La compagnie des dragons blancs
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Re: La compagnie des dragons blancs
Attila a écrit:Avec Eledif, nous étions (il faudra penser à le mettre au passé composé celui-là alors aussi. Je vais te mettre en gras et souligné tous ceux que je croiserai) en tête de file, puis venaient le Borgne, Félix et les gars qui nous avaient sauvés. Enfin, la charrette avec nos trois blessés graves et Arthur tentant de les guérir ainsi que sept des nôtres qui gisaient sans vie. Sept en tout et pour tout. Sept de trop. Nous avions perdu des frères d’armes, de valeureux compagnons qui avaient traversé les âges avec nous. Nous étions habitués à de telles choses, la mort était courante dans notre vie, mais tout le monde était attristé et nul ne parlait. Une morosité funèbre s’était donc abattue sur le convoi. Le cœur lourd, nous avancions d’un pas lent comme lors d’un enterrement. Le camp semblait si loin et traverser les ruelles sombres de la ville endormie s’avérait bien difficile. Nous étions tous fatigués, aussi bien physiquement que moralement, la nuit n’avait pas été de tout repos. Finalement, après une éternité, nous sommes arrivés au camp et ceux qui étaient restés là-bas nous ont entourés dans le calme, regardant avec peine le visage des défunts.
Je voulais placer le plus grand écart possible entre cette ville maudite et nous. Rester n’apporterait que des ennuis et serait offrir d’autres compagnons à la mort, les réactions du gouverneur et celles de sa garde n’allant sans doute pas être douces. Alors j’ai donné des ordres. Les hommes se sont activés comme des fourmis excitées. Ils pliaient les tentes, rangeaient le matériel et aménageaient les chariots, courant dans tous les sens pour préparer le départ.
La patronne est arrivée. Je lui ai fait signe de venir dans ma tente. Elle s’est assise en face de moi et seule une petite table nous séparait. D’un côté, un chef en colère avec des yeux crachant de l’amertume et de l’incompréhension. De l’autre, une fille souriante, jeune et jolie, qui n’était en faite qu’une vieille sorcière se jouant de la mort.
« Pourquoi ? Vous saviez que ce noble était une liche, alors pourquoi n’êtes-vous pas aller le tuer sans nous? ai-je beuglé en prenant l’initiative (oulah ^^. "beuglé" ne convient pas par son caractère familier. Ensuite "en prenant l'initiative" ... de quoi? Je sais bien de quoi, mais le dire s'avère maladroit et très lourd. Donc n'utilise pas cette formulation je pense. "l'ai-je interrogé à peine fut-elle installée.").
- Ne comprenez-vous pas ? Son manoir était une forteresse protégée par une multitude de gardes et de sorts magiques. Même lorsque il sortait dehors, c’était avec une protection imposante. Il était invulnérable. Alors j’avais besoin de vous, il me fallait un appât qui puisse le faire sortir de chez lui tout en l’éloignant de ses protections et de ses hommes. Et vous avez très bien agi (mal approprié. Ils ont pas agi, puisqu'ils ont été manipulés. Je sais pas si tu vois ce que je veux dire... "Et vous avez très bien jouer ce que j'attendais de vous" ) : ne s’attendant pas à une attaque et croyant juste avoir affaire à de pauvres justiciers, il est sorti vous attraper sans se préoccuper de ses défenses. Ainsi, il fut facile pour moi de le tuer, un jeu d’enfant si j’ose dire.
- Je n’aime pas vos manières, liche. Vous auriez pu nous prévenir !
- Auriez-vous accepté ? a-t-elle dit en souriant
- Non »
Je l’ai regardé d’une façon frisant le reproche (il ne lui reproche donc pas ? "frisant l'impolitesse et l'inconvenance" plus joli que l'irrespect) et l’irrespect. J’étais dégoûté, son simple sourire me répugnait, elle qui avait envoyé sept des nôtres à la mort. Nous étions simplement ses objets, un moyen pour parvenir à ses fins. Comme un de ses serviteurs mort-vivants ! Seule sa répugnante face (très familier ! "figure" "visage" ou "tête") de liche ne me laissait pas sortir de mes gonds.
« Voici un cadeau, pour la bravoure de vos hommes, a-t-elle dit en me tendant un petit objet rond et noir comme le néant. Si vous venez vers chez moi, vous n’aurez qu’à le présenter pour avoir de l’aide.
- Et où vivez vous ?
