Elle était née pour toi
5 participants
Page 1 sur 1
Elle était née pour toi
Bon ben en attendant de retrouver mon autre ordi ( et donc mes textes) j'ai écrit ça, une mini nouvelle, qui découle d'une histoire vrai..
J'ai tenter de me relire mais je ne vois pas mes fautes donc si jamais quelqu'un veut corriger y'a aucun problème!
C'est une nuit d'hiver, dans une pièce blanche et bien éclairée que naquit le palliatif à ton malheur. Les premiers cris d'un nourrisson qui vient de naitre, avec en bruit de fond les sirènes d'ambulance. Tu le regardais avec admiration, comme si tout allait changer, ce n'était pas un bébé que tu voyais dans tes bras, mais un miracle. Tout petit miracle venu te sauver d'une vie qui n'a jamais voulu de toi. Cet enfant voudra de toi, il ne sera qu'à toi d'ailleurs, ton bébé, ta chose. Tu l'as regardé pendant des mois, t'efforçant de le faire grandir comme il le fallait, qu'il ne manque de rien et devienne fort, plus dans le caractère que dans le corps.
Et il a grandi, l'on devrait plutôt dire elle. Petite demoiselle d'à peine 5 ans, un corps frêle et fin, des cheveux mi-longs qui contrairement aux autres petites de cet âge, ne la préoccupent pas dans un souci d'esthétisme. Tu l'as bien formé, elle a grandi plus vite que les autres et peut maintenant s'occuper de toi. C'est elle qui veille sur toi la nuit, elle sait tes cauchemars violents et incessants, elle te berce, te cajole d'une petite voix rassurante. Cette petite n'a pas d'amis, tu ne lui as pas laissé le loisir de connaitre les choses de son âge, comment pourrait-elle concilier amitié enfantine et responsabilité maternelle?
Tu l'as gardé rien qu'à toi pendant plus de six ans, elle restera ton unique bouée dans un océan hostile que tu ne comprendras malheureusement jamais. Tu es une petite fille fragile et apeurée enfermée dans le corps d'une adulte. Et elle, elle a fait l'inverse, elle joue à la maman avec toi afin de te sauver comme elle le peut. Tu as peur de l'extérieur, elle t'aide à sortir, à vivre et à affronter ce monde qui te fait si peur. Tu as des coups de colère, assez violents, mais incontrôlables, surement hantés par tes anciens démons dont tu ne lui parles jamais tu as fini par sombrer doucement dans la folie.
Mais elle a deviné, et endure chacune de tes crises comme une mère qui attend que son petit finisse un caprice. C'est l'école qui finit par se rendre compte de quelque chose. Un coup de téléphone, l'on te demande te dit ta fille. Un directeur, et quelqu'un pour la tête. Un docteur qui va te soigner en dedans, comme par magie.
Mais la magie qui opère les trois années suivantes se résume à des prises incessantes de cachets multicolores et dévastateurs. Tu sombres dans des rêves bien étranges qu'elle ne comprend pas, mais encore une fois elle reste là ; te fais à manger, s'occupe des courses et du reste tant bien que mal, aidée par un parent éloigné qui ne veut pas plus s'impliquer.
Elle va à l'école et tous les trois mois ramène un bulletin magnifique, rempli de vingt sur vingt et noircit de félicitations. Ta fille réussit malgré tout. Mais de plus en plus elle s'épuise, à neuf ans de sa courte vie, la lueur de ses yeux se ternit, elle devient faible, sa peau déjà pâle de nature s'éclaircit de plus en plus. La fatigue morale finit par prendre le dessus sur le reste, on appelle un matin; elle est à l'hôpital, on l'a retrouvée évanouie.
Tu te débrouilles pour venir, assez vite et arrivé là-bas, tu tombes entre les mains des médecins qui s'inquiètent, visiblement. Tu es plus habile qu'on ne pourrait le croire et trois jours après ta fille t'es rendue.
Un jour d'automne elle regarde par la fenêtre, le front collé contre la vitre glacée; des enfants jouent dehors, elle les envie, mais le petit gargouillis provenant de son ventre la rappelle à la réalité; vous n'avez rien à manger.
Tu ne bouges plus, tes yeux sont cernés de noir ainsi que tes lèvres, dans une nuance de violet. Elle va s'allonger contre ton corps froid, en chien de fusil comme à son habitude et tombe dans un sommeil sans fin. Elle rêve des enfants dehors, du soleil qu'elle n'a senti que rarement, du goût des bonbons qu'elle n'a jamais connu et finit par ne plus rêver du tout. Tout est devenu noir.
