Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
5 participants
IMPERIALDREAMER :: Ecrire et lire :: Romans :: Commentaires
Page 1 sur 1
Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Merci de me laisser ici vos avis, commentaires ou correction de J-i 8 que vous trouverez ici :
https://imperialdreamer.1fr1.net/romans-f112/x-fantasy-j-i-8-par-edwigemlt-jeunes-ames-s-abstenir-t2411.htm#63872
Ne craignez pas d'être honnêtes et francs puisque c'est le but de ma venue parmi vous.
Merci par avance.
Edwige.
https://imperialdreamer.1fr1.net/romans-f112/x-fantasy-j-i-8-par-edwigemlt-jeunes-ames-s-abstenir-t2411.htm#63872
Ne craignez pas d'être honnêtes et francs puisque c'est le but de ma venue parmi vous.
Merci par avance.
Edwige.
Edwigemlt- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 13
Localisation : Région Centre
Emploi/loisirs : Vendeuse directe
Votre talent : Écriture
Points : 19
Date d'inscription : 15/04/2010
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Extrait 1
=> un flot est par définition discontinu. C'est redondant "un flot discontinu".
=> le "y" est à proscrire dans une belle narration. Surotut qu'il n'a aucune intégrité dans cette phrase : si tu utilise un "te" pour le verbe ouvrir, tu utilises encore un "tu" pour le second verbe
=> déverser n'est peut-être pas le verbe le plus adapté : "te remplir" ?
=> suggestion : "Je pensais t'ouvrir pour la première fois demain et te remplir d'un flot de pensées, d'émotions et de confidences."
=> se regarder avec étonnement... ça veut dire quoi au juste ici ? Qu'elle s'étonne en se regardant ? Pourquoi ?
=> comment peut-il être magnifique ce chignon si des mèches folles s'en échappent ?
=> parce que sinon, pourquoi pâlit-elle d'envie, puisque l'envie est assouvie ?
=> des pieds fins.
=> Commence ta phrase tout simplement par : "Depuis quelques temps..."
=> pourquoi changer de temps tout à coup ? Du présent à la place du passé : c'est une erreur grave dans la narration (la pire peut-être ^_^).
=> "qui m'envoyaient un air"... c'est pas très esthétique. Pense au souffle, encore une fois.
=> comment se fait-il qu'elle ne bouge pas comme ça ? Tu ne nous as pas assez amené dans le vif du sujet pour nous faire comprendre que ce gars là l'a déjà traumatisé. Parce qu'une attitude normale voudrait que la fille réagisse un tantinet ! (je reprends ça dans mon commentaire général)
=> tu utilises par deux fois la description type "catalogue" (la première étant celle de la narratrice). C'est-à-dire, une description du style : "Son nez était comme ci. Ses cheveux étaient comme ça. Ses yeux ressemblaient à ça..." comme si tu prenais un catalogue et que tu regardais chaque critère d'un article.
=> là, tu aurais pu te permettre un "!", puisqu'il s'agit d'une phrase exclamative...
=> dépourvu
=> pourquoi un point d'exclamation ici ? Il n'a aucune raison d'être. Par contre, avant, tu as plein de phrases exclamatives où tu ne mets que des points. Et ça, c'est pas normal ^_^.
=> tu utilises bien trop le verbe prendre... à modifier
=> répétition de "prononcer"
=> on ne prononce pas un son, mais on le produit.
=> suggestion : "incapable de produire le moindre son".
=> encore ce verbe prendre ?
=> obligatoire la précision des mamelons ?
=> suggestion : "c'était absolument délicieux."
Appréciation linguistique :
C'est pas mal, mais il y a encore beaucoup de travail à faire pour améliorer ton expression.
A commencer par une typographie adaptée : oublie les points d'exclamation à la pelle. Il renvoie une très mauvaise image de l'auteur, une image puérile pour dire ce qu'il en est, de l'auteur. Les points d'exclamation, comme n'importe quel symbole typographique, ne sont pas à appliquer à la légère et ils ont toute leur importance.
Il s'agit donc de réfléchir lorsque tu les places dans un texte car ce sont eux qui donnent le "ton" du récit.
Ensuite, il y a très grosse confusion dans la conjugaison et les temps employés. Décide-toi si tu mets ton texte au passé ou au présent, mais ne fait pas un mélange des deux. On s'y perd les pinceaux et c'est vraiment pas agréable.
Ensuite, tu as un souci avec la conjugaison du passé simple : tu me fais du plus que parfait à chaque fois. Il n'y a pas d'accent circonflexe pour les terminaisons du passé simple .
Mais le gros souci de ce texte, c'est l'expression : tu utilises des formulations trop convenues ou alors, tu suggères des idées parce que tu sais que "tout le monde écrit comme ça". Mais ce n'est pas ce à quoi doit répondre le talent d'un écrivain qui, au contraire, érigera son propre univers et bâtira son propre style. Exemple :
Parce que dans le commun des émissions américaines, c'est une réplique vue et revue, on suppose que tu parles d'acteur de cinéma. Mais pourtant, strictement, rien ne nous l'indique.
Et pour les littéraires, cela risque de souligner une culture peu étendue dans le domaine des arts (je ne dis pas que tu as une culture peu étendue dans le domaine de l'art, attention, mais simplement que écrire comme ça risque de faire penser cela).
Évite aussi de poser 15 000 questions pour tourner autour du pot. Du style :
Du moins, c'est l'idée qui est renvoyée. Attention donc.
Tes descriptions sont trop formelles et pas assez littéraires, ou du moins, pas assez attractives. Tu te contentes de nous faire une description "plate" comme le ferait n'importe quel vendeur qui veut proposer un article de son magasin : "son nez est grand, ses cheveux sont noirs, sa bouche est fine etc."
Non, quand tu fais une description, il faut vraimetn que ton lecteur s'attache au personnage, qu'il puisse ensuite l'identifier rapidement. Il faut donc jouer avec ses mots, donner quelques anecdotes ou des particularités sur le physique (une tâche de naissance, un nez un peu tordu parce qu'il se l'est fait briser en jouant au foot dans sa jeunesse, un tic gestuel etc.) mais pas resté ainsi aussi rigide et peu attirant. On ressort du passage descriptif sans avoir l'impression d'avoir découvert un réel protagoniste, avec qui l'on va vivre une aventure. On dirait avoir à faire à un simple mannequin à qui l'on vient de jeter un oeil dans la vitrine.
Il faut donc franchement travailler la description, que tu nous appliques dès le départ, pour souligner le premier contact entre lecteur et personnage.
Ensuite, le passage réussi est pour moi le moment de la sensualité : tu as un vocabulaire approprié, une exagération qui conduit à cette atmosphère sensuelle, du contact, de la gestuelle... c'est plutôt bien et apprécié.
Attention néanmoins aux dialogues qui font un peu convenus et pas très enrichissant pour l'histoire.
Il faut donc bien revoir la forme tout de même. Une expression plus soutenue, une ponctuation et typographie soignées, des verbes adaptés, des descriptions attractives et une atmosphère qui soit vraiment le reflet du contenu : la sensualité.
Appréciation du récit :
Je serais plus succinct. Outre la forme, le départ est plutôt engageant.
Peut-être un gout du "Destin de Lisa" avec le stéréotype de la fille à qui il n'est jamais arrivé de coucher avec un homme parce qu'elle est trop laide.
Mais, l'effet rendu est assez convainquant et on se laisse transporter dans son songe, et l'on vit sa surprise de se voir toujours plus loin dans une relation sexuelle encore jamais vécue.
En fait, ce que j'apprécie, c'est de voir la fille un peu coincée qui fantasme ; c'est bien rendu je dirais. Elle ose pas aller plus loin, puis finalement si, elle y repense encore un peu plus, elle se fait l'image du prince charmant en somme.
Et le réveil brutal à la fin, bien que pas original, marque l'arrivée de l'orgasme de manière très sous-entendue.
Et je trouve ça plutôt cool.
L'autre chose à souligner que je trouve réussie : c'est que pour moi, au départ, je me disais "puré, il n'y a aucun lien avec l'extérieur dans ce récit. On se demande ce qu'il se passe autour d'eux".
Mais finalement, ça aurait du me mettre la puce à l'oreille et c'est exactement ce qui se produit dans un rêve.
L'environnement autour de la scène du rêve est complètement flou et un immeuble peut s'écrouler, il n'y aura aucune conséquence sur le songe qui se focalise vraiment sur l'objet du fantasme. Et ça, c'est bien rendu aussi.
Ce que je peux donc te reprocher, simplement, c'est au départ lorsque l'homme arrive derrière elle et qu'on ne sait pas encore qu'elle est très attirée. Pour tout te dire, j'ai cru au départ que c'était un genre d'assassin et qu'elle aurait du être terrifiée.
Je te conseille donc de plus jouer sur les mots de la sensualité dès le départ, de faire comprendre que c'est son prince charmant qui arrive derrière elle. Et non un violeur en série ^_^.
Conclusion :
Une forme malheureusement pas au top pour un contenu qui vaut le coup d'œil.
Je suis persuadé que tu peux encore plus valoriser ce contenu si tu appliques mes conseils pour la forme : il t'es plus que nécessaire de revoir toute la narration.
Attention, cependant, en respect du don contre don, ne poste pas trop d'extrait.
