Undercover Dusk. [Corrections]

Eleazare McNight a écrit:
Au moment où je m'y attendais le moins, la voiture tourna sur sa droite et s'engagea dans une allée. De nombreux arbres poussaient tout le long, jusqu'à l'entrée de la maison. Et cette maison... Quelle maison ! Style victorien par excellence : un porche avec un rocking-chair qui se balançait au gré du vent, trois étages, une petite tourelle hexagonale sur la gauche. Les planches étaient peintes en rouge foncé. C'était absolument magnifique. J'émis un "wow" admiratif qui déclencha les rires de Roxanne.

- Elle est belle n'est-ce pas ?
- Et comment !
- J'ai eu le coup de foudre quand j’étais petite. Nous habitions un peu plus loin dans le village, mais cette maison m’avait toujours fascinée. A la mort de mes parents (donc des grands parents d'alice, c'est ça ? Ce serait intéressant de le tourner de cette façon non ?), j’ai vendu leur maison et j'ai aussitôt acheté celle-ci. Elle est un peu grande pour moi toute seule, mais je me sens tellement bien ici (celle-ci et ici ... ça fait beaucoup "ci" non ? Le mec qui fait pas chier quoi XD). Tu vois, tu auras toute la place dont tu as besoin. Je ne t'étoufferai pas trop. Tu pourras même inviter des amis si tu veux.
- Ouais, quand j'en aurai, lançai-je, sarcastique.
- Bien sûr que tu vas t'en faire !
- J'espère...
- Allez, va, ne t’en fais pas, les gens du village sont très accueillants ! Tout le monde t’attend tu sais ? (alors ça, ça me ferait flipper tiens XD) Tiens, prends ça, me dit-elle en me tendant une de mes valises.

J'allais attraper la deuxième, mais elle était déjà partie. Avec ma deuxième valise et mon gros sac (oulah j'ai peur de pas tout avoir saisi là ... ah si okay, mais c'est super mal dit. Déjà, on a l'impression que le "elle" de "elle est partie" c'est la valise et non Roxane). Hallucinant ce que pouvait cacher une petite bonne femme comme elle sous ses bras fluets. (ah ah, je sens le premier indice !)

- Alors ? Tu comptes prendre racine à l'entrée ? Tu n'as pas encore vu ta chambre, tu risquerais de le regretter.

Je la rattrapai sur le porche. Elle ouvrit la porte d'entrée. Je regardai autour de moi, le rocking-chair, les plantes qui poussaient sur les bordures de fenêtres... Au moment où je passais le pas de la porte (répétition), jetant un dernier regard derrière moi, le rocking-chair se balança un peu plus fort, comme si une personne qui était assise dessus venait de se lever. A la réflexion, je n'avais peut-être pas assez dormi dans le train. (un second indice ? ^^)
L'intérieur de la maison était aussi époustouflant que l'extérieur, sinon plus. Je me retrouvai dans un grand hall meublé dans un style très boisé. En face de moi, un grand escalier en bois (comme tout dans cette maison) remontait jusqu'au deuxième étage. A ma gauche, je distinguai la cuisine de style traditionnel, avec - encore - (je te conseille franchement les tirets, plus que les parenthèses qui font très doc ou très brouillon ... ou très correction aussi XD) des meubles en bois. Une grande table était couverte d'une jolie nappe rouge fleurie, sur laquelle était posé un vase avec (ce avec me donne envie de rajouter "ent" à "était posé" parce qu'on a l'impression que c'est un vase + un bouquet et non un vase qui contient un bouquet) un bouquet de roses saumon. A ma droite, le salon et la salle à manger, que je ne pouvais pas bien voir (bof bof ...) depuis ma place. On y accédait par une double porte - toujours en bois - qui était ouverte.