J'ai tenter de me relire mais je ne vois pas mes fautes donc si jamais quelqu'un veut corriger y'a aucun problème!
C'est une nuit d'hiver, dans une pièce blanche et bien éclairée que naquit le palliatif à ton malheur. Les premiers cris d'un nourrisson qui vient de naitre, avec en bruit de fond les sirènes d'ambulance. Tu le regardais avec admiration, comme si tout allait changer, ce n'était pas un bébé que tu voyais dans tes bras, mais un miracle. Tout petit miracle venu te sauver d'une vie qui n'a jamais voulu de toi. Cet enfant voudra de toi, il ne sera qu'à toi d'ailleurs, ton bébé, ta chose. Tu l'as regardé pendant des mois, t'efforçant de le faire grandir comme il le fallait, qu'il ne manque de rien et devienne fort, plus dans le caractère que dans le corps.
Et il a grandi, l'on devrait plutôt dire elle. Petite demoiselle d'à peine 5 ans, un corps frêle et fin, des cheveux mi-longs qui contrairement aux autres petites de cet âge, ne la préoccupent pas dans un souci d'esthétisme. Tu l'as bien formé, elle a grandi plus vite que les autres et peut maintenant s'occuper de toi. C'est elle qui veille sur toi la nuit, elle sait tes cauchemars violents et incessants, elle te berce, te cajole d'une petite voix rassurante. Cette petite n'a pas d'amis, tu ne lui as pas laissé le loisir de connaitre les choses de son âge, comment pourrait-elle concilier amitié enfantine et responsabilité maternelle?
Tu l'as gardé rien qu'à toi pendant plus de six ans, elle restera ton unique bouée dans un océan hostile que tu ne comprendras malheureusement jamais. Tu es une petite fille fragile et apeurée enfermée dans le corps d'une adulte. Et elle, elle a fait l'inverse, elle joue à la maman avec toi afin de te sauver comme elle le peut. Tu as peur de l'extérieur, elle t'aide à sortir, à vivre et à affronter ce monde qui te fait si peur. Tu as des coups de colère, assez violents, mais incontrôlables, surement hantés par tes anciens démons dont tu ne lui parles jamais tu as fini par sombrer doucement dans la folie.
Mais elle a deviné, et endure chacune de tes crises comme une mère qui attend que son petit finisse un caprice. C'est l'école qui finit par se rendre compte de quelque chose. Un coup de téléphone, l'on te demande te dit ta fille. Un directeur, et quelqu'un pour la tête. Un docteur qui va te soigner en dedans, comme par magie.
Mais la magie qui opère les trois années suivantes se résume à des prises incessantes de cachets multicolores et dévastateurs. Tu sombres dans des rêves bien étranges qu'elle ne comprend pas, mais encore une fois elle reste là ; te fais à manger, s'occupe des courses et du reste tant bien que mal, aidée par un parent éloigné qui ne veut pas plus s'impliquer.
Elle va à l'école et tous les trois mois ramène un bulletin magnifique, rempli de vingt sur vingt et noircit de félicitations. Ta fille réussit malgré tout. Mais de plus en plus elle s'épuise, à neuf ans de sa courte vie, la lueur de ses yeux se ternit, elle devient faible, sa peau déjà pâle de nature s'éclaircit de plus en plus. La fatigue morale finit par prendre le dessus sur le reste, on appelle un matin; elle est à l'hôpital, on l'a retrouvée évanouie.
Tu te débrouilles pour venir, assez vite et arrivé là-bas, tu tombes entre les mains des médecins qui s'inquiètent, visiblement. Tu es plus habile qu'on ne pourrait le croire et trois jours après ta fille t'es rendue.
Un jour d'automne elle regarde par la fenêtre, le front collé contre la vitre glacée; des enfants jouent dehors, elle les envie, mais le petit gargouillis provenant de son ventre la rappelle à la réalité; vous n'avez rien à manger.
Tu ne bouges plus, tes yeux sont cernés de noir ainsi que tes lèvres, dans une nuance de violet. Elle va s'allonger contre ton corps froid, en chien de fusil comme à son habitude et tombe dans un sommeil sans fin. Elle rêve des enfants dehors, du soleil qu'elle n'a senti que rarement, du goût des bonbons qu'elle n'a jamais connu et finit par ne plus rêver du tout. Tout est devenu noir.