Il te faut faire beaucoup de commentaires lorsque tu veux soumettre beaucoup d'extraits à la fois.
Je te conseille d'attendre un peu que les correcteurs viennent à toi. Et quel meilleur moyen pour les attirer que d'aller les voir sur leurs propres textes ?
=> ouïlle, phrase très lourde dès l'ouverture. Pas très grave, il faut juste éviter les deux "pour" à la suite .Je pensais t’ouvrir pour la première fois demain pour y déverser un flot discontinu de pensées, d’émotions et de confidences.
=> un flot est par définition discontinu. C'est redondant "un flot discontinu".
=> le "y" est à proscrire dans une belle narration. Surotut qu'il n'a aucune intégrité dans cette phrase : si tu utilise un "te" pour le verbe ouvrir, tu utilises encore un "tu" pour le second verbe
=> déverser n'est peut-être pas le verbe le plus adapté : "te remplir" ?
=> suggestion : "Je pensais t'ouvrir pour la première fois demain et te remplir d'un flot de pensées, d'émotions et de confidences."
=> un seul "!" suffit ici. Un roman n'est pas une BD...j’ai trop peur d’oublier !!!
=> pourquoi une exclamation ?à me regarder avec étonnement !
=> se regarder avec étonnement... ça veut dire quoi au juste ici ? Qu'elle s'étonne en se regardant ? Pourquoi ?
=> attention à la redondance : "beaux cheveux et magnifique chignon" ; c'est trop de qualificatifs mélioratifs
Mes beaux cheveux longs et d’un noir ébène étaient relevés en un magnifique chignon d’où s’échappaient quelques mèches folles.
=> comment peut-il être magnifique ce chignon si des mèches folles s'en échappent ?
=> problème de sens : "à chaque fois que je la vois avec."Je portais la superbe robe noire de mon ainée qui me fait pâlir d’envie chaque fois que je la vois.
=> parce que sinon, pourquoi pâlit-elle d'envie, puisque l'envie est assouvie ?
=> l'adjectif menu ne s'emploie pas vraiment avec des pieds... enfin, c'est pas le premier adjectif qui correspond le mieux.Des escarpins noirs avec des strasses chaussaient mes pieds menus.
=> des pieds fins.
=> "il faut dire que", c'est trop oral et pas du tout littéraire...Il faut dire que depuis quelques temps,
=> Commence ta phrase tout simplement par : "Depuis quelques temps..."
=> "sa simple présence me rendait..." non ça, ça ne le fait pas non plus dans un écrit. Trouve un adjectif flou, comme "étrange", mais il faut que tu termines la phrase, pour la forme. Par contre, oui, tu peux laisser en suspend l'idée. Mais la forme elle, tu dois être toujours rigoureuse avec, même si elle doit souligner le contenu. Tu peux donc utiliser un "me rendait... étrange. A vrai dire, je ne saurais comment le décrire etc." Mais tu vois, il te faut ue rigueur à tenir.sa simple présence me rendait… ? Je ne saurais même pas décrire comment je me sens quand il est là ! Je passe par tellement d’émotions différentes.
=> pourquoi changer de temps tout à coup ? Du présent à la place du passé : c'est une erreur grave dans la narration (la pire peut-être ^_^).
=> très maladroitEnfin, toujours est-il que je le sentis s’approcher de moi.
=> respirer/respiration : répétition. Suggestion : "souffle"C’est à peine si je m’autorisai à respirer ! Il ne s’arrêta qu’à quelques centimètres de mon dos. Je pus sentir son souffle sur ma nuque ! Une respiration lente qui m’envoyait un air tiède… et… enivrant..!
=> "qui m'envoyaient un air"... c'est pas très esthétique. Pense au souffle, encore une fois.
=> comment se fait-il qu'elle ne bouge pas comme ça ? Tu ne nous as pas assez amené dans le vif du sujet pour nous faire comprendre que ce gars là l'a déjà traumatisé. Parce qu'une attitude normale voudrait que la fille réagisse un tantinet ! (je reprends ça dans mon commentaire général)
=> mouais... mais dans quel sens merveilleux ? Parce qu'un dieu grec n'est pas forcément beau... si on prend Héphaïstos par exemple... ^_^Aussi merveilleux qu’un dieu grec.
=> des acteurs... de cinéma non ? (parce qu'il existe le théâtre aussi, mais ils sont moins connus ^^)avec une carrure digne du plus sexy des acteurs !
=> pourquoi ce retour soudain au présent ? C'est très troublant et surtout très désagréableSes cheveux bruns qu’il porte toujours savamment décoiffés lui donnent cet air décontracté qui me plait tant. Son regard d’un vert sombre et profond m’envoute à chaque fois que je le croise.
=> tu utilises par deux fois la description type "catalogue" (la première étant celle de la narratrice). C'est-à-dire, une description du style : "Son nez était comme ci. Ses cheveux étaient comme ça. Ses yeux ressemblaient à ça..." comme si tu prenais un catalogue et que tu regardais chaque critère d'un article.
=> de ses aïeuls (sauf si ce sont des ancêtres féminines)qu'il a hérité de la Sicile de ses aïeules
=> je ne sais pas trop quel âge lui donnerJe ne sais trop quel âge lui donné.
=> grâce à son cousinJe l'ai vu pour la première fois grâce son cousin Tony, le petit ami de ma sœur Léa.
=> futCe fût à ce moment de mes réflexions
=> tu es sûre que ce n'est pas plus son regard que ses yeux ?Ses yeux pénétrèrent les miens
=> prit : pourquoi utiliser tout à coup le plus que parfait ? o_OIl prît mon menton dans sa main… me releva la tête
=> typographie : utilise soit le guillemet, soit le tiret, mais pas les deux ensemble.« - Que tu es radieuse dans cette robe, Emmanuelle. »
=> là, tu aurais pu te permettre un "!", puisqu'il s'agit d'une phrase exclamative...
=> prit (sans accent !)Mais ses mots venaient d’éveiller en moi une chaleur qui me prît totalement au dépourvue !
=> dépourvu
=> pourquoi un point d'exclamation ici ? Il n'a aucune raison d'être. Par contre, avant, tu as plein de phrases exclamatives où tu ne mets que des points. Et ça, c'est pas normal ^_^.
=> prit
J’ignore ce qu’il me prît alors
=> tu utilises bien trop le verbe prendre... à modifier
Il attendait une réponse, mais j’étais incapable de prononcer le moindre son.
=> répétition de "prononcer"
=> on ne prononce pas un son, mais on le produit.
=> suggestion : "incapable de produire le moindre son".
=> pritIl prît ma main,
=> encore ce verbe prendre ?
=> commencéSes mains avaient commencés
=> défitil défît mon chignon
=> répétition "différent"il y avait des différences. Jamais encore mes mamelons ne s’étaient durcis de la sorte. Le froid bien évidement avait déjà fait son effet auparavant, mais la sensation était complètement différente.
=> obligatoire la précision des mamelons ?
=> son baiserson baisée devint plus insistant.
=> inouï ne convient pas du tout.C’était absolument inouï de délice.
=> suggestion : "c'était absolument délicieux."
=> hugh ! ça veut dire quoi exactement ?mon ventre et son incendie de plus en plus empressé
=> inutile les trente-six point de suspension. Trois suffisent.En un quart de seconde………………………………………………………………………
=> inutile les 3 points d'exclamation. Un seul suffit.
Je me suis réveillée dans mon lit, en sueur, complètement perdue !!!
Appréciation linguistique :
C'est pas mal, mais il y a encore beaucoup de travail à faire pour améliorer ton expression.
A commencer par une typographie adaptée : oublie les points d'exclamation à la pelle. Il renvoie une très mauvaise image de l'auteur, une image puérile pour dire ce qu'il en est, de l'auteur. Les points d'exclamation, comme n'importe quel symbole typographique, ne sont pas à appliquer à la légère et ils ont toute leur importance.
Il s'agit donc de réfléchir lorsque tu les places dans un texte car ce sont eux qui donnent le "ton" du récit.
Ensuite, il y a très grosse confusion dans la conjugaison et les temps employés. Décide-toi si tu mets ton texte au passé ou au présent, mais ne fait pas un mélange des deux. On s'y perd les pinceaux et c'est vraiment pas agréable.
Ensuite, tu as un souci avec la conjugaison du passé simple : tu me fais du plus que parfait à chaque fois. Il n'y a pas d'accent circonflexe pour les terminaisons du passé simple .
Mais le gros souci de ce texte, c'est l'expression : tu utilises des formulations trop convenues ou alors, tu suggères des idées parce que tu sais que "tout le monde écrit comme ça". Mais ce n'est pas ce à quoi doit répondre le talent d'un écrivain qui, au contraire, érigera son propre univers et bâtira son propre style. Exemple :
avec une carrure digne du plus sexy des acteurs !
Parce que dans le commun des émissions américaines, c'est une réplique vue et revue, on suppose que tu parles d'acteur de cinéma. Mais pourtant, strictement, rien ne nous l'indique.
Et pour les littéraires, cela risque de souligner une culture peu étendue dans le domaine des arts (je ne dis pas que tu as une culture peu étendue dans le domaine de l'art, attention, mais simplement que écrire comme ça risque de faire penser cela).
