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L'origine à commencé par moi.

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L'origine à commencé par moi. Empty L'origine à commencé par moi.

Message  Virginie Ikims Sam 14 Mar 2009 - 19:30

Prologue:


J'étais alors ce que j'ai toujours haïs. Source d'une nouvelle race. Source de nombreux mythes. J'étais le commencement de tout et de rien. J'étais affreuse ! Un monstre ! Une inhumaine. Le commencement de cet état, était la fin de l'autre. La fin de ma vie. La fin de tout. La fin de nous, tu m'a dis d'y croire, j'y crois.
Sauve moi !


Chapitre 1:
Faux semblant.


On a toujours dit que la vie était source de problème, la mort source de peur, l'existence source d'envie, de crainte, de défi. On a toujours dit que le fantastique est une histoire faisant hésité sur les phénomènes, ou encore se qui revient aux créatures magiques, mythique. Mais tout cela est faux ! Je le sais comme bien d'autres. Qui ne sait pas à vrai-dire que ces mythes affreux n'existe pas ? Moi je le sais. Qui d'autres ?

Je regardais mon bloc-note heureuse. Voila qui allait clouer le bec aux fans du nouveau livre fantastique. Un livre sur les fantômes, des êtres revenant parmi les vivants pour empoisonner ceux qui ont encore la chance ou malchance de vivre encore.

Moi je dirais chance. Je n'ai rien contre la vie, elle vaux d'être vécue. Moi, je suis une jeune fille de taille moyenne, corpulence moyenne, une fille moyenne. Mon nom aussi est très moyen: Lucy, combien avant moi ce sont appeler ainsi ? Combien de livre parle du nom moyen qui est le mien ? Je suis en terminale L. D'où l'importance des livres dans mon univers, et les questions de mon subconscient en faisant part. L'étude des langues, je parle couramment cinq langues : Français, Anglais, Espagnol, Allemand et Roumain. Mais je commence à apprendre le Chinois, langue importante maintenant.

C'était bon, le dernier jour au lycée était derrière moi. L'année avait à peine débutée, et je devais déménager. Chez moi ça arrivait fréquemment. Mon père était traducteur/guide pour les voyages. En gros, il partait tranquillement dans un hôtel et aider les personnes dedans. Et en plus il gagnait beaucoup ! Ma mère quand à elle était actrice. Mes deux parents ne faisaient pas beaucoup attention à moi. Ma mère plus je dois dire, elle me voyait parfois et était maternelle ces moments-là. C'était rare. Je déménageais donc, aucun regret. De toute façon je n'avais pas eu le temps d'avoir d'ami. Tous des idiots. J'emménageais donc en Amérique du Nord, Seattle. Il faisait généralement ... pluvieux là-bas. Un peu comme nous à Paris. Rien de bien horrible.

Ma mère me regardait dans le rétroviseur, elle était rayonnante, je ne comprenais pas pourquoi. Je fermai mon bloc-note et lui rendis un sourire doux, mais frustrée. Elle ne sembla pas s'en rendre compte et elle regarda de nouveau la route. Je n'aimais pas être devant, j'avais l'impression d'être garder. Alors que derrière j'étais dans mon habitacle serein et seule. J'étais bien.
- Lucy, on est arrivée.
Je regardai anxieusement ma nouvelle maison. Toujours aussi belle. Je ne l'avais jamais vu, mais ma mère avait toujours le même gout en matière de maison. Si elle n'était pas d'un blanc immaculé, avec des fenêtres énormes pouvant offrir la lumière du dehors au dedans, et s'il n'y avait pas au moins trois étages -comme celle là- ma mère n'en voulait pas. Donc c'était le même genre de maison, la même que les dix d'avant.
- Je l'ai acheté !
Cette déclaration me fit hoqueter de surprise. Maman n'achetait jamais. Parce qu'elle m'avait promis que le jour où elle achèterait, ce serait notre dernière maison. On ne déménagerait plus. Je soupirai doucement. Maman me mettait encore plus la pression, si je n'avais pas d'amis, si j'étais haïs par tous, ce serait pour ... toujours. Enfin, pour la scolarité entière, pas de déménagements tous les deux mois, de nouvelles personnes, de nouveaux pays, plus rien.
- Tu es heureuse ?
Je m'éditai sur sa phrase et acquiesça. C'était vrai après tout, j'étais heureuse, à ma façon. Je ne le faisais jamais voir, mais je l'étais. On avait une belle maison, je resterais surement assez longtemps pour avoir des amis. Peut-être que cette fois j'allais en avoir. Peut-être avec de la chance. Ma mère me tendit mes valises, je les pris et montai au dernier étage, c'était toujours le mien. Et rien ne pouvait changer cela. Je soupirai en voyant ... rien. Il y avait tout juste un lit et rien d'autre. J'ouvris ma valise sur mon lit et attendis. Ma mère monta et remit sur pied l'armoire que j'utilisais tout le temps. Je l'aidai et elle me dit, un large sourire aux lèvres:
- Tu ne parles pas beaucoup aujourd'hui. Tu es triste ?
- Non, répondis-je en constatant que c'était vrai. Je suis très heureuse. Pourquoi ? Es-tu devenu dépendante de ma voix ?
Ma mère rigola d'un rire magnifique, que je ne pouvais m’empêcher d’envier. Puis elle secoua sa tête et ses cheveux blonds cendrés tombèrent devant ses yeux bleus clairs.
- Ma chérie, demain je t'achète une nouvelle armoire, tu viens, obligée.
- A quelle heure ? demandais-je en riant.
- Dix heures ça te vas ?
Je souris de toutes mes dents et lui répondis d'une voix amusée par l'anticipation de sa réaction:
- Bien sûr comme ça je raterais le premier jour de cours.
Ma mère rigola de nouveau en se tapotant la tête. Décidément elle était vraiment ... gamine. Elle soupira et me dit :
- C'est vrai ! Oublie ! Je t'emmène et vais toute seule t'en acheter une. Tu me fais confiance ?
Elle parlait seulement du design de l'armoire. J'acquiesçai en sachant qu'elle ne prendrait jamais quoi que ce soit d'embarrassant. Elle me sourit une dernière fois et descendit. Je devinais qu'elle continuait de débarrasser le coffre de la voiture. Ma mère était comme ça, elle restait pour parler de ce qu'elle avait en tête, puis partait. Mais ce n'était pas un reproche, juste une constatation.

