Bonhomme de la lune.

Gwen a écrit:Dans un lointain château tout rond et entouré d’arbres, un enfant aux boucles blondes jouait. Il vivait là depuis tous les temps (Je mettrais plutôt "toujours") avec son chat noir, Merlin, qui était aussi un peu magicien.

Une nuit où la lune brillait plus que d’ordinaire, ils descendirent sur leur luge à roulettes à travers les fleurs. Alors que le petit garçon s’amusait à faire des tournants, son ami peureux s’était assis sur son épaule :

« - Arthur, ralentis ! Mais voyons ralentis, tu vas trop vite !
- Ha ha, accroche-toi bien, tu vas voir [Virg.] on va s’envoler. »

Le félin, s’accrochant où il pu (pouvait), cachant (Je vois pas l'utilité de participe présent là ...) avec ses pattes les yeux du navigateur des champs. Criant et riant, ils roulèrent dans l’herbe fraiche qui sentait si bon.

Ils arrivèrent finalement au village d’en bas, décidés à jouer de gentilles farces. Ici, les adultes étaient bien trop sérieux. Les deux compères se glissèrent sur la pointe des pieds dans un poulailler. Merlin s’amusait à poursuivre les poules en imitant les cris d’un petit renard affamé sous les rires d’Arthur, qui lui, faisait pousser des fruits et des bourgeons dans le creux des murs ternes. Au milieu de la paille dorée, les couleurs se mirent à exploser. Ils allèrent aussi parler avec les moutons, et l’enfant leur demanda s’ils voulaient bien leur prêter un peu de laine. Ils l’avaient trouvé si beau et il était tellement rare qu’on les écoute, que chacun donna sa laine avec gaieté. Arthur en fit une jolie écharpe jaune, dans laquelle il accrocha quelques étoiles. Le fermier fut bien surpris le lendemain de retrouver ses moutons sans laine, mais plus encore de les entendre parler pour raconter cette visite
Chaque maison fut enduite de peintures vives.
Alors que le village silencieux luisait comme sous un soleil d’été, un bâtiment restait sombre et terne. Les magiciens en herbe s’en approchèrent…

« - Elle est bien triste cette grande maison en pierre, murmura Arthur, et les fenêtres laissent passer le vent sifflant.
— (Alt + 0151 pour tes tirets de dialogue) (Pas de taquet de tabulation) C’est ici que les villageois se rassemblent pour… pour…. Comment disent-ils déjà ? Prier, je crois.
— Il va nous falloir un peu d’aide pour faire briller tout ça. Il me semble qu’il doit me rester un peu de… attends… (A la ligne) Il chercha un instant dans ses poches, puis sortit une petite fiole remplie d’une eau bleue turquoise.
— On me l’avait donnée avant que je ne parte de là-haut [Virg.] dit-il avec un sourire. Je serais vite de retour. »

Ceci dit, il en avala une longue gorgée. Il se mit lui-même à émaner un bleu pâle, phosphorescent. Cette potion lui permettait de devenir léger comme une plume et de monter ainsi plus facilement dans l’espace. Des anges, comme lui, l’avaient faite avant son voyage. Merlin l’aida et fit apparaître une nuée de ballons et d’oiseaux bariolés auxquels Arthur s’accrocha.

Une fois arrivé, il sautilla de joie, il n’était pas venu depuis longtemps. Il s’endormit un instant sur le croissant de la lune pour reprendre quelques forces, tout en écoutant la musique du ciel. Mais n’oubliant pas qu’il voulait faire un cadeau aux hommes, il prit des couleurs aux joues des planètes et de la lumières aux soleils.
Croquant dans un morceau d’étoile rouge, il redevint un peu plus lourd, et se laissa lentement redescendre vers la terre.
Il œuvra toute la nuit avec Merlin. Ils mirent tout leur cœur dans ce qu’ils faisaient. Une fois satisfaits, les deux amis étaient épuisés, mais heureux de leur surprise.

