Cherche journaliste bénévole

Ah ah, petite impression de déjà-vu la...

Bon, comme Gavroche est plus la (peut-être reviendra-t-elle ?). Je vais pas trop argumenter.
Pour ceux que ça intéresse, comme Pacô, je dirais juste qu'il s'agit de "personnal branding" c'est à dire promouvoir sa propre personne pour le web. Pacô et moi ne sommes pas des journalistes, mais des communiquants, et moi je fais même de la com web. Il n'y a pas que l'argent qui entre en compte. Je vais pas faire tout un court sur les principes du référencement web, mais en gros, si vous avez un site comme le mien qui met un lien vers votre propre site, ça peut être très bénéfique. Il ne s'agit pas de retirer le pain de la bouche des journalistes, puisque la contribution s'élève à quoi ? Un ou deux articles ? Mais ça peut toujours être intéressant.
Pour l'instant, on a des "bénévoles" qui sont en fait des étudiants qui doivent faire des articles pour un projet scolaire, plus deux journalistes, l'un en Afrique et l'autre qui s'occupe de la politique. Personne ne se plaint jusqu'à maintenant, et ils sont plutôt agés, donc pas des petits jeunes qu'on exploite. Bref, c'est comme vous voulez hein.

Et bon, c'est normal qu'on se croit plus malin, on est beaucoup plus en phase avec notre époque. La preuve, aucun de nous ne s'est mis à insulter tout le monde, parce qu'on sait bien que ce genre de truc ça reste trèèès longtemps. On a pas l'expérience du terrain, mais on sait mieux comment marche le web.

Pour Pacô : les articles, c'est ce que tu veux pourvu que ce soit de l'actualité. En général on demande 250 mots minimums, plus une image qui doit faire 650px de large.

Je vous trouve bien durs à l'endroit de Gavroche.
On a beau être sur le web, nous n'en devenons pas tous des machines. Le mouvement d'humeur n'est pas passé inaperçu, il est clairement lié à une atteinte qui est profonde pour elle. Et votre façon de (ne pas) prendre en compte cela dans l'échange, et de rester dans le langage calibré par la formation ne vous honore pas à mes yeux (non plus).

Pacô l'a dit, il sen balance de ce que sa petite percée personnelle augure pour tout un secteur qu'il voit déjà péricliter. La mort du journalisme est un fait acquis à ses yeux. Se demande-t-il ce que cela signifie pour toute une société ? Je n'en ai pas vu trace dans ses écrits.
Il est donc parfaitement adapté à son cadre d'étude et sait régurgiter ce qu'on lui transmet sans faute/altération... analyse ?

A mes yeux, Gavroche n'a pas particulièrement manqué de politesse. Personnellement, je suis réjouie de voir l'expression des affects ici et là. Car, une fois encore, nous ne sommes pas des machines. Tous les espaces dans lesquels on se rencontre, on échange, devraient nous accueillir en tant que personnes humaines, sensibles, et non seulement bien dressées, heu, élevées.
Cette façon de repousser l'expression de ce qui nous anime comme si c'était déplacé, me parle de cette société qui uniformise, et moi, je n'ai aucune envie de vivre dans un tel cadre. Je comprends donc fort bien que devant pareille situation on veuille quitter un espace devenu opprimant.
Et ne me dites pas que je vais chercher trop loin amis auteurs de SF, vous savez très bien jusqu'où on peut aller chercher pour donner corps et cohérence à un monde qu'on crée, alors apprenez à reconnaître le même genre de signes dans le monde bien réel.

J'ai répondu à Ash par MP.

Pour clore la discussion, je dirais que je ne suis pas particulièrement enchanté de la situation du journalisme. Toutefois, comme nous ne pouvions que pleurer le sort des maréchaux-ferrants, il ne serait pas pertinent de forcer le maintien du journalisme traditionnel dans une société qui s'en désintéresse de plus en plus.
Je ne suis pas là pour "voler" une profession, mais avant tout pour faire mon petit bonhomme de chemin personnel ; c'est-à-dire que si je veux avoir de gros bagages pour tenter un entretien, il me faut multiplier les petites expériences professionnelles au sein de rédactions ou de services communication.
D'ailleurs, pour clore définitivement cette discussion, on dit bien que les journalistes et les communicants sont les "meilleurs ennemis" ; c'est-à-dire que malgré les apparence, les uns ont besoin des autres et vice versa. Et le journaliste ou le communicant qui conteste ça, est un professionnel qui n'a rien compris à sa profession.

D'accord Lou. Et c'est à partir de quand qu'on peut l'écrire ? N'importe quand, quand on a envie ? Ou il y a des périodes définies ?
Par exemple des articles sur la culture littéraire ? Ou un article sur l'Appel à Textes et si les hommes ?
(non je rigole)

Et dernière petite question : l'article qu'on a rédigé pour eux, il ne nous appartient plus et on n'a pas le droit de le diffuser sur un autre support ensuite... ?

Alors tu le rédiges quand tu veux, c'est vraiment au feeling. Par contre, faut que ce soit de l'actu intéressante (littéraire ça peut passer) mais comme j'ai dis je cherche surtout sport.

Et l'article tu peux pas le réutiliser non. Si tu veux, c'est pour éviter la "duplication de contenu", pas qu'on croit que le site a piqué un truc à quelqu'un d'autre, Google aime pas ça. Bon après, si tu fais l'article et que tu le réutilise trois mois plus tard, la c'est bon, pas de problème.

Il cherche pas quelqu'un pour faire le café sinon ? Je le fais bénévolement. Par contre, faut me payer pour le servir.

Sinon chapeau l'entreprise ! Elle embauche une stagiaire et lui demande d'embaucher un pigeon.

Tu fais les fonds de tiroirs ?