Re: Le Forum

[kat]

Mais je t'en prie. Pour les fraises je peux toujours t'en envoyer par avion mais ça risque de pas le faire

Il est dommage qu'il ne s'agisse que d'une nouvelle, une suite aurait été plaisante.

[nico4g]

On en reçoit par avion, je te laisse imaginer le prix...

Cette nouvelle est en fait extraite de mon premier roman. J'ai donc modifié la fin mais je ne suis pas sûr qu'elle soit compréhensible. Et toi, qu'as tu compris ?

[kat]

et des petites pieds pour planter des fraises dans le fond du jardin, ça reviendrait pas moins cher ?

Bon, tu vas te dire que je n'ai rien compris lol mais pour le moment je vois une femme blasée, mariée apparemment mais devant subir la compagnie de cette "chose" dans son lit. Elle brûle la vie par les deux bouts, bois, fume autre chose que du tabac, on dirait qu'elle n'aime pas les gens (rhoo cest tout moi ça ), qu'elle survit plus qu'elle ne vit. Puis elle voit un psy donc elle ne va pas bien, peut-être souffre-t-elle d'un handicap mental ? Peut-être a t-elle eu un comportement dangereux par le passé comme tuer des gens, poignarder son employeur (fantasme personnel ) Il existe tellement de possibilités pour expliquer sa façon de se comporter.

Après évidemment, ce n'est qu'une impression que dégage ton extrait pour moi. S'il s'agit d'un morceau de roman, il pourrait y avoir tout autre chose à voir et à comprendre. Honnetement si tu postais le roman, j'aimerais pouvoir le lire afin de savoir où tu veux en venir (d'ailleurs je vois que tu n'as toujours pas repris ton roman sur les mangeurs de mcdo, c'est pas cool ça)

[nico4g]

Trop difficle à faire pousser ici car il faut trois semaines où les pieds doivent rester à 10°c, je crois.

Sinon, oui, tu as bien compris la première partie (le 1er message) mais je te parlais de l'intégralité ! (la nouvelle est décomposée en trois partie: le permeier message, un second message et Gean Philenim. Tu ne vois que la première s'afficher ?)

[kat]

mon dieu mais que je suis stupide parfois, en fait j'ai corrigé cette partie et entre temps j'ai occulté la suite... God... bon je te promets que je vais la lire et je te donnerais mon avis sur la totalité de la nouvelle.

Je me souviens de notre soirée. On accompagnait Steph pour qu’il fasse dédicacer son livre par Werber, après la projection de son film. Y avait plein de monde, alors nous, on est allé au bar d’en face sans Steph. Comme d’hab’, on s’en est mis une belle. Chacun est rentré, sauf moi, je me suis rappelée de Steph. Il restait encore une putain de foule, même si le film était fini depuis longtemps. J’ai réussi à entrer dans le ciné avec un p’tit champi pour me donner du courage (pour se droguer, les raisons les moins bonnes sont souvent les meilleures). Pas de Steph en vue. Merde. En plus, la bière que j’avais descendue trouvait qu’elle était restée suffisamment de temps avec moi. Cette copine emmène toujours mes saletés avec elle, j’allais donc pas la contrarier.
Coup de bol, c’est dans le couloir des chiottes que j’ai retrouvé Steph : il lisait son bouquin adossé au mur.
— Qu’est–ce tu fous là ? me demanda–t–il.
— J’ai envie de pisser, c’est bien là qu’il faut aller, non ? Et toi ?
— J’attends Bernard pour une discussion privée, il fait chaud et il a beaucoup bu.
— T’es sûr que c’est le bon endroit ?
— Mais oui.
— T'es pas bien comme mec. Bon, tu m'excuses, mais je m’en voudrais de me pisser dessus quand je suis à côté des chiottes.
Je commençais à descendre ma culotte. J’avais des vertiges. Le champi était en train d’être digéré.
C’est à ce moment que je les ai entendus.
— Qui êtes–vous ?
— Monsieur Werber, je suis, si ce n’est le plus grand, votre plus gros fan.
« Quel con !», pensai–je, en regardant par l’interstice de la porte.
— J’aimerais savoir qui est le déicide, j’en dors plus, et puis si vous pouviez me dédicacer mon livre, s’il vous plaît.
Werber l’a regardé d’un air étrange, ses yeux ont brillé. « J’ai faim », a–t–il murmuré.
— Vous avez le même regard que lorsque vous observez la poitrine de vos admiratrices. Vous savez, vos fans ont remarqué que vous étiez attiré par les seins.
— Oui, ces amas sont constitués principalement de graisse, c’est pour cela que je les aime.
— Alors, vous allez m’adorer. Ah, ah, ah !
— Je pense.
Werber s’est mis à... grandir. Sa bouche a commencé à s’ouvrir, puis à se distendre démesurément, monstrueusement. Ses dents semblaient se multiplier. Steph n’a pas bougé, à part ses yeux, qui se sont écarquillés. L’écrivain a alors pris mon ami par la taille, comme si c’était véritablement un bébé, puis il a gobé la tête de Steph, sa bouche, puis son ventre, et enfin le reste de son corps. Une lumière rouge s’échappait de l’ouverture béante qui lui servait de gueule.
— Burp !
Là, mon cerveau est parti en vrilles. Black out.