Eleazare McNight a écrit:(mais où est donc passée l'écriture petite et noire ? )
Roxanne monta les premières marches des escaliers et je la rattrapai.
- Au rez-de-chaussée, comme tu l'as remarqué (héhé, à quoi il se réfère ton "l'" ? Ne seraient-ce pas le salon, la salle à manger etc ... ? Dans ce cas, "comme tu les as remarqués" mais c'est laid. Donc: "comme tu as pu remarquer"), il y a le salon, la salle à manger et la cuisine. Derrière les escaliers, tu trouveras une petite porte, ce sont les toilettes. Au premier, ma chambre, mon bureau et ma salle de bain. Et enfin, au dernier, ta chambre, ta salle de bain et un grenier. Depuis ta fenêtre, tu as une superbe vue sur le jardin. Je te laisserai le découvrir par toi-même.
Une deuxième volée (généralement la volée de marches, c'est plus dans la descente, puisque en les dévalant vite, on a l'impression de "voler". Alors que dans la montée, c'est plus physique ^^) de marches nous conduisit au dernier étage. Roxanne m'emmena vers la droite. J'en déduisis donc que le grenier se trouvait dans la tourelle. Elle ouvrit la porte de ce que je devinai être ma chambre, et s'effaça devant moi pour me laisser passer.
- Après toi ma grande.
Et je n'allais pas me faire prier. J'entrai dans la chambre la plus coquette et la plus chaleureuse qui soit. Je laissai tomber (oh la belle faute !) mon sac par terre, sur un joli tapis bordeaux et fit un tour sur moi-même pour détailler la pièce.
Face à moi, la fenêtre donnait, comme me l'avait dit Roxanne, sur le jardin. Depuis ma place, je ne vis qu'une étendue verte qui s'arrêtait au bord d'une forêt. En me tournant à gauche, je pus voir mon lit. Un grand lit en bois dont les draps en lin s'accordaient avec la douceur des murs en cèdre. Une petite table de nuit supportait un vase avec un autre bouquet de roses, rouges celles-là. Encore plus à ma gauche, une porte - à côté de celle par laquelle j'étais entrée - que Roxanne m'indiqua comme étant ma salle de bain. Je continuai mon inspection des lieux. Du côté opposé à mon lit, l'espace était occupé par une grande armoire. Le reste du mobilier consistait en une petite tablette qui supportait (répétition. =>"soutenait") une petite chaine hi-fi, ainsi qu’une étagère remplie de livres.
Au moment où je me retournai pour remercier Roxanne, un chat noir déboula dans la chambre et sauta sur le lit, là où Roxanne avait déposé mes affaires.
- Bienvenue dans ton petit chez toi ma grande ! Et je te présente Asraël.
- Oh ! Il est mignon. (Ledit Asraël remua la queue. Visiblement, il avait saisi qu'on parlait de lui) Merci beaucoup Roxanne ! C'est vraiment magnifique. Mais ce n'était pas la peine de te donner cette peine pour moi.
- Ne t'en fais pas, ce n'est pas grand chose. Ça me fait plaisir de t'avoir avec moi, au contraire. Et puis comme ça, tu pourras revenir quand tu voudras. Tu sauras que tu as une chambre qui t'attend et que tu ne dérangeras pas.
- Merci beaucoup, marmottai-je.
Elle vint vers moi et me prit encore une fois dans ses bras.
- Bon, je vais te laisser t'installer. Si tu veux prendre une douche avant de redescendre ou faire une petite sieste, à ta guise.
Elle attrapa le chat qui se débattit un peu, mais il se laissa faire après qu'elle lui ait lancé un regard peu amène.

- J'ai eu le coup de foudre quand j’étais petite. Nous habitions un peu plus loin dans le village, mais cette maison m’avait toujours fascinée. A la mort de mes parents – tes grands-parents donc -, j’ai vendu leur maison et j'ai aussitôt acheté celle-là. Elle est un peu grande pour moi toute seule, mais je me sens tellement bien ici.

- Allez, va, ne t’en fais pas, les gens du village sont très accueillants ! Tout le monde t’attend tu sais ? Tiens, prends ça, me dit-elle en me tendant l’une de deux mes valises.
J'allais attraper la seconde, mais Roxanne était déjà partie. Avec ma deuxième valise et mon gros sac.

