Commentaires : Le syndrome Frankenstein
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Slartibartfast- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Bon, j'ai commencé à lire... Intéressant, des choses à dire... dès j'ai envoyé mon concours je jette un œil pour te donner mon avis... ????????????????????????
MémoireDuTemps- Admin
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Bonjour!
Bon je vais d'abord faire un relevé de ce qui me fait tiquer, puis je te ferai une synthèse pour la forme et le fond.
Je vais te faire beaucoup de suggestions, mais tu connais le principe, tu ne prends que ce que tu veux.
De plus, pour éviter d'alourdir ta phrase avec la répétition de "de" (de la topographie de la forêt), je te suggère : "une image topographique détaillée". Ça a exactement le même sens, avec l'avantage de rendre de la légèreté.
Le verbe "fusionnés " est quant à lui bizarrement placé. je le verrais plus à sa place avant le nom des continents. Et pour encore plus de lisibilité, je mettrais là aussi des tirets, autour des noms de continents. Parce que c'est une précision que tu fais, comme plus haut, un détail que tu rajoutes, donc à la base pas essentiel à la phrase pour qu'elle soit comprise. Les tirets ont ici la même fonction que la parenthèse, mais ils sont préférables dans une nouvelle, comme dans un roman.
La "statique", je ne crois pas que ça existe. Tu voulais parler de la charge peut-être ?
Tu peux en plus enlever la virgule située juste avant le "dont" (ce qui te donne: "...du sud d'Oné, ce secteur légèrement vallonné dont..."), ou alors tu enlèves le "Ce" ("...du sud d'Oné, secteur légèrement vallonné, dont les collines..." mais avec un "et dont", ce serait plus joli...à toi de voir!).
Comme quoi une simple virgule peut complètement changer une phrase^^
Là pareil, il y a un souci de ponctuation. Ta deuxième phrase n'est pas achevée, il manque quelque chose. Or, elle s'accorde parfaitement à la précédente. Il vaut donc mieux une virgule, et encore mieux, une reformulation du type "Pour avancer il se concentrait sur la large dos de An-Tras, que sa hache barrait...". Ça a l'avantage d'éviter la répétition de "dos". Il faudrait aussi un mot de liaison pour la suite, car on passe de la hache dissimulée aux cheveux ramenés, ce qui n'est pas très clair, tu vois. Pas besoin d'un truc compliqués, juste un "eux-même ramenés..." suffit à faire comprendre qu'on a changé de sujet.
"fondaient comme de la cire"
J'aurais mis "thermo-isolant"
Voili j'ai fini!
Alors commençons par la forme: tu as un petit souci récurrent avec la ponctuation. Le meilleur conseil que je puisse te donner et de lire à haute voix, tu verras alors mieux où placer les points, les virgules et les points-virgules. Ce que je peux te dire aussi, c'est de faire attention à la distinction entre virgule et point virgule, le rôle est très différent. le point virgule sert à séparer deux phrases indépendantes mais qui sont liées logiquement, c'est une suite de la même idée. La virgule sépare deux parties d'une seule et même phrase. Quant au point, c'est rupture nette et franche. Chaque phrase est indépendante, et comporte la plupart du temps un verbe et un sujet. Tu peux faire des exceptions mais attention à ce que l'on n'ait pas l'impression de lire une énumération comme une liste de course, ou qu'il manque une suite à la phrase. je peux t'en parler, la liste de course j'en ai été la spécialiste. En me relisant à voix haute j'ai pu voir comme c'était désagréable. Toi tu ne fais pas de liste, mais tu mets par-ci par-là des phrases très courtes et abruptes, qui nous font demander ce qu'elles fabriquent là. Alors que raccordées à la phrase précédentes, elles ont tout à fait leur place et sont logiques. Il faut bien sûr faire attention à ce que les phrases ne deviennent pas trop longues, mais dans ton cas c'est tout à fait faisable.
N'oublie pas non plus que tu peux utiliser le tiret, très utile pour donner une explication supplémentaire ou ajouter un détail sans alourdir la phrase.
Pour le reste tu oublies un mot de temps en temps (ou tu en rajoutes^^), mais tu n'as pas fait de fautes d'orthographe et la concordance des temps me paraît bonne.
Il t'arrive parfois de te compliquer la vie aussi, en voulant détailler les actions, comme pour le dialogue. Parfois il n'y a pas besoin de trop en mettre, on comprend vite avec la ponctuation que le personnage s'arrête et parle ensuite.
Pour le fond, j'avoue avoir du mal avec la SF, à cause de tous les engins aux noms compliqués^^ Mais là j'ai réussi à suivre donc tes explications sont plutôt bonnes.
Pour ta question au sujet des quatre premiers paragraphes, est-ce qu'en mettant le quatrième paragraphe en deuxième et laissant une ligne vide entre ces deux paragraphes et les deux suivants te conviennent? Cela ferait comme un prologue avant que tu n'expliques le contexte.
Puis tu remets un espace entre les deux paragraphes de contexte et la suite. Ça laissera l'impression d'un intermède explicatif. Je te montre, au cas où je ne serai pas très claire^^
C'est pas grand-chose mais ça apporte peut-être un peu plus de logique, non ?
Bon voilà j'espère que mon commentaire te convient. Bien sûr tu ne prends que ce que tu veux, je n'ai fais ça que pour t'aider.
Au plaisir de lire la suite!
Bon je vais d'abord faire un relevé de ce qui me fait tiquer, puis je te ferai une synthèse pour la forme et le fond.
Je vais te faire beaucoup de suggestions, mais tu connais le principe, tu ne prends que ce que tu veux.
J'aurais mis la signification de l'abréviation entre tirets, c'est plus clair pour la lecture.Le BRINHO, BRacelet d'INgénierie HOlographique, de Misug afficha une image de la topographie détaillée de la forêt voisine.
De plus, pour éviter d'alourdir ta phrase avec la répétition de "de" (de la topographie de la forêt), je te suggère : "une image topographique détaillée". Ça a exactement le même sens, avec l'avantage de rendre de la légèreté.
Le "d'" souligné est en trop.Comme les nombreuses d'autres équipes d'exploration einashs, il sondait à l'aide de capteurs mobiles REUS les environs immédiat d'Oné, leur cité.
J'ai un souci avec la phrase soulignée: déjà j'aurais mis "et" à la place du point-virgule, cela rendrait la phrase plus logique à mon sens, elles sont sur le même plan, hors on dirait qu'il y a une séparation et donc il semble manquer un terme de conséquence dans la partie soulignée, alors qu'on en a une juste avant, le "ainsi". Inutile de les doubler quand un seul suffit, je pense. Ou, si tu ne veux pas de "et", mets simplement deux points, c'est tout aussi logique et plus cohérent que le point-virgule.Le Disrupteur Tectonique employé au cours de la Guerre Civile Terrienne, cinquante-huit ans auparavant, avait entraîné une remontée de la plaque Africaine vers la plaque Eurasienne. Ainsi, la Méditerranée n'existait plus ; les trois anciens continents, Asie, Europe, Afrique, fusionnés en formaient un seul, nommé Imago par les Einashs. Il devenait nécessaire de mettre en place une nouvelle cartographie terrestre.