Je rangeai mes affaires dans ma vieille armoire en bois qui serait dès demain réduite en buches pour la cheminée. Au moins elle était recyclée, en quelque sorte. J’adorais regarder le feu crépitant. Ma mère le savait. A chaque maison, elle faisait attention à ce qu’il y ait une cheminée, pour moi. Elle choisissait donc une maison avec une cheminée en plus, sinon pas de maison. C'était ridicule, je le savais. Mais j'en étais presque dépendante. Après avoir rangé, je descendis d'un étage, il était presque à moi celui là aussi. C'était celui des créations. Il y avait mon piano. Les déménageurs avaient dû le mettre dans la maison avant notre arrivée, comme pour mon lit à baldaquin. Je touchai le rebord du piano, puis les touches. Je m'assis et commençai à faire un morceau de Mozart. Puis du célèbre allemand Jean-Sébastien Bach. Je m'amusai comme ça puis jouai quelques notes et accord au hasard, ça fit un morceau magnifique. Je continuai à l'améliorer quand la fatigue me pris et ... que je m'endormis dans un gros Fa #.

Le lendemain, quand je me réveillai j'étais dans mon lit. Je soupirai, heureuse, quand ma mère m'embrassa tendrement sur le front. Elle me laissa et je me levai. Je me lavai, l'eau brûlante coulant sur ma peau blanche devenu d'un rouge soutenu par la brûlure douce. Je me séchai rapidement et me mis du crayon noir sous mes yeux, se qui les rendit plus sombre. J'étais clairement le contraire de ma mère : j'avais les cheveux lisses grâce à l'eau, bruns, les yeux verts sombres soulignés maintenant d'un trait noir, la peau blanche -ma mère plus bronzé que moi. J'étais habillée ... comme une fashion comme diraient les parisiennes qui étaient censée être mes amies. Ce n'étais pas mon style, moi, j'étais plus du genre simple mais sombre, mais je ne voulais pas que ça se voit. Me fondre dans la masse, c'est tout.

Quand j'arrivai au lycée on me regarda étrangement. Je leur souris mais rien à faire. Je fonçais donc en direction du secrétariat où ce qui servait de cela. Je n'y connaissais rien, j'étais nouvelle. Horrible. Un jeune homme au cheveux blond/châtain sans être cendré était là. Je le regardais perplexe et lui demandais:
- Êtes vous un pion ?
- Non demoiselle ... Demens ?
Sa voix était très belle, celle qu'on ne pourrait pas oublier même si on le voulait. Elle n'était pas grave, on avait même l'impression que ce jeune homme n'avait pas muer. Pourtant il faisais ma taille. Je lui souris et acquiesça. Il rit doucement, ce qui amplifia mon sourire, à cette instant je me trouvais bête. J'arrêtai de sourire et mis mon masque d'indifférence. Le jeune homme blond me sourit et dit :
- Je m'en doutait. Seule une française peut demander cela. Il n'y a pas de pion ici, enfin, pas exactement, c'est compliquer. J'ai été appelé pour vous emmener en cours et pour que vous ne soyez pas perdu.
- Ce sont deux choses différentes ? A part dans les couloirs, je ne peux pas être vraiment perdue.
Il souris de plus belle devant ma question. Elle devait être si idiote pour lui.
- Demoiselle Demens, perdue au sens de ce qu'on fait au État-Unis. Par exemple vous pouvez passer votre permis de conduire et avoir une voiture, vous avez dix-sept ans, donc, vous pouviez même l'avoir il y a un an.
Je remarquai alors qu'il parlait doucement, j'étais touchée par cette intention. Même si ce n'était pas indispensable. Je lui dit que je parlais couramment sa langue et que j'avais appris leur "tradition" et que son aide était peut-être de trop, mais il ne sembla pas changer d'avis. A sa guise. Il me conduit bien gentiment à ma salle de Chimie, il entra même dans la salle et ... je dus m'assoir à ses côtés. On avait donc les cours de Chimie, d'Anglais et d'histoire en commun. Il m'invita à m'assoir à ses côtés à la cafétéria. Je ne refusai pas sa proposition et m'assis entre lui et un de ses potes, un joueur de basket apparemment, brun.
- Hein d'moiselle Demens vous venez à notre p'tite soirée d'min ?me demanda le basketteur la bouche pleine.
Je ne savais pas comment faire pour décliner sa proposition. Je décidai alors de jouer la carte de l'innocence.
- Je m'appelle Lucy, et je ne peux pas, je dois aider ma mère pour le déménagement et tout ...
- Pff ! C'est gosses de riches ne savent plus s'amuser ! rétorqua le brun qui parler cette fois sans rien dans la bouche.
Je me levais, pris mon plateau et commença à partir. Mais James -le blond de l'accueil- me rattrapa et essaya de me calmer. Pourtant ses tentatives empreints d'amusement m'énerva plus encore, et je lui dis de m'oublier. Il me lança alors avant de repartir vers sa table :
- Quand on veut pas s'amuser un peu, on ne s'habille pas comme si on le voulait !
Sa phrase n'avait pas de sens. Depuis quand, de plus, l'habit faisait le moine ? Je soupirai en vidant mon plateau, j'avais presque rien manger.

J'arrivai chez moi, j'étais énervée mais je ne voulais pas inquiétée ma mère pour rien, je montai donc sans un mot. Elle ne remarqua rien, elle était plongée dans un rôle d'après elle difficile à jouer. Je ne comprenais rien à son jeu. Je m'installai dans ma chambre et vis ma nouvelle armoire, blanche en bois, pas très différente de l'autre. Ma mère avait déjà déplacée mes vêtements, je fis mes devoirs et me rendis compte que quelque chose était sur l'armoire. C'était un mot de ma mère.

Salut ma chérie, tu ne m'as pas dit quand tu rentrais. je suis donc désolée que tu sois rentrer seule. Je t'ai achetée quelque chose en plus, tu le trouveras près de la cheminée au deuxième étages, troisième porte à droite. Ne me demande pas pourquoi la cheminée est au deuxième, j'en ai aucune idée. Tu ne la pas vus hier la cheminée n'es ce pas ? Je l'espère, sinon mes indications ne servent à rien.
Je t'aime mon bébé,
A bientôt.


Son écriture pouvait sembler basique, je la trouvais merveilleuse. Comme dirait Maman : " mon écriture est assez illisible et grosse." Mais je m'en fichais. Rien n'importais moins que l'écriture. Je descendis donc au deuxième et pris la troisième porte à droite. Un tapis rouge sang était tout près d'un feu aux flammes rouge/jaune/orange et bleu. Je m'approchai du feu magnifique et vis une boite. Je la pris et l'ouvris. J'en sortis un magnifique ordinateur portable. Ma mère avait écrit un autre mot, je posai l'ordinateur doucement sur le sol et lus:

Ma chérie aimes tu ton cadeau ? Je l'espère. J'ai branché internet et je t'attendrais en bas pour te mettre le téléphone. Ton père est d'accord, et il vient demain. Il va te le dire de toute façon, je t'ai remis ton ancienne adresse mail. Gros bisous,
Maman.