Je la rattrapai sur le porche. Elle ouvrit la porte d'entrée. Je regardai autour de moi, le rocking-chair, les plantes qui poussaient sur les bordures de fenêtres... Alors que je passais le perron, je jetai un dernier regard derrière moi et vis le rocking-chair se balancer un peu plus fort, comme si une personne qui était assise dessus venait de se lever. A la réflexion, je n'avais peut-être pas assez dormi dans le train.
L'intérieur de la maison était aussi époustouflant que l'extérieur, sinon plus. Je me retrouvai dans un grand hall meublé dans un style très boisé. Tout dans cette maison était conçu et meublé en bois : du grand escalier en face de moi qui remontait jusqu'au deuxième étage à la cuisine sur ma gauche, de style traditionnel. Une grande table était couverte d'une jolie nappe rouge fleurie, sur laquelle était posé un vase contenant un bouquet de roses couleur saumon. A ma droite, le salon et la salle à manger, que je ne pouvais pas voir en entier depuis là où je me trouvais, étaient accessibles par une double porte, qui était ouverte.

- Au rez-de-chaussée, comme tu as pu le remarquer, ...

étaient accessibles par une double porte, qui était ouverte.

La première chose que je fis quand Roxanne eut quitté la pièce fut de mettre un CD en route dans la chaîne hi-fi. J’optai pour l’album d’un groupe français que June m’avait ramené lors d’un de ses nombreux voyages en France. L’univers du groupe était très enchanteur, et cela me rappelait vaguement l’ambiance qui régnait ici.

Je m'activai ensuite à sortir pantalons, jupes, t-shirts et pulls de mes valises pour les ranger dans l'armoire, tout en chantant à tue-tête. Puis je m'accordai le temps de prendre une douche. Après toutes ces émotions, j'avais besoin de me détendre, et il n'y avait rien de tel que de l’eau bien chaude pour cela. J'en profitai pour passer cette journée en revue. Je repensai à Jack, qui m'avait prédit un bon séjour et qui finalement n'avait pas eu tort. J'étais même plutôt contente d'être ici à présent. Comment ne pas l'être sous l'emprise de la bonne humeur de Roxanne ? J'étais toutefois un peu déçue que Jack soit parti comme ça, qu'on ne se soit pas dit au revoir, qu'on n'ait pas pu échanger nos numéros pour rester en contact. Mais bon... Maintenant, il était trop tard.

En sortant de la salle de bain, je m'attachai les cheveux rapidement, éteignis la chaîne hi-fi et redescendis.

- Roxanne ? appelai-je depuis les escaliers.

- Dans la cuisine chérie !

Quand j'arrivai dans le hall, une odeur appétissante vint me chatouiller les narines. Roxanne s’activait aux fourneaux.

- Mmh, ça tombe bien, je meurs de faim. Tu veux que je fasse quelque chose ?

- Non, merci. Assieds-toi. Je me suis dit que tu aurais peut-être un petit creux. Des pancakes, ça te va ? me demanda-t-elle en déposant une assiette bien remplie sur la table.

- Et comment ! m'exclamai-je.

- Avec du sirop d'érable. Comme on en mangeait souvent avec ta mère quand nous étions plus jeunes.

- Elle m'en fait encore parfois, le dimanche matin.

- Elle a gardé les bonnes habitudes d'antan.

- Et je ne m'en plains pas !

J'attaquai avec entrain l'assiette de pancakes, que Roxanne dévora avec moi. Asraël s'était installé à côté de nous, couché sur la table, la tête posée sur ses pattes avant. Il lorgnait notre assiette en remuant la queue, prêt à bondir si un bout de notre goûter nous échappait.

- Alors, que veux-tu faire ce soir ? Tu préfères te reposer ou sortir ?

- Je ne suis pas très fatiguée, donc si tu as quelque chose à proposer, je suis ouverte.

- Chouette ! Ça tombe bien, ce soir, c'est la Fête de la Lumière. Tous les habitants du village se rejoignent dans le pré derrière le bois, tu sais, celui au fond du jardin, et on fait la fête toute la nuit, éclairés par un gros feu de camp. C'est une nuit sacrée dans la région, on n’est pas censé se servir de la lumière artificielle durant toute la nuit. Même la mairie y participe, en éteignant tous les lampadaires de la ville. Tu verras, ça sera génial, et tu auras l'occasion de rencontrer les jeunes du coin. Alors, toujours partante ?

