LUNE FOURBE
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LUNE FOURBE
premier jet d'une nouvelle nouvelle, soyez impitoyables pleaz biscotte j'aimerais beaucoup sortir un recueil début 2009..
LUNE FOURBE
La lune rousse ensanglantait les arrêtes du viaduc antique et découpait des myriades de gouttelettes de sang sombre sur les grands chênes des berges du torrent. Aucun autre éclairage pour rendre la beauté des gorges qu'enjambait la construction romaine : la municipalité qui gérait le site économisait l'électricité l'hiver. Il ne faisait pourtant pas froid, ou juste quand la tramontane arrivait enfin à trouver l'entrée de l'étroit défilé et que, furieuse, elle mordait tout ce qu'elle pouvait mordre d'un froid mortel. Les quelques touristes égarés se rendant à grande ville en empruntant l'ancien itinéraire ne distinguaient rien ni personne. Pas même le jeune couple étranger dont le mari avait planté son appareil numérique sur un trépied pour éterniser le jeu des ombres et des lumières (et cette séance était gratuite !). Ensuite, il l'avait enlacée, lui avait chuchoté deux trois mots d'amour tendre et la vieille guimbarde rouillée de papa s'était accoquinée à la vieille route bringuebalante pour les ramener à la pension de famille, sains et saufs... Et rapidement.
Ils ne virent rien ni personne. Pas les pipistrelles pressées de passer à table, inquiètes car mère nature leur rappelait qu'il allait falloir satisfaire à la reproduction. Pas les renards qui pullulaient dans le coin, attirés par les restes touristiques de l'été, proches de la famine en cette saison. Pas les hiboux, chouettes, rats, mulots et toute la faune en train de jouer à "qui mange qui". Il ne virent donc pas, tout en haut, sur le tablier, une petite ombre incongrue, ombre vivante t tremblotante au milieu des ombres minérales figées et soudées. Un humain, une femme, une jeune fille. Elle est blonde mais la lune rousse écrase les contrastes, gomme les couleurs, elle est noire et rouge, comme le reste. Elle se trouvait pour le moment contre un pilier, à l'abri de la tramontane, beaucoup plus libre à cette hauteur. Il y a quelque secondes elle était assise, balançant ses jambes, espérant que le mouvement entraînerait le reste de son corps et supplanterait son manque de courage. Tremblante, elle supputait maintenant le pour et le contre. Elle ne se rappelait plus de la goutte qui avait fait débordé le vase, juste un trop plein, d'un coup. Elle ne pouvait pas avoir de peines de coeur, personne ne l'intéressait, le contraire aussi, surtout. Ses parents ? Plutôt compréhensifs, sa mère venant même parfois écouter de la musique sans sa chambre). Alors ? Elle regarda la lune, cherchant un regard complice, le sourire bonhomme habituel :; la lune rouge ne sourit pas, elle est fourbe et malintentionnée. Le site était connu, il y avait eu plusieurs grands sauts ces dernières années. Le site était tranquille. Personne pour la réconforter encore un peu plus, lui faire quitter l'ouvrage d'art et récupérer la moto qu'elle a camouflé a son arrivée. Personne ? Quelque chose de noir et rouge se mouvait dans le noir et rouge ambiant, tout en bas. LA jeune fille n'osa pas se pencher de peur de tomber. Elle sourit intérieurement : sa décision était prise.
Le grand homme en noir se matérialisa soudain, à quelque pas de son refuge. La jeune fille se leva, presque joyeuse.
- Ne vous inquiétez pas, je ne veux plus sauter.
- Je ne suis pas inquiet. Une voix presque aussi froide que le vent.
- Je ne sais pas ce qui m'a pris je vais redescendre, vous êtes venu me chercher ?
- En quelque sorte oui.
La jeune femme détailla son interlocuteur. Certainement plus de 2 mètres, la peau très mate, un visage émacié, au milieu, deux grand yeux d'un bleu iceberg, perçants et scrutateurs.
- Je ne sais pas pourquoi... Elle balbutiait, troublé par l'attitude de l'arrivant.