Le verbe "fusionnés " est quant à lui bizarrement placé. je le verrais plus à sa place avant le nom des continents. Et pour encore plus de lisibilité, je mettrais là aussi des tirets, autour des noms de continents. Parce que c'est une précision que tu fais, comme plus haut, un détail que tu rajoutes, donc à la base pas essentiel à la phrase pour qu'elle soit comprise. Les tirets ont ici la même fonction que la parenthèse, mais ils sont préférables dans une nouvelle, comme dans un roman.
Il vaut mieux une virgule plutôt que le point-virgule, car celui-ci coupe la phrase bien plus franchement que la virgule. Aussi ta deuxième partie de phrase devient inachevée et incohérente. Une phrase qui suit un point-virgule doit pouvoir être indépendante de la précédente, ce qui n'est pas le cas ici.Juste avant que ne débute l’affrontement, les humains, avaient mis en place le Voile. Ce réseau de brouillage puissant perturbait tout système électronique qui tentait de le traverser; et isolait ainsi du reste de la galaxie la Terre.
Il vaut mieux mettre une virgule après "Cocottes Magnet", ou, là encore, des tirets.Par ailleurs, de nombreuses Bombes ElectroMagnétiques, BEM, surnommées affectueusement "Cocottes Magnet'" furent échangées par les belligérants. C'est ainsi que, localement, de la charge statique avait été accumulée par le sol et les carcasses d'appareils abattus lors du conflit. Cette statique empêchait tout relevé fait à l'aide de capteurs à résonnance EM, les plus couramment employés avant la Guerre Civile. Pour contourner ce problème, les Einashs utilisaient désormais des capteurs REUS, à Résonnance UltraSonique.
La "statique", je ne crois pas que ça existe. Tu voulais parler de la charge peut-être ?
Il vaudrait mieux relier ces deux phrases par une virgule, car on ne voit pas l'intérêt de la séparation par un point. Ça stoppe nette la lecture et provoque une sorte de rupture qui ne mérite pas sa place ici. Ça gêne la fluidité quelque part. tu vois ce que je veux dire? Lis-toi à haute voix et je pense que tu comprendras. Mais il faut dire que je ne suis pas toujours claire^^Le groupe auquel Misug appartenait prenait en charge la portion au Nord-Nord-Est de la ville. Au cœur de la forêt.
Pareil ici mais le problème est autre: on a l'impression qu'il manque la fin de la phrase à cause de la tournure de celle-ci: le "dont" implique deux propositions, une subordonnée, induite par le "dont", et une principale. Or, cette principale n'a pas de verbe conjugué, et est seulement représentée par "ce secteur légèrement vallonné". Tandis que si tu met une virgule juste avant, ta principale change de fonction, et on n'attend plus de verbe.Le dense rideau d’arbres obligeait le Technologue à effectuer des relevés fréquents, ce qui l'amenait à envier le sort de ses camarades chargés du sud d'Oné. Ce secteur légèrement vallonné, dont les collines autorisaient des relevés d‘une portée de plusieurs kilomètres.
Tu peux en plus enlever la virgule située juste avant le "dont" (ce qui te donne: "...du sud d'Oné, ce secteur légèrement vallonné dont..."), ou alors tu enlèves le "Ce" ("...du sud d'Oné, secteur légèrement vallonné, dont les collines..." mais avec un "et dont", ce serait plus joli...à toi de voir!).
Comme quoi une simple virgule peut complètement changer une phrase^^
C'est la hache qui est dissimulée, donc on accorde.Il se concentrait sur le dos de An-Tras pour avancer. Son large dos que sa hache barrait, à demi dissimulé par ses longs cheveux noirs, ramenés en queue de cheval par une lanière de cuir. Obnubilé par cette silhouette à la grâce féline, Misug trébuchait souvent. Ce type le fascinait autant qu'il l'effrayait.
Là pareil, il y a un souci de ponctuation. Ta deuxième phrase n'est pas achevée, il manque quelque chose. Or, elle s'accorde parfaitement à la précédente. Il vaut donc mieux une virgule, et encore mieux, une reformulation du type "Pour avancer il se concentrait sur la large dos de An-Tras, que sa hache barrait...". Ça a l'avantage d'éviter la répétition de "dos". Il faudrait aussi un mot de liaison pour la suite, car on passe de la hache dissimulée aux cheveux ramenés, ce qui n'est pas très clair, tu vois. Pas besoin d'un truc compliqués, juste un "eux-même ramenés..." suffit à faire comprendre qu'on a changé de sujet.
Tu n'as pas besoin de multiplier les verbes. Le fait d'aller à la ligne et de mettre un tiret nous fait bien comprendre que tu ouvres un dialogue, il est donc inutile de le préciser par des verbes, qui alourdissent la phrase.Au bout de quelques minutes, Razzil s'arrêta et s'enquit :
— On est au bon endroit pour la mesure ?
Misug lança un regard sur son bracelet et dit :
— On devrait avancer d'une trentaine de mètres.
— On te suit.
Les pensées doivent être distinguées du reste de la narration. Le plus simple est de les mettre en italique. C'est encore mieux si tu les mets à la ligne.Le Technologue fit de son mieux pour dissimuler sa maladresse. Mais ses jambes lourdes le trahissaient à chacun de ses pas. Dire que je dois subir ce calvaire pendant deux heures de plus ! pensa-t-il.
Bon apparemment c'est bien "statique" que tu voulais dire, mais franchement je trouve ça très bizarre...Alors j'ai cherché, et la statique existe bien, mais dans le sens où tu veux l'employer (c'est à dire, si j'ai bien compris, dans le sens de charge électrostatique). Si donc c'est une invention de ta part, il faudrait que tu trouves un moyen de nous le faire comprendre, pour éviter qu'on ne croit à une faute.— Pas mal de statique accumulée dans cette zone, expliqua-t-il en montrant du doigt une zone de l'hologramme floue.
"Au cours du dernier conflit global"L’aéronef modèle IC-124R, construit par le Consensus Européen, fut surnommé Icare par des militaires inspirés. La nécessité de transporter énormément de troupes au sol, au cours dernier conflit terrien global, avait poussé les manufactures d'armes du Consensus à construire un véhicule peu coûteux, aussi bien pour son assemblage que pour les matériaux employés. Le résultat consistait en un module de vie cylindrique scindé en deux. Une partie abritait le pilote, qui maniait l'appareil "la tête dans les genoux", au dire des ingénieurs, l'autre permettait d'accueillir une quinzaine d'hommes, équipement compris. Il n’hérita pas du nom d’Icare parce que ses ailes courtaudes fondaient comme la cire s'il s'approchait trop près du soleil. L'acier employé pour son fuselage, qui supportait mal les variations de température, était responsable du surnom. Rajouter un revêtement thermoisolant sur la multitude d'aéronefs aurait demandé trop de temps et d'argent. Il fut ordonné aux timoniers de ne pas voler au delà de sept kilomètres d'altitude, afin d'éviter aux plaques du fuselage une contrainte thermique trop importante. Les accidents furent drastiquement réduits, jusqu'à un taux de pertes acceptable.
