Les sombres Contes de Mr Jack, recueil

snake a écrit:Attention, certains passages peuvent heurter la sensibilité du jeune publique. Je parle de problèmes d'actualité et ce au titre où ils doivent être pris. Vous voila prévenu.
Cependant, ceci étant un conte, la fantaisie est de la partie...

Voila, quelques idées un peu noires ont données naissance à des contes que ce cher Mr Jack aime raconté à un petit garçon...

« Dis moi mon enfant, comment est ta ville ? La mienne est sombre et terrifiante. La pluie y tombe presque continuellement et ses rues sont macabres. C'est une ville abandonnée au milieu de montagnes dont leurs sommets enneigés continuellement (répétition) ressembles (ressemblent) aux dents acérées de cerbère (Cerbère lui-même) lui même. Le vice et la violence sont maîtres dans ce lieu. La police avait fort à faire et essayait de mettre de l'ordre jusqu'à ce qu'elle abandonne et devienne une institution corrompue de plus. Le meurtre et le viol sont également monnaie courante. Rares sont les jeunes filles qui peuvent se vanter d'être vierge a (à) dix huit ans. Les rares personnes de pouvoir dans cette ville touchent des pots de vin afin de payer leur silence. Trouver un travail honnête dans ce lieux (ce lieu), n'est pas facile. Et peu de personne s'y risque. En effet, les boulots honnêtes sont les plus visés par les malfrats. Le nombre d'enfant est critique du fait que chaque parent a peur de perdre sa progéniture. C'est compréhensible, et j'imagine que c'était pour cette raison que cette ville mourait.
Cependant, cette ville fut le siège d'une histoire peu commune. En effet je me souviens d'un garçon, sa mère avait disparut (avait disparu) parmi les ruelles sombres, ce qui dans cette ville signifiait une mort peu naturelle. Quant a (à) son père, ce dernier,("il avait" plutôt que "ce dernier avait") avait un travail parmi la pègre qui lui permettait de subsister et de subvenir aux besoins de son fils qu'il dut élever lui même (lui-même) après la mort de sa femme. Bien que cet acte puisse paraître honorable, sa vie ne l'était pas. Son travail au sein de la pègre avait couter (avait coûté) la vie a (à) plusieurs personnes de manière indirecte. Drogue, meurtre, autant dire que ce n'était pas un enfant de chœur. Cependant, il essayait tout de même de tenir son fils a l'écart de tout cela. Son fils alla à l'école comme tout à chacun. Ce garçon était ce qu'on peut dire, une bougie au milieu de cette sombre ville. Il l'éclairait mais il était fragile et il fallait le protéger. Il fut (était) en quelque sorte le rayon d'espoir qui aurait pu redonner visage humain à cet enfer. Ce garçon, Chris, connu une enfance plutôt heureuse relativement a la ville où il vivait. Il arriva en primaire dans une école où aucun enfant ne se connaissait. Le jour de la rentrée, son père l'ayant emmener (emmené) en retard, il ne trouva pas de place où s'installer en classe exceptée, à côté d'une jeune fille de son âge. Ceci marqua le début de son destin extraordinaire. Cette jeune fille était d'une rare beauté. Chacun de ses traits étaient d'une finesse et d'une douceur incomparable. Des yeux d'un vert très rare, reflétant les couleurs de l'océan. C'est en tombant dans son regard, qu'il tomba ("en plongeant son regard dans le sien qu'il tomba...", pour éviter la répétition) amoureux de Claire. Dès lors une étrange amitié débuta entre eux. Une amitié qui ressemblait plus à de l'amour. Malgré leur jeune âge. Jamais rien ne les sépara durant leur parcourt scolaire. Chris ne laissait jamais personne entre eux. Si bien qu'ils avaient pris l'habitude de se tenir continuellement la main. Par chance, les parents de Claire venaient la chercher a la sortie de l'école afin que personne ne puisse lui faire de mal sur le chemin du retour. Le garçon rentrait chez lui a pied en évitant le plus possible les ruelles. La complicité entre ces deux enfants fut d'une force rare. Ils arrivèrent alors rapidement au collège. C'est a (à) partir de la (là) que leur relation évolua. Le jeune homme ne supportait pas la distance qui les séparait. Si bien qu'il sortait chaque soir de chez lui discrètement et allait retrouver Claire. Leur complicité se transforma en amour le jour où Chris embrassa Claire. Il avait toujours été très protecteur envers Elle (pourquoi une majuscule ?) . Il ne la laissait que rarement seule et elle ne s'en plaignait pas. Au contraire, chaque moment avec lui avait quelque chose de magique, comme elle disait. C'est pourtant au collège que le drame arriva, les parents de Claire furent tuer pendant (tués tandis/alors) qu'ils venaient la chercher a (à) l'école dans un accident causé par un drogué au volant. Ce jour là, ils attendaient devant les grilles de l'école. La pluie tombait comme a (à) son habitude et Claire avait un mauvais pressentiment. Alors qu'ils avaient décidé de remonter la rue pour les retrouver. Ils découvrirent les lieux de l'accident. La jeune fille s'effondra dans un torrent de larmes et de plaintes. Malgré son amour pour elle, Chris ne pleura pas. A mieux y réfléchir, le jeune homme n'avait jamais pleuré. Même lorsque son père lui annonça la disparition de sa mère, aucune larme n'était apparu. Il la tenait fermement dans ses bras afin qu'elle n'approche pas la voiture accidentée et les morts que les pompiers exhumaient(pour ne pas qu'elle approche de la voiture accidentée et des morts...). C'est après cette (cet accident) accident qu'il se passa quelque chose d'extraordinaire. Claire lui déclara qu'elle n'avait que lui au monde désormais. Qu'elle n'aimerait jamais personne d'autre que lui. Et ils se firent la promesse de toujours être dans le cœur de l'autre. Les années passèrent. Et ils arrivèrent tous les deux au lycée. Chris était devenu un beau jeune homme sportif et gentil que toutes les filles enviaient. Quant a (à) Claire, elle suscitait l'attention de tous les garçon (garçons) du lycée. Mais séparer (séparés) ces deux amants ne pouvait (pouvaient) pas être envisageable (je n'ai pas compris la fin de la phrase) . L'amour qu'ils se portaient l'un a (à) l'autre était d'une rare intensité. Après le décès de ses parents, l'oncle de Claire vint habiter chez elle afin de s'en occuper. Alors que les deux amants entamaient leur dix huitième années, leur merveilleuse histoire tourna au cauchemar. »

