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A la main, à la mort.

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A la main, à la mort. Empty A la main, à la mort.

Message  A. N. O'Nyme Mer 18 Nov 2009 - 16:22

Voilà pour le jeu de massacre.
Enjoy yourselves ♥
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A la main, à la mort. Empty Re: A la main, à la mort.

Message  MrSonge Mer 18 Nov 2009 - 17:03

Il y avait vos mains, entrelacées.

Une étreinte unique et parfaite, discrète, que vous pensiez dissimuler au monde, à l'abri de votre ombre, ou cachée par vos corps proches, si proches. Et dans cette poignée, vous teniez le monde, un monde qui ne vous a jamais appartenu, un monde que vous exploriez en silence, perdus dans l'imaginaire. Ce monde aux mers turquoises, aux plaines infinies, aux monts escarpés, au soleil sanglant et aux lunes rousses (pourquoi un soleil et plusieurs lunes ?), ce monde de rayons éternels que tous connaissent et que nul ne visite, un monde unique et différent pour chacun. Et juste au creux de votre bonheur, il vous appartenait de l'explorer, et ce monde...

Il y avait mes mains, perdues d'espoirs déçus.

Et dans mes mains, votre monde devenait cendre, mes mains calleuses qui l'ont perdu, malhabiles. Ces mains dures, abîmées, qui eurent raison des intempéries, ces mains aux brins de chanvre incrustés si profondément (moyen comme formulation). Mes mains, cette cicatrice qui se prolongeait sur la droite, irrégulière, profonde, bordée de tissus rosâtres, cicatriciels. Leurs lignes effacées, ligne de cœur gommée, ligne de vie rétrécie au creux des tourments, taches de vieillesse sur le dessus, veines bleues si saillantes, ridées, burinées. Les doigts courts, bourrus et carrés, aux ongles noircis et cassés, restes d'engelures, gourds. Mes mains qui s'étaient tant refermées sur l'anse de la besace en cuir, sur les cordages ou la barre, mes mains qui ont connu le pire et laissé passer le meilleur. Et le monde connu est petit et étriqué, peuplé de tirades oubliées, dont ne résonne plus l'écho. Mes mains avaient caressé le cercueil de l'héroïsme, et morts étaient courage et justice (je mettrais les déterminants).

Il y avait vos mains, sous mes yeux.

Et au creux de la ruelle, vos mains qui se cherchaient, trouvaient, perdaient, naïves et innocentes, jeunes et folles, vos mains qui avaient attrapé, agrippé, arraché un peu de bonheur à la vie, vos mains qui oubliaient la haine. Vous aviez des mains amoureuses.
Elle, des mains fines et blanches, longs doigts fins et ongles soigneusement coupés, mains artistes, déliées, pianistes. Ses doigts menus, serrant d'un côté (Moyen, c'est deux mains différentes, pas deux côtés) les tiens si fort, comme une bouée de sauvetage, de l'autre l'ombrelle de fine dentelle, délicate dans les ors du couchant sur le port. Elle l'a tendue, sa jolie menotte, se dégageant frivolement de ton étreinte, caressant la distance du phare, augure de tous vos rêves. Puis, docile, la main d'albâtre s'est à nouveau faufilée dans la tienne, sans crainte ni remords, totalement libre, et l'amour ne lui jettera pas d'entraves, à cette main de Victoire ou de Vénus. Sur elle, tes doigts se resserrèrent, hâlés, au grain de peau fin, aux muscles jeunes et élastiques, et tes veines se devinaient à peine, dans la plénitude de ce printemps de ta vie. Tu avais une poignée de main large et franche, honnête, doigts forts et musclés, et leur bout taché d'encre et de peinture, barbouilleur de toiles, peintre à l'huile, et t'appelais-tu Vincent, Léonard, Charles ou que sais-je d'autre encore ? Il y avait dans l'innocence de ces morceaux de peinture séchée un rêve, ou le début d'une légende, ou simplement ton bonheur quotidien à côté de tes études.

Il y avait mes mains, fatiguées, tremblantes.

Ces tremblements incontrôlables qui les parcouraient, tout ce qu'elles osaient enfin être à la vue de vos mains d'ange, tout ce qu'elles n'avaient plus. Mes mains qui tremblaient, tremblaient, et le noir, la brume qui les envahissait peu à peu, jusqu'à ce qu'elles s'immobilisent, puis tombent, victimes de la gravité, mais nul n'a pleuré sur la poussière de toutes les étoiles mortes ramenées des confins de l'Orient, nul n'a crié devant les merveilles d'orichalque perdues, retrouvées et noyées, qui s'appesantira sur des mains, un marin, même s'ils ont fait le tour du monde ?
N'ayez crainte, j'ai vu le monde qui filtrait de vos doigts entremêlés, et c'était l'unique chose que j'attendais encore, sans le savoir, cet aperçu du rêve que je n'ai pas vécu, cette jeune fille que je n'ai pas aimée, ce monde qui ne m'a pas captivé.
Et sur vos mains, je peux mourir heureux, accordez-moi cet ultime instant de voyeurisme (hou, il tombe comme un cheveux sur la soupe, lui.., et...