- En Terres Noires. »
Je me suis étouffé, les Terres Noires ! Et qu’irions nous faire là-bas ? C’était une île démoniaque à l’ouest d’ici qui avait échappé à l’autorité de l’empire. La seule loi en vigueur étant celle de la force, le crime y régnait en maître. Une île de fous ! Jamais je n’irais là-bas et jamais je ne voudrais la revoir. Qu’elle parte, qu’elle retourne sur son île et qu’elle nous oublie ! Parler des Terres Noires m’avait calmé. Ma colère avait fait place à l’inquiétude (à la terreur plutôt, vu sa réaction, inquiétude est beaucoup trop faible). Vivre en Terre Noire signifiait que l’on était un dangereux criminel, un mage noir, ou un démon assoiffé de sang. Qu’elle appartienne à l’une de ces classes ne me rassurait pas, je n’avais plus qu’une hâte : finir ce contrat et la voir disparaître à jamais. A croire qu'elle lisait dans mes pensées car elle m’a dit qu’elle allait chercher l’or de notre contrat, la dernière chose qui nous reliait à elle. Après, tout serait fini. Elle a pris un parchemin, l’a placé au sol puis elle a psalmodié une formule magique. Le glyphe du parchemin s’est illuminé. Soudain, une fumée a envahi la pièce. J’ai sursauté, deux squelettes ! Je me suis levé d’un bond et j’ai sorti ma lame
« N’ayez crainte ! Ils sont à mon service », a-t-elle gloussé
J’ai grogné et me suis rassis en posant ma lame sur la table d’un bruit sourd qui en disait long sur mon humeur. Les deux squelettes se tenaient devant moi, les mains sur un gros coffre. L’un d’eux portait l’armure d’un des gardes de la ville et j’ai dégluti. Elle avait dit qu’elle nettoyait le coin mais je ne pensais pas qu’elle le ferait de cette façon. Elle m’a souri en voyant mon regard ahuri et puis elle a ouvert le coffre. J’ai repris de l’assurance, il était rempli de pièces d’or, de joyaux et de rubis. Nous étions riches ! Il y avait bien plus d’or ici que ce que nous avions demandé pour le contrat.
« Voici votre paiement, mercenaire ! Merci et n’oubliez pas mon cadeau », a-t-elle dit.
Elle et les siens ont disparu. Il ne restait plus que le coffre, moi et son petit talisman. J’ai rapidement oublié notre commanditaire pour observer la boule ronde. Cet objet semblait maléfique. Sa puissance m’inquiétait, on aurait dit qu’il voulait aspirer mon âme. Il me faisait peur alors je suis rapidement sorti dehors et l'ai jeté dans la nuit. Après avoir entendu un ricochet, je suis reparti vers mes hommes, fier de mon lancer. J’allais définitivement oublier (répétition) cette histoire, cette femme et surtout, cette liche (pas de et surtout. Cette femme et cette liche sont la même personne. C'est incorrect de dire "et surtout" vu que c'est comme si tu annonçais qqchose de pire que cette femme...). La mission était terminée !
Je me suis avancé vers le troupeau (la troupe) formé(e) par nos compagnons. Ils étaient tous agglutinés autour de nos sept morts qui reposaient au sol. Les corps étaient recouverts de draps blancs, alors qu’à leur coté, reposait leur épée, sœur de bataille, et le drapeau de la compagnie, symbole de notre fraternité éternelle. Nous avons martelé nos boucliers en les frappant avec nos épées. C’était l’heure des morts, le chant d’adieu pour nos frères. Le vacarme, qui aurait pu réveiller toute la cité, ne m’inquiétait pas. Rien ni personne n’aurait pu les priver de cela. A ce moment-là, les conséquences m'importaient peu : qu’ils nous laissent pleurer la mort de nos compagnons. Mais, lentement, le chant métallique s’est stoppé. On est resté debout à les dévisager tandis que quelqu'un les enterrait. Puis, ils ont planté une stèle : « Ici repose sept des Dragons Blancs. Que leur repos soit éternel.» avec, en dessous, leurs noms.
Je suis alors retourné dans ma tente. J’ai rangé mes affaires, mis mon épée dans un fourreau et ramassé une tunique puis l’ai posée près d’un coffre. Une petite boule noire reposait dessus !
FIN
Bon ... la fin m'a un peu laissé sur ma faim. Disons que ... je n'ai trouvé aucune révélation. J'avais déjà compris que c'était qu'ils avaient été utilisés. Donc je m'attendais à une autre révélation.
Ensuite, fais bien attention! Si tu utilises le passé composé, pas d'imparfait ni de passé simple. C'est pour ça que la narration au passé composé est très laide et qu'elle convient mieux à l'oral ou dans un journal (un journal de presse). Parce que tous les verbes soulignés, tu es obligé de les mettre au temps que tu as voulu mettre.
Alors que le passé simple est beaucoup plus maniable, tu peux le dériver en imparfait, et il est surtout beaucoup plus esthétique sans tous les auxiliaires à mettre avant.
Bref, bah édite bien . Je jetterai un oeil pour voir ce que tu as modifié. Mais j'aurais bien vu, encore une fois, une chute ou un retournement de situation pour cette nouvelle !
