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L'eclat de la lune.

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Message  Lou Mar 29 Sep 2009 - 15:45

Un tit roman sans prétention que j'essaye de finir ( en fait, j'avance grâce au challenge nuit de l'écriture, sinon je glande).
Bon, c'est assez rapide mais je fonctionne comme ça : d'abord on va à l'essentiel, pirs après j'approfondis. J'aimerais voir si les gens accrochent à cette histoire.

Après toutes ces années, je me demande encore ce qu'il se serait passé si, cette nuit-là, je n'avais pas décidé de rentrer à pied. Cette nostalgie n'est pas teintée de regret, au contraire, j'aime la vie que j'ai choisi. Mais parfois, une vague de tristesse m'emporte, et j'en veux au destin de m'avoir laissé le choix. Si j'avais décidé d'appeler mon ami pour qu'il me ramène en voiture, au lieu d'affronter la nuit et la fatigue pour rentrer chez moi, tout aurait été différent. J'aurais ignoré l'existence de ce monde sauvage qui se cache derrière les ombres. Je ne connaîtrais ni le langage de la nuit, ni l'appel irrésistible de la forêt et encore moins l'ivresse de la puissance.
Mais ma famille serait toujours à mes côtés.
Et mon ami vivrait encore.


Je ne croyais pas au destin. Je détestais l'idée que notre vie soit déjà écrite, et qu'il était impossible de la changer. J'étais bien trop indépendante, bien trop libre pour me laisser manipuler.
Pourtant, en vue des évènements, je suis en droit de me demander si, quelque part, il n'y a pas une créature qui joue avec ma vie.

Aujourd'hui, alors que la lune éclaire tendrement mon visage et qu'un vent doux ébouriffe mes cheveux, j'écoute le murmure de l'eau et je me rappelle cette fameuse nuit où ma vie a changé. A l'époque, j'étais encore humaine...

Chapitre 1 : Que tombe la nuit

Il ne faisait pas froid, malgré la saison. On était en hiver mais le réchauffement climatique se faisait enfin sentir. C'était peut-être pour ça que j'avais décidé de rentrer à pied, profiter de la douceur du climat pour réfléchir tout en marchant. Je réfléchissais beaucoup, comme si ça pouvait m'aider. L'écouteur de mon Ipod sur mes oreilles, le volume à fond, le monde autour de moi disparaissait peu à peu tandis que mes pas me guidaient vers la maison. Il faisait nuit, et à part quelques voitures qui passaient en silence, il n'y avait pas âme qui vive.
Peut-être que si je n'avais pas levé la tête à ce moment-là, la bête serait partie, oubliant la pauvre humaine que j'étais pour aller chercher une proie plus intéressante. Mais au moment même où j'ai levé les yeux, nos regards se sont quand même croisés.
En fait, ce n'est pas tout à fait vrai. On ne peut pas dire que j'avais vu ses yeux, ils étaient cachés par des sourcils broussailleux. Mais je pouvais sentir le poids de son regard sur ma gorge. Je l'ai observé quelques instants avant de me rendre à l'évidence : l'animal qui se tenait devant moi n'était pas ordinaire. Il y avait dans son attitude, dans son allure, une intelligence humaine. La bête dégageait une aura de puissance qui m'attirait irrésistiblement.
Non, ce n'était pas un chien ordinaire... Il suffisait de voir son apparence pour s'en rendre compte : il était énorme, sa tête m'arrivait à la poitrine et pourtant, je faisais plus d'un mètre soixante-dix. Il ressemblait énormément à un loup, mais avec une carrure plus massive. Sa fourrure grise paraissait très dense comme si chacun de ses poils était faits d'acier. Il n'était pas très beau, et pourtant, à cet instant, j'aurais pu le regarder jusqu'à en mourir.
Le premier contact avec l'autre monde est toujours impressionnant, et jamais je ne pourrai l'oublier.
Un grognement caverneux sortait de sa gorge, comme une mise en garde. Il n'y avait pas de danger, je le savais. L'animal aurait pu me sauter à la gorge, me tuer, mais il ne le voulait pas.
Et ce qu'il allait me faire était bien pire...
A quel moment a-t-il commencé à me parler ? Je ne sais pas vraiment, mais cela me paraissait naturel. Il ne me parlait pas vraiment, pas avec un langage humain, il projetait des images dans mon esprit, et je comprenais. Il m'a montré la joie de la chasse, la sensation d'appartenir à la nature, la beauté des étoiles, l'amour de la lune. Il m'a demandé : veux-tu devenir comme moi ? Et j'ai dit oui, parce que c'était ce dont j'avais toujours rêvé.Alors il m'a montré l'horreur d'être différent, la sensation frustrante de devoir se cacher, la terreur de l'homme, à la fois si faible et si puissant, la guerre.
Veux-tu toujours devenir comme moi ?
Encore une fois, j'ai dit oui, parce que dans mon cœur, j'étais déjà comme lui.
Enfin, il m'a montré la souffrance de la transformation et la mort, violente et douloureuse, qui risquait de survenir si j'acceptais.
Avant qu'il me repose la question une troisième fois, j'ai dit oui car, après l'avoir vu, je ne pouvais avoir d'autre rêve.
« Tu ne sais pas ce que tu fais ».
Oui, peut-être, mais à ce moment-là, plus rien n'avait d'importance. Je voulais que dans mes veines coule le poison du loup.
Alors la bête s'est approché, et a mordu mon bras tendu. J'ai grimacé et ce fut comme si la souffrance m'ouvrait les yeux. L'animal poussa un dernier grognement affectueux et disparut dans le nuit.
Je pris enfin conscience de la musique qui me hurlait dans les oreilles. Il était tard... Combien de temps avais-je donc passé avec le loup ?
Je rentrai chez moi en courant. La banalité de ma vie avait repris le dessus.
Mais les marques sanglantes sur mon bras me rappelaient que tout ceci était bien réel.