Évite aussi de poser 15 000 questions pour tourner autour du pot. Du style :
Une fois, ça fait une figure de style qui peut souligner la panique du narrateur. Sauf que tu utilises ce procédé à maintes reprises dans ta narration et on en vient à croire que tu combles les vides, que tu cherches tes mots et ton scénario et que tout ça, c'est pour faire patienter un peu le temps que tu trouves.Que faisait-il là ? Se pouvait-il qu’il me cherche ? Pourquoi ne
disait-il rien ? Qu’attendait-il ?
Du moins, c'est l'idée qui est renvoyée. Attention donc.
Tes descriptions sont trop formelles et pas assez littéraires, ou du moins, pas assez attractives. Tu te contentes de nous faire une description "plate" comme le ferait n'importe quel vendeur qui veut proposer un article de son magasin : "son nez est grand, ses cheveux sont noirs, sa bouche est fine etc."
Non, quand tu fais une description, il faut vraimetn que ton lecteur s'attache au personnage, qu'il puisse ensuite l'identifier rapidement. Il faut donc jouer avec ses mots, donner quelques anecdotes ou des particularités sur le physique (une tâche de naissance, un nez un peu tordu parce qu'il se l'est fait briser en jouant au foot dans sa jeunesse, un tic gestuel etc.) mais pas resté ainsi aussi rigide et peu attirant. On ressort du passage descriptif sans avoir l'impression d'avoir découvert un réel protagoniste, avec qui l'on va vivre une aventure. On dirait avoir à faire à un simple mannequin à qui l'on vient de jeter un oeil dans la vitrine.
Il faut donc franchement travailler la description, que tu nous appliques dès le départ, pour souligner le premier contact entre lecteur et personnage.
Ensuite, le passage réussi est pour moi le moment de la sensualité : tu as un vocabulaire approprié, une exagération qui conduit à cette atmosphère sensuelle, du contact, de la gestuelle... c'est plutôt bien et apprécié.
Attention néanmoins aux dialogues qui font un peu convenus et pas très enrichissant pour l'histoire.
Il faut donc bien revoir la forme tout de même. Une expression plus soutenue, une ponctuation et typographie soignées, des verbes adaptés, des descriptions attractives et une atmosphère qui soit vraiment le reflet du contenu : la sensualité.
Appréciation du récit :
Je serais plus succinct. Outre la forme, le départ est plutôt engageant.
Peut-être un gout du "Destin de Lisa" avec le stéréotype de la fille à qui il n'est jamais arrivé de coucher avec un homme parce qu'elle est trop laide.
Mais, l'effet rendu est assez convainquant et on se laisse transporter dans son songe, et l'on vit sa surprise de se voir toujours plus loin dans une relation sexuelle encore jamais vécue.
En fait, ce que j'apprécie, c'est de voir la fille un peu coincée qui fantasme ; c'est bien rendu je dirais. Elle ose pas aller plus loin, puis finalement si, elle y repense encore un peu plus, elle se fait l'image du prince charmant en somme.
Et le réveil brutal à la fin, bien que pas original, marque l'arrivée de l'orgasme de manière très sous-entendue.
Et je trouve ça plutôt cool.
L'autre chose à souligner que je trouve réussie : c'est que pour moi, au départ, je me disais "puré, il n'y a aucun lien avec l'extérieur dans ce récit. On se demande ce qu'il se passe autour d'eux".
Mais finalement, ça aurait du me mettre la puce à l'oreille et c'est exactement ce qui se produit dans un rêve.
L'environnement autour de la scène du rêve est complètement flou et un immeuble peut s'écrouler, il n'y aura aucune conséquence sur le songe qui se focalise vraiment sur l'objet du fantasme. Et ça, c'est bien rendu aussi.
Ce que je peux donc te reprocher, simplement, c'est au départ lorsque l'homme arrive derrière elle et qu'on ne sait pas encore qu'elle est très attirée. Pour tout te dire, j'ai cru au départ que c'était un genre d'assassin et qu'elle aurait du être terrifiée.
Je te conseille donc de plus jouer sur les mots de la sensualité dès le départ, de faire comprendre que c'est son prince charmant qui arrive derrière elle. Et non un violeur en série ^_^.
Conclusion :
Une forme malheureusement pas au top pour un contenu qui vaut le coup d'œil.
Je suis persuadé que tu peux encore plus valoriser ce contenu si tu appliques mes conseils pour la forme : il t'es plus que nécessaire de revoir toute la narration.
Attention, cependant, en respect du don contre don, ne poste pas trop d'extrait.
Il te faut faire beaucoup de commentaires lorsque tu veux soumettre beaucoup d'extraits à la fois.
Je te conseille d'attendre un peu que les correcteurs viennent à toi. Et quel meilleur moyen pour les attirer que d'aller les voir sur leurs propres textes ?
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Bon alors j'ouvre le bal : niak niak
Le mercredi 28 mai 1997. 04h32
Salut J-i 8 !
Je pensais t’ouvrir pour la première fois demain pour y déverser un flot discontinu de pensées, d’émotions et de confidences.
Mais après ce qui vient de me réveiller… non, je dois te l’écrire maintenant… j’ai trop peur d’oublier !!!
Tout avait commencé dans la chambre de Liz.
J’étais debout, face à son psyché, à me regarder avec étonnement ! Mes beaux cheveux longs et(je mettrais une virgule à la place) d’un noir ébène étaient relevés en un magnifique(je supprimerais également cet adjectif. On a eu le droit aux BEAUX cheveux, aux méches FOLLES ensuite à la SUPERBE robe donc tu peux éviter le MAGNIFIQUE chignon, à mon humble avis) chignon d’où s’échappaient quelques mèches folles. Je portais la superbe robe noire de mon ainée qui me fait pâlir d’envie chaque fois que je la vois. Des escarpins noirs avec des strasses (? strass ?) chaussaient mes pieds menus. Mes yeux noisette étaient maquillés à la perfection, de noir et de vert, tandis que mes lèvres fines étaient rehaussées de bordeaux.
Je me contemplais depuis un moment déjà, adolescente (? que veux tu dire ? qu'elle se contemple depuis l'adolescence ? lol. Désolée... je trouve cette phrase un peu maladroite) qui dans cette tenue aurait pu passer pour une jeune femme.
J’entendais au rez-de-chaussée la fête qui avait été organisée en mon honneur. J’avais enfin seize ans.(Ahhhhh, un grand moment )
Je le sentis dans mon dos avant même de le voir ou de l’entendre.
Il faut dire que depuis quelques temps, sa simple présence me rendait… ? Je ne saurais même pas décrire comment je me sens quand il est là ! Je passe par tellement d’émotions différentes.(ouh, je sens l'histoire d'Amour. J'adore ça ! chouette)
Enfin, toujours est-il que je le sentis s’approcher de moi. Je n’osai me retourner. C’est à peine si je m’autorisai à respirer ! Il ne s’arrêta qu’à quelques centimètres de mon dos. Je pus sentir son souffle sur ma nuque ! Une respiration lente qui m’envoyait un air tiède… et… enivrant..!
Il resta ainsi plusieurs longues secondes (bof : des secondes, c'est techniquement pas long. bon effectivement tout est relatif, mais je trouve l'expression maladroite), sans qu’aucun de nous ne rompe le charme. Que faisait-il là ? Se pouvait-il qu’il me cherche ? Pourquoi ne disait-il rien ? Qu’attendait-il ?
Comme toujours, (tu veux dire à chaque fois qu'il est proche d'elle ?)mon cerveau ne laissait aucune possibilité à mon corps de savourer pleinement et simplement ce moment si improbable ! Non, il fallait qu’il réfléchisse. Qu’il analyse tout !
Giani est le plus beau des jeunes hommes qu’il m’ait été donné de rencontrer. Aussi merveilleux qu’un dieu grec. Grand, séduisant, le sourire divin et enjôleur, avec une carrure digne du plus sexy des acteurs ! Ses cheveux bruns qu’il porte toujours savamment décoiffés lui donnent cet air décontracté qui me plait tant. Son regard d’un vert sombre et profond m’envoute à chaque fois que je le croise. Il a ce teint mat et légèrement olivâtre qu'il a hérité de la Sicile de ses aïeules (aïeuls). Je ne sais trop quel âge lui donné (donner). Peut-être dans la seconde moitié de la vingtaine…(? heu.... y a pas plus simple ?)
Je l'ai vu pour la première fois grâce son cousin Tony, le petit ami de ma sœur Léa.
Je m'arrête là pour le moment.
Première remarque : tes nombreux descriptions, submergées d'adjectifs, fatiguent un peu la lecture. Je m'explique : j'ai eu l'impression d'être submergés : de maginfiques, de beaux, de resplendissants... tu pourrais peut être enlever quelques adjectifs.
Je reprendrais plus tard, si tu permets.
Le mercredi 28 mai 1997. 04h32
Salut J-i 8 !
Je pensais t’ouvrir pour la première fois demain pour y déverser un flot discontinu de pensées, d’émotions et de confidences.
Mais après ce qui vient de me réveiller… non, je dois te l’écrire maintenant… j’ai trop peur d’oublier !!!
Tout avait commencé dans la chambre de Liz.
