Toujours la meilleure amie ...

« Tu sais, t’es une fille géniale. Je ne voudrais pas d’autre meilleure amie que toi. Je file, bisous ma grande. »

Elle regarda son écran, des larmes plein les yeux … Encore une fois, elle se trouvait être la bonne copine de service, celle à qui on vient tout raconter sans s’imaginer un seul instant qu’elle puisse avoir des sentiments, elle aussi.

« Et moi ? » Avait-elle envie de crier lorsque ses amis lui racontaient leurs peines de cœur.

D’un geste rageur, elle essuya ses yeux (et pas ceux des autres ! xD... "s'essuya les yeux" me parait plus correct ^^) et cliqua sur « Déconnecter » avant d’éteindre l’ordinateur. Décidément, Dame La Chance n’avait pas dû se pencher sur son berceau à sa naissance. C’était à croire qu’elle resterait à tout jamais vieille fille, pensa-elle amèrement en s’écroulant sur son lit.
Alors, elle prit une décision qui allait la changer à tout jamais : Elle allait demander à tous ses amis garçons (ben, des amies garçons, ça n'existe pas, tu peux virer "garçons" ! ^^) s’ils la voyaient en tant que petite-amie. (la fin de la phrase est un peu bizarre. "s'ils la voyaient dans le rôle d'une..." peut-être ?)

Elle passa une nuit sereine, ne s’imaginant pas les revers auxquels elle allait devoir faire face.

Arrivée au Lycée, elle réunit tous ses amis et leur posa la question. Plusieurs d’entre eux, fort surpris, lui demandèrent pourquoi elle agissait ainsi. Les ignorant, elle réitéra sa demande. Certains lui répondirent sèchement qu’elle n’avait pas à poser des questions aussi bêtes, d’autres lui firent comprendre qu’elle était bien gentille mais qu’il ne fallait pas en demander trop sinon il n'y aurait plus rien … La sonnerie retentit, mettant ainsi fin à son supplice. Le cœur brisé, elle ramassa son sac et, sans un mot, gagna sa salle de cours.

Les heures défilèrent pendant lesquelles un plan germa dans son esprit. (mof, un peu bancal. "Tandis que les heures défilaient lentement, un plan commençait à germer dans son esprit") Elle reprit ses relations au point où elles en étaient sans que personne ne se doute de quoi que ce soit. La fin de la journée scolaire arriva rapidement, et après avoir souhaité une bonne soirée à tout le monde, elle rentra chez elle.
Sur le chemin du retour, elle s’arrêta dans une petite boutique obscure et s’acheta de quoi servir à merveille son terrible plan. (rép : ses desseins, son projet...)

Une fois chez elle, elle laissa tomber le masque de sa bonne humeur et ses yeux brillèrent d’une lueur farouche. Ils allaient lui payer toutes ces années de souffrance. Sortant ses achats de son sac, elle les étala sur son lit (elle ne peut pas le faire en même temps : Elle sortit ses achats de son sac, les étala sur son lit et...) et les contempla avec un sourire satisfait. Entendant la porte d’entrée s’ouvrir, elle s’empressa de tout faire disparaître et s’installa devant l’ordinateur, illustrant l’image de la parfaite jeune fille. (Devant un ordi ? xD Alors je suis un parfait jeune homme... ) Ainsi, au moment où s’ouvrit la porte de chambre, elle était en train de bavarder gaiement sur MSN. Sa mère resta un petit moment à lui parler et à lui demander comment s’était passée sa journée, puis repartit préparer le repas du soir.

Sitôt que cette dernière eut refermé la porte, L. reprit (afficha à nouveau ) son visage de haine. Pensant à ce qui allait se passer le lendemain, elle esquissa un sourire mi-cruel mi-heureux. Bien après avoir mangé et entendu ses parents se coucher, elle fit ses préparatifs et partit rejoindre (rejoignit) son lit.

Nous sommes le Vendredi 10 Avril. Le printemps se fait sentir dans la douceur de l’air et par les gazouillis des oiseaux. Elle marche lentement, afin d’être sûre que tous les élèves seront dans la cour quand elle arrivera. Devant le Lycée, elle ralentit le pas et observe attentivement les visages des gens. Tous ont leurs airs habituels, personne ne semble soupçonner ce qui se prépare.