"fondaient comme de la cire"
J'aurais mis "thermo-isolant"
Donc ces corps sont là depuis 58 ans? Il est donc impossible qu'ils soient encore en état de décomposition. En effet, la décomposition ne met que quelques mois (selon les conditions climatiques, l'individu,...) pour être effective. Il ne devrait donc rester là que des ossements. Si tu veux plus d'infos là-dessus, voici le lien pour le traité pratique de médecine légale sur le processus de putréfaction: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k76973j/f38.image— Merci, dit Misug, partagé entre admiration et consternation.
Il s'engouffra dans l'aéronef, et poussa un cri de terreur. Alerté, An-Tras le suivit, et se retrouva nez à nez avec un cadavre. Son harnais de sécurité l'avait maintenu sur son siège. La visière de son casque était brisée, s’en échappaient une trainée de sang brunâtre, qui maculait le haut de son armure de combat. L'odeur des corps en décomposition emplissait les narines du guerrier einash. Misug vomit, écœuré. An-Tras le tira dehors, avant d'expliquer à Razzil :
Voili j'ai fini!
Alors commençons par la forme: tu as un petit souci récurrent avec la ponctuation. Le meilleur conseil que je puisse te donner et de lire à haute voix, tu verras alors mieux où placer les points, les virgules et les points-virgules. Ce que je peux te dire aussi, c'est de faire attention à la distinction entre virgule et point virgule, le rôle est très différent. le point virgule sert à séparer deux phrases indépendantes mais qui sont liées logiquement, c'est une suite de la même idée. La virgule sépare deux parties d'une seule et même phrase. Quant au point, c'est rupture nette et franche. Chaque phrase est indépendante, et comporte la plupart du temps un verbe et un sujet. Tu peux faire des exceptions mais attention à ce que l'on n'ait pas l'impression de lire une énumération comme une liste de course, ou qu'il manque une suite à la phrase. je peux t'en parler, la liste de course j'en ai été la spécialiste. En me relisant à voix haute j'ai pu voir comme c'était désagréable. Toi tu ne fais pas de liste, mais tu mets par-ci par-là des phrases très courtes et abruptes, qui nous font demander ce qu'elles fabriquent là. Alors que raccordées à la phrase précédentes, elles ont tout à fait leur place et sont logiques. Il faut bien sûr faire attention à ce que les phrases ne deviennent pas trop longues, mais dans ton cas c'est tout à fait faisable.
N'oublie pas non plus que tu peux utiliser le tiret, très utile pour donner une explication supplémentaire ou ajouter un détail sans alourdir la phrase.
Pour le reste tu oublies un mot de temps en temps (ou tu en rajoutes^^), mais tu n'as pas fait de fautes d'orthographe et la concordance des temps me paraît bonne.
Il t'arrive parfois de te compliquer la vie aussi, en voulant détailler les actions, comme pour le dialogue. Parfois il n'y a pas besoin de trop en mettre, on comprend vite avec la ponctuation que le personnage s'arrête et parle ensuite.
Pour le fond, j'avoue avoir du mal avec la SF, à cause de tous les engins aux noms compliqués^^ Mais là j'ai réussi à suivre donc tes explications sont plutôt bonnes.
Pour ta question au sujet des quatre premiers paragraphes, est-ce qu'en mettant le quatrième paragraphe en deuxième et laissant une ligne vide entre ces deux paragraphes et les deux suivants te conviennent? Cela ferait comme un prologue avant que tu n'expliques le contexte.
Puis tu remets un espace entre les deux paragraphes de contexte et la suite. Ça laissera l'impression d'un intermède explicatif. Je te montre, au cas où je ne serai pas très claire^^
Le BRINHO, BRacelet d'INgénierie HOlographique, de Misug afficha une image de la topographie détaillée de la forêt voisine. Comme les nombreuses d'autres équipes d'exploration einashs, il sondait à l'aide de capteurs mobiles REUS les environs immédiat d'Oné, leur cité.
Le groupe auquel Misug appartenait prenait en charge la portion au Nord-Nord-Est de la ville. Au cœur de la forêt. Le dense rideau d’arbres obligeait le Technologue à effectuer des relevés fréquents, ce qui l'amenait à envier le sort de ses camarades chargés du sud d'Oné. Ce secteur légèrement vallonné, dont les collines autorisaient des relevés d‘une portée de plusieurs kilomètres.
Le Disrupteur Tectonique employé au cours de la Guerre Civile Terrienne, cinquante-huit ans auparavant, avait entraîné une remontée de la plaque Africaine vers la plaque Eurasienne. Ainsi, la Méditerranée n'existait plus ; les trois anciens continents, Asie, Europe, Afrique, fusionnés en formaient un seul, nommé Imago par les Einashs. Il devenait nécessaire de mettre en place une nouvelle cartographie terrestre.
Juste avant que ne débute l’affrontement, les humains, avaient mis en place le Voile. Ce réseau de brouillage puissant perturbait tout système électronique qui tentait de le traverser; et isolait ainsi du reste de la galaxie la Terre. Par ailleurs, de nombreuses Bombes ElectroMagnétiques, BEM, surnommées affectueusement "Cocottes Magnet'" furent échangées par les belligérants. C'est ainsi que, localement, de la charge statique avait été accumulée par le sol et les carcasses d'appareils abattus lors du conflit. Cette statique empêchait tout relevé fait à l'aide de capteurs à résonnance EM, les plus couramment employés avant la Guerre Civile. Pour contourner ce problème, les Einashs utilisaient désormais des capteurs REUS, à Résonnance UltraSonique.
Le Technologue fixa un instant la carte, puis ajouta d’un geste indolent un marqueur de position sur son BRINHO. Razzil, le meneur du groupe, lui lança un regard impatient. Misug se retint à grand-peine de soupirer. Il soupçonnait le vieux briscard d'avoir compris qu'il prenait volontairement plus de temps que nécessaire pour effectuer ses relevés. [...]
C'est pas grand-chose mais ça apporte peut-être un peu plus de logique, non ?
Bon voilà j'espère que mon commentaire te convient. Bien sûr tu ne prends que ce que tu veux, je n'ai fais ça que pour t'aider.
Au plaisir de lire la suite!
Marie D- Talent Génial
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Quelque remarques de détails :
«Comme les nombreuses d'autres équipes …» Une faute de frappe.
« en montrant du doigt une zone de l'hologramme floue. » Je préférerais : une zone floue de l’hologramme ;
«ses longs cheveux noirs, ramenés en queue de cheval …» La virgule me semble inutile.
Au sujet de la logique du récit :
À propos du cadavre, il est surprenant qu’après 58 ans, il y ait une trainée de sang brunâtre et une odeur de décomposition. Mais cela sera peut-être expliqué par la suite.
Il en est de même pour l’emploi de matériel cartographique sophistiqué
et d’armes primitives
L’action du Disrupteur Tectonique et la réunion de trois plaques en un temps très court a dû entrainer des phénomènes violents. Tu n’en parles pas
Le Voile isole la Terre de la galaxie ; pourquoi a-t-il été mis en place ?