- Euh... Ouais, ça peut être marrant.
Je pensai tout de suite à June, qui aurait adoré participer à ce genre de soirée. Elle qui aimait tant sortir et s'amuser, elle était toujours la première à organiser des fêtes monumentales et à animer celles des autres. On ne s'ennuyait jamais avec elle. Mais ce soir, elle ne serait pas là. Et ce n'était pas pour autant que je n'allais pas en profiter ! J’étais certaine qu'elle serait aussi excitée que si elle y était allée quand je lui raconterais.

Eleazare McNight a écrit:

La première chose que je fis quand Roxanne eut quitté la pièce fut de mettre un CD en route dans la chaîne hi-fi. J’optai pour l’album d’un groupe français que June m’avait ramené lors d’un de ses nombreux voyage en France. L’univers du groupe était très enchanteur, et cela me rappelait vaguement l’ambiance qui régnait ici.
Je m'activai ensuite à sortir pantalons, jupes, t-shirts et pulls de mes valises pour les ranger dans l'armoire, tout en chantant à tue-tête. Puis je m'accordai le temps de prendre une douche. Après toutes ces émotions, j'avais besoin de me détendre, et il n'y avait rien de tel qu'une bonne douche bien chaude pour cela. J'en profitai pour passer cette journée en revue. Je repensai à Jack, qui m'avait prédit un bon séjour et qui finalement n'avait pas eu tort. J'étais même plutôt contente d'être ici à présent. Comment ne pas l'être sous l'emprise de la bonne humeur de Roxanne ? J'étais toutefois un peu déçue que Jack soit parti comme ça, qu'on ne se soit pas dit au revoir, qu'on n'ait pas pu échanger nos numéros pour rester en contact. Mais bon... Maintenant, il était trop tard.
En sortant de la douche, je m'attachai les cheveux rapidement, éteignis la chaîne hi-fi et redescendis.
- Roxanne ? [Pas de Virg.] appelai-je depuis les escaliers.
- Dans la cuisine chérie !
Quand j'arrivai dans le hall, une odeur appétissante se dégageait de la cuisine. Roxanne s'activait (ou) s'était activée aux fourneaux.
- Mmh, ça sent merveilleusement bon dis donc.
- Merci. Je me suis dit que tu aurais peut-être un petit creux. Des pancakes, ça te va ? me demanda-t-elle en se retournant avec une assiette débordante de pancakes dans les mains.
- Et comment ! [Pas de virg.] m'exclamai-je.
- Avec du sirop d'érable. Comme on en mangeait souvent avec ta mère quand nous étions plus jeunes.
- Elle m'en fait encore parfois, le dimanche matin.
- Elle a gardé les bonnes habitudes d'antan.
- Et je ne m'en plains pas !
J'attaquai avec entrain l'assiette de pancakes, que Roxanne dévora avec moi. Asraël s'était installé à côté de nous, couché sur la table, la tête posée sur ses pattes avant. Il lorgnait notre assiette en remuant la queue, prêt à bondir si un bout de notre goûter nous échappait.
- Alors, que veux-tu faire ce soir ? Tu préfères te reposer ou sortir ?
- Je ne suis pas tellement fatiguée. Je suis ouverte à toute proposition pour la soirée.
- Chouette ! Ca tombe bien, ce soir, c'est la Fête de la Lumière. Tous les habitants du village se rejoignent dans le pré derrière le bois, tu sais, celui au fond du jardin, et on fait la fête toute la nuit, éclairés par un gros feu de camp. C'est une nuit sacrée dans la région, on n'est pas censés ne pas (Ca alourdit moins ta phrase) se servir de la lumière artificielle durant toute la nuit. Même la mairie y participe, en éteignant toute les lumières de la ville. Tu verras, ça sera génial, et tu auras l'occasion de rencontrer les jeunes du coin. Alors, toujours partante ?
- Euh... Ouais, ça peut être marrant.
Je pensai tout de suite à June, qui aurait adoré participer à ce genre de soirée. Elle qui aimait tant sortir et s'amuser, elle était toujours la première à organiser des soirées monumentales et à animer celles des autres. On ne s'ennuyait jamais avec elle. Mais ce soir, elle ne serait pas là. Et ce n'était (Concordance des Temps) pas pour autant que je n'allais pas profiter de ma soirée ! J’étais certaine qu'elle serait aussi excitée que si elle y était allée quand je lui raconterais.