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 73
Age : 34
Votre talent : Écriture
Points : 65
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Elle était née pour toi
Si tu insistes, je vais corriger !
Mouarf, *lecture intensive on*
Bon, je n'ai pas tout tout compris en fait ^^
Mais le style est très bon
Mouarf, *lecture intensive on*
Lyz a écrit:C'est une nuit d'hiver, dans une pièce blanche et bien éclairée que naquit le palliatif à ton malheur. Les premiers cris d'un nourrisson qui vient de naitre, avec, en bruit de fond, les sirènes d'ambulance. Tu le regardais avec admiration, comme si tout allait changer. Ce n'était pas un bébé que tu voyais dans tes bras, mais un miracle. Tout petit miracle venu te sauver d'une vie qui n'a jamais voulu de toi. Cet enfant voudra de toi, il ne sera qu'à toi d'ailleurs, ton bébé, ta chose. Tu l'as regardé pendant des mois, t'efforçant de le faire grandir comme il le fallait, qu'il ne manque de rien et devienne fort, plus dans le caractère que dans le corps. (mouais non... dis plutôt "force mentale plutôt que physique")
Et il a grandi, l'on devrait plutôt dire elle ou plutôt elle. Petite demoiselle d'à peine 5 ans, un corps frêle et fin, des cheveux mi-longs qui, contrairement aux autres petites de cet âge, ne la préoccupent pas dans un souci d'esthétisme. Tu l'as bien formée, elle a grandi plus vite que les autres et peut maintenant s'occuper de toi. C'est elle qui veille sur toi la nuit, elle [i]sait(/i] devine tes cauchemars violents et incessants, elle te berce, te cajole d'une petite voix rassurante. Cette petite n'a pas d'amis, tu ne lui as pas laissé le loisir de connaitre les choses de son âge, comment pourrait-elle concilier amitié enfantine et responsabilité maternelle?
Tu l'as gardée rien que pour toi pendant plus de six ans, elle restera ton unique bouée dans un océan hostile que tu ne comprendras malheureusement jamais. Tu es une petite fille fragile et apeurée enfermée dans le corps d'une adulte. Et elle, elle a fait l'inverse, elle joue à la maman avec toi afin de te sauver comme elle le peut. Tu as peur de l'extérieur, elle t'aide à sortir, à vivre et à affronter ce monde qui te fait si peur. Tu as des coups de colère, assez violents, mais incontrôlables, sûrement hantés par tes anciens démons dont tu ne lui parles jamais tu as fini par sombrer doucement dans la folie.
Mais elle a deviné, et endure chacune de tes crises comme une mère qui attend que son petit finisse un caprice. C'est l'école qui finit par se rendre compte de quelque chose. Un coup de téléphone, l'on te demande te dit ta fille. Un directeur, et quelqu'un pour la tête. Un docteur qui va te soigner en dedans (j'aime bof), comme par magie.
Mais la magie qui opère les trois années suivantes se résume à des prises incessantes de cachets multicolores et dévastateurs. Tu sombres dans des rêves bien étranges qu'elle ne comprend pas, mais encore une fois elle reste là ; te fais à manger, s'occupe des courses et du reste tant bien que mal, aidée par un parent éloigné qui ne veut pas plus s'impliquer.
Elle va à l'école et tous les trois mois ramène un bulletin magnifique, rempli de vingt sur vingt et noircit de félicitations. Ta fille réussit malgré tout. Mais de plus en plus elle s'épuise, à neuf ans de sa courte vie, la lueur de ses yeux se ternit, elle devient faible, sa peau déjà pâle de nature s'éclaircit de plus en plus. La fatigue morale finit par prendre le dessus sur le reste. On appelle un matin; elle est à l'hôpital, on l'a retrouvée évanouie.
Tu te débrouilles pour venir, assez vite et arrivé là-bas, tu tombes entre les mains des médecins qui s'inquiètent, visiblement. Tu es plus habile qu'on ne pourrait le croire et trois jours après ta fille t'es rendue.
Un jour d'automne elle regarde par la fenêtre, le front collé contre la vitre glacée; des enfants jouent dehors, elle les envie, mais le petit gargouillis provenant de son ventre la rappelle à la réalité; vous n'avez rien à manger.
Tu ne bouges plus, tes yeux sont cernés de noir ainsi que tes lèvres, dans une nuance de violet. Elle va s'allonger contre ton corps froid, en chien de fusil comme à son habitude et tombe dans un sommeil sans fin. Elle rêve des enfants dehors, du soleil qu'elle n'a senti que rarement, du goût des bonbons qu'elle n'a jamais connu et finit par ne plus rêver du tout. Tout est devenu noir.
