Commentaire pour "les roses de Rafah"
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Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
Envoi 1 :
=> suggestion : invectif ?
On sent un peu la même atmosphère que pour "Les yeux de Nouria".
Ce n'est pas déplaisant, mais ça manque un peu d'originalité. Surtout quand ça commence par une capture et une tentative de viol.
On sent que ce milicien, le plus âgé, n'est pas insensible à la jeune femme.
Je ne sais pas s'il va se développer une histoire d'amour, mais je n'en serais toutefois pas étonné .
A suivre !
=> colérique, c'est peut-être trop "fort" pour la simple phrase. Je sais pas, colérique je le vois plus sur une longue constation. Un caractère colérique que l'on peut vraiment confirmer au bout de plusieurs répliques...Il n’avait pas crié, mais le ton de sa voix, colérique,
=> suggestion : invectif ?
=> suggestion : "ses yeux noir et soucieux etc." histoire d'éviter le "soucieux" qui tombe un peu de nulle part.Ses yeux noirs se posèrent sur la prisonnière, soucieux.
=> un "pas" de trop.L’Israélienne n’avait pas saisi pas grand-chose de la discussion
=> c'est la lame qui s'ouvre ?
lorsque la lame blanche, étincelante, s’ouvrit dans un déclic métallique.
=> commentne sachant comme interpréter ce geste inattendu.
On sent un peu la même atmosphère que pour "Les yeux de Nouria".
Ce n'est pas déplaisant, mais ça manque un peu d'originalité. Surtout quand ça commence par une capture et une tentative de viol.
On sent que ce milicien, le plus âgé, n'est pas insensible à la jeune femme.
Je ne sais pas s'il va se développer une histoire d'amour, mais je n'en serais toutefois pas étonné .
A suivre !
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
merci paco
oh, la tentative de viol, nan... pas franchement. Les gamins s'amusent plutot à lui faire peur. Bon, elle, elle le prend comme ça, c'est clair.
Juste pour précision, ça été écrit avant les yeux de Nouria.
Et oui, c'est un peu beaucoup dans la même veine, dans le même thème (mais ça je le dis en préambule, les trois romans que j'ai là tournent autour du même sujet au fond : Salim pourrait très bien être le petit fils de Khalil et un cousin éloigné de Hakim dans Et la lune au milieu) sauf que c'est actuel.
et oui, c'est une histoire d'amour ( je ne vais pas m'en cacher, le suspens n'est pas là : c'est plutôt comment ils vont faire, le sujet !)
Donc question originalité, ma foi, je ne vais pas révolutionner roméo et juliette, c'est clair. Et c'est pas le but. le thème de l'amour impossible est universel. J'ai la faiblesse d'esprit de croire qu'il se suffit à lui même.
Pas insensible ? Parce qu'il la pelote ? hihi ?
oh, la tentative de viol, nan... pas franchement. Les gamins s'amusent plutot à lui faire peur. Bon, elle, elle le prend comme ça, c'est clair.
Juste pour précision, ça été écrit avant les yeux de Nouria.
Et oui, c'est un peu beaucoup dans la même veine, dans le même thème (mais ça je le dis en préambule, les trois romans que j'ai là tournent autour du même sujet au fond : Salim pourrait très bien être le petit fils de Khalil et un cousin éloigné de Hakim dans Et la lune au milieu) sauf que c'est actuel.
et oui, c'est une histoire d'amour ( je ne vais pas m'en cacher, le suspens n'est pas là : c'est plutôt comment ils vont faire, le sujet !)
Donc question originalité, ma foi, je ne vais pas révolutionner roméo et juliette, c'est clair. Et c'est pas le but. le thème de l'amour impossible est universel. J'ai la faiblesse d'esprit de croire qu'il se suffit à lui même.
Pas insensible ? Parce qu'il la pelote ? hihi ?
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
Une série d’explosions, très proche(s)(mais là je ne sais pas trop, en effet c'est la série qui est proche mais en même temps il me parait plus judicieux d'accorder proche avec explosions. Faudrait demander à Azul), réveilla Sarah en sursaut. Malgré l’inconfort de ses poignets entravés, elle avait réussi à s’assoupir durant quelques heures. Allongée dans un coin de la pièce vidée de tout mobilier, à même le sol, elle frissonnait dans les courants d’air froid. Ses ravisseurs ne lui avaient pas même laissé une couverture pour la nuit.
Le plus âgé des trois Palestiniens, réveillé lui aussi par les impacts d’obus menaçants, avait bondi vers son compagnon qui tirait une rafale d’une vieille arme automatique par une fenêtre au carreau cassé.