Re: La compagnie des dragons blancs
Merci. Oui, c'est deja la fin. Mais bon, ne t'inquiete pas, sur ce sujet yia encore de quoi faire. Je compte faire de nouvelles nouvelles (hahah) sur la compagnie des dragons blancs et celle-ci ne sera pas vaine. (dans un roman, ce serait un peut l'élement declencheur si l'on peut dire ... Mais je ne veut pas faire un roman car je veux aborder d'autres personnages dans le meme univers sans rapport avec la compagnie, c'est pourquoi, j'utilise des nouvelles separées).
Bon, comme dhab, je tiens compte de tes remarques. Yia juste un truc qui me chagrine, c'est les verbes que tu ma souligné. Je suis pas d'accord avec toi. (enfin, j'ai pas regardé dans le detail mais dans la generalisation). Ce sont des verbes de descriptions, donc a l'imparfait ... je l'ai deja utilisé avant pour cela (regarde la marche du début, deuxieme partie) et yia pas eu de probleme. Alors pourquoi maitenant ^^
rien qu'un exemple
Bon apres, je sais que le passé composé est pas tres utilisé mais bon, c'est un choix ... De toute facon, c'est une sorte de biographie, donc personnellement, ca me derange pas.
Pour les édit, ne t'inquiete pas, je previendrais a chaque fois ^^ Je pense modifier les 2 premieres parties bientot, elles sont deja prête et en version "finale" (je met entre guillemet car il n'y a jamais de fin).
A bientot et encore merci pour tout ce que tu fait/a fait et dit/a dit ^^
Bon, comme dhab, je tiens compte de tes remarques. Yia juste un truc qui me chagrine, c'est les verbes que tu ma souligné. Je suis pas d'accord avec toi. (enfin, j'ai pas regardé dans le detail mais dans la generalisation). Ce sont des verbes de descriptions, donc a l'imparfait ... je l'ai deja utilisé avant pour cela (regarde la marche du début, deuxieme partie) et yia pas eu de probleme. Alors pourquoi maitenant ^^
rien qu'un exemple
Au passé composéla mort était courante dans notre vie
Elle ne l'est plu ? Bref, c'est bien de l'imparfait qu'il faut utiliser la, car c'est une description.La mort a été courante
Bon apres, je sais que le passé composé est pas tres utilisé mais bon, c'est un choix ... De toute facon, c'est une sorte de biographie, donc personnellement, ca me derange pas.
Pour les édit, ne t'inquiete pas, je previendrais a chaque fois ^^ Je pense modifier les 2 premieres parties bientot, elles sont deja prête et en version "finale" (je met entre guillemet car il n'y a jamais de fin).
A bientot et encore merci pour tout ce que tu fait/a fait et dit/a dit ^^
Attila- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 18/05/2009
Re: La compagnie des dragons blancs
Hum ... c'est bien justement tout le problème du passé composé.
L'imparfait ne doit pas être employé, donc tu es obligé d'écrire:
Le seul moyen de mettre en évidence le fait que c'est encore d'actu, c'est de ...
C'est donc pourquoi quasiment aucun roman ne relate une histoire du passé au passé composé. Parce que c'est trop contraignant. Mais si tu rédiges au passé composé, souviens-toi d'une chose: toutes les actions, tous les faits, tout en somme, sont terminées et n'existent plus dans le présent.
Si je ne l'ai pas relevé au début, c'est parce que je pensais que les passés composés étaient une erreur. Et que relever tous les verbes, c'est pas mon dada pour lire. Mais il faut absolument que tu changes tous tes verbes imparfait/passé simple de ton texte.Sinon, tu as toute une structure incorrecte.
L'imparfait ne doit pas être employé, donc tu es obligé d'écrire:
Tu es dans un journal, rappelle-toi. tTu rapportes les faits, et le passé composé transcende le présent. Si c'est passé composé, c'est que c'est révolu aujourd'hui !La mort a été courante
Le seul moyen de mettre en évidence le fait que c'est encore d'actu, c'est de ...
... mettre au présent de l'indicatif. Attention, en fais pas l'amalgame: descriptions = imparfait. Un texte au présent doit-il utiliser l'imparfait pour faire ses descriptions ?La mort est courante
C'est donc pourquoi quasiment aucun roman ne relate une histoire du passé au passé composé. Parce que c'est trop contraignant. Mais si tu rédiges au passé composé, souviens-toi d'une chose: toutes les actions, tous les faits, tout en somme, sont terminées et n'existent plus dans le présent.
Si je ne l'ai pas relevé au début, c'est parce que je pensais que les passés composés étaient une erreur. Et que relever tous les verbes, c'est pas mon dada pour lire. Mais il faut absolument que tu changes tous tes verbes imparfait/passé simple de ton texte.Sinon, tu as toute une structure incorrecte.