Cette nuit-là fut la plus horrible de mon existence.


Dernière édition par Lou le Sam 3 Oct 2009 - 8:08, édité 1 fois
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Message  Laumie Mar 29 Sep 2009 - 16:03

Moi j'aime bien, faut voir ce que donne ton chapitre 2 ^^
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Message  kirlim Mar 29 Sep 2009 - 17:39

*Gros doute*...

Je l'ai déjà lu, ça, je le sais, mais où ? O_o
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Message  Lou Mar 29 Sep 2009 - 20:52

ecrivain en herbe... Ou alors je crois que je l'avais posté sur un truc genre de l'encre dans les veines.
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Message  Cyrus Mer 30 Sep 2009 - 10:21

Il est magnifique ce premier chapitre. Le style est si fluide, le vocabulaire si juste et si bien trouvé... et l'histoire, même si les loups-garous ne datent pas d'hier, a quelque chose en plus qui nous tient en haleine. J'attends donc la suite...
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Message  kirlim Mer 30 Sep 2009 - 10:42

Oui ça devait être écrivains en herbe (je ne suis pas sur ink in the veins).
J'aime bien en tout cas, pas spécialement pour le scénario (il est encore trop tôt pour dire, ça..), mais plus pour le style, qui est très fluide Smile.
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Message  vadcar76800 Mer 30 Sep 2009 - 12:36

J'aime beaucoup ta façon de décrire ! Après on ne peut pas encore juger sur l'histoire ! Bon courage pour la suite !
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Message  Pacô Mer 30 Sep 2009 - 17:28

Lou a écrit:
Après toutes ces années, je me demande encore ce qu'il se serait passé si, cette nuit-là, je n'avais pas décidé de rentrer à pied. Cette nostalgie n'est pas teintée de regret(s), au contraire, j'aime la vie que j'ai choisie. Mais parfois, une vague de tristesse m'emporte, et j'en veux au destin de m'avoir laissé le choix. Si j'avais décidé d'appeler mon ami pour qu'il me ramène en voiture, au lieu d'affronter la nuit et la fatigue pour rentrer chez moi, tout aurait été différent. J'aurais ignoré l'existence de ce monde sauvage qui se cache derrière les ombres. Je ne connaîtrais ni le langage de la nuit, ni l'appel irrésistible de la forêt et encore moins l'ivresse de la puissance.
Mais ma famille serait toujours à mes côtés.
Et mon ami vivrait encore.