J’étais debout, face à son psyché, à me regarder avec étonnement ! Mes beaux cheveux longs et(je mettrais une virgule à la place) d’un noir ébène étaient relevés en un magnifique(je supprimerais également cet adjectif. On a eu le droit aux BEAUX cheveux, aux méches FOLLES ensuite à la SUPERBE robe donc tu peux éviter le MAGNIFIQUE chignon, à mon humble avis) chignon d’où s’échappaient quelques mèches folles. Je portais la superbe robe noire de mon ainée qui me fait pâlir d’envie chaque fois que je la vois. Des escarpins noirs avec des strasses (? strass ?) chaussaient mes pieds menus. Mes yeux noisette étaient maquillés à la perfection, de noir et de vert, tandis que mes lèvres fines étaient rehaussées de bordeaux.
Je me contemplais depuis un moment déjà, adolescente (? que veux tu dire ? qu'elle se contemple depuis l'adolescence ? lol. Désolée... je trouve cette phrase un peu maladroite) qui dans cette tenue aurait pu passer pour une jeune femme.
J’entendais au rez-de-chaussée la fête qui avait été organisée en mon honneur. J’avais enfin seize ans.(Ahhhhh, un grand moment )
Je le sentis dans mon dos avant même de le voir ou de l’entendre.
Il faut dire que depuis quelques temps, sa simple présence me rendait… ? Je ne saurais même pas décrire comment je me sens quand il est là ! Je passe par tellement d’émotions différentes.(ouh, je sens l'histoire d'Amour. J'adore ça ! chouette)
Enfin, toujours est-il que je le sentis s’approcher de moi. Je n’osai me retourner. C’est à peine si je m’autorisai à respirer ! Il ne s’arrêta qu’à quelques centimètres de mon dos. Je pus sentir son souffle sur ma nuque ! Une respiration lente qui m’envoyait un air tiède… et… enivrant..!
Il resta ainsi plusieurs longues secondes (bof : des secondes, c'est techniquement pas long. bon effectivement tout est relatif, mais je trouve l'expression maladroite), sans qu’aucun de nous ne rompe le charme. Que faisait-il là ? Se pouvait-il qu’il me cherche ? Pourquoi ne disait-il rien ? Qu’attendait-il ?
Comme toujours, (tu veux dire à chaque fois qu'il est proche d'elle ?)mon cerveau ne laissait aucune possibilité à mon corps de savourer pleinement et simplement ce moment si improbable ! Non, il fallait qu’il réfléchisse. Qu’il analyse tout !
Giani est le plus beau des jeunes hommes qu’il m’ait été donné de rencontrer. Aussi merveilleux qu’un dieu grec. Grand, séduisant, le sourire divin et enjôleur, avec une carrure digne du plus sexy des acteurs ! Ses cheveux bruns qu’il porte toujours savamment décoiffés lui donnent cet air décontracté qui me plait tant. Son regard d’un vert sombre et profond m’envoute à chaque fois que je le croise. Il a ce teint mat et légèrement olivâtre qu'il a hérité de la Sicile de ses aïeules (aïeuls). Je ne sais trop quel âge lui donné (donner). Peut-être dans la seconde moitié de la vingtaine…(? heu.... y a pas plus simple ?)
Je l'ai vu pour la première fois grâce son cousin Tony, le petit ami de ma sœur Léa.
Je m'arrête là pour le moment.
Première remarque : tes nombreux descriptions, submergées d'adjectifs, fatiguent un peu la lecture. Je m'explique : j'ai eu l'impression d'être submergés : de maginfiques, de beaux, de resplendissants... tu pourrais peut être enlever quelques adjectifs.
Je reprendrais plus tard, si tu permets.
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
C'est qu'il a encore tous ses neurones ma pauv' chérie ! Et puis qu'est-ce que tu veux dire après ça ! Il faut juste espérer qu'Edwigemlt va retravailler rapidement son premier chapitre...petitebrise a écrit:Crotte Paco m'a doublé... Rapide le garçon.
azul- Talent Suprême
- Nombre de messages : 1557
Age : 66
Localisation : Lot et Garonne
Votre talent : Écriture
Points : 1556
Date d'inscription : 19/11/2009
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Bonjour
rouge = orthographe-grammaire
bleu : répétitions
violet : suggestions et autres
Concernant l'histoire, je ne peux pas me prononcer pour le moment, j'en ai trop peu lu pour cela.
Je note beaucoup de changements de temps, tu dois essayer de garder toujours le même pour l'histoire.
Beaucoup de répétitions (il fit, il prit, il glissa, ses mains, ses lèvres, visage)
rouge = orthographe-grammaire
bleu : répétitions
violet : suggestions et autres
Le mercredi 28 mai 1997. 04h32
Salut J-i 8 !
Je pensais t’ouvrir pour la première fois demain pour y déverser un flot discontinu de pensées, d’émotions et de confidences.
Mais après ce qui vient de me réveiller… non, je dois te l’écrire maintenant… j’ai trop peur d’oublier !!!
Tout avait commencé dans la chambre de Liz.
J’étais debout, face à son(sa) psyché(le mot psyché est féminin), à me regarder avec étonnement ! (pourquoi un point d’exclamation dans ce cas de figure ?) Mes beaux cheveux longs et (je supprimerais le « et » mes cheveux longs d’un noir ébène…) d’un noir ébène étaient relevés en un magnifique chignon d’où s’échappaient quelques mèches folles (je trouve que folles est en trop). Je portais la superbe robe noire de mon ainée qui me fait (mélange de temps, nous étions au passé et tu parles au présent d’un coup) pâlir d’envie chaque fois que je la vois (re-présent). Des escarpins noirs avec des strasses(strass) chaussaient mes pieds menus (les descriptions sont peut-être trop poussées, pieds menus, escarpins avec strass…). Mes yeux noisette étaient maquillés à la perfection, de noir et de vert, tandis que mes lèvres fines (encore trop d’adjectifs, simplifier est toujours mieux qu’un amas de détails qui ne font pas plus avancer l’histoire) étaient rehaussées de bordeaux.
Je me contemplais depuis un moment déjà, adolescente qui dans cette tenue aurait pu passer pour une jeune femme. (la phrase manque un peu de cohérence à partir du mot adolescente. Il faudrait peut-être la couper en deux)
J’entendais au rez-de-chaussée (je dirais : Au rez-de-chaussée, j’entendais…) la fête qui avait été organisée en mon honneur. J’avais enfin seize ans.
Je le sentis dans mon dos avant même de le voir ou de l’entendre.
Il faut dire que depuis quelques temps, sa simple présence me rendait… ? (pas de point d'interrogation, des points d'exclamation suffisent je pense) Je ne saurais même pas décrire comment je me sens (du passé, nous repartons au présent) quand il est (idem) là ! Je passe par tellement d’émotions différentes.
Enfin, toujours est-il que je le sentis s’approcher de moi. Je n’osai me retourner. C’est à peine si je m’autorisai à respirer ! Il ne s’arrêta qu’à quelques centimètres de mon dos. Je pus sentir son souffle sur ma nuque ! Une respiration lente qui m’envoyait un air tiède… et… enivrant..! (L’impression que me fait la lecture de ce paragraphe me donne l’impression que tu écris plus comme si il s’agissait d’un film. Ok un peu de suspens mais là c’est un pan entier ou on ne sait pas de quoi tu parles, enfin de qui je suppose… et donc on pourrait se dire qu’il s’agit d’un homme mais aussi d’un animal)
Il resta ainsi plusieurs longues secondes, sans qu’aucun de nous ne rompe le charme. Que faisait-il là ? Se pouvait-il qu’il me cherche ? Pourquoi ne disait-il rien ? Qu’attendait-il ?
Comme toujours (le comme toujours ne sert à rien, je supprimerais), mon cerveau ne laissait aucune possibilité à mon corps de savourer pleinement et simplement ce moment si improbable ! Non, il fallait qu’il réfléchisse. Qu’il analyse tout !
Giani est le plus beau des jeunes hommes qu’il m’ait été donné de rencontrer. Aussi merveilleux (ce n’est pas le mot que j’utiliserais, un dieu grec est splendide, sublime à la rigueur mais merveilleux…) qu’un dieu grec. Grand, séduisant, le sourire divin et enjôleur, avec une carrure digne du plus sexy des acteurs ! Ses cheveux bruns qu’il porte (on ne porte pas des cheveux : ses cheveux bruns, toujours savamment coiffés...) (re-présent) toujours savamment décoiffés lui donnent cet air décontracté qui me plait tant. Son regard d’un vert sombre et profond m’envoute à chaque fois que je le croise. Il a ce teint mat et légèrement olivâtre qu'il a hérité de la Sicile de ses aïeules. Je ne sais trop quel âge lui donné(donner). Peut-être dans la seconde moitié de la vingtaine…(euh, c'est-à-dire ?)
Je l'ai vu pour la première fois grâce son cousin Tony, le petit ami de ma sœur Léa.
Il était (re au passé) toujours derrière moi, n’ayant prononcé aucun mot, ni fait le moindre geste.
Ce fût (et on repart au passé) à ce moment de mes réflexions qu’il posa ses mains sur la peau nue de mes épaules (sur mes épaules nues), et me fît(fit) pivoter vers lui. Ses yeux pénétrèrent (plongèrent dans les miens ?) les miens et m’éblouirent, m’emplissant d’une sensation de bien-être.