- Tu es seule
- Oui mais beaucoup de gens sont seuls et...
- Tu es laide.
- Ben merci. Elle était anesthésiée, pas moyen de se mettre en colère.
- Tu n'as aucun avenir. Il assenait tout cela sans le moindre état d'âme. Il s'approchait doucement de la jeune fille.
- Je ne comprends pas, je pensais même que vous pourriez être... Un ange, mon ange gardien...
- Et non. A tout de suite. Il était à portée de la jeune femme, une simple petite tape à l'épaule suffit à la déséquilibrer. Elle s'écrasa sans proférer le moindre cri, trop surprise pour émettre le moindre son.
- Pff... Un ange... Et puis quoi encore ! Il repartit dans l'autre sens, commençant à rire. Un rire sardonique, froid, effrayant, en un mot démoniaque.
LUNE FOURBE
La lune rousse ensanglantait les arrêtes du viaduc antique et découpait des myriades de gouttelettes de sang sombre sur les grands chênes des berges du torrent. Aucun autre éclairage pour rendre la beauté des gorges qu'enjambait la construction romaine : la municipalité qui gérait le site économisait l'électricité l'hiver. Il ne faisait pourtant pas froid, ou juste quand la tramontane arrivait enfin à trouver l'entrée de l'étroit défilé et que, furieuse, elle mordait tout ce qu'elle pouvait mordre d'un froid mortel. Les quelques touristes égarés se rendant à grande ville en empruntant l'ancien itinéraire ne distinguaient rien ni personne. Pas même le jeune couple étranger dont le mari avait planté son appareil numérique sur un trépied pour éterniser le jeu des ombres et des lumières (et cette séance était gratuite !). Ensuite, il l'avait enlacée, lui avait chuchoté deux trois mots d'amour tendre et la vieille guimbarde rouillée de papa s'était accoquinée à la vieille route bringuebalante pour les ramener à la pension de famille, sains et saufs... Et rapidement.
Ils ne virent rien ni personne. Pas les pipistrelles pressées de passer à table, inquiètes car mère nature leur rappelait qu'il allait falloir satisfaire à la reproduction. Pas les renards qui pullulaient dans le coin, attirés par les restes touristiques de l'été, proches de la famine en cette saison. Pas les hiboux, chouettes, rats, mulots et toute la faune en train de jouer à "qui mange qui". Il ne virent donc pas, tout en haut, sur le tablier, une petite ombre incongrue, ombre vivante t tremblotante au milieu des ombres minérales figées et soudées. Un humain, une femme, une jeune fille. Elle est blonde mais la lune rousse écrase les contrastes, gomme les couleurs, elle est noire et rouge, comme le reste. Elle se trouvait pour le moment contre un pilier, à l'abri de la tramontane, beaucoup plus libre à cette hauteur. Il y a quelque secondes elle était assise, balançant ses jambes, espérant que le mouvement entraînerait le reste de son corps et supplanterait son manque de courage. Tremblante, elle supputait maintenant le pour et le contre. Elle ne se rappelait plus de la goutte qui avait fait débordé le vase, juste un trop plein, d'un coup. Elle ne pouvait pas avoir de peines de coeur, personne ne l'intéressait, le contraire aussi, surtout. Ses parents ? Plutôt compréhensifs, sa mère venant même parfois écouter de la musique sans sa chambre). Alors ? Elle regarda la lune, cherchant un regard complice, le sourire bonhomme habituel :; la lune rouge ne sourit pas, elle est fourbe et malintentionnée. Le site était connu, il y avait eu plusieurs grands sauts ces dernières années. Le site était tranquille. Personne pour la réconforter encore un peu plus, lui faire quitter l'ouvrage d'art et récupérer la moto qu'elle a camouflé a son arrivée. Personne ? Quelque chose de noir et rouge se mouvait dans le noir et rouge ambiant, tout en bas. LA jeune fille n'osa pas se pencher de peur de tomber. Elle sourit intérieurement : sa décision était prise.
Le grand homme en noir se matérialisa soudain, à quelque pas de son refuge. La jeune fille se leva, presque joyeuse.
- Ne vous inquiétez pas, je ne veux plus sauter.
