Ecriture d'invention (DM Français)

Le texte qui suit est, comme l'indique le titre, un travail pour le français (lycée).
Le but de cette rédactin (à faire à la maison) était d'inventer l'histoire d'un personnage d'un roman de Dumas ( "Les Mille et Un Fantômes" ... particulièrement pourri mais enfin bref ).
Ce personnage est "la dame pâle" ( on ne lui connais ni de nom ni de prénoms ), et j'étais sensé m'inspirer du tete de Dumas (pour le style d'écriture, etc). Le sujet est simple: la dame pâle raconte à des personnages du roman une histoire qui lui ai arrivé.
Certaines phrases devaient figurer obligatoirement dans le texte, il s'agit des phrases en gras.
Je viens donc de l'écrire, et j'aimerais connaître votre avis, et pourquoi pas dire quelle note, à votre avis, j'aurais pour ce truc. Je donne la rédac demain.*

Ce n'est donc absoluement pas un roman, ni une nouvelle, et encore moins quelque chose que j'aurais eu envis d'écrire, et je ne sais pas si c'est toléré que je le poste. Si ça n'a rien à faire sur ce forum, n'hésitez pas à le supprimer.

Donc, voila:


                - Puisque tout le monde ici a raconté une histoire, j'en veux raconter une aussi. Docteur, vous ne direz pas que l'histoire n'est pas vraie ; c'est la mienne... Vous allez savoir ce que la science n'a pu vous dire jusqu'à présent, docteur ; vous allez savoir pourquoi je suis si pâle.
                Si cette discussion avait eu lieu il y a de cela trois mois, je puis vous assurez que j'aurais été du même avis que vous, docteur. Seulement nous parlons bien aujourd'hui, et je ne vois plus les choses de la même manière que par le passé.
                Donc, il y a trois mois de ça, je me baladais seule et à pied dans les bois. Ce petit bois était la propriété de mon maris, et je pu donc m'y promener tranquillement. Après environ une heure de marche, je décidais de rentrer à la maison. La nuit commençais à tomber, voyez vous, et je ne souhaitais pas attraper du mal. Oui je n'ai pas une très bonne santé, et ce depuis ma plus tendre enfance.
                Mais ne nous écartons pas trop du sujet, je faisais donc demi-tour quand j'entendis un hurlement à glacer le sang. C'était un hurlement qui, malgré qu'il fut très aigu, était parfaitement humain, et le timbre de ce cri était sans équivoque: il s'agissait du cri de douleur d'un homme.
                Sur le moment, je ne savais trop comment réagir. Je n'osais plus bouger. Il aurait put s'agir de n'importe quoi, un homme attaqué par un sanglier, ou pire, un fou hurlant à la mort au milieu des arbres.
Quand retentit un second cri, je pris enfin ma décision: quoi que ce fut, je devais aller voir de quoi il en retournait. Après tout, j'étais ici sur mes terres.
                Je partis donc dans la direction du hurlement et, après quelques minutes de marches, je découvris un homme.

