'ignorer/je préfère ne plus y penser" irait mieux. Elle revient vers nous, nous prend tous, nous amène dans une petite pièce et nous met tous dans le lave linge, un lavage à 40° va nous faire le plus grand bien !

Journal d’un jean.

barbara j'ai pensé a toi!! (j'ai mis le titre XD)