snake a écrit:
« Dis moi mon enfant, comment est ta ville ? La mienne est sombre et terrifiante. La pluie y (ah ce "Y", c'est pas le plus jolie dans la littérature ^^) tombe presque continuellement et ses rues sont macabres. C'est une ville (là c'est pour le plaisir de dire "répétition" ... mais en fait, ça rentre bien dans le contexte, donc je suis pas sûr que ce soit bien que tu changes. Sinon => "cité") abandonnée au milieu de montagnes dont leurs sommets continuellement enneigés (inversion. Mais j'aurais plus mis: "perpétuellement" que "continuellement") ressemblent aux dents acérées de cerbère lui même. Le vice et la violence sont maîtres dans ce lieu. La police avait fort à faire et essayait de mettre de l'ordre jusqu'à ce qu'elle abandonne et devienne une institution corrompue de plus. Le meurtre et le viol sont également monnaie(s) courante(s). Rares sont les jeunes filles qui peuvent se vanter d'être vierges à dix huit ans. Les rares (répétition => "quelques") personnes de pouvoir dans cette ville touchent des pots de vin afin de payer leur silence. Trouver un travail honnête dans ce lieux [pas de virgule] n'est pas facile [pas de point] et peu de personne s'y risque. En effet, les boulots honnêtes (répétition =>"intègre") sont les plus visés par les malfrats. Le nombre d'enfants est critique du fait que chaque parent a peur de perdre sa progéniture. C'est compréhensible, et j'imagine que c'était pour cette raison que cette ville mourait.
Cependant, cette ville (répétition=> "cité" "agglomération" "municipalité" (si on est en démocratie et qu'il y a une mairie) etc...) fut le siège d'une histoire peu commune. En effet je me souviens d'un garçon, sa mère avait disparu parmi (c'est peut être pas le mot le plus adapté. Mais ça donne un effet de multitude ... alors pourquoi pas. Sinon => "entre") les ruelles sombres, ce qui dans cette ville signifiait une mort peu naturelle (bof ^^. "une mort prématurée"). Quant à son père, il avait un travail parmi la pègre qui lui permettait de subsister et de subvenir aux besoins de son fils qu'il dut élever lui-même après la mort de sa femme. Bien que cet acte puisse paraître honorable, sa vie ne l'était pas. Son travail au sein de la pègre avait couté la vie à plusieurs personnes de manière indirecte. Drogue, meurtre, autant dire que ce n'était pas un enfant de chœur. Cependant, il essayait tout de même de tenir son fils à l'écart de cette violence. Son fils (grosse répétition. Essaie de donner un nom à son fils) alla à l'école comme tout un (et non "à" ^^) chacun. Ce garçon était, ce qu'on peut dire, une bougie au milieu de cette sombre ville. Il l'éclairait mais il était fragile et il fallait le protéger. Il fut en quelque sorte le rayon d'espoir qui aurait pu redonner visage humain à cet enfer. Ce garçon, Chris, connut (tu aurais dû lui donner son prénom avant) une enfance plutôt heureuse relativement (pléonasme ... relativement et plutôt veulent dire la même chose dans ce contexte. Il faut en choisir un ^^) dans la ville où il vivait (il faudrait peut être donner un nom à la ville aussi ). Il arriva en primaire dans une école où aucun enfant ne se connaissait. Le jour de la rentrée, son père l'ayant emmené en retard, il ne trouva pas de place où s'installer en classe excepté [+ pas de virgule] à côté d'une jeune fille de son âge. Ceci marqua le début de son destin extraordinaire. Cette jeune fille était d'une rare beauté. Chacun de ses traits étaient d'une finesse et d'une douceur