Maman me surprenait. J'allumai l'écran puis l'ordinateur. Je le positionna sur mes jambes de telles façon que je n'avais pas mal. Je partis sur ma messagerie et vis que j'avais un message. J'appuyai sur le lien et vis le message de mon père, à part lui, personne ne m'aurais écris. Je le lu :

Lucy, tu ne le sais peut-être pas mais demain j'arrive à la maison. Prépare toi.
Ton père.


Je rigolai devant ce bref message. Papa ne faisait jamais de grand discours, il le faisait seulement en traduction. Je souris et écris moi aussi un bref message :

Bonjour papa, Maman viens juste de me mettre au courant. Repose toi bien dans l'avion, et à demain.

Je n'exigeais pas de réponse de sa part. Il allait être heureux. Il m'aimait bien évidemment, mais les conversations se résumait souvent avec lui à de simples : "Salut, ça va ?", "Oui et toi ?", " Oui" et c'est tout. J'aurais été choquée s'il m'avait fait un monologue de quinze lignes. Et que répondre à mon message ? Rien.

Je naviguai sur le net en ne cherchant rien de particulier. Puis je pensai à James. J'avais tout ratée pour le premier jour de cours. Heureusement on était Vendredi, demain pas d'école. J'irais m'acheter des affaires dignes de moi, des vêtements digne de mon caractère, simple et difficile, paradoxale, sombre. J'irais même jusqu'à mystérieux. Je souris à mes pensées, puis tapa sur le navigateur :

Faux semblant.

La recherche se fit et je tombais sur un site parlant de chauve-souris. Le site s'appelait : Les Vampires. Je riai doucement en appuyant sur le lien. J'appris alors que les vampires, étaient des chauves-souris se nourrissant de sang parfois humain. Et les vampires des mythes étaient aussi venu d'une maladie, maladie au soleil.
Je n'aimais pas lire des choses comme ça, je quittai le site et éteint mon ordinateur. Je m'endormis en repensant à cette histoire de chauve-souris, et en pensant que demain, serait un autre jour.
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Message  Pacô Sam 14 Mar 2009 - 19:45

Oulah. Moi j'ai un problème technique et j'ai plsu vraiment d'ordi.
J'essaierai de te corriger ça dans la soirée. Mais je te conseille surtout de raccourcir un peu le passage. Beaucoup de correcteurs risques d'être découragés (oui, lire sur un écran, moins c'est long, plus tu auras de monde Razz).
Je t'encourage donc à raccourcir tes passages !

Voilà tout, sinon peut être à tte avec ma correction.
Pacô
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Message  Pacô Sam 14 Mar 2009 - 23:29

Virginie Ikims a écrit:
Prologue:


J'étais alors ce que j'ai toujours haï. Source d'une nouvelle race. Source de nombreux mythes. J'étais le commencement de tout et de rien. J'étais affreuse ! Un monstre ! Une inhumaine. Le commencement de cet état, était la fin de l'autre. La fin de ma vie. La fin de tout. La fin de nous, tu m'as dis d'y croire, j'y crois.
Sauve-moi !


Chapitre 1:
Faux semblant.



On a toujours dit que la vie était source de problèmes, la mort source de peurs, l'existence source d'envies, de craintes, de défis. On a toujours dit que le fantastique est une histoire faisant hésiter sur les phénomènes, ou encore ce qui revient aux créatures magiques, mythiques. Mais tout cela est faux ! Je le sais comme bien d'autres. Qui ne sait pas à vrai dire que ces mythes affreux n'existent pas ? Moi je le sais. Qui d'autres ?

Je regardais mon bloc-note, heureuse. Voila qui allait clouer le bec aux fans du nouveau livre fantastique. Un livre sur les fantômes, des êtres revenant parmi les vivants pour empoisonner ceux qui ont encore la chance ou malchance de vivre (répétition de vivre) encore.

Moi je dirais chance. Je n'ai rien contre la vie, elle vaut la peine d'être vécue. Moi, je suis une jeune fille de taille moyenne, corpulence moyenne, une fille ("une gamine d'intelligence") moyenne. Mon nom aussi est très moyen: Lucy, combien avant moi se sont appelées ainsi ? Combien de livres parlent du nom moyen qui est le mien ? Je suis en terminale L. D'où l'importance des livres (ouvrages) dans mon univers, et les questions de mon subconscient en faisant part. L'étude des langues, je parle couramment cinq langues (mal formulé => "dont j'en emploie cinq couramment") : Français, Anglais, Espagnol, Allemand et Roumain. Mais je commence à apprendre le Chinois, langue (évite le mot "langue" à répétition) importante maintenant.

C'était bon, le dernier jour au lycée était derrière moi. L'année avait à peine débuté, et je devais déménager. Chez moi, ça arrivait fréquemment. Mon père était traducteur/guide pour les voyages. En gros (à éviter), il partait tranquillement dans un hôtel et aidait les personnes dedans (maladroit ! "et aidait les résidants"). Et en plus il gagnait beaucoup ! Ma mère quant à elle était actrice. Mes deux parents ne faisaient pas beaucoup attention à moi. Ma mère plus je dois dire, elle me voyait parfois et était maternelle ces moments-là. C'était rare. Je déménageais donc, aucun regret. De toute façon je n'avais pas eu le temps d'avoir d'amis. Tous des idiots. J'emménageais (ce mot et ses acolytes commencent à peser sur ce court passage) donc en Amérique du Nord, Seattle. Il faisait généralement ... pluvieux là-bas. (mal dit: "Le temps tournait généralement à la pluie dans ces régions") Un peu comme nous à Paris. Rien de bien horrible.

