La femme bonsaï
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Nérouje
MrSonge
oxxo
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Re: La femme bonsaï
Lancé, pas trop loin j'espère ? xDLe repas était lancé, tout était bien au frais.
Pas de virgule après "bain". Pourquoi ce "afin" ? Elle se dirige vers la salle pour écouter, tu veux dire ? parce que elle pourrait les écouter ailleurs qu'à la salle de bain... Et "qui n'en pouvaient plus de" fait très oral est pas très beau pour moi. ^^Julia mit le répondeur en route et se dirigea vers la salle de bain, afin d'écouter ses messages qui n'en pouvaient plus de clignoter. Le premier était de Pauline.
Cette phrase, àmon avis, ne résiste pas à l'oral. "Elle était venue faire un petit reportage avec photos, pour la naissance de Rémi, afin (pas deux fois "pour") de se faire les dents..."Elle était venue pour la naissance de Rémi faire un petit reportage, avec photo, pour faire ses dents en attendant de traiter des sujets plus palpitants.
Pas de virgule avant "où" mais il faut absolument arranger cette fin de phrase. "Dans lequel on aurait juré que résidaient des étoiles", "où l'on aurai juré que résidaient des étoiles".Elle était si belle dans sa robe lavande, ses magnifiques cheveux roux sauvagement détachés sur ses épaules, son doux teint de pêche velouté, son regard bleu-nuit, où l'on aurait juré que des étoiles y résidaient.
Si elle est élancée, par définition elle est grande et mince. ^^Mince, élancée, grande, sûre d'elle et de son talent de reporter, pourtant encore balbutiant.
Je ne comprend pas. Il est méritant de quoi cet article ??Rémi allait avoir l'article le plus méritant de tous les bébés de la maternité.
"Prise pour faire" deux verbes génériques pour une tournure pas très élégante.Pauline avait été prise pour faire son stage dans un journal local à grande distribution.
Il manque un COD : "qu'il la lui"Il avait promis aussi qu'il lui offrirait à son retour.
"fût donc propriétaire", pas très joli. On devient propriétaire, plutôt.C'est ainsi que Rémi fût donc l'heureux propriétaire d'un crocodile en caoutchouc, quatorze centimètres parfaitement bien imités.
Encore une phrase qui tombe d'elle-même à l'oral. "L'article n'était finalement pas passé"L'article finalement n'était pas passé.
Pas de remarque supplémentaires à ce que j'ai dis avant : à voix haute, à mon avis, sera le meilleur remèdes aux quelques phrases un peu bancales qui persistent sous ta plume !
Re: La femme bonsaï
Juste pour dire "salle de bains"Julia mit le répondeur en route et se dirigea vers la salle de bain
J'attendrai que les corrections soient apportées pour me mettre à la lecture, sinon, ça va embouteiller sec^^
azul- Talent Suprême
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Re: La femme bonsaï
Merci pour vos corrections, elles m'ont bien aidé au départ, mais là je dois dire que ça m'embrouille de plus en plus par des contres-infos "pas assez de virgules" puis je lis "trop de virgules", puis des corrections inverses, bref, je sais plus et mon texte du coup ne ressemble plus à rien par rapport à ce que je voulais écrire au départ.
Je dis donc Stop ! Merci, je préfère arrêter. Je ferai ça autrement.
Je dis donc Stop ! Merci, je préfère arrêter. Je ferai ça autrement.
oxxo- Talent Hasardeux
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Re: La femme bonsaï
C'est-à-dire ?oxxo a écrit:Merci pour vos corrections, elles m'ont bien aidé au départ, mais là je dois dire que ça m'embrouille de plus en plus par des contres-infos "pas assez de virgules" puis je lis "trop de virgules", puis des corrections inverses, bref, je sais plus et mon texte du coup ne ressemble plus à rien par rapport à ce que je voulais écrire au départ.
Je dis donc Stop ! Merci, je préfère arrêter. Je ferai ça autrement.