- Je ne suis pas inquiet. Une voix presque aussi froide que le vent.
- Je ne sais pas ce qui m'a pris je vais redescendre, vous êtes venu me chercher ?
- En quelque sorte oui.
La jeune femme détailla son interlocuteur. Certainement plus de 2 mètres, la peau très mate, un visage émacié, au milieu, deux grand yeux d'un bleu iceberg, perçants et scrutateurs.
- Je ne sais pas pourquoi... Elle balbutiait, troublé par l'attitude de l'arrivant.
- Tu es seule
- Oui mais beaucoup de gens sont seuls et...
- Tu es laide.
- Ben merci. Elle était anesthésiée, pas moyen de se mettre en colère.
- Tu n'as aucun avenir. Il assenait tout cela sans le moindre état d'âme. Il s'approchait doucement de la jeune fille.
- Je ne comprends pas, je pensais même que vous pourriez être... Un ange, mon ange gardien...
- Et non. A tout de suite. Il était à portée de la jeune femme, une simple petite tape à l'épaule suffit à la déséquilibrer. Elle s'écrasa sans proférer le moindre cri, trop surprise pour émettre le moindre son.
- Pff... Un ange... Et puis quoi encore ! Il repartit dans l'autre sens, commençant à rire. Un rire sardonique, froid, effrayant, en un mot démoniaque.
ramanaraz- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 14/09/2008
Re: LUNE FOURBE
Hum... Le début de ton texte est très beau, riche en descriptions, mais la fin laisse... froid, déçu. J'ignore si tu prévois une suite à ton texte, mais s'il se résume à ces lignes, à ce dénouement... Bof.
Aucun sentiment sur la fin, aucun intérêt sur cet homme qui a un rire étrange et qui est dur -et c'est tout. Mouef... Alors que j'avais bien aimé la première partie, j'ai pas aimé ce qui a suivi.
Il faudrait retravailler un peu ça je pense.
Mais il faudrait voir ce que pensent les autres.
Aucun sentiment sur la fin, aucun intérêt sur cet homme qui a un rire étrange et qui est dur -et c'est tout. Mouef... Alors que j'avais bien aimé la première partie, j'ai pas aimé ce qui a suivi.
Il faudrait retravailler un peu ça je pense.
Mais il faudrait voir ce que pensent les autres.
Montmartre- Talent Habitué
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Age : 28
Votre talent : Écriture
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Date d'inscription : 19/10/2008
Re: LUNE FOURBE
ouais il y a un problème de compréhension à la fin, beaucoup de gens passent à côté. Je vais essayer de le rendre plus explicite mais pas trop non plus. Si tu veux, le gars il est un peu plus que méchant et froid...
je suis de toute façons en train d'y bosser, merci de ta lecture et de ton avis
je suis de toute façons en train d'y bosser, merci de ta lecture et de ton avis
ramanaraz- Talent Hasardeux
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Points : 11
Date d'inscription : 14/09/2008
Re: LUNE FOURBE
ramanaraz a écrit:
LUNE FOURBE
La lune rousse ensanglantait les arrêtes du viaduc antique et découpait des myriades de gouttelettes de sang sombre sur les grands chênes des berges du torrent. Aucun autre éclairage pour rendre la beauté des gorges qu'enjambait la construction romaine (il manque un verbe pour moi): la municipalité qui gérait le site économisait l'électricité l'hiver. Il ne faisait pourtant pas froid, ou juste (je n'aime pas ce "ou juste". Je verrais plus un "seulement") quand la tramontane arrivait enfin à trouver l'entrée de l'étroit défilé et que, furieuse, elle mordait tout ce qu'elle pouvait mordre d'un froid mortel. Les quelques touristes égarés se rendant à grande ville (à la grande ville plutôt non? Où est-ce une ville simplement unique par son nom peu commun? ^^) en empruntant l'ancien itinéraire ne distinguaient rien ni personne. Pas même le jeune couple étranger dont le mari avait planté son appareil numérique sur un trépied pour éterniser le jeu d'ombres et de lumières (et cette séance était gratuite !)(un conseil, les parenthèses sont déjà inutiles et je trouve qu'elles abîment le texte. Supprime-les ). Ensuite, il l'avait enlacée, lui avait chuchoté deux trois mots d'amour tendre(s) (c'est "l'amour' ou les "mots" qui sont tendres selon toi?) et la vieille guimbarde rouillée de papa s'était acoquinée à la vieille route bringuebalante (encore un adjectif verbal qui me chiffone. Robert me dit que bringuebaler est familier... personnellement, je trouverais un synonyme ou une autre tournure) pour les ramener à la pension de famille, sains et saufs... Et rapidement.