J’aurais aimé en savoir plus sur les deux camps en présence pendant la guerre civile.
Qui sont les Non-Humains du Consensus ?
Il est possible que la suite du récit réponde à ces questions
Ce début est d’une lecture agréable. J’ai apprécié que les membres de l’équipe soient caractérisés. Ce début suscite la curiosité. Il me plait.
Ce petit commentaire est subjectif donc sujet à réfutation.
ferdi- Talent Expérimenté
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Date d'inscription : 08/12/2010
Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
À Marie D, merci pour ta lecture attentive.
Pour ce qui est des tirets, j'avoue ne pas systématiquement y penser. Mais, je pense que, comme tu le dis ça peut aider à conserver une fluidité dans le texte.
"Juste avant que ne débute l’affrontement, les humains, avaient mis en place le Voile. Ce réseau de brouillage puissant perturbait tout système électronique qui tentait de le traverser; et isolait ainsi du reste de la galaxie la Terre" =>Peut-être une erreur de frappe de ma part. D'autant plus que le "et" rajouté est plus qu'accessoire. Par ailleurs, mettre la Terre à la fin est un peu yodien. Tellement gros que je ne l'avais pas vu en me relisant...
En effet, la statique n'existe pas, comme terme à proprement parler. Je parle toujors de la charge statique, comme tu l'as deviné, mais utilise un raccourci. J'essaye de donner un peu de cachet à ma narration en usant de ce genre d'artifices.
"Le groupe auquel Misug appartenait prenait en charge la portion au Nord-Nord-Est de la ville. Au cœur de la forêt."
Personnelement, si j'ai mis ce point, c'est justement parce qu'en le lisant à l'oral, je trouve que ça permet de faire une pause utile pour se remettre dans le "maintenant", après deux paragraphes explicatifs assez denses. 'Fin, je le vois comme ça.
Pour la phrase suivante, et ton changement de point en virgule, j'approuve totalement.
"Son large dos que sa hache barrait, à demi dissimulé".=>Pour moi, c'est le dos qui est à demi-dissimulé. J'ai un doute sur ça.
Pour ce qui est de la description d'An-Tras, j'expérimente. Mon but est d'arriver à relier les élements entre eux pour dynamiser la chose. Mais apparement, les phrases ont un peu de mal à s'imbriquer...
Pour ce qui est des dialogues, j'ai tendance à vouloir préciser qui parle souvent, pour bien situer. Mais c'est vrai que je me rend pas trop compte que ça allourdit l'ensemble.
Pour les pensées, je ne peux pas les mettre en italique, parce que j'ai déjà reservé l'italique pour les communications télépathiques (d'ailleurs, au copier/coller, les derniers paragraphes de la première séquence sont passés à la trappe, ce qui t'aurais montré que l'italique était déjà pris...J'editerais les fautes et reglerais ce problème en même temps.
Pour y remédier et liberer l'italique, je pense employer une police différente pour ce qui à trait à la mentalisation ? (oui, j'utilise allégrement les néologismes).
Pour la décomposition des cadavres, je m'excuse de l'incohérence, et vais y remédier.
Je tiens à m'excuser pour les nombreuses fautes de frappe et petites maladresses (d'/de/du et ponctuation erratique), mais ce début a été profondément remanié et ce, à de nombreuses reprises (pour éliminer les répétitions, surtout).
Pour ta suggestion, je ne suis pas convaincu (dit l'éternel insatisfait uhuh). Ton idée de l'intermède est certes logique, mais pensais plus à un moyen pour que ces paragraphes explicatifs s'intègrent au reste, de manière à avoir une unité dans le début (Non, je n'aime pas plus que ça m'entendre parler, rassure-toi).
En fait, je suis prêt à refondre totalement ces premiers paragraphes. Mais je ne vois pas comment. Je pense donc y revenir quand j'aurais fini l'ensemble du texte.
À ferdi, merci pour l'interêt porté au fond.
Pour la zone floue de l'holograme, j'en ai souri. Habituellement, j'ai pris la sale habitude de placer l'adjectif ainsi. Mais j'ai voulu changer, pour une fois. Mal-à-propos, semblerait il uhuh.
Pour tes interrogations, les réponses arrivent par la suite. Je suis conscient que je balance un peu le lecteur dans mon univers, mais je trouve qu'un introduction détaillée visant à remettre les choses en contexte n'aurait pas le même charme, je me trompe ?
Par contre, comme je soulève beaucoup d'interrogations, et que je veux éviter des passages explicatifs trop fréquents, je dilue pas mal mes éléments. Cette lenteur d'apport d'informations peut possiblement susciter le désinterêt...
Pour ce qui est des tirets, j'avoue ne pas systématiquement y penser. Mais, je pense que, comme tu le dis ça peut aider à conserver une fluidité dans le texte.
"Juste avant que ne débute l’affrontement, les humains, avaient mis en place le Voile. Ce réseau de brouillage puissant perturbait tout système électronique qui tentait de le traverser; et isolait ainsi du reste de la galaxie la Terre" =>Peut-être une erreur de frappe de ma part. D'autant plus que le "et" rajouté est plus qu'accessoire. Par ailleurs, mettre la Terre à la fin est un peu yodien. Tellement gros que je ne l'avais pas vu en me relisant...
En effet, la statique n'existe pas, comme terme à proprement parler. Je parle toujors de la charge statique, comme tu l'as deviné, mais utilise un raccourci. J'essaye de donner un peu de cachet à ma narration en usant de ce genre d'artifices.
"Le groupe auquel Misug appartenait prenait en charge la portion au Nord-Nord-Est de la ville. Au cœur de la forêt."
Personnelement, si j'ai mis ce point, c'est justement parce qu'en le lisant à l'oral, je trouve que ça permet de faire une pause utile pour se remettre dans le "maintenant", après deux paragraphes explicatifs assez denses. 'Fin, je le vois comme ça.
Pour la phrase suivante, et ton changement de point en virgule, j'approuve totalement.
"Son large dos que sa hache barrait, à demi dissimulé".=>Pour moi, c'est le dos qui est à demi-dissimulé. J'ai un doute sur ça.
Pour ce qui est de la description d'An-Tras, j'expérimente. Mon but est d'arriver à relier les élements entre eux pour dynamiser la chose. Mais apparement, les phrases ont un peu de mal à s'imbriquer...
Pour ce qui est des dialogues, j'ai tendance à vouloir préciser qui parle souvent, pour bien situer. Mais c'est vrai que je me rend pas trop compte que ça allourdit l'ensemble.
Pour les pensées, je ne peux pas les mettre en italique, parce que j'ai déjà reservé l'italique pour les communications télépathiques (d'ailleurs, au copier/coller, les derniers paragraphes de la première séquence sont passés à la trappe, ce qui t'aurais montré que l'italique était déjà pris...J'editerais les fautes et reglerais ce problème en même temps.
