100% RÉECRITE! Le monde de Parfuméria ( Fantasy )

Melly a écrit:
Le monde de Parfuméria

Il était une fois, il y a de cela très longtemps, dans un monde où les odeurs faisaient parties du quotidien, des Parfumériens galopaient dans les champs (oulah ... elle a un bug ta phrase. Tu as oublié un "qui" dans l'histoire). Il faut savoir que les Parfumériens étaient des êtres extrêmement petits dont la charge était de transmettre les odeurs partout dans le monde. Leur nez en trompe ramassait les parfums avant de les injecter plus loin. Ne mesurant pas plus de cinq millimètres ( c dur de galoper plus haut dans les champs alors avec cette taille là =/), ils passaient inaperçus, leur peau caméléon les cachaient des regards indiscrets. Il était facile de reconnaître les femelles des mâles, leur physionomie ressemblait étrangement à la nôtre, seul le nez était en tous points différent, mesurant la demie de leur taille.

Les Parfumériens nichent sous le pistil des fleurs, que ce soient celles qui ce trouve dans votre jardin ou bien celle des forêts. Les fragrances transmises par les Parfumériens changeaient de saisons en saisons (soit tu mets les deux au pluriel, soit pas du tout... mais pas de mix ^^) sans jamais hiberner.

Amande et Chocolat étaient tous les deux entrain de travailler à la lumière de la lune, jeunes mariés, ils ne se lâchaient pas d’un poil (un poil ? vieille allusion là x). Un pouce sinon), ce qui rendait le travail encore plus difficile car une bonne odeur n’était jamais mélangée. Amande, de physionomie moyenne, laissait entrevoir quelques rondeurs, sans pour autant être gênantes. Son mari, Chocolat, était plus grand que la normale avec ces cinq millimètres et demi.

Non loin de là, la reine Fiente tournait en rond dans son immense palais fait à partir d’une vieille pomme pourrie. Ressemblant en tous points (répétition de structure) physiquement aux Parfumériens (j'aurais envie de dire ... normal puisque elle fait partie de l'espèce ^^), la reine des Nauséabondois était contrariée. (ah ok ... ah bah faut préciser qu'elle ne fait pas partie du même peuple. Sinon, on s'y perd ...) Ses conseillers royales lui apportaient sans cesse des fragrances douteuses, bousier, aliments en décomposition et sa préférée, urine de chat. Aucune de ces odeurs ne la réconfortait.

- Conseiller Vomi, tonna t’elle

Le dénommé Vomi, s’approcha de sa reine en toute hâte. Obèse, celui-ci marchait d’un pas lourd.

- Je m’ennuie de mon mari, le temps est si long depuis que celui-ci est parti. J’ai besoin d’un amusement. Veuillez me préparer un combat de perce-oreilles.

- Bien votre majesté, quelle victime dois-je vous rapporter? Lequel répondrait à vos somptueux besoins?

- Un ou deux Parfumériens feraient l’affaire. Ne les prenez pas trop dodus, ils ne résisteront pas longtemps. Ils doivent être apte à combattre jusqu'à la mort!

Vomi sortit de la salle d’un pas précipité. Il alla prévenir ses collègues et ils partirent à la recherche des petites victimes.

Le combat perce-oreilles contre Parfumériens était très apprécié par la cour royale. En accord avec la loi inter peuplade qui régit depuis un millénaire, seules deux victimes par an étaient tolérées. Celles-ci devait être coupables d’une quelconque effraction. La reine allait détruire l’entente et enclencher une guerre seulement pour un petit caprice. Cela était inconcevable.

Melly a écrit:
Amande et Chocolat préparaient leur nid, avec une paix intérieure, comme si rien ne pouvait arriver. Soudain un filet s’abattit sur leur tête. Ils se débattirent de toutes leurs forces. Avec horreur, ils sentirent l’odeur infecte de trois Nauséabondois. Il faut savoir que les peuples se ressemblaient en tous points et ne se reconnaissent qu’avec leur odeur corporelle (tu l'as déjà dit ... mais comme c'est un livre pour enfant, ça arrive de faire des répétitions exagérées de ce style). Seul le relief de leur corps était visible. Amande et Chocolat se sentirent tirés vers l’avant. Lorsque le palais fut en vue, Amande s’évanouit, le nez empli d’une puanteur nouvelle. Chocolat prit sa bien-aimée dans ses bras et tenta de la réanimer.