Elle prend une grande aspiration et s’apprête à rentrer dans la cour quand un bruit de course se fait entendre derrière elle. Fronçant les sourcils, elle se dissimule du mieux qu’elle peut et voit que c’est son meilleur ami qui est en retard. Haussant les épaules, elle le laisse aller rejoindre son groupe d’amis et fait son entrée à son tour.

5 secondes … 4 secondes … 3 secondes … 2 secondes … 1 seconde avant que quelqu’un ne remarque ce qu’il se passe … Elle sent son cœur battre à tout rompre mais ne flanche pas.

Soudain, le silence se fait et tous les yeux se tournent vers elle. Ce n’est pas la façon dont elle est habillée qui les interpelle mais bien ce qui se trouve dans sa main droite … Une grenade … Qu’elle fait mine de vouloir dégoupiller … (mine de vouloir, impossible : elle fait mine de la dégoupiller )

Un hurlement retentit, crevant le silence, et c’est l’affolement le plus total. Tout le monde court dans tous les sens en une vaine tentative de fuite. Imperturbable, elle observe la fourmilière géante s’agiter et l’ombre d’un sourire se dessine sur ses lèvres.

Puis tout se fige lorsqu’elle dégoupille la grenade … Ils savent tous que c’est la fin mais quelque chose les empêche d’y croire. Pourtant, le souffle de l’arme fatale les frappe tous.

Dans sa chambre, sur son bureau, est posée une feuille de papier où est dessiné un cœur coupé en 2 et dont le sang semble goutter par terre. Pour seule légende, il y a ces mots : « Parce qu’on ne m’a jamais aimée pour moi. »

« Tu sais, t’es une fille géniale. Je ne voudrais pas d’autre meilleure amie que toi. Je file, bisous ma grande. »

Elle regarda son écran, des larmes plein les yeux … Encore une fois, elle se trouvait être la bonne copine de service, celle à qui on vient tout raconter sans s’imaginer un seul instant qu’elle puisse avoir des sentiments, elle aussi.

« Et moi ? » Avait-elle envie de crier lorsque ses amis lui racontaient leurs peines de cœur.

D’un geste rageur, elle s'essuya les yeux et cliqua sur « Déconnecter » avant d’éteindre l’ordinateur. Décidément, Dame La Chance n’avait pas dû se pencher sur son berceau à sa naissance. C’était à croire qu’elle resterait à tout jamais vieille fille, pensait-elle amèrement en s’écroulant sur son lit.
Alors, elle prit une décision qui allait la changer sa vie à tout jamais >>> plus correct, mais c'est comme tu veux : Elle allait demander à tous ses amis s’ils la voyaient dans le rôle d'une petite-amie.

Elle passa une nuit sereine, n'imaginant pas les revers auxquels elle allait devoir faire face.

Arrivée au Lycée, elle réunit tous ses amis et leur posa la question. Plusieurs d’entre eux, fort surpris, lui demandèrent pourquoi elle agissait ainsi. Les ignorant, elle réitéra sa demande. Certains lui répondirent sèchement qu’elle n’avait pas à poser des questions aussi bêtes, d’autres lui firent comprendre qu’elle était bien gentille mais qu’il ne fallait pas en demander trop sinon y’aurait plus rien … >>> "y'aurait plus rien"? Précise ce que tu as voulu dire, je n'ai pas saisi La sonnerie retentit, mettant ainsi fin à son supplice. Le cœur brisé, elle ramassa son sac et sans un mot, gagna sa salle de cours.

Tandis que les heures défilaient lentement, un plan commençait à germer dans son esprit. Elle reprit ses relations au point où elles en étaient sans que personne ne se doute de quoi que ce fût. La fin de la journée scolaire arriva rapidement, et après avoir souhaité une bonne soirée à tout le monde, elle rentra chez elle.
Sur le chemin du retour, elle s’arrêta dans une petite boutique obscure et s’acheta de quoi servir à merveille son terrible projet.