Je ne croyais pas au destin. Je détestais l'idée que notre vie était (problème de conjugaison => subjonctif imparfait => "fût") déjà écrite, et qu'il était impossible de la changer. J'étais bien trop indépendante, bien trop libre pour me laisser manipuler.
Pourtant, en vue des évènements, je suis en droit de me demander si, quelque part, il n'y a pas une créature qui joue avec ma vie.

Aujourd'hui, alors que la lune éclaire tendrement mon visage et qu'un vent doux ébouriffe mes cheveux, j'écoute le murmure de l'eau et je me rappelle cette fameuse nuit où ma vie a changé. A l'époque, j'étais encore humaine...

Chapitre 1 : Que tombe la nuit

Il ne faisait pas froid, malgré la saison. On était en hiver mais le réchauffement climatique se faisait enfin sentir. C'était peut-être pour ça que j'avais décidé de rentrer à pied, profiter de la douceur du climat pour réfléchir tout en marchant. Je réfléchissais beaucoup, comme si ça pouvait m'aider. L'écouteur de mon Ipod sur les (histoire d'éviter la répétition mon/mes) oreilles, le volume à fond, le monde autour de moi disparaissait peu à peu tandis que mes pas me guidaient vers la maison. Il faisait nuit, et à part quelques voitures qui passaient en silence, il n'y avait pas âme qui vive.
Peut-être que si je n'avais pas levé la tête à ce moment-là, la bête serait partie, oubliant la pauvre humaine que j'étais pour aller chercher une proie plus intéressante. Mais au moment même où j'ai levé les yeux, nos regards se sont quand même croisés.
En fait, ce n'est pas tout à fait vrai. On ne peut pas dire que j'avais vu ses yeux, ils étaient cachés par des sourcils broussailleux. Mais je pouvais sentir le poids de son regard sur ma gorge. Je l'ai observé quelques instants avant de me rendre à l'évidence : l'animal qui se tenait devant moi n'était pas ordinaire. Il y avait dans son attitude, dans son allure, une intelligence humaine. La bête dégageait une aura de puissance qui m'attirait irrésistiblement.
Non, ce n'était pas un chien ordinaire... Il suffisait de voir son apparence pour s'en rendre compte (ah le récit prend une touche de rébarbatif là) : il était énorme, sa tête m'arrivait à la poitrine et pourtant, je faisais plus d'un mètre soixante-dix. Il ressemblait énormément à un loup, mais avec une carrure plus massive. (euh un loup est plus petit et plus menu qu'un chien) Sa fourrure grise paraissait très dense comme si chacun de ses poils était fait d'acier. Il n'était pas très beau, et pourtant, à cet instant, j'aurais pu le regarder jusqu'à en mourir.
Le premier contact avec l'autre monde est toujours impressionnant, et jamais je ne pourrai l'oublier.
Un grognement caverneux sortait de sa gorge, comme une mise en garde. Il n'y avait pas de danger, je le savais. L'animal aurait pu me sauter à la gorge, me tuer, mais il ne le voulait pas.
Et ce qu'il allait me faire était bien pire...
A quel moment a-t-il commencé à me parler ? Je ne sais pas vraiment, mais cela me paraissait naturel. Il ne me parlait pas vraiment, pas avec un langage humain, il projetait des images dans mon esprit, et je comprenais. Il m'a montré la joie de la chasse, la sensation d'appartenir à la nature, la beauté des étoiles (des nez-toiles dirais-je même Rolling Eyes ), l'amour de la lune. Il m'a demandé : veux-tu devenir comme moi ? Et j'ai dit oui, parce que c'était ce dont j'avais toujours rêvé. [espace]Alors il m'a montré l'horreur d'être différent, la sensation frustrante de devoir se cacher, la terreur de l'homme, à la fois si faible et si puissant, la guerre.
Veux-tu toujours devenir comme moi ?
Encore une fois, j'ai dit oui, parce que dans mon cœur, j'étais déjà comme lui.
Enfin, il m'a montré la souffrance de la transformation et la mort, violente et douloureuse (en même temps si tu souffres et que tu peux mourir, il m'étonnerait que cette mort soit des plus agréables), qui risquaient (la souffrance + la mort. Si c'est juste la mort, place le "violente et douloureuse" autre part) de survenir si j'acceptais.
Avant qu'il me repose la question une troisième fois, j'ai dit oui car, après l'avoir vu, je ne pouvais avoir d'autre(s) rêve(s).
« Tu ne sais pas ce que tu fais. »
Oui, peut-être, mais à ce moment-là, plus rien n'avait d'importance. Je voulais que dans mes veines coule le poison du loup.
Alors la bête s'est approché, et a mordu mon bras tendu. J'ai grimacé et ce fut comme si la souffrance m'ouvrait les yeux. L'animal poussa un dernier grognement affectueux et disparut dans la nuit.
Je pris enfin conscience de la musique qui me hurlait dans les oreilles. Il était tard... Combien de temps avais-je donc passé avec le (en compagnie du) loup ?
Je rentrai chez moi en courant. La banalité de ma vie avait repris le dessus.
Mais les marques sanglantes sur mon bras me rappelaient que tout ceci était bien réel.

