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Le tombeau d'Ilylost

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Message  Zed Lun 27 Oct 2008 - 12:14

Hello vous tous Wink
Je vais poster dans ce topic un récit que je suis en train d'écrire. Mais en réalité, je vais le poster en tant réel puisque j'ai commencé ce texte il y a deux jours seulement! C'est à dire que je posterai chaque chapitre quand je l'aurai écris, il est donc possible que j'apporte des modifications aux chapitres précédents, voir que je les modifient totalement! Mais cela vous permettera de me donner des conseils aux fur et à mesure!

Pour le moment je n'ai écrit que le prologue ^^ Bonne lecture!

Couvertures:
Spoiler:

Prologue:
Spoiler:


Dernière édition par Zed le Mer 29 Oct 2008 - 19:09, édité 2 fois
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Message  Pacô Lun 27 Oct 2008 - 18:46

Zed a écrit:

PROLOGUE :

Pourquoi n’arrivait-il pas à atteindre cette maudite porte ? Pourquoi était-il obligé de ramper comme un reptile hideux au sol alors que l’être humain était doté de deux longues jambes ? Il ne le savait pas. Il ne le savait plus. Il perdait toute logique et toute notion du temps. Les petits points de lumière provoqués par les lampes torches accrochées au mur de la sombre pièce commençaient à se mélanger et s’entremêler. Il ne fallut que peu de temps pour que le sol se mette aussi à tourner : lui, il avait affreusement mal. Son épaule. C’était son épaule. Une flèche, là, plantée comme un poignard. Il voulut bouger le bras pour arracher ce fléau mais ce fut sans succès, totalement paralysé sur le sol. Il n’était plus qu’un campagnol abattu sur le champ de bataille (si tu te lances dans une comparaison d'un campagnol, il ne faut pas parler d'une notion de champs de bataille. Du point de vue campagnol, le champs de batailles n'existe pas Wink), prêt à se faire dévorer par un rapace sans scrupule (s'il n'y a pas de scrupule, pourquoi un "s"? Smile). Bientôt, un voile noir tomba sur ses yeux, et sa vision se brouilla petit à petit, remplacée par de longs et indésirables cauchemars. Il s’était évanoui.
Tapis dans l’ombre, un moine l’observait tout en espérant qu’il souffrait d’agonie. S’il avait été de nature humoristique, le religieux lui aurait murmuré à l’oreille qu’il était bon pour tout être humain de ressentir un jour la passion du Christ avant de monter sur sa propre croix. Mais il n’était pas d’humeur à plaisanter. Claquant ses sandalettes romaines sur les dalles de pierres froides qui ornaient (pavaient, plutôt. Orner, c'est plus une notion de déco) le sol, l’étranger prit place au devant d’une planche en bois fixée contre le mur. Vêtu d’une coule bénédictine, il abaissa le capuchon qui couvrait sa tête, puis, levant les deux bras en l’air, saisit chaque extrémité de la plaque. Après quelques efforts, il sentit les clous se délibérer (se libérer. Délibérer, ça n'a rien à voir ^^) du ciment dans lequel ils étaient plantés et, alors que la plaque tomba au sol, la lueur blonde de la lune s’infiltra dans la pièce par la fenêtre qu’il venait ainsi de dévoiler. Étrangement, l’astre de la nuit semblait volontairement éclairer le corps de l’homme qui était au sol, ou peut-être était-ce dû à l’emplacement précis de la toute petite fenêtre ? (phrase "bancale". A revoir. Le point d'interrogation devrait être supprimé déjà Wink) Fidelis retira ses caligas et alla s’agenouiller à côté de sa cible, qui n’exprimait toujours aucun facteur d'éveil (oulah, s'il y'a aucun, pas de "s". Et éveil ne prend qu'un "l" ^^). Se penchant au dessus de ce dernier, le religieux retourna le corps de l’homme pour voir son visage. Il enleva alors de son propre cou un collier au bout duquel pendait une énorme croix en argent. Mais celle-ci n’avait rien d’une croix catholique : il s’agissait d’une croix ansée bien connue de la culture égyptienne. Fidelis n’avait pas voulu en arriver là, pas une fois de plus, mais il n’avait pas vraiment le choix. Il avait connu trop de souffrances dans le passé, il avait perdu trop d’êtres chers : à chaque fois qu’un personnage en tenue officielle était venu lui annoncer la mort de quelqu’un, il avait senti une partie de son propre cœur se noircir, pourrir, avant de tomber en miette. Aujourd’hui, que lui restait-il ? Pas grand-chose si ce n’était cette mission qu’il ne devait sous aucun prétexte rater. C’était pour lui un moyen d’être quelqu’un, il n’existait qu’à travers cela. Plus jamais, plus jamais il ne laisserait un morceau de son âme s’envoler aux cieux avec quelqu’un d’autre.