Il prît(prit) mon menton dans sa main… me releva la tête, mon visage entièrement offert à ses pupilles.
« - Que tu es radieuse dans cette robe, Emmanuelle. »
Il venait de prononcer mon prénom. Comme il sonnait bien, porté par le son de sa voix.
Il s’était légèrement incliné, plongeant sa tête contre mon cou et inspirant longuement.
« -Ton parfum est si doux. Tu es si désirable. »
Moi, désirable ? J’étais le rat de bibliothèque par excellence et la notion de désir m’était des plus étrangères. Mais ses mots venaient d’éveiller en moi une chaleur qui me prît(prit) totalement au dépourvue ! Cette bouffée d’ardeur (on ne dit pas trop bouffée d’ardeur, plutôt bouffée de chaleur) s’étendait (se répandit ?) doucement dans tout mon être, partant de mon cœur pour atteindre le summum de l’incandescence en arrivant au bas ventre (j’avoue que je n’ai rien compris de l’endroit d’où partait cette bouffée ni le chemin qu’elle parcoure. Est-ce si important de tout détailler ? tu pourrais dire que cela se répand dans tout son être).
Je n’avais jamais rien ressenti de tel ! Je perdais complètement pieds, ne parvenant pas vraiment à comprendre tant la situation que ces sensations inédites pour mon corps (là encore une fois la phrase manque de cohérence, il faudrait la reformuler).
Ses mains encadrèrent mon visage, le guidant vers lui. Comme au ralenti, nos lèvres se rapprochèrent jusqu’à se frôler. L’instant me paraissait durer une éternité, quand soudain il m’embrassât. Ses lèvres, posées sur les miennes (oui elles sont posées sur les tiennes puisqu’il t’embrasse, répétition donc) étaient douces. Une caresse divine.
Je sentis alors sa langue forcer, délicatement (forcer c’est forcer, en général ce n’est pas délicat), mes lèvres à s’entrouvrir. Elle se fraya un chemin jusqu’à ma propre langue. J’ignore ce qu’il me prît(pas de î) alors mais une fougue inconnue s’empara de moi. Entourant son cou de mes bras, je l’attirai à moi. Me collant à lui avec frénésie, je lui rendis son baiser.
Il lâcha mon visage, mît(mit)(je dirais plutôt il posa) une main sur mes reins, me maintenant contre lui avec puissance, l’autre agrippant ma nuque. Je haletai maintenant, reprenant difficilement mon souffle. Ma tête tournait et tous mes sens étaient en éveil. Je découvris alors les réactions de certaines parties de mon corps, ignorées jusqu’ici. J’avais chaud, vraiment chaud… partout !
Notre étreinte dura longtemps. Ce fût un baiser fougueux et passionné. Il y mît(mit) fin brutalement, me faisant reculer d’un pas en me tenant par la taille !
« - Du calme, ma douce. Garde des forces !
Il avait prononcé ces mots avec son sourire enjôleur, devinant sans doute ce que cela pouvait provoquer en moi !
« - Nous ne pouvons tout de même pas rester dans la chambre d’Elisabeth (qui est Elisabeth ?), et ta maison est pleine de monde. Je peux t’emmener faire une petite promenade ? »
Il attendait une réponse, mais j’étais incapable de prononcer le moindre son. Alors je lui fis connaitre mon assentiment en opinant de la tête (je me contentais d'opiner de la tête ?) !
Il prît(prit) ma main, et m’entraina à sa suite vers la porte. Il ne fût pas simple de nous éclipser sans que personne ne le remarque.
Après à peine cinq minutes de marche, main dans la main, nous arrivâmes au bord d’une petite étendue d’eau. C’était romantique à souhait. Les étoiles brillaient au-dessus de nos têtes, les insectes nocturnes chantaient et l’air était chaud.
Nous nous allongeâmes dans l’herbe, l’un contre l’autre. Il m’enlaça, laissant reposer ma tête sur son bras musclé, son corps tourné vers moi. Nous recommençâmes à nous embrasser fougueusement, mêlant nos langues avec désir et entrain.
Ses mains avaient commencés(commencé) à me caresser le visage, le cou. Glissant ses doigts dans mes cheveux, il défît(tu aimes bien les accents circonflexes toi : défit) mon chignon et mes cheveux se répandirent tout autour de ma tête.
L’heure (le temps ?) s’était comme arrêtée, et je ne saurais dire depuis combien de temps nous étions là.
Sa main libre délaissa mes cheveux pour se frayer un chemin, tout en frôlant ma peau, jusqu’à ma poitrine. Ce ne fût qu’une fois mon sein fermement emprisonné par sa main que je me rendis compte qu’ici également, il y avait des différences. Jamais encore mes mamelons ne s’étaient durcis de la sorte. Le froid bien évidement avait déjà fait son effet auparavant, mais la sensation était complètement différente.
Giani me caressait tout le buste, abandonnant par moment mes seins pour effleurer du bout des doigts la peau de mon ventre, de mes côtes avant de retourner à (vers) ma poitrine. Les frissons qu’il me provoquait (mal formulé) étaient presque insoutenables ! Je sentais que mon corps était en attente… mais je ne savais pas comment le contenter. Ceci dit, cela ne me tracassait pas. Giani avait l’air de savoir très précisément comment déclencher et assouvir à la fois tous ces élans imprévisibles qui prenaient possession de moi.
De toute mon existence, je ne m’étais encore jamais sentie aussi bien qu’en cet instant, dans ses bras ! J’aurais voulu que le temps se fixe dans l’éternité… qu’il ne cesse pas de m’embrasser et de me caresser de la sorte.
Bien sûr, cela n’était pas possible. Lorsqu’il se redressa sur le coude, je crus défaillir de déception à l’idée qu’il s’arrête… Mais il n’en fît(fit) rien. Au contraire, son baisée(baiser) devint plus insistant. Sa main continuait de me caresser, mais avec plus de vigueur. J’avais senti que quelque chose avait changé sans que je comprenne quoi.
C’est alors que sa main était descendue…
Sa respiration se ralentît(ralentit). Ses gestes se firent plus doux qu’auparavant (ses gestes s’adoucir ?). Sa main glissait (glissa) le long de ma cuisse, tantôt me pressant, tantôt me frôlant. C’était absolument inouï de délice.
Lorsque ses doigts arrivèrent au bas de ma robe, il la remonta tout doucement vers mon bassin. Sa main continua de découvrir mon corps. Ma peau s’était couverte de chair de poule, tandis qu’elle-même percevait (je ne suis pas certaine qu’on puisse dire qu’une peau ressent quelque chose, c’est la personne qui ressent) pour la première fois le véritable bonheur d’être touchée par une main d’homme.
Giani continuait de m’embrasser, sans relâche, tandis que d’une poigne ferme et assurée, il ne se rassasiait pas de toucher, d’effleurer me fesses rebondies, mes cuisses, mon ventre et son incendie (son incendie ? je n’ai pas compris) de plus en plus empressé.
Je le sentis soudain hésiter. Pour la première fois, il n’avait pas l’air sûr de ce qu’il allait faire. Craignant par-dessus tout qu’il ne s’interrompe, je retrouvais ma voix :
« - S’il-te-plait, ne t’arrête pas ! » (à la ligne) Mon ton était presque suppliant.
Sa main se glissa alors entre mes jambes (dans mon entre jambe ?), se posant en douceur sur mon intimité…
En un quart de seconde………………………………………………………………………
Je me suis réveillée dans mon lit, en sueur, complètement perdue !!!
Concernant l'histoire, je ne peux pas me prononcer pour le moment, j'en ai trop peu lu pour cela.
Je note beaucoup de changements de temps, tu dois essayer de garder toujours le même pour l'histoire.
Beaucoup de répétitions (il fit, il prit, il glissa, ses mains, ses lèvres, visage)
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Jeudi 29 mai. 13h07.
Léa n’a pas arrêté. Mais qu’est-ce qu’elle m’agace. Dès le petit déjeuner, elle m’a sautée(sauté) dessus !
« - Et ben p’tite sœur… qu’est-ce que t’as ? Tu fais une drôle de tête ! »
Evidement(Évidemment) que j’avais « une drôle de tête ». Impossible de me rendormir après mon rêve. Quand je pense que j’avais eu peur de l’oublier ! Je n’ai pas cessé de le revivre, d’y repenser… mon imagination se laissant aller à envisager ce qui aurait pu se passer si je ne m’étais pas réveillée.
Je donnerai n’importe quoi pour pouvoir le refaire !
Mais enfin, qu’est-ce qui m’arrive ? Moi qui n’avais même jamais envisagé de flirter, voilà que je me mets à souhaiter faire des songes cochons (érotiques c’est moins familier) !Bref, en rentrant du lycée ce midi, Léa qui était déjà derrière les fourneaux m’a lancé un petit sourire en coin et a remis ça.
« Aller, raconte-moi ! Qui c’est ? Je le connais ? Il est dans ton bahut ? Il est comment ? Certainement très beau, sans quoi il n’aurait pas réussi à te faire lever ton nez de tes livres ! »
Non mais ça veut dire quoi ça ??? (un seul point d’interrogation) Pour qui elle se prend (pour qui se prend-t-elle) d’abord ? Elle ne m’a jamais raconté ses histoires de mec, elle ! Et puis, qu’est-ce que je pouvais lui dire ?