Lorsqu’ils furent devant la reine, Amande reprit conscience et poussa un cri à la vue de cette dernière.
« Qu’avons-nous fait, demanda cette dernière hébétée
- Avoir fait, répéta la reine moqueuse, je veux un combat de perce-oreilles et vous allez me le donner.
- Vous ne pouvez pas! Le traité! La reine Fleur et le roi Caramel n’accepteraient jamais de continuer l’entente. Cette règle est l’une des plus importantes d’entre toutes, s’exclama Chocolat.
- Nous dirons que vous êtes coupable de violation du domaine privé! Simple non ? (j'aime pas trop ce "simple non ?")(il faut aussi précisé que c'est la reine qui parle... parce que là j'ai eu un doute jusqu'à la réplique suivante)
- Ce n’est pas vrai, fit Chocolat outré. Vous ne pouvez pas! Je vous en supplie. (ouais mais là c'est pas crédible quand mm ^^)
- Garde tes supplications pour toi-même, gronda Fiente. Rot a disparu et j’ai besoin de distraction et (y'a un "et" de trop !) je l’aurai [espace] ! »

La reine était d’une colère noire, parlementer avec des mouchards la rendait d’humeur morose (quand on est morose on est très très loin de la colère noire !). Le départ de son mari la touchait du plus haut point. Elle tapa des pieds et déclara en séchant ses larmes :

« Ce soir vous servirez de repas à mes perce-oreilles! Pas de bavardage continuel, je ne le supporterai pas. Je donne la charge à Vomi de vous faire taire au besoin. »

Ce dernier ricana grossièrement et tapa du bout de son talon la tête de Chocolat et d’un geste de la main la reine renvoya ses conseillers et victimes.

« Si nous trouvions votre mari, s’écria soudainement chocolat.
Pendant que les conseillers tiraient sur le cordage, Chocolat se débattit.
- Accordez moi deux jours, je vous en conjure, laissez nous une chance de salut. » (un voc assez relevé au milieu d'un univers enfantin ... ça fait choc)
Fiente fit signe à ses conseillers de s’arrêter. Elle s’approcha de Chocolat et dit d’une voix étrangement douce :

« Deux jours, pas un de plus. Si dans ce délais mon mari ne se trouve pas devant moi, j’aurai une bonne raison de vous donner à mes perce- oreilles. Que le conseiller vomi soit témoin de votre exploit. (quel exploit ?)
Le principal intéressé sursauta :
- M, m, moi majesté? Mais, mais, je, je…
- Oui vous crétin et tachez de me contredire (euh ... ce serait plutôt l'inverse non ?), les perce-oreilles ne se plaindront pas d’un repas de plus!
- Oui majesté »
Vomi s’inclina poliment et libéra les prisonniers.
« Votre altesse, demanda Chocolat, pouvez vous nous donner sa destination?
- Juste une petite randonnée au marais gluant, fit la reine d’un air chamboulé. Ô mon pauvre époux ! »

Son attitude changea aussi vite que l’éclair en voyant le visage horrifier de Chocolat et Amande. Elle et ses conseillers éclatèrent d’un rire diabolique!

« Vous pouvez renoncer, fit la reine
- Non jamais », répliqua Chocolat.

Ils partirent dès lors, vers une destination des plus lugubres pour un Parfumérien. Le voyage dura une bonne journée de marche sans incident. Plus ils approchaient plus l’odeur était insupportable. Leur compagnon Nauséabondois quant à lui humait l’air avec délice.

Melly a écrit:__ Porter des vêtements leur était inutile (bof...) malgré cela (le "malgré cela" ne sépare pas assez les deux parties de la phrase, on ne peut donc pas la lire rapidement et avec fluidité sans être bloqué par la compréhension) leur physionomie (c'est un livre pour enfant, le mot semble assez recherché) ressemblait étrangement à la nôtre, seul le nez était en tous points différent, mesurant la moitié de leur taille.

__ Les Parfumériens nichent sous le pistil des fleurs, que ce soient celles qui ce trouvent dans votre jardin ou à l’extrémité des forêts.

__ Amande, de physionomie (répétition) moyenne (qu'est-ce qu'une "physionomie moyenne ?), laissait entrevoir quelques rondeurs, sans pour autant être gênantes.

__ Comme tous les Parfumériens, ils se reconnaissaient par leurs odeurs, ne pouvant voir que le contour de leur peau caméléon (maladroit).

__ Une grande porte décorait le mur devant son trône, créé a partir d’un bout de bois elle ne s’ouvrait que pour laisser passer ses conseillers royaux ainsi que ses invités. Les Nauséabondois ressemblaient en tout point physiquement (ressemblaient comme deux gouttes d'eau aux...) aux Parfumériens, la reine des Nauséabondois était contrariée.