Dans un petit déclic, une lame aiguisée surgit de nulle part, à l’extrémité de la croix. Le moine ferma les yeux, il prit une profonde inspiration, plaça la l’âme au dessus du cou de l’homme et s’apprêta à ôter la vie à cet être insignifiant, qui ignorait tout de la Grande Réalité.

Un choc violent se fit entendre et la porte s’ouvrit à la volée, manquant de se briser contre le mur. Des silhouettes se dessinèrent dans l’encadrement, armes à la main. En première ligne, le commissaire Beaudouin qui agitait déjà son Glock 17 devant l’homme qui s’était empressé de remettre un capuchon sur sa tête. Ce dernier, peu content (terme trop décalé. "ennuyé". Enfin tout dépend quelle note tu veux donner à son humeur. Est-ce qu'il a peur de l'échec à cause de ça ou pas?) d’avoir été interrompu, cherchait déjà une issue des yeux. Beaudouin, se mit à hurler (ou "hurla" tout simplement ^^), faisant grossièrement bouger la petite moustache qui narguait son nez :
- FIDELIS ! CETTE FOIS TU ES FAIS ! NE FAIS RIEN D’INUTILE ET RENDS-TOI BON SANG ! EN MILITAIRE, EN PÈRE NOËL, OU EN MOINE ON TE RETROUVERA TOUJOURS, CE NE SONT PAS TES DÉGUISEMENTS QUI NOUS EMPÊCHERONS DE TE TRAQUER, LA PREUVE ! TOUT CELA EST EN VAIN, ALORS RENDS-TOI !

Le faux moine tourna la tête vers la gauche, puis fixa la droite. On ne voyait pas ses yeux, ni son visage à cause de l’obscurité, mais n’importe qui aurait pu deviner qu’à présent il fixait le commissaire droit dans les yeux. Le plus étrange était que son regard se sentait énormément, il était à la fois intense et effrayant, à tel point que Beaudouin sentit certaines personnes trembler derrière lui. Un silence tomba sur la pièce, silence insoutenable, silence inhumain. C’est alors que l’un de policier craqua : une balle se perdit dans le mur, frôlant le moine qui ne bougea pas d’un seul cheveux. Le commissaire n’avait qu’une envie : hurler sur cet imbécile… Il fallait absolument capturer Fidelis vivant ! Mais comment lui en vouloir ? Tout cela était compréhensible : il s’agissait de journées et de nuits entières de travail, sans pauses, pour finalement parvenir à ce résultat. Un homme contre une dizaine, sans aucune possibilité de sortie. Beaudouin eut un sourire en coin : c’était fini, la fenêtre était trop petite et ses camarades bloquaient la porte.

- Puisqu’il en est ainsi…vous prendrez soin de faire une petite prière pour moi à son enterrement, Beaudoin.

La voix assez aiguë de l’usurpateur raisonna dans la toute petite pièce de la même manière que dans une église, tandis qu’il pointait du doigt l’homme qui était au sol. Avant même que le représentant de la justice n’ait pu saisir le moindre sens aux mots prononcés, le moine leva la main droite et la porta à un bracelet qu’il portait au poignet gauche. Au même instant, une épaisse fumée noire envahit toute la pièce, brouillant la vision de chaque personne.

- NE LE LAISSEZ PAS FILER ! REFERMEZ LA PORTE !

Il eut à peine le temps de prononcer ces mots que le commissaire constata la dissipation totale de la diversion : celle-ci avait été beaucoup plus courte qu’une diversion habituelle mais le moine avait bel et bien disparu.

- BANDE D’INCAPABLES JE VOUS AVAIS DIT DE REFERMER LA PORTE !

Il se retourna vers ses hommes et comprit que ces dernières paroles étaient inutiles puisque la porte avait bel et bien été refermée. Il fronça les sourcils et donna un coup de pied de colère dans les caligas qui traînaient par terre. Il était totalement hors de lui et déjà il commençait à chercher des explications :

- Quand avez-vous fermé la porte ?
- Au moment même où l’on a vu ne serait-ce qu’un tout petit atome de fumée, m’sieur !
- L’avez-vous vu passer ?
- Non, pas du tout ! La fumée était trop épaisse mais…
- Évidemment qu’elle était épaisse, c’était fait exprès ! grogna Beaudoin.
- Oui mais nous étions quatre devant la porte patron, et j’étais bien appuyé contre le bois, il n’a pas pu utiliser la porte, c’est impossible !
- QUOI ?
- Oui, m’sieur.

