Les Terres cendrées ! (teaser!)

dochos a écrit:(Voix rauque)... Cette année...

Vue sur un magnifique champ en fleur (le plus beau que vous ayez jamais vu)

(Voix rauque à nouveau) ... Votre imagination va s'en prendre plein les mirettes !

Vue sur le héros en image de synthèse qu'on ne comprend pas trop ce qu'il fait (bullet-time oblige) mais comme ça en jette un max, on s'en fout.

(Encore la voix rauque plus pesante que jamais)... L'aventure... est en marche !

-(...) Jusqu'aux chiottes de l'enfer !!!!!

(Musique oppressante)
Du feu, beaucoup de feu
(Musique de plus en plus agressive sur un kaléidoscope de pauses commerciales)
(La musique se fait plus douce (pour permettre au spectateur de se reprendre un minimum))
A l'écran, un ralenti quelconque.

Alors là Boufftou™ (l'ectoplasme de dans ?? Ghostbuster™) avale totalement l'écran

(Et apparaît en lettre de feu) « LES TERRES CENDREES »

(Suivi de) « Enfin disponible en librairie»

Suivi de pleins de lois qui ne servent à rien, de messages qui disent que ce n'est pas bien de copier,
Theo écrit en tout petit et répété au moins 15 fois, avec pleins de petits © partout partout !






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Et donnez moi votre avis sur le dochos@hotmail.com

Bisoux à tous !

dochos a écrit:Vous avez raison... le teaser est juste là pour vous dire que je suis un romancier qui ne se prend pas trop la tête, j'écris pour les jeunes et les vieux sans distinctions. Le style c'est de l'héroic fantasy (dans un style assez particulier étant donné qu'à part Tolkien je n'ai pas lu des masses de livre du genre

http://www.ponpokopon.net/theo/theo.html

Ici voici les extraits tel que vous pouvez les lire sur le site simpleedition (pour ceux qui voudrais commander le roman au format e-book)

http://www.simpleedition.com/product_info.php?products_id=323&osCsid=42ebfde6bd01b8fa1ffb4364a599dfc2

1 …
" Tu vivras ta vie comme un poème ",
Il se répétait ces mots à lui-même comme pour se rassurer à son tour. Le poupon était fils de roi. Enfin, plutôt le fils de l'ombre d'un roi, car celui-ci avait vu son déclin dans de nombreux présages.

Il avait mille et un ennemis ; l'un siégeait sur les anneaux de feu du soleil, l'un était un aveugle dont les doigts lançaient les éclairs noirs de la vengeance, d'autres étaient des barbares venant du nord sur leurs drakkars chevauchant les cieux. Les dieux eux-mêmes étaient jaloux de son arrogance, préserver paix et beauté n'amusait pas le divin.

Valcar les avait tous affrontés au moins une fois, en tant que guerrier, monarque et parfois même en temps qu'esclave. Mais un seul lui faisait vraiment peur… Le Vide.

Valcar, était souverain du pays des lumières du matin, il savait que(,) tôt ou tard(,) les buveurs d'âmes venus du fond de l'obscure vallée du soir viendraient… Et engloutiraient son royaume comme ils avaient englouti le fief des brumes célestes. Ils pouvaient débarquer n'importe quand, comme la foudre un soir d'été. Ce soir, qui sait ? Peut être un autre ? Il y'avait tant d'autres soirs.

Le château de Valcar ne dormait jamais. Quand les derniers rayons du soleil venaient à mourir à l'horizon, ils continuaient à vivre sur les parois de sa forteresse et se répétaient jusqu'à ce que le soleil ressuscite.

Quand il lui venait de la fatigue, Valcar baissait un voile de peau devant ses yeux, un tissu qui filtrait la lumière mais qui en garde(pourquoi ce changement de tps ??) l'essence. Il avait l'apparence d'un vieil aveugle. Valcar avait besoin de la chaleur qui gorgeait le rubis sur son front et qui le remplissait d'énergie.