Re: La compagnie des dragons blancs
bah, je suis pas d'accord avec toi
regarde ici, c'est pas de l'art, mais du wikipedia. Et ca les genes pas
Fin bon, je vais ignorer ta remarque parce qu'elle me convient pas, voila tout. Merci quand meme
Au niveau des news, j'ai encore rien fait car j'ai la flemme la. Mais bientot, les corrections
regarde ici, c'est pas de l'art, mais du wikipedia. Et ca les genes pas
Pour moi, lorsque on utilise du passé composé, en action ou en narration, on peut utiliser de l'imparfait en description ... D'ailleurs, personne ne m'a reproché cela avant que tu le dise ^^Songeur, le chien est rentré dans sa niche. Après qu’il eut croisé / a croisé[1] précautionneusement ses pattes avant, il a posé délicatement son menton dessus et s’est bientôt trouvé plongé dans un abîme de réflexions. Il n’avait pas aperçu le chat de toute la matinée. Au début, ça ne l’avait pas gêné outre mesure, il se sentait même exceptionnellement guilleret, mais insensiblement un malaise l’avait gagné. Il a essayé de se rappeler si une absence aussi prolongée s’était déjà produite. Autour de la niche, les feuilles bruissaient, mais rien ne signalait à son oreille fine la démarche d’un félin domestique. Il faudrait voir en fin d’après-midi, quand le contenu de sa gamelle serait changé. Arrivé à ce point de ses réflexions, il s’est endormi.
Fin bon, je vais ignorer ta remarque parce qu'elle me convient pas, voila tout. Merci quand meme
Au niveau des news, j'ai encore rien fait car j'ai la flemme la. Mais bientot, les corrections
Attila- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 18/05/2009
Re: La compagnie des dragons blancs
Alors je me suis renseigné auprès de gens spécialisés (quoi de mieux qu'une prof de français xD) parce que question fiabilité de l'expression, wikipédia c'est 0 pointé (faut pas oublier que ce sont des gens comme toi et moi qui rédigent, donc les fautes et les erreurs peuvent affluer) et si, tu as raison, on peut allier les deux.
Il faut juste penser à bien définir le passé composé dans un temps du passé, ne pas écrire des "hier" ou des "il n'y a pas longtemps" pour lui interdire toute valeur du présent. Et là, oui le passé composé est autorisé ...
Seulement, j'ai aussi eu le son de cloche: "mais il ne faut pas écrire comme ça pour la fiction à actions". Des auteurs s'y sont tentés et c'est un énorme travail pour faire quelque chose d'esthétique. En gros, il faut faire des phrases en utilisant le moins possible de verbes. Parce que l'abondance d'auxiliaire alourdit, les "a fait" "a mangé" "a joué" "a cassé "a bougé" suivis des "s'est rué" "est allé" "est parti" "est fini" etc... C'est très vite pas très beau.
Ce qu'il faut que tu fasses donc, c'est vraiment bien précisé au départ qu'il s'agit d'un journal. Quitte à ce que tu écrives: "Aujourd'hui, je suis vieux et je souhaite raconter mon histoire à travers mon journal" le truc classique que tu peux améliorer, certes, mais qui donne la valeur au passé. Parce que pour un genre plutôt fantasy, le passé simple est souhaité si tu narres. Et encore heureux, tu es à la première personne, un point fort.
Le souci du journal, par contre, c'est qu'il est peu crédible lorsque tu racontes tous les détails. Parce qu'un journal, c'est un après-coup. Une écriture de souvenir. Donc se souvenir de la couleur des chaussettes du passant X ... =/. Les descriptions ne doivent pas faire foule (du moins, les descriptions physiques et pointilleuses de tous les personnages, parce que tu peux le faire fantasmer pendant des lignes et des lignes sur la beauté d'une femme qu'il a ardemment aimée et sur l'architecture d'une ville qui l'a fasciné. Mais pas toutes les femmes, sauf si c'est un réel Dom Juan, et encore moins toutes les villes, toutes les maisons etc.)
Le plus, par contre, c'est que tu peux valoriser ses pensées. Vu qu'il n'est pas dans le feu de l'action, tu peux le faire philosopher, divaguer, avoir de bonnes réflexions, puisque sur son journal, il a tout le temps pour ça.
Voilà voilà. Mais attention, question vocabulaire, fais attention à wiki !
Il faut juste penser à bien définir le passé composé dans un temps du passé, ne pas écrire des "hier" ou des "il n'y a pas longtemps" pour lui interdire toute valeur du présent. Et là, oui le passé composé est autorisé ...
Seulement, j'ai aussi eu le son de cloche: "mais il ne faut pas écrire comme ça pour la fiction à actions". Des auteurs s'y sont tentés et c'est un énorme travail pour faire quelque chose d'esthétique. En gros, il faut faire des phrases en utilisant le moins possible de verbes. Parce que l'abondance d'auxiliaire alourdit, les "a fait" "a mangé" "a joué" "a cassé "a bougé" suivis des "s'est rué" "est allé" "est parti" "est fini" etc... C'est très vite pas très beau.
