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Pétain et l'huitre magique [Humour]

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Pétain et l'huitre magique [Humour] Empty Pétain et l'huitre magique [Humour]

Message  Steppe Sam 15 Aoû 2009 - 11:45

Allez je commence avec une nouvelle qui m'a plutôt valu pas mal d'appréciations bénéfiques, voyons s'il est de même ici. A savoir qu'il se peut que l'un de vous reconnaisse cet écrit, je suis un membre d'Ecrivain en herbe et si jamais vous avez eu la coïncidence de me lire il est tout a fait normal que vous trouviez en ce texte un semblant de parenté.

Un peu longue j'avoue mais c'est l'une de mes meilleures si je puis dire et la plus longue que j'ai dans mon tiroir, pas d'inquiétudes.




Pétain et l'huitre magique


Petit rappel d’histoire : après la deuxième guerre mondiale gagnée par les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’URSS et la France. Le Maréchal Pétain (alors chef du gouvernement de Vichy) est jugé pour collaboration avec l’Allemagne nazi d’Adolf Hitler. Ayant écopé d’une mise à mort, le peuple français eut pitié de ce vieil homme rabougri et l’envoya en exil sur l’île d’Yeu au large de la Bretagne. Ainsi il finit le reste de sa vie… mais aujourd’hui quant est-il ? Mort me direz-vous. Et bien non. La preuve.


Un hélicoptère de sauvetage en mer survola les côtes de la Bretagne, simple mission de patrouille au cas où des bateaux se seraient égarés, ils passèrent au dessus de l’île d’Yeu. Sur cet petite île isolée, un homme leur faisait de grands signes, un d’eux intrigués demanda à son coéquipier : « Regarde en bas, sur cet île, un homme me semble t-il demande à l’aide, descendons ! ».

-Ne t’inquiète pas, répondit l’autre. Crois-en mes dix années d’expérience sur ces côtes. Depuis que je suis arrivé ici, cet homme a toujours habité cette île. Ne t’inquiète pas pour lui, dis-lui bonjour de la main, ça suffit. De toute façon, ce n’est qu’un vieux fou !

Un vieux fou, exactement. Sous un beau soleil d’été, ce qui était rare en Bretagne, un vieil homme s’agitait dans tout les sens, ce vieil homme c’était bien le Maréchal Pétain. Avec sa longue barbe blanche, sa moustache ridicule et le crâne rasé, il s’allongea de nouveau sur son hamac pendu à deux arbres. A l’ombre, il sirota son thé comme il avait l’habitude de le faire pour 16 :00. C’était agréable mais il s’ennuyait. Voilà maintenant 64 ans qu’il était exilé sur cette île paisible. Oui, oui, vous m’avez bien entendu, Philippe Pétain a désormais 153 ans. Etonnant n’est-ce pas ? Mais il y a une explication à ce fait exceptionnel.

Alors que Pétain venait d’arriver sur l’île d’Yeu, il explora le peu de terre qu’il avait à contempler. En manque de nourritures, il se contenta d’huîtres bien fraîches que l’on peut trouver près des rochers non loin de là. Une d’entre elle, de couleur rouge l’intrigua et par soucis de faim, il l’a mangea. De toute façon, s’il mourrait d’intoxication alimentaire ce n’était pas bien grave, il n’allait pas vivre longtemps. A cette époque, il avait déjà 89 ans. Sans grande raison, il se sentit plus fort, plus jeune, plus vif, plus dynamique. C’est après de longues années de survie qu’il comprenait que l’huître était en réalité magique. L’huître de l’immortalité !

Et voici son ami Vendredi. L’homme fort d’origine africaine était en train d’arroser les plantes de l’île. Lui, il fut arrivé peu de temps après l’huître. Originaire du Ghana, il quitta le sol français pour rejoindre, en toute infraction, celui de l’Angleterre. Seul bémol, étant un homme fort mais ayant aucun sens de l’orientation, il arriva sur l’île d’Yeu au côté du Maréchal. Les premiers jours furent difficiles, Vendredi croyait que cette île était l’Angleterre mais après maintes tentatives de ressaisissement, Pétain décida d’abandonner. Ainsi Vendredi croit encore et toujours qu’il est bel et bien en Angleterre. Ca a un côté pratique après tout, il fait un bon serviteur.