Bon, je n'ai pas tout tout compris en fait ^^
Mais le style est très bon
kirlim- Talent Divin
- Nombre de messages : 3190
Votre talent : Écriture
Points : 2761
Date d'inscription : 12/10/2008
Re: Elle était née pour toi
Lyz a écrit:
C'est une nuit d'hiver, dans une pièce blanche et bien éclairée que naquit le palliatif à ton malheur (euh... je crois que ça ne veut pas dire grand chose tout ça... palliatif, c'est une mesure temporaire =>un malheur court?). Les premiers cris d'un nourrisson qui vient de naitre (naître et naquit... onse répète), avec en bruit de fond les sirènes d'ambulance. Tu le regardais avec admiration, comme si tout allait changer, ce n'était pas un bébé que tu voyais dans tes bras, mais un miracle. Tout petit miracle venu te sauver d'une vie qui n'a jamais voulu de toi. Cet enfant voudra de toi (lourd !), il ne sera qu'à toi (encore plus lourd ^^) d'ailleurs, ton bébé, ta chose. Tu l'as regardé pendant des mois, t'efforçant de le faire grandir comme il le fallait, qu'il ne manque de rien et devienne fort, plus dans le caractère que dans le corps.
Et il a grandi, l'on devrait plutôt dire elle. Petite demoiselle d'à peine 5 ans, un corps frêle et fin, des cheveux mi-longs qui contrairement aux autres petites de cet âge, ne la préoccupent pas dans un souci d'esthétisme. Tu l'as bien formée, elle a grandi plus vite que les autres et peut maintenant s'occuper de toi. C'est elle qui veille sur toi la nuit, elle sait tes cauchemars violents et incessants, elle te berce, te cajole d'une petite voix rassurante. Cette petite n'a pas d'amis, tu ne lui as pas laissé le loisir de connaitre les choses de son âge, comment pourrait-elle concilier amitié enfantine et responsabilité maternelle?
Tu l'as gardée rien qu'à toi pendant plus de six ans, elle restera ton unique bouée dans un océan hostile que tu ne comprendras malheureusement jamais. Tu es une petite fille fragile et apeurée, enfermée dans le corps d'une adulte. Et elle, elle a fait l'inverse, elle joue à la maman avec toi afin de te sauver comme elle (le) peut. Tu as peur de l'extérieur, elle t'aide à sortir, à vivre et à affronter ce monde qui te fait si peur. Tu as des coups de colère, assez violents, mais incontrôlables, sûrement hantés par tes anciens démons dont tu ne lui parles jamais. Tu as fini par sombrer doucement dans la folie.
Mais elle a deviné, et endure chacune de tes crises comme une mère qui attend que son petit finisse un caprice. C'est l'école qui finit par se rendre compte de quelque chose. Un coup de téléphone, "on te demande" te dit ta fille. Un directeur, et quelqu'un pour la tête. Un docteur qui va te soigner en dedans, comme par magie.
Mais la magie qui opère les trois années suivantes se résume à des prises incessantes de cachets multicolores et dévastateurs. Tu sombres dans des rêves bien étranges qu'elle ne comprend pas, mais encore une fois elle reste là ; te fais à manger, s'occupe des courses et du reste tant bien que mal, aidée par un parent éloigné qui ne veut pas plus s'impliquer.
Elle va à l'école et, tous les trois mois, ramène un bulletin magnifique, rempli de vingt sur vingt et noirci de félicitations. Ta fille réussit malgré tout. Mais de plus en plus elle s'épuise, à neuf ans de sa courte vie, la lueur de ses yeux se ternit, elle devient faible, sa peau déjà pâle de nature s'éclaircit de plus en plus. La fatigue morale finit par prendre le dessus sur le reste, on appelle un matin; elle est à l'hôpital, on l'a retrouvée évanouie.
Tu te débrouilles pour venir, assez vite et arrivée là-bas, tu tombes entre les mains des médecins qui s'inquiètent, visiblement. Tu es plus habile qu'on ne pourrait le croire et trois jours après, ta fille t'es rendue.
Un jour d'automne elle regarde par la fenêtre, le front collé contre la vitre glacée; des enfants jouent dehors, elle les envie, mais le petit gargouillis provenant de son ventre la rappelle à la réalité; vous n'avez rien à manger.