Ma mère me regardait dans le rétroviseur, elle était rayonnante, je ne comprenais pas pourquoi. Je fermai mon bloc-note et lui rendis un sourire doux, mais frustré (c'est le sourire. Mais comment peut-il être doux et frustré à la fois?). Elle ne sembla pas s'en rendre compte et elle regarda de nouveau la route. Je n'aimais pas être devant, j'avais l'impression d'être gardée. Alors que derrière j'étais dans mon habitacle, sereine et seule. J'étais (un peut trop de verbes être. attention) bien.
- Lucy, on est arrivée.
Je regardai anxieusement ma nouvelle maison. Toujours aussi belle. Je ne l'avais jamais vue, mais ma mère avait toujours le même gout en matière de maison. Si elle n'était pas d'un blanc immaculé, avec des fenêtres énormes pouvant offrir la lumière du dehors au dedans, et s'il n'y avait pas au moins trois étages -comme celle là- (inutile et ça casse l'effet ironique de la phrase) ma mère n'en voulait pas. Donc c'était le même genre de maison, la même que les dix d'avant.
- Je l'ai achetée !
Cette déclaration (affirmation) me fit hoqueter de surprise. Maman n'achetait jamais. Parce qu'elle m'avait promis que le jour où elle achèterait, ce serait notre dernière maison. On ne déménagerait plus. Je soupirai doucement. Maman me mettait encore plus la pression, si je n'avais pas d'amis, si j'étais haïe par tous, ce serait pour ... toujours. Enfin, pour la scolarité entière, pas de déménagements tous les deux mois, de nouvelles personnes, de nouveaux pays, plus rien.
- Tu es heureuse ?
Je méditai sur sa phrase et acquiesça. C'était vrai après tout, j'étais heureuse, à ma façon. Je ne le faisais jamais voir, mais je l'étais. On avait une belle maison, je resterais sûrement assez longtemps pour avoir des amis. Peut-être que cette fois j'allais en avoir. Peut-être avec de la chance. Ma mère me tendit mes valises, je les pris et montai au dernier étage, c'était ("qui était") toujours le mien. Et rien ne pouvait changer cela. Je soupirai en ne voyant ... rien. Il y avait tout juste un lit et rien d'autre. J'ouvris ma valise sur mon lit et attendis. Ma mère monta et remit sur pied l'armoire que j'utilisais tout le temps. Je l'aidai et elle me dit, un large sourire aux lèvres:
- Tu ne parles pas beaucoup aujourd'hui. Tu es triste ?
- Non, répondis-je en constatant que c'était vrai. Je suis très heureuse. Pourquoi ? Es-tu devenue dépendante de ma voix ?
Ma mère rigola d'un rire (rigoler d'un rire... joli ça Razz. Non: "pouffa" ou "émit un rire...") magnifique, que je ne pouvais m’empêcher d’envier. Puis elle secoua la tête et ses cheveux blonds cendrés tombèrent sur ses yeux bleus clairs.
- Ma chérie, demain je t'achète une nouvelle armoire, tu viens, (tu es) obligée.
- A quelle heure ? demandai-je en riant.
- Dix heures ça te va ?
Je souris de toutes mes dents et lui répondis d'une voix amusée par l'anticipation de sa réaction:
- Bien sûr comme ça je raterais le premier jour de cours.
Ma mère rigola de nouveau en se tapotant la tête. Décidément elle était vraiment ... gamine (enfantine). Elle soupira et me dit :
- C'est vrai ! Oublie ! Je t'emmène et vais toute seule t'en acheter une. Tu me fais confiance ?
Elle parlait seulement du design de l'armoire. J'acquiesçai en sachant qu'elle ne prendrait jamais quoi que ce soit d'embarrassant. Elle me sourit une dernière fois et descendit. Je devinais qu'elle continuait de débarrasser le coffre de la voiture. Ma mère était comme ça, elle restait pour parler de ce qu'elle avait en tête, puis partait. Mais ce n'était pas un reproche, juste une constatation.

Je rangeai mes affaires dans ma vieille armoire en bois qui serait dès demain réduite en buches pour la cheminée.(à quoi ça sert? généralement, on s'emmerde pas à tout ranger si c'est pour déballer le lendemain) Au moins elle était recyclée, en quelque sorte. J’adorais regarder le feu crépiter. Ma mère le savait. A chaque maison, elle faisait attention à ce qu’il y ait une cheminée, pour moi. Elle choisissait donc une maison avec une cheminée en plus, sinon pas de maison. C'était ridicule, je le savais. Mais j'en étais presque dépendante. Après avoir rangé, je descendis d'un étage, il était presque à moi celui là aussi. C'était celui des créations. Il y avait mon piano. Les déménageurs avaient dû le mettre dans la maison avant notre arrivée, comme pour mon lit à baldaquin. Je touchai le rebord du piano, puis les touches. Je m'assis et commençai à faire un morceau de Mozart. Puis du célèbre allemand Jean-Sébastien Bach. Je m'amusai comme ça puis jouai quelques notes et accords au hasard. ça fit ("j'éxécutai") un morceau magnifique. Je continuai à l'améliorer quand la fatigue me prit (s'empara de moi) et ... que je m'endormis dans un gros Fa #.

Le lendemain, quand je me réveillai j'étais dans mon lit. Je soupirai, heureuse, quand ma mère m'embrassa tendrement sur le front. Elle me laissa et je me levai. Je me lavai et l'eau brûlante coulait sur ma peau blanche devenue d'un rouge soutenu par la brûlure douce. Je me séchai rapidement et me mis du crayon noir sous mes yeux, ce qui les rendit plus sombres. J'étais clairement le contraire de ma mère : j'avais les cheveux lisses grâce à l'eau, bruns, les yeux verts sombres soulignés maintenant d'un trait noir, la peau blanche -ma mère plus bronzée que moi. J'étais habillée ... comme (telle) une fashion comme (on se répète !) diraient les parisiennes qui étaient censée être mes amies. Ce n'étais pas mon style, moi, j'étais plus du genre simple mais sombre, mais je ne voulais pas que ça se voit. Me fondre dans la masse, c'est tout.

Quand j'arrivai au lycée, on me regarda étrangement. Je leur souris mais rien à faire. Je fonçais donc en direction du secrétariat où ce qui servait de cela. Je n'y connaissais rien, j'étais nouvelle. Horrible. Un jeune homme aux cheveux blonds/châtains sans être cendrés était là. Je le regardais perplexe et lui demandais:
- Êtes-vous un pion ?
- Non mademoiselle ... Demens ?
Sa voix était très belle, celle qu'on ne pourrait pas oublier même si on le voulait. Elle n'était pas grave, on avait même l'impression que ce jeune homme n'avait pas mué. Pourtant il faisait ma taille. Je lui souris et acquiesçai. Il rit doucement, ce qui amplifia mon sourire, à cette instant je me trouvais bête. J'arrêtai de sourire et mis mon masque d'indifférence. Le jeune homme blond me sourit (oulah ! le nombre de sourire en trois lignes ! C'est très très très lourd ^^) et dit :
- Je m'en doutais. Seule une française peut demander cela. Il n'y a pas de pion ici, enfin, pas exactement, c'est compliqué. J'ai été appelé pour vous emmener en cours et pour que vous ne soyez pas perdue.
- Ce sont deux choses différentes ? A part dans les couloirs, je ne peux pas être vraiment perdue.
Il sourit (encore le sourire...) de plus belle devant ma question. Elle devait être si idiote pour lui.
- Demoiselle Demens, perdue au sens de ce qu'on fait au État-Unis. Par exemple vous pouvez passer votre permis de conduire et avoir une voiture, vous avez dix-sept ans, donc, vous pouviez même l'avoir il y a un an.
Je remarquai alors qu'il parlait doucement, j'étais touchée par cette intention. Même si ce n'était pas indispensable. Je lui dis que je parlais couramment sa langue et que j'avais appris leur "tradition" et que son aide était peut-être de trop, mais il ne sembla pas changer d'avis. A sa guise. Il me conduit bien gentiment à ma salle de Chimie, il entra même dans la salle et ... je dus m'assoir à ses côtés. On avait donc les cours de Chimie, d'Anglais et d'histoire en commun. Il m'invita à m'assoir à ses côtés (toute une expression répétée ! "il m'invita à le rejoindre") à la cafétéria. Je ne refusai pas sa proposition et m'assis entre lui et l'un de ses potes, un joueur de basket apparemment, brun.
- Hein d'moiselle Demens vous venez à notre p'tite soirée d'min ?me demanda le basketteur la bouche pleine.
Je ne savais pas comment faire pour décliner sa proposition. Je décidai alors de jouer la carte de l'innocence.
- Je m'appelle Lucy, et je ne peux pas, je dois aider ma mère pour le déménagement et tout ...
- Pff ! Ces gosses de riches ne savent plus s'amuser ! rétorqua le brun qui parlait cette fois sans rien dans la bouche.("la bouche vide")
Je me levai, pris mon plateau et commençai à partir. Mais James -le blond de l'accueil- me rattrapa et essaya de me calmer. Pourtant ses tentatives empreints d'amusement m'énerva plus encore, et je lui dis de m'oublier. Il me lança alors avant de repartir vers sa table :
- Quand on veut pas s'amuser un peu, on ne s'habille pas comme si on le voulait !
Sa phrase n'avait pas de sens. Depuis quand, de plus, l'habit faisait-il le moine ? Je soupirai en vidant mon plateau, je n'avais presque rien mangé.

