Clio Kelly tome 1 :)

Voici le prologue de mon histoire, je travail depuis six ans sur une série le premier tome étant achevers je chercher un éditeur j'ai une proposition en vue si le roman réecrit leur plait je serais édité chez eux



Il faisait très chaud par cette belle journée de Juin. Le soleil brillait, et il y avait une légère brise qui rafraîchissait les jeunes bergers gardant leurs troupeaux. Toutefois, ni les jeunes bergers, ni personne d’autre ne se doutait que cette belle journée allait se terminer dans le sang. Venant du village d’Ubas, près de la Commune de Saint Étienne de Limoges, de jeunes enfants couraient dans l’herbe, et se laissaient tomber pour sentir la douce odeur de la végétation.
Parmi tous les bambins qui composaient le groupe, se trouvait une jeune fille d’une extrême beauté. Avec des longs cheveux flottant au vent, ses grands yeux verts débordaient d’une douce innocence. Elle courait avec tous les enfants, et s’allongeait dans la prairie les yeux fermés goûtant au plaisir de l’enfance insouciance. Tout semblait aller pour le mieux ! Dans l’un des troupeaux, se trouvait un tout jeune agneau qui allait sceller à jamais l’une des plus grandes séries de meurtres jamais élucidées.
La chaleur en ce début de juin était des plus lourdes, et l’animal n’avait qu’une seule idée en tête : faire comme tous les petits de son espèce, et aller gambader dans la forêt. Après quelques secondes d’hésitation, c’est bien ce qu’il fit, et avec la rapidité d’un loup, il réussit à échapper à ses gardes.
S’apercevant de la fuite de l’agneau, elle se leva, étant la plus âgés de tous les gardiens, elle se lança à la poursuite du fuyard. Elle se dirigea dans la direction qu’il avait prise. Malheureusement, il s’enfonça dans la forêt, et malgré l’interdiction des adultes refusaient que les enfants s’aventure seuls dedans, (elle s’y engagea derrière lui.
S’enfonçant en oubliant toute prudence, elle balaya du regard l’endroit où elle se trouvait à la recherche de son fuyard.
Lorsqu’elle l’aperçut, se trouvait en contrebas, près d’un carré d’herbes et en dégustait avec un plaisir évident. Elle poussa un soupir et descendit dans le trou, mais lorsqu'elle posa le pied sur ce qu’elle croyait être de la terre solide, elle fit un plongeon dans ce qui se révéla être un étang. Lorsqu’elle refit surface, elle pesta, et se mit à nager jusqu’à l’agneau, qu’elle prit dans ses bras.
Elle commença alors à remonter la pente quand soudain, elle entendit des branches mortes craquer comme si l’on avait marché dessus. Tendant l’oreille, elle identifia deux sons différents. Le premier étant des bruits de pas, sans pour autant parvenir à identifier le second. Cependant cela ne l’empêcha pas de continuer à grimper.
La pente était trop raide, et les bruits de pas se rapprochaient, ce qui l’inquiéta car les pas étaient trop bruyants pour être ceux d’un de ses camarades qui serait venu à sa rencontre. La gorge sèche, une panique que la bergère jugea irraisonné l’envahit, sans même qu’elle ne s’en rende compte (aperçoive), elle libéra son prisonnier et accentua sa prise pour sortir de sa prison d’eau.
Tirant pour se hisser sur le rebord, la branche qui la soutenait émit un craquement sinistre et céda sous son poids, la replongeant dans l’eau. Se débattant dans le liquide boueux, elle donna plusieurs coups de pieds pour remonter à la surface. Toussant et crachant, elle tenta de reprendre son souffle. Ses yeux recouverts par la vase lui donnèrent la nausée, d’une main elle chassa ce qu’elle put de sa peau, tandis que sa main tâtonnait devant elle à la recherche d’un soutien.
Son corps cependant se figea en sentant une présence derrière elle, les battements de son cœur résonnèrent comme des tambours à ses oreilles, un souffle brûlant lui parcourut l’échine. Celui-ci n’appartenait en rien à un humain, ni à un animal qu’elle connaissait. Prise de tremblements, elle se tourna lentement.
Son sang se glaça dans ses veines, lorsque son regard rencontra deux immenses yeux jaunes, ne pouvant détacher son regard de ses iris elle ne vit pas la gueule de crocs aiguisés qui lui transperça la gorge. Un flot de sang chaud coula le long de son corps, étouffé par son fluide de vie, aucun son ne put sortir de ses lèvres lorsque la Bête entreprit de la dévorer.
C’est ainsi que mourut la première victime de la Bête qui fut connue par la suite sous le nom de « La Bête du Gévaudan ».