« Qu’est–ce tu regardes comme ça ! »
La prostituée à la télé me tire de mes songes.
— Ouah ! Putain, c’était quoi comme champi ? Ah, ah, ah !
Je rigole, mais le goût métallique que j’ai dans la bouche montre à quel point je suis touchée. Pour une hallu, c’était méchamment réel.
Pas le temps d’y réfléchir, mon portable sonne.
— Ouais ?
— C’est moi, t’as pas vu Steph ? On devait se retrouver pour jouer à la Play. Pas chez lui et il est injoignable.
— Non, mon chou, mais si je le vois, je lui dis de t’appeler.
— Ça va toi ? T’as l’air bizarre.
— Ouais, les champis de Rico sont extras.
— Fais gaffe avec ça.
— Oui maman, à plus.

Que se passe–t–il ? Je dois savoir.

*****

Ceci est la dernière page du Journal de Mélina, mon amie. Elle aime écrire. Je me suis permis de le regarder. Il était posé sur sa table, ouvert à cette page. Cela fait trois jours que je ne l’ai pas vue. Introuvable, comme Steph.

Je ne sais pas quoi dire Je suis partagée entre horreur et fascination. Cela dit, je trouve que cette partie est beaucoup moins claire que la précédente, j'ai parfois du mal à comprendre qui parle dans la continuité dialoguée. Du coup, je ne pense pas un jour ouvrir un livre de B. Werber maintenant que je l'imagine en monstre. Bon la suite.

[kat]

— Putain, Marguerite, qu'est–ce que tu lis encore ces conneries ! Alors, moi je me casse le cul pour ramener à bouffer, et toi, tu lis ces trucs débiles, t'es vraiment mauvaise à tout (ça sonne étrange, c’est vrai que je connais plus l’expression t’es bonne à rien que mauvaise à tout).
Aïe ! Absorbée par ma lecture, je n'ai pas entendu Bernard entrer. Vite, une excuse.
— C'est un livre de Bernard Werber. Tu sais, tu me manques tellement pendant la journée. Lire un écrivain, qui a le même prénom que toi, me donne ainsi un peu l'impression que c'est toi qui m'écris.
— Tu me prends pour un con ! (limite quand même lol) Ça n'a rien à voir, sinon j'aurai appelé mon fils Jean Marie !
Notre fils, rectifie–je intérieurement.
— Tu l'as quand même appelé Bruno (point)
Erreur. Fatale.
Ne pas lui tenir tête, sinon il vérifie que la mienne tient toujours solidement sur mes épaules, au propre comme au figuré.
La frappe est sèche et instantanée. Elle m'atteint au niveau de la pommette droite. Un revers de la main, comme on balaie une mouche. Je saigne comme j'ai déjà saigné des milliers de fois auparavant.
— Toi, c'est pas par hasard que tes parents t'ont donné le nom d'une vache. Va te débarbouiller, Bruno va rentrer de l'école et il va vraiment te trouver maladroite.
Je ne pleure plus, comme si mes yeux avaient déjà versé tout leur saoul. Bientôt, je vais perdre la tête aussi, au propre comme au figuré, ah ! ah ! ah ! Le rire, même s’il est sans joie, est mon dernier refuge.