Cette nuit-là fut la plus horrible de mon existence.

Le problème avec ce genre d'histoire, c'est que le mythe est déjà bien présent dans tous les esprits: il faut donc chercher à percer par son originalité (chose pas forcément évidente). Pour l'instant, tu n'en as pas encore mis assez pour que je me prononce, mais je peux déjà dire que la communication par image (par télépathie en gros) me plaît et tend vers l'originalité qu'il faut poursuivre.

On reconnaît ta plume, cependant, il manque encore une petite note de style qui donnerait un cachet à ta narration. Là tu es encore parfois trop scolaire ou trop ... maladroite dans certaines expressions (expressions que je t'ai soulignées pour la plupart).
Du genre (la dernière) "avait repris le dessus" qui est tout sauf littéraire, sauf agréable à lire !

Enfin certaines petites choses comme ça qui font tiquer quoi.

Mais sinon, j'ai pas à dire: la fluidité du texte est indéniable: ça se lit bien et c'est un bon point.
Maintenant, faut voir avec la suite Smile.
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Message  Elea Mer 30 Sep 2009 - 17:41

Ah oui, pour être fluide, c'est fluide ! Quand j'ai vu l'extrait j' me suis dit "Bon, faudra que je le lise quand j'aurai assez de temps". Là j'ai lu, et j'suis arrivée à la fin, j'me suis dit "Déjà ?".

C'est peut-être un peu rapide. C'est peut-être voulu, en tout cas, je veux des détails !

Pour le moment, je ne vois pas trop quoi dire de plus =)
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Message  Lou Mer 30 Sep 2009 - 20:50

Ah bin merci beaucoup ^^
C'est vrai que c'est rapide.

Par contre pacô, à propos de tes corrections... Je dois t'avouer que je ne vais pas en prendre compte. Je trouve que ce que tu dis relève plus d'un avis personnel quant au genre de l'histoire que je ne partage pas. M'enfin, c'est toujours intéressant ^^

La suite demain ^^
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Message  Pacô Mer 30 Sep 2009 - 21:08

Tu prends au moins les corrections orthographiques ? >_<
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Message  MrSonge Jeu 1 Oct 2009 - 4:55

Après toutes ces années, je me demande encore ce qu'il se serait passé si, cette nuit-là, je n'avais pas décidé de rentrer à pied. Cette nostalgie n'est pas teintée de regret, au contraire, j'aime la vie que j'ai choisie. Mais parfois, une vague de tristesse m'emporte, et j'en veux au destin de m'avoir laissé le choix. Si j'avais décidé d'appeler mon ami pour qu'il me ramène en voiture, au lieu d'affronter la nuit et la fatigue pour rentrer chez moi, tout aurait été différent. J'aurais ignoré l'existence de ce monde sauvage qui se cache derrière les ombres. Je ne connaîtrais ni le langage de la nuit, ni l'appel irrésistible de la forêt et encore moins l'ivresse de la puissance.
Mais ma famille serait toujours à mes côtés.
Et mon ami vivrait encore.

Je ne croyais pas au destin. Je détestais l'idée que notre vie était (soit ou fût, j'ai un doute, mais pas "était) déjà écrite, et qu'il était impossible de la changer. J'étais bien trop indépendante, bien trop libre pour me laisser manipuler.
Pourtant, en vue des évènements, je suis en droit de me demander si, quelque part, il n'y a pas une créature qui joue avec ma vie.