Le jour se levait lentement à présent, et une foule ébahie se tenait devant l’église. Jamais personne n’avait vu de chose aussi belle. Les vitres, devenues immenses, étaient un assemblage de couleurs vives et transparentes. Elles laissaient passer le soleil, qui éclairait leurs dessins lunaires. Des roses se déployaient partout sur les murs, et une odeur divine s’en échappait. Et, comble de l’étrange, une cloche toute dorée sonnait avec clarté dans l’air frais, sans que personne ne l’actionne.
Arthur et Merlin avaient voulu apporter de la joie aux hommes, en espérant de toutes leurs forces qu’ils deviendraient meilleurs [Pas de virg.] et transmettraient cet amour. Mais ceux-ci n’écoutèrent que leur méchanceté [Point] Ils ne s’étaient attachés qu’à ce qui brillait à l’extérieur, n’avaient cru qu’aux histoires. Ils avaient perdu le vrai message. Pleins de haine, ils ne voulurent pas partager. Préférant détruire, ils partirent en guerre, se divisèrent et se fâchèrent.

Les beaux vitraux furent brisés, et Arthur pleura à chaudes larmes des jours durant. Même son ami ne pouvait le réconforter avec ses pitreries. Un soir où l’orage grondait, le petit garçon sortit sous la pluie et grimpa au sommet du chêne qui avait poussé dans sa cour.
Les éclairs lumineux et fracassants tombaient ça et là. Quand l’orage fut enfin parti au loin, Merlin eut beau chercher l'enfant partout, il ne le retrouva jamais. Ainsi, il décida de ne plus jamais parler.

Dans un lointain château tout rond et entouré (cerné ?) d’arbres, un enfant aux boucles blondes jouait (je formulerais différemment : Dans un lointain château tout rond et entouré d’arbres jouait un enfant…). Il vivait là depuis tous les temps (longtemps ? parce depuis tous les temps ça ne veut rien dire) avec son chat noir, (pas de virgule) Merlin, qui était aussi un peu magicien.

Une nuit où la lune brillait plus que d’ordinaire (je dirais brillait plus qu’à l’ordinaire) , ils descendirent (donc l’enfant et le chat ?) sur leur luge à roulettes à travers les fleurs. Alors que le petit garçon (donc si c’est un petit gars, tu aurais pu le préciser sur le paragraphe ci-dessus parce que l'enfant peut aussi être une fille) s’amusait à faire des tournants (la tournure est maladroite), son ami peureux s’était assis sur son épaule :

« - Arthur, ralentis ! Mais voyons ralentis, tu vas trop vite ! (c’est donc le chat qui parle ? tu devrais préciser que le chat a le don de la parole)- Ha ha (plutôt ah ah), accroche-toi bien, tu vas voir, on va s’envoler. » (je dirais que pour le ah ah, tu pourrais utiliser d’autre mot du genre « accroche-toi…, dit l’enfant en éclatant de rire, enfin un truc dans le genre)

Le félin, (pas de virgule tu coupes le sujet de son verbe) s’accrochant où il pu(put) (ouh la le félin s’accrocha du mieux qu’il put mais ça reste maladroit), cachant (deux participes présent dans la même phrase, à éviter) avec ses pattes (oui en même temps il ne peut pas s’accrocher avec son nez, ceci dit il s’accroche non pas avec ses pattes mais ses griffes, tu pourrais alors dire : le félin planta ses griffes dans le pull de l’enfant bla bla bla) les yeux du navigateur des champs ( maladroit on a l’impression que tu parles du navigateur des champs donc ça fait bizarre, tu pourrais dire : les pattes du félin empêchèrent le conducteur de la luge de voir les champs devant lui enfin un truc dans le style). Criant et riant (encore deux participes présent, c’est beaucoup sur un si petit paragraphe), ils roulèrent dans l’herbe fraiche qui sentait si bon.