                Sur ces mots, la dame devint encore plus pâle qu'elle ne l'était. Elle paraissait lutter pour poursuivre son récit, ses yeux avaient rougis et elle tremblait de tout son corps. Elle me lança un rapide regard avant de regarder le maire. Ce regard était clair: « aidez-moi ».
Le maire répondit donc à cet appel silencieux:
                - N'ayez crainte madame, quoi qu'il se passa par la suite, c'était il y a de cela trois mois.
La dame eu un étrange sourire, puis, après un rapide coup d'œil vers moi, continua son histoire:
                - Comme je l'ai dit, il y avait un homme dans la clairière. Cet homme était couché sur le dos, et ce que je pris d'abord pour un épais tapis de feuille, était en fait une large flaque de sang coagulée. Je me trouvais devant le cadavre de Lucas, un domestique de notre maison.
                Ce que je vu ensuite étouffa le cri qui naissait dans ma gorge: la tête de l'homme n'était plus accrochée au corps, elle tenait debout, comme par magie, sur un cou déchiqueté couvert de sang, à quelques mètres du cadavre. Sa bouche était grande ouverte, comme si la mort l'avait fauché en plein hurlement.
                Il me fallu près d'une minute pour accepter ce que je voyais. Je cru d'abord que l'homme avait crié juste avant de succomber, mais le sang n'aurait pas eu le temps de coaguler à ce point. Je ne m'y connais guère en mort, il s'agit en fait du seul et unique que j'ai jamais vu, mais ce détail me sauta aux yeux.
                Je conclu alors qu'un autre homme était présent. Peut être le meurtrier de celui couché, là, au milieu des champignons. J'étais terrifiée, je n'avais plus aucune envie de savoir ce qui se passait dans mon bois, oh non, plus envie du tout. Un assassin y rodait, mais pourtant je n'arrivais pas à fuir. J'étais comme attirée par la tête du malheureux. C'était comme si je m'attendais à ce que quelque chose se produise, comme si j'avais su. Seulement, si j'avais réellement su ce qui allait suivre, je crois que j'aurais pris mes jambes à mon cou.
                Car après quelques secondes à observer le mort, les yeux du cadavre se rouvrirent et s'attachèrent sur moi plus vivants que je ne les avais jamais vus, et je sentis, comme si ce double rayon eût été palpable, pénétrer un fer brûlant dans mon cœur.
                Une sorte de sourire apparu sur son visage, un sourire torturé, un sourire fou. Et il cria. Son hurlement était le même que ceux que j'avais entendu, au moment où je m’apprêtais à rentrer chez moi. Ce moment me paraissait lointain, comme s'il s'était déroulé des siècles auparavant, comme si j'étais alors une autre personne.
                De près, le hurlement était encore pire, mais le regard de l'homme l'était plus encore
                Je ne sentais plus mes jambes, puis j'ai eu une légère nausée. Les signes ne trompent jamais, j'étais sur le point de m'évanouir. Mais j'ai tenu bon, surement grâce à la peur que le meurtrier trouve mon corps inconscient, et je me suis mise à courir. Sans trop savoir où j'allais, je ne criais pas, ni n'hurlais. Mais quand je suis finalement arrivée devant ma demeure, grâce à un quelquonc miracle, je me suis mise à faire les deux comme jamais je ne l'avais fait alors.

                Les hommes présents dans la pièce ne dirent rien longtemps après que la dame eut terminée sa terrifiante aventure. Même le docteur semblait assaillit par le doute. Demain, ses idées typiquement médicales remettraient de l'ordre dans ses pensées, mais maintenant, devant cette dame pleurant toutes les larmes de son corps, le docteur était terrifié.

ce que tu ecrit c'est seulement ce qu'il y a en gras ? c'est court... elle vous a demandez d'écrire combien de ligne a peu pres ta prof?

je te propose une variante tiré de ton propre écrit, a toi de voir si tu veut garder des choses.


- Puisque tout le monde ici a raconté une histoire, j'en veux en raconter une aussi. Docteur, vous ne pourrez pas dire que l'histoire n'est pas vraie ; c'est, hélas, la mienne... Vous allez savoir ce que la science n'a pu vous dire jusqu'à présent, vous aller apprendre qu’il existe dans ce monde des faits inexplicables, des faits qu’en tant que scientifique vous ne pourrez jamais expliqué. Mais surtout docteur,vous allez savoir pourquoi je suis si pâle.



-Car après quelques secondes à observer le mort, les yeux du cadavre se rouvrirent et se fixèrent sur moi plus vivants que je ne les avais jamais vus, et je sentis, comme si ces deux yeux eurent été des rayon, pénétrer tel un fer brûlant dans mon cœur. Des gouttes de sang perlèrent de son visage. Le soleil qui commençait tout juste à ce coucher faisait briller les pupilles dilaté de cet homme. Je vit même mon propre visage tordu d’horreur se refléter dans le regard de cette tête sanguinolent.