« Imbécile, tu vas nous faire repérer ! Et on n’a pas une tonne de munitions ! »
Il n’avait pas crié, mais le ton de sa voix, colérique, lui suffit à se faire obéir. Le fautif s’éloigna en grognant. Son aîné jeta un regard inquiet au-dehors. L’aube se levait sur la ville transie de froid. La nuit avait connu son lot de bombardements habituels[color=red(pareil, cest le lot qui est habituel mais là tu accordes avec bombardements.),[/color] plus ou moins lointains. À cette heure matinale, les rues étaient désertes et risquaient de le rester (de perdurer toute la journée ?) pour la journée.
Après un long soupir, il se retourna vers l’intérieur de leur abri, un appartement situé au troisième et dernier étage d’une petite bâtisse plantée au bout de la voie. L’Israélienne pouvait, pour la première fois, détailler les traits de l’individu qui la tenait (retenait) prisonnière depuis la veille au soir. Une barbe de quelques jours ombrait ses joues émaciées. Son visage, pâle, marqué par la fatigue et le stress, était (d'une nature ?) agréable et révélait sa jeunesse. Elle ne lui donnait pas plus de vingt-cinq ans. Ses cheveux bruns coupés courts étaient lisses et pointaient en tout sens, comme ébouriffés. Il portait un keffieh noir et blanc enroulé autour du cou. En civil et non en treillis, il était d’une taille moyenne, mince sous ses vêtements couverts(recouverts ?) de poussière. Seule sa veste, d’une couleur kaki,(je dirais sa veste kaki pour simplifier) ressemblante (similaire ? semblable à ?) à une vareuse, lui conférait une vague allure militaire et, surtout, comme l’adolescent qu’il avait sermonné, il tenait à la main une arme automatique vétuste. (très longue la phrase)
Ses yeux noirs se posèrent sur la prisonnière (captive ?) ,soucieux (je trouve que le mot soucieux est mal placé mais je ne vois pas où l’inclure pour changer les choses, peut-être : ses yeux noirs et soucieux se posèrent …). Ses deux acolytes, de dix-sept ans, avaient été très fiers de leur capture (prise ?) en rentrant de leur tournée d’inspection, mais la détention de cette Israélienne ne l’enchantait guère. Si cela n’avait tenu qu’à lui, il l’aurait laissée repartir. Mais, une fois introduite dans leur abri, la chose était impensable. (la chose n’était plus faisable ?)
Son arrivée, la veille, dans ce petit appartement, alors qu’il faisait déjà nuit, lui restait en mémoire, indélébile. Les yeux bandés, les poignets ligotés avec du câble électrique, elle avait été conduite par les deux adolescents, très excités. La troisième voix qu’elle avait entendue, après avoir passé la porte de cet abri de fortune, lui avait semblé plus âgée. L’homme semonçait, à voix basse, ses acolytes. L’Israélienne connaissait un peu l’arabe, juste de quoi comprendre dans cette brève dispute que le plus âgé des trois Palestiniens n’appréciait guère de devoir se charger d’elle.
Effrayée, elle n’avait pas pris cette contrariété pour une bonne nouvelle. Elle avait sursauté lorsqu’une main, sans prévenir, (j'inverserais : elle avait sursauté lorsque, sans prévenir, une main…) lui avait ôté le bandeau serré (le bandeau qui masquait ses yeux ?) autour des yeux. L’obscurité (la pénombre plutôt non ?) qui régnait dans le logement ne lui avait révélé qu’une silhouette masculine et des yeux noirs brillants. L’homme la dévisageait en silence et, toujours sans parler (forcement puisque tu dis qu’il l’observe en silence, donc il ne parle pas), une cigarette coincée au bord des lèvres, entreprenait (il entreprit ou il avait entreprit de la fouiller ? y a un truc qui bloque au niveau temps) de la fouiller. Il l’avait fait méthodiquement, sans se gêner pour inspecter sa poitrine ou son entrejambe sans plus (sans le moindre égard ?) d’égard.
Au niveau de répétitions, je n'ai pas souligné mais jai relevé 17 fois le verbe avoir (elle avait ceci, il avait cela)
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
merci
normal les 17 "avoir", ce sont de splus que parfait ! et oui, flash back, donc forcément écrit au plus que parfait. Avoir n'es tpas utilisé comme un verbe là, mais comme auxiliaire.