A cet instant, le téléphone sonna.

- Mince ! J'ai oublié d'appeler maman en arrivant ! Elle doit s'inquiéter.

- C'est peut-être elle. Je vais voir.

Roxanne se hâta jusque dans le hall et décrocha.

- Allô ? Bonjour Hel’. Bien sûr que ça va, et toi donc ? Oui attends, je te la passe.

Elle couvrit le micro du combiné avec sa main et me chuchota :

- Ça va, elle n'a pas l'air en colère ni rien, tu peux y aller sans problème.

Nous éclatâmes de rire et j'attrapai le combiné.

- Coucou maman. Désolée de ne pas avoir appelé plus tôt, je me suis installée en rentrant, et puis là, Roxanne et moi mangions des pancakes.

- Les vacances commencent bien dis-moi. Alors, comment tu trouves ta tante ? Et la région ? C'est beau n'est-ce pas ?

- C'est magnifique maman, tu avais raison. Et Roxanne est un ange. Tu verrais ma chambre, on dirait que j'habite là depuis toujours. Et sa maison est tellement belle.

- Je sais. J'ai toujours voulu en avoir une dans ce style là moi aussi. Mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus courant vers New York.

- C'est vrai que là... Tu es allée voir June ?

- Non pas encore, je viens à peine de rentrer du bureau. Et comme tu n'avais pas appelé, j'ai voulu te passer un petit coup de fil. Tu veux que je lui apporte maintenant ?

- Elle est à la danse à cette heure-ci. Essaye de la voir demain dans la journée.

- Ne t'en fais pas Alice, je n'oublierai pas.

- Génial.

- Bon allez, je ne vais pas t'embêter plus longtemps. N'oublie pas de me rappeler. Je t'embrasse chérie, à bientôt.

- Bisous maman. A plus.

Je raccrochai, aidai Roxanne à débarrasser puis retournai dans ma chambre pour écrire une lettre à June, tandis que Roxanne allait jardiner un peu avant que nous ne partions à la Fête de la Lumière.

- Allô ? Bonjour Hel’. Bien sûr que ça va, et toi donc ? Oui attends, je te la passe.