Pour y remédier et liberer l'italique, je pense employer une police différente pour ce qui à trait à la mentalisation ? (oui, j'utilise allégrement les néologismes).
Pour la décomposition des cadavres, je m'excuse de l'incohérence, et vais y remédier.
Je tiens à m'excuser pour les nombreuses fautes de frappe et petites maladresses (d'/de/du et ponctuation erratique), mais ce début a été profondément remanié et ce, à de nombreuses reprises (pour éliminer les répétitions, surtout).
Pour ta suggestion, je ne suis pas convaincu (dit l'éternel insatisfait uhuh). Ton idée de l'intermède est certes logique, mais pensais plus à un moyen pour que ces paragraphes explicatifs s'intègrent au reste, de manière à avoir une unité dans le début (Non, je n'aime pas plus que ça m'entendre parler, rassure-toi).
En fait, je suis prêt à refondre totalement ces premiers paragraphes. Mais je ne vois pas comment. Je pense donc y revenir quand j'aurais fini l'ensemble du texte.
À ferdi, merci pour l'interêt porté au fond.
Pour la zone floue de l'holograme, j'en ai souri. Habituellement, j'ai pris la sale habitude de placer l'adjectif ainsi. Mais j'ai voulu changer, pour une fois. Mal-à-propos, semblerait il uhuh.
Pour tes interrogations, les réponses arrivent par la suite. Je suis conscient que je balance un peu le lecteur dans mon univers, mais je trouve qu'un introduction détaillée visant à remettre les choses en contexte n'aurait pas le même charme, je me trompe ?
Par contre, comme je soulève beaucoup d'interrogations, et que je veux éviter des passages explicatifs trop fréquents, je dilue pas mal mes éléments. Cette lenteur d'apport d'informations peut possiblement susciter le désinterêt...
Slartibartfast- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Tu dis « Par contre, comme je soulève beaucoup d'interrogations, et que je veux éviter des passages explicatifs
trop fréquents, je dilue pas mal mes éléments. Cette lenteur d'apport d'informations peut possiblement susciter le désinterêt »
En ce qui me concerne, ta méthode d'exposition suscite l'intérêt. Tu provoque des interrogations qui engagent à
poursuivre la lecture et à trouver les réponses.
trop fréquents, je dilue pas mal mes éléments. Cette lenteur d'apport d'informations peut possiblement susciter le désinterêt »
En ce qui me concerne, ta méthode d'exposition suscite l'intérêt. Tu provoque des interrogations qui engagent à
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ferdi- Talent Expérimenté
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Je ne l'ai pas vu non plus^^Par ailleurs, mettre la Terre à la fin est un peu yodien. Tellement gros que je ne l'avais pas vu en me relisant...
Ah ben tu vois je n'avais du tout compris ça, il faudrait donc peut-être revoir l'ordre des mots^^Pour moi, c'est le dos qui est à demi-dissimulé
Pour les pensées, je comprends ton souci. Mais pourquoi faire la distinction entre "pensée" et "mentalisation" comme tu le dis? Après tout, c'est la même chose, on communique par la pensée, même si ce n'est pas toujours un dialogue. Mais si tu tiens vraiment à les différencier, effectivement une autre police semble la bonne solution.
Je suis contente que mes petites corrections t'aident, et je suis bien consciente que ma suggestion était loin d'être satisfaisante, mais je voulais voir s'il n'était pas possible de simplement inverser les paragraphes, plutôt que de tout refondre. Par ailleurs, ne t'excuse pas pour les fautes, j'ai bien vu que c'était de l'inattention et non de réelles lacunes, et ce genre d'erreurs nous en faisons tous.
Comme je te l'ai dis, pas de souci si tu ne veux pas de mes suggestions, elles sont surtout là pour t'aiguiller, et je ne prends pas ombrage que tu les refuses. Le but c'est surtout d'apporter un nouveau point de vue. J'attends donc la suite
Marie D- Talent Génial
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Pardon d'être lent à la détente...
ferdi, je conçois parfaitement que cette ouverture te convienne. C'est juste que comme j'ai eu la remarque comme quoi elle posait trop de questions, je m'inquiète. Mais après tout, il faut de tout pour faire un monde...
MarieD, mais tes suggestions m'aiguillent plutôt bien. Notamment le lien vers le traité de médecine légale, qui ne m'a pas servi seulement à remédier à mon incohérence.
ferdi, je conçois parfaitement que cette ouverture te convienne. C'est juste que comme j'ai eu la remarque comme quoi elle posait trop de questions, je m'inquiète. Mais après tout, il faut de tout pour faire un monde...
MarieD, mais tes suggestions m'aiguillent plutôt bien. Notamment le lien vers le traité de médecine légale, qui ne m'a pas servi seulement à remédier à mon incohérence.
Slartibartfast- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Je dois avouer que je n'ai pas tout lu les commentaires effectués précédemment. Il risque alors d'avoir quelques rediffusions ; à toi de départager .
Extrait 1:
On commence par un petit relevé sur le vif :
=> oulah... si le type est devenu un squelette, ça doit faire bien longtemps que le sang a disparu...
Appréciation linguistique :
Je n'ai pas beaucoup de reproches à faire quant à la forme du récit. Il y a une certaine fluidité qui permet une lecture appréciable ; néanmoins, de petits détails disgracieux ponctuent parfois le récit.
Prenons un exemple :
Du coup, j'en ai profité pour aller m'instruire sur Wikipédia et malgré les explications, la visualisation de la chose me reste très brumeuse, puisque selon wikipédia une image topographique est réalisée à partir une synthèse de calculs mathématiques , suite à des mesures. Ce qui correspond en effet à la situation. Mais il manque peut être du concret : concrètement on voit quoi ? Des couleurs, des vraies images - comme des photographies - ou un simple assemblage de formes géométriques qui ne parlent qu'à un scientifique ? Ou est-ce que ça a la gueule d'un cliché suite à une radiographie dans un hôpital ? Il nous manque peut-être un petit peu de détails, sans tomber dans le cours théorique ennuyeux. Juste du concret. En plus, ça me paraît simple d'amener l'idée étant donné que tu as dans ton groupe de personnage un Mirlo apparemment très "archaïque" avec des croyances primitives, pour une époque comme celle-ci. Il peut jouer le rôle de celui qui fait du concret au lecteur.
Autre exemple :
En fait, moi dans ma logique de scientifique, j'aurais tendance à penser qu'au contraire une partie avec plein de végétation facilite les relevés - puisque plus de matière - et que ceux qui doivent "douiller" et donc multiplier les relevés, ce seraient ceux qui n'ont justement pas de matière autour d'eux.
Donc nous avons encore à faire à un manque de précision pour moi, avec un vocabulaire purement fictif - sans oublier les noms barbares qui s'accumulent à plusieurs reprises.