Je vais te dire oxxo, tu te retrouves dans le cas de bien des auteurs qui reçoivent maints commentaires et ne savent plus quoi en faire. Il te faut relire tout ça à tête reposée, imprimer s'il le faut, et surtout, le maître mot : faire la part des choses. Reprendre tout et te dire : ici on me dit ça, est-ce que je suis d'accord, est-ce que ça correspond à ce que j'ai voulu dire mais en mieux ? Ou pas.
Et si tu as besoin de t'y retrouver dans tes virgules, je peux t'aider. Je ne suis pas une pro des commentaires, loin s'en faut, mais le moins que je puisse dire c'est que je maîtrise la ponctuation. Et la typographie en général. (Ah ben pour une fois que j'ose affirmer quelque chose, ça fait du bien !)
Et surtout ne laisse pas tomber. Ok ?
azul- Talent Suprême
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Re: La femme bonsaï
Je ne sais pas qui t'as dit que tu mettais trop de virgule, mais envoie-le moi, on va discuter !
Non pour le reste, je t'avoue que mes corrections comme n'importe quelles autres sont discutables, mais tes virgules, là, je crois que c'est d'un objectivisme absolu : tu en abuses un peu. Après, si tu reçois des corrections qui s'opposent, rien ne t'empêche de nous le signaler, et cela amènera chaque correcteur à donner ses raisons. Tu pourras ainsi choisir la justification qui t'apparaitra la plus pertinente.
Non pour le reste, je t'avoue que mes corrections comme n'importe quelles autres sont discutables, mais tes virgules, là, je crois que c'est d'un objectivisme absolu : tu en abuses un peu. Après, si tu reçois des corrections qui s'opposent, rien ne t'empêche de nous le signaler, et cela amènera chaque correcteur à donner ses raisons. Tu pourras ainsi choisir la justification qui t'apparaitra la plus pertinente.
Re: La femme bonsaï
Je viens de me pencher sur la correction de Barbara, et plus précisément sur l'emplacement des virgules. C'est vrai qu'il y a beaucoup d'incises. En tenant compte de ce choix d'auteur (que l'on peut toujours lui faire remarquer), Barbara n'avait guère d'autres possibilités que de les remettre à leur place.
Conclusion, si tu tiens à tes incises, tiens aussi compte de la correction de Barbara. Dans le cas inverse, tu pourrais te retrouver avec des verbes coupés de leur sujet ou de leur complément par une virgule. Et là il ne s'agirait plus de hacher ou non le texte avec trop de virgules, mais d'une entorse aux règles de la ponctuation.
Conclusion, si tu tiens à tes incises, tiens aussi compte de la correction de Barbara. Dans le cas inverse, tu pourrais te retrouver avec des verbes coupés de leur sujet ou de leur complément par une virgule. Et là il ne s'agirait plus de hacher ou non le texte avec trop de virgules, mais d'une entorse aux règles de la ponctuation.
azul- Talent Suprême
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Re: La femme bonsaï
CHAPITRE 1 :
Ce jour-là, exceptionnellement, Julia était heureuse. Ses bras dégoulinaient de sacs (je ne connaissais pas cette expression. et logiquement, ne serait-ce pas les sacs qui dégoulineraient ? je sais pas... c'est bizarre tout du moins.)remplis à ras bord de victuailles en tous genres nécessaires pour préparer sa soirée de noces de béryl (prénom ? Béryl alors).
Elle avançait tant bien que mal, tentant de ne rien faire tomber au passage, jusqu'au plan de travail de la cuisine pour se délester de ses paquets. La porte d'entrée, alourdie à sa base par un rideau de velours vert gazon et d'un coupe vent était par conséquent restée ouverte. Pour éviter tout vis à vis, elle traversa le salon dont les volets étaient entrebâillés et aperçut le signal rouge du répondeur clignoter.(désolée, je m'y perds un peu. Je comprend pas "le vis à vis" notamment)
D'abord, se débarrasser de son fardeau, ensuite de son manteau, puis de ses chaussures, et enfin reprendre son souffle. Mettre les choses « qui craignent » au frigo, enfiler une tenue plus confortable pour cuisiner. Préparer celle (? le repas du soir ?)de la soirée, pour plus tard, pour être prête et belle quand il rentrerait; sa robe noire, et le collier qu'il lui avait offert à noël, en perles de rocailles imitation cristal, ferait parfaitement l'affaire.