J'ai appris que l'on s'habitue à tout, on s'adapte même au pire. Devant le miroir, je me remémore ma rencontre avec cet homme, tellement prévenant, attentionné, qui m'avait aidée à surmonter la perte de mes parents. Je l'avais rencontré au centre commercial où je faisais mes courses, il y est toujours vigile. Cet homme au corps imposant – surtout maintenant que la graisse a remplacé les muscles – et au regard décidé, m'avait tout de suite plu. Il avait l'air rassurant. J'avais perdu mon porte-monnaie dans le centre commercial. Si on le retrouvait, il m'appellerait. C'est ce qu'il a fait, il m'a même proposé un verre, il ne travaillait pas ce jour–là...
Tout a été très vite, trop vite, je m'en rends compte maintenant : le mariage, la naissance de Bruno, les coups, les humiliations, l'isolement.
Aujourd'hui, ça fait dix ans. Bien sûr, cela fait longtemps que l'on ne fête plus notre anniversaire de mariage, ni même nos anniversaires (des conneries pour faire vendre, m'a dit Bernard). Il reste les victoires du PSG, seuls moments de répit où je n'ai pas à faire attention au moindre détail. Je n'ai jamais aimé le foot (c’est quand même stupide de courir après une balle, on n'est pas des chiens), mais je suis la plus grande supportrice de ce club, croyez–moi sur parole. Dans le salon, je devine Bernard en train d’allumer sa télé.
*****
Putain, quelle journée de merde. Cette petite salope a osé porter plainte. Ça fait maintenant deux ans que j'aide les femmes à garder leur honneur contre une petite compensation, et c'est la première fois qu'il y a une ingrate. Pourtant, elles devraient savoir que le vol est puni, que leurs crimes se répercutent sur la qualité de mon travail. Je leur demande juste de me déstresser, de payer leur faute d'une façon discrète et rapide (tout dépend de leur savoir faire sur ce dernier point).
Et voilà que cette allumeuse, que je vois sur nos caméras, vole un string et ne veut pas expier son péché. Pire, elle ose s'en vanter au responsable. Quelle petite pute.
En plus, ce connard de directeur ne m'aime pas. Il me soupçonne de dérober des articles. Il ne sait pas que c'est là la juste rétribution de mon excellent travail : pas une des voleuses appréhendées n'a récidivé.
Alors, quand je rentre, j'aimerais que la grosse soit reconnaissante du sacrifice quotidien que je fais pour la nourrir. Elle pourrait faire autre chose que lire ces débilités qui lui montent à la tête. Est–ce trop demander ?
Au fait, le PSG joue cet aprèm : coupe d'Europe, s'il vous plait. Allez les gars, c'est le moment de se sortir les doigts du cul ! Maintenant que j'y pense, je crois que c'est la solution à mon souci : je vais violer le directeur, ça devrait plaire à cet enculé, ah ! ah !ah !
*****
Bruno rentre de l'école. Il a la tête basse et le visage renfrogné. Que s'est–il encore passé ?
Depuis quelques temps, il se rapproche de son père et subit sa mauvaise influence : bagarres et insultes font désormais partie de son quotidien, et ses notes, jadis excellentes, dégringolent.

— Qu'y a–t–il Bruno ?
— La maîtresse veut que vous veniez la voir, j'ai embêté une fille.
Bernard, sans quitter son match des yeux, lui demande ce qu'il a fait.
— Ben, y a une fille qui la ramène souvent dans la classe, alors j'ai fait comme tu m'as dit : je l'ai soulagée là où ça la démangeait, avec mon doigt, mais j'ai dû le faire trop fort, car elle a saigné et elle s’est mise à pleurer.
— Ah ! ah ! ah ! Lorsque je t'ai dit que certaines filles sont comme des machines à sous, ce n'est pas toujours le doigt qu'il faut introduire dans leur fente pour jouer et gagner. (ah ouais, ça va loin quand même)
Mon Dieu, l'ignominie de cet homme n'a pas de bornes. J’ai trouvé le moyen de m'évader, quelque peu, de cet enfer grâce à la lecture, mais je ne peux fuir davantage : mon fils devient un monstre. Il faut réagir ! Reste à savoir comment...

Qu'est–ce qu'elle a, à me regarder comme ça ? Marguerite ne doit pas partager mon point de vue sur ses semblables. Sait–elle seulement que je rêve parfois d'enduire son visage porcin de miel, puis de l'attacher dans la cave, afin de voir ce que les petites bêtes pourraient arranger à sa face de lune ? Juste pour « sa–voir ». T'as de la chance Marguerite, les grecs ont été laminés, 3–0 : c'est eux qui l'ont eu dans le cul. Faut dire qu’ils aiment ça.