Il y eut vos mains, délicatement, sur mes paupières.

Bon, ça, c'était les remarques techniques.

Décidemment, mademoiselle A.N O'Nyme (tu as lu "Les dix petits nègres" ? ^^) mériterait de ne pas trop l'être. J'aime beaucoup ce texte sur un sujet autours duquel on a beaucoup écrit de bêtises et peu de véritables perles (sauf chez certains, il me semble que Proust nous a laissé un passage sur les mains dans la Recherche).
Par contre, fais attention aux accumulations, de verbe ou d'adjectifs. Parfois tu en mets tellement qu'il y en a forcément qui se contredisent.

Sinon, ma fois, rien à dire, si ce n'est que je trouve presque tes nouvelles sont à cheval entre la prose poétique et la nouvelle à proprement parler. Tu travailles ta forme, c'est musical, il n'y a pas vraiment d'intrigue... Seul la longueur, je pense, pourrais justifier que tu les aies postées ici. ^^

Vu tes débuts prometteurs sur ID, tu risques de m'avoir pas mal sur le dos !
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Message  Pacô Mer 18 Nov 2009 - 19:57

A la main, à la mort




Il y avait vos mains, entrelacées.

Une étreinte unique et parfaite, discrète, que vous pensiez dissimuler au monde, à l'abri de votre ombre, ou cachée par vos corps proches, si proches. Et dans cette poignée, vous teniez le monde, un monde qui ne vous a jamais appartenu, un monde que vous exploriez en silence, perdus dans l'imaginaire. Ce monde aux mers turquoises, aux plaines infinies, aux monts escarpés, au soleil sanglant et aux lunes rousses, ce monde de rayons éternels que tous connaissent et que nul ne visite, un monde unique et différent pour chacun. Et juste au creux de votre bonheur, il vous appartenait de l'explorer, et ce monde...

Il y avait mes mains, perdues d'espoirs déçus.

Et dans mes mains, votre monde devenait cendre, mes mains calleuses qui l'ont perdu, malhabiles. Ces mains dures, abîmées, qui eurent raison des intempéries, ces mains aux brins de chanvre incrustés si profondément. Mes mains, cette cicatrice qui se prolongeait sur la droite, irrégulière, profonde, bordée de tissus rosâtres, cicatriciels. Leurs lignes effacées, ligne de cœur gommée, ligne de vie rétrécie au creux des tourments, taches de vieillesse sur le dessus, veines bleues si saillantes, ridées, burinées. Les doigts courts, bourrus et carrés, aux ongles noircis et cassés, restes d'engelures, gourds.(pfiouuu oO. Une phrase, qui n'en est pas une et qui me semble très lourde alors que c'est censé rythmer, au contraire !) Mes mains qui s'étaient tant refermées sur l'anse de la besace en cuir, sur les cordages ou la barre, mains qui ont connu le pire et laissé passer le meilleur. Et le monde connu est petit et étriqué, peuplé de tirades oubliées, dont ne résonne plus l'écho. Mes mains avaient caressé le cercueil de l'héroïsme, et morts étaient courage et justice.

Il y avait vos mains, sous mes yeux.

Et au creux de la ruelle, vos mains qui se cherchaient, trouvaient, perdaient, naïves et innocentes, jeunes et folles, vos mains qui avaient attrapé, agrippé, arraché un peu de bonheur à la vie, vos mains qui oubliaient la haine. Vous aviez des mains amoureuses.
Elle, des mains fines et blanches, longs doigts fins et ongles soigneusement coupés, mains artistes, déliées, pianistes. Ses doigts menus, serrant d'un côté les tiens si fort, comme une bouée de sauvetage, de l'autre l'ombrelle de fine dentelle, délicate dans les ors du couchant sur le port. Elle l'a tendue, sa jolie menotte, se dégageant frivolement de ton étreinte, caressant la distance du phare, augure de tous vos rêves. Puis, docile, la main d'albâtre s'est à nouveau faufilée dans la tienne, sans crainte ni remords, totalement libre, et l'amour ne lui jettera pas d'entraves, à cette main de Victoire ou de Vénus. Sur elle, tes doigts se resserrèrent, hâlés, au grain de peau fin, aux muscles jeunes et élastiques, et tes veines se devinaient à peine, dans la plénitude de ce printemps de ta vie. Tu avais une poignée de main large et franche, honnête, doigts forts et musclés, et leur bout taché d'encre et de peinture, barbouilleur de toiles, peintre à l'huile, et t'appelais-tu Vincent, Léonard, Charles ou que sais-je d'autre encore ? Il y avait dans l'innocence de ces morceaux de peinture séchée un rêve, ou le début d'une légende, ou simplement ton bonheur quotidien à côté de tes études.