Son seul objectif était l'organisation réglée à la seconde près. Tout devait être parfait. Le dessert, en premier : taramisu aux framboises et aux amandes, fait maison, comme toutes ses pâtisseries.(merdouille, il est midi, tu me donnes faim. Ca m'a l'air apétissant) Avec le temps elle était devenue experte en gourmandises. Le plus important était qu'il soit bien frais pour être dignement dégusté.
Restait à préparer, le plat de crustacés, bien présenté, avec tout ce qu'il aime : bigorneaux, huîtres, bulots, suivi de près par bouquets de langoustines, crevettes, étrilles et tourteaux, achetés avec les trente pour cent de réduction offerts par Monsieur Vivier, son poissonnier.
Rafraîchir le vin le temps nécessaire, celui qu'il préfère, le Jurançon, pour accompagner les trésors de la mer. (rrhhoo ! j'ai les boyaux qui chantent) Un peu trop sucré pour les coquillages mais c'est ainsi qu'il aimait les accorder. Les canapés, d'asperges, de saumon, de tarama et d'œufs de lumps, suivis en farandole de foie gras au sel de Guerande et jus de pêches caramélisées, tout ce petit monde à allonger noblement sur leur plat de présentation, comme elle l'avait appris lors de ses stages en restauration.(bien ! une description de plats qui introduit le caractère du personnage : j'apprend qu'elle est extrêmement organisée, pointilleuse sur les détails, gourmande, soignée et plutôt très amoureuse)
Penser à mettre un dernier coup de nettoyage dans l'appartement, les sols, les poussières. Ensuite aller se doucher, se parfumer avec du lait de toilette pour bébé. Mettre des bougies, un peu d'encens, des pétales de roses.(oui ces petits détails révèlent son caractère coquet)
Cacher le cadeau sous l'oreiller, les deux billets pour Vérone. Ce serait leur premier voyage ensemble en vingt-trois ans de mariage. De toutes celles sur lesquelles il avait été envoyé, cette partie de la planète n'avait pas encore accueilli ses pieds.
...
Ses déplacements perpétuels avaient été « joyeusement » soldés par un mariage qui l'avait enfin fixée quelque part. Elle n'avait jamais attendu mieux de la vie. Son rêve s'était réalisé : poser enfin ses valises et ne plus bouger. Ce n'était pas le grand bonheur, mais elle s'en contentait. (pourtant elle semble heureuse)
J'ai trouvé ton style "amusant" : L'histoire est pourtant loin de l'être finalement. Elle commence gaïement, on s'attend à découvrir une jeune fille romantique et très amoureuse pour découvrir une femme avec un passé plutôt triste au fond. Tu gardes un ton léger, très agréable à lire, avec une petite touche ironique. Je lirais la suite avec plaisir, tu m'as donné envie de connaître ce mari.
Ce jour-là, exceptionnellement, Julia était heureuse. Ses bras dégoulinaient de sacs (je ne connaissais pas cette expression. et logiquement, ne serait-ce pas les sacs qui dégoulineraient ? je sais pas... c'est bizarre tout du moins.)remplis à ras bord de victuailles en tous genres nécessaires pour préparer sa soirée de noces de béryl (prénom ? Béryl alors).
Elle avançait tant bien que mal, tentant de ne rien faire tomber au passage, jusqu'au plan de travail de la cuisine pour se délester de ses paquets. La porte d'entrée, alourdie à sa base par un rideau de velours vert gazon et d'un coupe vent était par conséquent restée ouverte. Pour éviter tout vis à vis, elle traversa le salon dont les volets étaient entrebâillés et aperçut le signal rouge du répondeur clignoter.(désolée, je m'y perds un peu. Je comprend pas "le vis à vis" notamment)
D'abord, se débarrasser de son fardeau, ensuite de son manteau, puis de ses chaussures, et enfin reprendre son souffle. Mettre les choses « qui craignent » au frigo, enfiler une tenue plus confortable pour cuisiner. Préparer celle (? le repas du soir ?)de la soirée, pour plus tard, pour être prête et belle quand il rentrerait; sa robe noire, et le collier qu'il lui avait offert à noël, en perles de rocailles imitation cristal, ferait parfaitement l'affaire.