incomparable. Des yeux d'un vert très rare réflétaient les couleurs de l'océan (autant la transformer en phrase et éviter le participe présent). C'est en tombant dans son regard, qu'il tomba (je sais, c'est une répétition qui se veut volontaire pour le style ... mais tu peux faire plus léger en donnant un synonyme de tomber (et qui ira bien avec l'océan mentionné juste avant). "C'est en plongeant dans ce regard") amoureux de Claire. Dès lors, une étrange amitié naquit (mieux que débuta) entre eux. Une amitié qui ressemblait plus à de l'amour, malgré leur jeune âge. Jamais rien ne les sépara durant leur parcours scolaire. Chris ne laissait jamais personne entre eux [pas de point] si bien qu'ils avaient pris l'habitude de se tenir continuellement la main. Par chance, les parents de Claire venaient la chercher à la sortie de l'école afin que personne ne puisse lui faire de mal sur le chemin du retour. Le garçon rentrait chez lui à pieds en évitant le plus possible les ruelles. La complicité entre ces deux enfants fut d'une force rare. Ils arrivèrent alors rapidement au collège (une mauvaise formulation. On a l'impression que c'est grâce à leur complicité qu'ils arrivent vite au collège ... ce qui n'est pas logique). C'est à partir de là que leur relation évolua. Le jeune homme ne supportait pas la distance qui les séparait [pas de point] si bien qu'il sortait chaque soir de chez lui discrètement et allait retrouver Claire (tu n'as pas précisé qu'il n'était pas dans le même collège ...). Leur complicité se transforma en amour le jour où Chris embrassa Claire. Il avait toujours été très protecteur envers Elle. Il ne la laissait que rarement seule et elle ne s'en plaignait pas. Au contraire, chaque moment avec lui avait quelque chose de magique, comme elle disait. C'est pourtant au collège que le drame arriva, les parents de Claire furent tués pendant qu'ils venaient la chercher à l'école dans un accident causé par un drogué au volant. Ce jour là, ils attendaient devant les grilles de l'école. La pluie tombait comme à son habitude (c'est à dire ? ^^) et Claire avait un mauvais pressentiment. Alors qu'ils avaient décidé de remonter la rue pour les retrouver. Ils découvrirent le lieu de l'accident. La jeune fille s'effondra dans un torrent de larmes et de plaintes. Malgré son amour pour elle, Chris ne pleura pas. A mieux y réfléchir, le jeune homme n'avait jamais pleuré. Même lorsque son père lui annonça la disparition de sa mère, aucune larme n'était apparue. Il la tenait fermement dans ses bras afin qu'elle n'approche pas la voiture accidentée et les morts que les pompiers exhumaient. C'est après cet accident qu'il se passa quelque chose d'extraordinaire. Claire lui déclara qu'elle n'avait que lui au monde désormais et qu'elle n'aimerait jamais personne d'autres que lui. Et ils se firent la promesse de toujours être dans le cœur de l'autre. Les années passèrent (tu le répètes trop ce mot). Et ils arrivèrent tous les deux au lycée. Chris était devenu un beau jeune homme sportif et gentil que toutes les filles enviaient, quant a Claire, elle suscitait l'attention de tous les garçons du lycée. Mais séparer ces deux amants ne pouvait pas être envisageable. L'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre était d'une rare intensité. Après le décès de ses parents, l'oncle de Claire vint habiter chez elle afin de s'en occuper. Alors que les deux amants entamaient leur dix huitième année, leur merveilleuse histoire tourna au cauchemar. »