Une fois chez elle, elle laissa tomber le masque de sa bonne humeur et ses yeux brillèrent d’une lueur farouche. Ils allaient lui payer toutes ces années de souffrance. Elle sortit ses achats de son sac, les étala sur son lit et les contempla avec un sourire satisfait. Entendant la porte d’entrée s’ouvrir, elle s’empressa de tout faire disparaître >>> où? Sous son lit? sous ses draps? Précise, c'est plus intéressant et s’installa devant l’ordinateur, illustrant l’image de la parfaite jeune fille. Ainsi, au moment où la porte de chambre s'ouvrit >>> la phrase est plus correcte comme ça, elle était en train de bavarder gaiement sur MSN. Sa mère resta un petit moment à lui parler et à lui demander comment s’était passée sa journée, puis repartit préparer le repas du soir.

Sitôt que cette dernière eut refermé la porte, L. afficha à nouveau son visage de haine. Pensant à ce qui allait se passer le lendemain, elle esquissa un sourire mi-cruel mi-heureux. Bien après avoir mangé et entendu ses parents se coucher, elle fit ses préparatifs et rejoignit son lit. >>> maladroit: "elle s'attela aux préparatifs de son plan, puis elle regagna son lit, épuisée", ou un truc dans le style.

Nous sommes le Vendredi 10 Avril. Le printemps se fait sentir dans la douceur de l’air et par les gazouillis des oiseaux. Elle marche lentement, afin d’être sûre que tous les élèves seront dans la cour quand elle arrivera. Devant le Lycée, elle ralentit le pas et observe attentivement les visages des gens. Tous ont leurs airs habituels, personne ne semble soupçonner ce qui se prépare. >>> "ce qui se trame", pour éviter la répétition avec les "préparatifs".

Elle prend une grande inspiration et s’apprête à rentrer dans la cour quand un bruit de course se fait entendre derrière elle. Fronçant les sourcils, elle se dissimule du mieux qu’elle peut et voit que c’est son meilleur ami qui est en retard. Haussant les épaules, elle le laisse aller rejoindre son groupe d’amis et fait son entrée à son tour.

5 secondes … 4 secondes … 3 secondes … 2 secondes … 1 seconde avant que quelqu’un ne remarque ce qu’il se passe … Elle sent son cœur battre à tout rompre mais ne flanche pas.

Soudain, le silence se fait et tous les yeux se tournent vers elle. Ce n’est pas la façon dont elle est habillée qui les interpelle mais bien ce qui >>> maladroit, remplace par "l'objet qu'elle tient dans sa main droite" se trouve dans sa main droite … Une grenade … Qu’elle fait mine de dégoupiller ...

Un hurlement retentit, crevant le silence, et c’est l’affolement le plus total. Tout le monde court dans tous les sens en une vaine tentative de fuite. Imperturbable, elle observe la fourmilière géante s’agiter et l’ombre d’un sourire se dessine sur ses lèvres.

Puis tout se fige lorsqu’elle dégoupille la grenade … Ils savent tous que c’est la fin mais quelque chose les empêche d’y croire. Pourtant, le souffle de l’arme fatale les frappe tous.

Spoiler:

FIN

Laumie a écrit:« Tu sais, t’es une fille géniale. Je ne voudrais pas d’autre meilleure amie que toi. Je file, bisou(s) ma grande. »

Elle regarda son écran, des larmes plein les yeux … Encore une fois, elle se trouvait être la bonne copine de service, celle à qui on vient tout raconter sans s’imaginer un seul instant qu’elle puisse avoir des sentiments, elle aussi.

« Et moi ? » Avait-elle envie de crier lorsque ses amis lui racontaient leurs peines de cœur.

D’un geste rageur, elle s'essuya les yeux et cliqua sur « Déconnecter » avant d’éteindre l’ordinateur. Décidément, Dame La Chance n’avait pas dû se pencher sur son berceau à sa naissance. C’était à croire qu’elle resterait à tout jamais vieille fille, pensait-elle amèrement en s’écroulant sur son lit.
Alors, elle prit une décision qui allait la changer à tout jamais : Elle allait demander à tous ses amis s’ils la voyaient dans le rôle d'une petite-amie.

Elle passa une nuit sereine, ne s’imaginant pas les revers auxquels elle allait devoir faire face.