Ce qu'il faut que tu fasses donc, c'est vraiment bien précisé au départ qu'il s'agit d'un journal. Quitte à ce que tu écrives: "Aujourd'hui, je suis vieux et je souhaite raconter mon histoire à travers mon journal" le truc classique que tu peux améliorer, certes, mais qui donne la valeur au passé. Parce que pour un genre plutôt fantasy, le passé simple est souhaité si tu narres. Et encore heureux, tu es à la première personne, un point fort.
Le souci du journal, par contre, c'est qu'il est peu crédible lorsque tu racontes tous les détails. Parce qu'un journal, c'est un après-coup. Une écriture de souvenir. Donc se souvenir de la couleur des chaussettes du passant X ... =/. Les descriptions ne doivent pas faire foule (du moins, les descriptions physiques et pointilleuses de tous les personnages, parce que tu peux le faire fantasmer pendant des lignes et des lignes sur la beauté d'une femme qu'il a ardemment aimée et sur l'architecture d'une ville qui l'a fasciné. Mais pas toutes les femmes, sauf si c'est un réel Dom Juan, et encore moins toutes les villes, toutes les maisons etc.)
Le plus, par contre, c'est que tu peux valoriser ses pensées. Vu qu'il n'est pas dans le feu de l'action, tu peux le faire philosopher, divaguer, avoir de bonnes réflexions, puisque sur son journal, il a tout le temps pour ça.
Voilà voilà. Mais attention, question vocabulaire, fais attention à wiki !
Re: La compagnie des dragons blancs
Oui voila. Merci des precisions
(ne t'inquiete pas pour le wiki, je sais que c'est pas une source sur mais je n'avais que ca pour illustrer mes propos ^^)
Bon, faut que jme remette sur le texte moi
(ne t'inquiete pas pour le wiki, je sais que c'est pas une source sur mais je n'avais que ca pour illustrer mes propos ^^)
Bon, faut que jme remette sur le texte moi
Attila- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 18/05/2009
Re: La compagnie des dragons blancs
Je m'y mets ! Même si un peu en retard, vieux motard que jamais !
Première partie :
Première partie :
- Spoiler:
- Le brouhaha de la taverne occultait (terme non adapté, étouffait) les plaintes du borgne assis en face de moi. Son armure de cuir sombre et son pantalon étaient maculés de boue alors que ses longs cheveux et sa barbe formaient une épaisse crinière blanche, lui donnant l'air d'un vieux forestier (blanche... Pour un forestier ? Moui...). Il se lamentait
encorede ses douleurs au dos et de sa vieillesse qui l'avait ramolli bien qu'on ne lui en tenait pas rigueur : il était un vétéran et, malgré la force qui le quittait, il restait l'un des plus forts guerriers de la compagnie. Sans prêter attention à ses jérémiades, je contemplai la salle : elle était bondée, notre compagnie de mercenaires avait réquisitionné toute la taverne. Une bande de vermines, diront certains, mais surtout, de bons soldats qui ont toujours respecté mes ordres. La plupart étaient habillés de la tenue de la compagnie (mouais...) : une armure noire avec un grand dragon blanc sur le plastron. Ils chantaient, buvaient ou dansaient.
Un seul ne participait pas à la fête. Le dos contre un mur, Eledif était impassible et surveillait la salle d'un air glacial. Il avait une longue cape blanche ainsi qu'une chevelure blonde, tel un beau prince. Ce n'est pas qu'il ne nous aimait pas mais il préférait être distant et ne pas parler. Néanmoins, lorsqu'il était obligé de s'exprimer, alors il le faisait avec toute la sagesse d'un ancien. Et c'est pour cela que je l'appréciais. Qui plus est, il
était une magnifique lame (arme ?), agile et discret, traversant les rangs ennemis tel une ombre meurtrière.
Soudain, une flèche siffla et se planta dans une poutre. « J'ai Gagné ! Donne-moi mes sous, fripouille ! » ricana Félix. La mouche était un fin archer qui était aussi astucieux et débrouillard qu'un rat. Petit, il portait une veste verte sur un pantalon aussi noir que sa chevelure touffue et frisée. Et il était jeune, trop pour être aux côtés de vétérans tels que nous : on l'avait recueilli orphelin et il avait décidé de nous suivre, bien que personne n'eût voulu de lui : c'était pour son bien, il était trop innocent pour une vie de mercenaire. Mais nous ne pûmes nous en séparer et maintenant, il nous soutenait dans nos horreurs perpétuelles, sans se plaindre. Il avait toujours le sourire aux lèvres, comme maintenant, lorsqu'il s'avança vers l'aubergiste, une pièce d'or à la main. Je vis une silhouette gigoter sous une table, ses formes étaient masculines (indispensable pour conserver les 'il' de la suite). Il était recroquevillé, les mains sur la tête et semblait prier. Cela ne pouvait être qu’Arthur, avec sa grosse bedaine qu’il dissimulait sous les replis de sa robe violette : le couard de la compagnie. Néanmoins, il était important pour nous : c'était un mage et le seul qui savait nous soigner et nous protéger.