Ben tu vois, chère grande sœur, je me suis fait un type que tu connais très bien vu que c’est le cousin de ton chéri… ah oui, il faut que je précise que ce n’est arrivé que dans un rêve, mais quand même ! (en italique s’il s’agit d’une pensée)
A la place, j’ai dit :
« - Qu’est-ce que tu dis ? Il n’y a aucun garçon ! Enfin Léa, tu me vois, moi, avec un mec ? Qu’est-ce que tu voudrais que j’en fasse ? Ils sont pleins de boutons et n’ont même jamais ouvert un livre par eux-mêmes ! Je ne te parle même pas du genre de discussions qu’on pourrait avoir. Sois sérieuse ! » (ben là pas en italique puisqu'elle le dit à voix haute)Elle m’a regardé bizarrement pendant un moment, puis a semblé accepter mes dires.
18h24.
L’horreur de ma journée n’est pas finie !!!
En rentrant tout à l’heure, je l’ai vu ! Giani était devant le garage où il travaille, pencher sur le moteur de son Alfa, du cambouis jusqu’au coude. Il m’a entendu passer, s’est redressé et m’a salué gentiment. Bien entendu, dès que nos regards se sont croisés, je me suis mise à bafouiller (quelle crétine) et à rougir ! Il n’a cependant pas eu l’air de s’en rendre compte. En même temps, pourquoi ferait-il attention à moi ?
Toujours est-il que lorsque j’ai franchi la porte d’entrée, larguant mon sac avec mon manteau, j’ai rejoins(rejoint) mes parents dans le salon afin de les embrasser. Ma mère, comme d’habitude s’occupait de sa volière de perruches. Mon père, se prélassait dans le canapé. Dur(dure) journée apparemment dans les bureaux du journal local. Plus désagréable, mes deux « chères » grandes sœurs étaient penchées sur un petit carton qui m’était fort bien connu ! Les garces !!!! (un seul point d'exclamation, cela dit étant donné qu'il s'agit d'un journal intime, je me demande dans quelle mesure on ne peut pas en mettre en effet plusieurs)
Ce carton contient tes prédécesseurs J-i 8 ! Mes 7 cahiers, griffonnés quotidiennement au fil de ses 7 dernières années !
Comment ont-elles osé ? Pire, comment Maman les a-t-elle laissées faire sans rien dire ??? D’y penser, je sens ma colère qui se décuple (je sens la colère décupler ?) à nouveau ! Je m’apprêtais à déverser sur elles un flot furieux (le mot furieux est de trop je pense) d’injures vertement balancées… mais je n’ai pas eu (attention aux mélanges des temps) le temps de dire quoi que ce soit !
Liz était déjà sur moi, en disant à Léa qu’elle avait tout à fait raison ! Que le changement était évident ! Bien sûr, je ne comprenais rien de rien. De quoi parlait-elle ? C’était sûrement une entourloupe pour échapper à ma colère ! Mais alors, Liz a pris mon visage dans ses mains, m’examinant comme si j’étais un nouvel objet dont elle ne comprenait pas encore l’utilité !!
Puis tout à coup, elle laissa éclater son rire doux et cristallin.
« - Emma chérie, tu es amoureuse !!! »
Dans un même mouvement, mes parents ont tourné leurs têtes de notre côté (vers nous ?). Je me suis mise à rougir de plus belle et mes traitresses de sœurs rirent encore plus fort ! Une colère sans borne était en train de s’emparer de moi (pourquoi est elle en train de s’emparer d’elle, je croyais qu’elle était déjà en colère). Je n’avais plus qu’une envie : m’enfuir de cette maudite pièce !
Imagine-toi l’horreur : Déjà, je n’ai jamais été sur la même longueur d’ondes que le reste de la famille. Ils sont sportifs, fêtards et toujours pleins d’entrain ! Moi, je suis calme. J’aime les livres, la musique classique et le seul sport que j’accepte de pratiquer volontairement, c’est la promenade.
Mes sœurs ont été courtisées dès leurs premières années de collège, alors que jamais un garçon de ma connaissance n’avait franchi le seuil de ma maison. Je sais qu’ils espéraient tous que cela change en entrant au lycée… mais depuis une année et neuf mois que j’y étais, ils commençaient à se faire une raison !
Je n’ai jamais compris en quoi ce pouvait être si important pour moi d’avoir « un mec » ! D’où leur venait cette idée saugrenue qu’on ne pouvait être heureux qu’en compagnie d’un amoureux.
Enfin bref… Je m’apprêtais à nouveau à leur hurler dessus, mais encore une fois, je n’ai pu me défouler ! Mon père qui avait dû sentir ma détresse, ordonna aux « grandes » de filer de suite et d’arrêter avec ça :
« - Je ne veux plus entendre un mot à ce sujet. Emmanuelle a le droit d’avoir ses petits secrets ! »
Ben voyons ! Mais qu’est-ce qu’il s’imaginait lui aussi !
J’ai pris mon carton sous le bras, attrapé mon sac au vol et me suis engouffrée dans l’escalier afin de rejoindre au plus vite ma chambre, où j’avais pu claquer violement la porte et me calmer avec la musique à fond dans les oreilles !
Mais voilà… dans ma chambre, il y avait… mes sœurs !!!
Je les ai entendues avant même de toucher la porte. Liz tentait de convaincre Léa qu’elles obtiendraient plus d’infos si elles ne me mettaient pas en colère. Elles pouvaient toujours rêver !
Je suis entrée comme si elles n’étaient pas là, bien décidée à les ignorer ! Elles ont de suite compris la manœuvre bien sûr. Liz a tenté de me prendre dans ses bras, soit disant désolée de m’avoir fâchée !
Je t’épargne l’heure qui a suivi, parce que vraiment trop barbante !
Maintenant, elles me font toutes les deux la tête. Elles n’ont bien sûr rien appris de moi, je me suis contentée de leur rabâcher qu’elles sont folles à lier, qu’il n’y a rien à raconter !
Cette situation aurait déjà été difficile avec Léa seule, mais le fait que Liz soit revenue empire tout ! Si seulement elle n’avait pas surpris son fiancé avec une autre ! Quel sale enfoiré quand j’y pense. Liz est la femme idéale à défaut d’être la sœur parfaite.
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Je voudrais tout d'abord vous remercier pour le temps que vous m'avez accordé.
Il se fait tard, je reprendrais donc demain tous les éléments que vous avez "souligné" point par point.
Je vois bien l'énormité de certains, d'autres me posent plus problèmes. Peut-être pourrez-vous m'aider à y voir plus clair...
J'ai cependant une question concernant le "don contre don".
Je suis bien incapable de prodiguer des corrections ou des conseils comme vous le faite.
Etant nouvelle, je n'ai fait que survoler votre site pour le moment, mais je m'y atèle autant que je le peux.
Donc, pourriez-vous me dire comment me rendre utile ? Qu'est-ce que je peux faire pour aider à mon tour ?
Vous remerciant encore.
Edwige.
Il se fait tard, je reprendrais donc demain tous les éléments que vous avez "souligné" point par point.
Je vois bien l'énormité de certains, d'autres me posent plus problèmes. Peut-être pourrez-vous m'aider à y voir plus clair...
J'ai cependant une question concernant le "don contre don".
Je suis bien incapable de prodiguer des corrections ou des conseils comme vous le faite.
Etant nouvelle, je n'ai fait que survoler votre site pour le moment, mais je m'y atèle autant que je le peux.
Donc, pourriez-vous me dire comment me rendre utile ? Qu'est-ce que je peux faire pour aider à mon tour ?
Vous remerciant encore.
Edwige.
Edwigemlt- Talent Hasardeux
- Nombre de messages : 13
Localisation : Région Centre
Emploi/loisirs : Vendeuse directe
Votre talent : Écriture
Points : 19
Date d'inscription : 15/04/2010
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Tu sais, je pense que tout le monde est capable de donner son ressenti argumenté sur un texte lu.
Après, évidemment, faire une correction perfectionnée ça requiert un peu plus de connaissance.
Mais pour un auteur, avoir l'avis d'un lecteur lambda est tout aussi constructif qu'un commentaire comme le mien.
La seule chose à bien respecter, c'est d'argumenter son appréciation : dire pourquoi tu as aimé ceci et moins cela.
Tu peux négliger de corriger les fautes de la langue si tu te sens moins apte à le faire.
Sinon, tu peux aussi parler de nous tout autour de toi . La communication, ça n'a pas de prix.
Surtout si on arrive à recruter des collaborateurs qui sauront donner un coup de pouce au projet ID.
Après, évidemment, faire une correction perfectionnée ça requiert un peu plus de connaissance.
Mais pour un auteur, avoir l'avis d'un lecteur lambda est tout aussi constructif qu'un commentaire comme le mien.
La seule chose à bien respecter, c'est d'argumenter son appréciation : dire pourquoi tu as aimé ceci et moins cela.
Tu peux négliger de corriger les fautes de la langue si tu te sens moins apte à le faire.
Sinon, tu peux aussi parler de nous tout autour de toi . La communication, ça n'a pas de prix.
Surtout si on arrive à recruter des collaborateurs qui sauront donner un coup de pouce au projet ID.