Il faut faire attention au dosage des explications dans le genre SF. J'ai tendance à conseiller - mais là c'est d'une expérience personnelle - à faire du concret. Ne pas trop s'embrouiller dans des explications techniques que de toute façon le lecteur ne saisira pas toujours - et où surtout les plus expérimentés pourraient te tailler une veste - et privilégier les conséquences compréhensibles de ce progrès ou de cette situation. Pour prendre un texte personnel, je parle d'une république mondiale. Je suis bien contraint effectivement de justifier sa présence, mais je ne m'engage pas à raconter tous les mécanismes qui ont conduit une telle formation ; j'en survole plusieurs et j'essaie de rendre ceux-ci pertinents. Car me lancer dans une explication de sciences-humaines, je risquerai de larguer ceux qui s'en foutent et de me faire critiquer par les enseignants en université. Tout faux donc.
Pourtant, je ne crois pas que cette République tombe comme un cheveu sur la soupe : le but alors, c'est de poser cet univers comme si c'était une évidence pour le lecteur, et tu cales des éléments logiques à travers ta nouvelle réalité. Pense à Matrix, le film, c'est un bon système .
Voilà en gros pour mon appréciation linguistique. Je n'ai pas à dire plus sur les fautes relevées ; j'ai l'impression que tu as pas mal d'étourderies - dont certaines qui pourraient pourtant être facilement repérables par un logiciel de traitement de texte avec l'outil "orthographe".
Je crois que quelques règles de typographie sont aussi bafouées, avec des italiques qui ne devraient pas être là. Mais je ne préfère pas m'avancer, je suis moi-même en grand conflit avec la typographie. Une chose à noter néanmoins à ce sujet : le technologue ne doit pas prendre de majuscule. Ou alors, il faut qu'il soit l'unique technologue...
Appréciation du récit :
Passons donc aux choses sérieuses.
Ton univers part sur un univers assez complexe et je crains ne pas avoir tout compris - peut-être suis-je aussi idiot cela dit.
On commencera par un compliment : pour un texte de ce genre là, il est effectivement conseillé de démarrer sur une "action" voire oui, une entrée en matière dans le vif du problème. Comme tu l'as bien fait. C'est ce qui permet entre autre de happer ton lecteur voire de l'enchaîner à ton récit.
Pas mal.
Ensuite, j'ai remarqué plusieurs incohérences. Par exemple, le sang qui macule le squelette. Il faut se dire que le sang est aussi organique que la chair qui entourait précédemment ce squelette. Donc si cette dernière a disparu, il faut penser que le sang brunâtre aussi. Ce sont de petits détails, mais ils font grosse impression. Si on a un esprit un peu critique - comme le mien - on visualise bien moins la crédibilité de ce récit.
Puis, concernant cette découverte, tu cites à un moment qu'il y a "des NH", or lors de la découverte, tu ne mentionnes qu'un seul cadavres. Pourquoi ne pas simplement avoir rajouter plus loin : "et des dizaines d'autres cadavres s'empilaient dans le fond"... un truc dans ce goût là ? Du coup, on en vient à certaines confusions.
Et, ce qui pourrait rejoindre mon commentaire linguistique dans le manque de précision de certains termes employés, tu parles ensuite des ennemis comme des humanoïdes (alors que je rappelle que je les cadavres, tu les appelles des "Non-Humains").
Pourquoi en ce cas parler des "NH" quand tu désignes les agresseurs ? Je n'ai pas tout suivi. Mauvaise concentration de ma part ?
Une petite question au hasard de ma lecture aussi :
Alors plutôt "qu'entrainé" pourquoi ne pas avoir parlé d'accélération du phénomène ? Sinon, ça donne un peu l'impression que c'est inédit - alors que ce n'est pas le cas.
Et enfin, ma grosse question centrale : qu'est-ce que sont les Einashs exactement ? Des hommes ? Qui a opposé la Guerre Civile ? Les hommes contre les Non-Hommes ?
Plusieurs questions restent en suspend et j'attends avec impatience tes lumières.
Bon courage à toi !
Extrait 1:
On commence par un petit relevé sur le vif :
=> immédiatsles environs immédiat d'Oné, leur cité.
=> pourquoi une majuscule ? Si tu parles d'un facteur, tu n'écris pas "Le Facteur" si ?Le Technologue
=> il ne manquerait pas la typographie du dialogue ?Pas mal de statique accumulée dans cette zone, expliqua-t-il en montrant du doigt une zone floue de l'hologramme. Comme c'est assez loin de nous, le REUS n’a pas pu déterminer ce que c'était.
=> avis très subjectif sans doute, mais je déteste l'expression "piquer un fard". C'est familier et trop répandu.Pour toute réponse, le Technologue mortifié piqua un fard.
=> trop importanteune contrainte thermique trop important
=> comment ça son frère ?— Complètement siphonné, dit en aparté le chef du groupe à son frère.
=> "laissait" et non "maissait"La visière brisée de son casque maissait échapper une trainée de sang brunâtre
=> oulah... si le type est devenu un squelette, ça doit faire bien longtemps que le sang a disparu...
=> de l'Académie plutôt non ?si l'on en croyait les holos de l'Acédémie.
=> un "les" en troptentait de les défendre Misug
Appréciation linguistique :
Je n'ai pas beaucoup de reproches à faire quant à la forme du récit. Il y a une certaine fluidité qui permet une lecture appréciable ; néanmoins, de petits détails disgracieux ponctuent parfois le récit.
- Un vocabulaire trop mal expliqué
Prenons un exemple :
Une image topographique n'est pas à la portée du commun des mortels. Du moins, pas à ma portée ^^".Le BRINHO —BRacelet d'INgénierie HOlographique— de Misug afficha une image topographique
Du coup, j'en ai profité pour aller m'instruire sur Wikipédia et malgré les explications, la visualisation de la chose me reste très brumeuse, puisque selon wikipédia une image topographique est réalisée à partir une synthèse de calculs mathématiques , suite à des mesures. Ce qui correspond en effet à la situation. Mais il manque peut être du concret : concrètement on voit quoi ? Des couleurs, des vraies images - comme des photographies - ou un simple assemblage de formes géométriques qui ne parlent qu'à un scientifique ? Ou est-ce que ça a la gueule d'un cliché suite à une radiographie dans un hôpital ? Il nous manque peut-être un petit peu de détails, sans tomber dans le cours théorique ennuyeux. Juste du concret. En plus, ça me paraît simple d'amener l'idée étant donné que tu as dans ton groupe de personnage un Mirlo apparemment très "archaïque" avec des croyances primitives, pour une époque comme celle-ci. Il peut jouer le rôle de celui qui fait du concret au lecteur.
Autre exemple :
On veut bien croire que les relevés sont plus simples en terrain vallonné qu'en pleine forêt. Mais au fait, pourquoi ? Est-ce que toi non plus tu ne le sais pas, et que c'est comme ça ? Ou bien... ?Le groupe auquel Misug appartenait prenait en charge la portion au Nord-Nord-Est de la ville, au cœur de la forêt. Le dense rideau d’arbres obligeait le Technologue à effectuer des relevés fréquents, ce qui l'amenait à envier le sort de ses camarades chargés du sud d'Oné, ce secteur légèrement vallonné, dont les collines autorisaient des relevés d‘une portée de plusieurs kilomètres.
