La voix des morts
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Re: La voix des morts
Chapitre 5
=> majuscule à "Catherine"
Appréciation générale :
Premier coup d'œil : énormément de fautes. Beaucoup d'étourderies, certes, mais quelques-unes qui font mal quand même.
Tu as donc tout changé ?
Une nouvelle personnage... on est supposée la reconnaître quand elle la nomme "Ambre" vers la fin ?
Parce que moi ça n'a pas fait tilt et je me suis dit que j'ai pu éventuellement rater quelque chose (m'enfin, depuis la date de ma dernière lecture de ton texte aussi ^_^)
L'échange est intéressant, mais finalement on apprend rien de nouveau... si ? Que Catherine en pique pour Tristan, ça on le savait.
Qu'il y avait du surnaturel dans l'air avec des esprits pas gentils... aussi =P.
Donc... ?
J'attends une petite explication de ta part et, si possible, un petit résumé qui recadre.
J'aime poser des questions sur les œuvres des auteurs : ça les fait réfléchir dessus et se stabiliser.
Et parfois même, ça leur donne l'inspiration !
=> accent sur le A majusculeA sa mort, catherine avait tenté de comprendre les lois qui régissaient la création des fantômes.
=> majuscule à "Catherine"
=> Pourquoi mettre le premier "tel" au masculin ?Pourquoi tel ou telle personne plutôt qu'une autre ?
=> forme : apparenceEn apparance, il n'y avait aucune règle
=> Forme : quels que soient (il faut accorder avec tous les sujets, c'est-à-dire : religion, talent et génie)quelle que soit la religion, le talent ou le génie
=> forme : qui lui ouvriraitd'une clef qu'il lui ouvrirait la porte de la raison.
=> forme : oubliées (accord)Catherine avait rencontré des créatures oubliés
=> forme : clairesLes frontières du monde n'étaient pas aussi clairs qu'elle l'avait cru.
=> forme : n'était pas (accord avec le dernier)Le dernier des vampires n'étaient pas à cet instant même en train de décider du sort de sa race ?
=> forme : avaientIl fut un temps où les chamans avait encore du pouvoir,
=> forme : s'amplifiaitpersistait et s'emplifiait.
=> forme : petits et insignifiants (accord des adjectifs)jadis si petit et insignifiant,
=> maladresse : comment peux-tu mettre "et" alors que les deux idées sont en contradiction ? Il faut au moins un "mais" même si je trouve la réfléxion un peu absurde (comment peut-on être terrible tout en étant faible ?)les hommes terribles et faibles
=> forme : certainscertain tentaient encore de dominer l'obscurité du monde
=> maladresse de scénario : plus si jeune et plus si fille puisque c'est un fantôme de cadavreLa jeune fille ne pouvait qu'assister impuissante au déroulement de sa vie.
=> maladresse : comment peut-on surgir doucement ? Sachant que "surgir" c'est justement une notion de rapidité ?Une forme noire surgit doucement à ses côtés.
=> forme : failliJ'ai faillis perdre une vie bordel.
=> forme : fallu (accord)Il n'avait pas fallut longtemps à la femme chat pour comprendre son attirance
=> forme : transformée (accord)Le sentiment avait été si fort que Catherine s'était presque transformé en démon.
=> forme : se fairesurtout quand on doit fuir sous peine de ce faire capturer par le camp adverse.
=> forme : résisté (pas d'accord avec l'auxiliaire avoir)Elle n'avait toutefois pas résistée à l'envie de voir un peu « son » Tristan.
=> forme : avaient (accord)les humains avait du affronter un vrai démon de la jalousie
=> forme : calmants et cauchemars (forcément, s'il y en a trop...)Sa mère le bourrait de calmant parce qu'il faisait trop de cauchemar.
=> forme : s'étiraLa femme chat s'ettira.
=> forme : disparutLa femme chat lui montra les dents en guise de salut puis disparu dans la nuit.
Appréciation générale :
Premier coup d'œil : énormément de fautes. Beaucoup d'étourderies, certes, mais quelques-unes qui font mal quand même.
Tu as donc tout changé ?
Une nouvelle personnage... on est supposée la reconnaître quand elle la nomme "Ambre" vers la fin ?
Parce que moi ça n'a pas fait tilt et je me suis dit que j'ai pu éventuellement rater quelque chose (m'enfin, depuis la date de ma dernière lecture de ton texte aussi ^_^)
L'échange est intéressant, mais finalement on apprend rien de nouveau... si ? Que Catherine en pique pour Tristan, ça on le savait.