Pacô
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Message  Pacô Sam 14 Mar 2009 - 23:30

Suite:
J'arrivai chez moi, j'étais énervée mais je ne voulais pas inquiéter ma mère pour rien, je montai donc sans un mot. Elle ne remarqua rien, elle était plongée dans un rôle d'après elle difficile à jouer. Je ne comprenais rien à son jeu. Je m'installai dans ma chambre et vis ma nouvelle armoire, blanche en bois, pas très différente de l'autre. Ma mère avait déjà déplacé mes vêtements, je fis mes devoirs et me rendis compte que quelque chose était sur l'armoire. C'était un mot de ma mère.

Salut ma chérie, tu ne m'as pas dit quand tu rentrais. Je suis donc désolée que tu sois rentrée seule. Je t'ai achetée quelque chose en plus, tu le trouveras près de la cheminée au deuxième étage, troisième porte à droite. Ne me demande pas pourquoi la cheminée est au deuxième, je n'en ai aucune idée. Tu ne l'as pas vue hier la cheminée n'est-ce pas ? Je l'espère, sinon mes indications ne servent à rien. (bof)
Je t'aime mon bébé,
A bientôt.


Son écriture pouvait sembler basique, je la trouvais merveilleuse. Comme dirait Maman : " mon écriture est assez illisible et grosse." Mais je m'en fichais. Rien n'importait moins que l'écriture. Je descendis donc au deuxième et pris la troisième porte à droite. Un tapis rouge sang était tout près d'un feu aux flammes rouges, jaunes, oranges et bleues. Je m'approchai du feu magnifique et vis une boite. Je la pris (saisis) et l'ouvris. J'en sortis un magnifique ordinateur portable. Ma mère avait écrit un autre mot, je posai l'ordinateur doucement sur le sol et lus:

Ma chérie aimes-tu ton cadeau ? Je l'espère. J'ai branché internet et je t'attendrais en bas pour te mettre le téléphone. Ton père est d'accord, et il vient demain. Il va te le dire de toute façon, je t'ai remis ton ancienne adresse mail. Gros bisous,
Maman.


Maman me surprenait. J'allumai l'écran puis l'ordinateur (c'est un ordi portable? Tout s'allume d'un seul coup). Je le positionnai sur mes jambes de telle façon que je n'avais pas mal. Je partis sur ma messagerie et vis que j'avais un message. J'appuyai sur le lien et vis (attention au x répétitions) le message de mon père, à part lui, personne ne m'aurait écrit. Je le lus :

Lucy, tu ne le sais peut-être pas mais demain j'arrive à la maison. Prépare-toi.
Ton père.


Je rigolai devant ce bref message. Papa ne faisait jamais de grand discours, il le faisait seulement en traduction. Je souris et écris, moi-aussi, un bref message :

Bonjour papa, Maman vient juste de me mettre au courant. Repose-toi bien dans l'avion, et à demain.

Je n'exigeais pas de réponse de sa part. Il allait être heureux. Il m'aimait bien évidemment, mais les conversations se résumaient souvent avec lui à de simples : "Salut, ça va ?", "Oui et toi ?", " Oui" et c'était tout. J'aurais été choquée s'il m'avait fait un monologue de quinze lignes. Et que répondre à mon message ? Rien.

Je naviguai sur le net en ne cherchant rien de particulier. Puis je pensai à James. J'avais tout raté pour le premier jour de cours. Heureusement on était Vendredi, demain pas d'école. J'irais m'acheter des affaires dignes de moi, des vêtements dignes de mon caractère, simple et difficile, paradoxale, sombre. J'irais même jusqu'à mystérieux. Je souris à mes pensées, puis tapa sur le navigateur :

Faux semblant.

La recherche se fit (s'exécuta) et je tombai sur un site parlant de chauve-souris. Le site s'appelait : Les Vampires. Je riai doucement en appuyant sur le lien. J'appris alors que les vampires, étaient des chauves-souris se nourrissant de sang parfois humain. Et les vampires des mythes étaient aussi venus d'une maladie, maladie au soleil.
Je n'aimais pas lire des choses comme ça, je quittai le site et éteint mon ordinateur. Je m'endormis en repensant à cette histoire de chauve-souris, et en pensant que demain, serait un autre jour.



Oulah. Elle vient juste de se réveiller qu'elle s'endort déjà?
Sinon, dis-moi: ne serait-ce pas un petit remake de twilight ton histoire? On y retrouve tous les éléments chocs !

D'un côté syntaxe, je te conseillerai vivement de revoir ton passage. De le relire et d'enlever toutes les lourdeurs. Munies-toi aussi d'un bon dictionnaire de synonyme. Les verbes "prendre" "faire" "dire" "sourire" sont trop bateau. Et tu les utilises beaucou beaucoup beaucoup trop !!

Bref, sinon, on se laisse tout de même entraîner dans l'histoire. Je ne dirais qu'une chose: voyons voir ce que cela donne !
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Message  Virginie Ikims Dim 15 Mar 2009 - 9:15

Merci beaucoup pour ton aide !
L'histoire est très différente de Twilight, (à part que cela parle de vampires, il n'y a pas grand chose en commun) et je suis désolée pour mes nombreuses fautes.
J'ai corrigée, dis moi si cela te plait, et je mettrais la suite.
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Message  Pacô Dim 15 Mar 2009 - 19:27

Euh ... où est la correction? Embarassed

C'est peut être aussi le fait que tu parles à la première personne qui me fait terriblement penser à Twilight.
C'est aussi le passage de l'ordinateur, de la recherche des vampires... un peu comme dans fascination... M'enfin Razz.