Une énergie avec laquelle il pouvait te bercer, te raconter des histoires, t'enrober quand il n'avait pas le temps de te câliner tout comme elle pouvait ébranler les montagnes, faire trembler les armées et narguer la foudre d'un tonnerre d'amour. "

Le narrateur de l'histoire s'arrête, ses phrases étaient belles, je pouvais presque toucher mon géniteur. Je cru voir apparaître un soupçon de nostalgie dans son attitude. Il regarde le plafond de terre cuite. Son œil est fier et brillant.

2 …
" Par-delà le ciel étoilé, se trouve, dit-on, une grande nappe obscure qu'on appelle le cosmos. C'est là qu'habite la Main qui a tout façonné. Elle a la réponse à toutes les questions avant même que celles-ci soient posées.

Jamais, la Main ne prêtait attention à ses créations. Une fois une espèce confectionnée elle l'abandonnait au destin. Un jour, elle eut tout fini, et comme un homme qui observe des fourmis avec une loupe, elle jeta un regard sur son œuvre. Elle vit que les étoiles brillaient comme il fallait, que l'eau coulait vers le bas, que les fruits pourrissaient correctement et que la neige faisait bien mal aux yeux. Elle vit que le silence inexploité faisait mal, tout comme l'amour et la violence. Quand elle vit la surface de toutes choses, elle arracha la croûte et vit le fond du cœur de chaque homme.

Elle les prit donc tous(,) individuellement, et remarqua une part noire et incontrôlable en chacun d'eux. Elle n'aurait pas dû les abandonner au destin et elle aurait dû leur apprendre ce qui était bien et ce qui ne l'était pas(,) se disait-elle. Malgré tout, elle continuait à les observer un par un.

Et comme personne n'en est à l'abri (pas même la Main qui façonne tout) l'amour frappa. Elle la vit gambadant dans les prés en fleurs, une femme splendide, telle qu'elle n'en avait jamais faite. Une telle fleur était née de mélanges mortels, elle n'osait y croire.

Elle voulait la rappeler à elle comme elle l'avait toujours fait pour les autres afin de disséquer son âme. Car elle n'était ni une divinité maudite, ni une divinité vengeresse, mais une divinité savante.

Après maintes réflexions, elle ne pouvait se résoudre à envoyer la mort missionnaire bleuter son teint de pêche. C'est pourquoi elle devint homme pour la rencontrer et la séduire.

Ce qu'elle fit avec aisance tant l'ingénue était naïve.

La mort jalouse ne pouvait accepter qu'une divinité puisse aimer une mortelle. Elle descendit alors à son tour sur terre sous forme d'homme.

De l'amour de la Main et de la mortelle naquit un enfant, celui-ci(,) hybride divin avait un magnifique rubis en son front. Ils le baptisèrent Valcar.

3 …
Comme pour répondre à nos espérances, des ombres apparurent au sol. Levant les yeux je crus d'abord à un vol d'oiseaux migrateurs. Puis en affûtant mon regard, je remarque (concordance des tps ?) leur forme élancée et trop géométrique. C'étaient les drakkars chevaucheurs des cimes des barbares du nord. Ils nous aideraient forcément, à condition de faire preuve de ruse et de persuasion. Ils sont malheureusement hors de portée de voix. J'essaye alors de tendre mon aura jusqu'à toucher leur coque mais même tendue à fond, ceux-ci ne sont toujours qu'un minuscule point dans la carte céleste. (pourquoi ce mélange d'imparfait, de passé simple et de présent ??)

Ils continuent leur route imperturbablement. Laissant à Raylor l'honneur d'enterrer les morts nous nous lançons à leur poursuite. Lévitant sur l'air, les yeux vers les cieux, guettant le moment où ils poseront leurs engins. Loin de l'attraction terrestre, je pourrais courir jusqu'au bout du monde.

Nous les coursons à travers champs, bois, montagnes. Nous traversons même à nouveau Valvuva un court moment avant d'arriver à une grande étendue d'eau. Ils descendent vers le sud par delà la grande mer.

Quant aux traducteurs, il en faut des vraiment bons pour
traduire un livre qui sortira aux USA et au Japon...

vraiment bons = vraiment cher ??? ^^