Ils arrivèrent finalement au village d’en bas, décidés à jouer de gentilles farces. Ici, les adultes étaient bien trop sérieux. Les deux compères se glissèrent sur la pointe des pieds dans un poulailler. Merlin s’amusait (s’amusa ?) à poursuivre les poules en imitant les cris d’un petit renard affamé sous les rires d’Arthur, qui lui, faisait pousser des fruits et des bourgeons dans le creux des murs ternes. Au milieu de la paille dorée, les couleurs se mirent à exploser (je trouve ça un peu étrange des couleurs qui explosent). Ils allèrent aussi parler avec les moutons, et l’enfant leur demanda s’ils voulaient bien leur prêter un peu de laine. Ils l’avaient trouvé si beau (qui ? le mouton ? mais tu dis qu’ils vont parler AUX moutons donc ça ne colle pas) et il était tellement rare qu’on les écoute, que chacun donna sa laine avec gaieté (ben z’ont une tondeuse sur eux les moutons ? ça manque un peu de cohérence sur ce coup). Arthur en fit une jolie écharpe jaune (précise que c’est par le biais de la magie sinon on a l’impression encore une fois qu’il a des aiguilles à tricoter sur lui ), dans laquelle il accrocha quelques étoiles (des étoiles sorties d’où ? précise, développe). Le fermier fut bien surpris le lendemain (j’inverserais : Le lendemain, le fermier fut bien surpris de…) de retrouver ses moutons sans laine (nus ? ou dépourvus de leur toison ?), mais plus encore de les entendre parler pour raconter cette visite
Chaque maison fut enduite de peintures vives. (alors là je décroche total, tu parles des moutons et paf d’un coup on parle d’enduire les maisons, il faudrait que tu mettes un lien entre ces deux évènements)Alors que le village silencieux luisait comme sous un soleil d’été, un bâtiment restait sombre et terne. Les magiciens en herbe s’en approchèrent… (je suppose que tu parles du chat et de l’enfant)

« - Elle est bien triste cette grande maison en pierre (j’enlèverai en pierre parce que ça n’a pas vraiment d’utilité, dans ce cas dis-le dans la description précédente du bâtiment), murmura Arthur, et les fenêtres laissent passer le vent sifflant. (je mettrais tout le dialogue à la suite et je terminerais par murmura Arthur)
- C’est ici que les villageois se rassemblent pour… pour…. Comment disent-ils déjà ? Prier, je crois.
- Il va nous falloir un peu d’aide pour faire briller tout ça. Il me semble qu’il doit me rester un peu de… attends…

Il chercha un instant dans ses poches, puis sortit une petite fiole remplie d’une eau bleue turquoise (elle ne peut pas être bleue si elle est turquoise, choisis).
- On me l’avait donnée avant que je ne parte de là haut(là-haut) dit-il avec un sourire (dit-il, un sourire au coin des lèvres ?). Je serais vite de retour. »


Ceci dit, (je supprimerai le ceci dit qui ne sert à rien) il en avala une longue (je supprimerai longue) gorgée. Il se mit lui-même à émaner un bleu pâle (son corps irradia soudain d’une pâle couleur bleuâtre ? enfin développe plus ce phénomène), phosphorescent. Cette potion lui permettait de devenir léger comme une plume et de monter (s’élever ?) ainsi plus facilement (plus facilement ? mais pas plus facilement sinon ça voudrait dire qu’il peut déjà le faire, le peut-il ?) dans l’espace. Des anges, comme lui, l’avaient faite avant son voyage. Merlin l’aida et fit apparaitre une nuée de ballons et d’oiseaux bariolés auxquels Arthur s’accrocha. ( à reformuler plus clairement, j’ai vraiment du mal à suivre le cours de ta pensée)

Une fois arrivé (ok, arrivé où ?), il sautilla de joie, il n’était pas venu depuis longtemps. Il s’endormit un instant sur le croissant de la lune pour reprendre quelques forces, tout en écoutant la musique du ciel. Mais n’oubliant pas qu’il voulait faire un cadeau aux hommes, il prit des couleurs aux joues des planètes et de la lumière aux soleils.
Croquant dans un morceau d’étoile rouge, il redevint un peu plus lourd, et se laissa lentement redescendre vers la terre.
Il œuvra toute la nuit avec Merlin (Merlin et lui œuvrèrent toute la nuit durant ?). Ils mirent tout leur cœur dans ce qu’ils faisaient. Une fois satisfaits (une fois leur travail terminé, les deux amis étaient épuisés mais satisfaits de leur surprise ?), les deux amis étaient épuisés, mais heureux de leur surprise.