Qu'il y avait du surnaturel dans l'air avec des esprits pas gentils... aussi =P.
Donc... ?
J'attends une petite explication de ta part et, si possible, un petit résumé qui recadre.
J'aime poser des questions sur les œuvres des auteurs : ça les fait réfléchir dessus et se stabiliser.
Et parfois même, ça leur donne l'inspiration !
Re: La voix des morts
Merci pour la correction. J'ai changé pas mal de trucs. Notamment la description d'Ambre qui vient au début. Et y a plein de fautes...
Pour la raison qui lie Catherine et Ambre, je sais pas trop. Ca viendra après je pense.
Pour ce qui est des raisons de sa mort et de son occupation pour Tristan... Ah bin ça va venir, je peux pas dévoiler toutes mes cartes tout de suite ^^.
Pour la différence de style... Et bien, c'est Catherine le sujet ici, donc elle n'a pas la même façon de penser que Tristan. J'ai donc essayé de retranscrire ça.
Et non Pacô, je te ferrai pas de petit résumé. Si j'introduis un nouveau personnage, je sais pourquoi je le fais.
Pour la raison qui lie Catherine et Ambre, je sais pas trop. Ca viendra après je pense.
Pour ce qui est des raisons de sa mort et de son occupation pour Tristan... Ah bin ça va venir, je peux pas dévoiler toutes mes cartes tout de suite ^^.
Pour la différence de style... Et bien, c'est Catherine le sujet ici, donc elle n'a pas la même façon de penser que Tristan. J'ai donc essayé de retranscrire ça.
Et non Pacô, je te ferrai pas de petit résumé. Si j'introduis un nouveau personnage, je sais pourquoi je le fais.
Lou- Shérif(ette)
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Re: La voix des morts
Tiens, j'avais pas fait gaffe à ce petit roman jusque là;
J'suis pas très en veine pour faire des commentaires très détaillés en ce moment donc je te donnerai surtout des impressions générales.
chapitre 1
On rentre bien dans l'histoire avec ce premier chapitre.
J'aime bien la façon naturelle dont les éléments surnaturels (justement) apparaissent; les dialogues sonnent très bien ( par contre pas de majuscule arès un ? ou un ! lorsque qu'un dialogue est suivit d'une incise comme par exemple "-T'as dit quoi ? demanda Paco."
Une critique négative : commencer par une description de la chambre. C'est jamais bien adroit pour débuter un chapitre, sauf si l'environnement a vraiment son importance, mais là c'est du banal que tu décris.
paraissait vaut mieux éviter ce type de verbe : sembler, paraitre, etc c'est de la voix passive déja, dire que tristan aime le coté triste du mur est plus dynamique
Sinon, plus globalement, attention aux tournures et au vocabulaire parfois très oral. Je t'en souligne quelques unes au passage. C'est pas très heureux dans un récit littéraire; Faut essayer d'avoir un registre un poil plus soutenu ( sauf à en faire un style vraiment à soi, mais là c'est pas ton cas puisque tu alternes avec un style littéraire puis oral, voir relaché, sans cesse ).
J'suis pas très en veine pour faire des commentaires très détaillés en ce moment donc je te donnerai surtout des impressions générales.
chapitre 1
On rentre bien dans l'histoire avec ce premier chapitre.
J'aime bien la façon naturelle dont les éléments surnaturels (justement) apparaissent; les dialogues sonnent très bien ( par contre pas de majuscule arès un ? ou un ! lorsque qu'un dialogue est suivit d'une incise comme par exemple "-T'as dit quoi ? demanda Paco."
Une critique négative : commencer par une description de la chambre. C'est jamais bien adroit pour débuter un chapitre, sauf si l'environnement a vraiment son importance, mais là c'est du banal que tu décris.
sérieux presque comique, c'est un commentaire du narrateur, ça nous rappelle qu'on est dans un roman, bof et en plus c'est un cliché/stéréotype...
Allongé sur son lit, Tristan contemplait les fissures de son plafond avec un sérieux presque comique. Le mur gris et pourri lui paraissait presque beau après la journée qu’il avait passée au lycée. Sa chambre était tout ce qu’il y a de plus banal pour un adolescent de dix-sept ans : posters, étagères, chaîne hi fi, une vieille guitare à laquelle il manquait une corde posée dans un coin. Le seul objet un peu étrange, pour un garçon du moins, était un ours avec un petit nœud rouge posé sur le bureau. La peluche se mit à parler.
paraissait vaut mieux éviter ce type de verbe : sembler, paraitre, etc c'est de la voix passive déja, dire que tristan aime le coté triste du mur est plus dynamique
c'est personnel, mais les parenthèses dans un récit, bof; on en met dans une dissert chiante, pas dans un roman censé nous passionner.