PS: Une chose qu'il faut savoir: je hais twilight...
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Message  Virginie Ikims Lun 16 Mar 2009 - 6:22

J'ai corrigé directement sur le chapitre. Embarassed

Ps: j'aime les livres et le film mais je ne veux pas qu'on compare mon livre à cela.
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Message  Tsumïre Lun 16 Mar 2009 - 12:35

Je n'ai pas fait de bêta-lecture, je n'ai pas le temps et je pense que tu peux corriger un maximum d'erreur. D'ailleurs, évite le blond/châtain... je ne suis pas certaine que le "/" soit justifié.

Ensuite, au risque de répéter Pacô, je trouve que c'est très similaire à Twilight. L'idée du père concis, le départ pour un département pluvieux en amérique, le caractère de Julie et son mal à l'aise vis-à-vis des autres. Autre chose que me gêne aussi, ta Julie, elle était en terminale L en France, pourquoi suit-elle un cours de chimie? Surtout qu'aux US, on choisit les modules que l'on veut suivre. Deuxième chose, elle se retrouve aux côtés de James en chimie, ça me rappelle les cours de biologie que suivent Bella et Edward.

Bon, c'est mon humble avis, mais je m'attends d'or et déjà à ce que James soit un vampire. Je peux me tromper, mais ça me saute aux yeux.

Ensuite, je dirais que tu vas un peu vite sur sa première journée au bahut. Ça passe vraiment trop rapidement, comme si l'important n'était que James. Tu peux t'attarder, je crois.

En tout cas, je te souhaite bon courage et ce n'est pas parce que mon ressenti donne cette impression de déjà-vu que ton roman est une copie. On peut avoir cette impression juste à cause de ton début, il suffit de changer d'approche et tu peux en faire quelque chose qui te soit propre.
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Message  Tsumïre Lun 16 Mar 2009 - 15:54

Ah, juste un point que je viens de voir. Désolée de la double réponse, pense bien à corriger ton titre. "L'origne à commencé avec moi". Ce n'est pas à, mais a sans accent.

Bon courage pour la suite I love you
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Message  kirlim Lun 16 Mar 2009 - 18:57

Virginie Ikims a écrit:
Prologue:



J'étais alors ce que j'ai toujours haï. Source d'une nouvelle race. Source de nombreux mythes. J'étais le commencement de tout et de rien. J'étais affreuse ! Un monstre ! Une inhumaine. Le commencement de cet état, était la fin de l'autre. La fin de ma vie. La fin de tout. La fin de nous(mouais nan), tu m'as dis d'y croire, j'y crois.
Sauve-moi !


Chapitre 1:
Faux semblant.




On a toujours dit que la vie était source de problèmes, la mort source de peurs, l'existence source d'envies, de craintes, de défis. On a toujours dit que le fantastique est une histoire faisant(très bof le 'faisant'...) hésiter sur les phénomènes, ou encore ce qui revient aux créatures magiques, mythiques [/color=black](c'est le merveilleux ça)[/color]. Mais tout cela est faux ! Je le sais comme bien d'autres. Qui ne sait pas à vrai dire que ces mythes affreux n'existent pas ? Moi je le sais. Qui d']autres ?

Je regardais mon bloc-note, heureuse. Voila qui allait clouer le bec aux fans du nouveau livre fantastique. Un livre sur les fantômes, des êtres revenant parmi les vivants pour empoisonner ceux qui ont encore la chance ou malchance de vivre encore.

Moi je dirais chance. Je n'ai rien contre la vie, elle vaut la peine d'être vécue. Moi, je suis une jeune fille de taille moyenne, corpulence moyenne, une fille moyenne (mouarf non)). Mon nom aussi est très moyen: Lucy, combien avant moi se sont appelées ainsi ? Combien de livres parlent du nom moyen qui est le mien ? Je suis en terminale L. D'où l'importance des livres dans mon univers, et les questions de mon subconscient en faisant part. L'étude des langues, je parle couramment cinq langues : Français, Anglais, Espagnol, Allemand et Roumain. Mais je commence à apprendre le Chinois, langue importante maintenant. (ou pas ^^)

C'était bon, le dernier jour au lycée était derrière moi. L'année avait à peine débuté, et je devais déménager. Chez moi, ça arrivait fréquemment. Mon père était traducteur/guide pour les voyages. En gros(je ne mettrais pas ça...), il partait tranquillement dans un hôtel et aidait les personnes dedans(à revoir, le 'dedans' est considéré comme une erreur de style). Et en plus il gagnait beaucoup ! Ma mère quant à elle était actrice. Mes deux parents ne faisaient pas beaucoup attention à moi. Ma mère plus je dois dire, elle me voyait parfois et était maternelle ces moments-là. C'était rare. Je déménageais donc, aucun regret. De toute façon je n'avais pas eu le temps d'avoir d'amis. Tous des idiots. J'emménageais donc en Amérique du Nord, Seattle. Il faisait généralement ... pluvieux là-bas. Un peu comme nous à Paris. Rien de bien horrible.