Son seul objectif était l'organisation réglée à la seconde près. Tout devait être parfait. Le dessert, en premier : taramisu aux framboises et aux amandes, fait maison, comme toutes ses pâtisseries.(merdouille, il est midi, tu me donnes faim. Ca m'a l'air apétissant) Avec le temps elle était devenue experte en gourmandises. Le plus important était qu'il soit bien frais pour être dignement dégusté.
Restait à préparer, le plat de crustacés, bien présenté, avec tout ce qu'il aime : bigorneaux, huîtres, bulots, suivi de près par bouquets de langoustines, crevettes, étrilles et tourteaux, achetés avec les trente pour cent de réduction offerts par Monsieur Vivier, son poissonnier.
Rafraîchir le vin le temps nécessaire, celui qu'il préfère, le Jurançon, pour accompagner les trésors de la mer. (rrhhoo ! j'ai les boyaux qui chantent) Un peu trop sucré pour les coquillages mais c'est ainsi qu'il aimait les accorder. Les canapés, d'asperges, de saumon, de tarama et d'œufs de lumps, suivis en farandole de foie gras au sel de Guerande et jus de pêches caramélisées, tout ce petit monde à allonger noblement sur leur plat de présentation, comme elle l'avait appris lors de ses stages en restauration.(bien ! une description de plats qui introduit le caractère du personnage : j'apprend qu'elle est extrêmement organisée, pointilleuse sur les détails, gourmande, soignée et plutôt très amoureuse)
Penser à mettre un dernier coup de nettoyage dans l'appartement, les sols, les poussières. Ensuite aller se doucher, se parfumer avec du lait de toilette pour bébé. Mettre des bougies, un peu d'encens, des pétales de roses.(oui ces petits détails révèlent son caractère coquet)
Cacher le cadeau sous l'oreiller, les deux billets pour Vérone. Ce serait leur premier voyage ensemble en vingt-trois ans de mariage. De toutes celles sur lesquelles il avait été envoyé, cette partie de la planète n'avait pas encore accueilli ses pieds.
...
Ses déplacements perpétuels avaient été « joyeusement » soldés par un mariage qui l'avait enfin fixée quelque part. Elle n'avait jamais attendu mieux de la vie. Son rêve s'était réalisé : poser enfin ses valises et ne plus bouger. Ce n'était pas le grand bonheur, mais elle s'en contentait. (pourtant elle semble heureuse)
J'ai trouvé ton style "amusant" : L'histoire est pourtant loin de l'être finalement. Elle commence gaïement, on s'attend à découvrir une jeune fille romantique et très amoureuse pour découvrir une femme avec un passé plutôt triste au fond. Tu gardes un ton léger, très agréable à lire, avec une petite touche ironique. Je lirais la suite avec plaisir, tu m'as donné envie de connaître ce mari.
Re: La femme bonsaï
Chapitre I
(2ème extrait)
=> ça n'a l'air de rien, mais dans ta situation le "afin" se rapporte à ce qu'il y a avant "et se dirigea vers la salle de bain". Du coup, le sens de ta phrase est absurde puisqu'on a l'impression qu'elle se dirige dans sa salle de bain pour écouter ses messages sur son répondeur.
=> par contre, le premier élément est intrus du reste : la robe lavande. Soit elle est toujours habillée avec une robe lavande, et dans ce cas là je dis rien, soit il y a une erreur de sens. Ton personnage se "souvient" de son amie ici, et elle ne la voit pas en direct. Donc elle ne peut que décrire sa physionomie et les choses qui ne changeront jamais (teint, yeux, cheveux, caractère etc.) mais pas les fringues qui elles, sont supposées être différentes au moins deux ou trois fois par semaine ^^.
=> je te propose une expression plus type : "dans ses premiers pas" ou alors le mot "balbutiement".
=> "Oui, aux détails près qu'il s'agissait..." ou "Oui, mis à part que..." ou encore un simple "Néanmoins/Toutefois/Cependant".
Appréciation linguistique :
Du mieux avec déjà beaucoup moins de virgules. Le texte est plus agréable à lire et surtout, à comprendre. (c'est toujours mieux lorsqu'on sait avec quel sujet tel verbe correspond ).