Beaucoup le vénérait pour cela car il avait sauvé la vie à bon nombre d’entre nous, se tenant au chevet des blessés comme leurs putes de mères qui les avaient mis au monde. Alors qu'Arthur se relevait, une donzelle s'approcha de lui et j'entendis tout ce qu'elle lui demanda car le calme s'était installé dans la taverne. (je n'y crois pas trop sérieusement, je n'ai jamais vu de tavernes bondées et silencieuses, ça fait presque antithèse ^^')- - Je recherche Dargon. Pouvez-vous me dire qui il est ?
- Je ne l'ai pas aperçu mais il devrait être dans un coin, en train de boire une bière, ou alors est-il déjà dans une chambre, avec une belle servante. Qui sait ? Tout ce que je puis vous dire, c'est qu'il est le seul dans la salle à avoir une armure propre ainsi qu’une chevelure blanche comme la neige et des yeux rouge sang(pourquoi lui dit-elle tout cela alors qu'il lui demande juste où se trouve Dargon ? Oo).- - C’est vous Dargon ?
- Oui, murmurai-je.
- On m’a dit que vous étiez le chef de cette bande de vermines. J’ai besoin de vos services, annonça-elle.
Et c'est ainsi que, le lendemain, nous partîmes vers les environs de Balcare. La femme voulait que nous tuions un noble. Il s’avérait qu’il était recherché et donc, que nous étions en droit de le capturer ou de le tuer. Elle nous raconta que personne ne l’avait condamné car il était un ami du gouverneur de Balcarequi le protégeait. Elle n’expliqua pas pourquoi elle voulait sa mort
et nous ne lui demandâmes pas : la somme d’argent qu’elle nous proposait était telle qu’elle avait le droit de garder ses raisons. Elle voulait justice et la compagnie était là pour ça. Ainsi, nous partîmes tôt le matin et prirent le chemin de Balcare (encore ?). Nous n’en étions pas éloignés, selon mes estimations, nous y arriverons dans la soirée.
Les premiers à être prêts prirent la route (encore ?) : il s’agissait du borgne et d'Eledif, suivis des autres vétérans qui n’avaient pas fait d’excès de zèle hier. Vinrent ensuite nos trois chariots, qui contenaient le matériel pour installer le camp ainsi que les provisions et les tonneaux de bières. Puis, le gros de la troupe, composé des plus jeunes et des moins réveillés qui marchaient tel un défilé improvisé. Les hommes étaient fatigués, les vêtements boueux et sales à tel point qu’on pourrait penser que nous revenions d’une guerre. Et personne ne parlait, seul le martèlement de nos bottes sur le sol annonçait notre venue. Nous traversâmes champs et prairies, suivant la route vers Balcare. La plaine s’étendait à perte de vue avec parfois, quelques petites collines ou forêts que nous apercevions au loin. Nous ne vîmes nul humain, seul la présence de fermes ou plus rarement de villages à l’horizon nous indiquait que nous ne traversions pas un désert de verdure. Et le soleil ! Il nous faisait chauffer à petit feu, dans nos grosses armures, prenant un malin plaisir à briller du matin au soir. Et nulle ombre ne nous protégeait, les hommes suaient et viraient au rouge tomate. De nombreuses fois, nous fîmes une pause pour ensuite reprendre notre marche morose et silencieuse. Il semblait que nous n’avancions pas et plusieurs fois, je crus discerner, le même champ, la même vache qu’auparavant, me faisant douter de notre marche (ils doutent qu'ils marchent ? Oo).
Mais vers le milieu de la journée, un murmure se discerna du vent. Et alors que la lassitude battait son plein, les hommes le reprirent, le chant de la compagnie :
Braves et forts
Griffes et flammes
Craignez leurs
courroux
Les dragons blancs
Sont après vous
Et soudain, mes chers « mort-vivants » ressuscitèrent : les hommes chantèrent de leurs voix graves et ils sortirent leurs armes puis les firent résonner sur leurs boucliers. Accompagné du cliquetis des armures, le chant qui s’était transformé en vacarme emplit la campagne, annonçant la venue des fiers Dragons blancs en Balcare.