Ma mère me regardait dans le rétroviseur, elle était rayonnante, je ne comprenais pas pourquoi. Je fermai mon bloc-note et lui rendis un sourire doux, mais frustré (les deux ? waah, elle est douée). Elle ne sembla pas s'en rendre compte et elle regarda de nouveau la route. Je n'aimais pas être devant, j'avais l'impression d'être gardée. Alors que derrière j'étais dans mon habitacle, sereine et seule. J'étais bien.
- Lucy, on est arrivées.
Je regardai anxieusement ma nouvelle maison. Toujours aussi belle. Je ne l'avais jamais vue, mais ma mère avait toujours le même gout en matière de maison. Si elle n'était pas d'un blanc immaculé, avec des fenêtres énormes pouvant offrir la lumière du dehors au dedans, et s'il n'y avait pas au moins trois étages -comme celle là- ma mère n'en voulait pas. Donc c'était le même genre de maison, la même que les dix d'avant ('les dix précédentes').
- Je l'ai achetée !
Cette déclaration me fit hoqueter de surprise. Maman n'achetait jamais. Parce qu'elle m'avait promis que le jour où elle achèterait, ce serait notre dernière maison. On ne déménagerait plus. Je soupirai doucement. Maman me mettait encore plus la pression, si je n'avais pas d'amis, si j'étais haïe par tous, ce serait pour ... toujours. Enfin, pour la scolarité entière, pas de déménagements tous les deux mois, de nouvelles personnes, de nouveaux pays, plus rien.
- Tu es heureuse ?
Je méditai sur sa phrase et acquiesça. C'était vrai après tout, j'étais heureuse, à ma façon. Je ne le faisais jamais voir, mais je l'étais. On avait une belle maison, je resterais sûrement assez longtemps pour avoir des amis. Peut-être que cette fois j'allais en avoir. Peut-être avec de la chance. Ma mère me tendit mes valises, je les pris et montai au dernier étage, c'était(huh?) toujours le mien. Et rien ne pouvait changer cela. Je soupirai en ne voyant ... rien. Il y avait tout juste un lit et rien d'autre. J'ouvris ma valise sur mon lit et attendis. Ma mère monta et remit sur pied l'armoire que j'utilisais tout le temps. Je l'aidai et elle me dit, un large sourire aux lèvres:
- Tu ne parles pas beaucoup aujourd'hui. Tu es triste ?
- Non, répondis-je en constatant que c'était vrai. Je suis très heureuse. Pourquoi ? Es-tu devenue dépendante de ma voix ?
Ma mère rigola d'un riremagnifique, que je ne pouvais m’empêcher d’envier. Puis elle secoua la tête et ses cheveux blonds cendrés tombèrent sur ses yeux bleus clairs.
- Ma chérie, demain je t'achète une nouvelle armoire, tu viens, obligée.
- A quelle heure ? demandai-je en riant.
- Dix heures, ça te va ?
Je souris de toutes mes dents et lui répondis d'une voix amusée par l'anticipation de sa réaction:
- Bien sûr comme ça je raterais le premier jour de cours.
Ma mère rigola de nouveau en se tapotant la tête. Décidément elle était vraiment ... gamine (je n'aime pas trop ta manière de laisser des points de suspension par-ci par-là... il y en a trop, ça gâche le texte). Elle soupira et me dit :
- C'est vrai ! Oublie ! Je t'emmène et vais toute seule t'en acheter une. Tu me fais confiance ?
Elle parlait seulement du design de l'armoire. J'acquiesçai en sachant qu'elle ne prendrait jamais quoi que ce soit d'embarrassant. Elle me sourit une dernière fois et descendit. Je devinais qu'elle continuait de débarrasser le coffre de la voiture. Ma mère était comme ça, elle restait pour parler de ce qu'elle avait en tête, puis partait. Mais ce n'était pas un reproche, juste une constatation. (c'est quoi tous ces 'elle' ??)

Je rangeai mes affaires dans ma vieille armoire en bois qui serait dès demain réduite en buches pour la cheminée. Au moins elle était recyclée, en quelque sorte. J’adorais regarder le feu crépiter. Ma mère le savait. A chaque maison, elle faisait attention à ce qu’il y ait une cheminée, pour moi. Elle choisissait donc une maison avec une cheminée en plus, sinon pas de maison. C'était ridicule, je le savais. Mais j'en étais presque dépendante. Après avoir rangé, je descendis d'un étage, il était presque à moi celui là aussi. C'était celui des créations. Il y avait mon piano. Les déménageurs avaient dû le mettre dans la maison avant notre arrivée, comme pour mon lit à baldaquin. Je touchai le rebord du [cloor=blue]piano[/color], puis les touches. Je m'assis et commençai à faire un morceau de Mozart. Puis du célèbre allemand Jean-Sébastien Bach. Je m'amusai comme ça puis jouai quelques notes et accords au hasard. ça fit (nan c'est bof) un morceau magnifique. Je continuai à l'améliorer quand la fatigue me prit(il y a un tas d'expressions plus jolies Smile) et ... que je m'endormis (bof) dans un gros Fa # (on dit 'Fa#' (sans espace) et un son dièse est plus aigu qu'une note, en disant 'gros' (qui d'ailleurs n'est pas adapté) tu sous-entend 'gras' soit une note plus grave. Si tu veux absolument garder le 'gros', dis que c'est Fa bémol).

Le lendemain, quand je me réveillai j'étais dans mon lit. Je soupirai, heureuse, quand ma mère m'embrassa tendrement sur le front. Elle me laissa et je me levai. Je me lavai et l'eau brûlante coulait sur ma peau blanche devenue d'un rouge soutenu par la brûlure douce (bof...)). Je me séchai rapidement et me mis du crayon noir sous mes yeux, ce qui les rendit plus sombres. J'étais clairement le contraire de ma mère : j'avais les cheveux lisses grâce à l'eau, bruns, les yeux verts sombres soulignés maintenant d'un trait noir, la peau blanche -ma mère plus bronzée que moi. J'étais habillée ... comme une fashion comme diraient les parisiennes qui étaient censée être mes amies. Ce n'étais pas mon style, moi, j'étais plus du genre simple mais sombre, mais je ne voulais pas que ça se voit. Me fondre dans la masse, c'est tout.
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Message  kirlim Lun 16 Mar 2009 - 19:15


Quand j'arrivai au lycée, on me regarda étrangement. Je leur souris mais rien à faire. Je fonçais donc en direction du secrétariat où ce qui servait de cela (gné ?). Je n'y connaissais rien, j'étais nouvelle. Horrible. Un jeune homme aux cheveux blonds/châtains sans être cendrés était là. Je le regardais perplexe et lui demandais:
- Êtes-vous un pion (polie la jeune fille didons...) ?
- Non mademoiselle ... Demens ?
Sa voix était très belle, celle qu'on ne pourrait pas oublier même si on le voulait. Elle n'était pas grave, on avait même l'impression que ce jeune homme n'avait pas mué. Pourtant il faisait ma taille (un rapport ?). Je lui souris et acquiesçai. Il rit doucement, ce qui amplifia mon sourire, à cette instant je me trouvais bête. J'arrêtai de sourire et mis mon masque d'indifférence. Le jeune homme blond me sourit (putéé, comment ils sourissent !) et dit :
- Je m'en doutais. Seule une française peut demander cela. Il n'y a pas de pion ici, enfin, pas exactement, c'est compliqué. J'ai été appelé pour vous emmener en cours et pour que vous ne soyez pas perdue (efficace didons \o/ si c'était sa mission, pourquoi n'est-il pas allé la chercher ?).
- Ce sont deux choses différentes ? A part dans les couloirs, je ne peux pas être vraiment perdue.
Il sourit(euh... ils vont tomber amoureux là ou quoi ? ><) de plus belle devant ma question. Elle devait être si idiote pour lui.
- Demoiselle Demens, perdue au sens de ce qu'on fait au État-Unis. Par exemple vous pouvez passer votre permis de conduire et avoir une voiture, vous avez dix-sept ans, donc, vous pouviez même l'avoir il y a un an.
Je remarquai alors qu'il parlait doucement, j'étais touchée par cette intention. Même si ce n'était pas indispensable. Je lui dis que je parlais couramment sa langue et que j'avais appris leurs "traditions" et que son aide était peut-être de trop, mais il ne sembla pas changer d'avis. A sa guise, il me conduit bien gentiment à ma salle de Chimie, il entra même dans la salle et ... je dus m'assoir à ses côtés. On avait donc les cours de Chimie, d'Anglais et d'histoire en commun. Il m'invita à m'assoir à ses côtés à la cafétéria. Je ne refusai pas sa proposition et m'assis entre lui et l'un de ses potes, un joueur de basket apparemment, brun.
- Hein d'moiselle Demens vous venez à notre p'tite soirée d'min ? me demanda le basketteur la bouche pleine (on a plutôt l'impression qu'il est bourré.... et sinon, tout le monde la connaît ? Oo).
Je ne savais pas comment faire pour décliner sa proposition. Je décidai alors de jouer la carte de l'innocence.
- Je m'appelle Lucy, et je ne peux pas, je dois aider ma mère pour le déménagement et tout ...
- Pff ! Ces gosses de riches ne savent plus s'amuser ! rétorqua le brun qui parlait cette fois sans rien dans la bouche.(berk)
Je me levai, pris mon plateau et commençai à partir. Mais James -le blond de l'accueil- me rattrapa et essaya de me calmer. Pourtant ses tentatives empreints d'amusement m'énerva plus encore, et je lui dis de m'oublier. Il me lança alors avant de repartir vers sa table :
- Quand on veut pas s'amuser un peu, on ne s'habille pas comme si on le voulait !
Sa phrase n'avait pas de sens. Depuis quand, de plus, l'habit faisait-il le moine ? Je soupirai en vidant mon plateau, je n'avais presque rien mangé.
J'arrivai chez moi, j'étais énervée mais je ne voulais pas inquiéter ma mère pour rien, je montai donc sans un mot. Elle ne remarqua rien, elle était plongée dans un rôle d'après elle difficile à jouer. Je ne comprenais rien à son jeu. Je m'installai dans ma chambre et vis ma nouvelle armoire, blanche en bois, pas très différente de l'autre. Ma mère avait déjà déplacé mes vêtements, je fis mes devoirs et me rendis compte que quelque chose était sur l'armoire. C'était un mot de ma mère.