Tu ne bouges plus, tes yeux sont cernés de noir ainsi que tes lèvres, dans une nuance de violet. Elle va s'allonger contre ton corps froid, en chien de fusil comme à son habitude et tombe dans un sommeil sans fin. Elle rêve des enfants dehors, du soleil qu'elle n'a senti que rarement, du goût des bonbons qu'elle n'a jamais connu et finit par ne plus rêver du tout. Tout est devenu noir.
C'est une fin prévisible tout de même.
Par contre je ne vois pas en quoi cette petit fille fut le "malheur" de la mère. Au contraire, sans elle, elle aurait ptètre encore sombré plus vite.
Je suis donc assez mitigé. Le "tu" est assez étrange, il a l'air d'accuser le lecteur lui-même... ce peut être un effet de style.
Re: Elle était née pour toi
J'ai écrit que la petite était son malheur? Où ça? Parce que je me suis trompé quelque part dans ce cas.
Hum pour le "tu" je n'accuse pas le lecteur, je parle à la personne concerné à vrai dire, j'ai prit le maximum de recul pour écrire ce petit texte où tout et vrai.
Merci de la correction, j'éditerais plutard dans la semaine ^^
Hum pour le "tu" je n'accuse pas le lecteur, je parle à la personne concerné à vrai dire, j'ai prit le maximum de recul pour écrire ce petit texte où tout et vrai.
Merci de la correction, j'éditerais plutard dans la semaine ^^
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 73
Age : 34
Votre talent : Écriture
Points : 65
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Elle était née pour toi
Ben "naquit le palliatif à son malheur"... Mouais, en fait non.
Je me cache.
Okay pour la correction.
Je me cache.
Okay pour la correction.
Re: Elle était née pour toi
Lol non ben te caches pas c'est pas si grave x)
Ca arrive a tout le monde, enfin sur le coup a toi , c'était peut être une phrase un peu tordue?
Ca arrive a tout le monde, enfin sur le coup a toi , c'était peut être une phrase un peu tordue?
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 73
Age : 34
Votre talent : Écriture
Points : 65
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Elle était née pour toi
Ben je pense qu'elle est un peu tordue. Mais d'un autre côté, bien imagée aussi .
Re: Elle était née pour toi
Triste histoire. Avant, je ne craignais pas ce genre de nouvelles, mais maintenant que j'ai mes enfants, j'ai du mal à les encaisser. J'ai envie de prendre la mère par les épaules et de la secouer pour qu'elle se réveille, qu'elle arrête d'imposer un tel cauchemar à son bébé!
B.- Talent Divin
- Nombre de messages : 4396
Votre talent : Écriture
Points : 4555
Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Elle était née pour toi
C'est assez déprimant comme histoire :'( , mais c'est bien écrit et on a envie de savoir la fin en lisant. Il y a juste quelques tournures de phrases étranges (dû à l'emploi de la 2ème personne), mais c'est tout.
D'ailleurs, qui est le narrateur ? Dieu ?
Bon, je vais manger, puis je vais pleurer pendant le reste de la journée ^^
D'ailleurs, qui est le narrateur ? Dieu ?
Bon, je vais manger, puis je vais pleurer pendant le reste de la journée ^^
Maeror- Talent Génial
- Nombre de messages : 670
Age : 32
Votre talent : Écriture
Points : 256
Date d'inscription : 04/11/2008
Re: Elle était née pour toi
Ah mais je voulais pas vous faire pleurer! C'est pas triste c'est.. ouai bon okay c'est carrément pas gai.
Le pire dans cette histoire ( si l'on peut dire ça ) c'est que y'a une suite.. ( okay frappez moi x) )
Le narrateur? .. La fille qui parle à sa mère, mais elle par d'elle à la troisième personne du singulier parce que c'est plus simple, on s'implique moins si vous me suivez..
Je comprends Barbara, y'a pas de secret pour avec les enfants, faut les aimer.
Le pire dans cette histoire ( si l'on peut dire ça ) c'est que y'a une suite.. ( okay frappez moi x) )
Le narrateur? .. La fille qui parle à sa mère, mais elle par d'elle à la troisième personne du singulier parce que c'est plus simple, on s'implique moins si vous me suivez..
Je comprends Barbara, y'a pas de secret pour avec les enfants, faut les aimer.
Lyz Maddox- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 73
Age : 34
Votre talent : Écriture
Points : 65
Date d'inscription : 13/03/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|