Ma nuit est sans sommeil. La révélation d'un évènement majeur, et les ronflements de Bernard, m'ont empêché de fermer l'œil (d'habitude, les coquards ne m'en laissent pas le choix). Aujourd'hui, c'est le grand jour de la semaine : je sors ! Avec Bernard, certes, mais je sors : c'est le jour des courses. Ma pommette est un peu enflée, mais le fond de teint fait des merveilles, et puis, qu'est–ce que je suis maladroite tout de même !
Les rues de la ville sont des artères où mon âme exsangue peut circuler à nouveau, après avoir souffert d'hibernation forcée. Je ne manque rien du spectacle vivant qui m'est offert, dévorant des yeux ce festin d'images et de visages, si exceptionnel. Mon fils a toujours été l'excuse à ma réclusion, mais chaque sortie me rappelle combien ma vie est différente de la Vie. Ma déambulation s’arrête brutalement.
C'est lui, je le reconnais. Pas de doute possible, son visage m'est souvent apparu avec clarté lors de mes trop rares rêves.

— Bernard, c'est l'écrivain dont je te parlais hier. Il est là, sur le trottoir d'en face ! Je t'en prie, demande–lui un autographe, je ferai ce que tu veux ce soir.
— Mais tu fais déjà ce que je veux, même si c'est très mal fait. Cependant, comme je suis un grand homme, et que tu es trop gourde pour lui demander, je vais aller le voir.

Bernard rattrape Monsieur Werber et l'accoste. Je devine que mon écrivain fétiche cherche un stylo, sans en trouver. Il invite mon mari dans une ruelle. Je ne les vois plus, plantée là à attendre mon trésor. Au bout d'un moment, une faible lueur rouge s'échappe de l'impasse obscure. J'attends toujours, me demandant ce qu'ils peuvent bien se raconter (Bernard, je t'en prie, ferme–là). Finalement, une voiture sort et passe à côté de moi. C'est lui ! Le talentueux auteur. Il me regarde à peine, les yeux mi–clos comme lorsque l'on a trop mangé (c'est étrange de penser cela, pourtant c'est ce qui me vient à l'esprit). Mais que fait Bernard ? Je vais le rejoindre dans la ruelle. Personne ! Pas même un chat. Même s'il fait relativement sombre, je me rends à l'évidence : Bernard n'est plus là, il a disparu.

*****

Ceci est le déroulement des évènements que j'ai pu reconstituer, d'après le témoignage de « Marguerite X » (elle tient à garder l'anonymat), et des diverses investigations que j'ai pu mener sur place. Toute personne, qui aurait vécu ce genre d’histoire « singulière », est priée de me contacter afin de m'aider à retrouver mes amis : Mélina et Stéphane. Je tiens à préciser que la police chargée de l'affaire n'a « pas d'éléments nouveaux » et qu' « aucun fait ne pourrait, à cette heure, rapprocher l'écrivain Bernard Werber de ces disparitions ».

Ok, pour l'instant je retiens que c'est une femme battue par son époux. Ce qui explique le fait qu'elle survive plus qu'elle ne vive. Je retiens aussi que monsieur Werber a un rapport direct avec la disparition du boureau (et que c'était pas le p'tit champi de la dernière fois). J'apprécie toujours autant le style quoique je note une grande différence avec le 1er extrait plus cru, plus acide.

Vais lire le dernier extrait.

[kat]

Ok, en fait je crois que j'étais à côté de la plaque, je pensais que la femme du premier extrait etait aussi celle du second, d'où mon étonnement du changement de style et de façon de parler. Je crois que j'ai compris : en fait c'est un jeune écrivain qui écrit plusieurs nouvelles horribles (d'où le nom contes horribles évidemment ) dans l'espoir de se faire remarquer par son auteur préféré le sieur Werber. Est ce que j'ai bien compris ?

[nico4g]

Tu as compris l'essentiel !
Le premier message installe le doute.
Le second message confirme l'idée du premier (B. Werber est un monstre ou un E.T.)
Le troisième marque la surprise et montre la manipulation
La conclusion est dans le style Usual Suspect et oui, il a écrit ces messages dans le but de se faire remarquer par B. Werber avant de mourir.
Enigme : pourquoi est-il écrit un rêve porté par un ange et un nephilim ?