snake a écrit:
Voilà, quelques idées un peu noires ont donné naissance à des contes que ce cher Mr Jack aime raconter à un petit garçon...

« Dis moi mon enfant, comment est ta ville ? La mienne est sombre et terrifiante. La pluie y tombe presque continuellement et ses rues sont macabres. C'est une ville abandonnée au milieu de montagnes dont les sommets enneigés ressemblent continuellement >>> n'oublie pas de conjuguer correctement tes verbes, surtout quand il s'agit du présent aux dents acérées de Cerbère >>> majuscule ici, puisque tu parles d'un être en particulier lui-même. Le vice et la violence sont maîtres dans ce lieu. La police avait fort à faire et essayait de mettre de l'ordre jusqu'à ce qu'elle abandonne et devienne une institution corrompue de plus. Le meurtre et le viol sont également monnaie courante. Rares sont les jeunes filles qui peuvent se vanter d'être vierges à dix huit ans. >>> charmant pays! *gloups* Les rares personnes de pouvoir dans cette ville touchent des pots de vin afin de payer il y a un espace en trop là leur silence >>> tournure maladroite. Je te suggère: "Les rares personnes de pouvoir dans cette ville touchent des pots de vin de la part de qui? A préciser et sont ainsi contraintes au silence". Trouver un travail honnête dans ce lieu >>> change de mot, tu l'as déjà utilisé plus haut: dans ce monde, dans cet endroit, dans ce pays, n'est pas facile. Et peu de personnes s'y risquent. En effet, les boulots honnêtes sont les plus visés >>> recherchés/appréciés par les malfrats. Le nombre d'enfants est critique du fait que chaque parent a peur de perdre sa progéniture. C'est compréhensible pas de virgule et j'imagine que c'était pour cette raison que cette >>> la répétition de "cette" en plus de "c'était" est lourde. "J'imagine que c'était la raison pour laquelle la ville dépérissait" ville mourait.
Cependant, cette ville fut le siège d'une histoire peu commune. En effet je me souviens d'un garçon dont la mère avait disparu parmi les ruelles sombres, ce qui dans cette ville signifiait une mort peu naturelle >>> maladroit, on a compris que les gens qui disparaissent se font en fait assassiner, donc soit tu modifies la phrase pour éviter une répétition d'idée, soit tu peux même la supprimer. Quant à son père, il avait un travail parmi >>> "au sein même de" la pègre qui lui permettait de subsister et de subvenir aux besoins >>> "subsister" est inutile ici car si le père parvient à nourrir son enfant, on en déduit qu'il peut aussi survivre, sans quoi il n'aurait pas assez de forces et de courage pour s'occuper de son enfant de son fils qu'il dut élever lui-même après la mort de sa femme. Bien que cet acte puisse paraître honorable, sa vie ne l'était pas. Son travail au sein de la pègre >>> ici, pour éviter la répétition avec la tournure que je t'ai dit d'employer plus haut, tu peux écrire: "Son travail malhonnête" avait couté la vie à plusieurs personnes de manière indirecte. Drogues, meurtres, autant dire que ce n'était pas un enfant de chœur >>> on comprend l'idée, mais la phrase est mal tournée, à revoir. Cependant, il essayait tout de même de tenir son fils à l'écart de tout cela. Son fils alla à l'école comme tout un chacun. Ce garçon était ce qu'on peut dire, une bougie au milieu de cette sombre ville >>> mauvaise tournure: "Ce garçon brillait telle une bougie au milieu de la ville sombre". Il l'éclairait mais il était fragile et il fallait le protéger. Il fut en quelque sorte le rayon d'espoir qui aurait pu redonner visage humain à cet enfer. Ce garçon, Chris, connu une enfance plutôt relativement heureuse comparée à la ville où il vivait. Il arriva en primaire dans une école où aucun enfant ne se connaissait. Le jour de la rentrée, son père l'ayant emmené en retard, il ne trouva pas de place où s'installer en classe excepté à côté d'une jeune fille de son âge >>> précision inutile, on se doute qu'il va en classe avec des enfants de son âge, c'est normal. Ceci marqua le début de son destin extraordinaire. Cette jeune fille était d'une rare beauté. Chacun de ses traits étaient d'une finesse et d'une douceur incomparable. Des yeux d'un vert très rare >>> ce genre de qualificatif est trop enfantin, préfère une comparaison directe avec l'océan ou une pierre (émeraude, jade, etc), reflétant