Depuis qu’il avait découvert ce don étrange (il avait huit ans, et sa grand-mère morte depuis deux semaines lui avait soufflé les réponses d’un contrôle) les fantômes avaient fait de lui leur confident, conseiller et psy.
Sinon, plus globalement, attention aux tournures et au vocabulaire parfois très oral. Je t'en souligne quelques unes au passage. C'est pas très heureux dans un récit littéraire; Faut essayer d'avoir un registre un poil plus soutenu ( sauf à en faire un style vraiment à soi, mais là c'est pas ton cas puisque tu alternes avec un style littéraire puis oral, voir relaché, sans cesse ).
Tout ce cirque ne l’aidait pas dans sa vie sociale : il avait beau essayer, les autres n’aimaient pas trop les dingues qui parlaient tous seuls. Et puis, essayez de déclarer votre flamme à une fille alors qu’un abruti vous répète dans l’oreille de quelle façon atroce et dégoûtante il est mort. Bref, son seul ami était un fantôme. Une fantôme pour être précis. Catherine, dite Cathe. Age : quinze ans. Age réel : inconnu. Visage : inconnu. Mort : inconnue. Il ne connaissait pas grand-chose d’elle, et pourtant Dieu sait si elle pouvait parler. Ils avaient une sorte d’accord tacite : il l’écoutait raconter ses humeurs en long et en large, et elle le protégeait des attaques intempestives des autres fantômes. Leur relation était toujours un peu houleuse, mais il avait fini par l’aimer… un peu trop d’ailleurs. Ne pas la voir lui posait parfois problème : un jour, il aurait juré l’avoir entendue rire alors qu’il prenait sa douche. Mais elle n’avait jamais voulu l’avouer. Les filles vraiment ! Même mortes elles ne s’amélioraient pas. Le coussin qui lui atterrit en pleine figure le sortit assez brutalement de ses pensées.
Tristan tira la langue à l’endroit approximatif où il pensait qu’elle se trouvait, c'est-à-dire l’armoire. Malheureusement, un rire étouffé l'avertis que la jeune fille avait déjà changée de place. Il se retrouva donc comme un idiot.
Re: La voix des morts
Salut, c'est mon tour.
Je reprends au 1er chapitre
Je reprends au 1er chapitre
Chapitre 1
Allongé sur son lit, Tristan contemplait les fissures de son plafond avec un sérieux presque comique. Le mur gris et pourri lui paraissait presque beau après la journée qu’il avait passée au lycée. Sa chambre était tout ce qu’il y a de plus banal pour un adolescent de dix-sept ans : posters, étagères, chaîne hi fi tiret entre hi et fi , une vieille guitare à laquelle il manquait une corde posée dans un coin tu énumères des objets sans article puis tout à coup une vieille guitare ; de plus je ne suis pas sure que des étagères soient très typiques d'une chambre d'ado, enfin pas plus qu'une chambre de parents alors j'aurai mis "Sa chambre était tout ce qu’il y a de plus banal pour un adolescent de dix-sept ans : des posters, des jeux vidéo, une chaîne hi fi, et, dans un coin, tronait une vieille guitare à laquelle il manquait une corde".
Le seul objet un peu étrange, pour un garçon du moins, était un ours avec un petit nœud rouge posé sur le bureau. La peluche se mit à parler. comme tu le détailles j'aurais mis "était l'ours avec un..."
« Je suis désespérée »
Tristan eut un sourire, qui dévoila deux petites fossettes au coin de ses joues.
« Toi, désespérée ? Et tu comptes faire quoi, te suicider ?
- Ha, ha, très drôle monsieur le comique, je suis littéralement morte de rire. »
L’ours s’éleva dans les airs et vint s’écraser sur le jeune homme.
« Et tu ne veux pas savoir pourquoi je suis désespérée ? »
Cette fois, la voix provenait de la bibliothèque.
Après un gros soupir exaspéré, après tout, il estimait avoir mérité le repos, Tristan abandonna sa contemplation du plafond pour se tourner vers son amie.
J'aurai plutot mis des tirets : "Après un gros soupir exaspéré — après tout, il estimait avoir mérité le repos — Tristan abandonna "
Il ne pouvait pas la voir, mais l’entendre lui semblait déjà amplement suffisant.