Aujourd'hui, alors que la lune éclaire tendrement mon visage et qu'un vent doux ébouriffe mes cheveux, j'écoute le murmure de l'eau et je me rappelle cette fameuse nuit où ma vie a changé. A l'époque, j'étais encore humaine...

Chapitre 1 : Que tombe la nuit

Il ne faisait pas froid, malgré la saison. On était en hiver mais le réchauffement climatique se faisait enfin sentir. C'était peut-être pour ça que j'avais décidé de rentrer à pied, profiter de la douceur du climat pour réfléchir tout en marchant. Je réfléchissais beaucoup, comme si ça pouvait m'aider. L'écouteur de mon Ipod dans (a moins que ce soit un casque) mes oreilles, le volume à fond, le monde autour de moi disparaissait peu à peu tandis que mes pas me guidaient vers la maison. Il faisait nuit, et à part quelques voitures qui passaient en silence, il n'y avait pas âme qui vive.
Peut-être que si je n'avais pas levé la tête à ce moment-là, la bête serait partie, oubliant la pauvre humaine que j'étais pour aller chercher une proie plus intéressante. Mais au moment même où j'ai levé les yeux, nos regards se sont quand même croisés.
En fait, ce n'est pas tout à fait vrai. On ne peut pas dire que j'avais vu ses yeux, ils étaient cachés par des sourcils broussailleux. Mais je pouvais sentir le poids de son regard sur ma gorge. Je l'ai observé quelques instants avant de me rendre à l'évidence : l'animal qui se tenait devant moi n'était pas ordinaire. Il y avait dans son attitude, dans son allure, une intelligence humaine. La bête dégageait une aura de puissance qui m'attirait irrésistiblement.
Non, ce n'était pas un chien ordinaire... Il suffisait de voir son apparence pour s'en rendre compte : il était énorme, sa tête m'arrivait à la poitrine et pourtant, je faisais plus d'un mètre soixante-dix. Il ressemblait énormément à un loup, mais avec une carrure plus massive. Sa fourrure grise paraissait très dense comme si chacun de ses poils était faits d'acier. Il n'était pas très beau, et pourtant, à cet instant, j'aurais pu le regarder jusqu'à en mourir.
Le premier contact avec l'autre monde est toujours impressionnant, et jamais je ne pourrai l'oublier.
Un grognement caverneux sortait de sa gorge, comme une mise en garde. Il n'y avait pas de danger, je le savais. L'animal aurait pu me sauter à la gorge, me tuer, mais il ne le voulait pas.
Et ce qu'il allait me faire était bien pire...
A quel moment a-t-il commencé à me parler ? Je ne sais pas vraiment, mais cela me paraissait naturel. Il ne me parlait pas vraiment, pas avec un langage humain, il projetait des images dans mon esprit, et je comprenais. Il m'a montré la joie de la chasse, la sensation d'appartenir à la nature, la beauté des étoiles, l'amour de la lune. Il m'a demandé : veux-tu devenir comme moi ? Et j'ai dit oui, parce que c'était ce dont j'avais toujours rêvé.Alors il m'a montré l'horreur d'être différent, la sensation frustrante de devoir se cacher, la terreur de l'homme, à la fois si faible et si puissant, la guerre.
Veux-tu toujours devenir comme moi ?
Encore une fois, j'ai dit oui, parce que dans mon cœur, j'étais déjà comme lui.
Enfin, il m'a montré la souffrance de la transformation et la mort, violente et douloureuse, qui risquait de survenir si j'acceptais. (bof, "survenir" dans une relative en parlant de sa propre mort...)
Avant qu'il me repose la question une troisième fois, j'ai dit oui car, après l'avoir vu, je ne pouvais avoir d'autre rêve.
« Tu ne sais pas ce que tu fais ».
Oui, peut-être, mais à ce moment-là, plus rien n'avait d'importance. Je voulais que dans mes veines coule le poison du loup.
Alors la bête s'est approché, et a mordu mon bras tendu. J'ai grimacé et ce fut comme si la souffrance m'ouvrait les yeux. L'animal poussa un dernier grognement affectueux et disparut dans le nuit.
Je pris enfin conscience de la musique qui me hurlait dans les oreilles. Il était tard... Combien de temps avais-je donc passé avec le loup ?
Je rentrai chez moi en courant. La banalité de ma vie avait repris le dessus.
Mais les marques sanglantes sur mon bras me rappelaient que tout ceci était bien réel.