Et ainsi, nous arrivâmes aux environs de la cité. Elle se dressait au loin, entourée par une muraille sombre, tel un rocher face à une tempête. On pouvait voir la mer se dessiner à l’horizon ainsi que quelques voiles blanches qui naviguaient vers le port de Balcare (tu utilises souvent le nom de la ville, ce ne sont pas des répétitions, mais c'est lassant). Me levant sur un chariot, épée à la main et haute dans le ciel, j’ordonnai l’arrêt. Les hommes se raidirent, les cheveux hennirent et les chariots s'arrêtèrent, puis, d’unseulmouvement uniforme, tous me dévisagèrent (c'est négatif comme mot, alors que je pense qu'ils ont du respect pour Dargon. Donc "scrutèrent"), entourant mon chariot. Félix passant à travers la foule, le borgne se plaignant qu’il ne me voyait pas (il est borgne, il lui reste un oeil...), Arthur sous mon chariot, Eledif, un peu à l’écart. Ils étaient tous là, mes nobles compagnons, les dragons blancs.- - Soldats, ici, nous dresserons notre camp. Après l’avoir monté, vous aurez quartier libre. Mais revenez demain matin, à l’aube. Les retardataires seront fouettés, alors ne buvez pas trop !
débattîmes sur mes plans. Le manoir du noble était situé dans Balcare même et vu, qu’il était l’ami du gouverneur, on savait qu’il serait rude de le tuer. J’avais décidé que nous infiltrerons sa villa avec quelques hommes pour l’assassiner sans guerroyer. On n’allait pas transformer Balcare en terrain de guerre, l’empire ne nous le pardonnerait jamais. Mais la tâche ne sera pas aisée, la femme m’avait dit que le noble était constamment protégé par la garde de la ville. Une bande de bandits à la solde du gouverneur qui commettaient de nombreux crimes puis se cachaient, juridiquement parlant, derrière leurs fonctions de défenseurs de la cité. Ces hommes seraient difficiles à mettre en déroute, surtout avec la loi de leur côté, mais heureusement, nous avions un bel atout. Dans Balcare, il existait une autre garde, uniquement composée de soldats impériaux etdonc,qui ne dépendait donc pas du gouverneur. Normalement, ils devaient s’occuper de défendre le port et la muraille contre les pirates mais, bien souvent, ils tentaient de rétablir l’ordre dans la ville et donc, interféraient avec la garde de la ville qui, souvent, se trouvait être la source des crimes de la ville. Somme toute, les deux gardes se détestaient, et nous allions profiter de cela : j’avais décidé de fuir en direction du port. Si nous tuions seulement le noble et quelques gardes de la ville, il fera sans dire que nous serions, pour les impériaux, des hommes honnêtes. Les criminels seront donc ceux qui nous poursuivront : les gardes de la ville. Et interviendra alors la garde impériale, qui se fera un plaisir de nous aider, du moins, je l’espérais. Soudain, un compagnon s’invita dans la tente. Justement, quand on parle du loup ! Il m’indiqua que des gardes de la ville voulaient me voir. Ils venaient sans doute pour savoir ce que nous faisions ici ; les gens n’aiment pas voir des compagnies de mercenaires vadrouiller dans leurs coins : nous avions déjà eu pareille procession. Je pris ma cape, qui traînait sur un coffre, puis sortis en toute hâte suivi du Borgne et d’Eledif. Nous les vîmes tout de suite : Ils étaient trois et nous regardaient avec arrogance, du haut de leurs chevaux. Leurs uniformes blancs étaient propres comme mon cul (hééé ? O_O Pourquoi un mot grossier ici ! Oo) et portaient le symbole de Balcare. Deux avaient plus l’air de bandits que de gardes : leur visage rayonnait la félonie et le mal. Ils gloussaient en nous regardantet se faisaient souvent des clins d’œil. Le dernier avait une longue cape verdâtre avec un casque doré et décoré d’une plume rouge lui donnant plus l’air d’un idiot que d’un noble (quelle horeur ces couleurs ! \o/). Il devait être leur chef. Et plusieurs fois, il se boucha le nez, se lamentant sur la puanteur de ces mercenaires de pacotilles et parlant avec mépris de nos habits. Lorsqu’il me vit, il rugit.- - Que venez vous faire ici ? On ne veut pas d’ennuis à Balcare ! Partez, vous et votre bande de forbans !
- La loi nous autorise à séjourner ici ! Si vous voulez nous faire déguerpir, sortez vos armes ! répondis-je d’un ton neutre.
kirlim- Talent Divin
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Re: La compagnie des dragons blancs
Voici la nouvelle version. Au lieu d'éditer chacun de mes post, j'ai preferé vous concotter un PDF. PLus simple pour moi et aussi pour vous, vu que tout est rassemblé et propre. C'est hebergé sur mon site web en construction qui est toujours en construction ^^ donc je vous passe le lien direct.
Pour ceux qui ont deja lu l'histoire entière, la partie en rouge n'a pas été modifié (je vais la refaire completement) donc vous pouvez la sauter. Pour les parties qui ont été le plus retravaillée, notons celle de la course poursuite dans les rues, qui a été entierement reecrite. Qu'en pensez vous ? la preferez vous a la precedente version ?