les couleurs de l'océan. C'est en tombant >>> "plongeant", pour éviter la répétition du verbe tomber et pour te référer à l'océan cité juste avant dans son regard, qu'il tomba amoureux de Claire. Dès lors une étrange amitié débuta entre eux. Une amitié qui ressemblait plus à de l'amour >>> inutile, car puisque Chris est amoureux de Claire, ces deux phrases répètent l'idée précédente et c'est lourd . Malgré leur jeune âge, jamais >>> relie les deux phrases rien ne les sépara durant leur parcours scolaire. Chris ne laissait jamais personne s'immiscer >>> il manquait un verbe entre eux, si >>> relie les deux phrases bien qu'ils avaient pris l'habitude de se tenir continuellement la main >>> un peu naïf: "si bien qu'ils avaient pris l'habitude de passer leurs journées repliés sur eux-mêmes, ne se lâchant quasiment jamais la main." . Par chance, les parents de Claire venaient la chercher à la sortie de l'école afin que personne ne puisse lui faire de mal sur le chemin du retour. Le garçon rentrait chez lui à pieds en évitant le plus possible les ruelles malfamées. La complicité entre ces deux enfants fut d'une force rare. >>> La forte complicité qui unissait ces deux enfants était peu commune. Ils arrivèrent alors rapidement au collège. C'est à partir de là que leur relation évolua. Le jeune homme ne supportait pas la distance qui les séparait. Si bien qu'il sortait chaque soir de chez lui discrètement et allait retrouver Claire. Leur complicité se transforma en amour le jour où Chris embrassa Claire. Il avait toujours été très protecteur envers Elle. Il ne la laissait que rarement seule et elle ne s'en plaignait pas. Au contraire, chaque moment avec lui >>> "passé en sa compagnie" avait quelque chose de magique, comme elle disait >>> inutile, on comprend qu'elle pense cela. C'est pourtant au collège que le drame arriva: les parents de Claire furent tués pendant qu'ils venaient la chercher à l'école dans un accident causé par un drogué au volant >>> berk! "furent tués, alors qu'ils venaient la chercher à l'école, par un automobiliste drogué". Ce jour là, ils >>> précise qu'il s'agit des enfants parce que j'ai cru pendant deux secondes qu'il s'agissait des parents attendaient devant les grilles de l'école. La pluie tombait comme à son habitude >>> maladroit: "La pluie coutumière assombrissait le ciel" et Claire avait un mauvais pressentiment. Alors qu'ils avaient décidé de remonter la rue pour les retrouver >>> "rejoindre les parents de Claire", ils >>> relie les phrases découvrirent les lieux de l'accident. La jeune fille s'effondra dans un torrent de larmes et de plaintes. Malgré son amour pour elle, Chris ne pleura pas. A mieux y réfléchir, le jeune homme n'avait jamais pleuré. Même lorsque son père lui avait annoncé la disparition de sa mère, aucune larme n'était apparu >>> maladroit: "aucune larme n'avait piqué ses yeux", par exemple. Il tenait fermement Claire >>> remets son prénom, car tu viens de faire une parenthèse sur le passé de Chris dans ses bras afin qu'elle n'approche pas de la voiture accidentée ni des victimes que les pompiers exhumaient >>> "exhumer" = extraire de la terre. Ce verbe n'est pas adapté ici, trouve le bon mot. C'est après cet accident qu'il se passa quelque chose d'extraordinaire. >>> tournure maladroite: "De cet accident découla un phénomène inhabituel" Claire lui déclara qu'elle n'avait plus que lui au monde désormais. Qu'elle n'aimerait jamais personne d'autre que lui. Et ils se firent la promesse de toujours être dans le cœur de l'autre >>> maladroit. Les années passèrent, ils arrivèrent tous les deux au lycée. Chris était devenu un beau jeune homme sportif et gentil que toutes les filles enviaient >>> les filles n'envient pas Chris, mais Claire, ici les filles admirent Chris. Quant à Claire, elle suscitait l'intérêt de tous les garçons du lycée. Mais séparer ces deux amants ne pouvait pas être >>> "n'était pas" envisageable. L'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre était d'une rare intensité. >>> Phrase à supprimer, c'est une répétition d'idée inutile Après le décès de ses parents, l'oncle de Claire vint habiter chez elle afin de s'en occuper. Alors que les deux amants entamaient leur dix huitième année, leur merveilleuse histoire tourna au cauchemar. »