Salut ma chérie, tu ne m'as pas dit quand tu rentrais. Je suis donc désolée que tu sois rentrée seule. Je t'ai achetée quelque chose en plus, tu le trouveras près de la cheminée au deuxième étage, troisième porte à droite. Ne me demande pas pourquoi la cheminée est au deuxième, je n'en ai aucune idée. Tu ne l'as pas vue hier la cheminée n'est-ce pas ? Je l'espère, sinon mes indications ne servent à rien.(et ?) Je t'aime mon bébé,
A bientôt.


Son écriture pouvait sembler basique, je la trouvais merveilleuse. Comme dirait Maman : " mon écriture est assez illisible et grosse." Mais je m'en fichais. Rien n'importait moins que l'écriture. Je descendis donc au deuxième et pris la troisième porte à droite. Un tapis rouge sang était tout près d'un feu aux flammes rouges et jaunes, oranges et bleues. Je m'approchai du feu magnifique et vis une boite. Je la pris et l'ouvris. J'en sortis un magnifique ordinateur portable. Ma mère avait écrit un autre mot, je posai l'ordinateur doucement sur le sol et lu :

Ma chérie aimes-tu ton cadeau ? Je l'espère. J'ai branché internet et je t'attendrais en bas pour te mettre le téléphone. Ton père est d'accord, et il vient demain. Il va te le dire de toute façon, je t'ai remis ton ancienne adresse mail (huh ?). Gros bisous,
Maman.


Maman me surprenait. J'allumai l'écran puis l'ordinateur (si c'est un ordi portable le moniteur et l'unité ne font qu'un). Je le positionnai sur mes jambes de telle façon que je n'avais pas mal (moi aussi je souffre énormément quand je ne mets pas mon ordi comme il faut sur mes jambes...). Je partis (allez ! en route !) sur ma messagerie et vis que j'avais un message. J'appuyai sur le lien et vis le message de mon père, à part lui, personne ne m'aurait écrit. Je le lus :

Lucy, tu ne le sais peut-être pas mais demain j'arrive à la maison. Prépare-toi.
Ton père.


Je rigolai devant ce bref message. Papa ne faisait jamais de grand discours, il le faisait seulement en traduction. Je souris et écris, moi-aussi, un bref message :

Bonjour papa, Maman vient juste de me mettre au courant. Repose-toi bien dans l'avion, et à demain.

Je n'exigeais pas de réponse de sa part. Il allait être heureux. Il m'aimait bien évidemment, mais les conversations se résumaient souvent avec lui à de simples : "Salut, ça va ?", "Oui et toi ?", " Oui" et c'était tout. J'aurais été choquée s'il m'avait fait un monologue de quinze lignes. Et que répondre à mon message ? Rien.

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Je n'aimais pas lire des choses comme ça, je quittai le site et éteint mon (c'est le sien ?) ordinateur. Je m'endormis en repensant à cette histoire de chauve-souris, et en pensant que demain, serait un autre jour.
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Message  kirlim Lun 16 Mar 2009 - 19:29

Ton texte est beaucoup trop long >_________<
Beaucoup beaucoup beaucoup ...
Postes-en un tiers de celui-là la prochaine fois ><
Sinon, navré de te dire que je vois du twilight aussi . . . Tu avais lu le livre avant d'écrire ce morceau nan ?
Tout comme pacô, je ne suis pas très fan du style de cette chère SM ^^ mais bon, chacun ses goûts :p

Alors sinon, beaucoup énormément de répétitions et de tournures simple, c'est le plus choquant. Tu utilises très très souvent les verbes 'faire' et 'être' qui sont des 'verbes muti fonctions' soit à éviter si possible (je dis ça parce que l'on me reproche la même chose)...

Beaucoup de fautes aussi, à revoir si possible, munie-toi d'un dictionnaire et d'un Bescherelle (personnellement, ils sont toujours à portée de main)

Autre chose, je pressens du cliché... déjà, le début et assez classique... mais pour la suite, si ça parle de vampire, j'ai peur que tu ne sortes pas assez de l'ordinaire... mais ça on verra

Sinon, ben poste un texte moins long la prochaine fois - -' tu m'as découragé au début...
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Message  Virginie Ikims Mer 18 Mar 2009 - 17:58

Je vais essayé de corrigée.
Pour la suite ... je le met en fonction de mes chapitres.
Je sais ça ressemble à Twilight (:'() mais ce n'est pas cela du tout. Et de plus, il ne faut pas juger par l'impression du début.^^ (ça se dit ?)
Mon histoire est complexe mais simple. (tout moi !)^^
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Message  Pacô Sam 21 Mar 2009 - 9:21

Je n'attends qu' lire la suite alors.
Le mieux serait, comme le dit Tsümire, de t'attarder sur la vie du lycée, sans forcément te pencher exclusivement sur James. Tu verras, l'univers Twilight prendra déjà un coup. Et en second, j'éviterais d'énoncer la notion de vampire tout de suite. Là, ceux qui reconnaîtront Twilight seront des mordus fanatiques ^^.

En bref, je t'invite à nous étonner Smile.
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