__ Ils doivent être aptes à combattre jusqu'à la mort!

__ Amande
et Chocolat préparaient leur nid, avec une paix intérieure, comme si rien ne pouvait arriver.

__ Il faut savoir que les peuples se ressemblaient en tout point ne se reconnaissent qu’avec leur odeur corporel (tu l'as déjà dit..).

__ Lorsque le palais fut en vue, Amande s’évanouit, le nez emplit d’une puanteur nouvelle. Chocolat prit sa bien-aimée dans ses bras et tenta de la réanimer.

__ Cette règle est l’une des plus importante d’entre toutes, s’exclama Chocolat.

__ Nous dirons que vous êtes coupables de violation du domaine privé! Simple non!?

__ Rot a disparu et j’ai besoin de distraction et je l’aurai!

__ Accordez-moi deux jours, je vous en conjure, laissez nous une chance de salut.

__ Deux jours, pas un de plus. Si dans ce délais mon mari ne ce trouve pas devant moi, j’aurai une bonne raison de vous donner à mes perce-oreilles.

Les Parfumériens savaient depuis l’éclosion de leur œuf que le marais gluant était inhospitalier. Tout ceux qui y allaient n'en revenaient jamais. À moins de rester en équilibre sur les morceaux de roches, il était impossible de le franchir. Si vous aviez le malheur de tomber, vous y resteriez collé jusqu'à ce que mort s’en suive. Aucune porte de sortie ne s’ouvrait à vous, vos membres se retrouvaient collé au simple contact de cette boue verdâtre.

La troupe s’avança avec prudence sur chaque morceau, prenant bien soin de ne pas marcher dans la boue, car cette erreur pourrait être fatale. Après quelque pas, Amande tira son mari par les cheveux. Elle montra du doigt une tête émergeant du marécage. Chocolat confirma la vision, en reniflant la chose. Il n’y avait nul doute, il s’agissait du roi. Sa femme eu soudainement une idée :

- Tirons lui les cheveux! Mais prenons garde à nos mouvements. Je n’ai pas envie de me trouver dans cette fâcheuse position.

- Tirer les cheveux du roi et quoi encore, désespéra Chocolat.

- P`grave, fis difficilement le roi. Ses lèvres étaient englouties et seul un son ébréché sortit de sa bouche. Sortir!

- Tu vois mon chéri, dans l’état dans lequel il est, perdre quelques cheveux ne le tuera certainement pas, résonna Amande.

Vomi fut indifférent au bavardage d’Amande. S’ils réussissaient à ramener le roi, il n’y aurait pas de combat de perce-oreilles et Dieu seul savait combien il en mourait d’envie. Ce maudit Chocolat allait ruiner son heure de gloire et il n’acceptera pas de perdre aussi facilement.

Chocolat et Amande tiraient de toutes leurs forces sur la chevelure du roi. Peu à peu, le roi se dégageait de l’emprise menaçante de la boue. Lorsque les Parfumériens, tiraient tant bien que mal le roi sur un morceau de roche, Vomi tenta de le pousser dans le marais. Sans lâcher le roi Rot, Chocolat gifla violemment Vomi, celui-ci tituba avant de tomber dans la boue. Il tenta de se débattre sans succès. Il coula lentement, finissant par ne voir que le reflet de son crâne.

Melly a écrit:
Les Parfumériens savaient depuis l’éclosion de leur œuf que le marais gluant était inhospitalier. Tout ceux qui y allaient n’en revenaient jamais. À moins de rester en équilibre sur les morceaux de roches, il était impossible de le franchir. Si vous aviez le malheur de tomber, vous y resteriez collé jusqu'à ce que mort s’en suive. Aucune porte de sortie ne s’ouvrait à vous, vos membres se retrouvaient collés au simple contact de cette boue verdâtre.

La troupe s’avança avec prudence sur chaque morceau, prenant bien soin à ne pas marcher dans la boue, car cette erreur pourrait être fatale. Après quelques pas, Amande tira son mari par les cheveux. Elle montra du doigt une tête émergeant du marécage. Chocolat confirma la vision (pas très jolie tout ça =/), en reniflant la chose. Il n’y avait nul doute, il s’agissait du roi. Sa femme eu soudainement une idée :

« Tirons lui les cheveux! Mais prenons garde à nos mouvements. Je n’ai pas envie de me trouver dans cette fâcheuse position.

- Tirer les cheveux du roi et quoi encore ?, désespéra Chocolat.

- Pas grave, fit difficilement le roi. Ses lèvres étaient englouties et seul un son ébréché sortit de sa bouche. Sortir!