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Je reprends donc la site de ton premier post :
Ce fût à ce moment de mes réflexions qu’il posa ses mains sur la peau nue de mes épaules (sur mes épaules nues ? ça me paraît plus simple. Ensuite, si tu veux donner un côté "charnel", tu peux éventuellement rajouter : le contact de ses mains chaudes sur ma peau éveilla......) , et me fît pivoter vers lui. Ses yeux pénétrèrent (plongèrent dans ?) les miens et m’éblouirent, m’emplissant d’une sensation de bien-être. (OUhla. Eblouir me parait un peu exageré, ensuite je ne suis pas sure que ce soit une sensation de bien être .... la coquine )
Il prît mon menton dans sa main…(?) me releva la tête, mon visage entièrement offert à ses pupilles. (Je trouve cette phrase un peu maladroite. Je la supprimerais)
« - Que tu es radieuse dans cette robe, Emmanuelle. » (elle a ausi un joli fauteuil en osier ? rrho, désolée mes références cinématographiques ne sont pas toujours des meilleures )
Il venait de prononcer mon prénom. Comme il sonnait bien, porté par le son de sa voix. (ça j'aime bien)
Il s’était légèrement incliné, plongeant sa tête contre mon cou et inspirant longuement.
« -Ton parfum est si doux. Tu es si désirable. »
Moi, désirable ? J’étais le rat de bibliothèque par excellence et la notion de désir m’était des plus étrangères (ben on dirait pas...la coquine. Et le désir n'est pas forcément physique, de là à dire que ça lui est complétement étranger). Mais ses mots venaient d’éveiller en moi une chaleur qui me prît totalement au dépourvue (dépourvu) ! Cette bouffée d’ardeur s’étendait doucement dans tout mon être, partant de mon cœur pour atteindre le summum de l’incandescence en arrivant au bas ventre.
Je n’avais jamais rien ressenti de tel ! Je perdais complètement pieds, ne parvenant pas vraiment à comprendre tant la situation que ces sensations inédites pour mon corps.
Ses mains encadrèrent mon visage, le guidant vers lui. Comme au ralenti, nos lèvres se rapprochèrent jusqu’à se frôler. L’instant me paraissait durer une éternité, quand soudain il m’embrassât. Ses lèvres, posées sur les miennes étaient douces. Une caresse divine.
Je sentis alors sa langue forcer, délicatement, mes lèvres à s’entrouvrir. (chaud chaud les marrons Finalement ma référence n'était pas si mauvaise) Elle se fraya un chemin jusqu’à ma propre langue. J’ignore ce qu’il (qui ?) me prît alors(virgule ?) mais une fougue inconnue s’empara de moi. Entourant son cou de mes bras, (Enlaçant son cou,...) je l’attirai à moi. Me collant à lui avec frénésie, je lui rendis son baiser.
Il lâcha mon visage, (je supprimerais) mît une main sur mes reins, me maintenant contre lui avec puissance, l’autre agrippant ma nuque. Je haletai maintenant, reprenant difficilement mon souffle. Ma tête tournait et tous mes sens étaient en éveil. Je découvris alors les réactions de certaines parties de mon corps, ignorées jusqu’ici. J’avais chaud, vraiment chaud… partout !
Notre étreinte dura longtemps (point d'accord ! quand la passion te submerge, le temps disparaît (c'est l'émmanuelle qui en moi qui parle)). Ce fût un baiser fougueux et passionné. Il y mît fin brutalement, me faisant reculer d’un pas en me tenant par la taille !
« - Du calme, ma douce. Garde des forces !
Il avait prononcé ces mots avec son sourire enjôleur, devinant (pas finaud le garçon s'il ne se rend pas compte de l'effet qu'il fait sur la fille. Ca parait assez flagrand sans qu'il est besoin de deviner) sans doute ce que cela(maladroit) pouvait provoquer en moi !
« - Nous ne pouvons tout de même pas rester dans la chambre d’Elisabeth,(Élisabeth - É : alt 144) et ta maison est pleine de monde. Je peux t’emmener faire une petite promenade ? »
Il attendait une réponse, mais j’étais incapable de prononcer le moindre son. Alors je lui fis connai(î)tre mon assentiment en opinant de la tête !
(Il attendait une réponse mais j'étais incapable de prononcer le moindre son. Alors j'opinais de la tête.)
Il prît ma main, et m’entrai(î)na à sa suite vers la porte. Il ne fût pas simple de nous éclipser sans que personne ne le remarque.
Après à peine cinq minutes de marche, main dans la main (inutile : tu le dis avant qu'il la prend par la main), nous arrivâmes au bord d’une petite étendue d’eau. C’était romantique à souhait. Les étoiles brillaient au-dessus de nos têtes, les insectes nocturnes chantaient (les grillons ? non, parce que le moustique, j'aime pas du tout "son chant" et ça n'a rien de romantique) et l’air était chaud (il me semble que cette information devrait arriver en premier : Elle constate en premier que l'air est chaud et ensuite elle entend les grillons ).
Nous nous allongeâmes dans l’herbe, l’un contre l’autre. Il m’enlaça, laissant reposer ma tête sur son bras musclé, son corps tourné vers moi. Nous recommençâmes à nous embrasser fougueusement, mêlant nos langues avec désir et entrain (bof, pas tellement sexy pour décrire un baiser).
Ses mains avaient commencés à me caresser le visage, le cou. Glissant ses doigts dans mes cheveux, il défît mon chignon (?,libérant mes cheveux?)et mes cheveux se répandirent tout autour de ma tête.
L’heure (Le temps ?) s’était comme arrêtée, et je ne saurais dire depuis combien de temps nous étions là.
Sa main libre délaissa mes cheveux pour se frayer un chemin, tout en frôlant ma peau, jusqu’à ma poitrine. Ce ne fût qu’une fois mon sein fermement emprisonné par sa main que je me rendis compte qu’ici également, il y avait des différences. Jamais encore mes mamelons ne s’étaient durcis de la sorte. Le froid bien évidement avait déjà fait son effet auparavant, mais la sensation était complètement différente.
(les répétitions rendent lourd ce passage qui devrait pourtant refleter la délicatesse et la sensualité)
Ce fût à ce moment de mes réflexions qu’il posa ses mains sur la peau nue de mes épaules (sur mes épaules nues ? ça me paraît plus simple. Ensuite, si tu veux donner un côté "charnel", tu peux éventuellement rajouter : le contact de ses mains chaudes sur ma peau éveilla......) , et me fît pivoter vers lui. Ses yeux pénétrèrent (plongèrent dans ?) les miens et m’éblouirent, m’emplissant d’une sensation de bien-être. (OUhla. Eblouir me parait un peu exageré, ensuite je ne suis pas sure que ce soit une sensation de bien être .... la coquine )
Il prît mon menton dans sa main…(?) me releva la tête, mon visage entièrement offert à ses pupilles. (Je trouve cette phrase un peu maladroite. Je la supprimerais)
« - Que tu es radieuse dans cette robe, Emmanuelle. » (elle a ausi un joli fauteuil en osier ? rrho, désolée mes références cinématographiques ne sont pas toujours des meilleures )
Il venait de prononcer mon prénom. Comme il sonnait bien, porté par le son de sa voix. (ça j'aime bien)
Il s’était légèrement incliné, plongeant sa tête contre mon cou et inspirant longuement.
« -Ton parfum est si doux. Tu es si désirable. »
Moi, désirable ? J’étais le rat de bibliothèque par excellence et la notion de désir m’était des plus étrangères (ben on dirait pas...la coquine. Et le désir n'est pas forcément physique, de là à dire que ça lui est complétement étranger). Mais ses mots venaient d’éveiller en moi une chaleur qui me prît totalement au dépourvue (dépourvu) ! Cette bouffée d’ardeur s’étendait doucement dans tout mon être, partant de mon cœur pour atteindre le summum de l’incandescence en arrivant au bas ventre.
Je n’avais jamais rien ressenti de tel ! Je perdais complètement pieds, ne parvenant pas vraiment à comprendre tant la situation que ces sensations inédites pour mon corps.
Ses mains encadrèrent mon visage, le guidant vers lui. Comme au ralenti, nos lèvres se rapprochèrent jusqu’à se frôler. L’instant me paraissait durer une éternité, quand soudain il m’embrassât. Ses lèvres, posées sur les miennes étaient douces. Une caresse divine.
Je sentis alors sa langue forcer, délicatement, mes lèvres à s’entrouvrir. (chaud chaud les marrons Finalement ma référence n'était pas si mauvaise) Elle se fraya un chemin jusqu’à ma propre langue. J’ignore ce qu’il (qui ?) me prît alors(virgule ?) mais une fougue inconnue s’empara de moi. Entourant son cou de mes bras, (Enlaçant son cou,...) je l’attirai à moi. Me collant à lui avec frénésie, je lui rendis son baiser.
Il lâcha mon visage, (je supprimerais) mît une main sur mes reins, me maintenant contre lui avec puissance, l’autre agrippant ma nuque. Je haletai maintenant, reprenant difficilement mon souffle. Ma tête tournait et tous mes sens étaient en éveil. Je découvris alors les réactions de certaines parties de mon corps, ignorées jusqu’ici. J’avais chaud, vraiment chaud… partout !