Du vocabulaire à peut-être retravaillé certaines fois. Je suis sûr qu'il y a des termes beaucoup plus riches et spécifiques qui correspondraient mieux à certains endroits.
Et enfin, attention aux maladresses de sens qui détournent ce que tu veux dire.
Je te les ai généralement relevés au fil de ma lecture et t'ai expliqué mon point de vue. Du coup, tu en fais ce que tu veux .
Appréciation du récit :
On zappe un peu le repas. il est lancé mais est toujours dans le frigo... donc il n'est pas tellement lancé ?
Il l'est encore moins puisque tu es parti sur un tout autre sujet qui change radicalement de situation.
La naissance de Rémi avec son père absent et une Pauline journaliste qui va devenir sa meilleure amie. L'italique veut surement dire que ce n'est pas une si bonne amie que ça, ou ça veut dire autre chose ?
Parce que je pense que tu aurais du le dire plus vite ce que cette mise en italique signifiait. Le lecteur l'a repéré, il s'est demandé pourquoi mais il ne voit aucun élément de réponse.
Du coup, il oubliera et n'aura pas vu l'intérêt de l'avoir mis en italique.
Sinon, je suis toujours prêt à lire la suite é_è.
(2ème extrait)
=> il n'est pas lancé alors puisque tout est au frigo ?Le repas était lancé, tout était bien au frais.
=> je décalerai le "afin" en début de phrase du genre "Afin d'écouter ses messages qui n'en pouvaient plus de clignoter, Julia mit le répondeur en route, puis se dirigea vers la salle de bain."Julia mit le répondeur en route et se dirigea vers la salle de bain, afin d'écouter ses messages qui n'en pouvaient plus de clignoter.
=> ça n'a l'air de rien, mais dans ta situation le "afin" se rapporte à ce qu'il y a avant "et se dirigea vers la salle de bain". Du coup, le sens de ta phrase est absurde puisqu'on a l'impression qu'elle se dirige dans sa salle de bain pour écouter ses messages sur son répondeur.
=> bien la description quoiqu'elle fasse un peu effet catalogueElle était si belle dans sa robe lavande, ses magnifiques cheveux roux sauvagement détachés sur ses épaules, son doux teint de pêche velouté, son regard bleu-nuit, où l'on aurait juré que des étoiles y résidaient.
=> par contre, le premier élément est intrus du reste : la robe lavande. Soit elle est toujours habillée avec une robe lavande, et dans ce cas là je dis rien, soit il y a une erreur de sens. Ton personnage se "souvient" de son amie ici, et elle ne la voit pas en direct. Donc elle ne peut que décrire sa physionomie et les choses qui ne changeront jamais (teint, yeux, cheveux, caractère etc.) mais pas les fringues qui elles, sont supposées être différentes au moins deux ou trois fois par semaine ^^.
=> balbutiant... il fait bizarre.Mince, élancée, grande, sûre d'elle et de son talent de reporter, pourtant encore balbutiant.
=> je te propose une expression plus type : "dans ses premiers pas" ou alors le mot "balbutiement".
=> (subjectif) pour faire une image sympa, tu peux même rajouter le qualificatif : divine. (aide divine). L'iamge serait encore mieux rendue !le regard levé vers le ciel comme pour implorer de l'aide.
=> le "sauf que là" n'est pas des plus esthétique.Oui, sauf que là il s'agissait de Julia qui était venue en taxi,
=> "Oui, aux détails près qu'il s'agissait..." ou "Oui, mis à part que..." ou encore un simple "Néanmoins/Toutefois/Cependant".
Appréciation linguistique :
Du mieux avec déjà beaucoup moins de virgules. Le texte est plus agréable à lire et surtout, à comprendre. (c'est toujours mieux lorsqu'on sait avec quel sujet tel verbe correspond ).
Du vocabulaire à peut-être retravaillé certaines fois. Je suis sûr qu'il y a des termes beaucoup plus riches et spécifiques qui correspondraient mieux à certains endroits.
Et enfin, attention aux maladresses de sens qui détournent ce que tu veux dire.