Arrivée au Lycée, elle réunit tous ses amis et leur posa la question. Plusieurs d’entre eux, fort (ce fort requiert un registre soutenu ou aristocrate ou moyenâgeux ... enfin, aucun de tes registres présents ce qui fait un peu "choc" ^^) surpris, lui demandèrent pourquoi elle agissait ainsi. Les ignorant, elle réitéra sa demande. Certains lui répondirent sèchement qu’elle n’avait pas à poser des questions aussi bêtes (stupides ?), d’autres lui firent comprendre qu’elle était bien gentille mais qu’il ne fallait pas en demander trop sinon il n'y’aurait plus rien … La sonnerie retentit, mettant ainsi fin à son supplice. Le cœur brisé, elle ramassa son sac et sans un mot, gagna sa salle de cours.

Tandis que les heures défilaient lentement, un plan commençait à germer dans son esprit. Elle reprit ses relations au point où elles en étaient sans que personne ne se doute de quoi que ce soit. La fin de la journée scolaire arriva rapidement, et après avoir souhaité une bonne soirée à tout le monde, elle rentra chez elle.
Sur le chemin du retour, elle s’arrêta dans une petite boutique obscure et s’acheta de quoi servir à merveille son terrible projet.

Une fois chez elle, elle laissa tomber le masque de sa bonne humeur et ses yeux brillèrent d’une lueur farouche. Ils allaient lui payer toutes ces années de souffrance. Elle sortit ses achats de son sac, les étala sur son lit et les contempla avec un sourire satisfait. Entendant la porte d’entrée s’ouvrir, elle s’empressa de tout faire disparaître et s’installa devant l’ordinateur, illustrant l’image de la parfaite jeune fille. Ainsi, au moment où s’ouvrit sa porte de chambre, elle était en train de bavarder gaiement sur MSN. Sa mère resta un petit moment à lui parler et à lui demander comment s’était passée (déroulée) sa journée, puis repartit préparer le repas du soir.

Sitôt que cette dernière eut refermé la porte, L.(aumie?) afficha à nouveau son visage de haine. Pensant à ce qui allait se passer le lendemain, elle esquissa un sourire mi-cruel mi-heureux. Bien après avoir mangé et entendu ses parents se coucher, elle fit ses préparatifs et rejoignit son lit.

Nous sommes le Vendredi 10 Avril. Le printemps se fait sentir dans la douceur de l’air et par les gazouillis des oiseaux. Elle marche lentement, afin d’être sûre que tous les élèves seront dans la cour quand elle arrivera. Devant le Lycée, elle ralentit le pas et observe attentivement les visages des gens. Tous ont leurs airs habituels, personne ne semble soupçonner ce qu'il se prépare.

Elle prend une grande aspiration et s’apprête à rentrer dans la cour quand un bruit de course se fait entendre (faut reformuler, ce genre d'expression est très maladroite et entrave la fluidité du texte) derrière elle. Fronçant les sourcils, elle se dissimule du mieux qu’elle peut et voit que c’est son meilleur ami qui est en retard. Haussant les épaules, elle le laisse aller rejoindre son groupe d’amis et fait son entrée à son tour.

5 secondes … 4 secondes … 3 secondes … 2 secondes … 1 seconde avant que quelqu’un ne remarque ce qu’il se passe … Elle sent son cœur battre à tout rompre mais ne flanche pas.

Soudain, le silence se fait et tous les yeux se tournent vers elle. Ce n’est pas la façon dont elle est habillée qui les interpelle mais bien ce qu’il se trouve dans sa main droite … Une grenade … Qu’elle fait mine de dégoupiller ...

Un hurlement retentit, crevant le silence, et c’est l’affolement le plus total. Tout le monde court dans tous les sens en une vaine tentative de fuite. Imperturbable, elle observe la fourmilière géante s’agiter et l’ombre d’un sourire se dessine sur ses lèvres.

Puis tout se fige lorsqu’elle dégoupille la grenade … Ils savent tous que c’est la fin mais quelque chose les empêche d’y croire. Pourtant, le souffle de l’arme fatale les frappe tous.

Spoiler:

FIN