Bon, j'arrete de coser, voici le lien
CLIQUEZ ICI
(Kirlim : Je viens de voir ton message. D'un, merci a toi, je vais en prendre compte de suite. De 2, la version que j'ai mise juste au dessus ne comporte donc pas tes corrections vu que je viens de les remarques Veuillez agreer a mes sincères excuses ^^)
Pour ceux qui ont deja lu l'histoire entière, la partie en rouge n'a pas été modifié (je vais la refaire completement) donc vous pouvez la sauter. Pour les parties qui ont été le plus retravaillée, notons celle de la course poursuite dans les rues, qui a été entierement reecrite. Qu'en pensez vous ? la preferez vous a la precedente version ?
Bon, j'arrete de coser, voici le lien
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(Kirlim : Je viens de voir ton message. D'un, merci a toi, je vais en prendre compte de suite. De 2, la version que j'ai mise juste au dessus ne comporte donc pas tes corrections vu que je viens de les remarques Veuillez agreer a mes sincères excuses ^^)
Attila- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 18/05/2009
Re: La compagnie des dragons blancs
Je vais finir la correction avec le nouveau fichier.
Ne t'en fais pas, je ne t'oublie pas, mais il y a les nouvelles du recueil qui m'occupent pas mal, mais je reviendrai rapidement
Ne t'en fais pas, je ne t'oublie pas, mais il y a les nouvelles du recueil qui m'occupent pas mal, mais je reviendrai rapidement
kirlim- Talent Divin
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Date d'inscription : 12/10/2008
Re: La compagnie des dragons blancs
Double post, mais c'est pour uper le sujet.
Je ne parviens pas à ouvrir ton fichier :/ Est-ce normal ?
Je ne parviens pas à ouvrir ton fichier :/ Est-ce normal ?
kirlim- Talent Divin
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Points : 2761
Date d'inscription : 12/10/2008
Re: La compagnie des dragons blancs
Bonjour. Chez moi ca marche :/
Essaye de faire "Enregistrez la cible du lien sous" et d'enregistrer sur ton ordi. C'est un pdf.
Quel navigateur utilise tu ? Firefox ou Internet Explorer ? Si c'est le deuxieme cas, c'est sans doute cela ton probleme ><
Tiens moi au courant Au pire, si tu as une adresse mail a me fournir, je pourrais te l'envoyer en piece jointe. (sous format pdf ou .doc ou tout autre que tu prefere ^^). Contacte moi par MP si tu veux qu'on fonctionne comme tel xD
Essaye de faire "Enregistrez la cible du lien sous" et d'enregistrer sur ton ordi. C'est un pdf.
Quel navigateur utilise tu ? Firefox ou Internet Explorer ? Si c'est le deuxieme cas, c'est sans doute cela ton probleme ><
Tiens moi au courant Au pire, si tu as une adresse mail a me fournir, je pourrais te l'envoyer en piece jointe. (sous format pdf ou .doc ou tout autre que tu prefere ^^). Contacte moi par MP si tu veux qu'on fonctionne comme tel xD
Attila- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 18/05/2009
Re: La compagnie des dragons blancs
Et bien en réalité, le site ne s'ouvre même pas, il donne sur une page blanche :/
kirlim- Talent Divin
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Date d'inscription : 12/10/2008
Re: La compagnie des dragons blancs
Tu as tenté ce que je t'ai dit ? "Enregistrer la cible du lien sous", ou un truc du genre (selon ton navigateur) en faisant clic droit sur le lien que j'ai donné ?
Attila- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 18/05/2009
Re: La compagnie des dragons blancs
Arf', ça ma ptite patate, c'est que tu n'as pas installé Acrobat Reader sur ton PC.
Donc forcément, tu risques pas d'ouvrir grand chose.
=> http://www.01net.com/telecharger/windows/Internet/internet_utlitaire/fiches/14537.html
C'est pour ça que tu lisais mal les nouvelles peut être aussi. Mais il doit y avoir un plug-in qui fait ouvrir les PDF par le navigateur ... faut chercher et google is your friend.
Donc forcément, tu risques pas d'ouvrir grand chose.
=> http://www.01net.com/telecharger/windows/Internet/internet_utlitaire/fiches/14537.html
C'est pour ça que tu lisais mal les nouvelles peut être aussi. Mais il doit y avoir un plug-in qui fait ouvrir les PDF par le navigateur ... faut chercher et google is your friend.
Re: La compagnie des dragons blancs
Nan c'est bon, ça y est, j'ai fait comme tu as dit Attila
Je corrigerai toussa dès que possible..
Je corrigerai toussa dès que possible..
kirlim- Talent Divin
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Points : 2761
Date d'inscription : 12/10/2008
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