Notre étreinte dura longtemps (point d'accord ! quand la passion te submerge, le temps disparaît (c'est l'émmanuelle qui en moi qui parle)). Ce fût un baiser fougueux et passionné. Il y mît fin brutalement, me faisant reculer d’un pas en me tenant par la taille !
« - Du calme, ma douce. Garde des forces !
Il avait prononcé ces mots avec son sourire enjôleur, devinant (pas finaud le garçon s'il ne se rend pas compte de l'effet qu'il fait sur la fille. Ca parait assez flagrand sans qu'il est besoin de deviner) sans doute ce que cela(maladroit) pouvait provoquer en moi !
« - Nous ne pouvons tout de même pas rester dans la chambre d’Elisabeth,(Élisabeth - É : alt 144) et ta maison est pleine de monde. Je peux t’emmener faire une petite promenade ? »
Il attendait une réponse, mais j’étais incapable de prononcer le moindre son. Alors je lui fis connai(î)tre mon assentiment en opinant de la tête !
(Il attendait une réponse mais j'étais incapable de prononcer le moindre son. Alors j'opinais de la tête.)
Il prît ma main, et m’entrai(î)na à sa suite vers la porte. Il ne fût pas simple de nous éclipser sans que personne ne le remarque.
Après à peine cinq minutes de marche, main dans la main (inutile : tu le dis avant qu'il la prend par la main), nous arrivâmes au bord d’une petite étendue d’eau. C’était romantique à souhait. Les étoiles brillaient au-dessus de nos têtes, les insectes nocturnes chantaient (les grillons ? non, parce que le moustique, j'aime pas du tout "son chant" et ça n'a rien de romantique) et l’air était chaud (il me semble que cette information devrait arriver en premier : Elle constate en premier que l'air est chaud et ensuite elle entend les grillons ).
Nous nous allongeâmes dans l’herbe, l’un contre l’autre. Il m’enlaça, laissant reposer ma tête sur son bras musclé, son corps tourné vers moi. Nous recommençâmes à nous embrasser fougueusement, mêlant nos langues avec désir et entrain (bof, pas tellement sexy pour décrire un baiser).
Ses mains avaient commencés à me caresser le visage, le cou. Glissant ses doigts dans mes cheveux, il défît mon chignon (?,libérant mes cheveux?)et mes cheveux se répandirent tout autour de ma tête.
L’heure (Le temps ?) s’était comme arrêtée, et je ne saurais dire depuis combien de temps nous étions là.
Sa main libre délaissa mes cheveux pour se frayer un chemin, tout en frôlant ma peau, jusqu’à ma poitrine. Ce ne fût qu’une fois mon sein fermement emprisonné par sa main que je me rendis compte qu’ici également, il y avait des différences. Jamais encore mes mamelons ne s’étaient durcis de la sorte. Le froid bien évidement avait déjà fait son effet auparavant, mais la sensation était complètement différente.
(les répétitions rendent lourd ce passage qui devrait pourtant refleter la délicatesse et la sensualité)
Re: Commentaires de J-i 8 par Edwigemlt
Je poursuis et termine la fin de ton premier post :
Giani me caressait tout le buste (je supprimerais), abandonnant par moment mes seins pour effleurer du bout des doigts la peau de mon ventre, de mes côtes avant de retourner à ma poitrine (il fait une fixette sur la poitrine le coquin !). Les frissons qu’il me (que ses caresses) provoquait étaient presque insoutenables ! Je sentais que mon corps était en attente… mais je ne savais pas comment le contenter. Ceci dit, cela ne me tracassait pas (bof). Giani avait l’air de savoir très précisément comment déclencher et assouvir à la fois tous ces élans imprévisibles qui prenaient possession de moi.
De toute mon existence, je ne m’étais encore jamais sentie aussi bien qu’en cet instant, dans ses bras ! J’aurais voulu que le temps se fixe dans l’éternité… qu’il ne cesse pas de m’embrasser et de me caresser de la sorte.
Bien sûr, cela n’était pas possible. Lorsqu’il se redressa sur le coude, je crus défaillir de déception à l’idée qu’il s’arrête… Mais il n’en fît rien. Au contraire, son baisée (baiser) devint plus insistant. Sa main continuait de me caresser (encore ?), mais avec plus de vigueur. J’avais senti que quelque chose avait changé sans que je comprenne quoi. (depuis tout à l'heure elle comprend pas grand chose. Elle est plutot passive.)
C’est alors que sa main était descendue…
Sa respiration se ralentît. Ses gestes se firent plus doux qu’auparavant. Sa main glissait le long de ma cuisse, tantôt me pressant, tantôt me frôlant. C’était absolument inouï de délice. (c'est le moment où je deviens toute rouge ?)
Lorsque ses doigts arrivèrent au bas de ma robe, il la remonta tout doucement vers mon bassin. Sa main continua de découvrir mon corps. Ma peau s’était couverte de chair de poule, tandis qu’elle-même percevait pour la première fois le véritable bonheur d’être touchée par une main d’homme.
Giani continuait de m’embrasser, sans relâche, tandis que d’une poigne ferme et assurée, il ne se rassasiait pas de toucher, d’effleurer me(s) fesses rebondies, mes cuisses, mon ventre et son incendie de plus en plus empressé.
Je le sentis soudain hésiter. Pour la première fois, il n’avait pas l’air sûr de ce qu’il allait faire. Craignant par-dessus tout qu’il ne s’interrompe, je retrouvais ma voix :
« - S’il-te-plait, ne t’arrête pas ! » Mon ton était presque suppliant.
Sa main se glissa alors entre mes jambes, se posant en douceur sur mon intimité…
En un quart de seconde………………………………………………………………………
Je me suis réveillée dans mon lit, en sueur, complètement perdue !!!
J'ai trouvé ce passage trop long personnellement. Trop de : caresses, de frolements, de ... je remonte et je descends la main.... trop peur qu'il arrête... enfin bref une répétition qui fatigue un peu.
c'est mon ressentit. Cette scene (qui finalement, n'est qu'un rêve) pourrait être un peu élaguée pour garder un certain rythme.
Giani me caressait tout le buste (je supprimerais), abandonnant par moment mes seins pour effleurer du bout des doigts la peau de mon ventre, de mes côtes avant de retourner à ma poitrine (il fait une fixette sur la poitrine le coquin !). Les frissons qu’il me (que ses caresses) provoquait étaient presque insoutenables ! Je sentais que mon corps était en attente… mais je ne savais pas comment le contenter. Ceci dit, cela ne me tracassait pas (bof). Giani avait l’air de savoir très précisément comment déclencher et assouvir à la fois tous ces élans imprévisibles qui prenaient possession de moi.
De toute mon existence, je ne m’étais encore jamais sentie aussi bien qu’en cet instant, dans ses bras ! J’aurais voulu que le temps se fixe dans l’éternité… qu’il ne cesse pas de m’embrasser et de me caresser de la sorte.
Bien sûr, cela n’était pas possible. Lorsqu’il se redressa sur le coude, je crus défaillir de déception à l’idée qu’il s’arrête… Mais il n’en fît rien. Au contraire, son baisée (baiser) devint plus insistant. Sa main continuait de me caresser (encore ?), mais avec plus de vigueur. J’avais senti que quelque chose avait changé sans que je comprenne quoi. (depuis tout à l'heure elle comprend pas grand chose. Elle est plutot passive.)
C’est alors que sa main était descendue…
Sa respiration se ralentît. Ses gestes se firent plus doux qu’auparavant. Sa main glissait le long de ma cuisse, tantôt me pressant, tantôt me frôlant. C’était absolument inouï de délice. (c'est le moment où je deviens toute rouge ?)
Lorsque ses doigts arrivèrent au bas de ma robe, il la remonta tout doucement vers mon bassin. Sa main continua de découvrir mon corps. Ma peau s’était couverte de chair de poule, tandis qu’elle-même percevait pour la première fois le véritable bonheur d’être touchée par une main d’homme.
Giani continuait de m’embrasser, sans relâche, tandis que d’une poigne ferme et assurée, il ne se rassasiait pas de toucher, d’effleurer me(s) fesses rebondies, mes cuisses, mon ventre et son incendie de plus en plus empressé.
Je le sentis soudain hésiter. Pour la première fois, il n’avait pas l’air sûr de ce qu’il allait faire. Craignant par-dessus tout qu’il ne s’interrompe, je retrouvais ma voix :
« - S’il-te-plait, ne t’arrête pas ! » Mon ton était presque suppliant.
Sa main se glissa alors entre mes jambes, se posant en douceur sur mon intimité…
En un quart de seconde………………………………………………………………………
Je me suis réveillée dans mon lit, en sueur, complètement perdue !!!
J'ai trouvé ce passage trop long personnellement. Trop de : caresses, de frolements, de ... je remonte et je descends la main.... trop peur qu'il arrête... enfin bref une répétition qui fatigue un peu.
c'est mon ressentit. Cette scene (qui finalement, n'est qu'un rêve) pourrait être un peu élaguée pour garder un certain rythme.
Sujets similaires
» Edwigemlt
» Commentaires Dé-lifting
» Commentaires de Babel
» Commentaires sur Origines
» Commentaires sur EMELYNE
» Commentaires Dé-lifting
» Commentaires de Babel
» Commentaires sur Origines
» Commentaires sur EMELYNE
IMPERIALDREAMER :: Ecrire et lire :: Romans :: Commentaires
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|