Angeblack a écrit:

Chapitre 1
Prologue

Le 30 Juin 1764. Nord entre Aubrac et Margeride.

Il faisait très chaud par cette belle journée de Juin. Le soleil brillait, et il y avait une légère brise qui rafraîchissait les jeunes bergers gardant leurs troupeaux. Toutefois, ni les jeunes bergers, ni personne d’autre ne se doutait que cette belle journée allait se finir (se terminer) dans le sang. Venant du village d’Ubas, près de la Commune de Saint Étienne de Limoges, de jeunes enfants couraient dans l’herbe, et se laissaient tomber pour sentir la douce odeur de la végétation.
Parmi tous les bambins qui composaient le groupe, se trouvait une jeune fille d’une extrême beauté. Avec des longs cheveux flottant au vent, ses grands yeux verts débordaient d’une douce innocence. Elle courait avec tous les enfants, et s’allongeait dans la prairie en les yeux fermés (je crois que le "en" est de trop )goûtant au plaisir de l’enfance insouciance. Tout semblait aller pour le mieux ! Dans l’un des troupeaux, se trouvait un tout jeune agneau qui allait sceller à jamais l’une des plus grandes séries de meurtres jamais élucidées.
La chaleur en ce début de juin était des plus lourdes, et l’animal n’avait qu’une seule idée en tête : faire comme tous les petits de son espèce, et aller gambader dans la forêt. Après quelques secondes d’hésitation, c’est bien ce qu’il fit, et avec la rapidité d’un loup, il réussit à échapper à ses gardes.
S’apercevant de la fuite de l’agneau, elle se leva, étant la plus âgés de tous les gardiens, elle se lança à la poursuite du fuyard. Elle se dirigea dans la direction qu’il avait prise. Malheureusement, il s’enfonça dans la forêt, et malgré l’interdiction des adultes refusaient que les enfants s’aventure seuls dedans, (oulah, ça va pas trop... " et malgré l'interdiction des adultes refusant aux enfants de s'aventurer dedans" ou rajoute un "qui" après "adultes") elle s’y engagea derrière lui.
S’enfonçant en oubliant toute prudence, elle balaya du regard l’endroit où elle se trouvait à la recherche de son fuyard.
Lorsqu’elle l’aperçut, (il) se trouvait en contrebas, près d’un carré d’herbes et en dégustait avec un plaisir évident. Elle poussa un soupir et descendit dans le trou, mais lorsqu'elle posa le pied sur ce qu’elle croyait être de la terre solide, elle fit un plongeon dans ce qui se releva révéla être un étang. Lorsqu’elle refit surface (Refaisant surface), elle pesta, et se mit à nager jusqu’à l’agneau, qu’elle prit dans ses bras.
Elle commença alors à remonter la pente quand soudain, elle entendit des branches mortes craquer comme si l’on avait marché dessus. Tendant l’oreille, elle identifia deux sons différents. Le premier étant des bruits de pas, sans pour autant parvenir à identifier le deuxième (second). Cependant cela ne l’empêcha pas de continuer à grimper.
La pente était trop raide, et les bruits de pas se rapprochaient, ce qui l’inquiéta car les pas (répétition. A remplacer, ex: "la démarche") étaient trop bruyants pour être ceux d’un de ses camarades qui serait venu à sa rencontre. La gorge sèche, une panique que la bergère jugea irraisonné l’envahit, sans même qu’elle ne s’en rende compte (aperçoive), elle libéra son prisonnier et accentua sa prise pour sortir de sa prison d’eau.
Tirant pour se hisser sur le rebord, la branche qui la soutenait émit un craquement sinistre et céda sous son poids, la replongeant dans l’eau. Se débattant dans le liquide boueux, elle donna plusieurs coups de pieds pour remonter à la surface. Toussant et crachant, elle tenta de reprendre son souffle. Ses yeux recouverts par la vase lui donnèrent la nausée, d’une main elle chassa ce qu’elle put de sa peau, tandis que sa main tâtonnait devant elle à la recherche d’un soutien.
Son corps cependant se figea en sentant une présence derrière elle, les battements de son cœur raisonnèrent résonnèrent comme des tambours à ses oreilles, un souffle brûlant lui parcourut l’échine. Celui-ci n’appartenait en rien à un humain, ni à un animal qu’elle connaissait. Prise de tremblements, elle se tourna lentement.
Son sang se glaça dans ses veines, lorsque son regard rencontra deux immenses yeux jaunes, ne pouvant détacher son regard de ses yeux (répétition... ex: "de ses prunelles/pupilles"), elle ne vit pas la gueule de crocs aiguisés qui lui transperça la gorge. Un flot de sang chaud coula le long de son corps, étouffé par son fluide de vie, aucun son ne put sortir de ses lèvres lorsque la Bête entreprit de la dévorer.
C’est ainsi que mourut la première victime de la Bête qui fut connue par la suite sous le nom de « La Bête du Gévaudan ».