Le journal de la semaine tomba sur le sol dans un léger fracas. Joey apparut ensuite. Joey était un goéland blanc, beau et fort. Très dragueur et très modeste si l’on peut dire. Joey servait de facteur à Pétain, il était très utile. Ainsi le Maréchal pouvait tout savoir de ce qui se passait en France. « Il y a aussi une lettre pour vous. ». Oui Joey parle comme tous les animaux des alentours par ailleurs et Pétain parlait aussi avec eux. C’était sans doute dû au champ de Marijuana derrière la maison. Tous les jours, après avoir bien mangé, le Maréchal fumait son petit juin. Il relativisait ainsi, la vie semblait plus belle, plus paradisiaque. Dans le journal, Nicolas Sarkozy était pour la troisième semaine en première page. Le magasine hebdomadaire dénonçait la façon dont « Sarko » avait de diriger sur la France. Pétain en était sûr, à la fin de son mandat voire même avant. Sarkozy le rejoindrai comme voisin avec Napoléon.

Ah ? Je ne vous ai pas parlé de Napoléon Bonaparte ? Bien, faisons un nouveau rappel historique. Après avoir dirigé la France par son régime autoritaire du à son génie politique et militaire. Bonaparte fut exilé sur l’île Sainte-Hélène après les lourdes défaites en Espagne et à Waterloo. Désormais, il est sur l’île voisine de d’Yeu, l’île de Pétain. Celui-ci lui faisait des signes amicaux, le Maréchal y répondit à son tour. Cela faisait bien plus longtemps que lui que Napoléon était ici. Il avait acquis l’immortalité par une moule magique.

Sa montre sonna, il était près de 16 :30 à ses aiguilles. Il était l’heure de se rendre à son rendez-vous. Il entra dans la maison, se faisait une petite beauté pour ne pas arriver devant son meilleur ami comme il se présentait tous les jours face à Vendredi. Après s’être brossé la barbe et la moustache, il arriva au lieu de rendez-vous. Scrutant l’eau depuis son rocher, il attendait. Son ami devait être en retard sans doute, ça arrivait souvent, Pétain lui était toujours à l’heure. Après quelques minutes, il arriva enfin. « Tu es encore en retard ! ».

- C’est toi qui est toujours en avance ! dit son ami.

Un petit merlu sortit la tête de l’eau, son nom était Findus. Les deux confrères étaient amis depuis plusieurs décennies. Tous les jours, ils avaient le même point de rendez-vous à la même heure. Et à chaque fois ce fut un plaisir pour les deux. Ils parlèrent de l’eau, de la pollution, de la liberté, de l’Obamania. Mais leur discussion fut interrompue par un petit bateau pêcheur des environs, Findus s’empressa de se cacher pendant qu’un marin débarqua sur l’île d’Yeu. Ce marin s’était Anthony, un jeune matelot très apprécié par Pétain et qui lui apportait toutes les semaines des provisions. Surtout du thé. « Alors, comment allez-vous Robinson ? » Le marin ayant une faible culture comme tous les jeunes d’aujourd’hui. Il se référenciait automatiquement au livre Robinson Crusoé, ou plutôt au film pour ceux qui n’aiment pas lire.

- Je suis le Maréchal Pétain ! J’ai dirigé la France lors de la seconde guerre mondiale et a réussi à limiter le bain de sang des français ! dit le vieux fou.

- Mais oui, la prochaine fois, je vous amène des médicaments. Au revoir. dit Anthony.

Une fois qu’il eu fini de poser toutes les provisions, il repartit en direction de la Bretagne. Pétain rangea les denrées dans sa cuisine, le soleil commençait à descendre lentement dans le ciel. Il termina sa journée par son fameux croquet avec Vendredi. L’homme d’origine africaine était plutôt doué et les parties se jouaient toujours sur un fil.

Après un bon dîner et la vaisselle faites. C’était toujours Arte. Pétain pouvait s’y voir de temps en temps, plus en mal qu’en bien malheureusement. Mais il était là, au moins. Tous les jeunes de la nouvelle génération devraient être obligés de regarder ces types d’émissions.

22 :30. Le reportage est fini, Vendredi et le Maréchal partirent pour une bonne nuit de sommeil mais avant, l’ancien chef du gouvernement français n’oublia pas son petit rituel. Se positionnant à genou face au grand portrait d’Adolf Hitler qui dominait sa chambre. Il fit une nouvelle prière en son honneur. Puis une bise sur le front de l’ancien dictateur nazi et il alla se coucher.

8 :00, le réveil sonne. Une nouvelle prière en la gloire d’Hitler et le Maréchal prépara son petit déjeuner devant son émission du matin : télé shopping. Son hobbie de toujours, ce qu’il préférait le plus, c’était la partie cuisine de l’émission matinale. Une fois terminée, il s’occupa de ses cultures de canabis au fond de l’île derrière sa chanson jouée en boucle par un poste radio : « Maréchal nous voilà ! ». Il adorait écoutait cet air si… enjoué, dynamique.