Non c'est l'inverse
Les phrases en gras sont les phrases obligatoires.
Ce que moi j'ai écrit, c'es le reste

J'ai relu mon premier post et c'est vrai que je n'ai pas très bien expliqué, désolé.
En tout cas merci tout de même de ton aide

EDIT: j'ai édité le message du sujet, pour que cette histoire de "gras" soit plus compréhensible

a ba dans ce cas la je trouve ton texte pas mal bien que l'histoire soit pas très intéressante mais bon ça t'y peut rien lol surtout que moi je préfère les truc fantastique avec de la magie des sorts et tout .enfin bref je trouve ton style vraiment pas mal je pense que t'aura une bonne note

Oui c'est sur que l'histoire est pas terrile terrible ^^

enfin bref je trouve ton style vraiment pas mal je pense que t'aura une bonne note

Merci pour le compliment , et j'espère que tu as raison pour la note ^^

Maeror a écrit:

- Puisque tout le monde ici a raconté une histoire, j'en veux raconter une aussi. Docteur, vous ne direz pas que l'histoire n'est pas vraie ; c'est la mienne... Vous allez savoir ce que la science n'a pu vous dire jusqu'à présent, docteur ; vous allez savoir pourquoi je suis si pâle.
Si cette discussion avait eu lieu il y a de cela trois mois, je puis vous assurez que j'aurais été du même avis que vous, docteur. Seulement nous parlons bien aujourd'hui, et je ne vois plus les choses de la même manière que par le passé.
Donc, il y a trois mois de ça, je me baladais("promenais", balader rentre dans le registre familier et je ne pense pas que ce soit le genre de discours de cette locutrice ) seule et à pied dans les bois. Ce petit bois était la propriété de mon mari (cette propriété était celle de mon défunt mari...), et je pus donc m'y promener tranquillement ("et je pus donc m'y évader à l'abris du monde extérieur" ouerf, encore que c'est pas top ça). Après environ une heure de marche, je décidai (c'est bien du passé simple?) de rentrer à la maison. La nuit commençait à tomber, voyez vous, et je ne souhaitais pas attraper du mal. Oui je n'ai pas une très bonne santé, et ce depuis ma plus tendre enfance.
Mais ne nous écartons pas trop du sujet, je faisais donc demi-tour quand j'entendis un hurlement à glacer le sang. C'était un hurlement qui, malgré qu'il fut très aigu (ah, apportez-moi l'eau bénite !! Pas de "malgré que" pitié... même si je sais que c'est toléré désormais, j'en veux pas sur ce pauvre vieux misérable forum ) , était parfaitement humain, et le timbre de ce cri était sans équivoque: il s'agissait du cri de douleur d'un homme.
Sur le moment, je ne savais trop comment réagir. Je n'osais plus bouger. Il aurait pu s'agir de n'importe quoi ("qui" plutôt non?), un homme attaqué par un sanglier, ou pire, un fou hurlant à la mort au milieu des arbres.
Quand retentit un second cri, je pris enfin ma décision: quoi que ce fût, je devais aller voir de quoi il en retournait. Après tout, j'étais ici sur mes terres.
Je partis donc dans la direction du hurlement et, après quelques minutes de marche, je découvris un homme.