Cette nuit-là fut la plus horrible de mon existence.

Au risque de faire mon rabat-joie, je trouve que tout va un peu vide et sans beaucoup de profondeur.
En gros, l'héroïne croise un loup, par hasard ? Sans doute pas, mais on en sait pas plus.
Elle n'a pas peur, intuition féminine sans doute.
Elle dit amen à tout ce qu'il lui propose. Pourquoi ? Elle le sait. Pourquoi ? On en sait rien.
Elle se fait mordre. Ça fait mal. Puis elle rentre chez elle et déjà la banalité reprend le dessus.
M'est avis que si on se fait mordre par un loup qui vient te causer au coin du bois, on ne retrouve pas de sitôt une existence banale. ^^

(Sinon, je suis d'accord avec Pacô, une grande partie des tournures soulignées par lui m'ont aussi fait buter, comme un juron dans un discours aimable, un peu.)
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Message  Lou Sam 3 Oct 2009 - 8:07

Bha, je suis juste partie du principe que si une bestiole magique me proposait de devenir comme elle, bin je dirais oui, carrément oui.
Le truc, c'est que le développement est rapide ( pour aller droit au but) donc je pense que ça zappe des choses. Par exemple pour la banalité, je vais faire une scène avec les parents, mais j'ai pas encore l'inspiration. C'est juste pour montrer qu'elle est encore humaine.

Quant au fait que ça soit plat et bien... Oui, mais j'aime bien moi ( sachant que j'ai aucune prétention de publication, donc bon. Je fais ma boulette en conservant ce prologue). Enfin, je reverrai le tout une fois que ça sera fini.

( Et oui Pacô, je prends quand même les corrections orthographiques).
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Message  Lou Mar 6 Oct 2009 - 10:05

Bon alors, je tiens quand même à préciser que je SAIS que mon texte n'est pas très bon, qu'il est stéréotypé itou itou. ( Juste pour pas qu'on me prenne pour ces petites jeunes trop sûre de leur texte).
C'est juste que j'aime lire ce genre de truc de temps en temps, un bon ptit récit bateau avec des loup-garous, des gentils, des méchants.
Ceci dit, c'est pas une grosse merde non plus, c'est lisable et j'attends encore vos commentaires et vos ressentis. Pis bon, je vous réserve encore des surprises ( je crois).

Chapitre 2 : Dehors

Pourtant, tout avait bien commencé. Je n'avais pas parlé à mes parents de mon étrange rencontre avec la bête. D'abord parce qu'ils n'auraient pas compris, mais surtout parce qu'ils allaient s'inquiéter pour rien.
Le dîner n'était pas particulièrement bon, mais je m'étais littéralement gavée. Je pense que je devais avoir besoin de beaucoup d'énergie pour la transformation. J'ai même dû vider ma réserve secrète de friandises. J'étais épuisée, et je me suis mise au lit très tôt, au grand étonnement de mes parents.
La fièvre a commencé à monter vers 22h00. A minuit, j'étais déjà à 43°. La douleur n'est venue qu'après, mais je n'étais déjà plus en état de pouvoir lire l'heure. Le loup m'avait dit que ce serait douloureux, mais je ne m'imaginais pas à quel point.
C'était comme si chaque particule de mon être s'était mise à brûler. Du sang macula très vite les draps de mon lit. D'où venait-il ? De ma bouche, tellement crispée que je m'étais mordu la langue, ou alors de mon corps tout entier. J'avais l'impression qu'un démon me déchirait la peau. Mes muscles ne répondaient plus et, tel un pantin désarticulé, ils bougeaient mon squelette de façon improbable. Ma machoire se mit à craquer, mes dents éclatèrent et je sentis des bouts d'émailles rouler sur ma langue.
Je ne pouvais pas crier, alors que le douleur était intense. Si je poussais le moindre cri, mes parents accourraient, et je ne voulais pas qu'ils me voient comme ça. Je risquais de finir à l'hôpital. Je crois que c'était ça le plus dur, ne pas hurler, ne pas pouvoir réclamer le doux réconfort d'une main maternelle sur mon front brûlant.
Je souffrais en silence.
A certains moments, j'ai réclamé la mort, je la suppliais dans un murmure inaudible de venir me chercher. J'ai même dû m'évanouir plusieurs fois, tant la souffrance était atroce.
Mais la mort n'est pas venue, et le poison du loup transforma peu à peu mon corps en créature de la nuit.