En fait, moi dans ma logique de scientifique, j'aurais tendance à penser qu'au contraire une partie avec plein de végétation facilite les relevés - puisque plus de matière - et que ceux qui doivent "douiller" et donc multiplier les relevés, ce seraient ceux qui n'ont justement pas de matière autour d'eux.
Donc nous avons encore à faire à un manque de précision pour moi, avec un vocabulaire purement fictif - sans oublier les noms barbares qui s'accumulent à plusieurs reprises.
- Au contraire, parfois les explications sont un peu trop longues
Parce qu'au final, je n'ai toujours pas compris pourquoi on l'appelait Icare. Tu dis que c'est à cause du métal... mais je n'ai pas vraiment percuté moi :/.L’aéronef modèle IC-124R, construit par le Consensus Européen, fut surnommé Icare par des militaires inspirés. La nécessité de transporter énormément de troupes au sol, au cours du dernier conflit terrien global, avait poussé les manufactures d'armes du Consensus à construire un véhicule peu coûteux, aussi bien pour son assemblage que pour les matériaux employés. Le résultat consistait en un module de vie cylindrique scindé en deux. Une partie abritait le pilote, qui maniait l'appareil "la tête dans les genoux", au dire des ingénieurs, l'autre permettait d'accueillir une quinzaine d'hommes, équipement compris. Il n’hérita pas du nom d’Icare parce que ses ailes courtaudes fondaient comme de la cire s'il s'approchait trop près du soleil. L'acier employé pour son fuselage, qui supportait mal les variations de température, était responsable du surnom. Rajouter un revêtement thermo-isolant sur la multitude d'aéronefs aurait demandé trop de temps et d'argent. Il fut ordonné aux timoniers de ne pas voler au delà de sept kilomètres d'altitude, afin d'éviter aux plaques du fuselage une contrainte thermique trop important. Les accidents furent drastiquement réduits, jusqu'à un taux de pertes acceptable.
Il faut faire attention au dosage des explications dans le genre SF. J'ai tendance à conseiller - mais là c'est d'une expérience personnelle - à faire du concret. Ne pas trop s'embrouiller dans des explications techniques que de toute façon le lecteur ne saisira pas toujours - et où surtout les plus expérimentés pourraient te tailler une veste - et privilégier les conséquences compréhensibles de ce progrès ou de cette situation. Pour prendre un texte personnel, je parle d'une république mondiale. Je suis bien contraint effectivement de justifier sa présence, mais je ne m'engage pas à raconter tous les mécanismes qui ont conduit une telle formation ; j'en survole plusieurs et j'essaie de rendre ceux-ci pertinents. Car me lancer dans une explication de sciences-humaines, je risquerai de larguer ceux qui s'en foutent et de me faire critiquer par les enseignants en université. Tout faux donc.
Pourtant, je ne crois pas que cette République tombe comme un cheveu sur la soupe : le but alors, c'est de poser cet univers comme si c'était une évidence pour le lecteur, et tu cales des éléments logiques à travers ta nouvelle réalité. Pense à Matrix, le film, c'est un bon système .
Voilà en gros pour mon appréciation linguistique. Je n'ai pas à dire plus sur les fautes relevées ; j'ai l'impression que tu as pas mal d'étourderies - dont certaines qui pourraient pourtant être facilement repérables par un logiciel de traitement de texte avec l'outil "orthographe".
Je crois que quelques règles de typographie sont aussi bafouées, avec des italiques qui ne devraient pas être là. Mais je ne préfère pas m'avancer, je suis moi-même en grand conflit avec la typographie. Une chose à noter néanmoins à ce sujet : le technologue ne doit pas prendre de majuscule. Ou alors, il faut qu'il soit l'unique technologue...
Appréciation du récit :
Passons donc aux choses sérieuses.
Ton univers part sur un univers assez complexe et je crains ne pas avoir tout compris - peut-être suis-je aussi idiot cela dit.
On commencera par un compliment : pour un texte de ce genre là, il est effectivement conseillé de démarrer sur une "action" voire oui, une entrée en matière dans le vif du problème. Comme tu l'as bien fait. C'est ce qui permet entre autre de happer ton lecteur voire de l'enchaîner à ton récit.
Pas mal.
Ensuite, j'ai remarqué plusieurs incohérences. Par exemple, le sang qui macule le squelette. Il faut se dire que le sang est aussi organique que la chair qui entourait précédemment ce squelette. Donc si cette dernière a disparu, il faut penser que le sang brunâtre aussi. Ce sont de petits détails, mais ils font grosse impression. Si on a un esprit un peu critique - comme le mien - on visualise bien moins la crédibilité de ce récit.
Puis, concernant cette découverte, tu cites à un moment qu'il y a "des NH", or lors de la découverte, tu ne mentionnes qu'un seul cadavres. Pourquoi ne pas simplement avoir rajouter plus loin : "et des dizaines d'autres cadavres s'empilaient dans le fond"... un truc dans ce goût là ? Du coup, on en vient à certaines confusions.
Et, ce qui pourrait rejoindre mon commentaire linguistique dans le manque de précision de certains termes employés, tu parles ensuite des ennemis comme des humanoïdes (alors que je rappelle que je les cadavres, tu les appelles des "Non-Humains").
Pourquoi en ce cas parler des "NH" quand tu désignes les agresseurs ? Je n'ai pas tout suivi. Mauvaise concentration de ma part ?
Une petite question au hasard de ma lecture aussi :
Tu le sais sûrement, mais le phénomène est déjà constaté à l'heure actuelle. L'Afrique grignotte quelques mètres mètres chaque décennie à la mer méditerranée, conduisant très certainement à un assemblage des blocs eurasiens et africains dans plusieurs siècles - voire millénaires.avait entraîné une remontée de la plaque Africaine vers la plaque Eurasienne.
Alors plutôt "qu'entrainé" pourquoi ne pas avoir parlé d'accélération du phénomène ? Sinon, ça donne un peu l'impression que c'est inédit - alors que ce n'est pas le cas.
Et enfin, ma grosse question centrale : qu'est-ce que sont les Einashs exactement ? Des hommes ? Qui a opposé la Guerre Civile ? Les hommes contre les Non-Hommes ?
Plusieurs questions restent en suspend et j'attends avec impatience tes lumières.
Bon courage à toi !
Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
Avant tout Pâco, merci d'avoir pris le temps de passer ici
Oulah, encore des foutues fautes d'innatention.
Pour la majuscule, je suis en désaccord avec toi. Mais en-même temps, je n'ai rien de très concret à y opposer. Par la suite j'expose (sans détailler) l'organisation de la societé einash, qui s'axe en divisions, parmi lesquelles, les Technologues. Et au sein de chaque divisions existent des professions "spécialisées". Mais la majuscule vise à marquer l'appartenance à telle ou telle division.
Pour les fautes de typo, c'est juste que mon magnifique openoffice transformait automatiquement mes tirets cadratins en puces... Problème reglé desormais, mais sur le C/C, il y a eu un souci.
Pour l'introduction du fait qu'An-Tras est son frère, je me disais que commencer la phrase suivante par "An-Tras aquiesca" éclairerait suffisament. Apparement pas...