Il y avait mes mains, fatiguées, tremblantes.

Ces tremblements incontrôlables qui les parcouraient, tout ce qu'elles osaient enfin être à la vue de vos mains d'ange, tout ce qu'elles n'avaient plus. Mes mains qui tremblaient, tremblaient, et le noir, la brume qui les envahissait peu à peu, jusqu'à ce qu'elles s'immobilisent, puis tombent, victimes de la gravité, mais nul n'a pleuré sur la poussière de toutes les étoiles mortes ramenées des confins de l'Orient, nul n'a crié devant les merveilles d'orichalque perdues, retrouvées et noyées, qui s'appesantira sur des mains, un marin, même s'ils ont fait le tour du monde ? (oulah, c'est quoi la question en clair ? oO)
N'ayez crainte, j'ai vu le monde qui filtrait de vos doigts entremêlés, et c'était l'unique chose que j'attendais encore, sans le savoir, cet aperçu du rêve que je n'ai pas vécu, cette jeune fille que je n'ai pas aimée, ce monde qui ne m'a pas captivé.
Et sur vos mains, je peux mourir heureux, accordez-moi cet ultime instant de voyeurisme, et...

Il y eut vos mains, délicatement, sur mes paupières.

Que dire ?
C'est très beau, cela va sans dire.

Appréciation linguistique:
Une richesse de vocabulaire qui m'a conquis. Une accumulation de termes qui en jette. Et une aisance littéraire qui est admirable.
Cependant, tu en fais peut être un peu trop: parfois tes phrases sont tellement surchargées que la compréhension devient déjà plus délicate. Et j'avoue que j'ai du relire plusieurs fois une même phrase pour saisir son sens. Donc attention de ce côté là.
Pour l'ortho, la conjugaison et la syntaxe, rien à redire, si ce n'est par contre aussi l'accumulation de virgules qui coupent sans cesse tes phrases et qui hachent complètement la narration.

Appréciation de l'histoire:
L'amour vu par les mains, c'est finement joué Wink. J'ai particulièrement aimé les premiers et derniers passages, par leur force d'émotions.
Rajouter en plus à cela des petites "citations" (je vois pas trop comment les appeler autrement) en italique apportent une qualité supplémentaire à l'appréciation du texte. Il y a une certaine poésie à travers tes mots et, même avec l'absence de trame, ce constat tout simplement beau est d'une musicalité étonnante. J'ai beaucoup aimé et j'en redemande donc Wink.
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Message  Liven d'Eleissen Ven 20 Nov 2009 - 15:05

Première impression: très joli texte, très beau aussi...


Il y avait vos mains, entrelacées.

Une étreinte unique et parfaite, discrète, que vous pensiez dissimuler au monde, à l'abri de votre ombre, ou cachée par vos corps proches, si proches. Et dans cette poignée, vous teniez le monde, un monde qui ne vous a jamais appartenu, un monde que vous exploriez en silence, perdus dans l'imaginaire. Ce monde aux mers turquoise, aux plaines infinies, aux monts escarpés, au soleil sanglant et aux lunes rousses, ce monde de rayons éternel que tous connaissent et que nul ne visite, un monde unique et différent pour chacun. Et juste au creux de votre bonheur, il vous appartenait de l'explorer, et ce monde...

Il y avait mes mains, perdues d'espoirs déçus.

Et dans mes mains, votre monde devenait cendre, mes mains calleuses qui l'ont perdu, malhabiles. Ces mains dures, abîmées, qui eurent raison des intempéries, ces mains aux brins de chanvre incrustés si profondément Je trouve la formulation moyenne, on hésite sur le sens à la première lecture . Mes mains, cette cicatrice qui se prolongeait sur la droite, irrégulière, profonde, bordée de tissus rosâtres, cicatriciels Répétition avec "cicatrice". Puis, je pense que ce n'est pas un mot bienvenu dans ton texte... il fait trop concret d'une certaine manière, il rompt un peu le charme. Leurs lignes effacées, ligne de cœur gommée, ligne de vie rétrécie au creux des tourments, taches de vieillesse sur le dessus, veines bleues si saillantes, ridées, burinées. Les doigts courts, bourrus et carrés, aux ongles noircis et cassés, restes d'engelures, gourds. Mes mains qui s'étaient tant refermées sur l'anse de la besace en cuir, sur les cordages ou la barre [pas de -s], mains qui ont connu le pire et laissé passer le meilleur. Et le monde connu est petit et étriqué, peuplé de tirades oubliées, dont ne résonne plus l'écho Mouais pour l'inversion, je trouve qu'elle sonne mal. Mes mains avaient caressé le cercueil de l'héroïsme, et morts étaient courage et justice.