Lorsque l'aube se leva, la douleur s'était atténuée. J'eus enfin la force de parler à mes parents, de leur dire que j'étais malade, que je voulais dormir. Je devais vraiment avoir l'air mal en point, parce qu'ils me laissèrent sécher les cours sans discuter. Après un Efferalgan sans aucun effet notable, j'ai sombré dans un coma profond et réparateur.

A mon réveil, la nuit était tombée. Je me sentais beaucoup mieux, une nouvelle force coulait maintenant dans mes veines.
Quand je me suis vue dans la glace, j'avais changé.
Définitivement.
Je n'étais plus humaine... Je crois même que j'en ai pleuré.
Avant la transformation, ma beauté se situait dans une moyenne convenable : j'étais grande, un peu grosse peut-être, mon visage avec des traces d'acné était quelconque, mais j'aimais mon petit nez retroussé. Mes yeux étaient d'un brun terne, tout comme mes cheveux, trop crépus pour me rendre réellement jolie. J'étais le genre de fille qui plaisait à un genre de mecs, mais jamais à celui que je voulais.
Ma transformation m'avait changée de façon subtile, mais indéniable. J'étais plus droite, plus sûre de moi. Mes cheveux tant haïs retombaient maintenant en une cascade d'ébène sur mes épaules. Ils avaient changés de couleur, mais aussi de taille et de texture. Par la suite, je dus même les couper, et prétendre que je m'étais fait une teinture. Dans mes yeux brillaient maintenant une lueur sauvage, fascinante et attirante. J'avais maigri, mais de façon harmonieuse, ma graisse confortable avait été remplacée par des muscles puissants capables, je le savais, d'accomplir des exploits.
Mes ongles étaient plus durs, comme des griffes. Et lorsque j'ouvris ma bouche, je pus voir quatre canines acérées qui n'attendaient qu'une chose : mordre.
En me regardant ainsi dans le miroir, cherchant l'ancienne humaine qui se cachait derrière cette étrange créature, j'osai enfin prononcer le nom étrange qui qualifiait mes semblables. Ce nom, qui serait désormais le mien.

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Message  MrSonge Mar 6 Oct 2009 - 10:20

Pourtant, tout avait bien commencé. Je n'avais pas parlé à mes parents de mon étrange rencontre avec la bête. D'abord parce qu'ils n'auraient pas compris, mais surtout parce qu'ils allaient s'inquiéter pour rien.
Le dîner n'était pas particulièrement bon, mais je m'étais littéralement gavée. (problème de temps. Soit : "n'avait pas été" et "je m'étais", soit : "n'était pas", "je me suis".) Je pense que je devais avoir besoin de beaucoup d'énergie pour la transformation. J'ai même dû vider ma réserve secrète de friandises. J'étais épuisée, et je me suis mise au lit très tôt, au grand étonnement de mes parents.
La fièvre a commencé à monter vers 22h00. A minuit, j'étais déjà à 43°. La douleur n'est venue qu'après, mais je n'étais déjà plus en état de pouvoir lire l'heure (est-ce bien nécessaire de le préciser ? 43° c'est plus que carabiné, comme fièvre..^^). Le loup m'avait dit que ce serait douloureux, mais je ne m'imaginais pas à quel point.
C'était comme si chaque particule de mon être s'était mise à brûler. Du sang macula très vite les draps de mon lit. D'où venait-il ? De ma bouche, tellement crispée que je m'étais mordu la langue, ou alors de mon corps tout entier. J'avais l'impression qu'un démon me déchirait la peau. Mes muscles ne répondaient plus et, tel un pantin désarticulé (non, c'est le squelette qui est comparé, donc le "tel..." va après), ils bougeaient mon squelette de façon improbable ("qui a peu de chance d'avoir lieu"... invraisemblable me semble plus approrié). Ma mâchoire se mit à craquer, mes dents éclatèrent et je sentis des bouts d'émaille rouler sur ma langue.
Je ne pouvais pas crier, alors que le douleur était intense. Si je poussais le moindre cri, mes parents accourraient, et je ne voulais pas qu'ils me voient comme ça. Je risquais de finir à l'hôpital. Je crois que c'était ça le plus dur, ne pas hurler, ne pas pouvoir réclamer le doux réconfort d'une main maternelle sur mon front brûlant. (heu... tu es sûr que c'est vraisemblable ? Enfin, la description tend à montrer une douleur limite insupportable - les dents qui éclatent- et elle, rien que par la force de sa volonté, elle ne crie pas ???)
Je souffrais en silence.
A certains moments, j'ai réclamé la mort, je la suppliais dans un murmure inaudible de venir me chercher. J'ai même dû m'évanouir plusieurs fois, tant la souffrance était atroce.
Mais la mort n'est pas venue, et le poison du loup transforma peu à peu mon corps en créature de la nuit.