Assis sur sa rocking-chair, il se roula un petit juin et le fuma en toute tranquillité. Sa tête tournait, il se reposa tout en se balançant jusqu’à que son ventre sonne l’heure de déjeuner. Préparé par Vendredi, il se régala comme toujours et entama sa sieste sur son hamac. Le journal le réveillera à 16 :00 et à 17 :00 il avait un rendez-vous important…

Maréchal nous voilà !




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Message  Pacô Mer 19 Aoû 2009 - 11:46

Steppe a écrit:
Pétain et l'huitre magique

Petit rappel d’histoire : après la deuxième guerre mondiale gagnée par les États-Unis, le Royaume-Uni, l’URSS et la France. (euh ... la coupure de phrase est super maladroite et coup le souffle du lecteur. Mets une virgule, et rajoute la suite avec "le maréchal pétain ...") Le Maréchal Pétain - alors chef du gouvernement de Vichy - est jugé pour collaboration avec l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler. Ayant écopé d’une mise à mort, le peuple français eut pitié de ce vieil homme rabougri et l’envoya en exil sur l’île d’Yeu au large de la Bretagne. Ainsi il finit le reste de sa vie… mais aujourd’hui qu'en (elle est jolie celle là !! ^^) est-il ? Mort me direz-vous. Et bien non. La preuve.


Un hélicoptère de sauvetage en mer survola les côtes de la Bretagne, simple mission de patrouille au cas où des bateaux se seraient égarés, ils passèrent au dessus de l’île d’Yeu (gros problème de syntaxe là ! A qui se réfèrent ce "ils" ? Sachant que tu parlait de l'hélicoptère, au singulier ? De plus la relative "simple patrouille etc ..." n'est pas en rapport avec celle d'avant, elles n'ont aucune liaison logique. Faut tout reformuler). Sur cette petite île isolée, un homme leur faisait de grands signes. L'un d’eux, intrigués, demanda à son coéquipier : « Regarde en bas, sur cette île, un homme me semble t-il demande à l’aide, descendons ! ». (alors là, dialogue tout à fait inutile puisque tu répètes par la bouche d'un personnage ce que vietn de dire le narrateur précédemment)
(+ souci avec la ponctuation des dialogues. Si tu fermes les guillemets, c'est que le dialogue est terminé, alors que non !)
-Ne t’inquiète pas, répondit l’autre. Crois-en mes dix années d’expérience sur ces côtes. Depuis que je suis arrivé ici, cet homme a toujours habité cette île. Ne t’inquiète pas pour lui, dis-lui bonjour de la main, ça suffit. De toute façon, ce n’est qu’un vieux fou ! »

Un vieux fou, exactement. Sous un beau soleil d’été, ce qui était rare en Bretagne, un vieil homme s’agitait dans tous les sens, ce vieil homme c’était bien le Maréchal Pétain. (pfiou ... euh, la phrase est lourde au pas possible ! La répétition du viel homme y est pour bcp ! Ensuite, le soleil existe en Bretagne, même en été, et c'est pas si rare que ça hein ^^. Sinon, faut reformuler, la phrase ne va pas du tout puisque tu reprends ce que tu veins de dire dans la même phrase ô_O) Avec sa longue barbe blanche, sa moustache ridicule et le crâne rasé, il s’allongea de nouveau sur son hamac pendu à deux arbres. A l’ombre, il sirota son thé comme il avait l’habitude de le faire pour seize heures (ou 16h, mais pas d'écriture réveil matin américain dans la littérature ô_O). C’était agréable mais il s’ennuyait. Voilà maintenant soixante-quatre (si possible, on évite les chiffres ou les nombres) ans qu’il était exilé sur cette île paisible. Oui, oui, vous m’avez bien entendu, Philippe Pétain a désormais 153 ans. (la prise à parti du narrateur fait inconvenante) Étonnant n’est-ce pas ? Mais il y a une explication à ce fait exceptionnel.

Alors que Pétain venait d’arriver sur l’île d’Yeu, il explora le peu de terre qu’il avait à contempler. En manque de nourritures, il se contenta d’huîtres bien fraîches que l’on peut trouver près des rochers non loin de là. L'une d’entre elle, de couleur rouge, l’intrigua et par souci(s) de faim, il la mangea. De toute façon, s’il mourrait d’intoxication alimentaire ce n’était pas bien grave, il n’allait pas vivre longtemps. A cette époque, il avait déjà 89 ans. Sans grande raison, il se sentit plus fort, plus jeune, plus vif, plus dynamique. C’est après de longues années de survie qu’il comprit (passé simple, pas d'imaprfait pour ce contexte !) que l’huître était en réalité magique. L’huître de l’immortalité !

