Commentaires " Paris, automne 1992."
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Re: Commentaires " Paris, automne 1992."
Je commence.
Je crois déjà avoir lu ce texte, et ici-même. Mais je ne le retrouve plus.
=> espace avant le "dans"
Appréciation générale :
Je dirais dans un premier temps que j'ai du mal à saisir la concordance entre le titre de l'essai et son contenu. Si ce n'est qu'on se doute que finalement, les rues où s'entrecroisent ces gens anonymes doivent être de Paris.
Pour rester formel dans un premier temps, j'ai remarqué beaucoup de fautes d'étourderie que je me suis attelé à corriger et surtout à te souligner. Ces erreurs ne sont certes pas dramatiques mais je trouve que pour un essai - qui est plus d'une allure poétique que philosophique - il est fâcheux de buter sur des fautes d'orthographe. Peut-être est-ce mon amour pour la rigueur qui me fait dire ça, néanmoins, je suis persuadé qu'ici beaucoup sont de mon avis .
Ensuite, toujours sur un plan formel, j'ai remarqué dans le début une répétition de structure, notamment avec l'outil "comme". Pour faire simple, citons-les :
Beaucoup de "on" aussi, ce qui donne un caractère très impersonnel au texte. C'est voulu, très certainement, puisque le sujet est en lui-même assez orienté sur l'anonymat. Mais je le souligne - histoire peut être que tu m'en dises un peu plus.
Enfin, passons au contenu, au fond. Je risque de passer pour le gros terre-à-terre... mais j'avoue ne pas avoir tout saisi.
Par exemple, que signifie exactement ce passage ?
Et pour terminer, il y a des notions que je souhaiterais discuter avec toi. Comme :
Je précise que ceci n'est pas une critique, mais bien une question pour voir comment tu défends ta prose.
Et finalement, ce texte nous dit-il simplement que l'Homme se croit indépendant et se croit libre de son destin - alors qu'en fait non - ou y a-t-il un autre message qui m'a échappé ?
Et que nous dirais-tu pour résumer - voire expliquer - ce texte ? Parce que j'aime bien les versions de l'auteur, notamment sur un type d'essai. Quand je serai tout-à-fait sûr de ce que tu as voulu dire, je m'opposerai ou corroborerai ta "thèse".
Bon courage .
Je crois déjà avoir lu ce texte, et ici-même. Mais je ne le retrouve plus.
=> espace avant et après le tiret (et souvent, pas besoin de virgule)comme tout jeune enfant-,
=> littéralement, c'est la femme qu'on conte et non l'histoireune femme sans histoire, mais qu’on pourrait conter.
=> regardeffleurent d’un regarde absolu et nihiliste
=> étrange ces "dits" parce que notre lecture nous fait plus penser à "ces dix"ces dits « pauvres hommes »dans leur bouche orgueilleuse
=> espace avant le "dans"
=> "ou" et non "on"on du moins l’image qu’il en émerge.
=> "vit" et non "vie"vie dans l'illusion du libre arbitre
=> pourquoi ce "On"On y croise des femmes
=> étrange comme expression. Ce n'est pas plus "de peur" ?sous peur
Appréciation générale :
Je dirais dans un premier temps que j'ai du mal à saisir la concordance entre le titre de l'essai et son contenu. Si ce n'est qu'on se doute que finalement, les rues où s'entrecroisent ces gens anonymes doivent être de Paris.
Pour rester formel dans un premier temps, j'ai remarqué beaucoup de fautes d'étourderie que je me suis attelé à corriger et surtout à te souligner. Ces erreurs ne sont certes pas dramatiques mais je trouve que pour un essai - qui est plus d'une allure poétique que philosophique - il est fâcheux de buter sur des fautes d'orthographe. Peut-être est-ce mon amour pour la rigueur qui me fait dire ça, néanmoins, je suis persuadé qu'ici beaucoup sont de mon avis .
Ensuite, toujours sur un plan formel, j'ai remarqué dans le début une répétition de structure, notamment avec l'outil "comme". Pour faire simple, citons-les :
comme tout jeune enfant
comme tout être sans intérêt
Ces répétitions donnent un air assez rébarbatif au texte et il serait certainement judicieux de les éviter puisque finalement, ça nuit à la compréhension de l'ensemble - qui n'est pas toujours aisée cela dit.comme celle de tout autre
Beaucoup de "on" aussi, ce qui donne un caractère très impersonnel au texte. C'est voulu, très certainement, puisque le sujet est en lui-même assez orienté sur l'anonymat. Mais je le souligne - histoire peut être que tu m'en dises un peu plus.
Enfin, passons au contenu, au fond. Je risque de passer pour le gros terre-à-terre... mais j'avoue ne pas avoir tout saisi.
Par exemple, que signifie exactement ce passage ?
Par contre, il y a d'autres "pensées" que j'ai plutôt appréciées. Notamment celle-ci par exemple :– où l’insouciance de tendre leurs mains pour abreuver leur soif tombe de distraction comme tout jeune enfant -
tout en sachant que la recherche de la banalité est en somme d’une originalité sans pareille
Et pour terminer, il y a des notions que je souhaiterais discuter avec toi. Comme :
Comment un regard peut-il être absolu et nihiliste à la fois ? Pour ma part, je vois l'absolu comme un "tout" et le nihilisme comme un "rien" : alors comment expliquer la juxtaposition des deux termes ?effleurent d’un regard absolu et nihiliste
Je précise que ceci n'est pas une critique, mais bien une question pour voir comment tu défends ta prose.
Et finalement, ce texte nous dit-il simplement que l'Homme se croit indépendant et se croit libre de son destin - alors qu'en fait non - ou y a-t-il un autre message qui m'a échappé ?
Et que nous dirais-tu pour résumer - voire expliquer - ce texte ? Parce que j'aime bien les versions de l'auteur, notamment sur un type d'essai. Quand je serai tout-à-fait sûr de ce que tu as voulu dire, je m'opposerai ou corroborerai ta "thèse".
Bon courage .
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