Sur ces mots, la dame devint encore plus pâle qu'elle ne l'était. Elle paraissait lutter pour poursuivre son récit, ses yeux avaient rougi et elle tremblait de tout son corps. Elle me lança un rapide regard avant de regarder le maire. Ce regard était clair: « aidez-moi !».
Le maire répondit donc à cet appel silencieux:
- N'ayez crainte madame, quoi qu'il se passât (je suis plus tout à fait sur du temps et de l'accord, mais ce n'est sûrement pas un simple passé simple... riez au jeu de mot --") par la suite, c'était il y a de cela trois mois.
La dame eut un étrange sourire, puis, après un rapide coup d'œil vers moi, continua son histoire:
- Comme je l'ai dit, il y avait un homme dans la clairière. Cet homme était couché sur le dos, et ce que je pris d'abord pour un épais tapis de feuille, était en fait une large flaque de sang coagulé (c'est le sang pas la flaque qui coagule). Je me trouvais devant le cadavre de Lucas, un domestique de notre maison.
Ce que je vis ensuite étouffa le cri qui naissait dans ma gorge: la tête de l'homme n'était plus accrochée au corps, elle tenait debout, comme par magie, sur un cou déchiqueté couvert de sang, à quelques mètres du cadavre. Sa bouche était grande ouverte, comme si la mort l'avait fauchée en plein hurlement.
Il me fallu près d'une minute pour accepter ce que je voyais. Je crus d'abord que l'homme avait crié juste avant de succomber, mais le sang n'aurait pas eu le temps de coaguler à ce point. Je ne m'y connais guère en mort ("en sciences" ^^), il s'agit (même) en fait du seul et unique que j'ai (jamais) vu, mais ce détail me sauta aux yeux.
Je conclus alors qu'un autre homme était présent. Peut être le meurtrier de celui couché, là, au milieu des champignons (s'il est au milieu des champignons, il pourra difficilement se dissimuler). J'étais terrifiée, je n'avais plus aucune envie de savoir ce qu'il se passait dans mon bois, oh non, plus envie du tout. Un assassin y rodait, mais pourtant je n'arrivais pas à fuir. J'étais comme attirée par la tête du malheureux. C'était comme si je m'attendais à ce que quelque chose se produise, comme si j'avais su. Seulement, si j'avais réellement su (répétition qui peut néanmoins être tolérée face au contexte) ce qui allait suivre, je crois que j'aurais pris mes jambes à mon cou.
Car après quelques secondes à observer le mort, les yeux du cadavre se rouvrirent et s'attachèrent sur moi plus vivants que je ne les avais jamais vus, et je sentis, comme si ce double rayon eût été palpable, pénétrer un fer brûlant dans mon cœur.
Une sorte de sourire apparut sur son visage, un sourire torturé, un sourire fou. Et il cria. Son hurlement était le même que ceux que j'avais entendu, au moment où je m’apprêtais à rentrer chez moi. Ce moment me paraissait lointain, comme s'il s'était déroulé des siècles auparavant, comme si j'étais alors une autre personne.
De près, le hurlement était encore pire, mais le regard de l'homme l'était plus encore
Je ne sentais plus mes jambes, puis j'eus une légère nausée. Les signes ne trompent jamais, j'étais sur le point de m'évanouir. Mais je tins bon, sûrement grâce à la peur que le meurtrier trouve mon corps inconscient, et je me suis mise à courir. Sans trop savoir où j'allais, je ne criais pas, ni ne hurlais (oui, le h est aspiré. Il empêche toute liaison ou élision, contraire au h muet). Mais quand je suis finalement arrivée devant ma demeure, grâce à (attention aux répétitions) un quelconque miracle, je me suis mise à faire les deux (c'est quoi faire les deux?) comme jamais je ne l'avais fait alors.

Les hommes présents dans la pièce ne dirent rien longtemps après que la dame eut terminée sa terrifiante aventure. Même le docteur semblait assaillit par le doute. Demain, ses idées typiquement (exclusivement) médicales remettraient de l'ordre dans ses pensées, mais maintenant, devant cette dame pleurant toutes les larmes de son corps, le docteur était terrifié.

Ah c'est con que j'étais pas là. Il y a quelques fautes quand même. Il fallait raconter quelque chose de terrifiant et de légèrement irrationnelle non? Bon... J't'ai fais toutes les remarques dans ma correction.
Si j'étais prof (ce que je ne suis pas, et loin de là ^^), je dirais (-2 pour l'ortho déjà...) j'te donnerais 13 ou 14, mais encore, je ne sais pas en quelle classe tu es ^^.