Je te les ai généralement relevés au fil de ma lecture et t'ai expliqué mon point de vue. Du coup, tu en fais ce que tu veux .
Appréciation du récit :
On zappe un peu le repas. il est lancé mais est toujours dans le frigo... donc il n'est pas tellement lancé ?
Il l'est encore moins puisque tu es parti sur un tout autre sujet qui change radicalement de situation.
La naissance de Rémi avec son père absent et une Pauline journaliste qui va devenir sa meilleure amie. L'italique veut surement dire que ce n'est pas une si bonne amie que ça, ou ça veut dire autre chose ?
Parce que je pense que tu aurais du le dire plus vite ce que cette mise en italique signifiait. Le lecteur l'a repéré, il s'est demandé pourquoi mais il ne voit aucun élément de réponse.
Du coup, il oubliera et n'aura pas vu l'intérêt de l'avoir mis en italique.
Sinon, je suis toujours prêt à lire la suite é_è.
Re: La femme bonsaï
C'est-à-dire qu'elle quitte le forum ! Enfin, c'est l'impression que ça me donne en tout cas.azul a écrit:C'est-à-dire ?oxxo a écrit:Merci pour vos corrections, elles m'ont bien aidé au départ, mais là je dois dire que ça m'embrouille de plus en plus par des contres-infos "pas assez de virgules" puis je lis "trop de virgules", puis des corrections inverses, bref, je sais plus et mon texte du coup ne ressemble plus à rien par rapport à ce que je voulais écrire au départ.
Je dis donc Stop ! Merci, je préfère arrêter. Je ferai ça autrement.
Ce qui est fort dommage. Mais c'est vrai que si les corrections sont contradictoires, ça a dû t'embrouiller Oxxo. Il faut que tu t'attaches à prendre en compte les remarques qui reviennent le plus souvent, ce qui veut dire qu'elles doivent être justifiées. Mais aussi que tu prennes en compte les corrections des correcteurs que sont principalement : Azul et moi-même, pour ne citer que celles qui ont quasiment terminé leur formation (une vraie formation professionnelle, hein, nous ne nous disons pas "correctrices" pour faire bien).
Merci Azul pour ton soutien à propos de ma correction.
B.- Talent Divin
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Re: La femme bonsaï
J'en ai bien peur. En même temps, la qualité première d'un auteur, c'est la ténacité.C'est-à-dire qu'elle quitte le forum !
Les commentaires contradictoires sont inévitables quand beaucoup de personnes corrigent. Chacun y va de sa perception, et loin de décourager l'auteur, cette remise en question devrait être le guide de l'amélioration d'un style, d'une histoire.
Pour cela, il faut savoir se remettre en question mais aussi faire la part des choses. Tout n'est pas à prendre au pied de la lettre. Ce que font pourtant beaucoup d'auteurs.
Quant à la ponctuation, et la typographie en général, oui, sans prétention, je pense que toi et moi devrions nous démarquer sur ce point. Ce qui m'ennuie un peu, mais ici il s'agit bien pour oxxo de ponctuation, c'est que je vois souvent des erreurs dans les corrigés, et je ne sais jamais comment les rattraper. Pourtant, la p'tit virgule obéit à des règles qu'il ne faut pas négliger (et pas qu'elle d'ailleurs).
Je ne pouvais pas faire moins, il n'y avait rien à redireMerci Azul pour ton soutien à propos de ma correction.
azul- Talent Suprême
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Re: La femme bonsaï
Je vois bien un moyen de parer aux erreurs.
C'est que tous devraient formuler les corrections dont ils ne sont pas sûrs sous forme de proposition et non d'affirmations.
Ainsi, le bénéfice du doute laisse le loisir à l'auteur de vérifier.
Et en même temps, c'est fait pour le faire travailler en lui donnant des pistes, pas pour lui mâcher le travail.
C'est que tous devraient formuler les corrections dont ils ne sont pas sûrs sous forme de proposition et non d'affirmations.
Ainsi, le bénéfice du doute laisse le loisir à l'auteur de vérifier.
Et en même temps, c'est fait pour le faire travailler en lui donnant des pistes, pas pour lui mâcher le travail.
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