Pour le "les", je suis dubitatif. J'explique.
" tentait de les défendre Misug, prostré à ses pieds, et lui-même." (oui, je viens de le rajouter à l'instant, parce qu'il manque)
Auquel cas, le "les" se justifie, je crois.
Le fait qui m'induit en erreur est que j'aurais tendance à dire : "je me défends moi-même", et non pas, "je défends moi-même"
Néanmoins, j'admets que ta correction se justifiat sur la structure de phrase précédente.
Pour l'apport d'infos, j'aquiesce furieusement. Merci, parce que je commence à affiner mon idée de "comment qu'il faut faire sans trop en faire".
Même si je ne suis pas capable d'exprimer ça clairement je vais dire qu'il faudrait que je décrive plus les éléments de mon univers sans les expliquer (en résumé).
Au sujet de la longue explication sur l'Icare, c'était histoire de poser un peu le récit (mal à-propos ?) en évitant de causer du trajet effectué par les protagonistes, et de donner deux trois infos sur la tête du vaisseau. Je vais juste compléter une phrase : "Il fut ordonné aux timoniers de ne pas voler au delà de sept kilomètres d'altitude, afin d'éviter aux plaques du fuselage une contrainte thermique trop importante, qui aurait causé sa chute, tel l'Icare origine"
En gros, s'il s'approche trop du soleil, il tombe. Soit. Mais pas à cause des ailes qui fondent. (Ça paraît presque con, dit comme ça, mais c'est diantrement difficile à narrer.)
Enfin, j'espèrais donner un côté un peu anecdotique à la chose.
Pour la distinction NH/humanoïdes, ça peut perdre un peu le lecteur...je l'admets. Cepandant ce n'est pas dû à une quelconque stupidité de ta part, mais peut-être à cause des acronymes et désignations que j'ai choisis. Au cours des deux séquences suivantes, j'essaie d'éclairer un peu mon lecteur sur "c'est quoi un Non-Humain".
Même si la majorité des choses sont clairement justifiées dans ma tête (exemple des relevés, la végétation dense limite la portée maximale des relevés, les ultrasons étant arrêtés beaucoup plus rapidement par arbres, buissons et Cie, contrairement au sommet d'une colline, ou l'on n'a rien pour stopper les ondes) j'ai tendance à parfois préférer les taire, comme je ne veux pas embêter le lecteur. mais les taire peut retirer du concret.
Je cherche encore le juste milieu entre trop et trop peu.
Pour ce qui est de l'explication en SFait qu'il faille considérer les choses comme une évidence, je partage ton point de vue. C'est même l'un des principes de bases que j'ai vu en cherchant sur internet des tutoriaux "comment écrire de la SF". Mais c'est que c'est foutrement malaisé à faire, en fait.
Je suis un paradoxe...J'aime qu'on me signale mes erreurs (exemple concret de ce qui est à éviter), mais en même temps j'aime beaucoup contrarier ceux qui me les signalent (un zeste d'ego ?).
EDIT : puisque l'expression "piquer un fard" détonne un peu, niveau registre, lui préférerais-tu "s'empourprer" ?
Oulah, encore des foutues fautes d'innatention.
Pour la majuscule, je suis en désaccord avec toi. Mais en-même temps, je n'ai rien de très concret à y opposer. Par la suite j'expose (sans détailler) l'organisation de la societé einash, qui s'axe en divisions, parmi lesquelles, les Technologues. Et au sein de chaque divisions existent des professions "spécialisées". Mais la majuscule vise à marquer l'appartenance à telle ou telle division.
Pour les fautes de typo, c'est juste que mon magnifique openoffice transformait automatiquement mes tirets cadratins en puces... Problème reglé desormais, mais sur le C/C, il y a eu un souci.
Pour l'introduction du fait qu'An-Tras est son frère, je me disais que commencer la phrase suivante par "An-Tras aquiesca" éclairerait suffisament. Apparement pas...
Pour le "les", je suis dubitatif. J'explique.
" tentait de les défendre Misug, prostré à ses pieds, et lui-même." (oui, je viens de le rajouter à l'instant, parce qu'il manque)
Auquel cas, le "les" se justifie, je crois.
Le fait qui m'induit en erreur est que j'aurais tendance à dire : "je me défends moi-même", et non pas, "je défends moi-même"
Néanmoins, j'admets que ta correction se justifiat sur la structure de phrase précédente.
Pour l'apport d'infos, j'aquiesce furieusement. Merci, parce que je commence à affiner mon idée de "comment qu'il faut faire sans trop en faire".
Même si je ne suis pas capable d'exprimer ça clairement je vais dire qu'il faudrait que je décrive plus les éléments de mon univers sans les expliquer (en résumé).
Au sujet de la longue explication sur l'Icare, c'était histoire de poser un peu le récit (mal à-propos ?) en évitant de causer du trajet effectué par les protagonistes, et de donner deux trois infos sur la tête du vaisseau. Je vais juste compléter une phrase : "Il fut ordonné aux timoniers de ne pas voler au delà de sept kilomètres d'altitude, afin d'éviter aux plaques du fuselage une contrainte thermique trop importante, qui aurait causé sa chute, tel l'Icare origine"
En gros, s'il s'approche trop du soleil, il tombe. Soit. Mais pas à cause des ailes qui fondent. (Ça paraît presque con, dit comme ça, mais c'est diantrement difficile à narrer.)
Enfin, j'espèrais donner un côté un peu anecdotique à la chose.
Pour la distinction NH/humanoïdes, ça peut perdre un peu le lecteur...je l'admets. Cepandant ce n'est pas dû à une quelconque stupidité de ta part, mais peut-être à cause des acronymes et désignations que j'ai choisis. Au cours des deux séquences suivantes, j'essaie d'éclairer un peu mon lecteur sur "c'est quoi un Non-Humain".
Même si la majorité des choses sont clairement justifiées dans ma tête (exemple des relevés, la végétation dense limite la portée maximale des relevés, les ultrasons étant arrêtés beaucoup plus rapidement par arbres, buissons et Cie, contrairement au sommet d'une colline, ou l'on n'a rien pour stopper les ondes) j'ai tendance à parfois préférer les taire, comme je ne veux pas embêter le lecteur. mais les taire peut retirer du concret.
Je cherche encore le juste milieu entre trop et trop peu.
Pour ce qui est de l'explication en SFait qu'il faille considérer les choses comme une évidence, je partage ton point de vue. C'est même l'un des principes de bases que j'ai vu en cherchant sur internet des tutoriaux "comment écrire de la SF". Mais c'est que c'est foutrement malaisé à faire, en fait.
Je suis un paradoxe...J'aime qu'on me signale mes erreurs (exemple concret de ce qui est à éviter), mais en même temps j'aime beaucoup contrarier ceux qui me les signalent (un zeste d'ego ?).
EDIT : puisque l'expression "piquer un fard" détonne un peu, niveau registre, lui préférerais-tu "s'empourprer" ?
Slartibartfast- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : Le syndrome Frankenstein
S'empourprer c'est effectivement mieux, enfin de mon avis.
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