Eleazare McNight a écrit:La première chose que je fis quand Roxanne eut quitté la pièce fut de mettre un CD en route dans la chaîne hi-fi. J’optai pour l’album d’un groupe français que June m’avait ramené lors d’un de ses nombreux voyage en France. L’univers du groupe était très enchanteur, et cela me rappelait vaguement l’ambiance qui régnait ici.
Je m'activai ensuite à sortir pantalons, jupes, t-shirts et pulls de mes valises pour les ranger dans l'armoire, tout en chantant à tue-tête. Puis je m'accordai le temps de prendre une douche. Après toutes ces émotions, j'avais besoin de me détendre, et il n'y avait rien de tel qu'une bonne douche (ça fait maladroit puisque ça répète) bien chaude pour cela. J'en profitai pour passer cette journée en revue. Je repensai à Jack, qui m'avait prédit un bon séjour et qui finalement n'avait pas eu tort. J'étais même plutôt contente d'être ici à présent. Comment ne pas l'être sous l'emprise de la bonne humeur de Roxanne ? J'étais toutefois un peu déçue que Jack soit parti comme ça, qu'on ne se soit pas dit au revoir, qu'on n'ait pas pu échanger nos numéros pour rester en contact. Mais bon... Maintenant, il était trop tard.
En sortant de la douche (répétition ^^), je m'attachai les cheveux rapidement, éteignis la chaîne hi-fi et redescendis.
- Roxanne ? appelai-je depuis les escaliers.
- Dans la cuisine chérie !
Quand j'arrivai dans le hall, une odeur appétissante se dégageait (bof ... "émanait") de la cuisine. Roxanne s’activait aux fourneaux.
- Mmh, ça sent merveilleusement bon dis donc. (c'est le genre de réplique qui me semble tout à fait inutile puisqu'elle reprend ce que vient de dire la narration)
- Merci. Je me suis dit que tu aurais peut-être un petit creux. Des pancakes, ça te va ? me demanda-t-elle en se retournant avec une assiette débordante de pancakes (humpf' ... ça aurait été un peu con si elle s'était retournée avec une assiette débordante de carottes hein ? XD bref, c'est de la répétition et ça fait sourire ^^. "se retournant avec une assiette qui en débordait" ou qqchose qui fasse moins "je répète") dans les mains.
- Et comment ! m'exclamai-je.
- Avec du sirop d'érable. Comme on en mangeait souvent avec ta mère quand nous étions plus jeunes.
- Elle m'en fait encore parfois, le dimanche matin.
- Elle a gardé les bonnes habitudes d'antan.
- Et je ne m'en plains pas !
J'attaquai avec entrain l'assiette de pancakes, que Roxanne dévora avec moi. Asraël s'était installé à côté de nous, couché sur la table, la tête posée sur ses pattes avant. Il lorgnait notre assiette en remuant la queue, prêt à bondir si un bout de notre goûter nous échappait.
- Alors, que veux-tu faire ce soir ? Tu préfères te reposer ou sortir ?
- Je ne suis pas tellement fatiguée. Je suis ouverte à toute proposition pour la soirée.
- Chouette ! Ça tombe bien, ce soir, c'est la Fête de la Lumière. Tous les habitants du village se rejoignent dans le pré derrière le bois, tu sais, celui au fond du jardin, et on fait la fête toute la nuit, éclairés par un gros feu de camp. C'est une nuit sacrée dans la région, on n’est pas censé se servir de la lumière artificielle durant toute la nuit. Même la mairie y participe, en éteignant toutes les lumières de la ville. Tu verras, ça sera génial, et tu auras l'occasion de rencontrer les jeunes du coin. Alors, toujours partante ?
- Euh... Ouais, ça peut être marrant.
Je pensai tout de suite à June, qui aurait adoré participer à ce genre de soirée. Elle qui aimait tant sortir et s'amuser, elle était toujours la première à organiser des soirées (répétition) monumentales et à animer celles des autres. On ne s'ennuyait jamais avec elle. Mais ce soir, elle ne serait pas là. Et ce n'était pas pour autant que je n'allais pas profiter de ma soirée (ouïlle! ça y va bon train les répétitions XD) ! J’étais certaine qu'elle serait aussi excitée que si elle y était allée quand je lui raconterai (simple futur, pas de conditionnel ^^).

Eleazare McNight a écrit: A cet instant, le téléphone sonna.
- Han ! J'ai oublié d'appeler maman en arrivant ! Elle doit s'inquiéter.
- C'est peut-être elle. Je vais voir.
Roxanne se hâta jusque dans le hall et décrocha le téléphone (répétition ^^. => "le combiné").
- Allô ? Bonjour Hel’. Bien sûr que ça va, et toi donc ? Oui attends, je te la passe.
Elle couvrit le micro du téléphone (niark XD. répét... jvais me faire frapper à force XD) avec sa main et me chuchota :
- Ça va, elle n'a pas l'air en colère ni rien, tu peux y aller sans problème.
Nous éclatâmes de rire et j'attrapai le combiné.
- Coucou maman. Désolée de ne pas avoir appelé plus tôt, je me suis installée en rentrant, et puis là, Roxanne et moi mangions des pancakes.
- Les vacances commencent bien dis-moi. Alors, comment tu trouves ta tante ? Et la région ? C'est beau n'est-ce pas ?
- C'est magnifique maman, tu avais raison. Et Roxanne est un ange. Tu verrais ma chambre, on dirait que j'habite là depuis toujours. Et sa maison est tellement belle.
- Je sais. J'ai toujours voulu en avoir une dans ce style là moi aussi. Mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus courant vers New York.
- C'est vrai que là... Tu es passée voir June ?
- Non pas encore, je viens à peine de rentrer du bureau. Et comme tu n'avais pas appelé, j'ai voulu te passer un petit coup de fil. Tu veux que je lui apporte maintenant ?
- Elle est à la danse à cette heure-ci. Essaye de passer la voir demain dans la journée.
- Ne t'en fais pas Alice, je n'oublierai pas.
- Génial.
- Bon allez, je ne vais pas t'embêter plus longtemps. N'oublie pas de me rappeler. Je t'embrasse chérie, à bientôt.
- Bisous maman. A plus.
Je raccrochai, aidai Roxanne à débarrasser puis retournai dans ma chambre pour écrire une lettre à June, tandis que Roxanne allait jardiner un peu avant que nous ne partions à la Fête de la Lumière.