A ces mots, le commissaire se dirigea vers l’endroit où se tenait quelques minutes auparavant Fidelis, et rangeant son pistolet, il se jeta au sol et commença à frapper les dalles une par une. Après en avoir essayé une dizaine, il secoua la tête d’un signe négatif et ordonna :

- Je veux que tout le monde cherche un passage secret et que ça saute ! S’il n’a pas utilisé la porte il est forcément passé par quelque part !

Les hommes acquiescèrent d’un signe de la tête et se mirent immédiatement à tester les moindres dalles, les moindres recoins, les moindres pierres qui constituaient le mur. Beaudouin leva la tête et observa le plafond : rien ! Il n’y avait absolument rien ! C’était invraisemblable…Le jeune Damien s’approcha de son patron et essaya de le consoler :(le consoler... pareil, un peu décalé. Un officier ne console pas son chef hiérarchique comme un petit garçon.)

- Moi je dis, faut voir le côté positif de la chose…il ne s’est pas tiré avec la victime qui est là.
- Damy ?
- Oui ?
- CHERCHE (revoir l'impératif Razz) DONC UN PASSAGE AU LIEU DE DIRE DES IDIOTIES !

Le jeune homme devint rouge jusqu’aux oreilles et courut jusqu'à la fenêtre, recommençant à analyser le moindre détail qui pourrait clocher. Le commissaire n’aimait pas cela du tout : si ce genre de choses continuait de se répéter encore et encore, les américains allaient encore vouloir s’en mêler. Beaudouin sortit de sa poche une pipe qu’il alluma à l’aide d’un briquet noir, puis prit une bouffée avant de se murmurer à lui-même :
- Comment diable as-tu fais Fidelis, comment as-tu fais…

Évite de mettre des majuscules aux paroles du commissaire, même en colère. Le ton peut être insufflé bien autrement. Et au contraire, cette technique pourrait laisser entendre que tu ne sais pas comment montrer le ton ferme d'un personnage.
Le prologue commence bien. Pour ce genre d'histoire, il faut tour de suite mettre le doigt sur de l'action, en entraînant le lecteur. Par contre, pourquoi ne reparles-tu pas de la victime après? On était dans son point de vue au départ, et après on a l'impression que tu "l'oublies". La police, même obnubilée par Fidélis, doit porter secours à celui qui a failli se faire tuer, tu ne crois pas?
Sinon, très jolies couvertures Wink. Si un jour j'ai besoin de tes services pour illustrer quelques de mes passages... je peux?
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Message  Zed Lun 27 Oct 2008 - 19:11

" (si tu te lances dans une comparaison d'un campagnol, il ne faut pas parler d'une notion de champs de bataille. Du point de vue campagnol, le champs de batailles n'existe pas ) " >> C'était une tentative, qui semble loupée, de mise en abyme, l'homme devient campagnol, et le campagnol devient soldat sur un champs de bataille. Mais ma soeur m'avait fait la même remarque donc je suppose que cela choque ^^'

" Étrangement, l’astre de la nuit semblait volontairement éclairer le corps de l’homme qui était au sol, ou peut-être était-ce dû à l’emplacement précis de la toute petite fenêtre ? (phrase "bancale". A revoir. Le point d'interrogation devrait être supprimé déjà) " > Oui mais étant donné que c'est une incertitude du narrateur, ne puis-je vraiment pas mettre de point d'interrogation?


" (le consoler... pareil, un peu décalé. Un officier ne console pas son chef hiérarchique comme un petit garçon.) " >> En fait c'est un peu le but...faire passer le commissaire pour un petit garçon. Il en va de même pour le fait que l'on ne parle plus de la victime: je cherche à montrer que le commissaire n'a qu'une idée en tête, arrêter celui qu'il poursuit déjà depuis un bon bout de temps et que le reste ne lui importe peu. Donc le terme consolé je l'utilise pour faire une sorte de métaphore, comme si le commissaire était un petit garçon qui jouait au policier et au voleur: un enfant déteste de perdre, il en va de même pour lui. De plus, dans mon esprit le jeune Damien est un nouveau qui est un peu maladroit et doté d'une intelligence assez limité, d'où ses actions assez mal adroite en vers son supérieur.