Sinon, les contes horribles, c'est moi qui les écrit et pas pour me faire remarquer par Werber

[kat]

Enigme : pourquoi est-il écrit un rêve porté par un ange et un nephilim ?

jsuis un peu dans le paté là mais en effet si la mort est proche, un ange se doit de lui donner l'espoir de terminer son oeuvre avant de partir. À moins que l'ange n'écrive lui-même par le biais de la main de notre homme à l'agonie

Je dirais que le soucis de l'ensemble, c'est qu'on aurait tentance à vouloir s'obstiner à raccorder chaque nouvelle l'une avec l'autre par le biais des personnages mais le seul point commun, c'est B. Werber.

[nico4g]

La réponse par MP. Indice : il existe un autre point commun...

[kat]

rhoooo la la... bon je vais me triturer les meninges

[Pacô]

Je me suis permis de relire en travers ton extrait et il y a ceci qui a encore retenu mon attention :

Saviez–vous que ¾ des crimes restent impunis ?

=> pourquoi ne pas écrire "trois quarts" ?

N'en déplaise à Monsieur Sarkozy, l'incompétence des forces de l'ordre en est grandement responsable. Une faible part de cette fraction est à allouer aux meurtres, et, parmi elle, une portion infime me revient.

=> ah non, tu ne vas pas dire qu'il faut encore plus de forces de l'ordre ?
=> et un truc qui ne me paraît pas logique : c'est quoi le rapport que les meurtres soient responsables des crimes restés impunis ? Je veux dire par là, le meurtre est par définition un crime, mais ce n'est pas parce que c'est un meurtre qu'il reste impuni. Tu aurais dit un truc du genre "par l'intelligence malsaine des meurtriers" pourquoi pas. Ou encore "par le bras long des gros poissons" etc. Oui !

Ensuite, la fin tu l'as rajouté, non ?
Je crains être un peu dans le brouillard ; peux-tu m'en dire un peu plus avant que je ne me prononce ?

[nico4g]

@ kat : tu donnes ta langue de chat ? (j'aime bien ces biscuits qui sont mes madeleines).

@ Pâco : bon, je fais les modif suite à tes remarques aussi justes que le commercial dans l'étrange magasin de Monsieur Hoffman

ah non, tu ne vas pas dire qu'il faut encore plus de forces de l'ordre ?
=> et un truc qui ne me paraît pas logique : c'est quoi le rapport que les meurtres soient responsables des crimes restés impunis ? Je veux dire par là, le meurtre est par définition un crime, mais ce n'est pas parce que c'est un meurtre qu'il reste impuni. Tu aurais dit un truc du genre "par l'intelligence malsaine des meurtriers" pourquoi pas. Ou encore "par le bras long des gros poissons" etc. Oui !

Non, je te rassure, de la qualité plus que la quantité.
Sinon, tu as mal compris ma phrase ou alors je me suis mal exprimé : je voulais juste (^^) dire que parmi les trois quarts de crimes restés impunis et bien une très faibles part de ces crimes correspond aux meurtres.

Sinon, de quelle fin tu parles ? du dernier paragraphe ? en ce cas, oui, il a été ajouté afin de clore en nouvelle.

Je crains être un peu dans le brouillard

Comme dirait Woody : "Ne me dites pas en plus qu'il fait nuit"

[kat]

kat : tu donnes ta langue de chat ? (j'aime bien ces biscuits qui sont mes madeleines).

ça m'enerve, j'aime pas donner ma langue au chat, j'ai cherché, et cherché, relu les extraits et recherché... mais je trouve PAS !
donc jvas être obligée de te la donner...

[nico4g]

Réponse envoyée, j'attends ta langue de chat... ou des fraises.

[Pacô]

Avec une bonne crème onctueuse ou une danette... miam !

Oui je parlais bien du dernier paragraphe, et ouf, je n'ai pas halluciné : je ne l'avais bien pas lu .

Pour l'histoire des crimes impunis, je n'avais pas du tout compris comme ça. Et en même temps :

Saviez–vous que ¾ des crimes restent impunis ? N'en déplaise à Monsieur Sarkozy, l'incompétence des forces de l'ordre en est grandement responsable. Une faible part de cette fraction est à allouer aux meurtres, et, parmi elle, une portion infime me revient.

Tu commences par dire que les forces de l'ordre en sont grandement responsable.
Et ensuite : "une faible part de cette fraction est à allouer aux meurtres".

Si tu fais le lien "responsabilités" = "meurtres".

Donc, c'est ambigu non ?

[nico4g]

Ah oui, fraises crème chantilly, un délice !

Sinon, vu sous cet angle, oui ça porte à confusion. Faudra que j'y réfléchisse.

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