Lorsque l'aube se leva, la douleur s'était atténuée. J'eus enfin la force de parler à mes parents, de leur dire que j'étais malade, que je voulais dormir. Je devais vraiment avoir l'air mal en point, parce qu'ils me laissèrent sécher les cours sans discuter. Après un Efferalgan sans aucun effet notable, j'ai sombré dans un coma (coma, tu n'y entres et n'en sors pas comme ça, et il ne peut pas être réparateur. "sommeil" tout simplement) profond et réparateur.

A mon réveil, la nuit était tombée. Je me sentais beaucoup mieux, une nouvelle force coulait maintenant dans mes veines.
Quand je me suis vue dans la glace, j'avais changé.
Définitivement.
Je n'étais plus humaine... Je crois même que j'en ai pleuré.
Avant la transformation, ma beauté se situait dans une moyenne convenable : j'étais grande, un peu grosse peut-être, mon visage avec des traces d'acné était quelconque, mais j'aimais mon petit nez retroussé. Mes yeux étaient d'un brun terne, tout comme mes cheveux, trop crépus pour me rendre réellement jolie. J'étais le genre de fille qui plaisait à un genre de mecs, mais jamais à celui que je voulais.
Ma transformation m'avait changée de façon subtile, mais indéniable. J'étais plus droite, plus sûre de moi. Mes cheveux tant haïs retombaient maintenant en une cascade d'ébène sur mes épaules. Ils avaient changés de couleur, mais aussi de taille et de texture. Par la suite, je dus même les couper, et prétendre que je m'étais fait une teinture. Dans mes yeux brillaient maintenant une lueur sauvage, fascinante et attirante. J'avais maigri, mais de façon harmonieuse, ma graisse confortable avait été remplacée par des muscles puissants et capables, je le savais, d'accomplir des exploits.
Mes ongles étaient plus durs, comme des griffes. Et lorsque j'ouvris ma bouche, je pus voir quatre canines acérées qui n'attendaient qu'une chose : mordre.
En me regardant ainsi dans le miroir, cherchant l'ancienne humaine qui se cachait derrière cette étrange créature, j'osai enfin prononcer le nom étrange qui qualifiait mes semblables. Ce nom, qui serait désormais le mien.

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Deux trois choses assez peu crédibles. La force du fantastique, c'est quand, justement on y croit. Or, là... On doute.
Déjà, comme je l'ai dit, les souffrances abominables qu'elle supporte en silence. Ensuite sa transformation, et aucune remarque de ses parents, ainsi que le constat "Je n'étais plus humaine... Je crois même que j'en ai pleuré." qui fait un peu infantile devant un truc qui, quand même, te change la vie et que, théoriquement, tu devrais avoir plus que de la peine à croire. ^^

Cela dit, quand même, toujours la même construction soignée, et toujours cette fluidité du texte qui rend la lecture très agréable.

Ceci dit, c'est pas une grosse merde non plus, c'est lisable


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Message  Laumie Mar 6 Oct 2009 - 11:30

MrSonge a écrit:Cela dit, quand même, toujours la même construction soignée, et toujours cette fluidité du texte qui rend la lecture très agréable.

Rien à rajouter à la correction de MrSonge ni même à son commentaire ^^

Par contre, le "lisable" ... XD
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