Ils ne virent rien ni personne. Pas les pipistrelles pressées de passer à table, inquiètes car mère nature leur rappelait qu'il allait falloir satisfaire à la reproduction. Pas les renards qui pullulaient dans le coin, attirés par les restes touristiques de l'été, proches de la famine en cette saison. Pas les hiboux, chouettes, rats, mulots et toute la faune en train de jouer à "qui mange qui". Il ne virent donc pas, tout en haut, sur le tablier, une petite ombre incongrue, ombre vivante t (?) tremblotante au milieu des ombres minérales figées et soudées. Un humain, une femme, une jeune fille. Elle est blonde mais la lune rousse écrase les contrastes, gomme les couleurs, elle est noire et rouge, comme le reste. Elle se trouvait pour le moment contre un pilier, à l'abri de la tramontane, beaucoup plus libre à cette hauteur. Il y a quelque secondes, elle était assise, balançant ses jambes, espérant que le mouvement entraînerait le reste de son corps et supplanterait son manque de courage. Tremblante, elle supputait maintenant le pour et le contre. Elle ne se rappelait plus de la goutte qui avait fait déborder le vase, juste un trop plein, d'un coup. Elle ne pouvait pas avoir de peines de cœur, personne ne l'intéressait, le contraire aussi, surtout. Ses parents ? Plutôt compréhensifs, sa mère venait même parfois écouter de la musique dans sa chambre) (?). Alors ? Elle regarda la lune, cherchant un regard complice, le sourire bonhomme habituel :; (?) la lune rouge ne sourit pas, elle est fourbe et malintentionnée. Le site était connu, il y avait eu plusieurs grands sauts ces dernières années. Le site était tranquille. Personne pour la réconforter encore un peu plus, lui faire quitter l'ouvrage d'art et récupérer la moto qu'elle a camouflée à son arrivée. Personne ? Quelque chose de noir et rouge se mouvait dans le noir et rouge ambiant, tout en bas. La jeune fille n'osa pas se pencher de peur de tomber. Elle sourit intérieurement : sa décision était prise.
Le grand homme en noir se matérialisa soudain, à quelques pas de son refuge. La jeune fille se leva, presque joyeuse.
- Ne vous inquiétez pas, je ne veux plus sauter.
- Je ne suis pas inquiet. Une voix presque aussi froide que le vent.
- Je ne sais pas ce qui m'a pris je vais redescendre, vous êtes venu me chercher ?
- En quelque sorte oui.
La jeune femme détailla son interlocuteur. Certainement plus de 2 mètres, la peau très mate, un visage émacié, au milieu, deux grand yeux d'un bleu iceberg (iceberg bleu...?), perçants et scrutateurs. (je ne fais aucune discrimination, bien loin de là est mon idée, mais... euh... un homme à la peau mate et aux yeux bleus, c'est très peu courant ou même inexistant...)
- Je ne sais pas pourquoi... Elle balbutiait, troublée par l'attitude de l'arrivant.
- Tu es seule
- Oui mais beaucoup de gens sont seuls et...
- Tu es laide.
- Ben merci. Elle était anesthésiée, pas moyen de se mettre en colère.
- Tu n'as aucun avenir. Il assenait tout cela sans le moindre état d'âme. Il s'approchait doucement de la jeune fille.
- Je ne comprends pas, je pensais même que vous pourriez être... Un ange, mon ange gardien...