Je regarderai plus en détail demain tes corrections (là je bosse, pas trop le temps ni la tête)
normal les 17 "avoir", ce sont de splus que parfait ! et oui, flash back, donc forcément écrit au plus que parfait. Avoir n'es tpas utilisé comme un verbe là, mais comme auxiliaire.
Je regarderai plus en détail demain tes corrections (là je bosse, pas trop le temps ni la tête)
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
La femme n’avait pu retenir un long tremblement lorsque la main, (pas de virgule : la main rude) rude, du Palestinien (de l’homme pour éviter de trop répéter palestinien) s’était attardée sur l’un de ses seins, laissant la deuxième s’activer à une recherche plus sérieuse. Il l’avait fait s’asseoir dans ce coin qu’elle occupait encore et avait entrepris de fouiller son sac de secours. Il n’y avait trouvé que différents ustensiles (ustensiles de quoi ? de cuisine ?) et flacons (de quoi ? de parfum ?), il l’avait jeté au fond de la pièce (de quoi ? le sac ou la fille ?) et s’était rassis près de la fenêtre.
Sarah était restée immobile, inquiète (seulement inquiete ? elle panique même pas un peu ?) de ce qui allait se passer,(je mettrais un point : Pourtant l’homme semblait se désintéresser totalement d’elle ?) mais l’homme semblait (je croyais que tu m’avais dit d’éviter d’utiliser ce type de verbe ) se désintéresser d’elle, le regard fixé sur la rue, dehors. Les deux adolescents discutaient entre eux (entre eux n’est peut-être pas forcement utile, on se doute bien qu’ils ne discutent pas seuls chacun de leur côté), à voix basse et lui jetaient de fréquents regards qu’elle ne savait décrypter (dont elle était incapable de comprendre la signification ? qu’elle était incapable de decrypter ?). Épuisée, elle avait fini par sombrer dans un sommeil agité.
Elle s’était réveillée en sursaut. La peur lui avait arraché un cri aigu qu’une main, sur sa bouche, avait aussitôt étouffé. Ses deux plus jeunes ravisseurs étaient autour d’elle et riaient nerveusement de la frayeur qu’ils lui avaient faite ainsi (le "ainsi", je ne comprends pas ce qu’il fait là). Ils avaient sursauté pourtant, à leur tour (j'inverserais : A leur tour, ils avaient sursauté lorsque), lorsque la voix courroucée de leur aîné s’était élevée. L’Israélienne n’avait pas saisi pas grand-chose de la discussion énervée (houleuse ?) entre les trois Palestiniens (hommes ?). Ceux-ci utilisaient un vocabulaire qu’elle devinait peu châtié. Sans se lever, le plus âgé s’était fait obéir. Les adolescents avaient rejoint leur couchage en maugréant.
Sarah avait adressé un infime (discret ?) hochement de tête en guise de remerciement à l’homme qui venait de lui épargner un mauvais moment. Il n’y avait pas répondu (Sans même se donner la peine d’y répondre, il s’était replongé… ?) et s’était replongé dans l’observation silencieuse de la ville bombardée.
Plus tard, elle l’avait observé, dans la nuit froide, assis dans un coin de la pièce, fumant un mauvais tabac et semblant réfléchir à leur situation (trop longue comme phrase, on a du mal à suivre tellement il y a de détails et pas forcément mis dans le bon ordre). Au moins, paraissait-il d’une nature calme et posée (Je virerais le « au moins » : Il paraissait d’une naturel calme et posée). Elle se raccrochait à cette impression pour se rassurer. (peut-être se méprenait-elle mais se raccrocher à cette idée la rassurait ?)
répétition avait : 16 fois
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
J'entends bien mais certains phrases pourraient s'en alléger.normal les 17 "avoir", ce sont de splus que parfait !
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
difficile... p'tre sur deux ou trois en changeant la formulation, mais pas plus
c'est le souci des flash backs... si je repasse au passé simple, y'a confusion sur la période où se passent els évènements.
c'est le souci des flash backs... si je repasse au passé simple, y'a confusion sur la période où se passent els évènements.
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
Avis aux futurs lecteurs :
Arwen ayant quitté le forum pour des raisons personnelles, il est plus que probable qu'elle ne réponde plus à vos interventions.
Au plaisir,
Arwen ayant quitté le forum pour des raisons personnelles, il est plus que probable qu'elle ne réponde plus à vos interventions.
Au plaisir,
Re: Commentaire pour "les roses de Rafah"
Je remettrai en ligne ce roman plus tard. Pour l'instant, ça reste en stand-by.
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