Intéressant comme histoire . Je m'en doutais avant la fin, mais il m'a fallu la dernière phrase pour confirmer.
Bon, il y a quelques erreurs, mais tu connais la politique de la maison? Tout ce qu'on te souligne, te réécrit, ce n'est que dans le but que tu t'améliores et que ça rende quelque chose de bon. Tu m'as dis en plus que tu étais tenté par l'édition. As-tu fais attention aux rubriques des éditeurs? Elles te donneront un solide point de départ, plus les cours. Et sans être indiscret, quelle est le nom de cette maison qui est intéressée?

Bref. J'ai remarqué deux gros problème. Le "se" que tu confonds avec le "ce" et une forme un peu lourde que tu utilises souvent "ceci étant" "ce qui fit que" etc... Le premier se corrige en relisant et en apprenant ses leçons des différences entre "se" et "ce" . Le deuxième, tu dois utiliser une liste de mots ou de verbes qui remplace bien souvent ces "ce qui" et ces "ce étant". Tu verras. On peut t'aider à améliorer tout ça.
Intéressée?

Merci Je recherche un correcteur comme je fais beaucoup d'erreur :p je vais déja corriger ce que tu ma fait et je t'en remerci

Il n'y a pas de souci les éditions du petit caveau. Mais comme j'ai écris une nouvelle version je ne sais pas si s'est toujours d'accord j'attend donc.

Aurais-tu vu le Pacte des Loups, par pur hasard ?
Ce passage ressemble énormement à l'une des scènes du film (du début, si je me souviens bien).
D'ailleurs je comptais te faire la remarque jusqu'à ce que je tombe sur la dernière phrase, et maintenant je suis très perplexe

Sinon, j'aime bien ton style, mais je n'ai malheureusement pas réussit à entrer dans l'action (du fait que l'on ne connais pas les sentiments du personnage). C'est d'ailleurs d'autant plus ressemblant au cinéma, tu ne décris que le côté "physique" de la scène.
Enfin, c'est le prologue, donc je pense que c'est normal que le côté "émotions/perception" soit moins décrit que dans le reste du texte. Mais deux ou trois petites infos sur l'état psychologique du personnage seraient les bienvenues

Je dis ça, mais je ne suis en rien un "pro", et mes avis en vallent d'autres !
Je ne juge pas pour le moment, j'attends la suite

J'ai également vu ce film mais je me suis inspirer de fais réelle, la scène qui se passe dans le film on voit une jeune femme ce fait déchiqueté contre des pierres. Jeanne Boulet la toutes première victime officiel de la Bête du Gévaudan fut tuer en foret. alors qu'elle poursuivait une de ses brebies égarer.

C'est vraie que pour l'introduction je reste assez vague car la suite de l'histoire ce passe à notre époque. Je suis contente que l'extrait t'est plus et je verrais de mettre rapidement un nouvel extrait

Tu te documentes pour rédiger cette histoire?
C'est bien. Je n'ai malheureusement pas vu ce film, bien qu'écouter parler et visionner quelques extraits. Et maintenant que tu le dis, il me semble avoir aperçu une fois en passant devant la télé, la scène de la première victime contre le rocher.
Bref, je suis aussi passé sur le site de ta maison d'édition. Elle m'a l'air assez sérieuse et je t'encourage à poursuivre chez eux .