Puis je m'accordai le temps de prendre une douche. Après toutes ces émotions, j'avais besoin de me détendre, et il n'y avait rien de tel que de l’eau bien chaude pour cela. [...] En sortant de la salle de bain, je m'attachai les cheveux rapidement, éteignis la chaîne hi-fi et redescendis.

Quand j'arrivai dans le hall, une odeur appétissante émanait de la cuisine. Roxanne s’activait aux fourneaux.
- Mmh, ça tombe bien, je meurs de faim. Tu veux que je fasse quelque chose ?
- Non, merci. Assied-toi. Je me suis dit que tu aurais peut-être un petit creux. Des pancakes, ça te va ? me demanda-t-elle en déposant une assiette bien remplie sur la table.

Je pensai tout de suite à June, qui aurait adoré participer à ce genre de soirée. Elle qui aimait tant sortir et s'amuser, elle était toujours la première à organiser des fêtes monumentales et à animer celles des autres. On ne s'ennuyait jamais avec elle. Mais ce soir, elle ne serait pas là. Et ce n'était pas pour autant que je n'allais pas en profiter !

A cet instant, le téléphone sonna. [...] Roxanne se hâta jusque dans le hall et décrocha. [...] Elle couvrit le micro du combiné avec sa main...

J’étais certaine qu'elle serait aussi excitée que si elle y était allée quand je lui raconterai (simple futur, pas de conditionnel ^^).

Spoiler:

Spoiler:

Rien de particulier

Spoiler:

Eleazare McNight a écrit:(cool le retour de la petite écriture noire !!)
Le soleil commençait à se coucher à l'horizon, illuminant ma chambre d'une lumière orangée. Depuis la fenêtre, j'admirais le ciel qui se teintait de rose et d’orange. Derrière le bois, j'imaginais l'activité qui devait déjà se dérouler pour les préparations de la Fête de la Lumière. Je rangeai la lettre que je venais d'écrire à June, dans laquelle je lui parlais de ma rencontre avec Jack dans le train (aurait-elle été là que je me serais fait tirer les oreilles pour m'être endormie, sans me réveiller à son départ, ratant l'occasion de pouvoir rester en contact avec lui). Je lui parlais aussi de Roxanne. J'étais certaine qu'elles se seraient entendues à merveilles toutes les deux, elles avaient le même grain de folie qui brillait au fond de leurs yeux. Je finissais (très bof la conclusion là. => "je terminai mon rapport" pour jouer sur l'ironie, "je terminai ma lettre" pour faire simple) en lui exposant mes plans pour la soirée, lui promettant un compte-rendu intégral et détaillé (je sais pas mais pour moi ça veut un peu dire la même chose) de ce qui se déroulerait (répétition =>"de ce que le lendemain lui réserverait") pour le lendemain. Je posterai (encore du futur. Tu dis: "tu posteras les deux lettres dès que possible" et non "tu posterais les deux lettres dès que possible") les deux lettres dès que possible.

Après quelques coups grattés à ma porte entrouverte, Asraël se faufila dans ma chambre et sauta sur mon lit. J'allai m'asseoir à côté de lui et il s'installa sur mes genoux, demandeur de gratouilles (gratouilles ? XD humpf' .... chatouilles ?) derrière les oreilles.