Cathie a écrit:j'ai essayé de corriger (j'ai un doute : est-ce que tout le monde à le droit de corriger, ou seulement certaines personnes ? :s)

snake a écrit:
J'espère que vous aurez beaucoup de patience car, Mr Jack a bien d'autres contes et il est vrai que je suis distrait lorsque je les écris d'où les fautes et les répétitions... Je m'en excuse et j'essayerai à l'avenir d'y faire attention. Je vous assure que ces fautes ne viennent pas des problèmes avec la langue française, seulement de l'inattention.

La suite de ce texte est malheureusement plus sombre au fur et à mesure mais les fautes y sont plus nombreuses. J'aurai donc besoin de votre aide afin de les mettre en évidence.

snake a écrit:
On était au mois d'avril. Chris se tenait devant la fenêtre de sa chambre. La pluie et la nuit rendaient la vitre opaque et le jeune homme fixait son reflet (on attend qqchose à la suite, parce que ça donne une impression de coupure là). Son père ne rentrait jamais avant une heure tardive, si bien qu'il passait ses soirées seul. Il songea à tout ce que la vie lui avait apporté. Le bonheur, l'amour, Claire. C'était l'homme le plus heureux de cette planète, même s'il vivait dans les lieux les plus détestables du monde. Il savait qu'il pourrait s'en échapper et qu'elle viendrait avec lui. En effet, alors qu'ils faisaient l'amour, Claire l'avait fixé avec ses yeux d'émeraude et elle lui avait demandé de l'emmener loin de cet enfer, le plus rapidement possible. Chris réfléchissait à cette demande (histoire d'éviter la répétition demander/demande => "proposition"). Rien ici ne le retenait. Il n'éprouvait que du dégoût pour son père à cause de ses trafics. De plus, alors qu'il était arrivé au collège, son père l'avait totalement délaissé, si bien qu'ils (répétition de cette structure, ça se remarque tout de suite. Je l'avais déjà mentionné dans le passage précédent) ne s'étaient plus reparlés depuis cette date. Il avait pris la décision de partir. Il savait que Claire le suivrait n'importe où ailleurs que cet endroit. Le jeune homme essaya alors de trouver le moyen de quitter la ville de la meilleurs manière, avec suffisamment de (tu as vu le nombre de "de" ? Il faut trouver un moyen de reformuler là ) vivres et d'argent jusqu'à ce qu'ils puissent trouver un autre lieux où s'installer. L'idée de pouvoir profiter de son amour ailleurs que dans cet enfer laissait planer sur son visage un léger sourire. (cette phrase est beaucoup trop lourde. Essaie de voir comme ça: "Un léger sourire s'esquissait sur ses lèvres lorsqu'elle songeait à profiter de son autre ailleurs que dans cet enfer". Ou qqchose du genre). Ainsi ils finiraient leur année scolaire et obtiendraient leur bac avant de quitter cette ville, voilà la conclusion à laquelle il était arrivé.
Quand Chris annonça leur départ après les examens à Claire, elle en fut tellement heureuse qu'elle lui sauta au cou et l'embrassa avec fougue. Plus que deux mois, et ils pourraient partir libres.