Toujours! Pour ce roman j'ai fais!

-Lu tous les livres écris sur le sujets
-Contacter les écrivains pour avoir plus d'info
-Vu toutes les émissions qui parlait de la bête
-Demander a des personnes vivants sur les lieux d'acceptes de me faire des photos des scenes du crime.

Je te le conseil! Il est vraiment bien comme films, il y a également un autre film mais un peu plus décevant car il met tous sur le dos des loups hors les loups ont été depuis longtemps mit hors de cause!

Oui en effet, il ont lu la première version de Clio, entre-temps j'ai refais une modification donc je dois attendre de savoir s'ils sont toujours interessés.

Oui, dans le film la première victime se fait éclater contre un rocher.
Mais il y a bien une bergère qui tombe dans une sorte de marre alors qu'elle essaye de récupérer un agneau, avant de se faire dévorer
J'ai rapidement cherché une vidéo montrant cette scène, mais je n'ai trouvé rien de mieux qu"un trailer dans lequel on voit la bergère tomber dans la fameuse marre (à exactement 1 min 08 sec ).
Lien : http://fr.youtube.com/watch?v=YdKB_zn2lpo

J'ai vu le film au cinéma quand j'avais neuf ans, ça m'a marqué, j'étais certain que cette scène existait

Enfin je ne savais pas que ce meurtre avait réellement existé, et je pense que beaucoups de monde ne sont pas plus au courant que moi, mais ont vu le film. Du coup il y a un risque que l'on t'accuse de plagiat pour cette scène :s

Eh bien j'espère pour toi .
En effet, tu as l'air à fond dans le sujet et tu dois le connaître sur le bout des doigts .
C'est bien, au moins tu le maîtrises.

Ah oui! Je me souviens même qu'a l'origine cette scene a été déplacer! Dans la première partie la fille que l'on retrouver les intestins empoisonnée et la même qui ce fait tuer plus tard! "une erreur de montage" En effet le film reprent beaucoup de scene qui se sont vraiment dérouler, j'ai été un peu déçu en voyant qu'il ne reprenait pas la scene de la femme contre le murait! Elle doit être sublime a voir au cinéma!!!!

Et pourtant malheureusement le pacte des loups a été inspirer de ce fait tragique qu'est la bête du gévaudan qui ma marquer le regne de Louis XV. Le compte d'Apcher, Jean-François M également ont belle et bien exister! Ce qui manque dans le film s'est l'intervention des Chastels!!!

J'ai passer deux ans a fait mes recherche sur le sujet et a chaque fois que je découvrais quelques chose je le rajoutais! J'ai même trouver un tableau "que j'ai mis à la fin de mon livre" sur toute les victimes de la bête.

Salut a tous dsl pour le double message mais j'aurais besoin d'un avis 'je rappele que toutes crétique et bonne pour un auteur" j'ai reçu un message qualifiant mon extrait de "piètre qualité " je voudrais avoir mon avis mon texte et il si mauvais que cela?

A part les textes refoulant d'insanité, je ne qualifie jamais de texte de piètre qualité. Même si la forme n'est pas l'une des meilleures, l'idée de l'histoire me semble toujours intéressante et à développer. Ce n'est pas en démolissant tout espoir qu'on parviendra à faire progresser les arts de chacun.
Je ne dis pas après qu'il faut complimenter alors que ce n'est pas vrai. Mais on peut relever les défauts des textes, donner son avis, mais ne pas avancer que le texte est de piètre qualité. Personne ne le peut, mis à part les grands auteurs reconnus (mais beaucoup sont morts ou trop vieux pour aller surfer sur le net ^^).

Donc, pour répondre à ta question, je dirais que ton texte est à retravailler, sans aucun doute, mais qu'il ne faut surtout pas baisser les bras en se laissant envahir par un sentiment de désespoir. Un texte n'est jamais parfait. Et nous ne sommes pas ici pour fixer les prix des ventes aux enchères en jugeant sur la qualité. Nous sommes ici pour aider l'auteur à rédiger un texte "mieux" qu'il pourra faire partager à son entourage (ou plus si le cœur lui en dit).
Voilà .