Le jour se levait lentement à présent, et une foule ébahie se tenait (je dirais Une foule ébahie se rassembla ?) devant l’église. Jamais personne n’avait vu de chose aussi belle. Les vitres, devenues immenses, étaient un assemblage de couleurs vives et transparentes (je dirais que transparentes me semblent la moindre des choses pour des fenêtres, inutile donc de le préciser). Elles laissaient passer le soleil, qui éclairait leurs dessins lunaires. Des roses se déployaient partout sur les murs, et une odeur divine (une divine odeur ?) s’en échappait. Et, comble de l’étrange, une cloche toute dorée sonnait avec clarté dans l’air frais, sans que personne ne l’actionne.

Arthur et Merlin avaient voulu apporter de la joie aux hommes, en espérant de toutes leurs forces qu’ils deviendraient meilleurs et transmettraient cet amour. Mais ceux-ci n’écoutèrent que leur méchanceté. Ils ne s’étaient attachés qu’à ce qui brillait à l’extérieur, n’avaient cru qu’aux histoires. Ils avaient perdu le vrai message. Pleins de haine, ils ne voulurent pas partager. Préférant détruire, ils partirent en guerre, se divisèrent et se fâchèrent. ( là encore tu passes du coq à l’âne, on a du mal à suivre, au départ tu parles de la beauté de l’église puis d’un coup de la méchanceté des hommes. D’autres part, ok pour la beauté de l’église à l’extérieur mais ta foule, elle n’a pas la curiosité d’entrer histoire de voir si quelque chose est différent à l’intérieur ?)

Les beaux vitraux furent brisés, et Arthur pleura à chaudes larmes des jours durant (on suppose donc qu’entre le moment où les vitraux ont été posé et celui ou ils ont été détruits, le petit garçon et le chat sont resté sur place. Combien s’est-il passé de temps entre les deux évènements ?). Même son ami ne pouvait le réconforter avec ses pitreries. Un soir où l’orage grondait, le petit garçon sortit sous la pluie et grimpa au sommet du chêne qui avait poussé dans sa cour. (ok dans sa cour, mais il est où alors exactement ce petit garçon ? au village ou dans son château ?)

Les éclairs lumineux et fracassants tombaient (bof, un éclair qui tombe, en général ça zèbre le ciel, la foudre tombe pas l’éclair et puis fracassant, mouais l’éclair n’a pas la capacité de faire du bruit donc je prendrais fracassant pour le bruit du tonnerre) ça et là. Quand l’orage fut enfin parti au loin (quand l’orage s’éloigna enfin ?), Merlin eu beau chercher l'enfant partout, il ne le retrouva jamais. Ainsi, il décida de ne plus jamais parler. ( c’est ta fin ??? comme ça, le chat voit son petit maitre disparaître et il décide simplement de ne plus parler ? je dirais que tu devrais revoir cette fin, elle donne l’impression que tu as voulu terminer la nouvelle rapidement. Pis mince, moi je veux savoir où il est le gamin )

Dans un lointain château tout rond et entouré d’arbres jouait un garçon aux boucles blondes.

« - Arthur, ralentis ! Mais voyons ralentis, tu vas trop vite ! S'écria l'animal.

Le fermier fut bien surpris le lendemain de retrouver ses moutons sans laine, mais plus encore de les entendre parler pour raconter cette visite

- Elle est bien triste cette grande maison en pierre, murmura Arthur, et les fenêtres laissent passer le vent sifflant.

Je serais vite de retour.

Des anges, comme lui, l’avaient faite avant son voyage.

Une fois arrivé, il sautilla de joie, il n’était pas venu depuis longtemps.

Il s’endormit un instant sur le croissant de la lune pour reprendre quelques forces, tout en écoutant la musique du ciel. Mais n’oubliant pas qu’il voulait faire un cadeau aux hommes, il prit des couleurs aux joues des planètes et de la lumière aux soleils.
Croquant dans un morceau d’étoile rouge, il redevint un peu plus lourd, et se laissa lentement redescendre vers la terre.

Les vitres, devenues immenses, étaient un assemblage de couleurs vives et transparentes.

Ils avaient perdu le vrai message.