Terrifiant n'est peut être pas le mot :p
C'est tout de même du Alexandre Dumas hein ^^

Oui je pense aussi avoir dns les environs de 13,

Aïe les fautes :s , je crois que t'as bien raison pour le -2
...Surtout que ce prof est particulièrement psychopathe

Ah, et tu m'as toujours pas répondu pour ta classe?

C'est cool les profs psychopathes, mordus de grammaire --".

Pour ceux que ça intérresse j'ai eu le résultat. 13, pas une grande surprise.
Tsss enfoiré de prof ^^
Mais je m'en sort plutôt bien par rapport aux autres
Ah pour ma classe, je suis en seconde ... et j'ai redoublé: jevoulais à tout prix aller en S, et au troisième trimestre mon prof de physique a été remplacé par un autre (pour tout le trimestre). Du coup je suis passé de 12 de moyenne (en physique-chimie) à 7 -_-

Beh, ça venait ptètre du nouveau chapitre aussi...
Et tu comptes changer de cible pour ta future filière ?
(J'vais pas te foutre la morts i je te dis que je suis en première S ?)

Beh voilà, 13... je suppose que si j'étais prof, je serais sadique aussi...

Ben je ne sais pas trop pour l'année prochaine.
D'après mon prof principale je pouvais passer tranquille dans n'importe quelle filière sauf la S, qui bien sur était la seule que je voulais faire. Et voila que maintenant je suis en plein doute pour l'année prochaine, je n'ai plus tant envie que ça de faire S, mais ce serais con d'avoir redoublé pour rien -_-

Beh, ça venait ptètre du nouveau chapitre aussi...

J'ai pas mal de doutes là dessus

Beh voilà, 13... je suppose que si j'étais prof, je serais sadique aussi...

Oui mais il y a une limite tout de même ... j'ai généralement autour de 15 de moyenne en français (que ce soit lycée ou collège) et là je me retrouve avec 12 alors qu'en plus j'ai redoublé -_-
Moyenne de classe: 9
Ce type est plus que sadique.

Et pourquoi tu ne fais pas L?

Pour plusieurs raisons:

1_ Tout simplement car il y a moins de débouchés ( pitier, me tuer pas si je dis une bêtise ! ).
2_ Si un jour je deviens réellement écrivain (édité, je veux dire), je ne pense pas en vivre, donc je compte bien faire un métier en parallèle. Métier qui pourrait être dans le secteur du design ou de l'informatique, et pour l'un comme pour l'autre il est conseillé de faire S.
3_ Vu comment je ne supporte pas les cours de français, je n'ai aucune envie de faire L. Surtout s'il y a en plus de la philo, qui apparemment serait encore pire >.>

Pour faire plus clair, je n'ai aucune envie de faire L, ni de faire S (ras le bol des math & co), ni de faire ES (je faisais SES l'année dernière, j'ai détesté dès le premier cours), quand à STG, n'en parlons même pas^^

Je ferais sûrement S au final, mais je suis hésitant.

Sinon, tu as l'option STI, GE ou GM... en fait des trucs plus technologiques, et avec aussi des maths, mais en un peu moins condensé...

Et sinon, tu te débrouilles bien en design? Parce que je crois que j'aurais un "petit" boulot pour toi ...

Non c'est terminé STI chez nous, et le reste il n'y a pas non plus.

Non je me débrouille pas "bien" en design, mais j'aimerais, et surtout, voudrais apprendre

Ah bah ça, apprendre, on peut toujours te donner quelques tuyaux chez les infographistes .

Tes projets ont évolué depuis?

Non, rien de nouveau pour le moment.
Enfin, si j'y vois un peu plus clair. Je pense pas faire STI arts appliqués (pour ça il faudrait que je change de lycée, que je sois interne - d'ailleurs je plaint les pauvres qui le sont , etc), je vais suivre la voie générale puis faire un an de remise à niveau. Après, quel bac, c'est la question !

Ouais, c'est clair, les internes ressortent déjantés =/.

Bah... si tu n'es pas fait pour la voie générale, pourquoi n'essayes-tu pas quand mm art appliqué? C'est pas la mort l'internat .