Et voici son ami Vendredi. L’homme fort d’origine africaine était en train d’arroser les plantes de l’île. Lui, il fut arrivé peu de temps après l’huître. Originaire du Ghana, il quitta le sol français pour rejoindre, en toute infraction, celui de l’Angleterre. Seul bémol, étant un homme fort mais ayant aucun sens de l’orientation, il arriva sur l’île d’Yeu au côté du Maréchal. Les premiers jours furent difficiles, Vendredi croyait que cette île était l’Angleterre mais après maintes tentatives de ressaisissement (bof bof ^^. 'd'explications abusives" ... + maintes est un terme très ancien, trop ancien pour ton style de narration) , Pétain décida d’abandonner. Ainsi Vendredi croit encore et toujours qu’il est bel et bien en Angleterre. Ça a un côté pratique après tout, il fait un bon serviteur. (super maladroit)

Le journal de la semaine tomba sur le sol dans un léger fracas (un fracas, c'est tout sauf léger \o/. Et même si tu veux amoindrir le son, ce ne sera plus un immeuble qui s'écroule, mais une maison (pour te donner une idée du bruit). En d'autres termes, ça ne correspond pas du tout au bruit d'un journal qui tombe au sol). Joey apparut ensuite. Joey était un goéland blanc, beau et fort. Très dragueur et très modeste si l’on peut dire. Joey servait de facteur à Pétain, il était très utile. Ainsi le Maréchal pouvait tout savoir de ce qu'il se passait en France. « Il y a aussi une lettre pour vous. ». Oui Joey parle comme tous les animaux des alentours par ailleurs et Pétain parlait ("conversait", afin d'éviter la répétition) aussi avec eux. C’était sans doute dû au champ de Marijuana derrière la maison (ugh ?). Tous les jours, après avoir bien mangé, le Maréchal fumait son petit joint. Il relativisait ainsi, la vie semblait plus belle, plus paradisiaque. Dans le journal, Nicolas Sarkozy était pour la troisième semaine en première page. Le magasine hebdomadaire dénonçait la façon dont « Sarko » avait de diriger ("dirigeait") ("sur" mot de trop) la France. Pétain en était sûr, à la fin de son mandat voire même avant, Sarkozy le rejoindrait comme voisin avec Napoléon (oui sauf que Napoléon, c'était pas trop ici qu'il était =/).

Ah ? Je ne vous ai pas parlé de Napoléon Bonaparte ? Bien, faisons un nouveau rappel historique. Après avoir dirigé la France par son régime autoritaire dû à son génie politique et militaire, [coupe pas tes phrases comme ça !] Bonaparte fut exilé sur l’île Sainte-Hélène après les lourdes défaites en Espagne et à Waterloo (non non, attention, tu te goures complètement. C'est pas la défaite de trafalgar qui l'a emmené sur l'île d'Elbe mais la campagne de France des rois alliés de Prusse, Autriche et Russie suite à la débandade de la bérézina et de la destruction de la Grande Armée. Ensuite, il y a eu les Cents Jours où Napoléon a repris le trône, et ensuite seulement, il a été battu à plat de couture à Waterloo puis fut expédié à l'ïle Saint Hélène qui est ... à côté de l'afrique =/.). Désormais, il est sur l’île voisine de d’Yeu, l’île de Pétain. Celui-ci lui faisait des signes amicaux, le Maréchal y répondit à son tour. Cela faisait bien plus longtemps que lui que Napoléon était ici. Il avait acquis l’immortalité par une moule magique.

Sa montre sonna, il était près de 16 h 30 (à ses aiguilles) (inutile). Il était l’heure de se rendre à son rendez-vous. Il entra dans la maison, se fit (passé simple pour une action) une petite beauté pour ne pas arriver devant son meilleur ami comme il se présentait tous les jours face à Vendredi. Après s’être brossé la barbe et la moustache, il arriva au lieu de rendez-vous. Scrutant l’eau depuis son rocher, il attendait. Son ami devait être en retard sans doute, ça arrivait souvent, Pétain lui était toujours à l’heure. Après quelques minutes, il arriva enfin. « Tu es encore en retard ! ». (euh ... LOL ?)

- C’est toi qui es toujours en avance ! dit son ami.