- Et non. A tout de suite. Il était à portée de la jeune femme, une simple petite tape à l'épaule suffit à la déséquilibrer. Elle s'écrasa sans proférer le moindre cri, trop surprise pour émettre le moindre son.
- Pff... Un ange... Et puis quoi encore ! Il repartit dans l'autre sens, commençant à rire. Un rire sardonique, froid, effrayant, en un mot: démoniaque.
Intéressant. Quoi que la fin est prévisible. Un peu trop. Ce n'est pas assez développé. Pour être franc, il faut donner une note d'originalité . On a l'impression qu'elle le connaît (l'ange démon), pourquoi ne pas un peu plus parler de lui avant? Ou, du moins, faire dire qu'elle a confiance en lui lorsqu'il apparaît?
Montre peut être un peu plus ses problèmes aussi. Et fais les peu à peu amoindrir, pour montrer qu'elle comprend peu à peu que son intention est stupide.
Sinon, l'effet produit par la froideur du démon est bien. Son ton implacable pour tenter de la déstabiliser par les mots me plaît. Et à la fin, face aux efforts vains verbaux, le geste de la pousser pour qu'elle tombe, montre que la fille n'est pas un esprit faible non plus ou manipulable.
Creuse donc dans le sens que je t'ai donné (ou pas ^^). Mais là, c'est une nouvelle, tu peux te permettre de l'étoffer (surtout qu'elle est courte).
Attention aux abus de tournures de phrases sans verbe. Quoi qu'en dise malaulau, ça peut donner un effet de style, mais trop, ça ne fait plus grand chose.
Sinon, je te souhaite bon courage pour l'édition. Tu as déjà une maison en vue? Ou tu pars à l'abordage?
Re: LUNE FOURBE
je pars à l'abordage lol mais je pense avoir recours au compte d'auteur pour commencer pour plusieurs raisons mais la principale c'est que ce qui me motive c'est l'envie de sortir un bouquin avant tout, pas de faire des ronds avec.
pour commencer il faut que j'écrive bien plus et ce n'est pas gagné !
merci pour tes conseils je vais en tenir compte (ou pas ).
pour commencer il faut que j'écrive bien plus et ce n'est pas gagné !
merci pour tes conseils je vais en tenir compte (ou pas ).
ramanaraz- Talent Hasardeux
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Votre talent : Écriture
Points : 11
Date d'inscription : 14/09/2008
Re: LUNE FOURBE
Et ton recueil aura quoi comme thème principal?
Pour les maisons à compte d'auteur, prudence. Je peux t'en conseiller une au cas où...
Pour les maisons à compte d'auteur, prudence. Je peux t'en conseiller une au cas où...
Re: LUNE FOURBE
oui merci, je compter te demander conseil au moment adéquat.
en fait cela devrait s'appeler "Bric à brac et bien pire". Cela tournerai sur l'humour, voire l'humour noir. La "pièce principale" serait glissements medicos spatios temporels (postée sur ce fofo) En principe Lune fourbe ne devrait pas y figurer.
J'ai une autre possibilité avec un univers fantasy crépusculaire dont je tiens la nouvelle "centrale", une 40 aine de pages sur word.
Ce sont les deux pistes les plus chaudes pour le moment.
en fait cela devrait s'appeler "Bric à brac et bien pire". Cela tournerai sur l'humour, voire l'humour noir. La "pièce principale" serait glissements medicos spatios temporels (postée sur ce fofo) En principe Lune fourbe ne devrait pas y figurer.
J'ai une autre possibilité avec un univers fantasy crépusculaire dont je tiens la nouvelle "centrale", une 40 aine de pages sur word.
Ce sont les deux pistes les plus chaudes pour le moment.
ramanaraz- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 32
Votre talent : Écriture
Points : 11
Date d'inscription : 14/09/2008
Re: LUNE FOURBE
Et il est possible de voir apparaître ici: "Glissements médicos spatios temporels"?
Je t'encourage dans cette voie en tout cas .
Je t'encourage dans cette voie en tout cas .
Re: LUNE FOURBE
oui ou, il est un peu plus bas mais toujours en première page lol
mici pour les encouragements
mici pour les encouragements
ramanaraz- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 14/09/2008
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