- Tu vois mon chéri, dans l’état où il est, perdre quelques cheveux ne le tuera certainement pas, résonna Amande. »



Vomi fut indifférent aux bavardages d’Amande. S’ils réussissaient à ramener le roi, il n’y aurait pas de combat de perce-oreilles et Dieu seul savait combien il en mourait d’envie. Ce maudit Chocolat allait ruiner son heure de gloire (quelle heure de gloire ? Celle de voir un spectacle ? ô_O) et il n’accepterait pas de (la) perdre aussi facilement.

Chocolat et Amande tiraient de toutes leurs forces sur la chevelure du roi. Peu à peu, il se dégageait de l’emprise menaçante de la boue. Lorsque les Parfumériens, tiraient tant bien que mal le roi sur un morceau de roche, Vomi tenta de le pousser dans le marais. Sans lâcher le roi Rot, Chocolat gifla violemment Vomi, celui-ci tituba avant de tomber dans la boue. Il tenta de se débattre sans succès. Il coula lentement, finissant par ne voir que le reflet de son crâne.

Melly a écrit:Le roi Rot se releva avec difficulté, regardant Chocolat avec fierté.

-Bon dieu que vous avez été génial. Je ne sais pas si j’aurai fait mieux. Vous et votre précieuse épouse fûtes d’une aide remarquable.

Tout trois firent le chemin du retour sans encombre. Près du palais, des centaines de Nauséabondois, les regardèrent avec surprise et joie.

Toute la population eu rapidement vent de la grande nouvelle. La reine Fiente sortit de son palais en courant et sauta dans les bras de son mari.

Chocolat et Amande furent surpris de flairer l’odeur délicate de leur peuple. Comme si leur nez eurent coordonné l’arrivée (Gné ?), la reine Fleur et le roi Caramel firent leur apparition. Tout deux marchaient avec élégance, malgré leur âge avancé.

- Vos Majestés s’exclama Fiente, l’accord restera respecté, nos jeunes amis ne seront point jetés dans la cage des perce-oreilles.

- J’espère bien fit sobrement Caramel. Vous y avez tout de même pensé et cela est impardonnable.

- Comment avez-vous su, demanda la curieuse Amande, que nous étions ici?

- Nous avons de bon nez très chère, mais sérieusement, votre tante à annoncé votre disparition et nous avons de suite conclu que vous vous retrouveriez ici. Ce n’est pas la première fois que Fiente désobéit aux lois. Nous avons trop souvent accepté ses erreurs, répondit Caramel

- Cher époux, en cette journée riche en retrouvailles, accordons lui le pardon, Rot l’aura à l’œil fit Fleur en regardant son mari.

Caramel paru indécis, d’un coté Fleur avait raison, mais il savait que cela ce reproduirai à la prochaine faiblesse de Fiente, il en était certain.

- Rot, surveillez votre femme, c’est le contrat qui est en jeu, vous savez aussi bien que moi ce qui ce passera si nous décidions de ne plus laisser passer les caprices de Fiente.

- Je le sais bien maugréa Rot, je l’aurai a l’œil, la paix avec vous est plus importante que les sottises de Fiente. Je vous remercie infiniment de votre générosité.

- Pardonnez-moi, ajouta d’une petite voix Fiente, cela ne ce reproduira plus. Vous avez ma parole, que l’on me coupe la tête si je mens.

- Je te ferai garder cette promesse fit Rot d’un ton qui n’acceptait aucune réplique.

Caramel passa le bras à sa femme, accompagné de son escorte, ils regagnèrent leur palais.

- Majesté, fit timidement Amande. Pouvons-nous rentrer?

- Bien sur jeunes gens, accompagnez-nous, proposa Fleur.

Les Parfumériens ne se le firent pas dire deux fois et coururent rejoindre l’escorte royale.

Chocolat et Amande furent reconnus comme des héros et vécurent heureux, transportant les plus belles odeurs jusqu'à votre nez.

Fin!

L’herbe haute balayée par le vent faisait belle vue sur le monde de Parfuméria et le soleil réchauffaient de ses impériaux rayons toute la vallée.

Melly a écrit:Mon problème est que je ne vois pas mes fautes. J'ai beau me relire des centaines de fois, je fini par ne plus rien voir, surtout quand le mot n'est pas souligné de rouge. Un moment tu connais tellement le texte que tu vois plus rien comme j'ai dis...

Melly a écrit:Pour cette raison que j'ai fait une demande de correction sur un autre forum. J'ai envie de faire quelque chose pour mon porte folio et j'aimerai qu'elle n'ai plus de fautes.