Un petit merlu sortit la tête de l’eau, son nom était Findus. Les deux confrères étaient amis depuis plusieurs décennies. Tous les jours, ils avaient le même point de rendez-vous à la même heure. Et à chaque fois ce fut un plaisir pour les deux. Ils parlèrent de l’eau, de la pollution, de la liberté, de l’Obamania. Mais leur discussion fut interrompue par un petit bateau pêcheur des environs, Findus s’empressa de se cacher tandis qu’un marin débarqua sur l’île d’Yeu. Ce marin, c’était Anthony, un jeune matelot très apprécié par Pétain et qui lui apportait toutes les semaines des provisions. Surtout du thé. « Alors, comment allez-vous Robinson ? » Le marin ayant une faible culture comme tous les jeunes d’aujourd’hui (je ne te le fais pas dire \o/). Il se référait automatiquement au livre Robinson Crusoé, ou plutôt au film pour ceux qui n’aimaient pas lire.

- Je suis le Maréchal Pétain ! J’ai dirigé la France lors de la seconde guerre mondiale et a réussi à limiter le bain de sang des français ! dit le vieux fou.

- Mais oui, la prochaine fois, je vous amène des médicaments. Au revoir. dit Anthony.

Une fois qu’il eut fini de poser toutes les provisions, il repartit en direction de la Bretagne. Pétain rangea les denrées dans sa cuisine, le soleil commençait à descendre lentement dans le ciel (dans la mer plutôt non ? Et ça ferait une jolie n'image !). Il termina sa journée par son fameux croquet avec Vendredi. L’homme d’origine africaine était plutôt doué et les parties se jouaient toujours sur un fil.

Après un bon dîner et la vaisselle faite, c'était toujours Arte. Pétain pouvait s’y voir de temps en temps, plus en mal qu’en bien malheureusement (mal et malheureusement à 2cm d'écart, c'est pas folichon hein ! Tu peux faire genre: "plus en mal qu'en bien. Dommage !"). Mais il était là, au moins. Tous les jeunes de la nouvelle génération devraient être obligés de regarder ces types d’émissions.

22 h30. Le reportage est fini (terminé), Vendredi et le Maréchal partirent pour une bonne nuit de sommeil mais avant, l’ancien chef du gouvernement français n’oublia pas son petit rituel. Se positionnant à genou face au grand portrait d’Adolf Hitler qui dominait sa chambre. Il fit une nouvelle prière en son honneur. Puis une bise sur le front de l’ancien dictateur nazi et il alla se coucher. (c'est assez indécent comme texte là ... et diffamatoire surtout)

8 :00, le réveil sonne. Une nouvelle prière en la gloire d’Hitler et le Maréchal prépara son petit déjeuner devant son émission du matin : télé shopping. Son hobby (l'anglais, c'est pas ton fort hein ? Laughing ) de toujours, ce qu’il préférait le plus, c’était la partie cuisine de l’émission matinale. Une fois terminée, il s’occupa de ses cultures de canabis au fond de l’île derrière sa chanson jouée en boucle par un poste radio : « Maréchal nous voilà ! ». Il adorait écoutait cet air si… enjoué, dynamique.

Assis sur sa rocking-chair, il se roula un petit joint et le fuma en toute tranquillité. Sa tête tournait, il se reposa tout en se balançant jusqu’à que son ventre sonne l’heure de déjeuner. Préparé par Vendredi, il se régala comme toujours et entama une (pour éviter l'allitération en "s") sieste sur son hamac. Le journal le réveillera à 16h00 et à 17 h00 il avait un rendez-vous important…

Maréchal nous voilà !

Alors les commentaires vont surement te miner le moral.
La narration est très très simpliste, les mots ne sont pas recherchés, voire inadaptés. Tu as des soucis de conjugaison et d'orthographe (juin en joint ô_O !), tu as d'énormes lacunes dans la syntaxe.
Ensuite, d'un point de vue historique (sans parler du surnaturel de l'huître ou la moule) tu y es pas du tout. T'as mal lu la biographie de Napoléon et tu n'as pas compris qui était Pétain (et là c'est le pire, parce qu'avec un texte comme ça, on pourrait limite te traîner en justice hein =/). A savoir, Pétain était un collaborationniste et non un collaborateur ! C'est à dire qu'il n'adhérait pas au nazisme d'Hitler mais s'adaptait à la situation, ce qui est nettement différent. Avec ton passage sur la prière vouée à Hitler, des proches de Pétain peuvent t'en vouloir hein. (même si ça n'enlève pas le fait que ce que le maréchal a fait était horrible).
Sinon, oui je répète, beaucoup beaucoup beaucoupde maladresses. Sans parler que tu t'amuses avec l'histoire de Robinson, ce qui peut t'être reproché ! (plagiat, plagiat ^^)

Et le souci, c'est que le texte est fini là ou non ?
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