Il y avait vos mains, sous mes yeux.

Et au creux de la ruelle, vos mains qui se cherchaient, trouvaient, perdaient, naïves et innocentes, jeunes et folles, vos mains qui avaient attrapé, agrippé, arraché un peu de bonheur à la vie, vos mains qui oubliaient la haine. Vous aviez des mains amoureuses.
Elle, des mains fines et blanches, longs doigts fins et ongles soigneusement coupés, mains artistes, déliées, pianistes. Ses doigts menus, serrant d'un côté les tiens si fort, comme une bouée de sauvetage, de l'autre l'ombrelle de fine dentelle, délicate dans les ors du couchant sur le port d'un côté, de l'autre ne vont pas. Tu parles des doigts au début de la phrase; là, tu reviens sur les mains. Elle l'a tendue, sa jolie menotte, se dégageant frivolement de ton étreinte, caressant la distance du phare, augure de tous vos rêves. Puis, docile, la main d'albâtre s'est à nouveau faufilée dans la tienne, sans crainte ni remords, totalement libre, et l'amour ne lui jettera pas d'entraves, à cette main de Victoire ou de Vénus L'emploi du futur dans un texte au passé me dérange un peu. Sur elle, tes doigts se resserrèrent, hâlés, au grain de peau fin, aux muscles jeunes et élastiques, et tes veines se devinaient à peine, dans la plénitude de ce printemps de ta vie. Tu avais une poignée de main large et franche, honnête, doigts forts et musclés, et leur bout taché d'encre et de peinture, barbouilleur de toiles, peintre à l'huile, et t'appelais-tu Vincent, Léonard, Charles ou que sais-je d'autre encore ? Il y avait dans l'innocence de ces morceaux de peinture séchée un rêve, ou le début d'une légende, ou simplement ton bonheur quotidien à côté de tes études.

Il y avait mes mains, fatiguées, tremblantes.

Ces tremblements incontrôlables qui les parcouraient, tout ce qu'elles osaient enfin être à la vue de vos mains d'ange, tout ce qu'elles n'avaient plus. Mes mains qui tremblaient, tremblaient, et le noir, la brume qui les envahissait peu à peu, jusqu'à ce qu'elles s'immobilisent, puis tombent, victimes de la gravité, mais nul n'a pleuré sur la poussière de toutes les étoiles mortes ramenées des confins de l'Orient, nul n'a crié devant les merveilles d'orichalque perdues, retrouvées et noyées, qui s'appesantira sur des mains, un marin, même s'ils ont fait le tour du monde ?
N'ayez crainte, j'ai vu le monde qui filtrait de vos doigts entremêlés, et c'était l'unique chose que j'attendais encore, sans le savoir, cet aperçu du rêve que je n'ai pas vécu, cette jeune fille que je n'ai pas aimée, ce monde qui ne m'a pas captivé.
Et sur vos mains, je peux mourir heureux, accordez-moi cet ultime instant de voyeurisme Yerk, et...

Il y eut vos mains, délicatement, sur mes paupières.

Je le redis, ton texte est vraiment très beau, sur la ligne entre poésie et nouvelle, comme l'a déjà souligné MrSonge. Il se lit facilement, les mots coulent sans problèmes et il est parfaitement dosé au niveau de l'émotion. il y a vraiment peu de choses à revoir. Est-ce que tu as encore de nombreux textes de ce genre à nous mettre?
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Message  A. N. O'Nyme Sam 21 Nov 2009 - 12:03

Merci à vous =D
Je repars en retravaillage, prends compte de vos critiques, etc...
Hélas, il s'agit d'un de mes derniers textes potables.
Mais il faut avouer que d'être critiquée aussi efficacement me donne vraiment envie de reprendre la plume.
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Message  MrSonge Sam 21 Nov 2009 - 12:21

Eh bien, mais reprends-là, cette plume, reprends-là. chizz
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Message  Pacô Dim 22 Nov 2009 - 20:13

En plus les piafs en ont des tas chizz .
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