Pour les illustrations si j'ai le temps pas de soucis ^^
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Message  MrSonge Lun 27 Oct 2008 - 19:37

Wahh, des illustrations de cette qualité, je suis aussi preneur ! Razz

Sinon j'ai lu le texte et malgré le fait que ce n'est pas mon genre favori, j'aime bien ! Sauf les majuscules incessantes du Commissaire Beaudouin qui ont tendance à m'énerver un peu. Mais sinon, je trouve que c'est bien construit et qu'il n'y a pas de tournures de phrases qui font sauter au plafond.
Tâche d'attirer l'inspiration et de nous livrer la suite incessamment ! What a Face
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Message  Pacô Lun 27 Oct 2008 - 21:04

Je pense que tu peux conserver le point d'interrogation. Mais il faut alors séparer ta phrase. Genre tu peux faire:
Après un léger effort, il sentit les clous se libérer du ciment dans lequel ils étaient plantés et, alors que la plaque tomba au sol, la lueur laiteuse de la lune s’infiltra dans la pièce par la fenêtre qu’il venait ainsi de dévoiler. Étrangement, l’astre de la nuit ne semblait qu'éclairer le corps de l’homme qui gisait au sol. Était-ce l'une de ses volontés insondables ou simplement le fruit d'une organisation architecturale de la fenêtre bien spécifique? Personne n'aurait pu apporter de réponse à ce moment là.
Bref, un truc de ce genre. La dernière phrase ne me plaît pas en fait, mais j'étais pas chaud ^^'. J'en ai profité pour repérer une autre erreur. La lumière de la lune est plus laiteuse que blonde. Enfin, pour moi et pour d'autres auteurs ^^.

La mise en abîme est à retravailler alors. Tu peux en effet tenter un truc de ce genre. Mais ne parle pas de champs de bataille... quelque chose de similaire, mais pour un campagnol. Bataille de mulots pour un gland? xD

Pour la consolation, développe un peu mieux ton idée dans ce cas. Désigne vraiment ton commissaire comme un petit enfant qui joue à chercher le voleur. Montre qu'il enrage d'avoir perdu sa trace, quitte à faire un point de vue interne. Parce qu'il n'y a que le terme "consoler" qui rappelle cette idée. Il est donc décalé du reste, si on ne comprend pas vraiment où tu veux en venir.
Pour le corps gisant, même si la police ne s'en occupe pas, rappelle qu'il est là. Justement, en soulignant le fait qu'on ne s'en occupe pas. Il peut grogner ou faire quelque chose d'autre, je ne sais pas...

M'enfin, ça donne quelque chose de bien, ne t'en fais pas. Ce ne sont que des petites remarques pour valoriser le tout.
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Message  Zed Mer 29 Oct 2008 - 19:08

Suite à vos conseils j'ai modifier légèrement le prologue, j'ai remplacé la première version par la nouvelle en éditant mon premier message Wink
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Message  Montmartre Mer 29 Oct 2008 - 19:41

J'aime, j'aime, j'aime !
Je me suis immédiatement retrouvée immergée dans ton texte, à suivre l'action, aussi incapable d'agir que le pauvre malheureux assassiné, uniquement spectatrice, mais spectatrice fascinée, à contempler le moindre recoin de la pièce qui se joue sous ses yeux.
Un début mystique, qui m'a fait croire à une histoire de fantasy, ou au moins se situant dans une époque précédente à la nôtre, où des lois singulières pourraient permettre à des moines d'abattre un homme. Puis... la déchirure.
Alors que tout se déroulait jusqu'alors lentement, douce danse lente et prévisible, intervient un acteur qui semble être venu d'une autre époque, mais qui n'est que le révélateur de ce qui se passe réellement, terrible machination d'un tueur en série. Alors la danse s'accélère, les pas s'enchaînent plus rapidement, vifs, mais toujours gracieux, élégants. Et voilà que notre tueur disparaît sans laisser d'autre trace que ce cadavre gisant. La danse est finie, je l'ai aimé, et j'ai envie de voir la suivante.
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Message  Pacô Mer 29 Oct 2008 - 21:27

Montmartre, que de poésies pour un commentaire Smile.

Eh bien, je crois à présent qu'il faut voir la suite, cher Zed. Jevois que mes remarques ont été prises en compte.
Il y a peut être une répétition de "porte" quand le flic, homme du commissaire, dit être resté dessus pendant la propagation de la fumée épaisse... Mais ce n'est pas flagrant Wink.
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Message  Zed Mer 29 Oct 2008 - 22:01

Woaw...et bah merci Montmartre =D

Pacô: Hum...étant donné que c'est dans un dialogue je pense que la répétition est acceptable non? Je veux dire par là qu'une personne qui parle, surtout dans une précipitation comme c'est le cas ici, peut faire de malencontreuses répétitions Laughing
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Message  Pacô Jeu 30 Oct 2008 - 19:58

Elle l'est, elle l'est. Tout dépend quel caractère tu donnes à ton personnage.
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