« Ecoute, Cathe, je dois avouer que le désespoir d’un fantôme ne me branche pas vraiment, mais si tu y tiens, je suis là pour t’écouter. »
Et je n’ai pas vraiment le choix, pensa-t-il.
Depuis qu’il avait découvert ce don étrange (il avait huit ans, et sa grand-mère morte depuis deux semaines lui avait soufflé les réponses d’un contrôle) les fantômes avaient fait de lui leur confident, conseiller et psy. Tout ce cirque ne l’aidait pas dans sa vie sociale : il avait beau essayer, les autres n’aimaient pas trop les dingues qui parlaient tous seuls. Et puis, essayez de déclarer votre flamme à une fille alors qu’un abruti vous répète dans l’oreille de quelle façon atroce et dégoûtante il est mort. Bref, son seul ami était un fantôme. Une fantôme pour être précis. Catherine, dite Cathe. Age accent sur A : quinze ans. Age réel : inconnu. Visage : inconnu. Mort : inconnue. Il ne connaissait pas grand-chose d’elle, et pourtant Dieu sait si elle pouvait parler. Ils avaient une sorte d’accord tacite : il l’écoutait raconter ses humeurs en long et en large, et elle le protégeait des attaques intempestives des autres fantômes. Leur relation était toujours un peu houleuse, mais il avait fini par l’aimer… un peu trop d’ailleurs. Ne pas la voir lui posait parfois problème : un jour, il aurait juré l’avoir entendue rire alors qu’il prenait sa douche. Mais elle n’avait jamais voulu l’avouer. Les filles vraiment ! Même mortes elles ne s’amélioraient pas. Le coussin qui lui atterrit en pleine figure le sortit assez brutalement de ses pensées.
J'aime beaucoup ton entrée en matière, et les exemples que tu donnes...très fluide.
« Dis donc Iseult, tu dors ? Râla Catherine. Je te parle et tu pourrais au moins avoir la politesse de faire semblant de m’écouter. »
Tristan tira la langue à l’endroit approximatif où il pensait qu’elle se trouvait, c'est-à-dire l’armoire. Malheureusement, un rire étouffél'avertisl'avertit que la jeune fille avait déjà changéede place. Il se retrouva donc comme un idiot.
«Je t’ai disque je t’écoutais, alors vas-y. Je t'ai dit
- D’accord, d’accord. »
Au son de sa voix, Tristan sentit qu’elle souriait. Pour la millième fois, il se demanda qu’elle apparence elle pouvait avoir.
« Je ne sais pas quoi faire, poursuivit Catherine, quand on est mort depuis aussi longtemps que moi, le pire ennemi c’est…
- …L’ennui, compléta le garçon. Je sais bien, mais que veux-tu que j’y fasse ? Moi je suis vivant, je vais en cours, je dors, je mange. Toi tu es morte, tu traverses les murs, tu voles, tu es éternelle. On n’est pas au même niveau.
- N’oublie pas que quand tu es dans les parages, je peux aussi saisir les objets.
Oui, encore un phénomène étrange. En tout cas, Catherine était devenue la seule jeune fille de sa connaissance à pouvoir le battre à Counter Strike.
Alors là je trouve qu'il y a un problème de narration. Qui parle ? une troisième personne ? dans ce cas je n'aurai pas mis le "oui, encore un phénomène" mais juste "Un phénomène étrange de plus" ou quelque chose comme ça.
- Tout ça pour dire que je ne sais pas quoi faire.
- Mais je ne demande pas grand-chose, je veux juste un peu d’action !
Cathe poussa un petit cri plaintif et la porte de la chambre trembla dangereusement.
- Bon, si tu ne veux rien faire avec moi, je m’en vais, poursuivit-elle. Salut et à demain.
Un petit souffle de vent effleura la joue du garçon, puis le silence revint dans sa chambre. Décidément, cette fille lui pourrissait la vie plus qu’autre chose. Alors, pourquoi ses joues étaient-elles si rouges ? Et malgré cette journée infernale à subir les moqueries incessantes des autres élèves, pourquoi se sentait-il si heureux ? Il y avait bien une réponse, mais il en avait un peu peur. Tristan secoua la tête pour se changer les idées. Il avait encore beaucoup de devoirs, et s’il voulait avoir son année, il avait intérêt à s’y mettre dès maintenant. Les épaules courbées et traînant les pieds, il se dirigea à regret vers son bureau.
EvaDevilleroy- Talent Habitué
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