« Chaque soir après les cours, Chris et Claire aimaient se balader même sous la pluie. Ils aimaient (petite répétition que tu peux remplacer par le verbe "apprécier") être trempés et pouvoir se promener sous la pluie (attention tu tournes en rond là ). En marchant là où leurs pas les portaient, ils découvrirent une cabane abandonnée et déserte. Ils y rentrèrent et se retirèrent leurs vêtements mouillés. Ce qui se passa ensuite ne regarde que leur intimité. (lol ... je sais pas, je trouve cette phrase étrange)
Soudain, ils se firent surprendre par la nuit tombée subitement (subitement et soudain veulent dire la même chose. Faut voir comment changer x) ). Ils se rhabillèrent avec leurs vêtements trempés (afin d'éviter la répétition => "leurs habits gorgés d'eau") le jeune homme la raccompagna chez elle comme à son habitude (je n'aime pas cette expression). Mais ce soir là, les choses ne se passèrent pas comme prévues. »

Chris marchait main dans la main avec Claire quand celle-ci se tourna vers lui et lui lança (ouahou ! Bah c'est puissant pour dire un truc aussi banal XD. Non, le verbe du dialogue ne correspond pas du tout là x) ):
« J'ai un peu faim, on ne peut pas s'arrêter pour manger un petit pain, ou quelque chose du genre ?»
Chris jeta un regard (quand on cherche qqchose, on ne jette pas un regard. On examine, on inspecte, on toise ... etc) aux alentours et aperçut une boulangerie de l'autre côté de la rue.
« Ne bouge pas, je reviens », lui dit-il.
Cette fois-là, il la laissa seule. Ce fut la fois de trop (bof bof bof et bof ^^). Ce fut (répétition très laide) la première erreur qu'il commis (depuis quand on accorde avec le COD placé devant avec un verbe conjugué au passé simple ?). Et cela [pas de virgule] allait lui couter bien plus que des regrets.
Il traversa rapidement la rue et entra dans la boulangerie. A l'intérieur, régnait (verbe mal choisi ... la lumière règne pas vraiment. "Emergeait" ?) une faible lumière et une atmosphère embuée et mouillée à cause de la pluie continuelle (je pense qu'il faut tout reformuler là, pare que la phrase est très maladroite). Chris s'approcha du comptoir et demanda de quoi nourrir sa bien aimée. (on aurait pu savoir ce qu'il achète ...) Il paya sa commande et ressortit en mettant les petits pains (ce qui empêcherait une confusion là) à l'abri de la pluie. Soudain, Claire n'était plus là. Il paniqua en jetant des regards frénétiques de chaque côté de la rue. A travers la pluie et la circulation, il entendit un cri provenant d'une des sombres ruelles. Sans réfléchir, le jeune homme fonça dans cette direction en manquant de justesse de se faire renverser par un chauffard. Les gens de cette ville ne réagissaient (pourquoi passer subitement au présent ?) jamais à un appel au secours. Quand une femme se fait attaquer, on lui recommande de crier au feu. Personne ne veut prendre des coups à la place d'un autre mais pas Chris. Dans la ruelle (répétition), des poubelles baillaient leur contenu et divers objets jonchaient le sol recouvert par un bon centimètre d'eau de pluie. Du fait que la ruelle se tenait entre deux immeubles (ah ! une belle lapalissade là ! J'ai envie de dire, heureusement, sinon ce ne serait pas une ruelle ^^), l'eau du toit tombait en cascade de chaque côté en plus du déluge habituel. Il y faisait vraiment très sombre (attention, tu tombes vraiment dans le rébarbatif. Je crois que ça va faire la troisième fois que tu nous dis qu'elle est sombre !) mais le jeune homme ne mit pas longtemps à trouver ce qu'il cherchait.

snake a écrit:Merci pour la correction je m'en occupe dès que possible.
Je vois cependant que j'ai oublié de préciser un détail... Ce que je mets sur ce forum est en réalité le premier jet... Je m'en excuse de ne pas l'avoir précisé auparavant. D'où les fautes nombreuses et les maladresses. Je compte cependant sur votre aide afin de m'aider à progresser dans la bonne direction.

snake a écrit:

On était au mois d'avril, Chris se tenait devant la fenêtre de sa chambre. La pluie et la nuit rendaient la vitre opaque et le jeune homme fixait son reflet en réfléchissant. Son père ne rentrait jamais avant une heure tardive, si bien qu'il passait ses soirées seul. Il songea à tout ce que la vie lui avait apporté. Le bonheur, l'amour, Claire. Il était l'homme le plus heureux de cette planète et même s'il vivait dans les lieux les plus détestables du monde, il savait qu'il pourrait s'en échapper et qu'elle viendrait avec lui. En effet, alors qu'ils faisaient l'amour, Claire l'avait fixé avec ses yeux d'émeraude et elle lui avait demandé de l'emmener loin de cet enfer, le plus rapidement possible. Chris réfléchissait à cette proposition. Rien ici ne le retenait. Il n'éprouvait que du dégoût pour son père à cause de ses trafics. De plus, alors qu'il était arrivé au collège, son père l'avait totalement délaissé, depuis cette date, >>> bof: "et dès lors" par exemple ils ne s'étaient plus adressé la parole. Il avait pris la décision de partir. Il savait que Claire le suivrait n'importe où ailleurs que cet endroit >>> répétition d'idée, à revoir. Le jeune homme cherchait le moyen de quitter la ville et un léger sourire planait sur ses lèvres à l'idée de profiter d'elle >>> moyen ça: "de partager sa vie avec Claire" par exemple ailleurs que dans cet enfer. Ainsi ils finiraient leur année scolaire et obtiendraient leur bac avant de quitter cette ville, voilà la conclusion à laquelle il était arrivé.
Quand Chris annonça leur départ après les examens à Claire, elle en fut tellement heureuse qu'elle lui sauta au cou et l'embrassa avec fougue. Plus que deux mois, et ils pourraient partir libres.

« Chaque soir après les cours, Chris et Claire aimaient se balader même sous la pluie >>> bof: " main dans la main, par n''importe quel temps, et plus spécialement sous la pluie", par exemple". En vérité, ils appréciaient être enlever un espace ici trempés. En marchant là où leurs pas les portaient, ils découvrirent une cabane abandonnée et déserte. Ils y rentrèrent et se retirèrent >>> soit tu écris "et retirèrent leurs vêtements", soit pour garder l'idée qu'ils s'aident mutuellement, tu écris: "se dévêtirent l'un l'autre" leurs vêtements mouillés. Ce qui se passa ensuite ne regarde que leur intimité. >>> phrase malvenue. Pour faire passer l'idée qu'ils font l'amour sans trop en dire, tu dis simplement qu'ils firent l'amour, ou alors qu'ils s'enlacèrent tendrement.
Soudain, ils se firent surprendre par la tombée de la nuit. >>> bof: "La nuit tomba sans qu'ils y prennent garde et il était déjà tard lorsqu'ils décidèrent de quitter la cabane", par exemple. Ils se rhabillèrent avec >>> enfilèrent leurs vêtements gorgés d'eau et le jeune homme la raccompagna son amie chez elle. Mais ce soir là, les choses ne se passèrent pas comme prévu. »

Chris marchait main dans la main avec Claire quand celle ci se fit bousculer et arracher son sac par un voleur qui prit aussitôt la fuite. Le jeune homme lâcha aussitôt la main de sa compagne et lui courut après. >>> ces deux phrases sont bof. "Chris marchait aux côtés de Claire lorsque celle-ci fut bousculée par un inconnu qui en profita pour lui arracher son sac et prendre la fuite. Le jeune homme réagit aussitôt et le poursuivit Chris était plus rapide que ce voleur à la tire qui, le voyant se rapprocher dangereusement, abandonna son butin. Le garçon ramassa le sac et jeta un regard noir en direction du fuyard avant de retourner là où il avait laissé sa jeune amie.
Soudain, Mais Claire n'était plus là. Chris paniqua en jetant des regards frénétiques de chaque côté de la rue. A travers la pluie et la circulation, il entendit un cri provenant de l'une des sombres ruelles. Sans réfléchir, le jeune homme fonça dans cette direction en manquant de justesse de se faire renverser par un chauffard. Les gens de cette ville ne réagissaient jamais à un appel au secours. Quand une femme se faisait attaquer, on lui recommandait de crier au feu. Personne ne voulait >>> reste à l'imparfait dans ta narration prendre des coups à la place d'un autre mais pas Chris ne ressemblait pas à tous ces lâches >>> je te suggère cette fin de phrase. Dans l'allée, des poubelles baillaient >>> "vomissait", ça donnera une impression encore plus forte leur contenu et divers objets jonchaient le sol recouvert par un bon centimètre d'eau de pluie qui tombait en cascade depuis le toit des immeubles en plus du déluge habituel. Le jeune homme ne mit alors pas longtemps à trouver ce qu'il cherchait.