- Ça doit être bien quand même la vie de chat. On reste toute la journée pépère sans rien faire, on peut sortir à sa guise et en plus de ça, tout le monde nous fait des gratouilles (1oo % franche-comtois ? xD)!

Pour toute réponse, j'obtins un miaulement approbatif - comme si le chat comprenait ce que je lui racontais ! [j'sais pas pourquoi, je sens comme un indice là XD] - et un coup de langue sur le menton.

- Asraël ! m'écriai-je en le reposant sur le lit.

Je me rendis dans la salle de bain où je me passai un coup de brosse avant de me faire une natte. Je me remis un coup de crayon autour des yeux, un peu de parfum, puis je retournai dans ma chambre pour chausser mes Converses. Elles étaient toutes bariolées, très... personnalisées, façon Alice et June. Il faut bien qu'on s'occupe pendant les heures libres au lycée.

Juste au moment où je m'affalai sur mon lit, on frappa à ma porte et Roxanne entra.

- Coucou ! Tu es prête ?

- A peu près. Il va faire chaud ce soir où je prends une veste avec moi ?

- Non ça devrait aller, surtout que tu as des manches longues.

- Alors c'est bon, je suis prête.

- Let's go ! Asraël, tu viens ?
Le chat miaula gaiement et rejoignit Roxanne en un saut.

Eleazare McNight a écrit:Le soleil commençait à se coucher à l'horizon, illuminant ma chambre d'une lumière orangée. Depuis la fenêtre, j'admirais le ciel qui se teintait de rose et d’orange. Derrière le bois, j'imaginais l'activité qui devait déjà se dérouler pour les préparations de la Fête de la Lumière. Je rangeai la lettre que je venais d'écrire à June, dans laquelle je lui parlais de ma rencontre avec Jack dans le train (aurait-elle été là que je me serais faite tirer les oreilles pour m'être endormie, sans me réveiller à son départ, ratant l'occasion de pouvoir rester en contact avec lui). Je lui parlais aussi de Roxanne. J'étais certaine qu'elles se seraient entendues à merveilles toutes les deux, elles avaient le même grain de folie qui brillait au fond de leurs yeux. Je finissais (Je soutiens Pacô, c'pas top comme terme) en lui exposant mes plans pour la soirée, lui promettant un compte-rendu intégral et détaillé de ce qui se déroulerait pour le lendemain. Je posterais (Techniquement, c'est du futur) les deux lettres dès que possible.

Après quelques coups (Parce que ça existe des coups grattés ?? OO) grattés à ma porte entrouverte, Asraël se faufila dans ma chambre et sauta sur mon lit. J'allai m'asseoir à côté de lui et il s'installa sur mes genoux, demandeur de gratouilles derrière les oreilles.

- Ça doit être bien quand même la vie de chat. On reste toute la journée pépère sans rien faire, on peut sortir à sa guise et en plus de ça, tout le monde nous fait des gratouilles !

Pour toute réponse, j'obtins un miaulement approbatif - comme si le chat comprenait ce que je lui racontais ! - et un coup de langue sur le menton.

- Asraël ! m'écriai-je en le reposant sur le lit.

Je me rendis dans la salle de bain où je me passai un coup de brosse avant de me faire une natte. Je me remis un coup de crayon autour des yeux, un peu de parfum, puis je retournai dans ma chambre pour chausser mes Converses. Elles étaient toutes bariolées, très... personnalisées, façon Alice et June. Il fallait (C'est les vacances donc c'est terminé le lycée ) bien qu'on s'occupe pendant les heures libres au lycée.

Juste au moment où je m'affalais sur mon lit, on frappa à ma porte et Roxanne entra.

- Coucou ! Tu es prête ?

- A peu près. Il va faire chaud ce soir ou (Ton "où" indique un lieu alors que c'est pas le cas) je prends une veste avec moi ?

- Non ça devrait aller, surtout que tu as des manches longues.

- Alors c'est bon, je suis prête.

- Let's go ! Asraël, tu viens ?
Le chat miaula gaiement et rejoignit Roxanne en un saut.